samedi 30 mars 2019

Merci monsieur Delarue. Première partie.





Essai d’ethnologie politique en forme de factum. Chapitre 1 

  
Allez, on y va ! Et je m'exclame: Merci monsieur Delarue !



      
Commençons par son excellence grand leader bien aimé et Hiérophante du MRAP, un des grands chapelains et ministres du culte marxiste d'ATTAC monsieur Christian Delarue, remarquable incarnation sublimable et magnifique espoir des peuples classe (Sans rire SVP), incomparable guide de la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne et des luttes Communistes Révolutionnaires Antiracistes, superbe militant cégétiste accompli, exemple merveilleux du militant politiquement correct et marxiste (c’est lui qui le dit) que je voudrais ici remercier très sincèrement pour toute l’aide apportée à mes recherches. En particulier pour son célèbre article sur Bellaciao qui m'a fait connaître monsieur Wynnikamen



Monsieur Delarue qui est pourtant la représentation presque caricaturale d’un converti à la religion séculière marxiste, un vrai croyant propagandiste du socialisme qui lutte de toutes ses forces pour l’émancipation du prolétariat et du genre humain. Monsieur Delarue est aussi un «militant» altermondialiste  et irréfragable «antiraciste», cet avatar idéologique marxiste pour les "pauvres" véritable stratégie d’action politique, propagée entre autre par les intellocrates marxistes internationalistes qui fondèrent en 1923, l'école de Francfort, devrait à moi, libertarien minarchiste, patriote et sioniste créateur du blog antisémitisme non merci, représenter la substantifique moelle de la vulgarité populacière des gueux, des manants, des fot-en-culs et autres pisse-froids. Et bien non, c’est justement cette merveilleuse « prolixité » qui fait finalement le politiquement correct de monsieur Delarue et sa reconnaissance de sa qualité de marxiste et de grande personnalité associative antiraciste et altermondialiste et je lui suis très profondément reconnaissant pour cet aveux. Il est par contre vrai que monsieur Delarue feint et fait semblant d’ignorer ce qui pour moi est un vrai racisme puisqu’il oppose nettement deux races humaine en l’occurrence les noirs et les blancs par exemple comme dans ce merveilleux pays le Zimbabwe où règne le communisme le plus merveilleux, l’avènement du grand soir avec la naissance du petit Jésus soviétique noir et les lendemains qui chantent le blues. Le racisme au Zimbabwe se remarque aux multiples discriminations et aux assassinats, principalement contre la communauté blanche du pays. Remarquons toutefois que le génocide des noirs locaux y tient aussi une place non négligeable. Après la dissolution de la Rhodésie et l'indépendance du Zimbabwe qui met fin à la domination britannique en 1980, le parti communiste marxiste-léniniste, l’Union nationale africaine du Zimbabwe - Front patriotique (ZANU-PF) (sorte de LCR locale chère à monsieur Delarue) arrive au pouvoir. En avril 1980, son altesse démocratique  Robert Mugabe avait mis sur pied la 5e Brigade, une milice humaniste entraînée par des instructeurs nord-coréens pour faire taire les opposants politiques du merveilleux parti communiste au pouvoir, la Zanu, Zimbabwe African National Union. Plus de 20 000 Ndébélés de la province de Matabeleland, bastion de l’opposition, auraient ainsi été systématiquement exécutés «sous les ordres directs» de Mugabe.
À cette époque, la plupart des terres agricoles appartiennent aux très méchants et vilains racistes Blancs. Le bon parti communiste, pacifiste, humaniste comme le MRAP, dirigé par Robert Mugabe, applique une politique un petit peu raciste en menant une réforme agraire, confisque les terres aux méchants Blancs, les expulsent de leurs fermes, puis les massacrent très démocratiquement. Depuis, la population blanche zimbabwéenne n'a cessé de diminuer, passant de 260 000 à seulement 10 000 individus de 1975 à 2017. C’est ce qui amené le pays au chaos. En 1996, 4 500 fermiers blancs possédaient encore à cette date environ 30 % des terres cultivables du pays (contre 70 % en 1980) cultivant blé, arachides et tabac et dont le chiffre d'affaires représentait plus de 50 % du PIB. Surnommé le grenier à blé de l'Afrique, le pays participait en tant que fournisseur de denrées au Programme alimentaire mondial (PAM). Depuis 2000, plus de 80 % de ces fermiers ont été expulsés et massacrés et leurs terres ont été dépecées ou redistribuées à des hauts dignitaires ou à des populations autochtones complétement incompétentes. En 2010, seuls une petite centaine de blancs (massacrés depuis) habitaient encore le pays. Le Zimbabwe avec 90% de joyeux chômeurs communistes est devenu client du PAM et en 2006, 3 millions de Zimbabwéens soit le quart de la population dépendaient de l'aide alimentaire internationale.
Certainement au grand dam de monsieur Delarue qui reste toutefois extrêmement silencieux sur le sujet, le génocide raciste des blancs continue aujourd’hui mais cette fois en Afrique du Sud. Dans un article du 4 mars 2017, le Figaro (monsieur Delarue ne doit lire le Figaro que rarement) relate le massacre des Blancs en Afrique du Sud et parle de la grande censure sur ce sujet car, «ce sujet tabou peu traité par les média nationaux, ne manque pas de diviser une société déjà déchirée par l’héritage de l’apartheid. En cause, le caractère racial du phénomène : la quasi-totalité des fermiers du pays sont blancs et la totalité des agresseurs sont noirs». Ça alors qui l’eut cru ? Il est étonnant de ne pas voir des organisations antiracistes comme le MRAP qui distille de la haine des juifs dénoncer ces massacres en masse de Blancs ! Où sont les organisations humanitaires en Europe pour dénoncer le génocide des Blancs en Afrique du Sud ? Ou les média antiracistes ? Qu’en pense monsieur Delarue le très grand génie des Alpes ? Pourquoi un simple article perdu dans la masse des infos dans le Figaro et pas de larges protestations sur ces massacres dictés par une idéologie nettement raciste qui veut le génocide des Blancs ? Le Figaro écrit, «rien que pour l’année 2016, l’organisation de défense des droits civiques AfriForum portait le nombre d’attaques de fermes à 345 (soit près d’une par jour) et le nombre de meurtres à 70 (soit plus d’un par semaine)». Et depuis le 1 janvier 2017, ce sont 86 attaques et 19 meurtres qui ont déjà été recensés.
Le Figaro parle du parti communiste (sorte de LCR chère à son excellence suprême monsieur Christian Delarue) de Julius Malema, un fanatique politique qui faisait partie de l’ANC, (en savoir plus sur les noirs racistes et communistes et le génocide des blancs). «En 2011, le raciste noir et communiste a été filmé en train de scander : «Tuez les Boers et les Blancs», en parlant de Julius Malema et Le Figaro explique que ce même Malema veut un génocide des Blancs, «ces terrains doivent être expropriés sans aucune compensation. Les colons européens sont venus et ont massacré des Africains pacifistes comme des animaux. Nous n’appelons pas au massacre des Blancs du moins pas pour l’instant».
La masse des média en Europe montre du doigt les Blancs comme étant les racistes et les exterminateurs. L’idéologie qui a lieu en Europe veut montrer le Blanc comme le raciste et le Noir comme la seule victime. Le cas concret du terrain de l’Afrique du Sud prouve que le message véhiculé par la bien-pensance et le marxisme culturel et les mouvements dit «antiracistes» notamment le MRAP qui lui distille de la haine des juifs est faux et dangereux car il n’informe pas correctement les populations sur les réalités de terrain. Quoique soyons honnête et reconnaissons à monsieur Delarue son affirmation que le racisme antiblanc est aussi raciste que les autres (mais attention très démocratiquement l'auteur a choisi de fermer cet article sur Médiapart aux commentaires, ce n’est pas comme ici sur ce blog ou tous les commentaires sont libres). En lisant l’article du Figaro, on apprend ce dont tout le monde raisonnable et non marxiste n’a jamais douté que le racisme n’est pas une idéologie exclusivement blanche. Des Noirs sont racistes et tuent des Blancs à cause de la couleur de leur peau. Le cas de l’Afrique du Sud montre que les peuples européens doivent réagir contre le changement de peuple car devenant une minorité, les Blancs européens en Europe pourraient bien subir le sort de leur frère en Afrique du Sud car les organisations antiracistes en Europe montrent du doigt les Blancs comme les racistes ce qui est un premier pas en direction de la sudafricanisation de l’Europe. Le journal Le Figaro lance un message inquiétant à l’Europe qui se trouve en pleine invasion migratoire.
Le 23 mars 2016 François Hollande a rencontré le président de l’Afrique du Sud à Lyon et n’a pas dénoncé le massacre des Blancs aussi soutenu par le très raciste président Zuma (Zuma appelle aux meurtres des Blancs qui vivent en Afrique du Sud). François Hollande soutient, d’ailleurs, les présidents qui poussent au massacre de civils et de populations que cela soit dans le Donbass et en Afrique du Sud. Incroyable non ? Il existe une ONG pour sauver les Blancs en Afrique du Sud. La directrice est Leigh Du Preez. L’ONG est SAFRPSA. «Les Blancs vivent dans des bidonvilles», dit Leigh Du Preez. «Les Blancs ne trouvent pas de travail à cause des lois raciales de l’ANC qui donnent des emplois en priorité aux citoyens noirs». L’imbécile ségrégation positive a provoqué la mise en place du génocide des Blancs et libéré la parole de leaders politiques marxistes fanatiques noirs qui veulent l’extermination des Blancs. L’ONG SAFRPSA nous montre des populations blanches vivre dans des bidonvilles et des enfants blancs traîner dans la boue dans des guenilles. Leigh Du Preez tente par tous les moyens d’alerter le monde sur la situation en Afrique du Sud mais les média gardent le sujet sous le tapis à cause de l’idéologie «antiraciste» chère à ce très cher monsieur Delarue qui règne en occident. En apprenant la parution de l’article du Figaro Leigh Du Preez respire un peu, «enfin, le sujet sort …». Comment sommes-nous arrivés à ce point-là où les média officiels ne dénoncent pas en masse le massacre des populations blanches en Afrique ?
On dit merci qui ? On dit merci le MRAP et merci votre altesse Christian Delarue !

Ah et puis je ne voudrais pas arrêter de parler de ce «racisme» à géométrie variable sans toucher un mot du Cambodge de Pol Pot, le cher leader bien aimé communiste révolutionnaire. Sous les Khmers rouges de Pol Pot chef d’une sorte de LCR, le Cambodge connaît des cas de disettes constantes, qui dégénèrent en famines particulièrement meurtrières. Une grande partie de ces pénuries sont provoquées par l'incompétence de l'administration marxiste khmère rouge, mais certaines sont sciemment provoquées ou utilisées par le régime comme moyen de pression sur la population. Le gouvernement de Pol Pot présente en 1976 un plan de quatre ans visant à développer massivement la production et l'exportation de produits agricoles. Tout l'effort est centré sur la production de riz, les autres cultures passant au second plan : la population se voit fixer un quota de trois tonnes de paddy de riz à l'hectare, ce qui représente un triplement par rapport à 1970. Les déportés, dont l'effort nécessaire n'a fait l'objet d'aucune évaluation, sont mis au travail dans des conditions désastreuses, marquées par une sous-alimentation chronique. L'irrigation, indispensable à l'effort de production de riz, est largement défectueuse, une grande partie des canaux et barrages ayant été construits en dépit du bon sens, sous les ordres de cadres Khmers rouges quasi illettrés et bien sûr sans formation d'ingénieur. Les conditions des travaux agricoles et leur calendrier sont déterminés de manière centralisée, sans aucun égard pour les conditions géologiques et écologiques locales. Les récoltes sont pour la plupart misérables et les rations alimentaires baissent en proportion. Les Cambodgiens doivent souvent recourir au marché noir pour survivre, bien que cette pratique soit normalement punie de mort : aucune recherche individuelle de nourriture n'est en effet autorisée, les rations décidées par l'Angkar étant décrétées suffisantes. En certains endroits, les arbres fruitiers sont tous coupés pour chasser les oiseaux pilleurs de récoltes, ce qui a pour conséquence de priver la population de toute possibilité de cueillette. Des régions entières soumises au merveilleux régime marxiste souffrent de famine et des cas de cannibalisme sont observés. Dans le même temps, la cueillette de fruits est qualifiée de vol de la propriété collective et punie de mort ou d'emprisonnement. Dans certaines zones, le manque de denrées est délibérément utilisé comme arme par le régime pour soumettre ou punir la population : dans la Zone Sud-Ouest, les «peuples nouveaux» font l'objet de persécutions accrues en 1977 et 1978, et le Centre aggrave la famine en augmentant ses réquisitions de riz. Dans cette zone, 20 à 30 % des morts sont dues à la famine. Nous devons souligner le caractère spécifiquement raciste de la politique marxiste  communiste révolutionnaire appliquée par les Khmers rouges à l'égard des minorités ethniques du Cambodge. Les Chams, ethnie musulmane dite «Khmers islam», font l'objet d'un traitement particulier de la part de sa sérénité le camarade Pol Pot, qui les considère comme privilégiés. Si des Chams font initialement partie des Khmers rouges, formant même une faction autonome dans la Zone Est, leur front est dispersé en 1973. Le traitement infligé aux Chams, les arrestations des chefs de village, amènent une partie des Khmers rouges musulmans à se révolter entre 1973 et 1975. Dans différents secteurs, les pratiques religieuses des Chams sont interdites, leurs villages dispersés, et les repas communautaires avec porc obligatoire imposés dans le but apparent de niveler et de faire disparaître leur merveilleuse «culture» islamique. Y compris dans le contexte de la déportation, les Chams sont tenus à l'écart, et les réfugiés khmers sont incités à se méfier d'eux. Dans la zone Sud-Ouest, dirigée par Ta Mok, la consommation de porc pour les Chams musulmans devient obligatoire et leur est imposée deux fois par mois, alors même que l'ensemble du pays souffre de la famine. Les Corans sont brûlés, des dignitaires musulmans exécutés et les mosquées reconverties ou rasées ; le dialecte, les coutumes, les costumes traditionnels chams sont interdits. Des populations chams se révoltent à plusieurs reprises, et subissent des représailles sanglantes. À partir de 1978, les Khmers rouges se mettent à massacrer systématiquement et démocratiquement des communautés musulmanes chams, même en l'absence de rébellion.

Concernant le bouddhisme religion majoritaire au Cambodge, les Khmers rouges font preuve d'une ambivalence certaine, du moins au tout début de leur régime. La rébellion marxiste révolutionnaire khmère rouge a bénéficié, durant la guerre civile, du ralliement de certains membres du clergé bouddhiste et la propagande du mouvement en fait état. Néanmoins, dès la réunion du 20 mai 1975 qui suit la chute de Phnom Penh, Pol Pot prévoit la sécularisation forcée de tous les bonzes et leur mise au travail dans les rizières. La hiérarchie du clergé bouddhiste cambodgien, accusée de «féodalisme» ou de liens avec le régime de Lon Nol, est rapidement victime de purges et plusieurs vénérables sont exécutés. Les moines sont évacués de leurs monastères et mis au travail forcé avec le reste de la population urbaine. De nombreux temples sont victimes de vandalisme, bien que davantage de lieux de culte que prévu semblent avoir survécu au régime Khmer rouge. Les moines bouddhistes sont forcés de se défroquer, ceux qui refusent étant systématiquement éliminés. Toutefois, d'après Gerhard J. Bellinger, finalement, ce serait l’intégralité de la population des nonnes et moines bouddhistes cambodgiens qui auraient été exterminée.
La communauté catholique du Cambodge, très minoritaire, est proportionnellement l'une des plus touchées parmi les groupes ethniques et religieux : le nombre de «disparus» est évalué à 48,6 %. Le décès en camp de travail de Mgr Joseph Chhmar Salas, vicaire apostolique de Phnom Penh avec d’autres prêtres cambodgiens en est un symbole fort. Souvent citadins, les catholiques ont également le tort d'être, pour une grande partie d'entre eux, d'ethnie vietnamienne, et associés au souvenir de la colonisation française de l'Indochine. La cathédrale de Phnom Penh est, avec la Banque nationale du Cambodge, le seul édifice à être totalement rasé par les communistes révolutionnaires Khmers rouges.

Tiens pendant que j’y suis, savez-vous qui a dit : «Les noirs, ces magnifiques exemples de la race africaine qui ont conservé leur pureté raciale grâce à leur manque d’affinité avec la baignade et l’hygiène, ont vu leur territoire envahi par un nouveau type d'esclaves: les Portugais (…) Le noir est indolent, nonchalant et rêveur; il va dépenser son maigre salaire en légèreté et en boisson alcoolique; l’Européen lui a une tradition de travail et d'économie qui l'a poursuivi dans ce coin de l'Amérique et le fait se promouvoir lui-même, indépendamment de ses propres aspirations». Mais non ce n’est pas un membre du RN ! C’est, je vous le donne Émile, la fameuse idole du NPA ex LCR ou ce bon monsieur Delarue c’est remarquablement distingué. Voir ici Che Guevara la critique du livre de Besancenot l’homme «de lettre» (Besancenot est facteur) bien connu, livre écrit par un «nègre» (Vu ma réputation «sulfureuse» je me dois de préciser qu’en littérature, le mot «nègre» désigne une personne qui écrit pour le compte d'une autre, sans être mentionnée).

Mais qui donc a mis en place cette idéologie nauséabonde adulée par ce cher monsieur Delarue ? C’est le centre international de propagande marxiste, l’école de Frankfort qui a en partie mis au point la rectitude politique ; le politiquement correct (La version Canadienne est ici très intéressante), pour aboutir au marxisme culturel, idéologie mise au point par des marxistes tel ce bon monsieur Delarue qui l’avoue lui-même, en vue de détruire la civilisation occidentale, en instituant la tyrannie des minorités - raciales, culturelles, sexuelles, religieuses - sur la majorité traditionnelle et c’est par ces nombreux et très intéressants écrits que le camarade Delarue nous le fait découvrir.

Ce politiquement correct est devenu une véritable «religion séculière» (déjà pensé par le philosophe Marcel Gauchet membre du centre de recherche politiques, Raymond Aron militant d’un anarchisme situationniste qui mériterais que l’on s’y attarde, comme le structuralisme ) Monsieur Gauchet pensait cette véritable religion sous la forme de religion séculière communiste (on comprendra au fil de cet article et grâce aux aveux de nos bien chers «antiracistes» que cette idéologie totalitaire se présente bien comme une «voie de salut» dans l’immanence ; de la race ou de la société sans classe ; qu’elle soit polarisée par la lutte entre «le bien» et «le mal» ; qu’elle adopte si volontiers le style messianique ou apocalyptique ; qu’elle mette en place des liturgies glorifiant «les peuples» ou «la race», qu’elle instaure le «culte» du chef, etc.

Toutefois mal acceptée par les «peuples» cette idéologie à fait depuis des décennies des ravages et aujourd'hui en Grande Bretagne les enfants qui reçoivent des cours sur «l’antiracisme» en classe sont plus susceptibles d'être intolérants à l'extérieur de la classe. En France à Mont de Marsan une toute petite poignée de «jeunes», a par exemple été «informés» des notions d’insultes, d’injures, de diffamation, et les peines que ces délits pouvaient entraîner. Des exemples leur ont été donnés dans les procès intentés par le MRAP nationalement et localement contre les auteurs de sites déclarés «haineux» par le MRAP des Landes comme Michel Alain Labet de Bornay ou le blog du CTECNA qui aux dires du mouvement qui distille de la haine des juifs portaient atteinte aux lois en vigueur.

Patricia Morgan, auteur d’ouvrages sur la famille et l’éducation, a déclaré : «Si vous insistez sur le prétendu racisme des enfants, ils le vivent mal. Les élèves sont accusés de choses qu'ils n'ont pas faites ou auxquelles ils n’ont pas pensé. Le multiculturalisme (synonyme de marxisme culturel) tente de manipuler les pensées, les croyances et les émotions des enfants, ce qui constitue de l’endoctrinement, et ça ne marche pas. C’est contre-productif».

Monsieur Delarue révérendissime béatitude populaire éclairée est un des très rares «militants antiracistes» à, sur Internet, étaler complaisamment outre ses activités professionnelles, si ce n’est personnelles, avec ses incomparables thèses et théories uniques, nous changeant agréablement de la couardise habituelle des antiques ribaudes et des vieillards bedonnants aux lunettes de Jaruzelski,vieux débris cacochymes, mythomanes sans pareils, et autres admirables militants communistes staliniens, ex fonctionnaires ou retraités de l’inéducation nationale, des PTT, de la SNCF, d’EDF ou de toute autre administration publique (les fameux sévices publics).                                                      Ce pourrait-il qu‘ils soient des privilégiés, fainéants et improductifs ? (Et ce n'est pas moi qui le dis). C’est quand même grâce à cet excellentissime camarade monsieur Delarue que je ne remercierai jamais assez, qu'en lisant sa biographie documentée,je me suis aperçu qu’outre de s'avouer marxiste, il inventait très intelligemment et agréablement de nouveaux mots pour de nouvelles situations, par exemple  la déplorable condition de la femme musulmane barbare, ignominieuse et parfaite est appelée justement sexoséparatisme (Avec ce mot là (et pas de mollah hein !) pas de risque de fatwa) d’autant qu’avec ce «genre» de mots, pas de risque non plus de ce faire traiter «d’islamophobe» ; car chacun sait maintenant, grâce au politiquement correct (des exemples ici) que «l’islamophobie» est une forme dévoyée du «racisme» uniquement réservée aux forces du mal d’extrême ou même d’ultra droite au fond du couloir, aux fachos au crâne rasé qui dorment le bras tendu après leur 15 litres de bière dans le bide ou des méchants militants ou des adhérents du très vilain Rassemblement National qui nous rappelle les heures etc. etc..
Mais «sexoséparatisme» a fait «causer» dans le landernau politiquement correct et monsieur Alain Gresh du Monde Diplomatique lui-même se serait lâché contre monsieur Delarue, sa béatitude (autre joyeux polémiste de la religion séculière marxiste, admirateur de m’sieur Delarue) Jean Jacques Lakrival (un pseudo ?) en donne une bonne analyse : « Passé la minable introduction on a deux longues citations du texte de Christian Delarue. Et Monsieur Gresh dit ici qu'il ne comprend rien. (Il n’est pas le seul) (…) Bon tous ne connaissent pas le mot "sexoséparatisme". (Attention, pour notre précellent m’sieur Delarue, il y en a plusieurs : le sexoséparatisme «laïque» qui serait celui du capitalisme et du patriarcat, le sexoséparatisme des intégrismes religieux : hyperpatriarcat en deux degrés : Soft = imposer aux femmes des vêtements «Hypertextile» et le voile. Hard = imposer aux femmes de rester à la maison pour ne sortir qu’accompagner, ne pas se serrer la main, ne pas se faire soigner par un homme, etc. etc. Monsieur Delarue a carrément mis à la (ou Allah ?) sauce politiquement correcte notre bon vieux sexisme, mot calqué sur «racisme», qui a pour vocation de dénoncer les croyances, valeurs et attitudes fondées sur des modèles stéréotypés et intériorisés, en d'autres termes une société sexuellement discriminatoire, mais comme cela s’applique à la religion islamique instrumentalisée par le politiquement correct ou le statut de la femme est inférieur à celui de l'homme en raison de certains «droits», inégaux et sexistes, tel que la charia les imposent, notre extraordinaire «créateur» de néologismes ou de mots valises en véritable novlangue (la novlangue inventée par George Orwell qui n’a pas été seulement, en tant qu’écrivain, un praticien du langage. Il a beaucoup réfléchi sur la «politique de la langue». Dans un essai de 1946, il écrit que «penser clairement est un premier pas vers la régénération politique». Il avait le sentiment de vivre à une époque où la langue se dégradait, ce qui rendait plus difficile de décrire honnêtement la réalité. Il mettait en accusation le flou qui dissimule la pensée ; la tendance au slogan qui tend à imposer des idées fausses par la simple répétition ; le jargon pseudo-scientifique tel celui inventé par le camarade Delarue qui tend à donner un air de neutralité à des arguments en réalité idéologiques ; bref,  l’usage malhonnête des mots le met à l’abri de certains «intégrismes» ce qui ne trompe personne) ; Sexomachin donc nous dit Lakrival : «on comprend. Là il suffit d'aller sur le web. Ou de demander la signification à François Munier qui «suit» Christian Delarue «dans sa roue» comme un cycliste, et ce depuis plusieurs années ; il est donc en capacité d'expliciter la notion de sexoséparatisme. Mais la haine de son pote - critique des intégrismes religieux (et pas lui) - et la mauvaise foi bloquent toute compréhension, que ce soit pour peuple-classe ou pour sexoséparatisme» (Vous avez compris quelque chose vous ? moi pas.)
Mais ce cher monsieur ne s’arrête pas là, il nous en invente plein des termes rigolos comme par exemple : Peuple-classe comme le peuple Social National (Social Nationaliste ? ou National Socialiste ? recyclage de l’idéologie Nazi ?) et encore : Humanité-classe ou l'humanité d'en-bas, des 99%, contre l'hyperclasse mondiale appelée aussi la Caste (C’est pas les sans dents ?) et puis là, c’est carrément du délire avec Travaillisme (définition du dico cliquez ici), définition de monsieur Delarue : se rapporte à faire travailler plus ceux et celles qui travaillent déjà au lieu de faire travailler ceux et celles qui ne travaillent pas. (Sachant que cela vient d’un fonctionnaire ! Défense de rire !) Mais bon ; son altesse monsieur Delarue se sauve avec : Néantisation (définition du dictionnaire) que cet excellent homme marxiste considère comme une forme de mépris radical ou d'indignité contre un humain non reconnu comme tel. Au vu de ce fatras destiné à noyer le poison (et pas le poisson) politiquement correct ou marxiste culturel, je suis persuadé qu’effectivement monsieur Delarue souffre d’une angoisse de néantisation, type très particulier de l'angoisse, observé principalement au cours des psychoses dues à la religion séculière marxiste qui provoque chez certains sujets des formes sévères de troubles psychiatriques durant lesquelles peuvent survenir délires et hallucinations irrépressibles et surtout une perception distordue de la réalité comme pour la plupart des marxistes, c’est une vraie encéphalopathie spongiforme religieuse dite  ESR ou "Maladie du Fou de Dieu, de Jéhovah, de Staline ou d'allah".

Les marxistes sont des relativistes. Marx et plus tard les idéologues marxistes culturels notamment ceux de l'école de Francfort ont enseigné que la pensée est déterminée par la situation de classe de celui qui pense. Monsieur Delarue a été un étudiant converti à ces thèses, on lui a inculqué que ce que la pensée produit n'est pas la vérité, mais des idéologies. Ce mot signifie, dans le contexte de la philosophie marxiste ou de la religion séculière politiquement correcte et marxiste culturelle, un déguisement de l'intérêt prétendu égoïste de classe (niveau CM1) à laquelle appartient l'individu qui pense. C'est pourquoi il est inutile de discuter quoi que ce soit avec des personnes d'une autre classe sociale. Les idéologies n'ont pas besoin d'être réfutées par un raisonnement déductif ; elles doivent être démasquées en dénonçant la situation de «classe», l'arrière-plan social de leurs auteurs. Ainsi les marxistes ne discutent pas les mérites des théories physiques; ils dévoilent simplement l'origine «bourgeoise» des physiciens. Les marxistes culturels tel cet excellentissime monsieur Delarue ont toujours recours au polylogisme parce qu'ils ne peuvent pas réfuter par des méthodes logiques les théories développées par les économistes ou des libertariens patriotes qu’ils jugent «bourgeois» ou des déductions tirées des théories démontrant le caractère impraticable du socialisme comme le démontre un objectiviste minarchiste qu’ils jugent «raciste» comme Madame Baud.



Essai d’ethnologie politique en forme de bonum factum.
Par Michel Alain Labet de Bornay



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