Mathieu Bock-Coté, sociologue québécois est l’auteur de
"L'Empire du politiquement
correct" (Ed. du Cerf), qui dénonce la «bien-pensance» médiatique qui contribue au dérèglement
démocratique. Le multiculturalisme serait l’alpha et l’oméga de la
démocratie, le seul visage possible de la modernité. Mais comment en
sommes-nous arrivés là ? Comment des intellectuels ont imposé à la France et
aux nations occidentales la notion d’«identités
particulières», et comment lui ont-ils retiré celle d’«identité commune» ? Qu’est-ce qui se cache derrière le culte de la
diversité ?
Pour Mathieu Bock-Côté, mai 1968 marque le début d’une
révolution inventée par une gauche métamorphosée. Constatant l’effondrement du
marxisme, elle a inventé l’égalitarisme identitaire. Critique de l’Occident,
déconstruction des traditions, invention de l’antiracisme, telles ont été les
étapes d’un redoutable projet : la confiscation de la démocratie par une
minorité.
S’inspirant des œuvres des plus grands penseurs de la
modernité, de Tocqueville à Muray, en passant par Marcel Gauchet, Raymond Aron
ou encore Jean-Pierre Le Goff, revenant sur cinquante ans de vie
intellectuelle, de la faillite du communisme à la création de la
contre-culture, en passant par l’avènement du droit de droit-de-l’hommisme et de
l’idéologie antidiscriminatoire, Mathieu Bock-Côté propose le décryptage lucide
et sévère d’un autoritarisme qui ne dit pas son nom.
Sociologue (Ph. D), chroniqueur, figure de la vie
intellectuelle québécoise, Mathieu Bock-Côté collabore au Débat, à Commentaire
et au Figaro. Il est l’auteur de plusieurs livres, notamment Exercices
politiques (2013), Fin de cycle (2012) et La dénationalisation tranquille
(2007).
«On
commencera avec Le multiculturalisme comme religion politique, véritable
bréviaire pour tout conservateur qui souhaiterait comprendre pourquoi il doit
raser les murs quand les « progressistes » (vous savez, ceux qui défendent
pêle-mêle et de manière totalement inconditionnelle les droits des musulmans,
des Noirs, des Roms, des lesbiennes, des gays, des trans, le droit à l’enfant
et à l’euthanasie, la parité, l’identité de genre et j’en passe, ceux qui
trouvent qu’il faut virer les mâles blancs du pouvoir, de l’entreprise, des
médias, etc.) les plus imbéciles ont droit de cité partout et à longueur de
temps. Une véritable généalogie du masochisme occidental, une histoire de
l’omni-tolérance suicidaire et du triomphe des minorités comme résurgences d’un
prolétariat dont l’embourgeoisement lui a fait oublier la révolution. Un
travail abondamment référencé – marque d’une rigueur universitaire très
anglo-saxonne –, indemne d’approximation, solide, éclairant, une vision
distanciée d’un Occident européen avide de sa propre perte, désireux jusqu’à
l’orgasme de disparaître dans la mélasse multiculturelle, dilué dans la masse
de nouveaux gènes conquérants et hostiles à la blancheur, en rémission de ses
péchés millénaires».
Monsieur Bock-Côté n’est pas un journaliste, il ne s’autorise pas la médiocrité du prêt-à-penser.
Le débat public est aujourd'hui menacé par une certaine frange de la gauche qui diabolise l'idée de l'appartenance à une nation ou à une culture, selon lui. «Les défenseurs d'une certaine tradition sont évincés parce que considérés racistes et xénophobes, alors qu'ils ne sont aucunement haineux comme l'ont été les vrais racistes dans l'Histoire», dénonce-t-il. Pour ceux qui n’en seraient pas convaincu, il suffit par exemple de lire L’Obs du 14 avril. Page 5, l’éditorial de Natacha Tatu, intitulé Plaie Vive, nous explique une fois de plus qu’il est temps que la France «reconnaisse sa responsabilité» dans le génocide des Tutsis au Rwanda (et donc, sans doute, s’excuse aux yeux du monde, organise des commémorations, produise des lois mémorielles et offre quelques millions de dollars d’indemnisation ; puis se retire de sa zone d’influence pour y laisser s’installer les Américains qui, eux, sont vierges de tout crime supposé, comme le génocide des Indiens, Hiroshima, la ségrégation des Noirs ou les guerres de Bush-Cheney). Responsabilité, oui, pour avoir été le seul pays à accepter d’intervenir sous mandat ONU quand tous les autres s’en foutaient et pour avoir grandement limité la casse. Du reste, comme toujours lorsque l’on juge avec 25 ans de recul une tragédie de cette ampleur, les interprétations diffèrent largement. Et la perfection n’est pas de ce monde, surtout pas quand on est un militaire blanc au milieu de hordes d’hommes devenus bêtes sauvages, avides du sang des autres. Encore un peu et l’on viendra nous expliquer que les Français ont commis le génocide eux-mêmes. Les intellectuels de salon jugent et condamnent, les fesses sur leur canapé : quel courage ! Une écœurante résonance de ce France-bashing est à voir actuellement, dans plusieurs langues, sur France 24, la vitrine de notre pays à l’étranger (signalons au passage que les présentateurs de cette chaîne sont à une écrasante et indécente majorité des femmes : choix idéologique ? Qui s’en offusque, puisqu’il est politiquement correct), sous la forme d’un documentaire dont il n’est même pas besoin de vous livrer ici les conclusions… Dans de nombreux pays, l’à-plat-ventrisme de la France étonne et parfois même consterne. Nos «amis» américains ne nous appellent-ils pas affectueusement surrender monkeys (singes capitulards) ? Sortira-t-on un jour de cette spirale décliniste infernale ? Il est permis d’en douter. Le 25 mars dernier, une représentation des Suppliantes d’Eschyle, à la Sorbonne, a été empêchée par des activistes de la Ligue de Défense noire africaine, au motif de «racialisme». En effet, l’utilisation de maquillage noir par le metteur en scène Philippe Brunet a été perçue comme une allusion à certaines pratiques festives, visant à ridiculiser les Noirs dans certains États du sud des États-Unis. Au nom de «l’appropriation culturelle» – encore une connerie triomphalement importée des États-Unis –, seuls les Noirs ont le droit de parler des Noirs, et de s’en moquer le cas échéant, les Juifs des Juifs, etc. On ne dira pas bien sûr qu’en revanche tout le monde peut cracher sur les Blancs. Au nom du politiquement correct, il est donc permis de se demander si, demain, nous aurons encore le droit de cirer nos chaussures…»
Monsieur Bock-Côté n’est pas un journaliste, il ne s’autorise pas la médiocrité du prêt-à-penser.
Le débat public est aujourd'hui menacé par une certaine frange de la gauche qui diabolise l'idée de l'appartenance à une nation ou à une culture, selon lui. «Les défenseurs d'une certaine tradition sont évincés parce que considérés racistes et xénophobes, alors qu'ils ne sont aucunement haineux comme l'ont été les vrais racistes dans l'Histoire», dénonce-t-il. Pour ceux qui n’en seraient pas convaincu, il suffit par exemple de lire L’Obs du 14 avril. Page 5, l’éditorial de Natacha Tatu, intitulé Plaie Vive, nous explique une fois de plus qu’il est temps que la France «reconnaisse sa responsabilité» dans le génocide des Tutsis au Rwanda (et donc, sans doute, s’excuse aux yeux du monde, organise des commémorations, produise des lois mémorielles et offre quelques millions de dollars d’indemnisation ; puis se retire de sa zone d’influence pour y laisser s’installer les Américains qui, eux, sont vierges de tout crime supposé, comme le génocide des Indiens, Hiroshima, la ségrégation des Noirs ou les guerres de Bush-Cheney). Responsabilité, oui, pour avoir été le seul pays à accepter d’intervenir sous mandat ONU quand tous les autres s’en foutaient et pour avoir grandement limité la casse. Du reste, comme toujours lorsque l’on juge avec 25 ans de recul une tragédie de cette ampleur, les interprétations diffèrent largement. Et la perfection n’est pas de ce monde, surtout pas quand on est un militaire blanc au milieu de hordes d’hommes devenus bêtes sauvages, avides du sang des autres. Encore un peu et l’on viendra nous expliquer que les Français ont commis le génocide eux-mêmes. Les intellectuels de salon jugent et condamnent, les fesses sur leur canapé : quel courage ! Une écœurante résonance de ce France-bashing est à voir actuellement, dans plusieurs langues, sur France 24, la vitrine de notre pays à l’étranger (signalons au passage que les présentateurs de cette chaîne sont à une écrasante et indécente majorité des femmes : choix idéologique ? Qui s’en offusque, puisqu’il est politiquement correct), sous la forme d’un documentaire dont il n’est même pas besoin de vous livrer ici les conclusions… Dans de nombreux pays, l’à-plat-ventrisme de la France étonne et parfois même consterne. Nos «amis» américains ne nous appellent-ils pas affectueusement surrender monkeys (singes capitulards) ? Sortira-t-on un jour de cette spirale décliniste infernale ? Il est permis d’en douter. Le 25 mars dernier, une représentation des Suppliantes d’Eschyle, à la Sorbonne, a été empêchée par des activistes de la Ligue de Défense noire africaine, au motif de «racialisme». En effet, l’utilisation de maquillage noir par le metteur en scène Philippe Brunet a été perçue comme une allusion à certaines pratiques festives, visant à ridiculiser les Noirs dans certains États du sud des États-Unis. Au nom de «l’appropriation culturelle» – encore une connerie triomphalement importée des États-Unis –, seuls les Noirs ont le droit de parler des Noirs, et de s’en moquer le cas échéant, les Juifs des Juifs, etc. On ne dira pas bien sûr qu’en revanche tout le monde peut cracher sur les Blancs. Au nom du politiquement correct, il est donc permis de se demander si, demain, nous aurons encore le droit de cirer nos chaussures…»
Revenons à monsieur Bock-Côté.
Le débat public est aujourd'hui menacé par une certaine
frange de la gauche qui diabolise l'idée de l'appartenance à une nation ou à une
culture, selon lui. «Les défenseurs d'une
certaine tradition sont évincés parce que considérés racistes et xénophobes,
alors qu'ils ne sont aucunement haineux comme l'ont été les vrais racistes dans
l'Histoire», dénonce-t-il.
Selon moi et plusieurs autres dont
le Club Danton, Patrice-Hans Perrier sur Soverain.fr
et à Rome madame le docteur Anca-maria-Cernea
de l’Association des médecins catholiques de Bucarest, le populisme, la bien
pensance, le politiquement correct, la rectitude politique, la société
bobo-féministo-diversitaire, le systême, le prêt-à-penser, la mélasse
multiculturelle, l’égalitarisme identitaire, la contre-culture, la classe, le
freudo-marxisme, le marxisme Occidental ou même le néo-marxisme ne sont que du
marxisme culturel.
Seulement personne n’ose le dire depuis que les
marxistes culturels ont crus trouver la parade en déclarant l’expression comme
d’extrême droite et faisant partie d’une soi-disant théorie du complot et
aujourd’hui le disant antisémite.
Pour les amateurs de plaisanterie, Wikipedia.org (en
Français) en donne la définition la plus récente suivante : «Dans son usage contemporain, la notion de
marxisme culturel décrit une théorie du complot répandue dans les milieux
conservateurs et d'extrême-droite d'après laquelle l'École de Francfort et la
pensée politique de gauche sont à la base d'un complot qui vise à «détruire la
culture occidentale». D'après les protagonistes de la théorie, le
multiculturalisme et le politiquement correct sont le produit de la théorie
critique et visent à détruire la société occidentale. La notion est employée
par des figures du conservatisme américain, tels que William S. Lind, Pat
Buchanan, Paul Weyrich et le think-tank américain conservateur Free Congress
Foundation. Pour
Jérôme Jamin, philosophe et professeur en sciences politiques, « Avec la
dimension globale de la théorie du complot du marxisme culturel, nous avons
assisté à l'apparition d'une autre dimension : celle qui permet à certains
d'éviter le discours raciste classique et de prétendre qu'ils sont des
défenseurs de la démocratie». (Monsieur Jamin est ce que
j’appelle un marxiste culturel caricatural, il est issu du fameux «systême», licencié en Philosophie,
maître en Relations internationales et politique européenne et Docteur en
science politique, et chargé de cours au département de science politique de la
Faculté de Droit de l’Université de Liège. Ses recherches portent sur la
dynamique démocratique en Europe et aux Etats-Unis, le populisme (salaud de
peuple), le nationalisme et l’extrême droite, les relations ethniques et la
diversité culturelle. Les marxistes
culturels d’aujourd’hui nettement conscient de la chose ont crus trouver la
parade en disant : Le marxisme culturel est une théorie du complot, c’est m’sieur Jérôme Jamin le prof belge stalinien
de l’Université de Liège en Belgique et susdit qui utilise ses fonctions afin
de conduire des activités antinationales (Oui, vous avez bien lu
antinationales !). Michel Colluci dit Coluche notre grand philosophe
Français disait : «Savez-vous maintenant que les Français ils
nous prennent pour des imbéciles ? Ah, puis au début, ça est un peu ! Puis
après ça est un gros peu, hein ! Hé, moi, je le sais bien, parce que je suis
allé à Calais. Pendant le wikende. C'est parce que ma femme avait gagné des
skis nautiques, et puis par chez nous, c'est tout plat, y a pas de lacs en
pente, hein !». Monsieur Jamin est donc jusqu’à preuve du contraire un vrai
métèque, un étranger (qui parle pas l’étranger mais pas français tout de
même) Coluche disait aussi : «Ce serait raciste de penser que les
étrangers n'ont pas le droit d'être cons». Vous allez me : «oui mais
certains suisses aussi parlent Français», d’accord Coluche y avait pensé en
disant : «Les Belges et les Suisses, c'est les deux seuls qui ont pas
compris qu'en fait c'était la même chose. C'est à cause de la distance, là-bas,
ils se disent, c'est sûrement pas pareil, mais ils se gourent... Non parce que
un vrai con en Suisse, c'est un Belge, mais dans l'ensemble ça valait pas le
coup de faire deux pays rien que pour ça, hein, ils auraient pu se
démerder... et aussi : «J'ai eu des plaintes des Suisses:
"Monsieur, vous faîtes toute une publicité aux Belges, tout ça. Alors que
nous on a les Suisses-Allemands, ils sont largement aussi cons!».) Naturellement les gauchistes
internationaux décrivent le marxisme culturel lui-même comme une «théorie du
complot», dans le but de délégitimer leurs critiques. Également connu sous le nom
de «gauche régressive» - un jeu de mot sur leur nature contradictoire, en
particulier sur la manière dont les gauchistes et autres marxistes culturels se
décrivent comme «progressistes» tout en affichant de fortes tendances
autoritaires et «régressives».
Pourtant
il y a quelques années Wikipédia donnait une tout autre version de l’expression
«marxisme culturel». Celle-ci une définition fort succincte abolissant le rôle de Lénine, Lukacs et Münzenberg
et plus tard de Gramsci n’était pas écrite par des marxistes : «Le marxisme culturel est une forme de
marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le théâtre, le cinéma et les
institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes
de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par l'école de Francfort et Herbert
Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident.
Il s'agit d'un moyen culturel et non-révolutionnaire pour revendiquer
l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu».
Sur Conservapedia (En anglais)
la définition américaine est elle aussi assez succincte mais déjà plus
réaliste : «Le marxisme
culturel est une branche de l'idéologie marxiste formulée par l'école de
Francfort, qui a ses origines au début du XXe siècle. (Par contre eux aussi
sont contaminés par la fameuse «théorie du
complot» absurdité qui
oblige certains comme le sociologue Jean-Pierre Le Goff en 2013, à qualifier le
marxisme culturel de gauchisme culturel. Toutes les sources évoquées que j'ai pris le temps de lire et d'étudier
dans le détail ne prouvent en aucun cas que le marxisme culturel serait une «théorie du complot» répandue «dans les milieux conservateurs et
d'extrême-droite», mais elles prouvent seulement que des partisans de la
théorie marxiste accusent les observateurs du marxisme culturel de prôner une
théorie du complot. Sans en apporter la moindre preuve. L'erreur sémantique,
syntaxique et logique qui est commise sur la plupart des pages du web consacrées
au sujet, est ainsi de même nature que si un article alléguait que la terre est
plate au motif que des sources qui émaneraient toutes de partisans «platistes» allégueraient que la terre
est plate). Le marxisme culturel est
devenu un thème central pour de nombreux sites Web de théoriciens du complot
qui cherchent à dissimuler leurs messages antisémites et antijuifs derrière un
sujet légitime. Il est vrai que beaucoup de membres de l'école de Francfort
étaient juifs, mais leur gros problème était qu'ils étaient marxistes». (Pour
moi un juif marxiste n’est plus juif, c’est un érev rav (Le érèv rav (hébreu : עֵרֶב רַב «tourbe nombreuse») ou assafsouf (hébreu
: אסַפְסֻף «ramas»)
est un groupe d’étrangers se joignant aux Hébreux lors de l’Exode hors
d’Égypte. La tradition juive en fait des convertis insincères, responsables des
fautes d’Israël dans le désert et des comportements indignes se manifestant toujours
parmi les Juifs. L’expression «théorie du
complot» est dans le cas du marxisme culturel utilisée de façon idéologique
et politique par les marxistes culturels eux même. Sous forme d'accusation,
elle sert à discréditer l’opinion ou une théorie qui, sans pour autant être conspirationnisme,
fait intervenir l'interprétation d'intentions humaines, ce qui, selon Wilhelm Dilthey, est le cas de
toute théorie en sciences humaines et sociales. À ce propos, le sociologue Patrick
Champagne et le politologue Henri Maler dénoncent les limites très floues du
concept de «théorie du complot» ; ils
désapprouvent l'usage abusif de l'expression pour étiqueter une théorie ou une
opinion, en particulier dans l'espace médiatique où cela peut avoir des
conséquences diffamatoires) : «[...] la
théorie de «la théorie du complot» remplit des fonctions sociales et
idéologiques relativement puissantes et cela d’autant mieux qu’il ne s’agit pas
d’une véritable théorie, c’est-à-dire d’un ensemble de propositions cohérentes,
discriminantes et falsifiables. Elle annexe à des critiques qui peuvent être
fondées des imputations sans preuves qui fonctionnent alors comme de simples
calomnies. Et la calomnie peut frapper d’autant plus largement que la théorie
de «la théorie du complot» telle qu’elle est construite, est un vaste
fourre-tout attrape-tout qui fonctionne par association de mots et mélange tous
les genres : journalistiques et scientifiques, théoriques et polémiques,
militants et politiques».
Maintenant ma version du marxisme
culturel : Le marxisme
culturel est une idéologie mortifère ! C’est ce que monsieur Bock-Côté, Eric
Zemmour avec bien d’autres, légèrement contaminés et peut-être apeurés par le
côté dit conspirationnisme d’extrême droite et aujourd’hui antisémite et nazi par
des idéologues marxistes culturels, appellent encore du Politiquement correct
ou de la bien bienpensance.
Le jeudi 25 août 2011 j'écrivais que le marxisme-culturel n’étais pas une théorie du complot une mode ou une convenance, pas plus que du politiquement correct mais bien une idéologie, également connue effectivement sous le nom de «politiquement correct», autre approche du Marxisme, mise au point par des Marxistes, en vue de détruire la civilisation occidentale, en instituant la tyrannie des minorités - raciales, culturelles, sexuelles, religieuses - sur la majorité traditionnelle. Cette opinion a été reprise en 2015 mot pour mot sur ripostelaique.com par André Galileo qui a «creusé le sujet», c’était assez facile le trou était déjà fait ! Une des actions engagée par ces marxistes culturels est le «décervelage de l'opinion», il s’agit bien d’une entreprise de «décervelage» menée avec des méthodes propagandistes et subversives par des marxistes suivant des méthodes mises au point dans l’ex-URSS puis en Allemagne par les érev rav marxistes de l’école de Francfort et par le rital rouge Antonio Gramsci au début du XXème siècle. Après le rejet des révolutions hongroises et allemandes de 1918, Lénine est bien obligé de constater que son propre coup d'État ne survit que par la terreur la plus abjecte. Il fallait trouver autre chose ! En 1922 il convoque à l'Institut Marx-Engels de Moscou une réunion du Kominterm afin que Lukács et Münzenberg puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de l'Occident : au marxisme économique par le soulèvement du prolétariat ils proposaient de substituer le marxisme culturel par la subversion des intellectuels. Le chemin serait long mais la victoire certaine. Willi Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat». Des intellectuels marxistes internationaux fondèrent en 1923, l’École de Francfort afin d’étudier les causes de ces échecs. Elle rassemblait des pseudos socio-philosophes autoproclamés universitaires tels que Horkheimer, Wiesengrund, Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Habermas, Lukacs… assistés par Sigmund Freud.
Le jeudi 25 août 2011 j'écrivais que le marxisme-culturel n’étais pas une théorie du complot une mode ou une convenance, pas plus que du politiquement correct mais bien une idéologie, également connue effectivement sous le nom de «politiquement correct», autre approche du Marxisme, mise au point par des Marxistes, en vue de détruire la civilisation occidentale, en instituant la tyrannie des minorités - raciales, culturelles, sexuelles, religieuses - sur la majorité traditionnelle. Cette opinion a été reprise en 2015 mot pour mot sur ripostelaique.com par André Galileo qui a «creusé le sujet», c’était assez facile le trou était déjà fait ! Une des actions engagée par ces marxistes culturels est le «décervelage de l'opinion», il s’agit bien d’une entreprise de «décervelage» menée avec des méthodes propagandistes et subversives par des marxistes suivant des méthodes mises au point dans l’ex-URSS puis en Allemagne par les érev rav marxistes de l’école de Francfort et par le rital rouge Antonio Gramsci au début du XXème siècle. Après le rejet des révolutions hongroises et allemandes de 1918, Lénine est bien obligé de constater que son propre coup d'État ne survit que par la terreur la plus abjecte. Il fallait trouver autre chose ! En 1922 il convoque à l'Institut Marx-Engels de Moscou une réunion du Kominterm afin que Lukács et Münzenberg puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de l'Occident : au marxisme économique par le soulèvement du prolétariat ils proposaient de substituer le marxisme culturel par la subversion des intellectuels. Le chemin serait long mais la victoire certaine. Willi Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat». Des intellectuels marxistes internationaux fondèrent en 1923, l’École de Francfort afin d’étudier les causes de ces échecs. Elle rassemblait des pseudos socio-philosophes autoproclamés universitaires tels que Horkheimer, Wiesengrund, Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Habermas, Lukacs… assistés par Sigmund Freud.
Constat: Les Peuples rejetaient le
marxisme.
Question: Y aurait-il une erreur dans la doctrine ?
Réponse : Impossible. L’erreur est dans l’immaturité des peuples.
Conclusion: il faut changer les peuples avant de prendre le pouvoir.
Question: Y aurait-il une erreur dans la doctrine ?
Réponse : Impossible. L’erreur est dans l’immaturité des peuples.
Conclusion: il faut changer les peuples avant de prendre le pouvoir.
Herbert Marcuse écrit : «C’est le peuple qui n'a pas rempli le rôle
que lui avait réservé la théorie révolutionnaire … mis devant la possibilité de
la révolution, le peuple aura préféré s'en détourner en adhérant profondément
aux institutions définissant la civilisation occidentale. Qu'une conscience non
révolutionnaire - ou plutôt antirévolutionnaire - prévaut dans la majorité de
la classe ouvrière, cela saute aux yeux». Et il continue: «Il faut préférer la dictature des
intellectuels au pouvoir d'un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société
civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour
combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées».
Cette doctrine ils l’ont appelé «Marxisme Culturel», ou Déconstructivisme.
Plus connue sous le nom de Politiquement Correct faisant malheureusement
abstraction de sa structure idéologique marxiste (c’est évidemment ce que je
reproche à messieurs Zemmour et Bock-Côté). En Europe comme aux États-Unis les
méthodes employées pour détruire le pouvoir blanc sont les mêmes :
fragmentation de la société, immigration, communautarisme, métissage,
affirmative action, mariage homosexuel, destruction de la famille, de la nation
etc..
Les mots étant des armes il était
impératif d’infiltrer et de prendre le contrôle des lieux dans lesquels sont
dispensées les valeurs, c'est-à-dire, l’école, l’église, la justice, les
médias, les partis politiques, les milieux artistiques, … afin d’y détruire les
valeurs anciennes et de les utiliser pour dispenser de nouvelles «valeurs». Ce fut fait. On pouvait
dorénavant façonner la pensée des peuples, promouvoir la fragmentation de la
société en minorités, religieuses, raciales, sexuelles, et dresser ces
minorités contre la majorité traditionnelle culpabilisée qui n’avait plus
d’autre choix que de se taire. C’est d’ailleurs pourquoi messieurs Bock-Côté
ou Zemmour n’osent pas dire la vérité ! Au moindre écart de langage le
terrorisme de la pensée unique vous traîne
devant les tribunaux (et j’en sais quelque chose), en brandissant jusqu’à plus
soif les clichés éculés de l’antisémitisme, de la xénophobie, du racisme, de
l’islamophobie, du fascisme, de l’homophobie, du nazisme, de la puanteur nauséabonde,
des heures les plus sombres, etc. Cela se fait toujours au nom de causes
nobles, charitables, compassionnelles, antiracistes, droit-de-l‘hommistes. Nous
en sommes témoins tous les jours. En plus de l’entrisme, les marxistes ont
utilisé leur arme préférée : la démagogie. Dans toutes les sociétés, il y a des
motifs de mécontentement. Les subversifs marxistes les exploitent par la
propagande en les amplifiant de façon à attirer de nouveaux fidèles. Le
marxisme économique s’était spécialisé dans l’exploitation de la misère
ouvrière pour accroître son cheptel. Le marxisme culturel a aussi utilisé la
démagogie pour se trouver de nouveaux adeptes. Ils ont essayé d’exploiter le
ressentiment des noirs américains, l’ostracisme qui frappait les homosexuels, le
statut de la femme, les problèmes d’environnement, … Dans tous les cas,
l’objectif est et reste de se poser en défenseur des opprimés, vrais ou faux
(ils ne reculent pas devant l’idée de fabriquer de faux opprimés, par exemple,
en France avec les immigrés) pour se donner une image sympathique et en
profiter pour détruire les valeurs honnies, par exemple la famille, et les
remplacer par d’autres. Les marxistes culturels sont donc des manipulateurs qui
exploitent le ressentiment d’autrui pour atteindre leurs objectifs. Pourtant
derrière chacune des actions des marxistes culturels se trouve un ou plusieurs
objectifs très précis visant à leur permettre d’instaurer leur règne. La lutte
excessive pour les «droits» des
homosexuels et autres «genres» ou des
femmes contre leur mari leur permet de détruire l’institution familiale, cercle
important de la transmission des valeurs et aussi de favoriser
l’hyper-féminisation de la société afin de réduire son potentiel de défense
face à l’agression. La lutte pour l’«antiracisme»
et le «métissage» et la promotion du «multiculturalisme» leur permet de
détruire l’identité nationale donc la nation, c'est-à-dire un lieu majeur de
transmission des valeurs. L’immigrationnisme a le même objectif, remplacer un
peuple rétif mais instruit par un peuple importé peu éduqué donc manipulable.
C’est dans ce cadre que s’inscrit l’action contre l’immigration choisie, les
gauchistes marxistes culturels par essence ne tiennent pas à voir arriver des
migrants éduqués donc non manipulables. De plus, les mêmes ne souhaitent pas
voir arriver des migrants ayant la capacité de s’intégrer rapidement ce qui ne
permettrait pas d’exploiter leur ressentiment pour les attirer à soi. La lutte
contre les «pollueurs» vise à ruiner
la productivité du capitalisme en le soumettant à des normes coûteuses et à
paralyser son développement en déconsidérant le progrès économique. Elle vise
aussi à promouvoir le collectivisme, puisqu’au nom de la lutte contre la
pollution, on vise à supprimer le transport individuel au profit du transport
collectif. La lutte contre les exactions vraies ou supposées de la police et de
la justice, ainsi que contre les forces d’«ordre»,
vise à détruire les résistances de la société face à une prise de pouvoir
violente et aussi à essayer de démontrer que la démocratie est inefficace pour
régler les problèmes. Il n’est que de voir le phénomène des «Gilets jaunes» récupéré par la CGT
communiste. La lutte pour la «paix»
mâtinée d’antimilitarisme vise aussi à détruire une force d’ordre et surtout à
inhiber et délégitimer les défenses de l’occident contre les agressions
extérieures. La lutte contre l’«impérialisme
américain» vise à détruire le pays qui est devenu le centre idéologique et
le bras armé de l’occident. À noter qu’en France, les marxistes culturels
exploitent le ressentiment et la jalousie des élites françaises par rapport aux
succès du monde anglo-saxon qu’elles sont incapables d’égaler entre autres, à
cause de leur incapacité à combattre le marxisme culturel.
La lutte pour les «droits de l’homme» vise à paralyser et à discréditer la démocratie en exploitant au maximum les ressources offertes par le droit.
La lutte pour les «droits de l’homme» vise à paralyser et à discréditer la démocratie en exploitant au maximum les ressources offertes par le droit.
La liste de ces «luttes» n’est pas exhaustive et mériterait d’être étudiée plus en
détail mais elles visent toutes les mêmes objectifs:
• Détruire les valeurs honnies,
• Affaiblir le capitalisme,
• Affaiblir la démocratie libérale,
• Affaiblir les résistances de la
société face aux agressions afin de faciliter la prise de pouvoir,
• Diviser la société en attisant les
haines internes afin de faciliter la prise du pouvoir ce qu’ils ne pourraient
pas faire par les élections,
• Détruire l’individualisme qui
permet la résistance, instaurer le pessimisme afin de faire prévaloir la
résignation,
• Essayer de dominer en
culpabilisant,
• Détruire l’esprit critique.
Et tout cela est fait en s’abritant
derrière des valeurs nobles mais avec pour objectif de supprimer la liberté
individuelle et d’instaurer un totalitarisme acceptable car dissimulé derrière
un masque de moralité.
Dans le marxisme traditionnel, le
pouvoir du socialisme est garanti par la dictature du prolétariat sur les
autres classes. Dans le marxisme culturel, une autre classe est chargée de
maintenir la dictature sur la société, elle est composée d’intellectuels
souvent autoproclamés, de journalistes stipendiés , de leaders d’opinion et
même de politiciens vendus qui sont chargés de faire appliquer cette ligne du
parti et de diffuser l’idéologie bien-pensante. La dictature du prolétariat est
devenue la dictature du bien-pensariat. Ce «bien-pensariat» utilise ses positions
d’influence pour faire avancer son agenda consistant à promouvoir leurs
«vérités» et le «bien» par le
mensonge et la culpabilisation. Ceux qui s’opposent à ces «vérités» ou à ce «bien»
sont immédiatement victimes de la version moderne de l’inquisition,
c'est-à-dire la vague de dénigrement et de calomnie politico-médiatique qui ne
permet que trois options: la «repentance»,
c'est-à-dire la conversion, la «mort»,
c'est-à-dire, l’ostracisme et la mort par l’oubli ou l’exil. Cette technique
est exactement la même que celle qu’employait l’inquisition contre les juifs à
qui on laissait trois choix: se convertir, rester et mourir ou partir pour
survivre. Ainsi fut installée la tyrannie des minorités sur la majorité
traditionnelle, préalable à la destruction de la substance des peuples
d’Occident. Ainsi le Marxisme Culturel s'est ainsi imposé suivant une stratégie
ébauchée en 1922 à Moscou, élaborée à Francfort, parachevée ensuite à New York.
Avant de s'attaquer à l'Europe il a d'abord investi les grandes universités
américaines puis toute la société. Sous le nom de Political Correctness il asservit maintenant tout l'Occident.
Les outils :
- Enseignement du sexe, de
l'homosexualité et de la transsexualité aux enfants. (Georg Lukacs), soit une
transgression par apport à la morale traditionnelle, un bonbon pour attirer les
gogos et une autre source de clivages (homos et hétéros).
- Immigration exotique massive afin
de détruire physiquement l'identité des peuples blancs et de cliver la société.
- Destruction de la famille et de la
nation afin de détruire l’identité psychique des peuples blancs.
- Destruction de l’éducation et
création d’une novlangue pour crétiniser et ôter les repères.
- Multiplication des obstacles à la
natalité blanche. Avortement, destruction du mariage et de la cellule familiale
stable.
- Dénigrement/ringardisation de
l'Église pour détruire les repères moraux et culturels fondateurs..
- Noyautage de la magistrature afin
de culpabiliser les victimes au lieu des criminels.
- Dépendance à l'Etat et aux allocations publiques afin de créer une
clientèle aux ordres.
- Contrôle et crétinisation des
media pour détruire la faculté de jugement.
- Substitution de la famille
patriarcale par la famille monoparentale, voire homoparentale, afin d'éliminer
l'influence néfaste du mâle blanc
C’est ce même terrorisme qui vole au
secours des Frédéric Mitterrand, Cohn-Bendit, Polanski, auteurs d’actes pédophiles
avoués, mais monte des cabales aussi ignobles qu’infondées contre Pie XII et
Benoît XVI, Rome étant le symbole haï de l’Empire Chrétien d’Occident.
C’est même terrorisme qui a
instrumentalisé la Shoah, l’esclavage, la colonisation pour en faire des
épouvantails devant lesquels on ne peut que s’incliner.
Ainsi, de Los Angeles à Varsovie,
les media asservis sapent nos civilisations en vue de l’établissement d’un
Ordre Nouveau marxiste.
Mon bon maître Frédéric Bastiat,
dans « La Loi» (1850) a dit «Il y a trop de grands hommes dans le monde;
il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés,
conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent
au-dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper
d'elle».
Après notre séance culturelle
revenons au sieur et frère Jamin l’auteur d’ouvrages antinationaux (encore un
croyant au petit Jésus soviétique et à l’internationale humaniste sorte de
mythomane de la pensée unique. Tiens pendant que nous y somme, si on parlait
cinq minutes d’un très beau président communiste de race noire. J’ai nommé
l’ancien président zimbabwéen Robert Mugabe, qui a remis sa démission en 2017 après
37 ans de pouvoir. C’est bien lui en bon marxiste qui a dit en 2003 : «Je suis le Hitler de notre époque. Cet
Hitler n'a qu'un seul objectif, la justice pour son peuple, la souveraineté de
son peuple, la reconnaissance de l'indépendance de son peuple et son droit à
disposer de ses richesses. Si c'est ça être Hitler, eh bien laissez-moi dix
fois être Hitler». Et aussi en 2015: «Je ne veux plus voir de Blancs», sans oublier que les
homosexuels sont depuis 2015 : «pires
que des chiens ou des cochons (...) Ceux qui le font, eh bien nous dirons
qu'ils sont entêtés (...) C'est de la pure folie, de l'insanité (…) Que l'Europe garde son absurdité
homosexuelle pour elle et qu'elle ne vienne pas ici avec». Et cerise
sur le gâteau rouge de la haine marxiste : «Je suis d'accord avec vous, les grands propriétaires ont des cœurs de
pierre, on croirait qu'ils sont juifs». Ce n’est pas beau le
marxisme ? ). Le frère
Jamin a participé le 8 mai 2014 à une conférence antinationale d’une journée
organisée à Liège par l'association maçonnique antinationale Territoires
de la mémoire (Territoires
de la mémoire est une association liégeoise, financée en partie avec des fonds
publics et aux mains des loges maçonniques, dont l’objectif est
d’instrumentaliser la Seconde guerre mondiale à des fins politiques (méthode
très marxiste culturelle que l’instrumentalisation de l’histoire surtout en
mentant comme un arracheur de dents). Territoires de la mémoire tente d’assimiler
les patriotes et nationalistes à la collaboration et les antipatriotes et les
antinationalistes à la Résistance. Cette présentation des faits est clairement
une escroquerie intellectuelle puisque le parti socialiste de l’époque a trempé
durant la Seconde guerre mondiale dans la collaboration. Son président, Henri
De Man, a collaboré. Le bourgmestre (maire) socialiste de Liège de l’époque Joseph Bologne a donné la liste des communistes aux occupants
allemands, ainsi que les lieux de réunion des communistes et le nom des cafés
qu'ils fréquentaient, et la police liégeoise, qui était sous son contrôle, a
fourni des listes de juifs aux autorités d'occupation allemandes. Par contre,
les premiers résistants liégeois ont été les membres de la Légion
Nationale, une organisation fasciste dont le
dirigeant Paul
Hoornaert est mort en déportation en
Allemagne. De nombreux nationalistes et monarchistes ont été résistants et sont
morts en déportation). Le «frangin» Jamin dirige le Centre
d’études Démocratie (sans hurler
de rire) qui conduit des activités antinationales. Dans un opuscule consacré à
l’imaginaire du complot dans ce que ce monsieur dit être le discours d’extrême
droite en France et aux Etats-Unis, ce Frangin belge une fois aurait eu
l’occasion de décrire les trois principales catégories d’acteurs dans les
théories du complot (Jamin, Jérôme, L’imaginaire du complot. Discours
d’extrême droite en France et aux Etats-Unis. Amsterdam University Press,
collection 1999, pp. 45-55)).
Le professeur de l'Université d'Oxford Matthew Feldman trace l'étymologie du
terme jusqu'à la notion allemande de l'avant-guerre de «bolchevisme culturel»,
partie du discours de «dégénération de la société», qui contribue à l'avènement
au pouvoir d'Adolf Hitler. (Le professeur Matthew Feldman un marxiste
culturel caricatural d’ultra gauche socialiste est un spécialiste auto proclamé
de l'idéologie fasciste et de l'extrême droite en Europe et aux États-Unis. On
pourrait dire de lui, parodiant sir Winston Churchill: «Christophe Colomb fut le premier socialiste: il ne savait pas où il
allait, il ignorait où il se trouvait, et tout cela aux frais des autres».
Il a longtemps étudié l'interaction entre la politique et la foi dans le monde
moderne et a enseigné ces sujets pendant environ deux décennies aux étudiants
et étudiantes du premier et du troisième cycle. Professeur émérite d'histoire
des idées modernes à l'Université de Teesside, en 2013, le professeur Feldman
dirigeait la première unité britannique consacrée à l'analyse de l'extrémisme
radical de droite, le Centre d'études fascistes, antifascistes et post-fascistes).
Maintenant en 2019 on en est arrivé à ce qu’un organisme
juif britannique considère «marxisme
culturel» comme une insulte antisémite, c’est dire si
maintenant la théorie du complot d’«extrême
droite» a fait flores !
Le Conseil des députés des Juifs britanniques a
critiqué madame Sue-Ellen Cassiana Braverman (née Fernandes), une ancienne
ministre conservateur pour avoir utilisé le terme «marxisme culturel» dans un discours, une référence (sic) à une
théorie de la conspiration (resic) souvent associée à l’extrême droite et alors
là ça vient de sortir à l’antisémitisme :
Le
député travailliste (Ultra gauche marxiste culturelle) Wes Streeting a déclaré que Madame
Braverman devrait s’excuser d’avoir utilisé un «terme laid et répréhensible à
connotations antisémites» (Le délire marxiste ne s’arrêtera donc jamais
allant de plus en plus loin dans le mensonge et l’abjection communiste). Il a ajouté : « Les députés devraient être
mieux informés et elle devrait s’excuser immédiatement...»
Hope not hate, (HOPE not hate est
un groupe de défense des droits de l’homme d’extrême gauche c’est-à-dire
pleinement marxiste culturel basé au Royaume-Uni, sorte de MRAP à l’anglaise) milite contre le racisme et le fascisme et
cherche à associer des recherches de
premier ordre à des actions d'organisation et de lutte contre la haine menées
par les communautés pour éliminer les groupes haineux lors d'élections et à
renforcer la résilience des communautés contre l'extrémisme») le groupe d’ultra
gauche marxiste culturel surveille les groupes qu’il juge d’extrême droite et a
déclaré qu’il était «profondément
troublant» de voir un député utiliser un tel langage. (Le crapuleux
fascisme rouge collectiviste et marxiste culturel nidoreux montre encore une
fois son vrai visage, nulle recherche de débats d’idées, juste la vieille
technique de la reductio ad Hitlerum sur fond de chasse à l’homme et ce en
lançant l'anathème ! En vous accusant de racisme, d’eugénisme, de xénophobie,
de sexisme, d’esclavagisme, colonialiste, impérialiste, d’être un petit blanc
réactionnaire, de sionisme, d’être libertarien, identitaire, frontiste,
extrémiste de droite et maintenant en vous qualifiant d’antisémite, en fait en
vous excluant du genre humain ces marxistes culturels se discréditent
totalement. Le ou la «journaliste»
marxiste culturel a une pensée intellectuelle faible et généralement un QI de
moule qu’elle compense en disqualifiant par des mots à forts impacts
psychologiques tous les contradicteurs un peu trop convaincants. Le
collectiviste socialiste marxiste culturel est sans scrupule, sa bonne
conscience l'autorisant à user de la pire mauvaise foi et des sophismes les
plus ridicules, genre : «Une mouche
à merde a deux yeux, le populiste néonazi d’ultra droite aussi, il est donc une
mouche à merde (vous aurez remarqué l’apparition récente du terme populiste qui remplace extrême droite qui ne fait apparemment
plus recette chez les marxistes culturels à court d’arguments). Il est inutile de voir en un marxiste
culturel un être humain doué de conscience, il ou elle est plus proche
psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe
éthique).
La députée de Fareham, qui a démissionné de son poste de ministre junior du Brexit à la fin de l’année dernière, a utilisé ce terme dans une partie de son discours qui condamnait ce qu’elle a appelé une culture croissante de censure. S’exprimant lors d’un événement sur le Brexit organisé par le groupe de réflexion eurosceptique du Groupe de Bruges, Madame Braverman a défendu ses mots après qu’un membre du public (un lobotomisé marxiste culturel ?) les eut remis en question et noté qu’ils avaient été utilisés dans le manifeste d’Anders Breivik, terroriste norvégien d’extrême droite. (Il est évident pour beaucoup, hormis les marxistes culturels que Breivik n’est pas un homme d’extrême droite, ni n’est un ultranationaliste néonazi ou chrétien comme certains marxistes culturels voudraient le faire croire : voir ici, l'auteur des deux attaques en Norvège (77 morts) c’est très largement inspiré en en recopiant des pages entières et en ne changeant que le mot «socialiste» par le terme de marxiste culturel du «livre» de l’écolo anarchiste et terroriste Kaczynski pour écrire son manifeste Déclaration européenne d'indépendance, Theodore John Kaczynski, était cet anarchiste anticapitaliste, militant écologiste, néo-luddite et terroriste américain plus connu sous le nom de «Unabomber» ( Monsieur Alain Soral dira avec juste raison : Le manifeste de Breivik est un grossier plagiat de Théodore Kaczynski, «La société industrielle et son avenir», mais en détournant l’œuvre originale pour lui donner un sens principalement raciste, teinté d’une sorte de mysticisme maçonnique. Les postulats principaux de Kaczynski, théorisés dans son manifeste, «La société industrielle et son avenir» peuvent se définir en quatre points:
1.Le progrès technologique nous conduit à un désastre inéluctable;
2. La gauche politique est la première ligne de défense de la Société technologique contre la révolution ;
3. Ce qu’il faut, c’est un nouveau mouvement révolutionnaire, voué à l’éradication de la société technologique, et qui prendra des mesures pour tenir à l’écart tous les gauchistes et consorts.
Selon Kaczynski, la révolution industrielle conduit nécessairement à un ordre économique et politique de plus en plus contraignant qui détruit la nature vierge, réduit la liberté individuelle, transforme l’homme en simple rouage du système technologique, et à court terme détruira l’espèce humaine elle-même. «Ce système n’existe pas pour satisfaire les besoins des hommes, et n’en est pas capable. Les désirs et le comportement des hommes doivent en fait être modifiés pour satisfaire aux besoins de ce système», écrit-t-il dans «La société industrielle et son avenir»). De plus «Je suis antinazi», avait déclaré Breivik lors de son procès en réponse à la question d'un juge, ce qui est étonnant pour un homme que la merdiatocrassie marxiste culturelle qualifie «d’extrême ou d’ultra droite nationaliste néonazi»). Breivik qualifiera la religion séculière marxiste d’état de cultural marxism comme François Medioni pour LibertyVox de marxisme culturel. Ici une explication en anglais, monsieur Marcin Krol donne du marxisme culturel une définition intéressante cliquez ici, Traduction : «Méthodologiquement, (le marxisme culturel) c'est la projection de la division de classe marxiste du bourgeois / prolétariat, classe oppressive / classe opprimée, sur n'importe quelle catégorie sociale ou humaine que vous pouvez penser - homme / femme, blanc / noir, vieux / jeune, etc. Dans cette «vue», il n’y a fondamentalement aucune cause de mouvement dans le monde, mais l’oppression et la discrimination. Par exemple, un sans-abri peut appartenir à une classe privilégiée (les hommes) accusée de sexisme, mais il est aussi «opprimé» dans la division économique. Quoi qu'il arrive, c’est le résultat de l'oppression ou de la discrimination de ce genre ou de l'autre. Au fond, le marxisme culturel est une attitude émotionnelle d'agression passive: le marxiste culturel continue de charger un sceptique d'un parti pris supposé de la classe oppressante de toutes sortes, s'attendant à ce que le sceptique se soumette de manière émotionnelle. C’est une manière de chercher la domination en faisant jaillir de bonnes intentions tout en gardant l’autre partie sur la défensive qui doit continuer à expliquer que «non, non, je ne suis pas raciste / sexiste…».
La députée de Fareham, qui a démissionné de son poste de ministre junior du Brexit à la fin de l’année dernière, a utilisé ce terme dans une partie de son discours qui condamnait ce qu’elle a appelé une culture croissante de censure. S’exprimant lors d’un événement sur le Brexit organisé par le groupe de réflexion eurosceptique du Groupe de Bruges, Madame Braverman a défendu ses mots après qu’un membre du public (un lobotomisé marxiste culturel ?) les eut remis en question et noté qu’ils avaient été utilisés dans le manifeste d’Anders Breivik, terroriste norvégien d’extrême droite. (Il est évident pour beaucoup, hormis les marxistes culturels que Breivik n’est pas un homme d’extrême droite, ni n’est un ultranationaliste néonazi ou chrétien comme certains marxistes culturels voudraient le faire croire : voir ici, l'auteur des deux attaques en Norvège (77 morts) c’est très largement inspiré en en recopiant des pages entières et en ne changeant que le mot «socialiste» par le terme de marxiste culturel du «livre» de l’écolo anarchiste et terroriste Kaczynski pour écrire son manifeste Déclaration européenne d'indépendance, Theodore John Kaczynski, était cet anarchiste anticapitaliste, militant écologiste, néo-luddite et terroriste américain plus connu sous le nom de «Unabomber» ( Monsieur Alain Soral dira avec juste raison : Le manifeste de Breivik est un grossier plagiat de Théodore Kaczynski, «La société industrielle et son avenir», mais en détournant l’œuvre originale pour lui donner un sens principalement raciste, teinté d’une sorte de mysticisme maçonnique. Les postulats principaux de Kaczynski, théorisés dans son manifeste, «La société industrielle et son avenir» peuvent se définir en quatre points:
1.Le progrès technologique nous conduit à un désastre inéluctable;
2. La gauche politique est la première ligne de défense de la Société technologique contre la révolution ;
3. Ce qu’il faut, c’est un nouveau mouvement révolutionnaire, voué à l’éradication de la société technologique, et qui prendra des mesures pour tenir à l’écart tous les gauchistes et consorts.
Selon Kaczynski, la révolution industrielle conduit nécessairement à un ordre économique et politique de plus en plus contraignant qui détruit la nature vierge, réduit la liberté individuelle, transforme l’homme en simple rouage du système technologique, et à court terme détruira l’espèce humaine elle-même. «Ce système n’existe pas pour satisfaire les besoins des hommes, et n’en est pas capable. Les désirs et le comportement des hommes doivent en fait être modifiés pour satisfaire aux besoins de ce système», écrit-t-il dans «La société industrielle et son avenir»). De plus «Je suis antinazi», avait déclaré Breivik lors de son procès en réponse à la question d'un juge, ce qui est étonnant pour un homme que la merdiatocrassie marxiste culturelle qualifie «d’extrême ou d’ultra droite nationaliste néonazi»). Breivik qualifiera la religion séculière marxiste d’état de cultural marxism comme François Medioni pour LibertyVox de marxisme culturel. Ici une explication en anglais, monsieur Marcin Krol donne du marxisme culturel une définition intéressante cliquez ici, Traduction : «Méthodologiquement, (le marxisme culturel) c'est la projection de la division de classe marxiste du bourgeois / prolétariat, classe oppressive / classe opprimée, sur n'importe quelle catégorie sociale ou humaine que vous pouvez penser - homme / femme, blanc / noir, vieux / jeune, etc. Dans cette «vue», il n’y a fondamentalement aucune cause de mouvement dans le monde, mais l’oppression et la discrimination. Par exemple, un sans-abri peut appartenir à une classe privilégiée (les hommes) accusée de sexisme, mais il est aussi «opprimé» dans la division économique. Quoi qu'il arrive, c’est le résultat de l'oppression ou de la discrimination de ce genre ou de l'autre. Au fond, le marxisme culturel est une attitude émotionnelle d'agression passive: le marxiste culturel continue de charger un sceptique d'un parti pris supposé de la classe oppressante de toutes sortes, s'attendant à ce que le sceptique se soumette de manière émotionnelle. C’est une manière de chercher la domination en faisant jaillir de bonnes intentions tout en gardant l’autre partie sur la défensive qui doit continuer à expliquer que «non, non, je ne suis pas raciste / sexiste…».
Revenons à l’affaire de Madame Braverman.
Le
marxisme culturel s’articule autour d’une théorie de la conspiration selon
laquelle les érudits marxistes de l’école de Francfort dans l’Allemagne de
l’entre-deux-guerres ont conçu un programme manipulateur de politique
progressiste (curieusement ils se vendent tout seul) visant à miner les démocraties
occidentales.
Beaucoup
d’universitaires du mouvement de la théorie critique étaient juifs, et l’idée
du marxisme culturel est étroitement associée aux théories du complot
antisémite (la théorie du complot antisémite il fallait la
trouver celle-là ! Certes la plupart des membres de l’école de Frankfurt
étaient des érev
rav,
de faux juifs, des sans Dieu marxistes, la «tourbe
nombreuse» ou assafsouf «ramas», ressemblants
comme deux gouttes d’eau à ce groupe d’étrangers se joignant aux Hébreux lors
de l’Exode hors d’Égypte. La tradition juive en fait des convertis insincères,
responsables des fautes d’Israël dans le désert et des comportements indignes comme
le marxisme criminel (150 millions de mort et ce n’est pas fini) se manifestant
de tout temps parmi les Juifs).
Dans son discours, Braverman a dit : «Nous sommes engagés dans de nombreuses batailles en ce moment. En tant que conservateurs, nous sommes engagés dans une bataille contre le marxisme culturel, où l’interdiction devient de rigueur, où la liberté d’expression devient un tabou, où nos universités et institutions quintessentielles du libéralisme, sont enveloppées dans une censure et une culture nettement déconstructiviste». Après le discours, au cours d’une période de questions/réponses, on a demandé à la députée si elle était d’accord avec l’expression, étant donné ses liens avec l’extrême droite. Elle a dit : «Oui, je crois que nous sommes dans une bataille contre le marxisme culturel, comme je l’ai dit» (Les prétendus liens avec une prétendue «extrême droite» sont ici fantasmée par les marxistes culturels Anglais et particulièrement les érev rav s’affublant du nom de «juifs» alors qu’ils sont sans Dieu !). Il n’y a rien de «théorique» sur le fait que le marxisme culturel soit juif. Il a été conçu et promu par les juifs, et leurs propres écrits admettent que leur but était de déconstruire la civilisation chrétienne occidentale qu’ils percevaient comme étant antagonique aux intérêts juifs (Comme de nombreuses personnes, madame Braverman avec des gens aussi différents qu’Alain Soral, Eric Zemmour avec Mathieu Block Côté ne fait pas la différence avec l’érev rav marxiste culturel ancien juif et le véritable juif. Il est peu connu que le marxiste Staline était l’équivalent d’Hitler en URSS, voir : la Nuit des poètes assassinés (Solomon Losovski et Peretz Markish) et le Complot des blouses blanches à propos des théories du fameux «complot» juif) Et les Juifs n’aiment pas que leurs critiques utilisent le terme «marxisme culturel» parce que ce n’est qu’une étape logique avant d’exposer une autre tentative subversive dans laquelle les Juifs ont été impliqués. Quand Hitler est arrivé au pouvoir en Allemagne, les Juifs de l’école de Francfort (Tous marxistes en train de théoriser le marxisme culturel) ont fui le pays et ont fini par occuper des postes lucratifs dans les universités d’élite à travers l’Amérique où ils ont endoctriné la génération de l’après-guerre dans le marxisme, qui est devenu la base de la «contre-culture» des années 60. Le point crucial est que les Juifs sont fiers des «intellectuels» de l’école de Francfort, alors que les conservateurs blancs la diabolisent ouvertement, et quiconque la diabolise doit être un antisémite.
Dans son discours, Braverman a dit : «Nous sommes engagés dans de nombreuses batailles en ce moment. En tant que conservateurs, nous sommes engagés dans une bataille contre le marxisme culturel, où l’interdiction devient de rigueur, où la liberté d’expression devient un tabou, où nos universités et institutions quintessentielles du libéralisme, sont enveloppées dans une censure et une culture nettement déconstructiviste». Après le discours, au cours d’une période de questions/réponses, on a demandé à la députée si elle était d’accord avec l’expression, étant donné ses liens avec l’extrême droite. Elle a dit : «Oui, je crois que nous sommes dans une bataille contre le marxisme culturel, comme je l’ai dit» (Les prétendus liens avec une prétendue «extrême droite» sont ici fantasmée par les marxistes culturels Anglais et particulièrement les érev rav s’affublant du nom de «juifs» alors qu’ils sont sans Dieu !). Il n’y a rien de «théorique» sur le fait que le marxisme culturel soit juif. Il a été conçu et promu par les juifs, et leurs propres écrits admettent que leur but était de déconstruire la civilisation chrétienne occidentale qu’ils percevaient comme étant antagonique aux intérêts juifs (Comme de nombreuses personnes, madame Braverman avec des gens aussi différents qu’Alain Soral, Eric Zemmour avec Mathieu Block Côté ne fait pas la différence avec l’érev rav marxiste culturel ancien juif et le véritable juif. Il est peu connu que le marxiste Staline était l’équivalent d’Hitler en URSS, voir : la Nuit des poètes assassinés (Solomon Losovski et Peretz Markish) et le Complot des blouses blanches à propos des théories du fameux «complot» juif) Et les Juifs n’aiment pas que leurs critiques utilisent le terme «marxisme culturel» parce que ce n’est qu’une étape logique avant d’exposer une autre tentative subversive dans laquelle les Juifs ont été impliqués. Quand Hitler est arrivé au pouvoir en Allemagne, les Juifs de l’école de Francfort (Tous marxistes en train de théoriser le marxisme culturel) ont fui le pays et ont fini par occuper des postes lucratifs dans les universités d’élite à travers l’Amérique où ils ont endoctriné la génération de l’après-guerre dans le marxisme, qui est devenu la base de la «contre-culture» des années 60. Le point crucial est que les Juifs sont fiers des «intellectuels» de l’école de Francfort, alors que les conservateurs blancs la diabolisent ouvertement, et quiconque la diabolise doit être un antisémite.
Finalement Soral, Zemmour, Bock-Côté,
qui dénoncent avec d’autres le «politiquement
correct» et qui n’osent pas l’appeler par son vrai nom de marxisme culturel
et en donner les origines par une peur viscérale des clichés, des étiquettes
que l’on collera sur eux comme celles des camemberts, de toutes ces fausses insinuations
de racisme et même aujourd’hui d’antisémitisme sous-jacents qui mettent dans
une case une personne politiquement incorrecte et non «progressiste» qui ne pense pas comme cette toute bien-pensance marxiste
culturelle hypocrite complice des pires crimes contre l’humanité marxistes et
communistes qui continuent à sévir de nos jours, deviennent des adeptes de la
bien pensance qu’ils dénoncent. On sait depuis 2004 qu’un camp de prisonniers
nord-coréen fait fonctionner une chambre
à gaz homicide voir aussi
ici
vous étiez au courant ?
Remarquez qu’il y a déjà 47 ans, Mr Poniatowski (ancien
ministre) écrivait dans son livre-testament particulièrement «politiquement incorrect» une conclusion
dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer, ....
La voici : «Son
âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation,
mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluriethnique et
pluriculturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges,
à lui imposer. Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels
périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…) Ces pages peuvent apparaître cruelles, mais
elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter
énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si
tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux
pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain. Si nous désirons voir les choses dégénérer
ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain
toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis
rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la
défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos
temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités
politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine
n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses
éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi
compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il
ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un
charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays
restitue à l’état sa place normale. Les libéraux l’ont affaibli, les
socialistes l’ont détruit. Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?.... La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la
Sécurité, la Police, notre place en Europe ?.... En miettes !!!.... La
France est à l’abandon, et en décomposition à travers le monde. Sa
recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de
la Nation et de l’État. (…) Si la
vérité vous choque, faites en sorte qu'elle devienne acceptable mais ne
bâillonnez pas celui qui en dénonce l'absurdité, l'injustice ou l'horreur
..... »
Alors messieurs Zemmour, Bock-Côté et les autres, vrais journalistes patriotes, arrêtez par pitié avec le politiquement correct, je vous supplie d’employer l’expression juste, c’est-à-dire le MARXISME CULTUREL. Marxisme culturel créé par Lénine dès 1922.
J’attends des gauchistes, marxistes, communistes,
marxistes culturels et assimilés une critique argumentée de l’histoire
suivante :
Une
des actions engagée par les marxistes culturels est le «décervelage de l'opinion», il s’agit bien d’une entreprise de «décervelage» menée avec des méthodes
propagandistes et subversives par des marxistes suivant des méthodes mises au
point dans l’ex-URSS puis en Allemagne par les érev rav marxistes de l’école de
Francfort et par Antonio Gramsci au début du XXème siècle.
Après le rejet des révolutions hongroises et allemandes
de 1918, Lénine constate que son propre coup d'État ne survit que par la
terreur. Il fallait trouver autre chose ! En 1922 il convoque à l'Institut
Marx-Engels de Moscou une réunion du Kominterm afin que Lukács et Münzenberg ses
adjoints à ce niveau puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête
de l'Occident : au marxisme économique par l’hypothétique soulèvement du
prolétariat ils proposaient de substituer le marxisme culturel par la
subversion des intellectuels. Le chemin serait long mais la victoire certaine.
Willi Münzenberg, grand architecte de la désinformation sous Lénine, convaincu
que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples
de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini
l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la
Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que
toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible,
pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat». Puis des
intellectuels marxistes internationaux fondèrent en 1923, l’École de Francfort
afin d’étudier les causes de ces échecs. Elle rassemblait de pseudos
socio-philosophes autoproclamés, des
universitaires tels que Horkheimer,
Wiesengrund, Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus,
suivis par Habermas, Lukacs… assistés par Sigmund Freud. Qui posaient comme constat: Les Peuples rejetaient le marxisme.
Question: Y
aurait-il une erreur dans la doctrine? Réponse : Impossible.
L’erreur est dans l’immaturité des peuples.
Conclusion: il faut changer les peuples avant de prendre le
pouvoir.
Herbert Marcuse écrira : «C’est le peuple qui n'a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire … mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s'en détourner en adhérant profondément aux institutions définissant la civilisation occidentale. Qu'une conscience non révolutionnaire - ou plutôt antirévolutionnaire - prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux». Et il continue: «Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d'un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées».
Cette doctrine ils l’ont appelé Déconstructivisme ou «Marxisme Culturel». Plus connue sous le nom de Politiquement Correct faisant malheureusement abstraction de sa structure idéologique marxiste. En Europe comme aux États-Unis les méthodes employées pour détruire le pouvoir blanc sont les mêmes : fragmentation de la société, immigration, communautarisme, métissage, affirmative action, mariage homosexuel, destruction de la famille, de la nation etc.
Herbert Marcuse écrira : «C’est le peuple qui n'a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire … mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s'en détourner en adhérant profondément aux institutions définissant la civilisation occidentale. Qu'une conscience non révolutionnaire - ou plutôt antirévolutionnaire - prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux». Et il continue: «Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d'un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées».
Cette doctrine ils l’ont appelé Déconstructivisme ou «Marxisme Culturel». Plus connue sous le nom de Politiquement Correct faisant malheureusement abstraction de sa structure idéologique marxiste. En Europe comme aux États-Unis les méthodes employées pour détruire le pouvoir blanc sont les mêmes : fragmentation de la société, immigration, communautarisme, métissage, affirmative action, mariage homosexuel, destruction de la famille, de la nation etc.
Les commentaires sont libres sur ce blog alors mesdames
et messieurs à vos plumes, j’attends vos dénégations et vos arguments ! Sachez
aussi que je comprendrais que l’on me dise que Marcuse avait plus ou moins
raison de dire «Il est nécessaire, pour
une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques
pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non
éduquées». Beau sujet de débat non ?
Michel Alain Labet de Bornay
Copyright 2019. Agence de Presse AIS (Trade Mark). Reproduction autorisée avec la mention: © http://michelalainlabetdebornay.blogspot.fr/
Michel Alain Labet de Bornay
Copyright 2019. Agence de Presse AIS (Trade Mark). Reproduction autorisée avec la mention: © http://michelalainlabetdebornay.blogspot.fr/
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Lisez ou faites lire NOTE 9.
Dans son ouvrage dénommé le «manifeste» le tueur dit d’extrême droite et néanmoins Franc Maçon
norvégien Anders Behring Breivik, disait haïr trois idéologies: l’islam, le
marxisme culturel (dans lequel Breivik rangeait le multiculturalisme) et le
nazisme. Breivik s’est défini lui-même comme «Anti-Nazi». Son livre le manifeste est quasiment copié mots pour
mots sur le Manifesto de Theodore dit Ted
Kaczynski terroriste américain, mathématicien de formation,
militant écologiste et néo-luddite). Manifeste ou Breivik à remplacé le mot «socialiste» par celui de «marxiste culturel» sans en préciser le
sens ni l’historique.
Michel Alain Labet de
Bornay dans un livre nommé Note
9 donne l’explication historique et politique de ce fameux Marxisme Culturel
souvent nommé «système», «politiquement
correct», «classe».
Pour pouvoir voter dans quelques jours vous devez
savoir que le débat politique est systématiquement aujourd’hui précédé d'un débat-culturel, le méta-débat, le
cadre conceptuel, ou encore «l'agenda
politique» (anglicisme), ou la Weltanschauung. En termes marxistes : «l'hégémonie culturelle» ou «l'idéologie dominante». Le marxisme
culturel consiste à modifier ce cadre philosophique de manière subtile, en
faveur du collectivisme et du communisme, pour faciliter une éventuelle prise
de pouvoir le citoyen Macron en est la plus parfaite représentation. Le
marxisme culturel consiste aussi à mentir, manipuler, désinformer, user
d'arguments de mauvaise foi, autrement dit avancer des arguments auxquels on ne
croit pas soi-même, dans le but de saborder les sociétés occidentales.
Le lien pour commander Note 9, livre aux 558 belles pages
entièrement écrites avec des mots en Français de France : http://www.leseditionsdunet.com/histoire-et-actualites/4869-note-9-michel-alain-de-bornay-9782312051109.html
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