jeudi 18 avril 2019

La Babylone de la Gaulle.






La découverte dans le diocèse d'Avignon par l'abbé Trichaud, aumônier des dominicaines de Mazan en 1847 de plusieurs sacs de papiers provenant de la bibliothèque de Mgr Du Lau, mort martyr pendant la révolution, amène la trouvaille d’un gros cahier sur lequel on reconnaît l'écriture de cet évêque, avec le titre, en latin: «La grande prédiction de saint Césaire, archevêque d'Arles»... Voir ici.
Cette découverte est rapportée dans le livre Voix prophétiques de l'abbé Curcique, tome II, p. 551.
Le texte de cette «prédiction» date au moins de 1789. Mais l'abbé Trichaud, historien, repère des références à des coutumes locales dans le texte qui l'amènent à valider l'attribution de la prophétie à saint Cézaire (VIe siècle).
On peut y lire : «Le fer et le feu enserrent la Babylone de la Gaule, (Paris) qui tombe dans un grand incendie, noyée dans le sang».

Mélanie Calvat (Françoise Mélanie Mathieu à l'état civil et au registre de baptêmes) nait à Corps dans l'Isère. La pauvreté de la famille est telle que les jeunes enfants sont parfois envoyés dans la rue pour y mendier. Très tôt, Mélanie est embauchée pour s'occuper des vaches des voisins. Du printemps à l'automne de 1846, elle travaille comme bergère pour Jean-Baptiste Pra aux Ablandins, l'un des hameaux du village de La Salette. Elle ne parle que le dialecte régional sorte d'occitan haché de mauvais français. N'ayant pas fréquenté l'école, ni reçu d'instruction religieuse, elle ne sait ni lire ni écrire. Mélanie raconta avoir été témoin, avec le jeune Maximin Giraud, le 19 septembre 1846, de l'apparition de la Sainte Vierge Marie à La Salette en Isère. Prophétisera pour Paris au début du XXIème siècle: «des désordres inexprimables, une fumée asphyxiante».

On trouve aussi dans les prophéties du Père Jérome Bottin religieux de Saint Germain des Près (1420): «Au nom du seigneur qui a créé toute choses, voici les paroles que l’esprit a dicté à Jérome, serviteur du Seigneur, écrites au monastère de Saint-Germain des Prés à Paris, l’an 1410 de la conception, le Souverain Pontife Jean XXIII gouvernant l’église de Dieu, sous le règne de Charles VI (…) que celui qui n’a point fléchis le genoux devant Baal (faux Dieu de l’ancien testament) fuie du milieu de Babylone (Bottin parle ici de Paris), a dit l’esprit. Que chacun ne pense qu’à sauver sa vie, car voici le temps ou le Seigneur doit, par la grandeur de ses vengeances, montrer la grandeur des crimes dont elle est souillée; il va faire retomber sur elle les maux dont elle a accablée les autres. Le Seigneur a présenté par la main de cette ville impie, dévastatrice de ses temples, meurtrière de ses prêtres, de ses rois et de ses propres enfants, le calice de ses vengeances à tous les peuples de la terre. Toutes les nations ont bu du vin de sa fureur ; elles ont souffert toutes les agitations de la cupidité et de la barbarie ; mais en un moment Babylone est tombée et elle s’est brisée dans sa chute, a dit l’Esprit. Tout ceci arrivera pour épurer les bons et perdre les méchants, faire honorer l’église de Dieu, faire craindre et servir le Seigneur. Tels sont les paroles que l’Esprit a manifesté à son serviteur Jérôme, qu’il a écrite d’après ses ordres, et dont la vérité sera reconnue dans le temps. Amen ».
 
Gustave-François-Xavier de La Croix de Ravignan, dit Xavier de Ravignan, né le 1er décembre 1795 à Bayonne et mort le 26 février 1858 à Paris prophétisera lui aussi : «La France va être précipitée de sa grandeur et foulée aux pieds. La société, semblable à un vaisseau, sera battue par les flots courroucés des mauvaises doctrines, les fougueuses passions, les farouches instincts se déchaîneront contre elle (…) et  malheur aux riches, c'est un vaste complot contre la propriété qui voudra nous envelopper comme un réseau! De grands crimes seront commis et d'affreux malheurs répandront la désolation parmi les peuples de la Terre».
Marie-Julie Jahenny était une paysanne illettrée et une mystique catholique française des XIXe siècle et XXe siècle, née à Blain le 12 février 1850, et morte le 4 mars 1941 à La Fraudais, hameau de cette ville. Dans cette extase datée du 15 juin 1882, Marie-Julie mentionne les «temples incendiés» lors de la grande guerre civile française: «Mes enfants, aujourd’hui si peu d’âmes me demandent mon amour, si peu de cœurs me servent fidèlement. (…) je ferai nommer le véritable consolateur de mon peuple et de l’Eglise : celui qui reconstruira mes temples incendiés sous la violence d’une grande guerre civile, bien qu’elle ne sera pas longue. Je ne peux, dit-il, dit-il, nommer autrement que guerre civile cette guerre à laquelle la France sera livrée… Il se lèvera soudain sur la France de grands fléaux et des calamités que rien ne pourra ni arrêter ni amoindrir. Passeront, sur la France, une mortalité innombrable que jamais le monde n’aura vue et des maladies qui seront inconnues. C’est surtout au Centre (Paris) que cette mortalité lancera son fléau.

En Janvier 1880 Marie-Julie dira: «L’étranger entrera en France avec toute son armée. Il y fera une longueur d’espace mesurée par moi. Je les arrêterai et, dans cet arrêt, je susciterai le Sauveur du reste de mes enfants. Il traversera l’Est et semblera sortir du fond du Nord. (…) Les châtiments commenceront par Paris. Châtiments pour les villes du midi. Quelle boucherie! Dans la France il sera versé plus de sang qu’à Rome. Ce ne sera pas long».
En 1760, le Père Nectou prêtre Jésuite, annonçait le début des guerres civiles: «On sera près de cette catastrophe lorsque l’Angleterre commencera à s’ébranler (Le Brexit ?). On le saura à ce signe, comme on sait l’approche de l’été quand le figuier commence à bourgeonner. L’Angleterre à son tour éprouvera une révolution plus terrible que la révolution française, et elle durera assez longtemps pour que la France ait le temps de se rasseoir. Ce sera la France qui aidera l’Angleterre au rétablissement de la paix» (…)  «Durant ce bouleversement épouvantable qui, parait-il, sera général, et non pour la France seulement, Paris sera entièrement détruit, non sans qu’il y paraisse des signes qui mettront les bons à même de s’enfuir; et sa destruction sera si complète, que vingt ans après, les pères se promenant avec leurs enfants sur les ruines et répondant à leurs enfants leur diront : il y avait là une grande ville mais à cause de ses crimes, Dieu l’a détruite».
Conservons nos yeux grands ouverts car nous nous trouvons dans le tout début des maux annoncés. Pour les hommes de foi, travaillez SVP à notre salut par la prière et l’action, tout en laissant le monde accomplir sa destinée.

Il est une autre prophétie exprimée par le pape Jean Paul II au mois de mars 1993, à l’Ermitage Santi Pietro e Paolo de Bienno, dans le Val Camonica.
Monseigneur Mauro Longhi, du presbytère de la Prélature de l’Opus Dei, fut le témoin direct du récit de cette vision, du Pape Jean Paul II qui ne fut jamais portée à la connaissance du public avant le 22 octobre 2017. «Je vois l’Église du troisième millénaire affligée d’une plaie mortelle, qui, comparée à celles de ce millénaire (le communisme et le nazisme) sera plus profonde, plus douloureuse: elle se nomme «islamisme». Ils envahiront l’Europe. J’ai vu les hordes surgir de l’Orient à l’Occident, du Maroc à la Libye, de différents pays orientaux à l’Égypte».
Mais il est un drame affreux que nos chers merdiatocrasseux et autres journalopes merdiatocrasseuses, c’est qu’il y a des «Français» de très fraiche date, la plupart aux noms de mahométans et tantes qui rigolent bien…Ils sont associés aux marxistes culturels qui nous gouvernent ! Madame Anne Schubert en fera un bel article sur riposte laïque.

Elle nous signalera le tweet qu’Hafsa Askar (un nom bien

Le président et le premier ministre se marrent comme des bossus à notre Dame

de chez nous), la vice-présidente de l’Unef Lille, a posté à 19:59, une heure seulement après le début de l’incendie : «Je m’en fiche de Notre Dame de Paris car je m’en fiche de l’histoire de France je sais pas quoi». Trois minutes plus tard, celle-ci poursuivait ses invectives, toujours plus violentes: «Jusqu’où les gens vont pleurer pour des bouts de bois? [...] Vous aimez trop l’identité française alors qu’objectivement c’est votre délire de petits blancs» (Petits BLANCS ? Vous me voyez écrire ce qu’à Dieu ne plaise, "saloperie de bicotte ? Melonne de merde ou même sale ratonne" ? Non n’est-ce pas ! J’en serais tout à fait incapable et je m’offusquerais d’un racisme inacceptable et de bien mauvais aloi). Et alors on continue avec les islamomarxistes de France car une demi-heure après, le membre du bureau national Édouard Le Bert (un marxiste culturel de la plus belle eau) y est allé de sa saillie moqueuse: «Ça y est drame national, une charpente de cathédrale brûle».
 

Vous en voulez encore ?


Les islamomarxistes se déchainent!
Sur les réseaux sociaux, l’anti-France comme le dit si bien madame Schubert ( personnellement j’y préfère le nom d’islamomarxisme dont vous pourrez avoir l'explication du terme en cliquant ici) se réjouit publiquement de la destruction de Notre-Dame
La racaille islamomarxiste éructe : «La cathédrale brûle parce que vous vous êtes moqué de La Mecque. Allah u Akbar y’a une justice. Une mosquée à la place !»

La joie des gays beurs à Notre Dame qui brûle.


Madame Anne Schubert viens nous parler de Billel Berrahma (un nom à coucher dehors avec un billet de logement), le plus cérébral de tous, a tweeté :
A croire que je vais pleurer. Je m’en fou (sans t) à un point. Quel (bravo) s’effondre ça fera de la place pour les mosquée (sans s). Pleurer (sans z) c’est (ce sont, Billel) vos impôts qui vont payer la rénovation.
Le tweet est suivi de multiples smileys et autres. Les prénoms ? Vous les voulez vraiment ? Béchir, Moh, Bouzidi, Ali, Saïd, plusieurs Yamila et Jacine également, car chez ces gens, les femmes n’hésitent pas à hurler leur haine des Français de souche, des chrétiens et plus grave des BLANCS.

Racistes or not racistes ?


Je laisse madame Anne Schubert conclure : Sans oublier bien sur leur antisémitisme exacerbé d’islamomarxistes comme Ali, lui aussi un fou de grammaire : «Dommage yavais pas des juif à l’intérieur on auré pu faire un bon cout».
Et ce sont des centaines et des milliers de commentaires de ce genre qui défilent. Vous faut-il vraiment encore une preuve que le vivre-ensemble est un échec ? (Remarque tout à fait personnelle : ces milliers de tweets ne seraient pas, par hasard, des appels à la haine, passibles de lourdes peines ? Je me trompe ?) J’imagine déjà les mines outrées des Macron, Castaner et Cie : «mais enfin, ce sont des Français comme vouzémoi!». (Ouais surtout vous).

Michel Alain Labet de Bornay.

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