Essai d’ethnologie politique en
forme de bonum factum.
La soif d'inégalité semble un besoin irréductible de la nature humaine. On sait avec quelle ardeur les Conventionnels échappés à la guillotine sollicitaient de Napoléon des titres nobiliaires. Le rêve égalitaire qui les avait conduits à tant de massacres n'était donc en réalité qu'un violent désir d'inégalité à leur profit. L'histoire n'a pas encore cité, d'ailleurs, de pays où régnât l'égalité. Gustave Le Bon.
Avant-propos.
Chercheurs, curieux, nationalistes et patriotes ce
texte explicatif, ce «bonum factum» est pour vous, pour les initiés à
mes articles traitant du marxisme
culturel et de la religion séculière politiquement correcte,
vous pouvez vous abstenir de cliquez sur tous les liens, sauf bien sur pour
approfondir un sujet ou, comme en
cliquant ici pour ceux qui veulent, en
lisant une analyse de Laurent Herblay savoir que pour certains le
Rassemblement National serait une réincarnation du quasi défunt Parti
Communiste osant s’affubler du nom de Français, pour ceux qui ont gardé une
certaine forme d’esprit «iconoclaste» certains liens en particulier des
vidéos sont assez rigolotes. Comme d’habitude tout cela mis en ligne sur un
blog hébergé chez blogspot évidemment «coupable de laxisme» comme dirait le sinetestibus et nodocéphale des Landes pour qui la «tolérance»
doit être pratiquée avec «modération» !
Ce qui n’empêche pas de rigoler
comme disait Boris Vian.
Pour tous ceux qui me traître régulièrement de «raciste», je leur rappelle que la
Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen précise que: «La libre
communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux
de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement
sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi».
Ceci étant dit je leur signale aussi n’avoir jamais et je dis bien jamais
avoir été condamné pour le dit prétendu «racisme» mais uniquement pour à
leurs dires fallacieux une prétendue diffamation contre des «militants»
d’un mouvement marxiste-léniniste qui oh surprise sublime, distille
de la haine des juifs en général ! De plus ses braves gens nous
assènent à longueur de temps que les races n’existent pas, alors ? Quid alors
de ce fameux «racisme» sans races ? D’autant que leurs «potes» :
Niquent ma race ! Alors
oui les races existent !
Les lecteurs avisés et les lucides y comprendront
aisément ce qu’est ce système politiquement correct (Car c’est un vrai système
religieux avec ses lois, dogmes et doctrines comme les églises), l’islamomarxisme
(dit aussi quelquefois Islamo-gauchisme), le marxisme culturel, la rectitude
politique, le marxisme biologique, la religion séculière marxiste, le
multiculturalisme, la novlangue, le choc des civilisations, le marxisme
occidental. Devant vos yeux éblouis
vous allez voir soudain apparaître, oh joie, la vérité sur le passé de l'antiracisme,
un des avatars du marxisme culturel, définit sur le site www.intelligence-humaine.com
comme la négation de la validité biologique de la subdivision de l'homo sapiens
en grandes races. Il peut être intéressant de consulter l’article sur
l'égalitarisme biologique qui traite d’une idéologie (le marxisme
culturel) qui découle de la seconde guerre mondiale, à la suite de laquelle des
groupes politiques se donnèrent pour mission d’invalider la division biologique
de l’espèce homo sapiens en races, qui faisait jusqu’alors l’unanimité. Cette pensée postmoderne et marxiste culturelle,
qui nie l’existence des races humaines mais pas paradoxalement le racisme (si
pas de races pas de racisme non ? C’est comme si pas cucul pas
panpan !), et qui émerge après la seconde guerre mondiale, affecte un
scepticisme radical et un relativisme cognitif extrême, c’est sur ce terreau
propice que va se développer l’antiracisme, définit ici comme la négation de la
validité biologique de la subdivision de l’homo sapiens en grandes races (9
vraisemblablement, 10 en comptant les pygmées).
Le
29 juin 2018 monsieur Guy Rouvrais écrira dans le magazine Présent (Attention à ce très vilain magazine
d’Ultra Droite à ne lire que sous les draps entre minuit et deux avec une lampe
de poche à l’abri de la police de la pensée) au sujet de l’abolition du mot «race» dans la constitution de la
république de Francarabia au Boukaquistan : «Ce sera un grand progrès de la conscience universelle, si le Parlement
réuni en congrès y consent : la fin d’un racisme inlassablement traqué. En
effet, la commission des lois de l’Assemblée nationale, à l’unanimité, a décidé
de purger la Constitution du mot «race» figurant dans son article 1er : «La
France […] assure l’égalité devant la
loi de tous les citoyens sans distinction de race». S’il n’y a plus de race, il n’y aura donc plus de racisme et de
poursuites de ce chef. Ce serait logique ! Eh bien non ! Le rapporteur du
texte, l’illustre Yaël Braun-Pivet (LREM), a assuré que la suppression «n’affaiblirait pas l’arsenal juridique»
de la police de la pensée dans la lutte contre le racisme. Bien que les races
n’existent pas, on pourra donc continuer à être poursuivi pour racisme.
Simplement, le mot «race» dans la Constitution serait remplacé par «origine»,
ce qui recouvre un champ plus vaste et offre donc l’occasion de saisir la
justice plus souvent. (…) Sacha
Houlié, rédacteur LREM de l’amendement, se félicite : «Nous avons obtenu un
large consensus pour toiletter l’article 1er qui correspondait à une
Constitution du XXe siècle». Car les races qui existaient au siècle dernier ont
disparu dans notre merveilleux XXIe siècle ! Au XXe siècle, on enseignait aux
collégiens qu’il existait des races humaines, au nombre de cinq, ayant chacune
des caractéristiques spécifiques, et nul ne voyait dans ces affirmations
quelque racisme que ce soit. C’est aussi l’époque où on savait la différence
entre distinction et discrimination, alors qu’au XXIe siècle on confond les
deux. Si en 1946, la République restaurée a voulu introduire la notion de race,
c’est pour dénoncer le racisme, le nazisme plus précisément (NB : Le
social nationalisme ou nazisme en argot Berlinois était un mouvement dit assez
curieusement raciste (en particulier
contre une ethnie blanche et un peuple, les juifs) et qui comme aujourd’hui le
délicat mouvement marxiste-léniniste le MRAP distillait
de la haine des juifs en général. J’entends déjà les cris d’orfraie des «antiracistes
distingués Mrapistofurieux, licrasseux et autres génies des Alpages» au
sujet de ma traduction du nom allemand Nationalsozialismus, un mot composé
formé de l’adjectif national suivi du nom Sozialismus. (Je
vous recommande ce lien ou vous apprendrez que l'Allemagne nazie a eu la
LTI (Lingua Tertii Imperii); la Russie soviétique, la TFT (toufta); le
communisme et les pays où il a régné, la novlangue toujours d’actualité; les
organisations socialistes ou autres, la langue de bois; la France a aujourd'hui
sa NLF ou Nouvelle
Langue Française, la langue écran ou herse ou camisole de force des bien-pensants
politiquement corrects ou marxistes culturels qui, en nous imposant des mots
frelatés, veulent nous interdire de saisir le réel et de le penser).
Continuions donc avec la langue de Goethe ou l’adjectif
est épithète du nom: il le qualifie en prédiquant la qualité de national au
socialisme que le nom désigne. En français, l’ordre dans lequel les adjectifs
et les noms se suivent est différent de celui qui prévaut en allemand. En
allemand, l’adjectif se place avant le nom ; en français, il se place après. Le
mot Nationalsozialismus aurait dû être traduit en bon français par socialisme
national ou social nationalisme. Il n’a été que transposé en
national-socialisme. De fait, le sens a été déformé. En effet, dans la doctrine
du NSDAP, ce n’est pas le nationalisme qui est social, mais c’est le socialisme
qui est national.
On
sait aujourd'hui qu'Hitler était simplement un socialiste hétérodoxe. Il
considérait que l’erreur de ses prédécesseurs socialistes était d’ordre
tactique, pas philosophique. Il y a un abîme entre les deux formulations. Dans
les mots français national-socialisme, la réalité du socialisme national est en
partie occultée. En allemand, le Nationalsozialismus est un socialisme, alors
qu’en français, c’est un nationalisme. La manipulation habituelle au marxisme
culturel consiste à gommer la réalité de cette idéologie sous une dénomination hybride
ou chimérique). Le préambule de la
loi fondamentale l’affirme expressément : «Au lendemain de la victoire
remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de
dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout
être humain, sans distinction de race… » Le XXe siècle, c’était aussi cela…
(Un exemple de magnifique et grand militantisme
«antiraciste» est particulièrement bien représenté par un certain
Christian Delarue (Monsieur
Delarue fonctionnaire des Finances, invente des mots nouveaux ( partie de la
Novlangue marxiste culturelle) j’apprécie notamment en Nouvelle
Langue Française la: Question «textile» à propos de l'hypertextile
(voile et jupe longue, pour ne pas parler des musulmanes) et de
l'hypotextile (string seins nus) (pour ne pas parler des blanches
occidentales).
Soyons
gentil avec monsieur Delarue qui écrit dans Le Grand Soir et nous promet
des lendemains qui chantent «fait moi du couscous chérie» et qui vient
nous dire que la critique de l’hypertextile ou plus simplement celle du port du
voile islamique (là il nous vend la mèche) n’est pas raciste en soi (Ouf on a
eu peur). Je critique fermement – et je ne fais pas que critiquer – le voile
imposé par les intégristes musulmans et je ne suis pas pour autant islamophobe.
(Ah que si ! Monsieur Delarue, ce cher grand leader bien aimé du MRAP qui
distille de la haine des juifs et fondateur avec le susdit du délicat mouvement
marxiste stalinien ATTAC est un Islamophobe distingué. Vous en voulez une
preuve :
Le
31 aout 2016 monsieur Delarue écrit : «J’ai lancé une pétition
contre les signes ostensibles de religion»
Le Premier Septembre Dav répond en
commentaire : «Cette «ostensibilité» n’a aucun fondement rationnel,
c’est uniquement dans l’esprit du raciste que résident les psychoses. C’est lui
qui doit être guéri. Chez d’autres personnes, si vous regardez autour de vous,
ce n’est pas le cas, car on considère que les gens sont libres, de marcher sur
les mains s’ils veulent. Et si pour nous marcher sur les mains est menaçant,
c’est qu’on a un problème. On ne va pas interdire les gens de marcher sur les
mains. (…) M. Delarue et sa fixation éternelle (désolé mais vos 3
derniers articles sur ce site traite de ce sujet)...je ne sais pas qui vous a
traité d’islamophobe, pour ma part je dirais plutôt que vous menez un combat
qui à l’air de confiner à l’obsession pour un sujet qui n’intéresse guère en
réalité malgré les fausses polémiques constantes dans nos médias
14
signataires pour votre pétition après 2 mois… ça ne déchaîne pas les foules... »).
Ce bien cher monsieur Delarue est marxiste et
communiste de ce fait et il est bien sûr normal de lui faire savoir que ma
pensée rejoint celle de Jean-François Revel qui dans son livre paru en 2000,
La grande parade – Essai sur la survie de
l’utopie socialiste, aux éditions Plon, écrit page 87 : «Aucune des justifications avancées depuis 1917 en faveur du communisme
réel n’a résisté à l’expérience ; aucun des objectifs qu’il se targuait d’atteindre
n’a été atteint : ni la liberté, ni la prospérité, ni l’égalité, ni la
paix. Si bien qu’il a disparu, sous le poids de ses propres vices plus que sous
les coups de ses adversaires. Et pourtant, il n’a peut-être jamais été aussi
farouchement protégé par autant de censeurs aussi dénués de scrupules que
depuis son naufrage». Il est évident que le communisme
réel et le marxisme furent des échecs perpétuels. Lénine l’avait compris dès
1917, c’est pour ça qu’il créa le marxisme culturel qui tout autant marxiste
aujourd’hui a pris le nom de politiquement correct, de rectitude
politique et de bien
d’autres noms à découvrir ici.
Jean-François
Revel page 94 de La grande parade – Essai sur la survie de
l’utopie socialiste, enfonce le clou en disant : «l’argument selon lequel le communisme
serait démocratique parce qu’il a contribué à la lutte antifasciste n’est pas
plus recevable que celui qui consisterait à dire que le nazisme fut
démocratique parce qu’il a participé à la lutte contre le stalinisme». D’autant
qu’Hitler était tout autant socialiste que ses «amis» marxistes ! Hitler a pu dénoncer publiquement le marxisme, du fait
de sa guerre contre l’URSS, mais en privé il a toujours affirmé être
sincèrement de gauche. À Otto Wagener, il affirma que le problème avec les
politiciens de la République de Weimar était qu’ils «n’avaient même pas lu Marx». Il considérait que le problème des
communistes allemands était qu’ils ne comprenaient pas la différence entre
principes et tactiques. Il les considérait comme des simples pamphlétaires là où
il considérait qu’il avait «mis en
pratique ce que ces colporteurs et gratte-papiers avaient à peine esquissé». Il
affirmait franchement que «tout le
Social-Nationalisme» était fondé sur Marx.
Monsieur Revel page 108 du même
ouvrage s’interroge : «Être
assassiné par Pol Pot est-il moins grave que d’être assassiné par Hitler ?
Il n’y a pas lieu d’établir de distinction entre les victimes des
totalitarismes "noir" ou "rouge". Le totalitarisme nazi n’a
pas fait mystère de ses intentions : il entendait éliminer la démocratie,
régner par la force et développer tout un système de persécutions raciales. On
nous dit que les communistes avaient un idéal. Je suis presqu’enclin à trouver
cela encore pire. Parce que cela signifie que l’on a délibérément trompé des
millions d’hommes. Parce que l’on a ajouté ainsi aux crimes le mensonge le plus
abject».
Il est curieux que monsieur Delarue feint d’ignorer (mensonge habituel marxiste par
omission) que le MRAP soit un mouvement raciste et du pire, puisque celui-ci «Distille
de la haine des juifs en général», de plus, fonctionnaire des impôts à
Rennes, monsieur Delarue ne semble pas faire l’unanimité au sein des indigènes puisque
que sur breizatao.com il fait l'objet de ce commentaire: Nous dénoncions
l’agitateur Delarue depuis un moment et nous avons là la preuve, s’il en était
besoin, que les agitateurs de la gauche coloniale française roulent toujours
pour l’impérialisme et que leur rôle objectif est celui de kapo du système
républicain chez nous. Delarue est l’exemple type du colon arrogant. Son
militantisme «antiraciste» à géométrie variable témoigne parfaitement de
l’agenda réel des organisations social-chauvines françaises à l’égard de la
nation bretonne : domination, acculturation, colonisation y compris en
utilisant l’immigration de peuplement extra-européenne, si cela peut affaiblir
la cohésion ethnique et social d’un peuple à détruire. Comme c’est bien
dit !
Revenons à la subdivision de l'homo sapiens en
grandes races. Chose pour laquelle je me bats depuis longtemps affirmant
ici: Les RACES existent ! Une de mes lectrices attentives m’a signalé ce
site traitant des greffes de moelle osseuse compatibles qu'entre RACES ! Un
article de 2011, très intéressant dans La
dépêche du Midi a de plus attiré mon attention, madame Chantal Valay
présidente d’honneur de l’ADOT
47 créatrice de l’Associations
pour le Don d'Organes et de Tissus humains 47, à la suite du malheureux décès (leucémie) de
Maxence Valay (8 ans) sa fille, déclarera :«Il faut savoir que les
greffes de moelle osseuse ne sont compatibles qu'entre RACES, (…) Un Européen ne peut donner à un Africain, et un
Africain à un Asiatique pour la simple et bonne raison que NOUS SOMMES DIFFERENTS (…) Ceci explique
pourquoi il est important de faire acte de candidature en tant qu'Européen». CQFD.
C’est à travers quelques exemples de personnages
publics ou du moins de personnes s’exprimant sur la toile que j’ai voulu
illustrer mon propos pour bien faire comprendre à mes compatriotes que la rectitude politique,
le politiquement
correct, en deux mots comme en cent le marxisme
culturel dont les avatars se nomment entre autres, tolérance, humanisme,
progressisme et antiracisme, emploient des mots déviés de leur sens.
Par exemple madame Annie
Kriegel, spécialiste confirmée du communisme, avait remarqué que l’adverbe «objectivement»
employé naguère par les non communistes uniquement par dérision, figure dans
des éditoriaux et des analyses non communistes. Objectivement ; un adverbe
à tel point dialectique qu'on peut lui faire dire le contraire de son sens
apparent. Dans le langage commun, il signifie une évidence constatée, un
jugement appuyé sur des données non subjectives : faits, dates, informations,
etc. Dans le langage communiste, «objectivement» en est arrivé — à
l'époque des procès de Moscou (1936-38) ou de ceux des démocraties «populaires»,
à signifier quelque chose comme «inconsciemment» ou «malgré lui».
En effet, quand aucun fait, aucune preuve de trahison ou de désaccord ne
pouvait être relevé contre l'accusé, on le taxait d'avoir «objectivement donné
des gages à l'ennemi» ; il devenait «objectivement nuisible». C'est-à-dire,
dans ce contexte : sans l'avoir voulu ou même sans l'avoir su, donc sans
mauvaise intention. Des Soviétiques, en 1956, après le XXe Congrès, quand nous
les interrogions sur leur réaction à l'arrestation d'amis intimes et qu'ils ne
pouvaient donc croire capables de trahir leur cause, répondaient : «Nous
pensions qu'au cours de tel voyage à l'étranger, de telle rencontre avec des
Occidentaux, il avait pu, par des critiques ou des informations imprudentes,
«donner des armes à l'ennemi» (autre locution cliché). Est donc ennemi «objectif»
l'opposant qui paraît dangereux. Comme les Chinois ?
J’ai choisi pour illustrer mon propos quelques
excellents «antiracistes» caractéristiques
du politiquement correct français. Vous verrez aussi comment «objectivement»
ces gens-là me considèrent. J’aurai
peut intituler ce premier chapitre «Vol au dessus d’un nid de cocos» mais
non, allons y pour «merci monsieur Delarue» ça va faire «causer» !
Essai
d’ethnologie politique en forme de bonum factum.
Par Michel Alain Labet de Bornay
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