Essai
d’ethnologie politique en forme de factum. Chapitre 1
Allez,
on y va ! Et je m'exclame: Merci
monsieur Delarue !
Commençons
par son excellence grand leader bien aimé et Hiérophante du MRAP, un des grands chapelains et ministres du culte marxiste d'ATTAC monsieur Christian Delarue,
remarquable incarnation sublimable et magnifique espoir des peuples
classe (Sans rire SVP), incomparable guide de la Grande Révolution Culturelle
Prolétarienne et des luttes Communistes Révolutionnaires Antiracistes, superbe
militant cégétiste accompli, exemple merveilleux du militant politiquement
correct et marxiste (c’est lui qui le dit) que je voudrais ici remercier très
sincèrement pour toute l’aide apportée à mes recherches. En particulier pour son célèbre article sur Bellaciao qui m'a fait connaître monsieur Wynnikamen
Monsieur
Delarue qui est pourtant la représentation presque caricaturale d’un converti à
la religion séculière marxiste, un vrai croyant propagandiste du socialisme qui
lutte de toutes ses forces pour l’émancipation du prolétariat et du genre
humain. Monsieur Delarue est aussi un «militant» altermondialiste et irréfragable «antiraciste», cet avatar
idéologique marxiste pour les "pauvres" véritable stratégie d’action
politique, propagée entre autre par les intellocrates marxistes internationalistes
qui fondèrent en 1923, l'école de Francfort, devrait à moi, libertarien
minarchiste, patriote et sioniste créateur du blog antisémitisme non merci,
représenter la substantifique moelle de la vulgarité populacière des gueux, des
manants, des fot-en-culs et autres pisse-froids. Et bien non, c’est justement
cette merveilleuse « prolixité » qui fait finalement le politiquement correct
de monsieur Delarue et sa reconnaissance de sa qualité de marxiste et de grande
personnalité associative antiraciste et altermondialiste et je lui suis très
profondément reconnaissant pour cet aveux. Il est par contre vrai que monsieur
Delarue feint et fait semblant d’ignorer ce qui pour moi est un vrai racisme
puisqu’il oppose nettement deux races humaine en l’occurrence les noirs et les
blancs par exemple comme dans ce merveilleux pays le Zimbabwe où règne le
communisme le plus merveilleux, l’avènement du grand soir avec la naissance du
petit Jésus soviétique noir et les lendemains qui chantent le blues. Le racisme
au Zimbabwe se remarque aux multiples discriminations et aux assassinats,
principalement contre la communauté blanche du pays. Remarquons toutefois que
le génocide des noirs locaux y tient aussi une place non négligeable. Après la
dissolution de la Rhodésie et l'indépendance du Zimbabwe qui met fin à la
domination britannique en 1980, le parti communiste marxiste-léniniste, l’Union
nationale africaine du Zimbabwe - Front patriotique (ZANU-PF) (sorte de LCR
locale chère à monsieur Delarue) arrive au pouvoir. En avril 1980, son altesse
démocratique Robert Mugabe avait mis sur
pied la 5e Brigade, une milice humaniste entraînée par des instructeurs
nord-coréens pour faire taire les opposants politiques du merveilleux parti
communiste au pouvoir, la Zanu, Zimbabwe African National Union. Plus de 20 000
Ndébélés de la province de Matabeleland, bastion de l’opposition, auraient
ainsi été systématiquement exécutés «sous les ordres directs» de Mugabe.
À
cette époque, la plupart des terres agricoles appartiennent aux très méchants
et vilains racistes Blancs. Le bon parti communiste, pacifiste, humaniste comme
le MRAP, dirigé par Robert Mugabe, applique une politique un petit peu raciste
en menant une réforme agraire, confisque les terres aux méchants Blancs, les
expulsent de leurs fermes, puis les massacrent très démocratiquement. Depuis,
la population blanche zimbabwéenne n'a cessé de diminuer, passant de 260 000 à
seulement 10 000 individus de 1975 à 2017. C’est ce qui amené le pays au chaos.
En 1996, 4 500 fermiers blancs possédaient encore à cette date environ 30 % des
terres cultivables du pays (contre 70 % en 1980) cultivant blé, arachides et
tabac et dont le chiffre d'affaires représentait plus de 50 % du PIB. Surnommé
le grenier à blé de l'Afrique, le pays participait en tant que fournisseur de
denrées au Programme alimentaire mondial (PAM). Depuis 2000, plus de 80 % de
ces fermiers ont été expulsés et massacrés et leurs terres ont été dépecées ou
redistribuées à des hauts dignitaires ou à des populations autochtones
complétement incompétentes. En 2010, seuls une petite centaine de blancs
(massacrés depuis) habitaient encore le pays. Le Zimbabwe avec 90% de joyeux
chômeurs communistes est devenu client du PAM et en 2006, 3 millions de
Zimbabwéens soit le quart de la population dépendaient de l'aide alimentaire
internationale.
Certainement
au grand dam de monsieur Delarue qui reste toutefois extrêmement silencieux sur
le sujet, le génocide raciste des blancs continue aujourd’hui mais cette fois
en Afrique du Sud. Dans un article du 4 mars 2017, le Figaro (monsieur Delarue
ne doit lire le Figaro que rarement) relate le massacre des Blancs en Afrique
du Sud et parle de la grande censure sur ce sujet car, «ce sujet tabou peu
traité par les média nationaux, ne manque pas de diviser une société déjà
déchirée par l’héritage de l’apartheid. En cause, le caractère racial du
phénomène : la quasi-totalité des fermiers du pays sont blancs et la totalité
des agresseurs sont noirs». Ça alors qui l’eut cru ? Il est étonnant de ne pas
voir des organisations antiracistes comme le MRAP qui distille de la haine des
juifs dénoncer ces massacres en masse de Blancs ! Où sont les organisations
humanitaires en Europe pour dénoncer le génocide des Blancs en Afrique du Sud ?
Ou les média antiracistes ? Qu’en pense monsieur Delarue le très grand génie
des Alpes ? Pourquoi un simple article perdu dans la masse des infos dans le
Figaro et pas de larges protestations sur ces massacres dictés par une
idéologie nettement raciste qui veut le génocide des Blancs ? Le Figaro écrit,
«rien que pour l’année 2016, l’organisation de défense des droits civiques
AfriForum portait le nombre d’attaques de fermes à 345 (soit près d’une par
jour) et le nombre de meurtres à 70 (soit plus d’un par semaine)». Et depuis le
1 janvier 2017, ce sont 86 attaques et 19 meurtres qui ont déjà été recensés.
Le
Figaro parle du parti communiste (sorte de LCR chère à son excellence suprême
monsieur Christian Delarue) de Julius Malema, un fanatique politique qui
faisait partie de l’ANC, (en savoir plus sur les noirs racistes et communistes
et le génocide des blancs). «En 2011, le raciste noir et communiste a été filmé
en train de scander : «Tuez les Boers et les Blancs», en parlant de Julius
Malema et Le Figaro explique que ce même Malema veut un génocide des Blancs,
«ces terrains doivent être expropriés sans aucune compensation. Les colons
européens sont venus et ont massacré des Africains pacifistes comme des
animaux. Nous n’appelons pas au massacre des Blancs du moins pas pour l’instant».
La
masse des média en Europe montre du doigt les Blancs comme étant les racistes
et les exterminateurs. L’idéologie qui a lieu en Europe veut montrer le Blanc
comme le raciste et le Noir comme la seule victime. Le cas concret du terrain
de l’Afrique du Sud prouve que le message véhiculé par la bien-pensance et le
marxisme culturel et les mouvements dit «antiracistes» notamment le MRAP qui
lui distille de la haine des juifs est faux et dangereux car il n’informe pas
correctement les populations sur les réalités de terrain. Quoique soyons
honnête et reconnaissons à monsieur Delarue son affirmation que le racisme
antiblanc est aussi raciste que les autres (mais attention très
démocratiquement l'auteur a choisi de fermer cet article sur Médiapart aux commentaires,
ce n’est pas comme ici sur ce blog ou tous les commentaires sont libres). En
lisant l’article du Figaro, on apprend ce dont tout le monde raisonnable et non
marxiste n’a jamais douté que le racisme n’est pas une idéologie exclusivement
blanche. Des Noirs sont racistes et tuent des Blancs à cause de la couleur de
leur peau. Le cas de l’Afrique du Sud montre que les peuples européens doivent
réagir contre le changement de peuple car devenant une minorité, les Blancs
européens en Europe pourraient bien subir le sort de leur frère en Afrique du
Sud car les organisations antiracistes en Europe montrent du doigt les Blancs
comme les racistes ce qui est un premier pas en direction de la
sudafricanisation de l’Europe. Le journal Le Figaro lance un message inquiétant
à l’Europe qui se trouve en pleine invasion migratoire.
Le
23 mars 2016 François Hollande a rencontré le président de l’Afrique du Sud à
Lyon et n’a pas dénoncé le massacre des Blancs aussi soutenu par le très
raciste président Zuma (Zuma appelle aux meurtres des Blancs qui vivent en
Afrique du Sud). François Hollande soutient, d’ailleurs, les présidents qui
poussent au massacre de civils et de populations que cela soit dans le Donbass
et en Afrique du Sud. Incroyable non ? Il existe une ONG pour sauver les Blancs
en Afrique du Sud. La directrice est Leigh Du Preez. L’ONG est SAFRPSA. «Les
Blancs vivent dans des bidonvilles», dit Leigh Du Preez. «Les Blancs ne
trouvent pas de travail à cause des lois raciales de l’ANC qui donnent des
emplois en priorité aux citoyens noirs». L’imbécile ségrégation positive a provoqué
la mise en place du génocide des Blancs et libéré la parole de leaders
politiques marxistes fanatiques noirs qui veulent l’extermination des Blancs.
L’ONG SAFRPSA nous montre des populations blanches vivre dans des bidonvilles
et des enfants blancs traîner dans la boue dans des guenilles. Leigh Du Preez
tente par tous les moyens d’alerter le monde sur la situation en Afrique du Sud
mais les média gardent le sujet sous le tapis à cause de l’idéologie
«antiraciste» chère à ce très cher monsieur Delarue qui règne en occident. En
apprenant la parution de l’article du Figaro Leigh Du Preez respire un peu,
«enfin, le sujet sort …». Comment sommes-nous arrivés à ce point-là où les
média officiels ne dénoncent pas en masse le massacre des populations blanches en
Afrique ?
On
dit merci qui ? On dit merci le MRAP et merci votre altesse Christian Delarue !
Ah
et puis je ne voudrais pas arrêter de parler de ce «racisme» à géométrie
variable sans toucher un mot du Cambodge de Pol Pot, le cher leader bien aimé
communiste révolutionnaire. Sous les Khmers rouges de Pol Pot chef d’une sorte
de LCR, le Cambodge connaît des cas de disettes constantes, qui dégénèrent en
famines particulièrement meurtrières. Une grande partie de ces pénuries sont
provoquées par l'incompétence de l'administration marxiste khmère rouge, mais
certaines sont sciemment provoquées ou utilisées par le régime comme moyen de
pression sur la population. Le gouvernement de Pol Pot présente en 1976 un plan
de quatre ans visant à développer massivement la production et l'exportation de
produits agricoles. Tout l'effort est centré sur la production de riz, les
autres cultures passant au second plan : la population se voit fixer un quota
de trois tonnes de paddy de riz à l'hectare, ce qui représente un triplement
par rapport à 1970. Les déportés, dont l'effort nécessaire n'a fait l'objet
d'aucune évaluation, sont mis au travail dans des conditions désastreuses,
marquées par une sous-alimentation chronique. L'irrigation, indispensable à
l'effort de production de riz, est largement défectueuse, une grande partie des
canaux et barrages ayant été construits en dépit du bon sens, sous les ordres
de cadres Khmers rouges quasi illettrés et bien sûr sans formation d'ingénieur.
Les conditions des travaux agricoles et leur calendrier sont déterminés de
manière centralisée, sans aucun égard pour les conditions géologiques et
écologiques locales. Les récoltes sont pour la plupart misérables et les
rations alimentaires baissent en proportion. Les Cambodgiens doivent souvent recourir
au marché noir pour survivre, bien que cette pratique soit normalement punie de
mort : aucune recherche individuelle de nourriture n'est en effet autorisée,
les rations décidées par l'Angkar étant décrétées suffisantes. En certains
endroits, les arbres fruitiers sont tous coupés pour chasser les oiseaux
pilleurs de récoltes, ce qui a pour conséquence de priver la population de
toute possibilité de cueillette. Des régions entières soumises au merveilleux
régime marxiste souffrent de famine et des cas de cannibalisme sont observés.
Dans le même temps, la cueillette de fruits est qualifiée de vol de la
propriété collective et punie de mort ou d'emprisonnement. Dans certaines
zones, le manque de denrées est délibérément utilisé comme arme par le régime pour
soumettre ou punir la population : dans la Zone Sud-Ouest, les «peuples
nouveaux» font l'objet de persécutions accrues en 1977 et 1978, et le Centre
aggrave la famine en augmentant ses réquisitions de riz. Dans cette zone, 20 à
30 % des morts sont dues à la famine. Nous devons souligner le caractère
spécifiquement raciste de la politique marxiste
communiste révolutionnaire appliquée par les Khmers rouges à l'égard des
minorités ethniques du Cambodge. Les Chams, ethnie musulmane dite «Khmers
islam», font l'objet d'un traitement particulier de la part de sa sérénité le
camarade Pol Pot, qui les considère comme privilégiés. Si des Chams font
initialement partie des Khmers rouges, formant même une faction autonome dans
la Zone Est, leur front est dispersé en 1973. Le traitement infligé aux Chams,
les arrestations des chefs de village, amènent une partie des Khmers rouges
musulmans à se révolter entre 1973 et 1975. Dans différents secteurs, les
pratiques religieuses des Chams sont interdites, leurs villages dispersés, et
les repas communautaires avec porc obligatoire imposés dans le but apparent de
niveler et de faire disparaître leur merveilleuse «culture» islamique. Y
compris dans le contexte de la déportation, les Chams sont tenus à l'écart, et
les réfugiés khmers sont incités à se méfier d'eux. Dans la zone Sud-Ouest,
dirigée par Ta Mok, la consommation de porc pour les Chams musulmans devient
obligatoire et leur est imposée deux fois par mois, alors même que l'ensemble
du pays souffre de la famine. Les Corans sont brûlés, des dignitaires musulmans
exécutés et les mosquées reconverties ou rasées ; le dialecte, les coutumes,
les costumes traditionnels chams sont interdits. Des populations chams se
révoltent à plusieurs reprises, et subissent des représailles sanglantes. À
partir de 1978, les Khmers rouges se mettent à massacrer systématiquement et
démocratiquement des communautés musulmanes chams, même en l'absence de
rébellion.
Concernant
le bouddhisme religion majoritaire au Cambodge, les Khmers rouges font preuve
d'une ambivalence certaine, du moins au tout début de leur régime. La rébellion
marxiste révolutionnaire khmère rouge a bénéficié, durant la guerre civile, du
ralliement de certains membres du clergé bouddhiste et la propagande du
mouvement en fait état. Néanmoins, dès la réunion du 20 mai 1975 qui suit la
chute de Phnom Penh, Pol Pot prévoit la sécularisation forcée de tous les
bonzes et leur mise au travail dans les rizières. La hiérarchie du clergé
bouddhiste cambodgien, accusée de «féodalisme» ou de liens avec le régime de
Lon Nol, est rapidement victime de purges et plusieurs vénérables sont
exécutés. Les moines sont évacués de leurs monastères et mis au travail forcé
avec le reste de la population urbaine. De nombreux temples sont victimes de
vandalisme, bien que davantage de lieux de culte que prévu semblent avoir
survécu au régime Khmer rouge. Les moines bouddhistes sont forcés de se
défroquer, ceux qui refusent étant systématiquement éliminés. Toutefois,
d'après Gerhard J. Bellinger, finalement, ce serait l’intégralité de la
population des nonnes et moines bouddhistes cambodgiens qui auraient été
exterminée.
La
communauté catholique du Cambodge, très minoritaire, est proportionnellement
l'une des plus touchées parmi les groupes ethniques et religieux : le nombre de
«disparus» est évalué à 48,6 %. Le décès en camp de travail de Mgr Joseph
Chhmar Salas, vicaire apostolique de Phnom Penh avec d’autres prêtres
cambodgiens en est un symbole fort. Souvent citadins, les catholiques ont
également le tort d'être, pour une grande partie d'entre eux, d'ethnie
vietnamienne, et associés au souvenir de la colonisation française de
l'Indochine. La cathédrale de Phnom Penh est, avec la Banque nationale du
Cambodge, le seul édifice à être totalement rasé par les communistes
révolutionnaires Khmers rouges.
Tiens
pendant que j’y suis, savez-vous qui a dit : «Les noirs, ces magnifiques
exemples de la race africaine qui ont conservé leur pureté raciale grâce à leur
manque d’affinité avec la baignade et l’hygiène, ont vu leur territoire envahi
par un nouveau type d'esclaves: les Portugais (…) Le noir est indolent,
nonchalant et rêveur; il va dépenser son maigre salaire en légèreté et en
boisson alcoolique; l’Européen lui a une tradition de travail et d'économie qui
l'a poursuivi dans ce coin de l'Amérique et le fait se promouvoir lui-même,
indépendamment de ses propres aspirations». Mais non ce n’est pas un membre du
RN ! C’est, je vous le donne Émile, la fameuse idole du NPA ex LCR ou ce bon
monsieur Delarue c’est remarquablement distingué. Voir ici Che Guevara la
critique du livre de Besancenot l’homme «de lettre» (Besancenot est facteur)
bien connu, livre écrit par un «nègre» (Vu ma réputation «sulfureuse» je me
dois de préciser qu’en littérature, le mot «nègre» désigne une personne qui
écrit pour le compte d'une autre, sans être mentionnée).
Mais
qui donc a mis en place cette idéologie nauséabonde adulée par ce cher monsieur
Delarue ? C’est le centre international de propagande marxiste, l’école de
Frankfort qui a en partie mis au point la rectitude politique ; le
politiquement correct (La version Canadienne est ici très intéressante), pour
aboutir au marxisme culturel, idéologie mise au point par des marxistes tel ce
bon monsieur Delarue qui l’avoue lui-même, en vue de détruire la civilisation
occidentale, en instituant la tyrannie des minorités - raciales, culturelles,
sexuelles, religieuses - sur la majorité traditionnelle et c’est par ces
nombreux et très intéressants écrits que le camarade Delarue nous le fait
découvrir.
Ce
politiquement correct est devenu une véritable «religion séculière» (déjà pensé
par le philosophe Marcel Gauchet membre du centre de recherche politiques,
Raymond Aron militant d’un anarchisme situationniste qui mériterais que l’on
s’y attarde, comme le structuralisme ) Monsieur Gauchet pensait cette véritable
religion sous la forme de religion séculière communiste (on comprendra au fil
de cet article et grâce aux aveux de nos bien chers «antiracistes» que cette
idéologie totalitaire se présente bien comme une «voie de salut» dans
l’immanence ; de la race ou de la société sans classe ; qu’elle soit polarisée
par la lutte entre «le bien» et «le mal» ; qu’elle adopte si volontiers le
style messianique ou apocalyptique ; qu’elle mette en place des liturgies
glorifiant «les peuples» ou «la race», qu’elle instaure le «culte» du chef,
etc.
Toutefois
mal acceptée par les «peuples» cette idéologie à fait depuis des décennies des
ravages et aujourd'hui en Grande Bretagne les enfants qui reçoivent des cours
sur «l’antiracisme» en classe sont plus susceptibles d'être intolérants à
l'extérieur de la classe. En France à Mont de Marsan une toute petite poignée
de «jeunes», a par exemple été «informés» des notions d’insultes, d’injures, de
diffamation, et les peines que ces délits pouvaient entraîner. Des exemples
leur ont été donnés dans les procès intentés par le MRAP nationalement et
localement contre les auteurs de sites déclarés «haineux» par le MRAP des
Landes comme Michel Alain Labet de Bornay ou le blog du CTECNA qui aux dires du
mouvement qui distille de la haine des juifs portaient atteinte aux lois en
vigueur.
Patricia
Morgan, auteur d’ouvrages sur la famille et l’éducation, a déclaré : «Si vous
insistez sur le prétendu racisme des enfants, ils le vivent mal. Les élèves
sont accusés de choses qu'ils n'ont pas faites ou auxquelles ils n’ont pas
pensé. Le multiculturalisme (synonyme de marxisme culturel) tente de manipuler
les pensées, les croyances et les émotions des enfants, ce qui constitue de l’endoctrinement,
et ça ne marche pas. C’est contre-productif».
Monsieur
Delarue révérendissime béatitude populaire éclairée est un des très rares
«militants antiracistes» à, sur Internet, étaler complaisamment outre ses
activités professionnelles, si ce n’est personnelles, avec ses incomparables
thèses et théories uniques, nous changeant agréablement de la couardise
habituelle des antiques ribaudes et des vieillards bedonnants aux lunettes de
Jaruzelski,vieux débris cacochymes, mythomanes sans pareils, et autres
admirables militants communistes staliniens, ex fonctionnaires ou retraités de
l’inéducation nationale, des PTT, de la SNCF, d’EDF ou de toute autre
administration publique (les fameux sévices publics).
Ce pourrait-il qu‘ils soient
des privilégiés, fainéants et improductifs ? (Et ce n'est pas moi qui le dis).
C’est quand même grâce à cet excellentissime camarade monsieur Delarue que je
ne remercierai jamais assez, qu'en lisant sa biographie documentée,je me suis
aperçu qu’outre de s'avouer marxiste, il inventait très intelligemment et
agréablement de nouveaux mots pour de nouvelles situations, par exemple la déplorable condition de la femme musulmane
barbare, ignominieuse et parfaite est appelée justement sexoséparatisme (Avec
ce mot là (et pas de mollah hein !) pas de risque de fatwa) d’autant qu’avec ce
«genre» de mots, pas de risque non plus de ce faire traiter «d’islamophobe» ;
car chacun sait maintenant, grâce au politiquement correct (des exemples ici)
que «l’islamophobie» est une forme dévoyée du «racisme» uniquement réservée aux
forces du mal d’extrême ou même d’ultra droite au fond du couloir, aux fachos
au crâne rasé qui dorment le bras tendu après leur 15 litres de bière dans le
bide ou des méchants militants ou des adhérents du très vilain Rassemblement
National qui nous rappelle les heures etc. etc..
Mais
«sexoséparatisme» a fait «causer» dans le landernau politiquement correct et
monsieur Alain Gresh du Monde Diplomatique lui-même se serait lâché contre
monsieur Delarue, sa béatitude (autre joyeux polémiste de la religion séculière
marxiste, admirateur de m’sieur Delarue) Jean Jacques Lakrival (un pseudo ?) en
donne une bonne analyse : « Passé la minable introduction on a deux longues citations
du texte de Christian Delarue. Et Monsieur Gresh dit ici qu'il ne comprend
rien. (Il n’est pas le seul) (…) Bon tous ne connaissent pas le mot
"sexoséparatisme". (Attention, pour notre précellent m’sieur Delarue,
il y en a plusieurs : le sexoséparatisme «laïque» qui serait celui du
capitalisme et du patriarcat, le sexoséparatisme des intégrismes religieux :
hyperpatriarcat en deux degrés : Soft = imposer aux femmes des vêtements
«Hypertextile» et le voile. Hard = imposer aux femmes de rester à la maison
pour ne sortir qu’accompagner, ne pas se serrer la main, ne pas se faire
soigner par un homme, etc. etc. Monsieur Delarue a carrément mis à la (ou Allah
?) sauce politiquement correcte notre bon vieux sexisme, mot calqué sur
«racisme», qui a pour vocation de dénoncer les croyances, valeurs et attitudes
fondées sur des modèles stéréotypés et intériorisés, en d'autres termes une
société sexuellement discriminatoire, mais comme cela s’applique à la religion
islamique instrumentalisée par le politiquement correct ou le statut de la
femme est inférieur à celui de l'homme en raison de certains «droits», inégaux
et sexistes, tel que la charia les imposent, notre extraordinaire «créateur» de
néologismes ou de mots valises en véritable novlangue (la novlangue inventée
par George Orwell qui n’a pas été seulement, en tant qu’écrivain, un praticien
du langage. Il a beaucoup réfléchi sur la «politique de la langue». Dans un
essai de 1946, il écrit que «penser clairement est un premier pas vers la
régénération politique». Il avait le sentiment de vivre à une époque où la
langue se dégradait, ce qui rendait plus difficile de décrire honnêtement la
réalité. Il mettait en accusation le flou qui dissimule la pensée ; la tendance
au slogan qui tend à imposer des idées fausses par la simple répétition ; le
jargon pseudo-scientifique tel celui inventé par le camarade Delarue qui tend à
donner un air de neutralité à des arguments en réalité idéologiques ;
bref, l’usage malhonnête des mots le met
à l’abri de certains «intégrismes» ce qui ne trompe personne) ; Sexomachin donc
nous dit Lakrival : «on comprend. Là il suffit d'aller sur le web. Ou de
demander la signification à François Munier qui «suit» Christian Delarue «dans
sa roue» comme un cycliste, et ce depuis plusieurs années ; il est donc en
capacité d'expliciter la notion de sexoséparatisme. Mais la haine de son pote -
critique des intégrismes religieux (et pas lui) - et la mauvaise foi bloquent
toute compréhension, que ce soit pour peuple-classe ou pour sexoséparatisme» (Vous
avez compris quelque chose vous ? moi pas.)
Mais
ce cher monsieur ne s’arrête pas là, il nous en invente plein des termes
rigolos comme par exemple : Peuple-classe comme le peuple Social National
(Social Nationaliste ? ou National Socialiste ? recyclage de l’idéologie Nazi
?) et encore : Humanité-classe ou l'humanité d'en-bas, des 99%, contre
l'hyperclasse mondiale appelée aussi la Caste (C’est pas les sans dents ?) et
puis là, c’est carrément du délire avec Travaillisme (définition du dico
cliquez ici), définition de monsieur Delarue : se rapporte à faire travailler
plus ceux et celles qui travaillent déjà au lieu de faire travailler ceux et
celles qui ne travaillent pas. (Sachant que cela vient d’un fonctionnaire !
Défense de rire !) Mais bon ; son altesse monsieur Delarue se sauve avec :
Néantisation (définition du dictionnaire) que cet excellent homme marxiste
considère comme une forme de mépris radical ou d'indignité contre un humain non
reconnu comme tel. Au vu de ce fatras destiné à noyer le poison (et pas le
poisson) politiquement correct ou marxiste culturel, je suis persuadé
qu’effectivement monsieur Delarue souffre d’une angoisse de néantisation, type
très particulier de l'angoisse, observé principalement au cours des psychoses
dues à la religion séculière marxiste qui provoque chez certains sujets des
formes sévères de troubles psychiatriques durant lesquelles peuvent survenir
délires et hallucinations irrépressibles et surtout une perception distordue de
la réalité comme pour la plupart des marxistes, c’est une vraie encéphalopathie
spongiforme religieuse dite ESR ou
"Maladie du Fou de Dieu, de Jéhovah, de Staline ou d'allah".
Les
marxistes sont des relativistes. Marx et plus tard les idéologues marxistes
culturels notamment ceux de l'école de Francfort ont enseigné que la pensée est
déterminée par la situation de classe de celui qui pense. Monsieur Delarue a
été un étudiant converti à ces thèses, on lui a inculqué que ce que la pensée
produit n'est pas la vérité, mais des idéologies. Ce mot signifie, dans le
contexte de la philosophie marxiste ou de la religion séculière politiquement
correcte et marxiste culturelle, un déguisement de l'intérêt prétendu égoïste
de classe (niveau CM1) à laquelle appartient l'individu qui pense. C'est
pourquoi il est inutile de discuter quoi que ce soit avec des personnes d'une
autre classe sociale. Les idéologies n'ont pas besoin d'être réfutées par un
raisonnement déductif ; elles doivent être démasquées en dénonçant la situation
de «classe», l'arrière-plan social de leurs auteurs. Ainsi les marxistes ne
discutent pas les mérites des théories physiques; ils dévoilent simplement
l'origine «bourgeoise» des physiciens. Les marxistes culturels tel cet
excellentissime monsieur Delarue ont toujours recours au polylogisme parce
qu'ils ne peuvent pas réfuter par des méthodes logiques les théories
développées par les économistes ou des libertariens patriotes qu’ils jugent
«bourgeois» ou des déductions tirées des théories démontrant le caractère
impraticable du socialisme comme le démontre un objectiviste minarchiste qu’ils
jugent «raciste» comme Madame Baud.
Essai
d’ethnologie politique en forme de bonum factum.
Par Michel Alain Labet de Bornay
2019. Agence de Presse AIS (Accréditation
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