vendredi 17 mai 2019

Y ‘a qu’un cheveu sur la tête à Mathieu.



Mathieu Bock-Coté, sociologue québécois est l’auteur de "L'Empire du politiquement correct" (Ed. du Cerf), qui dénonce la «bien-pensance» médiatique qui contribue au dérèglement démocratique. Le multiculturalisme serait l’alpha et l’oméga de la démocratie, le seul visage possible de la modernité. Mais comment en sommes-nous arrivés là ? Comment des intellectuels ont imposé à la France et aux nations occidentales la notion d’«identités particulières», et comment lui ont-ils retiré celle d’«identité commune» ? Qu’est-ce qui se cache derrière le culte de la diversité ?
Pour Mathieu Bock-Côté, mai 1968 marque le début d’une révolution inventée par une gauche métamorphosée. Constatant l’effondrement du marxisme, elle a inventé l’égalitarisme identitaire. Critique de l’Occident, déconstruction des traditions, invention de l’antiracisme, telles ont été les étapes d’un redoutable projet : la confiscation de la démocratie par une minorité.
S’inspirant des œuvres des plus grands penseurs de la modernité, de Tocqueville à Muray, en passant par Marcel Gauchet, Raymond Aron ou encore Jean-Pierre Le Goff, revenant sur cinquante ans de vie intellectuelle, de la faillite du communisme à la création de la contre-culture, en passant par l’avènement du droit de droit-de-l’hommisme et de l’idéologie antidiscriminatoire, Mathieu Bock-Côté propose le décryptage lucide et sévère d’un autoritarisme qui ne dit pas son nom.
Sociologue (Ph. D), chroniqueur, figure de la vie intellectuelle québécoise, Mathieu Bock-Côté collabore au Débat, à Commentaire et au Figaro. Il est l’auteur de plusieurs livres, notamment Exercices politiques (2013), Fin de cycle (2012) et La dénationalisation tranquille (2007).
Frédéric G. Philip sur Breizh-info.com nous en parle un instant :
«On commencera avec Le multiculturalisme comme religion politique, véritable bréviaire pour tout conservateur qui souhaiterait comprendre pourquoi il doit raser les murs quand les « progressistes » (vous savez, ceux qui défendent pêle-mêle et de manière totalement inconditionnelle les droits des musulmans, des Noirs, des Roms, des lesbiennes, des gays, des trans, le droit à l’enfant et à l’euthanasie, la parité, l’identité de genre et j’en passe, ceux qui trouvent qu’il faut virer les mâles blancs du pouvoir, de l’entreprise, des médias, etc.) les plus imbéciles ont droit de cité partout et à longueur de temps. Une véritable généalogie du masochisme occidental, une histoire de l’omni-tolérance suicidaire et du triomphe des minorités comme résurgences d’un prolétariat dont l’embourgeoisement lui a fait oublier la révolution. Un travail abondamment référencé – marque d’une rigueur universitaire très anglo-saxonne –, indemne d’approximation, solide, éclairant, une vision distanciée d’un Occident européen avide de sa propre perte, désireux jusqu’à l’orgasme de disparaître dans la mélasse multiculturelle, dilué dans la masse de nouveaux gènes conquérants et hostiles à la blancheur, en rémission de ses péchés millénaires».                                                                                         
Monsieur Bock-Côté n’est pas un journaliste, il ne s’autorise pas la médiocrité du prêt-à-penser. 
Le débat public est aujourd'hui menacé par une certaine frange de la gauche qui diabolise l'idée de l'appartenance à une nation ou à une culture, selon lui. «Les défenseurs d'une certaine tradition sont évincés parce que considérés racistes et xénophobes, alors qu'ils ne sont aucunement haineux comme l'ont été les vrais racistes dans l'Histoire», dénonce-t-il. Pour ceux qui n’en seraient pas convaincu, il suffit par exemple de lire L’Obs du 14 avril. Page 5, l’éditorial de Natacha Tatu, intitulé Plaie Vive, nous explique une fois de plus qu’il est temps que la France «reconnaisse sa responsabilité» dans le génocide des Tutsis au Rwanda (et donc, sans doute, s’excuse aux yeux du monde, organise des commémorations, produise des lois mémorielles et offre quelques millions de dollars d’indemnisation ; puis se retire de sa zone d’influence pour y laisser s’installer les Américains qui, eux, sont vierges de tout crime supposé, comme le génocide des Indiens, Hiroshima, la ségrégation des Noirs ou les guerres de Bush-Cheney). Responsabilité, oui, pour avoir été le seul pays à accepter d’intervenir sous mandat ONU quand tous les autres s’en foutaient et pour avoir grandement limité la casse. Du reste, comme toujours lorsque l’on juge avec 25 ans de recul une tragédie de cette ampleur, les interprétations diffèrent largement. Et la perfection n’est pas de ce monde, surtout pas quand on est un militaire blanc au milieu de hordes d’hommes devenus bêtes sauvages, avides du sang des autres. Encore un peu et l’on viendra nous expliquer que les Français ont commis le génocide eux-mêmes. Les intellectuels de salon jugent et condamnent, les fesses sur leur canapé : quel courage ! Une écœurante résonance de ce France-bashing est à voir actuellement, dans plusieurs langues, sur France 24, la vitrine de notre pays à l’étranger (signalons au passage que les présentateurs de cette chaîne sont à une écrasante et indécente majorité des femmes : choix idéologique ? Qui s’en offusque, puisqu’il est politiquement correct), sous la forme d’un documentaire dont il n’est même pas besoin de vous livrer ici les conclusions… Dans de nombreux pays, l’à-plat-ventrisme de la France étonne et parfois même consterne. Nos «amis» américains ne nous appellent-ils pas affectueusement surrender monkeys (singes capitulards) ? Sortira-t-on un jour de cette spirale décliniste infernale ? Il est permis d’en douter. Le 25 mars dernier, une représentation des Suppliantes d’Eschyle, à la Sorbonne, a été empêchée par des activistes de la Ligue de Défense noire africaine, au motif de «racialisme». En effet, l’utilisation de maquillage noir par le metteur en scène Philippe Brunet a été perçue comme une allusion à certaines pratiques festives, visant à ridiculiser les Noirs dans certains États du sud des États-Unis. Au nom de «l’appropriation culturelle» –  encore une connerie triomphalement importée des États-Unis  –, seuls les Noirs ont le droit de parler des Noirs, et de s’en moquer le cas échéant, les Juifs des Juifs, etc. On ne dira pas bien sûr qu’en revanche tout le monde peut cracher sur les Blancs. Au nom du politiquement correct, il est donc permis de se demander si, demain, nous aurons encore le droit de cirer nos chaussures…»
Revenons à monsieur Bock-Côté.
Le débat public est aujourd'hui menacé par une certaine frange de la gauche qui diabolise l'idée de l'appartenance à une nation ou à une culture, selon lui. «Les défenseurs d'une certaine tradition sont évincés parce que considérés racistes et xénophobes, alors qu'ils ne sont aucunement haineux comme l'ont été les vrais racistes dans l'Histoire», dénonce-t-il.
Selon moi et plusieurs autres dont le Club Danton, Patrice-Hans Perrier sur Soverain.fr et à Rome madame le docteur Anca-maria-Cernea de l’Association des médecins catholiques de Bucarest, le populisme, la bien pensance, le politiquement correct, la rectitude politique, la société bobo-féministo-diversitaire, le systême, le prêt-à-penser, la mélasse multiculturelle, l’égalitarisme identitaire, la contre-culture, la classe, le freudo-marxisme, le marxisme Occidental ou même le néo-marxisme ne sont que du marxisme culturel.
Seulement personne n’ose le dire depuis que les marxistes culturels ont crus trouver la parade en déclarant l’expression comme d’extrême droite et faisant partie d’une soi-disant théorie du complot et aujourd’hui le disant antisémite.
Pour les amateurs de plaisanterie, Wikipedia.org (en Français) en donne la définition la plus récente suivante : «Dans son usage contemporain, la notion de marxisme culturel décrit une théorie du complot répandue dans les milieux conservateurs et d'extrême-droite d'après laquelle l'École de Francfort et la pensée politique de gauche sont à la base d'un complot qui vise à «détruire la culture occidentale». D'après les protagonistes de la théorie, le multiculturalisme et le politiquement correct sont le produit de la théorie critique et visent à détruire la société occidentale. La notion est employée par des figures du conservatisme américain, tels que William S. Lind, Pat Buchanan, Paul Weyrich et le think-tank américain conservateur Free Congress Foundation. Pour Jérôme Jamin, philosophe et professeur en sciences politiques, « Avec la dimension globale de la théorie du complot du marxisme culturel, nous avons assisté à l'apparition d'une autre dimension : celle qui permet à certains d'éviter le discours raciste classique et de prétendre qu'ils sont des défenseurs de la démocratie». (Monsieur Jamin est ce que j’appelle un marxiste culturel caricatural, il est issu du fameux «systême», licencié en Philosophie, maître en Relations internationales et politique européenne et Docteur en science politique, et chargé de cours au département de science politique de la Faculté de Droit de l’Université de Liège. Ses recherches portent sur la dynamique démocratique en Europe et aux Etats-Unis, le populisme (salaud de peuple), le nationalisme et l’extrême droite, les relations ethniques et la diversité culturelle. Les marxistes culturels d’aujourd’hui nettement conscient de la chose ont crus trouver la parade en disant : Le marxisme culturel est une théorie du complot, c’est m’sieur Jérôme Jamin le prof belge stalinien de l’Université de Liège en Belgique et susdit qui utilise ses fonctions afin de conduire des activités antinationales (Oui, vous avez bien lu antinationales !). Michel Colluci dit Coluche notre grand philosophe Français  disait : «Savez-vous maintenant que les Français ils nous prennent pour des imbéciles ? Ah, puis au début, ça est un peu ! Puis après ça est un gros peu, hein ! Hé, moi, je le sais bien, parce que je suis allé à Calais. Pendant le wikende. C'est parce que ma femme avait gagné des skis nautiques, et puis par chez nous, c'est tout plat, y a pas de lacs en pente, hein !». Monsieur Jamin est donc jusqu’à preuve du contraire un vrai métèque, un étranger (qui parle pas l’étranger mais pas français tout de même) Coluche disait aussi : «Ce serait raciste de penser que les étrangers n'ont pas le droit d'être cons». Vous allez me : «oui mais certains suisses aussi parlent Français», d’accord Coluche y avait pensé en disant : «Les Belges et les Suisses, c'est les deux seuls qui ont pas compris qu'en fait c'était la même chose. C'est à cause de la distance, là-bas, ils se disent, c'est sûrement pas pareil, mais ils se gourent... Non parce que un vrai con en Suisse, c'est un Belge, mais dans l'ensemble ça valait pas le coup de faire deux pays rien que pour ça, hein, ils auraient pu se démerder...  et aussi : «J'ai eu des plaintes des Suisses: "Monsieur, vous faîtes toute une publicité aux Belges, tout ça. Alors que nous on a les Suisses-Allemands, ils sont largement aussi cons!».) Naturellement les gauchistes internationaux décrivent le marxisme culturel lui-même comme une «théorie du complot», dans le but de délégitimer leurs critiques. Également connu sous le nom de «gauche régressive» - un jeu de mot sur leur nature contradictoire, en particulier sur la manière dont les gauchistes et autres marxistes culturels se décrivent comme «progressistes» tout en affichant de fortes tendances autoritaires et «régressives».
Pourtant il y a quelques années Wikipédia donnait une tout autre version de l’expression «marxisme culturel». Celle-ci une définition fort succincte abolissant le rôle de Lénine, Lukacs et Münzenberg et plus tard de Gramsci n’était pas écrite par des marxistes : «Le marxisme culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par l'école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident. Il s'agit d'un moyen culturel et non-révolutionnaire pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu».
Sur Conservapedia (En anglais) la définition américaine est elle aussi assez succincte mais déjà plus réaliste : «Le marxisme culturel est une branche de l'idéologie marxiste formulée par l'école de Francfort, qui a ses origines au début du XXe siècle. (Par contre eux aussi sont contaminés par la fameuse «théorie du complot» absurdité qui oblige certains comme le sociologue Jean-Pierre Le Goff en 2013, à qualifier le marxisme culturel de gauchisme culturel. Toutes les sources évoquées que j'ai pris le temps de lire et d'étudier dans le détail ne prouvent en aucun cas que le marxisme culturel serait une «théorie du complot» répandue «dans les milieux conservateurs et d'extrême-droite», mais elles prouvent seulement que des partisans de la théorie marxiste accusent les observateurs du marxisme culturel de prôner une théorie du complot. Sans en apporter la moindre preuve. L'erreur sémantique, syntaxique et logique qui est commise sur la plupart des pages du web consacrées au sujet, est ainsi de même nature que si un article alléguait que la terre est plate au motif que des sources qui émaneraient toutes de partisans «platistes» allégueraient que la terre est plate). Le marxisme culturel est devenu un thème central pour de nombreux sites Web de théoriciens du complot qui cherchent à dissimuler leurs messages antisémites et antijuifs derrière un sujet légitime. Il est vrai que beaucoup de membres de l'école de Francfort étaient juifs, mais leur gros problème était qu'ils étaient marxistes». (Pour moi un juif marxiste n’est plus juif, c’est un érev rav (Le érèv rav (hébreu : עֵרֶב רַב «tourbe nombreuse») ou assafsouf (hébreu : אסַפְסֻף «ramas») est un groupe d’étrangers se joignant aux Hébreux lors de l’Exode hors d’Égypte. La tradition juive en fait des convertis insincères, responsables des fautes d’Israël dans le désert et des comportements indignes se manifestant toujours parmi les Juifs. L’expression «théorie du complot» est dans le cas du marxisme culturel utilisée de façon idéologique et politique par les marxistes culturels eux même. Sous forme d'accusation, elle sert à discréditer l’opinion ou une théorie qui, sans pour autant être conspirationnisme, fait intervenir l'interprétation d'intentions humaines, ce qui, selon Wilhelm Dilthey, est le cas de toute théorie en sciences humaines et sociales. À ce propos, le sociologue Patrick Champagne et le politologue Henri Maler dénoncent les limites très floues du concept de «théorie du complot» ; ils désapprouvent l'usage abusif de l'expression pour étiqueter une théorie ou une opinion, en particulier dans l'espace médiatique où cela peut avoir des conséquences diffamatoires) : «[...] la théorie de «la théorie du complot» remplit des fonctions sociales et idéologiques relativement puissantes et cela d’autant mieux qu’il ne s’agit pas d’une véritable théorie, c’est-à-dire d’un ensemble de propositions cohérentes, discriminantes et falsifiables. Elle annexe à des critiques qui peuvent être fondées des imputations sans preuves qui fonctionnent alors comme de simples calomnies. Et la calomnie peut frapper d’autant plus largement que la théorie de «la théorie du complot» telle qu’elle est construite, est un vaste fourre-tout attrape-tout qui fonctionne par association de mots et mélange tous les genres : journalistiques et scientifiques, théoriques et polémiques, militants et politiques».
Maintenant ma version du marxisme culturel : Le marxisme culturel est une idéologie mortifère ! C’est ce que monsieur Bock-Côté, Eric Zemmour avec bien d’autres, légèrement contaminés et peut-être apeurés par le côté dit conspirationnisme d’extrême droite et aujourd’hui antisémite et nazi par des idéologues marxistes culturels, appellent encore du Politiquement correct ou de la bien bienpensance. 

                                                                                                  
Le jeudi 25 août 2011 j'écrivais que le marxisme-culturel n’étais pas une théorie du complot une mode ou une convenance, pas plus que du politiquement correct mais bien une idéologie, également connue effectivement sous le nom de «politiquement correct», autre approche du Marxisme, mise au point par des Marxistes, en vue de détruire la civilisation occidentale, en instituant la tyrannie des minorités - raciales, culturelles, sexuelles, religieuses - sur la majorité traditionnelle. Cette opinion a été reprise en 2015 mot pour mot sur ripostelaique.com par André Galileo qui a «creusé le sujet», c’était assez facile le trou était déjà fait ! Une des actions engagée par ces marxistes culturels est le «décervelage de l'opinion», il s’agit bien d’une entreprise de «décervelage» menée avec des méthodes propagandistes et subversives par des marxistes suivant des méthodes mises au point dans l’ex-URSS puis en Allemagne par les érev rav marxistes de l’école de Francfort et par le rital rouge Antonio Gramsci au début du XXème siècle. Après le rejet des révolutions hongroises et allemandes de 1918, Lénine est bien obligé de constater que son propre coup d'État ne survit que par la terreur la plus abjecte. Il fallait trouver autre chose ! En 1922 il convoque à l'Institut Marx-Engels de Moscou une réunion du Kominterm afin que Lukács et Münzenberg puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de l'Occident : au marxisme économique par le soulèvement du prolétariat ils proposaient de substituer le marxisme culturel par la subversion des intellectuels. Le chemin serait long mais la victoire certaine. Willi Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat». Des intellectuels marxistes internationaux fondèrent en 1923, l’École de Francfort afin d’étudier les causes de ces échecs. Elle rassemblait des pseudos socio-philosophes  autoproclamés universitaires  tels que Horkheimer, Wiesengrund, Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Habermas, Lukacs… assistés par Sigmund Freud.
Constat: Les Peuples rejetaient le marxisme. 
Question: Y aurait-il une erreur dans la doctrine ? 
Réponse : Impossible. L’erreur est dans l’immaturité des peuples.  
Conclusion: il faut changer les peuples avant de prendre le pouvoir.
Herbert Marcuse écrit : «C’est le peuple qui n'a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire … mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s'en détourner en adhérant profondément aux institutions définissant la civilisation occidentale. Qu'une conscience non révolutionnaire - ou plutôt antirévolutionnaire - prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux». Et il continue: «Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d'un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées».
 
Cette doctrine ils l’ont appelé «Marxisme Culturel», ou Déconstructivisme. Plus connue sous le nom de Politiquement Correct faisant malheureusement abstraction de sa structure idéologique marxiste (c’est évidemment ce que je reproche à messieurs Zemmour et Bock-Côté). En Europe comme aux États-Unis les méthodes employées pour détruire le pouvoir blanc sont les mêmes : fragmentation de la société, immigration, communautarisme, métissage, affirmative action, mariage homosexuel, destruction de la famille, de la nation etc..
Les mots étant des armes il était impératif d’infiltrer et de prendre le contrôle des lieux dans lesquels sont dispensées les valeurs, c'est-à-dire, l’école, l’église, la justice, les médias, les partis politiques, les milieux artistiques, … afin d’y détruire les valeurs anciennes et de les utiliser pour dispenser de nouvelles «valeurs». Ce fut fait. On pouvait dorénavant façonner la pensée des peuples, promouvoir la fragmentation de la société en minorités, religieuses, raciales, sexuelles, et dresser ces minorités contre la majorité traditionnelle culpabilisée qui n’avait plus d’autre choix que de se taire. C’est d’ailleurs pourquoi messieurs Bock-Côté ou Zemmour n’osent pas dire la vérité ! Au moindre écart de langage le terrorisme de la pensée unique vous traîne devant les tribunaux (et j’en sais quelque chose), en brandissant jusqu’à plus soif les clichés éculés de l’antisémitisme, de la xénophobie, du racisme, de l’islamophobie, du fascisme, de l’homophobie, du nazisme, de la puanteur nauséabonde, des heures les plus sombres, etc. Cela se fait toujours au nom de causes nobles, charitables, compassionnelles, antiracistes, droit-de-l‘hommistes. Nous en sommes témoins tous les jours. En plus de l’entrisme, les marxistes ont utilisé leur arme préférée : la démagogie. Dans toutes les sociétés, il y a des motifs de mécontentement. Les subversifs marxistes les exploitent par la propagande en les amplifiant de façon à attirer de nouveaux fidèles. Le marxisme économique s’était spécialisé dans l’exploitation de la misère ouvrière pour accroître son cheptel. Le marxisme culturel a aussi utilisé la démagogie pour se trouver de nouveaux adeptes. Ils ont essayé d’exploiter le ressentiment des noirs américains, l’ostracisme qui frappait les homosexuels, le statut de la femme, les problèmes d’environnement, … Dans tous les cas, l’objectif est et reste de se poser en défenseur des opprimés, vrais ou faux (ils ne reculent pas devant l’idée de fabriquer de faux opprimés, par exemple, en France avec les immigrés) pour se donner une image sympathique et en profiter pour détruire les valeurs honnies, par exemple la famille, et les remplacer par d’autres. Les marxistes culturels sont donc des manipulateurs qui exploitent le ressentiment d’autrui pour atteindre leurs objectifs. Pourtant derrière chacune des actions des marxistes culturels se trouve un ou plusieurs objectifs très précis visant à leur permettre d’instaurer leur règne. La lutte excessive pour les «droits» des homosexuels et autres «genres» ou des femmes contre leur mari leur permet de détruire l’institution familiale, cercle important de la transmission des valeurs et aussi de favoriser l’hyper-féminisation de la société afin de réduire son potentiel de défense face à l’agression. La lutte pour l’«antiracisme» et le «métissage» et la promotion du «multiculturalisme» leur permet de détruire l’identité nationale donc la nation, c'est-à-dire un lieu majeur de transmission des valeurs. L’immigrationnisme a le même objectif, remplacer un peuple rétif mais instruit par un peuple importé peu éduqué donc manipulable. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’action contre l’immigration choisie, les gauchistes marxistes culturels par essence ne tiennent pas à voir arriver des migrants éduqués donc non manipulables. De plus, les mêmes ne souhaitent pas voir arriver des migrants ayant la capacité de s’intégrer rapidement ce qui ne permettrait pas d’exploiter leur ressentiment pour les attirer à soi. La lutte contre les «pollueurs» vise à ruiner la productivité du capitalisme en le soumettant à des normes coûteuses et à paralyser son développement en déconsidérant le progrès économique. Elle vise aussi à promouvoir le collectivisme, puisqu’au nom de la lutte contre la pollution, on vise à supprimer le transport individuel au profit du transport collectif. La lutte contre les exactions vraies ou supposées de la police et de la justice, ainsi que contre les forces d’«ordre», vise à détruire les résistances de la société face à une prise de pouvoir violente et aussi à essayer de démontrer que la démocratie est inefficace pour régler les problèmes. Il n’est que de voir le phénomène des «Gilets jaunes» récupéré par la CGT communiste. La lutte pour la «paix» mâtinée d’antimilitarisme vise aussi à détruire une force d’ordre et surtout à inhiber et délégitimer les défenses de l’occident contre les agressions extérieures. La lutte contre l’«impérialisme américain» vise à détruire le pays qui est devenu le centre idéologique et le bras armé de l’occident. À noter qu’en France, les marxistes culturels exploitent le ressentiment et la jalousie des élites françaises par rapport aux succès du monde anglo-saxon qu’elles sont incapables d’égaler entre autres, à cause de leur incapacité à combattre le marxisme culturel.  
La lutte pour les «droits de l’homme» vise à paralyser et à discréditer la démocratie en exploitant au maximum les ressources offertes par le droit.
La liste de ces «luttes» n’est pas exhaustive et mériterait d’être étudiée plus en détail mais elles visent toutes les mêmes objectifs:
• Détruire les valeurs honnies,
• Affaiblir le capitalisme,
• Affaiblir la démocratie libérale,
• Affaiblir les résistances de la société face aux agressions afin de faciliter la prise de pouvoir,
• Diviser la société en attisant les haines internes afin de faciliter la prise du pouvoir ce qu’ils ne pourraient pas faire par les élections,
• Détruire l’individualisme qui permet la résistance, instaurer le pessimisme afin de faire prévaloir la résignation,
• Essayer de dominer en culpabilisant,
• Détruire l’esprit critique.                                                    
Et tout cela est fait en s’abritant derrière des valeurs nobles mais avec pour objectif de supprimer la liberté individuelle et d’instaurer un totalitarisme acceptable car dissimulé derrière un masque de moralité.
Dans le marxisme traditionnel, le pouvoir du socialisme est garanti par la dictature du prolétariat sur les autres classes. Dans le marxisme culturel, une autre classe est chargée de maintenir la dictature sur la société, elle est composée d’intellectuels souvent autoproclamés, de journalistes stipendiés , de leaders d’opinion et même de politiciens vendus qui sont chargés de faire appliquer cette ligne du parti et de diffuser l’idéologie bien-pensante. La dictature du prolétariat est devenue la dictature du bien-pensariat.                                                                                   Ce «bien-pensariat» utilise ses positions d’influence pour faire avancer son agenda consistant à promouvoir leurs «vérités» et le «bien» par le mensonge et la culpabilisation. Ceux qui s’opposent à ces «vérités» ou à ce «bien» sont immédiatement victimes de la version moderne de l’inquisition, c'est-à-dire la vague de dénigrement et de calomnie politico-médiatique qui ne permet que trois options: la «repentance», c'est-à-dire la conversion, la «mort», c'est-à-dire, l’ostracisme et la mort par l’oubli ou l’exil. Cette technique est exactement la même que celle qu’employait l’inquisition contre les juifs à qui on laissait trois choix: se convertir, rester et mourir ou partir pour survivre. Ainsi fut installée la tyrannie des minorités sur la majorité traditionnelle, préalable à la destruction de la substance des peuples d’Occident. Ainsi le Marxisme Culturel s'est ainsi imposé suivant une stratégie ébauchée en 1922 à Moscou, élaborée à Francfort, parachevée ensuite à New York. Avant de s'attaquer à l'Europe il a d'abord investi les grandes universités américaines puis toute la société. Sous le nom de Political Correctness il asservit maintenant tout l'Occident.
Les outils :
- Enseignement du sexe, de l'homosexualité et de la transsexualité aux enfants. (Georg Lukacs), soit une transgression par apport à la morale traditionnelle, un bonbon pour attirer les gogos et une autre source de clivages (homos et hétéros).
- Immigration exotique massive afin de détruire physiquement l'identité des peuples blancs et de cliver la société.
- Destruction de la famille et de la nation afin de détruire l’identité psychique des peuples blancs.
- Destruction de l’éducation et création d’une novlangue pour crétiniser et ôter les repères.
- Multiplication des obstacles à la natalité blanche. Avortement, destruction du mariage et de la cellule familiale stable.
- Dénigrement/ringardisation de l'Église pour détruire les repères moraux et culturels fondateurs..
- Noyautage de la magistrature afin de culpabiliser les victimes au lieu des criminels.                                                                               - Dépendance à l'Etat et aux allocations publiques afin de créer une clientèle aux ordres.
- Contrôle et crétinisation des media pour détruire la faculté de jugement.
- Substitution de la famille patriarcale par la famille monoparentale, voire homoparentale, afin d'éliminer l'influence néfaste du mâle blanc
C’est ce même terrorisme qui vole au secours des Frédéric Mitterrand, Cohn-Bendit, Polanski, auteurs d’actes pédophiles avoués, mais monte des cabales aussi ignobles qu’infondées contre Pie XII et Benoît XVI, Rome étant le symbole haï de l’Empire Chrétien d’Occident.
C’est même terrorisme qui a instrumentalisé la Shoah, l’esclavage, la colonisation pour en faire des épouvantails devant lesquels on ne peut que s’incliner.
Ainsi, de Los Angeles à Varsovie, les media asservis sapent nos civilisations en vue de l’établissement d’un Ordre Nouveau marxiste.
Mon bon maître Frédéric Bastiat, dans « La Loi» (1850) a dit «Il y a trop de grands hommes dans le monde; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper d'elle».
Après notre séance culturelle revenons au sieur et frère Jamin l’auteur d’ouvrages antinationaux (encore un croyant au petit Jésus soviétique et à l’internationale humaniste sorte de mythomane de la pensée unique. Tiens pendant que nous y somme, si on parlait cinq minutes d’un très beau président communiste de race noire. J’ai nommé l’ancien président zimbabwéen Robert Mugabe, qui a remis sa démission en 2017 après 37 ans de pouvoir. C’est bien lui en bon marxiste qui a dit en 2003 : «Je suis le Hitler de notre époque. Cet Hitler n'a qu'un seul objectif, la justice pour son peuple, la souveraineté de son peuple, la reconnaissance de l'indépendance de son peuple et son droit à disposer de ses richesses. Si c'est ça être Hitler, eh bien laissez-moi dix fois être Hitler». Et aussi en 2015: «Je ne veux plus voir de Blancs», sans oublier que les homosexuels sont depuis 2015 : «pires que des chiens ou des cochons (...) Ceux qui le font, eh bien nous dirons qu'ils sont entêtés (...) C'est de la pure folie, de l'insanité (…) Que l'Europe garde son absurdité homosexuelle pour elle et qu'elle ne vienne pas ici avec». Et cerise sur le gâteau rouge de la haine marxiste : «Je suis d'accord avec vous, les grands propriétaires ont des cœurs de pierre, on croirait qu'ils sont juifs». Ce n’est pas beau le marxisme ? ). Le frère Jamin a participé le 8 mai 2014 à une conférence antinationale d’une journée organisée à Liège par l'association maçonnique antinationale Territoires de la mémoire (Territoires de la mémoire est une association liégeoise, financée en partie avec des fonds publics et aux mains des loges maçonniques, dont l’objectif est d’instrumentaliser la Seconde guerre mondiale à des fins politiques (méthode très marxiste culturelle que l’instrumentalisation de l’histoire surtout en mentant comme un arracheur de dents). Territoires de la mémoire tente d’assimiler les patriotes et nationalistes à la collaboration et les antipatriotes et les antinationalistes à la Résistance. Cette présentation des faits est clairement une escroquerie intellectuelle puisque le parti socialiste de l’époque a trempé durant la Seconde guerre mondiale dans la collaboration. Son président, Henri De Man, a collaboré. Le bourgmestre (maire) socialiste de Liège de l’époque Joseph Bologne a donné la liste des communistes aux occupants allemands, ainsi que les lieux de réunion des communistes et le nom des cafés qu'ils fréquentaient, et la police liégeoise, qui était sous son contrôle, a fourni des listes de juifs aux autorités d'occupation allemandes. Par contre, les premiers résistants liégeois ont été les membres de la Légion Nationale, une organisation fasciste dont le dirigeant Paul Hoornaert est mort en déportation en Allemagne. De nombreux nationalistes et monarchistes ont été résistants et sont morts en déportation). Le «frangin» Jamin dirige le Centre d’études Démocratie (sans hurler de rire) qui conduit des activités antinationales. Dans un opuscule consacré à l’imaginaire du complot dans ce que ce monsieur dit être le discours d’extrême droite en France et aux Etats-Unis, ce Frangin belge une fois aurait eu l’occasion de décrire les trois principales catégories d’acteurs dans les théories du complot (Jamin, Jérôme, L’imaginaire du complot. Discours d’extrême droite en France et aux Etats-Unis. Amsterdam University Press, collection 1999, pp. 45-55)). Le professeur de l'Université d'Oxford Matthew Feldman trace l'étymologie du terme jusqu'à la notion allemande de l'avant-guerre de «bolchevisme culturel», partie du discours de «dégénération de la société», qui contribue à l'avènement au pouvoir d'Adolf Hitler. (Le professeur Matthew Feldman un marxiste culturel caricatural d’ultra gauche socialiste est un spécialiste auto proclamé de l'idéologie fasciste et de l'extrême droite en Europe et aux États-Unis. On pourrait dire de lui, parodiant sir Winston Churchill: «Christophe Colomb fut le premier socialiste: il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait, et tout cela aux frais des autres». Il a longtemps étudié l'interaction entre la politique et la foi dans le monde moderne et a enseigné ces sujets pendant environ deux décennies aux étudiants et étudiantes du premier et du troisième cycle. Professeur émérite d'histoire des idées modernes à l'Université de Teesside, en 2013, le professeur Feldman dirigeait la première unité britannique consacrée à l'analyse de l'extrémisme radical de droite, le Centre d'études fascistes, antifascistes et post-fascistes).                                                                                                
Maintenant en 2019 on en est arrivé à ce qu’un organisme juif britannique considère «marxisme culturel» comme une insulte antisémite, c’est dire si maintenant la théorie du complot d’«extrême droite» a fait flores !
Le Conseil des députés des Juifs britanniques a critiqué madame Sue-Ellen Cassiana Braverman (née Fernandes), une ancienne ministre conservateur pour avoir utilisé le terme «marxisme culturel» dans un discours, une référence (sic) à une théorie de la conspiration (resic) souvent associée à l’extrême droite et alors là ça vient de sortir à l’antisémitisme :
Le député travailliste (Ultra gauche marxiste culturelle) Wes Streeting a déclaré que Madame Braverman devrait s’excuser d’avoir utilisé un «terme laid et répréhensible à connotations antisémites» (Le délire marxiste ne s’arrêtera donc jamais allant de plus en plus loin dans le mensonge et l’abjection communiste). Il a ajouté : « Les députés devraient être mieux informés et elle devrait s’excuser immédiatement...»
Hope not hate, (HOPE not hate est un groupe de défense des droits de l’homme d’extrême gauche c’est-à-dire pleinement marxiste culturel basé au Royaume-Uni, sorte de MRAP à l’anglaise) milite contre le racisme et le fascisme et cherche à associer des recherches de premier ordre à des actions d'organisation et de lutte contre la haine menées par les communautés pour éliminer les groupes haineux lors d'élections et à renforcer la résilience des communautés contre l'extrémisme») le groupe d’ultra gauche marxiste culturel surveille les groupes qu’il juge d’extrême droite et a déclaré qu’il était  «profondément troublant» de voir un député utiliser un tel langage. (Le crapuleux fascisme rouge collectiviste et marxiste culturel nidoreux montre encore une fois son vrai visage, nulle recherche de débats d’idées, juste la vieille technique de la reductio ad Hitlerum sur fond de chasse à l’homme et ce en lançant l'anathème ! En vous accusant de racisme, d’eugénisme, de xénophobie, de sexisme, d’esclavagisme, colonialiste, impérialiste, d’être un petit blanc réactionnaire, de sionisme, d’être libertarien, identitaire, frontiste, extrémiste de droite et maintenant en vous qualifiant d’antisémite, en fait en vous excluant du genre humain ces marxistes culturels se discréditent totalement. Le ou la «journaliste» marxiste culturel a une pensée intellectuelle faible et généralement un QI de moule qu’elle compense en disqualifiant par des mots à forts impacts psychologiques tous les contradicteurs un peu trop convaincants. Le collectiviste socialiste marxiste culturel est sans scrupule, sa bonne conscience l'autorisant à user de la pire mauvaise foi et des sophismes les plus ridicules, genre : «Une mouche à merde a deux yeux, le populiste néonazi d’ultra droite aussi, il est donc une mouche à merde (vous aurez remarqué l’apparition récente du terme populiste qui remplace extrême droite qui ne fait apparemment plus recette chez les marxistes culturels à court d’arguments). Il est inutile de voir en un marxiste culturel un être humain doué de conscience, il ou elle est plus proche psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe éthique). 
                                                                                                                  La députée de Fareham, qui a démissionné de son poste de ministre junior du Brexit à la fin de l’année dernière, a utilisé ce terme dans une partie de son discours qui condamnait ce qu’elle a appelé une culture croissante de censure. S’exprimant lors d’un événement sur le Brexit organisé par le groupe de réflexion eurosceptique du Groupe de Bruges, Madame Braverman a défendu ses mots après qu’un membre du public (un lobotomisé marxiste culturel ?) les eut remis en question et noté qu’ils avaient été utilisés dans le manifeste d’Anders Breivik, terroriste norvégien d’extrême droite. (Il est évident pour beaucoup, hormis les marxistes culturels que Breivik n’est pas un homme d’extrême droite, ni n’est un ultranationaliste néonazi ou chrétien comme certains marxistes culturels voudraient le faire croire : voir ici, l'auteur des deux attaques en Norvège (77 morts) c’est très largement inspiré en en recopiant des pages entières et en ne changeant que le mot «socialiste» par le terme de marxiste culturel du «livre» de l’écolo anarchiste et terroriste Kaczynski pour écrire son manifeste Déclaration européenne d'indépendance, Theodore John Kaczynski, était cet anarchiste anticapitaliste, militant écologiste, néo-luddite et terroriste américain plus connu sous le nom de «Unabomber» ( Monsieur Alain Soral dira avec juste raison : Le manifeste de Breivik est un grossier plagiat de Théodore Kaczynski, «La société industrielle et son avenir», mais en détournant l’œuvre originale pour lui donner un sens principalement raciste, teinté d’une sorte de mysticisme maçonnique. Les postulats principaux de Kaczynski, théorisés dans son manifeste, «La société industrielle et son avenir» peuvent se définir en quatre points: 

1.Le progrès technologique nous conduit à un désastre inéluctable;                                                                                              
2. La gauche politique est la première ligne de défense de la Société technologique contre la révolution ; 

3. Ce qu’il faut, c’est un nouveau mouvement révolutionnaire, voué à l’éradication de la société technologique, et qui prendra des mesures pour tenir à l’écart tous les gauchistes et consorts. 

Selon Kaczynski, la révolution industrielle conduit nécessairement à un ordre économique et politique de plus en plus contraignant qui détruit la nature vierge, réduit la liberté individuelle, transforme l’homme en simple rouage du système technologique, et à court terme détruira l’espèce humaine elle-même. «Ce système n’existe pas pour satisfaire les besoins des hommes, et n’en est pas capable. Les désirs et le comportement des hommes doivent en fait être modifiés pour satisfaire aux besoins de ce système», écrit-t-il dans «La société industrielle et son avenir»). De plus «Je suis antinazi», avait déclaré Breivik lors de son procès en réponse à la question d'un juge, ce qui est étonnant pour un homme que la merdiatocrassie marxiste culturelle qualifie «d’extrême ou d’ultra droite nationaliste néonazi»). Breivik qualifiera la religion séculière marxiste d’état de cultural marxism comme François Medioni pour LibertyVox de marxisme culturel. Ici une explication en anglais, monsieur Marcin Krol donne du marxisme culturel une définition intéressante cliquez ici, Traduction : «Méthodologiquement, (le marxisme culturel) c'est la projection de la division de classe marxiste du bourgeois / prolétariat, classe oppressive / classe opprimée, sur n'importe quelle catégorie sociale ou humaine que vous pouvez penser - homme / femme, blanc / noir, vieux / jeune, etc. Dans cette «vue», il n’y a fondamentalement aucune cause de mouvement dans le monde, mais l’oppression et la discrimination. Par exemple, un sans-abri peut appartenir à une classe privilégiée (les hommes) accusée de sexisme, mais il est aussi «opprimé» dans la division économique. Quoi qu'il arrive, c’est le résultat de l'oppression ou de la discrimination de ce genre ou de l'autre. Au fond, le marxisme culturel est une attitude émotionnelle d'agression passive: le marxiste culturel continue de charger un sceptique d'un parti pris supposé de la classe oppressante de toutes sortes, s'attendant à ce que le sceptique se soumette de manière émotionnelle. C’est une manière de chercher la domination en faisant jaillir de bonnes intentions tout en gardant l’autre partie sur la défensive qui doit continuer à expliquer que «non, non, je ne suis pas raciste / sexiste…».
Revenons à l’affaire de Madame Braverman.
Le marxisme culturel s’articule autour d’une théorie de la conspiration selon laquelle les érudits marxistes de l’école de Francfort dans l’Allemagne de l’entre-deux-guerres ont conçu un programme manipulateur de politique progressiste (curieusement ils se vendent tout seul) visant à miner les démocraties occidentales.
Beaucoup d’universitaires du mouvement de la théorie critique étaient juifs, et l’idée du marxisme culturel est étroitement associée aux théories du complot antisémite (la théorie du complot antisémite il fallait la trouver celle-là ! Certes la plupart des membres de l’école de Frankfurt étaient des érev rav, de faux juifs, des sans Dieu marxistes, la «tourbe nombreuse» ou assafsouf «ramas», ressemblants comme deux gouttes d’eau à ce groupe d’étrangers se joignant aux Hébreux lors de l’Exode hors d’Égypte. La tradition juive en fait des convertis insincères, responsables des fautes d’Israël dans le désert et des comportements indignes comme le marxisme criminel (150 millions de mort et ce n’est pas fini) se manifestant de tout temps parmi les Juifs). 
                                                                                                 Dans son discours, Braverman a dit : «Nous sommes engagés dans de nombreuses batailles en ce moment. En tant que conservateurs, nous sommes engagés dans une bataille contre le marxisme culturel, où l’interdiction devient de rigueur, où la liberté d’expression devient un tabou, où nos universités et institutions quintessentielles du libéralisme, sont enveloppées dans une censure et une culture nettement déconstructiviste». Après le discours, au cours d’une période de questions/réponses, on a demandé à la députée si elle était d’accord avec l’expression, étant donné ses liens avec l’extrême droite. Elle a dit : «Oui, je crois que nous sommes dans une bataille contre le marxisme culturel, comme je l’ai dit» (Les prétendus liens avec une prétendue «extrême droite» sont ici fantasmée par les marxistes culturels Anglais et particulièrement les érev rav s’affublant du nom de «juifs» alors qu’ils sont sans Dieu !). Il n’y a rien de «théorique» sur le fait que le marxisme culturel soit juif. Il a été conçu et promu par les juifs, et leurs propres écrits admettent que leur but était de déconstruire la civilisation chrétienne occidentale qu’ils percevaient comme étant antagonique aux intérêts juifs (Comme de nombreuses personnes, madame Braverman avec des gens aussi différents qu’Alain Soral, Eric Zemmour avec Mathieu Block Côté ne fait pas la différence avec l’érev rav marxiste culturel ancien juif  et le véritable juif. Il est peu connu que le marxiste Staline était l’équivalent d’Hitler en URSS, voir : la Nuit des poètes assassinés (Solomon Losovski et Peretz Markish) et le Complot des blouses blanches à propos des théories du fameux «complot» juif) Et les Juifs n’aiment pas que leurs critiques utilisent le terme «marxisme culturel» parce que ce n’est qu’une étape logique avant d’exposer une autre tentative subversive dans laquelle les Juifs ont été impliqués. Quand Hitler est arrivé au pouvoir en Allemagne, les Juifs de l’école de Francfort (Tous marxistes en train de théoriser le marxisme culturel) ont fui le pays et ont fini par occuper des postes lucratifs dans les universités d’élite à travers l’Amérique où ils ont endoctriné la génération de l’après-guerre dans le marxisme, qui est devenu la base de la «contre-culture» des années 60. Le point crucial est que les Juifs sont fiers des «intellectuels» de l’école de Francfort, alors que les conservateurs blancs la diabolisent ouvertement, et quiconque la diabolise doit être un antisémite.
Finalement Soral, Zemmour, Bock-Côté, qui dénoncent avec d’autres le «politiquement correct» et qui n’osent pas l’appeler par son vrai nom de marxisme culturel et en donner les origines par une peur viscérale des clichés, des étiquettes que l’on collera sur eux comme celles des camemberts, de toutes ces fausses insinuations de racisme et même aujourd’hui d’antisémitisme sous-jacents qui mettent dans une case une personne politiquement incorrecte et non «progressiste» qui ne pense pas comme cette toute bien-pensance marxiste culturelle hypocrite complice des pires crimes contre l’humanité marxistes et communistes qui continuent à sévir de nos jours, deviennent des adeptes de la bien pensance qu’ils dénoncent. On sait depuis 2004 qu’un camp de prisonniers nord-coréen fait fonctionner une chambre à gaz homicide voir aussi ici vous étiez au courant ?
Remarquez qu’il y a déjà 47 ans, Mr Poniatowski (ancien ministre) écrivait dans son livre-testament particulièrement «politiquement incorrect» une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer, ....
La voici : «Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluriethnique et pluriculturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…) Ces pages peuvent apparaître cruelles, mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain.  Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses  éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera  des envahisseurs illégaux.  Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale. Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit. Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?....  La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ?.... En miettes !!!.... La France est à l’abandon, et en décomposition à travers le monde. Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État. (…) Si la vérité vous choque, faites en sorte qu'elle devienne acceptable mais ne bâillonnez pas celui qui en dénonce l'absurdité, l'injustice ou l'horreur ..... »

Alors messieurs Zemmour, Bock-Côté et les autres, vrais journalistes patriotes, arrêtez par pitié avec le politiquement correct, je vous supplie d’employer l’expression juste, c’est-à-dire le MARXISME CULTUREL. Marxisme culturel créé par Lénine dès 1922.
J’attends des gauchistes, marxistes, communistes, marxistes culturels et assimilés une critique argumentée de l’histoire suivante :
 Une des actions engagée par les marxistes culturels est le «décervelage de l'opinion», il s’agit bien d’une entreprise de «décervelage» menée avec des méthodes propagandistes et subversives par des marxistes suivant des méthodes mises au point dans l’ex-URSS puis en Allemagne par les érev rav marxistes de l’école de Francfort et par Antonio Gramsci au début du XXème siècle.
Après le rejet des révolutions hongroises et allemandes de 1918, Lénine constate que son propre coup d'État ne survit que par la terreur. Il fallait trouver autre chose ! En 1922 il convoque à l'Institut Marx-Engels de Moscou une réunion du Kominterm afin que Lukács et Münzenberg ses adjoints à ce niveau puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de l'Occident : au marxisme économique par l’hypothétique soulèvement du prolétariat ils proposaient de substituer le marxisme culturel par la subversion des intellectuels. Le chemin serait long mais la victoire certaine. Willi Münzenberg, grand architecte de la désinformation sous Lénine, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat». Puis des intellectuels marxistes internationaux fondèrent en 1923, l’École de Francfort afin d’étudier les causes de ces échecs. Elle rassemblait de pseudos socio-philosophes  autoproclamés, des universitaires  tels que Horkheimer, Wiesengrund, Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Habermas, Lukacs… assistés par Sigmund Freud. Qui posaient comme constat: Les Peuples rejetaient le marxisme.                                                                                Question: Y aurait-il une erreur dans la doctrine?                         Réponse : Impossible. L’erreur est dans l’immaturité des peuples.                                                                                  Conclusion: il faut changer les peuples avant de prendre le pouvoir. 
                                                                                               Herbert Marcuse écrira : «C’est le peuple qui n'a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire … mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s'en détourner en adhérant profondément aux institutions définissant la civilisation occidentale. Qu'une conscience non révolutionnaire - ou plutôt antirévolutionnaire - prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux». Et il continue: «Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d'un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées».                                                                                                                                            
Cette doctrine ils l’ont appelé Déconstructivisme ou «Marxisme Culturel». Plus connue sous le nom de Politiquement Correct faisant malheureusement abstraction de sa structure idéologique marxiste. En Europe comme aux États-Unis les méthodes employées pour détruire le pouvoir blanc sont les mêmes : fragmentation de la société, immigration, communautarisme, métissage, affirmative action, mariage homosexuel, destruction de la famille, de la nation etc. 
Les commentaires sont libres sur ce blog alors mesdames et messieurs à vos plumes, j’attends vos dénégations et vos arguments ! Sachez aussi que je comprendrais que l’on me dise que Marcuse avait plus ou moins raison de dire «Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées». Beau sujet de débat non ?   

Michel Alain Labet de Bornay




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Lisez ou faites lire NOTE 9.


Dans son ouvrage dénommé le «manifeste» le tueur dit d’extrême droite et néanmoins Franc Maçon norvégien Anders Behring Breivik, disait haïr trois idéologies: l’islam, le marxisme culturel (dans lequel Breivik rangeait le multiculturalisme) et le nazisme. Breivik s’est défini lui-même comme «Anti-Nazi». Son livre le manifeste est quasiment copié mots pour mots sur le Manifesto de Theodore dit Ted Kaczynski terroriste américain, mathématicien de formation, militant écologiste et néo-luddite). Manifeste ou Breivik à remplacé le mot «socialiste» par celui de «marxiste culturel» sans en préciser le sens ni l’historique. 
Michel Alain Labet de Bornay dans un livre nommé Note 9 donne l’explication historique et politique de ce fameux Marxisme Culturel souvent nommé «système», «politiquement correct», «classe».
Pour pouvoir voter dans quelques jours vous devez savoir que le débat politique est systématiquement aujourd’hui  précédé d'un débat-culturel, le méta-débat, le cadre conceptuel, ou encore «l'agenda politique» (anglicisme), ou la Weltanschauung. En termes marxistes : «l'hégémonie culturelle» ou «l'idéologie dominante». Le marxisme culturel consiste à modifier ce cadre philosophique de manière subtile, en faveur du collectivisme et du communisme, pour faciliter une éventuelle prise de pouvoir le citoyen Macron en est la plus parfaite représentation. Le marxisme culturel consiste aussi à mentir, manipuler, désinformer, user d'arguments de mauvaise foi, autrement dit avancer des arguments auxquels on ne croit pas soi-même, dans le but de saborder les sociétés occidentales. 
Le lien pour commander Note 9, livre aux 558 belles pages entièrement écrites avec des mots en Français de France : http://www.leseditionsdunet.com/histoire-et-actualites/4869-note-9-michel-alain-de-bornay-9782312051109.html




                         

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