lundi 8 avril 2019

Des nouvelles d’un ancien du MRAP fiché S.




De nombreux amis lecteurs passionnés et assidus de mon blog ( le plus beau blog du Web) m’ont demandé une bonne fois pour toute, mon opinion sur l’islamerditude, le mahométisme, les abrutislamistes, les mahomerdophilistes, (collectionneurs de coranneries) en somme sur les mahométans, certains étaient même sales et lafistes d’autres, catholistes jésusophiles très propres sur eux, protestantistes, Thomistes de Savoie, Catharsistes de Toulouse ou Nestorianistes (oui, je sais, les Cathares et les Nestoriens, ça ne se fait plus tellement) des marxistes (mais oui) et même 2 ou 3 animistes m’écrivant d’Afrique noire avec les trois Druides du grand collège des Gaules. Sans oubliez les gomorrhéennes et autres sodomites qui mouillent leurs petites culottes ou leurs calbars, redoutant la colère des mahométans, car en terre d’Islam, la tarte au poil comme le gigot à l’ail et la culture de la «rondelle défoncée» chère à Jean Genet, c’est rigoureusement harâm (Verboten… strictement interdit, c’est puni de mort !!! Voir la vidéo).                                                                     Pour éviter toute ambiguïté et vous éviter le gay pied de ce dîné à Sainte Zoubida, mettons carrément nos pieds de cochon dans la couscoussière. Il y a pas longtemps encore, je confondais rassoul avec raalouf, normal, les consonances barbaresques arabiques n’étaient pas encore bien rentrées dans mes oreilles d’infidèle et de mécréant (et fier de l’être) et j’avais toujours pris ces deux mots pour des synonymes ou des synagogues (Je n’ai jamais bien fais la différence).
Ceci étant dit et comme ça, ça sera dit… rose ! Retournons à nos agneaux égorgés au prix de grandes souffrances c'est-à-dire à l’islam (A vos souhaits). M’enfin, au début j’avais écrit : L’islam c’est sale et ça colle des boutons verts ! La témérité a des limites ! Je m’étais arrêté là ! Il y a bien une fois où j’avais trouvé quelques synonymes : coraniquetasoeur, islamiquetamère, islamitérrant, mahométanistouillet, sarrasinophile, abrutislamiste, mahomerdophile, corraniste, busarrasin, maure, barbaresque, chimpacrouille, islamitomane, Coranique ton Sultan de Brunei, etc. etc.
Si, parce que je n'aime pas les musulmans, ce qu’allah va comme j’te pousse ne plaise, (En fait personnellement je les adore ! Chez eux !!! Dans leur beaux pays où ils peuvent : êtres polygames, assassiner le voisin pour le piller, torchonner ou bâcher leurs moukères, leur mettre la pâtée, les violer et les lapider, se prosterner le cul en l’air 5 fois par jour, se faire couper le kiki et le clito des petites filles, exécuter les homos, couper les mains aux voleurs, bouffer de la merde hallal, se goinfrer de loukoums, tourner comme des cons autour d’une tente de bédouins avec une météorite au milieu. (Faut y être allumé ! Mais bon ; Ali met li feux non ?), enfin pratiquer cette magnifique «religion» la RATP Religion d’Amour de Tolérance et de Paix) ? Mais chez moi, sacré nom de Dieu de bordel à cul, je n’en veux pas ! Car ce n’est pas par coïncidence que ce sont les mahométistes, des sarrasinophiles, des abrutislamistes et non d’autres groupes d’immigrés, qui se conduisent majoritairement en criminels. L’islam est une sorte de «religion» qui ordonne à ses sectateurs de violer les droits humains élémentaires et de commettre les crimes les plus violents. Personne ne devrait souhaiter grandir dans une telle culture et être forcé à suivre la sharî'a (droit musulman). Ce serait un geste de compassion que de les libérer de cet enfer. Les mahomerdistes provoquent des émeutes partout en Occident et toujours pour les mêmes raisons : imposer l’islam par la peur (ou phobie) de leur violence immonde. Mais trop c’est trop, et c’est leur violence, leur arrogance, leur suprématisme, inhérents à leur idéologie, qui finiront par les perdre. Pour l’instant, ils bénéficient encore du soutien des dhimmis, intellectuels, élites auto proclamées, du PCF au Front d’ ultragauche des écologistes, des militants du MRAP qui distillent comme les musulmans de la haine des juifs et des gouvernements occidentaux, au détriment des citoyens de souche, mais la courbe ascendante de leurs pouvoirs finira par s’inverser et là, leurs protecteurs, avides de leurs voix électorales, les laisseront tomber, car rien n’est plus éphémère que le soutien des médias et des politiques, toujours orientés dans le sens du vent. Donc amis patience car patience et longueur de temps font plus que force ni que rage !
Mais pourquoi mon titre : Des nouvelles d’un ancien du MRAP. Pourquoi me direz-vous des nouvelles d’un ancien militant du MRAP ? Déjà que je dis merci à un de ses dirigeant monsieur Christian Delarue certains doivent penser que je vais finir coco !                                         Oh non, louange à Allah queue leu leu. Je veux vous parler de la complicité de ce mouvement qui distille de la haine des juifs et qui depuis des années ce fait le soutien d’une immigration invasion mahométane incontrôlée, lynch Allah (Because it is the law of the west man) avec un fichier S formé par eux.
Prenons alors le cas du bon mahométan Abdelaziz Chaambi d’origine Tunisienne qui s'est impliqué dans la création et la vie de plusieurs associations en lien avec l'Islam (à vos souhaits).
Mais et c’est important notre mahométan Abdelaziz a d’abord fait ses «classes» de 1977 à 1980 en fondant et animant le comité local Basse Ardèche du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP, délicieux mouvement marxiste annexe du Parti Communiste se disant Français et distillant de la haine des juifs); en 81 il fonde l'Association des Musulmans d'Aubenas et l'Association de Solidarité avec les Travailleurs Immigrés (ASTI), avec laquelle il participa à l'organisation de la Marche pour l'égalité et contre le racisme de 1983. En 1986 il cofonde l'Union des jeunes musulmans (UJM) et de sa librairie-bibliothèque et maison d'éditions Tawhid. En 1992 il cofonde de nouveau un machin mahométiste le Collectif des musulmans de France (CMF) puis en 1996 il cofonde encore une autre corannerie le collectif DiverCité qui «lutte» contre les «discriminations envers les jeunes issus de l'immigration», pour l'accès aux fameux «droits» et à la dénonciation des non moins fameux «dénis de justice». En 2008 notre mahométiste fonde un autre truc islamiste la Coordination contre le racisme et l'islamophobie (CRI), dont il est le président élu démocratiquement à vie. Le CRI peut faire penser à l’œuvre de Munch, une abomination islamique extrémiste. Je connais personnellement sidi Abdelaziz (le prénom Abdelaziz est inspiré des termes arabes abdel et aziz qui signifient respectivement «serviteur» et «puissant») je le crois plutôt hystérique et revanchard. J’ai assisté à une de ses réunions ou ce monsieur s’exprime et ponctue son discours de sentences coraniques (sa mère ?) dans une langue barbaresque difficilement compréhensible. Cet Abdelaziz «Flamby» ne sait pas de quoi il parle et n’arrête pas d’aboyer le plus souvent dans cette abominable langue étrangère en l’occurrence l’arabe alors qu’il est en France ou on parle en principe le Français, de plus adopter le schéma d’une islamophobie qu’il affirme être un racisme (manipulation marxiste culturelle qu’il doit à sa formation chez les marxistes avoués du MRAP car la phobie est une peur et une réaction certes dure mais tout à fait normale), constamment dans la novlangue politiquement correcte dès qu’il arrête ses délires coraniques (ta sœur ?), dans la victimisation, dans l’arrogance et dans l’affirmation, d’un pseudo colonialisme du Maghreb (qui n’a pas de réalité populaire et historique. La Tunisie et le Maroc ont été des protectorats et l’Algérie des départements Français). Et puis juste le fait de ne parler toujours que de «musulmans» sans distinction, (je me verrais mal défendre uniquement les chrétiens à l’étranger pour désigner un allemand Luthérien, un anglais Anglican, un italien catholique Romain, un français témoin de Jéhovah...). Consternant... Le communautarisme musulman agit comme un virus sur la société et nous prépare des lendemains qui chantent la sinistre charia.
Il est par ailleurs membre de l'association Loi de 1901 «commission Islam et Laïcité». Mais tiens encore un machin louche de gauche, quel est donc l'objectif de cette Commission ? «Faire l'analyse circonstanciée de la présence musulmane dans la société française pour chercher les voies d'une intégration harmonieuse dans le cadre intangible de la laïcité et de sa philosophie politique». Voilà pour la déclaration d'intention. Dans les faits, l'influence croissante d'un Tariq Ramadan va peu à peu renverser la vapeur. Sans parler de celle de l’islamiste fondamentaliste Abdelaziz Chaambi désormais mieux connu. Au final, la Commission va surtout permettre au prédicateur et ses disciples comme Chaambi de se faire accepter par la gauche laïque, notamment grâce à des colloques organisés avec le Cercle Condorcet, proche des iniques francs-maçons irréguliers du Grand Orient, avec l'UNESCO, ou encore avec la revue Confluences Méditerranées. Pour réussir son entrée dans la gauche laïque, Ramadan et ses potes ont bien vite compris qu'il leur faudrait une autre caution que celle fournie par le dialogue interreligieux. Ils devaient absolument pouvoir se revendiquer d'une structure insoupçonnable du point de vue laïque. L'occasion se présente en 1997 avec l'instauration d'une «Commission islam et laïcité» au sein de la Ligue de l'enseignement, l'institution d'éducation populaire laïque marxiste culturelle par excellence, soit une nouvelle religion séculière. Du pain bénit pour les mahométans et tantes (Mahométante est synonyme de gay beur). La Ligue a le profil idéal. L'un de ses présidents a présidé la commission chargée d'établir la loi de 1905. Mais l'association est complexée par une autre histoire, moins glorieuse, celle de son attitude lors de la colonisation. Un autre président, Albert Bayet, a eu une position très ambiguë sur l'Algérie. Il était du côté de l'Algérie française. Ce qui embarrasse tous ses successeurs et héritiers. Voilà pour le terrain favorable, sur lequel vient se greffer le parcours individuel de deux militants mêlant marxisme et mysticisme soit de purs marxiste culturels la nouvelle religion séculière : Michel Morineau et Pierre Tournemire, tous deux à l'origine de la commission, d'abord intitulée «La France, l'islam, perspective d'avenir» avant de devenir «Islam et laïcité» en 1997. Au départ, bien entendu, toutes les tendances de l'islam ont été conviées, même celles que Morineau juge visiblement moins fines connaisseuses de la laïcité... comme les musulmans laïques (sans rire SVP). Pendant des mois, sous l'arbitrage de militants de gauche fascinés par l'ambassadeur des Frères musulmans, des musulmans modernistes et anti-islamistes de vrais mécréants comme Soheib Bencheikh, Leïla Babès ou des représentants de la Mosquée de Paris ont dû dialoguer avec les relais des fanatiques islamistes en France :comme Chaambi et son CRI, avec Larbi Kechat de la Mosquée Adawa et les troupes de Ramadan, - dont Farid Abdelkrim (l'auteur de Maudite soit la France !), Fouad Imarraine et Yamin Makri des éditions Tawhid, ou vous pourrez trouver des traductions du "noble" Coran dont je vous parlerez tout à l’heure.                                                                          
Chaambi en 2011, à la suite de la «révolution tunisienne» fonde l'association des Amis de Mohamed Bouazizi de son vrai nom Tarek Bouazizi dit le bonze de Ben Arous. Chaambi en est élu président.
Puis en 2011 : il est nommé secrétaire général de l'Instance régionale indépendante pour les élections (IRIE) de la deuxième circonscription électorale de France, l'une des 33 instances régionales de l'Instance supérieure indépendante pour les élections qui organise les élections de l'Assemblée constituante tunisienne de 2011. Chaambi est un islamiste. Est-il nécessaire de redéfinir l’islamisme ? Le Robert dit : «Mouvement politique ou religieux prônant l’expansion ou le respect de l’islam». Autrement dit, mouvement qui agit pour le prosélytisme (expansion) ou la charia (respect de l’islam). Alors il est temps de rétablir une vérité. Non, il n’existe pas d’islamisme modéré, pas plus qu’il n’existe d’islamistes oui de musulmans modérés.
Si l’on entend par modération le bannissement de traditions archaïques qui peinent à trouver leur justification dans les textes sacrés à moins de les déformer comme l’homophobie, l’excision ou la polygamie, alors on se trompe. Nous ne sommes pas dans la modération, mais dans la disparition de la barbarie.
Mais cerise sur le makroud, qui l’aurait cru ? L’islamitomane Abdelaziz Chaambi ancien du MRAP qui distille de la haine des juifs est inscrit depuis plusieurs mois, comme un vulgaire terroriste, sur le fameux fichier S, fichier administratif constitué par la DGSI regroupant les personnes soupçonnées «d’atteinte à la Sûreté de l’État». Pas mal pour un ancien du MRAP qui distille à fond de la haine des juifs !                                                                            La CNIL a heureusement rejeté sa demande de désinscription de ce fichier.                                                Je peux affirmer que le mahométiste et mahomerdophiliste (collectionneur de coranneries), Chaambi nous cite dans ses discours de larges extraits de ce fameux Coran, rame doux lilas et le considère comme la loi à appliquer en France par les busarrasins et autres mahométans.
Mais qui sait que ce «livre» est une incitation au meurtre et à la haine des chrétiens ?
Le Coran prescrit de tuer les «associateurs», terme désignant ceux qui croient en la Trinité (Les chrétiens): «Tuez les associateurs partout où vous les trouverez ; capturez-les, assiégez-les, dressez-leur des embuscades» (Sourate 9, verset 5).
Dans le Coran, Al Am’touchepa Shafimal prescrit également le jihad (ou jihad fi sabîl Allah : jihad dans le sentier d’Allah, la lutte armée pour la cause d’Allah), qui peut être commandé pour diverses raisons. Comme moyen de conversion : «Que l’inimitié et la haine paraissent constamment entre vous et nous, jusqu’à ce vous croyiez en Dieu, l’Unique !» (Sourate 60, verset 4). Ou encore comme moyen d’affaiblir les sociétés non-musulmanes : «Ô vous qui croyez ! Combattez les incroyants qui sont près de vous et qu’ils trouvent en vous la rudesse» (Sourate 9, verset 124). Cette guerre est à mener dans tous les siècles, car c’est une règle immuable : «Maudits (les hypocrites) en quelque lieu où ils se trouveront, ils seront capturés et tués selon la coutume de Dieu à l’égard de ceux qui vécurent autrefois – tu ne trouveras aucun changement dans la conduite de Dieu» (Sourate 33, verset 62).  
Allah queue leu leu promet la punition de ceux qui craignent de faire le jihad : «Si vous ne marchez pas au combat, Allah vous châtiera d’un châtiment douloureux». Allah va comme j’te pousse est le véritable auteur du jihad : «Non, ce n’est pas vous qui les avez tués, mais c’est Dieu qui les a tués. Et ce n’est pas toi qui a tiré des flèches, mais c’est Dieu qui a tiré, afin d’éprouver Lui-même les croyants par une belle épreuve. Dieu, certes, entend tout, Il sait tout» (Sourate 8, verset 17).
Chez les formateurs de Chaambi les marxistes culturels islamophiles du MRAP qui distille de la haine des juifs c’étaient déjà il y a longtemps distingués. Feu Mouloud Aounit le merveilleux ex président du MRAP alors qu’il participait à l'émission de télévision Riposte, s’était exclamé le 25 janvier 2004: «l'islam une spiritualité [...] l'humanisme de la religion musulmane ...»  et en décembre de la même année «La critique des religions est légitime mais elle apparaît, en ce qui concerne l'islam, comme le prolongement d'un racisme anti-arabes». Racisme anti arabe ? Et mon cul c’est du poulet hallal ? Mais bon, c’est sa déclaration hautement significative d’un communiste, d’un islamomarxiste anti démocrate et anti laïc particulièrement effrayante, sur le blasphème (sur France 3, le 13 janvier 2005, au journal de midi) qui était consternante: «aujourd’hui si la liberté d’expression est un bien fondamental qui fait partie des droits de l’homme, la liberté d’ouvrir le champ au racisme à travers le blasphème doit être condamnée avec la plus grande fermeté». Mouloud Aounit demandait que soient sanctionnées judiciairement les attaques contre sa religion qualifiées d’attaques «racistes». Au moins, les choses sont claires. En réclamant la pénalisation du blasphème, comme il l'a fait sur France 3, feu Aounit, ex secrétaire général du Mrap qui distille de la haine des juifs, avait pris un tournant édifiant dans l'histoire de l'association. En entendant cet appel à la répression, par la justice, de toute critique contre Allah queue leu leu ou la «religion» mahométane ou mahomet-âne, on comprend que le Mrap s'apparentait désormais moins à la lutte antiraciste qu'au combat intégriste. Non seulement Mouloud Aounit faisait mine d'oublier que la liberté de critiquer la religion est un droit fondamental en France. Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd puisque en 2008 notre mahométiste Chaambi fonde la Coordination contre le racisme et l'islamophobie (CRI), dont il est le président. Ces dernières années, malgré l'opposition d'une partie de ses militants, le MRAP a tenté de persuader l'opinion qu'il fallait se battre prioritairement contre l' «islamophobie», diabolisant au passage tous ceux qui critiquent l'islam ou les musulmans et accordant à demi-mot plus que de l'indulgence à certains errements antisémites. Puis, accueillant des associations fondamentalistes musulmanes en son sein, il a pris position contre la loi sur le voile.
Mais l’islam est-il vraiment une chance pour la France ? La réponse est non ! Mille fois non. Dans une lettre du 11 septembre 2018, adressée au député européen Nicolas Bay, la ministre de la Justice Nicole Belloubet avance pour la première fois un chiffre précis sur le nombre de musulmans incarcérés dans les prisons françaises. Ils représenteraient un détenu sur quatre (25,81 %) alors que le chiffre de 70% et bien plus proche de la vérité. La lâcheté du gouvernement Macron va jusqu'à nier et fausser les statistiques concernant la présence des musulmans incarcérés: il est clair qu'ils sont majoritairement responsables des actes de violences dans ce pays (trafic de drogue, agressions, délits en tous genre) car ils sont totalement imperméables aux lois, réglementations et codes de conduite, sauf lorsqu'il s'agit de toucher les allocations familiales, bien sûr. Merci qui ? Merci Giscard bien évidemment, l'initiateur du regroupement familial dans les années 70...
Je terminerai cet article par quelques phrases d’Ayaan Hirsi Ali née en Somalie en 1969, excisée à l’âge de 5 ans, elle est scolarisée dans un lycée musulman pour filles. Soumise à ses parents, à son clan et à sa religion jusqu’à l’âge de vingt-trois ans, elle profite d’un passage dans sa famille en Allemagne, pour s’enfuir et échapper à un mariage forcé. Réfugiée aux Pays-Bas, elle adopte les valeurs libérales occidentales au point de devenir une jeune députée à La Haye et de s’affirmer athée. Pour avoir travaillé dans les services sociaux, elle connaît, de l’intérieur, les horreurs tolérées à l’encontre des femmes au nom du multiculturalisme. Ecoutons là : «Il n’y a pas de cohabitation possible entre l’islam et l’Occident» (…) «Le Prophète a demandé la main d’une petite fille de 6 ans et le mariage a été consommé quand elle a eu 9 ans. C’est ce qu’on appelle un pédophile» (…) «L’Occident a essayé différentes manières de convertir, assimiler et séduire les musulmans vers la modernité. Aucune de ces approches n’a réussi. Pendant ce temps, notre vénération pour la raison fait de nous des proies faciles pour un prédateur sans pitié, malhonnête et extrêmement agressif».                             Quant à Nonie Darwish, arabe et musulmane née au Caire, expatriée aux États-Unis, qui est aujourd’hui journaliste, écrivain, et fondatrice de ArabsForIsrael.com elle dira : «De nombreux musulmans ne cherchent qu’une chose, islamiser l’Amérique et l’Occident, coûte que coûte!» (…) «Je crois que le monde musulman a perdu son équilibre moral» (…) «Les appels à la prière sont presque toujours suivis d’appels à détruire les juifs et les infidèles» (…) «Personne ne cherche les racines mêmes du terrorisme, cette machine de lavage de cerveau nommée: «islam». L’islam n’a jamais été mal compris. Car l’islam est en lui-même le problème».
Vous cherchez pourquoi Chaambi est fiché S ? Ne cherchez plus, Nonie Darwish a trouvé !

Michel Alain Labet de Bornay

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