Les marxistes culturels, les «journalistes» de la presse écrite ou télévisuelle continuent à
insulter les patriotes Français !
Maître Gibert Collard député européen du Rassemblement
national dira hier soir sur TF1 : «Continuez
à nous insulter, continuez à nous traiter de fachos, continuez à nous parler de
l’extrême droite. Je veux dire une chose à nos électeurs: merci d’avoir voté
pour nous. On va encore vous insulter, tenez bon dans votre courage».
Oui, on va encore nous insulter, nous traîner dans la
boue et nous jeter l’opprobre.
Dans les milieux marxistes
culturels dit politiques en général et dans les médias en particulier, tous
stipendiés du pouvoir, l’insulte suprême, quand on veut disqualifier un
mouvement adverse ou un interlocuteur, on dit qu’il est d’extrême droite. C’est
la reductio ad Hitlerum, expression sarcastique désignant, sous forme de
locution latine, le procédé rhétorique consistant à disqualifier les arguments
d'un adversaire en les associant à Adolf Hitler. Et c’est fait : extrême droite
= facho = nazi ! Sauf que cela marche de moins en moins auprès de l’opinion…
D’autant que ça commence à ce savoir que monsieur le
chancelier du troisième Reich Allemand était un socialiste pur jus. Oui,
Hitler était un immonde socialiste qui disait à Otto Strasser le 21 mai
1930 à Berlin : «Je suis socialiste,
et un socialiste plus authentique que votre riche ami, le Comte Reventlow». De
plus monsieur
l’immonde chancelier du troisième Reich Allemand était raciste et antisémite
parce que socialiste ! En août 1920, à Munich, dans un discours au Parti
Social Nationaliste des Travailleurs Allemands à propos des races et de la
politique la vermine socialiste Hitler éructera: «Si nous sommes socialistes, alors nous devons forcément être
antisémite – et l’opposé, dans ce cas, c’est le Matérialisme et le Mammonisme,
auxquels nous cherchons à nous opposer (…) Comment, en tant que socialiste, ne pouvez-vous pas être antisémite ?».
De par le monde les socialistes de l’époque défendaient les politiques
eugénistes, comme ils l’avaient toujours fait par le passé. En effet, à cette
époque, tout ceux qui défendaient l’idée de génocide se revendiquaient
socialistes. À
l’époque, personne n’aurait considéré la phrase ci-dessus comme controversée.
Les nazis auraient difficilement pu afficher plus ouvertement leur socialisme. Il
était évident alors pour tous que le fascisme était une émanation de la gauche
révolutionnaire. Ses militants défilaient le premier mai sous des drapeaux
rouges. Ses dirigeants défendaient le collectivisme, la nationalisation de
l’industrie, le protectionnisme, les conseils d’ouvriers. Partout en Europe,
ils pensaient comme Hitler disant à un Mussolini enthousiaste en 1934 : «le capitalisme a fait son temps».
Une des réussites les plus impressionnantes de la
gauche moderne devenue
toute marxiste culturelle est d’avoir imposé un climat qui refuse
d’entendre ces simples faits. L’Histoire est réinterprétée par ces monstrueuses
ordures menteuses en partant du principe que le fascisme est de droite, leur bizarre
logique étant semble-t-il que «gauche» signifie
gentil, «droite» méchant, et que les
fascistes et autres nazis étaient très méchants si ce n’est barbares. Cette absurde
analyse qui semble sortie tout droit de Twitter est répétée ad nauseam de la
part de commentateurs et de gauchistes marxistes culturels qui semblent sérieux.
De la sorte, tous nos bien-pensants et surtout nos journalopes
bobos gauchos notoirement politiquement corrects, majoritaires dans tous les
médias à la solde d'une
ripoublique marxiste culturelle, continuent leur litanie absurde et imbécile
en insistant pour qualifier le Rassemblement National de parti d’extrême
droite. Tout en sachant très bien que d’après les Renseignements généraux, les
divers groupes répertoriés à l’extrême droite, dont le RN est exclu, ne
représentent pas plus de 2 500 à 3 500 militants ou sympathisants, en France.
Ils savent que l’extrême droite est par essence antiparlementaire et que ce
n’est pas le cas du RN, qui est représenté, légalement et institutionnellement,
à l’Assemblée nationale, au Sénat et dans toutes les assemblées territoriales.
Et qu’il reçoit à chaque élection, comme tous les autres partis, l’argent des
contribuables pour financer son fonctionnement. Tout cela, nos chers
journalopes le savent très bien !
Vous savez ce que j’aimerais ? C’est qu’une de ces
vieilles crevures marxistes culturelles des merdias nous fasse son mea culpa et
qu’enfin il dise : «Je vais crever
et je l’avoue je me suis planté toute ma vie. J’ai soutenu Macron, Mitterrand,
Hollande, Staline, Mao, Pol Pot, Chavez, Mugabe, Lula da Silva, Mandela et
Mengistu. Dès qu’un régime socialiste de merde, marxiste et sanglant, rouge et raciste,
communiste corrompu et exotique brandissait le drapeau rouge, j’ai fait des
claquettes avec ma langue de bois. J’ai lu le Monde et Libération et même écrit
dans le Figaro, cru à l’ Afrique du Sud de Mandela au Zimbabwe de comrade Bob et au Kampuchéa
Démocratique, j’ai gueulé des conneries plus grosses que moi avec Krivine et le
pédophile Kohn Bendit, Besancenot et Méchant-Con, j’ai été abonné au Inrocks et
à Médiapart, j’ai défendu Carlos et Boudarel et les pires saletés marxistes
culturelles des deux dernières générations, j’ai voté Mitterrand, Hollande,
Macron et j’ai milité à Sos Racisme et ATTAC avec mes potes Dray et Désir, au
MRAP qui distille de la haine des juifs, je suis parti à Marrakech et à Sidi
Bou-Saïd sur les traces de Frédéric et j’ai bandé pour DSK, j’ai cru à la société
multiculturelle, j’ai chié sur le Pape parce que c’était pas dangereux et j’ai
écrasé ma grande gueule sur les autres religions, j’ai branlé du rabbin, pompé
du mollah, astiqué de l’imam parce que je suis un lâche et un gros naze, j’ai
affirmé qu’il n’ y avait aucun lien entre le sentiment d’une insécurité qui
n’existe pas et une immigration pas plus importante que dans les années trente.
Oui, j’ai tout faux depuis tout p’tit, c’est ma nature. Je hais les pauvres,
les riches et les classes moyennes, les blancs, les français de souche, mes
parents, les gens de ma tribu, et si je suis de gauche, à fond à fond c’est
parce que j’ai honte de mes origines et que j’aurais voulu être une femme handicapée,
noire, naine et lesbienne. Je n’ai rien vu venir, ni la crise économique, ni la
décadence morale, intellectuelle, sécuritaire, sanitaire, ni l’implosion du
Pays, rien. Je suis bouché les oreilles et ouvert le trou du cul pour me faire
mettre à sec avec du sable, j’étais con comme une valise du FLN, je suis de
tous les combats foireux, de toutes les vastes gourances, de toutes les
hypocrisies, je suis un concentré de toute la mauvaise foi du monde , de
l’indignation à géométrie variable, du mensonge sélectif, de la répression des
opinions qui me déplaisent, j’ai été un chantre des assassinats collectifs et
des totalitarismes déments surtouts des marxistes au 150 millions de victimes .
Et je n’ai rien appris : trouvez-moi une utopie à la con et je recommence, non
je ne veux rien savoir, je vous ai mis dans la merde jusqu'au cou, mais parce
que je suis de gôôôôôche je ne peux pas me renier même si vous en crevez …».
Oui bon, faut pas rêver comme disait Brassens quand on est con on est
con !
Et alors hier soir dimanche 26 mai sur TF1 représenté
par monsieur Bouleau et madame Coudray, pour commenter les résultats des
élections européennes, j’ai de nouveau assisté à une triste pantomime ou le
Rassemblement National était malheureusement et comme toujours diffamé et qualifié
de parti d’extrême droite. Invité remplaçant monsieur Louis Aliot, maître Gilbert
Collard est interrogé sur «la disparition»
de la France en Europe, le député RN du Gard a tenu alors à préciser avec
justesse qu'il y avait «deux représentants
de La République en marche» sur le plateau, dont Daniel Cohn-Bendit (dit
Danny le rouge, un pédophile notoire d’ultra gauche marxiste). «Daniel aura l'honnêteté de le reconnaître»,
lance maître Collard sous l’évidente désapprobation des «journalistes» présents en plateau,
Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray.
«Daniel
Cohn-Bendit est notre grand témoin ce soir», précise madame
Coudray. «C'est votre faux grand témoin,
il est quand même un soutien de LREM», réplique Gilbert Collard avant de
lancer à l'intéressé : «Tu es de trop, tu
es de trop».
Le pédophile notoire d’ultra gauche et ancien député
européen se lève alors de sa chaise en soupirant : «Collard m'a dit de partir, si c'est ça le Front national...» (Danny
le rouge n’a semble-t-il pas encore intégré, comme d’ailleurs les fameux journalistes
gauchus que ce parti s’appelle désormais le Rassemblement National). Maître Collard
s’exclame alors : «Les vieilles
guenilles, les faux-culs de la politique, ceux qui ont dit que l'élection était
un piège à cons !».
C’est alors que Danny le rouge réplique à maître Collard en l’insultant: «Tu es une ignoble ordure, ferme ta
gueule, connard, oui c'est insupportable, crétin, sale traître !» sous les
regards ahuris du «journaliste» marxiste
culturel Gilles Bouleau, qui appelle à ce qu'on leur coupe le micro. Et encore
une fois c’est le député du rassemblement national l’insulteur ! «Monsieur Collard vous n'êtes pas autorisé à
insulter quiconque sur le plateau !» Gilbert Collard réplique en affirmant
que le camarade pédophile Cohn-Bendit est bien un «agent électoral de La
République en marche » ce dont personne ne doute sauf nos « journalistes »
marxistes culturels de TF1. Constatant que Daniel Cohn-Bendit restait sur le
plateau, maître Gilbert Collard a prévenu qu'il donnait «ses derniers mots», avant de quitter le débat en affirmant ce que
dessus sur les insultes permanentes des fameux «journalistes».
Un peu plus tard dans la soirée, le député RN Julien
Sanchez a également quitté un plateau télévisé en plein direct: mais cette fois
sur celui de France 2. Il s’insurgeait avec juste raison sur son trop court
temps de parole. «Les «journalistes» de
France 2 ne supportant ni de donner la parole au représentant du Rassemblement
national que j’étais sur le plateau de la soirée électorale, ni de m’écouter
alors que notre mouvement arrive en tête ce soir, j’ai quitté ce plateau
déconnecté des choix des Français», a-t-il déploré sur Twitter.
Michel Alain Labet de Bornay
Copyright 2019. Agence de Presse AIS (Trade Mark). Reproduction autorisée avec la mention: ©michelalainlabetdebornay.blogspot.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire