lundi 27 mai 2019

La presse pourrie continue d'insulter les patriotes !


Les marxistes culturels, les «journalistes» de la presse écrite ou télévisuelle continuent à insulter les patriotes Français !
Maître Gibert Collard député européen du Rassemblement national dira hier soir sur TF1 : «Continuez à nous insulter, continuez à nous traiter de fachos, continuez à nous parler de l’extrême droite. Je veux dire une chose à nos électeurs: merci d’avoir voté pour nous. On va encore vous insulter, tenez bon dans votre courage».
Oui, on va encore nous insulter, nous traîner dans la boue et nous jeter l’opprobre. 

Dans les milieux marxistes culturels dit politiques en général et dans les médias en particulier, tous stipendiés du pouvoir, l’insulte suprême, quand on veut disqualifier un mouvement adverse ou un interlocuteur, on dit qu’il est d’extrême droite. C’est la reductio ad Hitlerum, expression sarcastique désignant, sous forme de locution latine, le procédé rhétorique consistant à disqualifier les arguments d'un adversaire en les associant à Adolf Hitler. Et c’est fait : extrême droite = facho = nazi ! Sauf que cela marche de moins en moins auprès de l’opinion…
D’autant que ça commence à ce savoir que monsieur le chancelier du troisième Reich Allemand était un socialiste pur jus. Oui, Hitler était un immonde socialiste qui disait à Otto Strasser le 21 mai 1930 à Berlin : «Je suis socialiste, et un socialiste plus authentique que votre riche ami, le Comte Reventlow». De plus monsieur l’immonde chancelier du troisième Reich Allemand était raciste et antisémite parce que socialiste ! En août 1920, à Munich, dans un discours au Parti Social Nationaliste des Travailleurs Allemands à propos des races et de la politique la vermine socialiste Hitler éructera: «Si nous sommes socialistes, alors nous devons forcément être antisémite – et l’opposé, dans ce cas, c’est le Matérialisme et le Mammonisme, auxquels nous cherchons à nous opposer (…) Comment, en tant que socialiste, ne pouvez-vous pas être antisémite ?». 
                                                                                                De par le monde les socialistes de l’époque défendaient les politiques eugénistes, comme ils l’avaient toujours fait par le passé. En effet, à cette époque, tout ceux qui défendaient l’idée de génocide se revendiquaient socialistes. À l’époque, personne n’aurait considéré la phrase ci-dessus comme controversée. Les nazis auraient difficilement pu afficher plus ouvertement leur socialisme. Il était évident alors pour tous que le fascisme était une émanation de la gauche révolutionnaire. Ses militants défilaient le premier mai sous des drapeaux rouges. Ses dirigeants défendaient le collectivisme, la nationalisation de l’industrie, le protectionnisme, les conseils d’ouvriers. Partout en Europe, ils pensaient comme Hitler disant à un Mussolini enthousiaste en 1934 : «le capitalisme a fait son temps».
Une des réussites les plus impressionnantes de la gauche moderne devenue toute marxiste culturelle est d’avoir imposé un climat qui refuse d’entendre ces simples faits. L’Histoire est réinterprétée par ces monstrueuses ordures menteuses en partant du principe que le fascisme est de droite, leur bizarre logique étant semble-t-il que «gauche» signifie gentil, «droite» méchant, et que les fascistes et autres nazis étaient très méchants si ce n’est barbares. Cette absurde analyse qui semble sortie tout droit de Twitter est répétée ad nauseam de la part de commentateurs et de gauchistes marxistes culturels qui semblent sérieux.
De la sorte, tous nos bien-pensants et surtout nos journalopes bobos gauchos notoirement politiquement corrects, majoritaires dans tous les médias à la solde d'une ripoublique marxiste culturelle, continuent leur litanie absurde et imbécile en insistant pour qualifier le Rassemblement National de parti d’extrême droite. Tout en sachant très bien que d’après les Renseignements généraux, les divers groupes répertoriés à l’extrême droite, dont le RN est exclu, ne représentent pas plus de 2 500 à 3 500 militants ou sympathisants, en France. Ils savent que l’extrême droite est par essence antiparlementaire et que ce n’est pas le cas du RN, qui est représenté, légalement et institutionnellement, à l’Assemblée nationale, au Sénat et dans toutes les assemblées territoriales. Et qu’il reçoit à chaque élection, comme tous les autres partis, l’argent des contribuables pour financer son fonctionnement. Tout cela, nos chers journalopes le savent très bien !

Vous savez ce que j’aimerais ? C’est qu’une de ces vieilles crevures marxistes culturelles des merdias nous fasse son mea culpa et qu’enfin il dise : «Je vais crever et je l’avoue je me suis planté toute ma vie. J’ai soutenu Macron, Mitterrand, Hollande, Staline, Mao, Pol Pot, Chavez, Mugabe, Lula da Silva, Mandela et Mengistu. Dès qu’un régime socialiste de merde, marxiste et sanglant, rouge et raciste, communiste corrompu et exotique brandissait le drapeau rouge, j’ai fait des claquettes avec ma langue de bois. J’ai lu le Monde et Libération et même écrit dans le Figaro, cru à l’ Afrique du Sud de Mandela  au Zimbabwe de comrade Bob et au Kampuchéa Démocratique, j’ai gueulé des conneries plus grosses que moi avec Krivine et le pédophile Kohn Bendit, Besancenot et Méchant-Con, j’ai été abonné au Inrocks et à Médiapart, j’ai défendu Carlos et Boudarel et les pires saletés marxistes culturelles des deux dernières générations, j’ai voté Mitterrand, Hollande, Macron et j’ai milité à Sos Racisme et ATTAC avec mes potes Dray et Désir, au MRAP qui distille de la haine des juifs, je suis parti à Marrakech et à Sidi Bou-Saïd sur les traces de Frédéric et j’ai bandé pour DSK, j’ai cru à la société multiculturelle, j’ai chié sur le Pape parce que c’était pas dangereux et j’ai écrasé ma grande gueule sur les autres religions, j’ai branlé du rabbin, pompé du mollah, astiqué de l’imam parce que je suis un lâche et un gros naze, j’ai affirmé qu’il n’ y avait aucun lien entre le sentiment d’une insécurité qui n’existe pas et une immigration pas plus importante que dans les années trente. Oui, j’ai tout faux depuis tout p’tit, c’est ma nature. Je hais les pauvres, les riches et les classes moyennes, les blancs, les français de souche, mes parents, les gens de ma tribu, et si je suis de gauche, à fond à fond c’est parce que j’ai honte de mes origines et que j’aurais voulu être une femme handicapée, noire, naine et lesbienne. Je n’ai rien vu venir, ni la crise économique, ni la décadence morale, intellectuelle, sécuritaire, sanitaire, ni l’implosion du Pays, rien. Je suis bouché les oreilles et ouvert le trou du cul pour me faire mettre à sec avec du sable, j’étais con comme une valise du FLN, je suis de tous les combats foireux, de toutes les vastes gourances, de toutes les hypocrisies, je suis un concentré de toute la mauvaise foi du monde , de l’indignation à géométrie variable, du mensonge sélectif, de la répression des opinions qui me déplaisent, j’ai été un chantre des assassinats collectifs et des totalitarismes déments surtouts des marxistes au 150 millions de victimes . Et je n’ai rien appris : trouvez-moi une utopie à la con et je recommence, non je ne veux rien savoir, je vous ai mis dans la merde jusqu'au cou, mais parce que je suis de gôôôôôche je ne peux pas me renier même si vous en crevez …». Oui bon, faut pas rêver comme disait Brassens quand on est con on est con !

Et alors hier soir dimanche 26 mai sur TF1 représenté par monsieur Bouleau et madame Coudray, pour commenter les résultats des élections européennes, j’ai de nouveau assisté à une triste pantomime ou le Rassemblement National était malheureusement et comme toujours diffamé et qualifié de parti d’extrême droite. Invité remplaçant monsieur Louis Aliot, maître Gilbert Collard est interrogé sur «la disparition» de la France en Europe, le député RN du Gard a tenu alors à préciser avec justesse qu'il y avait «deux représentants de La République en marche» sur le plateau, dont Daniel Cohn-Bendit (dit Danny le rouge, un pédophile notoire d’ultra gauche marxiste). «Daniel aura l'honnêteté de le reconnaître», lance maître Collard sous l’évidente désapprobation des «journalistes» présents en plateau, Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray.                 
«Daniel Cohn-Bendit est notre grand témoin ce soir», précise madame Coudray. «C'est votre faux grand témoin, il est quand même un soutien de LREM», réplique Gilbert Collard avant de lancer à l'intéressé : «Tu es de trop, tu es de trop».
Le pédophile notoire d’ultra gauche et ancien député européen se lève alors de sa chaise en soupirant : «Collard m'a dit de partir, si c'est ça le Front national...» (Danny le rouge n’a semble-t-il pas encore intégré, comme d’ailleurs les fameux journalistes gauchus que ce parti s’appelle désormais le Rassemblement National). Maître Collard s’exclame alors : «Les vieilles guenilles, les faux-culs de la politique, ceux qui ont dit que l'élection était un piège à cons !».
C’est alors que Danny le rouge réplique  à maître Collard en l’insultant: «Tu es une ignoble ordure, ferme ta gueule, connard, oui c'est insupportable, crétin, sale traître !» sous les regards ahuris du «journaliste» marxiste culturel Gilles Bouleau, qui appelle à ce qu'on leur coupe le micro. Et encore une fois c’est le député du rassemblement national l’insulteur ! «Monsieur Collard vous n'êtes pas autorisé à insulter quiconque sur le plateau !» Gilbert Collard réplique en affirmant que le camarade pédophile Cohn-Bendit est bien un «agent électoral de La République en marche » ce dont personne ne doute sauf nos « journalistes » marxistes culturels de TF1. Constatant que Daniel Cohn-Bendit restait sur le plateau, maître Gilbert Collard a prévenu qu'il donnait «ses derniers mots», avant de quitter le débat en affirmant ce que dessus sur les insultes permanentes des fameux «journalistes».
Un peu plus tard dans la soirée, le député RN Julien Sanchez a également quitté un plateau télévisé en plein direct: mais cette fois sur celui de France 2. Il s’insurgeait avec juste raison sur son trop court temps de parole. «Les «journalistes» de France 2 ne supportant ni de donner la parole au représentant du Rassemblement national que j’étais sur le plateau de la soirée électorale, ni de m’écouter alors que notre mouvement arrive en tête ce soir, j’ai quitté ce plateau déconnecté des choix des Français», a-t-il déploré sur Twitter.

Michel Alain Labet de Bornay



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