samedi 30 mars 2019

Merci monsieur Delarue. 2ème partie


Essai d’ethnologie politique en forme de factum. Chapitre 2


La guerre des gangs antiracistes et marxistes culturels.


       
Il est d’autres remerciements sincères que j’aimerais ici présenter, particulièrement à monsieur Munier, contributeur émérite de la toile plus connu grâce à m’sieur Delarue sous le pseudonyme de Vieux singe ancien activiste politiquement correct, actif et militant pour la religion séculière marxiste sur le Prout.fr (Post.fr aujourd’hui fermé) et ancien de MRAP Pluriel (un poème !)
Incidemment, je suis depuis des années le témoin d’une sorte de «guerre des gangs» ou des « chapelles » au sein du MRAP Mouvement qui distille de la haine des juifs comme ici ou on peut lire ce plaisant commentaire du jeudi soir 19/06/2013 par Christian Delarue posté tard, à 22:42 : « François Munier me tient à la culotte (au string) constamment ! Il ne me lâche pas! François Munier, alias "vieux singe" de la minorité du mrap (voyez qu’on en apprend chez les cocos !), adore jouer au "petit prof persécuteur" (PPP) du web et notamment contre ma pomme. Pour ma part, je suis lui reconnais des connaissances et une capacité critique importante. J'ai eu l'occasion de les tester, notamment sur la religion : un vrai théologien ! Ce n'est pas du côté du savoir que se pose le problème mais du côté de sa capacité de dénigrement constant. Nous travaillons dans la même FPE mais pas dans le même département, c'est une chance !».
Ah, monsieur Munier ; m’sieur Delarue dit de lui: «un vrai théologien» et il a raison, depuis longtemps déjà les églises chrétiennes dans leur majorités ont laissé la doctrine, la foi et la pratique se dégrader en discours de compromis et de ralliement pour des groupes marxistes politiquement corrects. C’est aussi pourquoi j’ai nommé cette étude « anthropologie politique », qui comprend bien sur l'anthropologie religieuse avec les corpus théologiques politiquement correct (Correct ? Vous avez cliqué sur correct ? Bande de petits filous).
Au cours des années 1970 se développera même dans les milieux de la gauche et de l’extrême gauche «chrétiennes», catholique et protestante, des relectures des textes bibliques que l’on peut considérer comme des «lectures militantes» pour la suite voir ici. Sitôt qu'on lit la Bible de cette façon pour y trouver arguments et justifications pour sa propre conduite ou pour celle de son groupe, on est en pleine idéologie politiquement correcte et marxiste culturelle. Mais est-ce encore écouter la prétendue Parole d’un Dieu hypothétique ? Examinées sous cet angle, les positions des chrétiens (mais sont ce encore des chrétiens ?) marxistes sont bien sur devenues la théologie de notre époque.
Comme monsieur Delarue, monsieur Munier comme la plupart des dirigeants politiques socialistes ou marxistes, est converti à  la religion séculière marxiste politiquement correcte.

Dés la fin du XVIXème siècle et selon Gustave Le Bon, le fameux «psychologue social», la crédulité éternelle des foules était article de foi scientiste: «Les vieux credo religieux qui asservissaient jadis la foule sont remplacés par des credo socialistes ou anarchistes aussi impérieux et aussi peu rationnels, mais qui ne dominent pas moins les âmes».
Monsieur Le Bon pensait que la «science» économique, depuis 1848, avait essayé de réfuter à grands frais les systèmes socialistes comme contraires aux résultats des recherches positives; cela avait été en vain ! C’est de cet échec que naît la conclusion que le socialisme (aujourd’hui devenu l’idéologie politiquement correcte) dont l’influence s’étend en Europe, en tant que religion ou croyance, n’est finalement pas de l’ordre du réfutable. «On ne triomphe pas d’une doctrine en montrant ses côtés chimériques. Ce n’est pas avec des arguments que l’on combat des rêves».

Curieusement les praticiens du totalitarisme et tous des socialistes Mussolini, Hitler, Staline et Mao passent pour avoir détourné les préceptes de Gustave Le Bon.

C’est ainsi que je ne combats pas le marxisme culturel, je le dénonce.

Raymond Aron lui, proposait d’appeler religions séculières les doctrines qui prennent dans les âmes de nos contemporains la place de la foi évanouie et situent ici-bas, dans le lointain de l’avenir sous la forme d’un ordre social à créer, le salut de l’humanité.
Pour les connaisseurs le fameux «Grand Soir» vous a un petit air d’«Armageddon» !

Dominique Desanti (en cliquant sur son nom vous comprendrez en lisant l’article comment le marxisme a pénétré le langage) se basant sur un ouvrage de madame Annie Kriegel, spécialiste confirmée du communisme, dira parlant du marxisme : «toute communauté close, toute société à rituel se fabrique un langage, à la fois liturgie du rituel et, à son tour, générateur de rites».    
Rituel et liturgie, tout est dit en deux mots, le marxisme culturel est devenu religion séculière.
En 2012 Paul François Paoli dans : «Pour en finir avec l’idéologie antiraciste» (idéologie nauséabonde… Idéologie nauséabonde ? … ben tiens, je vais me gêner !) et petite partie du politiquement correct), écrit : «idéologie totalitaire […], manichéenne et dualiste, je dirai même simpliste» puisqu’elle «divise le monde en bons et méchants, en amis et ennemis et ignore la complexité du réel, ses ambivalences, car cette complexité la détruirait». Il en donne l’origine : «Au milieu des années 1980, alors que les partis communistes français et italien, naguère si puissants, connaissaient leur crépuscule, l’auteur de ces lignes avait démontré comment, après le rapport Khrouchtchev sur les crimes de Staline et la sauvage intervention de l’Armée rouge en Hongrie, les militants marxistes-léninistes et trotskistes s’étaient recyclés dans le tiers-mondisme. Puis, la décolonisation s’étant soldée par de sanglants échecs, des guerres tribales, la ruine économique et l’exode vers l’Europe des populations enfin libérées, les anciens hérauts des Mao, Nkrumah, Sékou Touré, Che Guevara et autres Boumediene se trouvèrent un nouveau cheval de bataille, une nouvelle raison d’être : l’antiracisme, qui, issu du marxisme le plus extrémiste et le plus dogmatique, ne pouvait être que totalitaire», même si, comme le souligne P.-F. Paoli, cet antiracisme se drape dans les oripeaux de l’humanisme, excipe des «principes de la République» et s’appuie sur le messianisme des «valeurs universelles» dont la France serait le dépositaire de droit divin, valeurs d’autant plus commodes qu’elles sont floues – et, d’ailleurs, fort peu universelles, plusieurs grandes nations continuant à les ignorer.
Voulez-vous encore un exemple de cette constante dualité chez les marxistes culturels ou «antiracistes» déclarés ? Bien que s’abstenant de citer mon nom monsieur Munier parle de moi sur son blog : Extrait : «Sa liste de liens est très instructive, car elle distingue les bons des méchants (selon lui) (C’est moi !). Parmi les bons, une tapée de sites sionistes, islamophobes, d'extrême droite. Parmi les mauvais, le NPA, le PCF, le MRAP national, celui des Landes, Repères antiracistes. Les mauvais sont souvent catalogués «marxistes culturels», expression rendue tristement célèbre par le tueur norvégien Breivik». Bien sur on dirait du marxisme manichéen de bas étage : les méchants à la gauche et les bons sionistes à la droite (Des lunettes ? Oui, monsieur Munier à besoin de lunettes, car la liste des liens sur mon blog s’ouvre avec plus de 100 sites et blogs libertariens d’autres Belges une fois, Suisses une autre fois, suivis d’une courte liste de sites recommandés dont ma page fesse de bouc, (certains sont  sionistes bien sur et alors ? comme celui de monsieur Perez ou patriotes comme celui de Gérard Brazon qui lutte pour la liberté d'expression, les droits de la femme, la défense de la laïcité et contre l'islamisation, le soutien à Israël et aux chrétiens d'Orient et alors ? ? ? Prendre la défense des juifs, être juif ou avoir des ancêtres juifs comme moi, ça dérange qui ? C’est interdit ? D’autres qui luttent contre l'antisémitisme comme le BNVCA ou le CTECNA. C’est bien mieux que de faire partie d’un mouvement comme le MRAP qui distille de la haine des juifs non ? Victor Perez un de mes très bons liens «sionistes» et ancien du Post.fr et de son groupe Vérité parlant du MRAP et d’Israël écrira : «Si l’on peut comprendre qu’une association antiraciste se préoccupe du sort d’un peuple, on ne peut qu’être sidéré de voir que le combat du MRAP est dirigé contre un seul des belligérants. Une orientation qui permet donc la question puis l’affirmation de l’antisémitisme de celui-ci par son hostilité systématique à l’encontre de l’état des Juif. Une orientation qui doit faire retourner dans leurs tombes les créateurs de ce mouvement contre le racisme et l’antisémitisme, la plupart des Juifs ayant juré, alors, «plus jamais ça»), suivent 4 ou 5 sites «Islamomarxistes» bien haineux, bien antisémites, bien gauchus, comme par exemple celui-ci : les "indigènes" les désormais célèbres "racialistes" à ce demander pourquoi pas carrément «Racistes» (Raciste doit être un mot exclusivement réservé à une extrême droite fantasmée ou à moi) ? Et cela ce termine par une petite vingtaine de liens utiles (soit environ 15% des liens) répertoriant effectivement une partie de la nébuleuse politiquement correcte  des marxistes culturels haineux et antisémites.

Monsieur Munier avec son esprit manichéen transforme toute distinction en opposition et ramène systématiquement la complexité du réel à deux termes qui s'excluent, en recourant bien sur comme tous les marxistes culturels à des stéréotypes.
Ce marxisme culturel là, que j’appelle de son synonyme «religion séculière», traîne sous ses bottes crottées du sang des 150 millions d’innocentes victimes du communisme, le vieux dualisme théologique basé sur l’existence d’un principe divin du bien (associée à la Lumière) en contraposition à un principe divin du mal (les Ténèbres). Le marxisme ou l’antiracisme est signalé comme étant le responsable de la création du bien, tandis que le mal est attribué au diable dit extrême droite et aujourd’hui ultra droite (encore plus sombre) à quand la supercalifragilistiquexpédélilicieuse droite ? Ceci dit, le dualisme marxiste libère l’homme de la responsabilité de l’existence du mal essentiellement communiste ou socialiste dans le monde.
Au sujet du camarade François Munier ex dirigeant du MRAP un mouvement de la nébuleuse marxiste qui distille de la haine des juifs, j’aurais pu le considérer comme un médiocre branlotin (le petit jésus soviétique antiraciste et le bon Dieu des prolétaires m’en garde) alors finalement que cet individu qui, nostalgique des goulags ou des laogaïs veut m’expédier directement à la case Prison sans naturellement toucher les 20 000 Francs n’est qu’un piteux Stalinien. Monsieur François Munier affirmait en Aout 2015 que j’aurais  réitéré mes accusations contre le MRAP régulièrement, il n'y aurait donc pas prescription et des plaintes seraient toujours possibles. Comme il y aurait récidive, on pouvait espérer une condamnation à une peine de prison ferme. J’aimerais signaler à monsieur François Munier que c’est grâce à son bien aimé Christian Delarue que c'est sur bellaciao.org que le dimanche (de pelle à gâteau) 21 octobre 2007 j’ai appris que le magnifique mouvement marxiste faisant partie de la nébuleuse de la haine rouge du PC se disant F, distillait de la haine des juifs ! J’aimerais signaler à monsieur François Munier que je suis un libertarien qui met dans le même sac de la haine le socialisme national d’un Hitler avec le communisme dans un seul pays de Staline et que je continuerai de lutter infatigablement pour un état libertarien minarchiste et contre la haine rouge antisémite !                                                                        J’aimerais aussi faire connaître à monsieur François Munier ce que disait monsieur Laurent Joffrin dans article écrit lors de la publication du livre noir du communisme, « Sauver Lénine ?», dans Libération, du 17 décembre 1997, p. 14 : «Le crime est bien au cœur même du projet communiste. Non pas à cause de l'intention maléfique de ses promoteurs. Mais parce que, sans le crime, leur plan de réorganisation totale de la société est impossible à mettre en œuvre».
Il y a longtemps qu’au MRAP on invente des mots politiquement corrects en novlangue synonyme d’arme de guerre idéologique du marxisme culturel pour cacher la vérité comme de substituer au classique racisme (au sens de races à l'intérieur de l'espèce humaine) les termes d'ethno différencialisme, de racialisme ou racisme cordial, peut être à cause des difficultés qu'ils rencontrent dans la théorisation "marxiste" de la "race" !

Fin 2014 c'est l'affrontement des "antiracistes" (toujours sans rire) et le MRAP des Landes n’emploie toujours pas le mot de racistes !

Il est une question à laquelle, les associations dites antiracistes (De gauche ou d’extrême gauche hein, n’a-t-on jamais vu des antiracistes de droite? Non n’est ce pas ! Les hommes et les femmes de droites, sont comme chacun sait des abrutis hallucinés par la consommation excessive de bière et de schnaps, par leur bras constamment tendu et leur «haine» supposée des étrangers et des personnes «différentes». Ces associations, politiquement correctes prétendument «antiracistes» et qui sont à l’antiracisme ce qu’est l’aspirine à un médecin généraliste qui cherche à soigner un cancer, ont un problème grave, qui les met dans l’embarras pour répondre de façon claire à la question, la vraie «Question», la seule  qu’il faut se poser et qui est depuis longtemps déjà : « Qui sont ces antisémites et autres blancophobes qui éructent des mort au juifs ou mort aux blancs dans les rues de France ? ». Le racisme antiblanc existe, je l’ai rencontré, apparemment le MRAP ne l’a pas vu et l’autre question tout aussi évidente, celle de l’antisémitisme musulman généralisé maintenant dans toute l’ Europe, extrait de média Arabe: «L’école coranique, située dans le centre du pays, où vit une forte population musulmane, enseigne aux enfants du primaire que «les juifs sont des nazis» et qu’«il faut exécuter le président Bush», entre autres idées extrémistes».

Alors bon, pour noyer le poisson monsieur MRAP40, incapable d’avouer qu’un homme de race noire peut comme le blanc être raciste, appelle ça du «racialisme», hors, ce bon monsieur semble ou feint d’ignorer que selon cette véritable doctrine de la race détermine la culture, en ce sens que les différences entre les races détermineraient les différences entre les aptitudes mentales, les attitudes et les mœurs. Le racialisme est la crème du racisme pur et dur, mais il est vrai que pour ce mouvement il n’existe qu’une seule forme de racisme, c’est celui qu’expriment les patriotes Français qui luttent contre les antisémites des cliques d’ultra gauche et musulmanes anti blancs.

En 2012 ici j’écrivais : « Pour une fois et bien que j’émette certaines réserves notamment sur l’idéologie marxiste culturelle sous-jacente dans cet article et sur l’emploi du terme «racialiste», je suis dans l’ensemble assez content que le MRAP se retrouve face à ses contradictions. Si Madame Bouteldja et les fameux «indigènes» sont bien des racistes et essentiellement des racistes, il est pour le moins «étonnant» que l’emploi du mot «racialiste» à la place de raciste, soit le fait d’un rédacteur représentant un mouvement prétendu «antiraciste», qui devrait savoir que le racialisme est une vision de l’histoire ou de l’évolution sociale se présentant comme une théorie explicative, fondée sur une classification des «races humaines».

Cela va très au-delà de l’incontournable langue de bois, forme habituelle de communication politiquement correcte ou marxiste culturelle qui sert à dissimuler une incompétence ou une réticence à aborder un sujet en proclamant des banalités abstraites, pompeuses, ou qui font appel davantage aux sentiments qu'aux faits (Les marxistes culturels ayant parfaitement intégré la thèse très juste de Kant de l’homme qui ne serait pas un être de raison, mais un être d’émotion). Avec une opinion vague, un discours flou l’antiraciste ou son synonyme le marxiste culturel donne préséance à la forme et non au fond, en cela il crée une véritable novlangue qui décrit non pas la réalité mais le monde collectiviste idéal qu’il appelle de ses vœux, dans lequel l’euphémisme est roi. Le sectateur marxiste culturel nie la juste thèse du choc des civilisations et sa description géopolitique du monde fondée non plus sur des clivages idéologiques «politiques», mais sur des oppositions culturelles civilisationnelles, dans lesquelles le substrat religieux tient une place centrale, et sur leurs relations souvent conflictuelles.


Essai d’ethnologie politique en forme de bonum factum.
Par Michel Alain Labet de Bornay



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