Le Luc en Provence s’enorgueillit (pas tout le monde
quand même) d’avoir Avenue Pierre Mendes France (Radical socialiste et
Franc-Maçon) un Complexe Sportif baptisé du nom de Nelson Mandela. Des
centaines de places, rues, allées, avenues etc. portent en France le nom de ce
triste individu communiste. Nonobstant à Vitrolles en 1997 par la grâce de son bon
maire monsieur Mégret la place Nelson Mandela se transformera en place de Provence.
Vous avez surement remarqué que le sous-titre de mon
blog est «réveillez-vous», alors je
vais essayer de vous réveiller ! Je souhaite donc un très bon réveil après l’hypnose à ceux qui
ont cru voir en Rolihlahla Mandela Madiba le messie d’une
nouvelle religion universelle. Cliquez
ici !
Au sujet au sujet de ce fameux «Nelson» Rolihlahla Mandela Madiba il y a beaucoup à dire. Cliquez
aussi ici.
C’est le 6 décembre 2013 qu’un communiqué du Parti
Communiste d’Afrique du Sud le SACP (South African Communist Party) nous
apprend officiellement ce dont l’on se doutait, mais qui n’avait jamais été
réellement établi, à savoir que le «camarade
Nelson Mandela» était un haut dirigeant communiste puisqu’il «(…) ne
faisait pas seulement partie du SACP, mais également de son Comité central». Ce
que cette idole sournoise des «droitsdel’hommistes»
a toujours démenti, tant oralement que par écrit. Louis-Ferdinand Céline
dans son fameux Voyage au bout de la nuit,
dira, à croire qu’il avait connu Mandela : «Sournois
et menteur comme toujours, comme une douzaine de soutien-gorge... Il me
racontait des tels bobards, que la nuit ça m'en remontait... Je me les
racontais à nouveau, tellement ils étaient durailles ! Crapules ! Et pesants !».
Jean François Revel ira jusqu’à dire comme personnellement je le pense que :
Le communisme, c’est comme le nazisme, le
mensonge en plus !». Le très socialiste Jules Moch adoptera
la formule de la: «plus gigantesque
entreprise de dépravation de l’homme qui ait jamais existé». Mon bon maître Frédéric Bastiat affirmera
avec justesse : «Faire intervenir l'État, lui donner pour mission de
pondérer les profits et d'équilibrer les fortunes, en prenant aux uns, sans consentement, pour donner aux autres,
sans rétribution, le charger de réaliser l'œuvre du nivellement par voie de spoliation, assurément c'est bien là
du Communisme».
Le SACP a donc brisé un secret jusque-là bien gardé et
cela, au risque de fortement écorner le mythe d’un Mandela pacifiste. Pourquoi ?
La réponse est d’une grande simplicité : le SACP était
en 2013 politiquement en perdition car il est perçu par les Noirs comme un
parti archaïque «blanc» et «indien». Or, depuis 1994, la vie
politique sud-africaine repose sur un partage du pouvoir, donc des postes et
des prébendes, entre l’ANC (l’African National Congress, abrégé en ANC est un
parti politique d’Afrique du Sud membre de l'immonde Internationale socialiste),
le syndicat Cosatu (Congress of South African Trade Unions, en français «Congrès des syndicats sud-africains»
affilié à la très
marxiste-léniniste Fédération Syndicale Mondiale, comme chez nous la sinistre
CGT) et le SACP (South African Communist Party ou Parti Communiste d'Afrique du
Sud un vrai parti stalinien criminel contre l’humanité). Il s’agit de
l’Alliance tripartite qui existe toujours en 2019. Cette rente de situation
était depuis longtemps contestée par de nouvelles forces politiques noires
demandant que les «dépouilles étatiques
soient repartagées à la lumière de la véritable représentativité des uns et des
autres». Afin de tenter de conserver sa place au sein de l’Alliance
tripartite, le SACP à bout de souffle a donc révélé que le «grand homme» était un de ses cadres dirigeants…
Ce misérable calcul boutiquier aura du moins un grand
avantage car il permettra peut-être d’ouvrir les yeux ou de réveiller ceux qui
pleurent un Mandela pacificateur-rédempteur alors qu’il était en réalité un triste
agent du KGB, un menteur pathologique, un abominable terroriste, une «taupe communiste» dans le vocabulaire
de la «guerre froide»…
Voyons le cas de cet énergumène marxiste d’un plus
prêt.
De son nom de naissance en 1918 Rolihlahla Mandela Madiba, son prénom
prédestiné, Rolihlahla, signifie «enlever
une branche d'un arbre» ou, plus familièrement, «fauteur de troubles», le prénom de Nelson lui a été donné à 9 ans en 1927 par son
institutrice de l’école méthodiste Miss Mdingane). L'enseignement dispensé dans
cette école protestante lui permet de recevoir une éducation à la fois
africaine traditionnelle et européenne. A 16 ans, il subit l'initiation suivant
la coutume thembu (circoncis il devient Dalibunga soit un homme). De famille «royale», Mandela poursuit ses études à
l'école méthodiste d'Healdtown à Fort Beaufort. Diplômé, il rejoint
l'université de Fort Hare, la seule université acceptant les Noirs pour y
entamer des études de droit. Il y découvre le nationalisme afrikaner et le
marxisme diffusé par le Parti Communiste Sud-Africain (SACP), il y adhère.
Depuis sa mort, tous ceux qui ne croient ni à Dieu ni à
diable se sont trouvés une icône marxiste culturelle devant laquelle ils
brûlent des cierges en déférence : Au point, presque, de réclamer sa
canonisation immédiate. «Santo subito !»,
mais notre sinistre zigoto Mandela n’a pas réalisé de miracle. Ni avant, ni
après l’abolition de l’apartheid… qui n’est pas de son fait ! Il est même
responsable des habituels et monstrueux crimes de sang marxistes. L’image d’Épinal du Mandela papa gâteau, sorte de nouveau Gandhi, a du plomb dans
l’aile, n’en déplaise aux plumitifs de la presse marxiste culturelle française.
Si l’Organisation des Nations unies a fixé au 21 mars
la Journée mondiale de la lutte contre la ségrégation raciale, c’est en référence
à la tragédie qui s’est déroulée le 21 mars 1960 à Sharpeville, en Afrique du
Sud. Ce jour-là, la police, assiégée par plusieurs milliers de manifestants
réunis à l’appel du Congrès national africain(ANC) dirigé par le communiste
Mandela est prise de panique et a tiré sur la foule. On relèvera 69 morts.
Le
camarade Mandela, qui va sur ses 43 ans, est un cadre de l’ANC. Bien que communiste,
Mandela serait à cette époque plutôt non violent. Pour la violence terroriste cela
ne va pas durer. Il considère, largement influencé par l’URSS que la stratégie
de l’ANC (qui va être interdite) a échouée. Qu’il faut adopter la bonne stratégie
marxiste de la terreur rouge du cycle provocation/répression, afin d’amener les
fameuses «masses» à se soulever
contre le pouvoir afrikaner. Qu’il faut donc en venir à la lutte armée et au
terrorisme.
C’est ainsi qu’en cette année 1960, Rolihlahla Mandela
crée la branche militaire de l’ANC – sa branche terroriste – sous le nom de Umkhonto
We Sizwe (connu aussi sous le nom de MK), qui signifie «fer de lance de la nation»). MK est dirigée par Joe Slovo un blanc
secondé par Mandela (Slovo était un agent soviétique cadre du KGB né en
Lituanie sous le nom de Yossel Mashel Slovo, c’était un juif Erev Rav blanc
et marxiste-léniniste chef du Parti communiste sud-africain clandestin, formé à
l’université Patrice Lumumba de Moscou).
En 1960, quand le camarade Mandela qui était déjà
membre et petit cadre du Parti Communiste (South African Communist Party ou
SACP) fut nommé-coopté au Comité central, le monde était en pleine «guerre froide» et les soviétiques
avaient décidé de menacer la route du Cap, vitale pour ce qui était alors l’«Occident», en déstabilisant le pays qui
en était le gardien, à savoir l’Afrique du Sud. Pour l’URSS, la soi-disant lutte
contre l’apartheid fut le moyen de populariser cette stratégie en lui donnant
un «habillage» moral. La mission que
le KGB confia alors à Nelson Mandela, fut de prendre le contrôle de l’ANC au
profit du SACP en évinçant la vieille garde réformiste et non-violente qui le
contrôlait, afin de lui faire adopter la lutte armée. CQFD.
Dirigé par le colonel Yossef Slovo, officier
supérieur du KGB, le camarade Mandela
s’acquitta parfaitement de ces deux missions. Il réussit comme on l’a vu à
imposer la création de l’Umkhonto we Sizwe, l’aile militaire et
terroriste de l’ANC dont il fut le premier chef. Il transforma également l’ANC
en une simple courroie de transmission du SACP. En 1989, sur les 30 membres de
son comité directeur, seul quatre ou cinq revendiquaient ainsi officiellement
leur appartenance au SACP cependant que plus d’une vingtaine étaient des
membres clandestins du parti ayant reçu l’ordre de cacher leur appartenance afin
de ne pas effaroucher les «compagnons de
route» et les «idiots utiles».
Il reste un grand nombre de gens dans le monde pour
croire ce que leur disent les communistes et assimilés, sans oublier en France,
socialistes, républicains et autres marcheurs comme les Verts, de véritables
pastèques, vert dehors, rouge dedans. Ce n’est pas nouveau. Il fut un temps pas
très éloigné, que j’ai connu, où 25 % des électeurs français votaient
communiste, convaincus que le communisme était la bonne solution pour assurer le
bonheur des hommes. Tenez, dernièrement la télé passait un documentaire sur le
massacre de Katyn, du nom du lieu où Staline ordonna que furent froidement
assassinés quelques milliers d’officiers polonais (environ 12000 morts, une paille), des hommes
abattus d’une balle dans la tête et enterrés dans des fosses communes. Ce ne
sont pas que des militaires qui sont morts à Katyn, mais des ingénieurs, des
professeurs, des fonctionnaires de haut rang, intégrés dans l’armée polonaise
lors du déclenchement des hostilités. Le massacre de Katyn n’est donc pas le
massacre de soldats, mais l’élimination, organisée et planifiée, de l’élite
intellectuelle de la Pologne, afin de détruire ce pays. Il est très peu connu
que parmi ces 12000 morts assassinés par les monstrueux communistes se trouvait
plus de 2000 juifs. À cela s’ajoute l’arrestation et la déportation dans les
camps de la mort du goulag des professeurs dont de très nombreux juifs de
l’université de Cracovie ; là aussi dans le but de s’attaquer à la culture et
aux forces intellectuelles du pays au début de la guerre 40-45. Non seulement
ces crimes furent commis, mais l’URSS le nia catégoriquement jusqu’au début des
années quatre-vingt-dix, et pire encore dans l’abject, le régime communiste
d’URSS accusa les Sociaux Nationalistes Allemands d’en être les auteurs. Nous
n’avons jamais eu chez nous 25% d’électeurs votant pour des candidats nazis et
pourtant national-socialisme et communisme sont les deux faces de la même
pièce. Le communisme, malgré ses atrocités connues (l’Holodomor en Ukraine,
reconnu crime contre l’humanité et génocide par l’union européenne fit plus de
9 millions de morts innocents), sut charmer avec ses mensonges et occultations
historiques, les fameuses «masses
populaires», des idiots utiles naïfs, mais aussi avec l’idéologie marxiste
culturelle, quantités d’intellectuels et d’artistes : cette maladie du cerveau
demeure néanmoins un mystère pour la médecine. On sait cependant par
l’intermédiaire de l’historien Nicolas Werth, spécialiste du monde russe et de
l’URSS que : «Dans l’ombre de la
Shoah, les pogroms communistes ou socialistes des guerres civiles russes de
1918-1921 sont restés un événement peu étudié, eu égard à l’ampleur
exceptionnelle des massacres, les plus grands massacres de Juifs avant la Shoah
: au moins 100 000 tués, 200 000 blessés et invalides, des dizaines de milliers
de femmes violées, 300 000 orphelins dans une communauté de quelque cinq
millions de personnes».
J’affirme que pendant toute la période communiste en
URSS, c’est au bas mot trois millions et demi de juifs qui furent exterminés de
Lénine à Staline.
Mais revenons à notre agneau. C’est
le camarade Mandela en personne sous les ordres et avec les conseils éclairé du
camarade colonel du KGB Yossel Slovo qui va rédiger le plan de «passage graduel» à la lutte armée.
Première étape : les sabotages pour ce faire la main, puis passage rapide à la
deuxième étape : la «guerre de guérilla»,
théorisée par Che Guevara (encore un brave camarade au surnom évocateur qui lui
fut attribué lorsqu’il était responsable de La Cabana, une prison qui fut le
badin théâtre de joyeuses atrocités socialistes: el carnicerito, le
petit boucher).
L’un de ses camarades de combat décrira la première
étape : «Faire exploser des lieux
symboliques de l’apartheid, comme des bureaux du passeport interne, la cour de
justice pour natifs, et des choses comme ça… Des bureaux de poste et… des
bureaux du gouvernement».
De 1961 à 1964, près de deux cents attentats et
sabotages sont perpétrés ! Si Mandela est arrêté en 1962 et condamné –, ce
n’est pas donc parce qu’il s’oppose à l’apartheid. C’est parce que les moyens
qu’il emploie et les équipes qu’il commande se livrent au terrorisme. C’est aussi
parce qu’il bénéficie d’importantes aides de l’étranger : financières (Le
fameux «argent de Moscou») et
matérielles (armes et explosifs par la même filière soviétique via Cuba).
L’Algérie tout juste indépendante et sous l’influence directe de Moscou l’a
accueilli pour le former aux actions militaires et terroristes…
Umkhonto we Sizwe marxiste n’arrête pas ses actions
avec l’incarcération de Mandela. Quelques mois après sa condamnation, les
dispositions que Slovo le grand chef blanc du Parti Communiste et agent du KGB
a prises avant que Mandela soit emprisonné permettent à MK de disposer d’un
appareil militaire solide. On estime alors ses forces à près d’un millier
d’hommes, répartis dans des camps en Angola, en Tchécoslovaquie et en URSS
comme à Odessa. Et
le signal de l’offensive sanglante est donné, depuis Moscou, après les émeutes
de Soweto en 1976. En 1977, l’organisation criminelle créée par Nelson Mandela
fait ses premiers morts sur le sol sud-africain. Des opérations avaient déjà eu
lieu en Rhodésie, où les terroristes de MK œuvraient, à la place des
Soviétiques, pour renverser le régime.
Tiens et
si on faisait une petite parenthèse pour parler de cette fameuse Rhodésie. La
plupart des marxistes culturels en France feignent et font semblant d’ignorer
ce qui pour moi est un vrai racisme puisqu’il oppose nettement deux races
humaine en l’occurrence les noirs et les blancs par comme dans ce merveilleux
pays anciennement la Rhodésie et maintenant le Zimbabwe où règne le communisme
le plus merveilleux, l’avènement du grand soir avec la naissance du petit Jésus
soviétique noir et les lendemains qui chantent le blues. Le racisme au Zimbabwe
comme en Afrique du Sud se remarque aux multiples discriminations et aux monstrueux
assassinats, principalement contre la communauté blanche du pays. Remarquons
toutefois que le génocide des noirs locaux comme aussi chez les africains du
sud y tient aussi une place non négligeable. Après la dissolution de la
Rhodésie et l'indépendance du Zimbabwe qui met fin à la domination britannique
en 1980, le parti communiste marxiste-léniniste, l’Union nationale africaine du
Zimbabwe - Front patriotique (ZANU-PF) arrive au pouvoir bien aidé par l’ANC
sud-africaine du camarade Mandela. En avril 1980, son altesse
démocratique Robert Mugabe dit comrad
Bob avait mis sur pied la 5e Brigade, une milice humaniste et pacifiste entraînée
par des instructeurs nord-coréens pour faire taire les opposants politiques du
merveilleux parti communiste au pouvoir, la Zanu, «Zimbabwe African National Union». Plus de 20 000 Ndébélés de la
province de Matabeleland, bastion de l’opposition, auraient ainsi été
systématiquement exécutés «sous les
ordres directs» de Mugabe avec l’aide de l’ANC du camarade Mandela.
À cette époque, la plupart des terres agricoles
appartiennent aux très méchants et vilains racistes Blancs. Le bon parti
communiste, pacifiste, humaniste comme le MRAP qui en France distille de la
haine des juifs, dirigé par Robert Mugabe, applique une politique un petit peu
raciste en menant une réforme agraire, confisque les terres aux vilains méchants
Blancs, les expulsent de leurs fermes, puis les massacrent très
démocratiquement. Depuis, la population blanche zimbabwéenne n'a cessé de
diminuer, passant de 260 000 à seulement 10 000 individus de 1975 à 2017. C’est
ce qui amené le pays au chaos. En 1996, 4 500 fermiers blancs possédaient
encore à cette date environ 30 % des terres cultivables du pays (contre 70 % en
1980) cultivant blé, arachides et tabac et dont le chiffre d'affaires
représentait plus de 50 % du PIB. Surnommé le grenier à blé de l'Afrique, le
pays participait en tant que fournisseur de denrées au Programme alimentaire
mondial (PAM). Depuis 2000, plus de 80 % de ces fermiers ont été expulsés et
massacrés et leurs terres ont été dépecées ou redistribuées à des hauts
dignitaires ou à des populations autochtones complétement incompétentes. En
2010, seuls une petite centaine de blancs (massacrés depuis) habitaient encore
le pays. Le Zimbabwe avec 90% de joyeux chômeurs communistes est devenu client
du PAM et en 2006, 3 millions de Zimbabwéens soit le quart de la population
dépendaient de l'aide alimentaire internationale.
Certainement au grand dam des médias marxistes
culturels rue qui restent extrêmement silencieux sur le sujet, le génocide
raciste des blancs continue aujourd’hui mais cette fois en Afrique du Sud. Dans
un article du 4 mars 2017, le Figaro relate le massacre des Blancs en Afrique
du Sud et parle de la grande censure sur ce sujet car, «ce sujet tabou peu traité par les média nationaux, ne manque pas de
diviser une société déjà déchirée par l’héritage de l’apartheid. En cause, le
caractère racial du phénomène : la quasi-totalité des fermiers du pays sont
blancs et la totalité des agresseurs sont noirs». Ça alors qui l’eut cru ?
Il est étonnant de ne pas voir des organisations «antiracistes» comme le MRAP qui distille de la haine des juifs ou
la très socialiste LICRA dénoncer ces massacres en masse de Blancs ! Où sont
les organisations humanitaires en Europe pour dénoncer le génocide des Blancs
en Afrique du Sud ? Ou les média «antiracistes»
? Pourquoi un simple article perdu dans la masse des infos dans le Figaro et
pas de larges protestations sur ces massacres dictés par une idéologie
nettement raciste qui veut le génocide des Blancs ? Le Figaro écrit, «rien que pour l’année 2016, l’organisation
de défense des droits civiques AfriForum portait le nombre d’attaques de fermes
à 345 (soit près d’une par jour) et
le nombre de meurtres à 70 (soit plus d’un par semaine)». Et depuis le 1 janvier 2017, ce sont 86 attaques et 19 meurtres
qui ont déjà été recensés.
Le Figaro parle du parti communiste de Julius Malema,
un fanatique politique qui faisait partie de l’ANC. «En 2011, le raciste noir et communiste a été filmé en train de scander
: «Tuez les Boers et les Blancs»,
en parlant de Julius Malema et Le Figaro explique que ce même raciste immonde Malema
veut un génocide des Blancs, et qui déclare sans rire ; «ces terrains doivent être expropriés sans
aucune compensation. Les colons européens sont venus et ont massacré des
Africains pacifistes (elle n’est pas belle celle-là ?) comme des animaux. Nous n’appelons pas au
massacre des Blancs du moins pas pour l’instant».
La masse des médias lobotomisés par le marxisme
culturel en Europe montre du doigt les Blancs comme étant les racistes et les
exterminateurs. L’idéologie qui a lieu en Europe veut montrer le Blanc comme le
raciste et le Noir comme la seule victime. Le cas concret du terrain de
l’Afrique du Sud prouve que le message véhiculé par la bien-pensance, le
politiquement correct cher à messieurs Zemmour et Block-Côté et le marxisme
culturel et les mouvements dit «antiracistes»
notamment le MRAP qui lui distille de la haine des juifs est faux et dangereux
car il n’informe pas correctement les populations sur les réalités de terrain.
En lisant l’article du Figaro, on apprend ce dont tout le monde raisonnable et
non marxiste n’a jamais douté que le racisme n’est pas une idéologie
exclusivement blanche. Des Noirs sont racistes et tuent des Blancs à cause de
la couleur de leur peau. Le cas de l’Afrique du Sud montre que les peuples
européens doivent réagir contre le changement de peuple car devenant une
minorité, les Blancs européens en Europe pourraient bien subir le sort de leur
frère en Afrique du Sud car les organisations antiracistes en Europe montrent
du doigt les Blancs comme les racistes ce qui est un premier pas en direction
de la sud africanisation de l’Europe. Le journal Le Figaro lance un message
inquiétant à l’Europe qui se trouve en pleine invasion migratoire.
Le 23 mars 2016 l’ex président Français Hollande a
rencontré le président de l’Afrique du Sud à Lyon et n’a pas dénoncé le
massacre des Blancs aussi soutenu par le très raciste président Zuma (Zuma
appelle aux meurtres des Blancs qui vivent en Afrique du Sud). François
Hollande soutient, d’ailleurs, les présidents qui poussent au massacre de
civils et de populations que cela soit dans le Donbass et en Afrique du Sud.
Incroyable non ? Il existe une ONG pour sauver les Blancs en Afrique du Sud. La
directrice est Leigh Du Preez. L’ONG est SAFRPSA. «Les Blancs vivent dans des bidonvilles», dit Leigh Du Preez. «Les Blancs ne trouvent pas de travail à
cause des lois raciales de l’ANC qui donnent des emplois en priorité aux
citoyens noirs». L’imbécile ségrégation positive a provoqué la mise en
place du génocide des Blancs et libéré la parole de leaders politiques
marxistes fanatiques noirs qui veulent l’extermination des Blancs. L’ONG
SAFRPSA nous montre des populations blanches vivre dans des bidonvilles et des
enfants blancs traîner dans la boue dans des guenilles. Il y a aujourd'hui des centaines de bidonvilles pour blancs en Afrique du
Sud. Leigh Du Preez tente par tous les moyens d’alerter
le monde sur la situation en Afrique du Sud mais les média gardent le sujet
sous le tapis à cause de l’idéologie marxiste culturelle dite aussi «antiraciste» chère à ce très cher MRAP
qui distille de la haine des juifs qui règne en occident. En apprenant la
parution de l’article du Figaro Leigh Du Preez respire un peu, «enfin, le sujet sort …». Comment
sommes-nous arrivés à ce point-là où les médias officiels marxistes culturels ne
dénoncent pas en masse le massacre des populations blanches en Afrique ?
Nous n’en avons pas encore fini avec ce bien cher
camarade Mandela.
Les attentats du fait de son organisation communiste
terroriste Umkhonto we Sizwe feront, au total, plusieurs milliers de victimes
si l’on compte les victimes de cette bonne vieille pratique stalinienne : les
purges internes à l’organisation. Et Umkhonto we Sizwe regroupera, à son
apogée, plusieurs dizaines de milliers de membres.
En
1981, MK organise avec succès pas moins de 90 sabotages sur des cibles
industrielles ou militaires. À partir de 1983, les attentats à la bombe
perpétrés en pleine rue, font de plus en plus de victimes civiles comme l'attentat de Church street, à Pretoria, le 20 mai 1983 (19 personnes tuées, 217 blessés), l'attentat à la voiture
piégée le 14 juin 1986, à Durban, devant le Magoo's Bar (3 tués, 69 blessés), l'attentat au tribunal de Johannesburg en 1987 (3 morts, 10 blessés), l'attentat contre la
banque Standard de Roodepoort en 1988 (6 personnes tuées, 18 blessés).
Dans le même temps, une campagne de terreur est organisée contre les fermiers
blancs dans les zones rurales du Transvaal. L'armée sud-africaine intensifie
alors le bombardement des camps de MK, du Botswana jusqu'en Tanzanie. Après le
massacre d'Amanzimtoti, (Le 23 décembre 1985, le centre commercial Samlan situé
à Amanzimtoti fut l'objet d'un attentat à la bombe sanglant, perpétré par un
jeune militant communiste, Andrew Zondo, 19 ans qui avait suivi par des
instructeurs communistes Cubains et marxistes une «formation» à la guérilla en Angola). L'attentat causa la mort de 5
personnes dont 3 enfants et fit plus de 40 blessés. Des membres du Congrès
américain, soutenus par des membres de l'administration de Ronald Reagan,
demandent que l'ANC et MK soient considérées comme des organisations
terroristes.
Non seulement cette stratégie terroriste n’a servi qu’à
tuer des victimes civiles, comme en 1983 à Pretoria (19 morts, 217 blessés !),
mais elle n’a pas joué dans le processus qui a abouti à la fin de l’apartheid,
l’assassinat répété – systématique dans certaines régions – de fermiers blancs
ayant plutôt renforcé la conviction, dans les sphères dirigeantes, qu’on ne
pouvait décidément pas laisser ces gens-là s’emparer du pouvoir.
C’est
là qu’intervient un homme dont il aurait été à tout moins honnête de rappeler
le rôle, plutôt que d’attribuer à Mandela un rôle qu’il n’a pas eu : Frederick
de Klerk (Initialement Leclerc la famille était d’origine Française et
protestante), qui recevra d’ailleurs, en 1993, le prix Nobel de la paix
conjointement avec Mandela qui ne l’avait pas mérité.
De Klerk, qui avait succédé à Pieter Botha à la tête du
pays en 1989, est celui qui, en toute discrétion, va aller négocier la paix
avec les dirigeants de l’ANC en exil ainsi qu’avec… l’Union soviétique ! Pieter
Botha avait commencé à négocier avec Mandela, lui sait bien qui est le donneur
d’ordres… Ce n’est qu’après avoir obtenu des Soviétiques, dirigés par
Gorbatchev, qu’ils n’interviendront pas dans le processus, que De Klerk se
décide à autoriser l’ANC et à libérer le terroriste rouge Nelson Mandela le 11
février 1990.
C’est alors qu’il déclare : «Je
suis là devant vous non pas comme un prophète mais comme un humble serviteur du
peuple», une phrase tellement plus conforme à l’icône forgée durant ses années
de captivité par Winnie Mandela et par l’appareil de propagande de l’Union
soviétique qui ait été retenue de son discours en Europe. Il faudra attendra le
6 août suivant pour qu’il proclame… la fin de la lutte armée. A l’égard des
Blancs mais aussi à l’égard des Zoulous, qui auront payé un très lourd tribut à
cette guerre raciale. Cette «guerre» continue encore aujourd’hui en 2019, puisque le «roi» des zoulou Goodwill Zwelithini kaBhekuzulu pourrait bien s’allier aux suprématistes blancs afrikaner d’AfriForum. Ce roi est un xénophobe affirmé,
puisqu’en 2015 il demande aux étrangers de «faire
leurs bagages», ces étrangers étaient des immigrés de race noire venus du Mozambique (le Frelimo parti
au pouvoir au Mozambique a été jusqu'en 1990 le parti unique au pouvoir sous le
régime de la République populaire du Mozambique. Il a depuis abandonné
l'idéologie communiste et appartient aujourd'hui à l'Internationale socialiste,
des guerres larvées ont toujours lieu dans ce merveilleux pays socialiste), ou
de Somalie fuyant les paradis
socialistes. Goodwill Zwelithini kaBhekuzulu avait déjà lancé un appel à la nation
zouloue en mars 2018 pour sauver les terres de son peuple. Sept mois plus tard,
le roi zoulou, kaBhekuzulu, a demandé au président sud-africain Cyril Matamela Ramaphosa
(d’ethnie Vendas, un peuple bantou) de ne pas toucher aux 2,8 millions
d’hectares de terres lui appartenant, dans le cadre de la réforme agraire.
En 1992, c’est Frederick de Klerk qui abolira
l’apartheid, s’appuyant sur un référendum auprès de la population blanche.
Mandela n’avait rien aboli du tout. De même que s’il n’y eut pas de bain de
sang, c’est d’abord à Frederick de Klerk qu’on le doit.
La suite est tristement classique. Devenu président de
la République d’Afrique du Sud en 1994 il le restera jusqu’en 1999, Nelson
Mandela n’aura qu’un pouvoir très relatif, étant assisté de deux
vice-présidents, Frederick de Klerk et Thabo Mbeki, de l’ANC ( Communiste et
marxiste-léniniste, diplômé d'économie et d'études africaines en Angleterre à
19 ans en 1966, il travaille au quartier général de l'ANC à Londres puis
s'installe en Union Soviétique où il suit pendant trois ans des cours à l'école
du parti communiste et reçoit une formation militaire et terroriste à
l'institut Lénine de Moscou (1967-1970). Et le pays, soi-disant «arc-en-ciel», sombrera progressivement
dans la terreur rouge et le chaos, sur tous les plans notamment le pire des racismes
antiblancs du monde. Au point que Frederick de Klerk dénoncera publiquement,
quelques années plus tard, le reniement de ses promesses par l’ANC et
l’incapacité de Nelson Mandela à contrôler ses troupes.
La suite est classique, car Mandela était aussi peu
fait que Lech Walesa pour diriger un pays, et les observations livrées par
l’africaniste Bernard Lugan, auteur d’une Histoire de l’Afrique du Sud (Perrin)
qui fait autorité, sont sévères : «Nelson
Mandela n’a pas apaisé les rapports interraciaux. Ainsi, entre 1970 et 1994, en
24 ans, alors que l’ANC communiste et raciste était «en guerre» contre le
«gouvernement blanc», une centaine de fermiers blancs furent massacrés. Depuis
avril 1994, date de l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, plus de 2 000
fermiers blancs ont été massacrés dans l’indifférence la plus totale des médias
européens».
En 2013, poursuit monsieur Lugan, «le chômage touchait selon les chiffres officiels 25,6 % de la
population active au [deuxième] trimestre […], mais en réalité environ 40 % des
actifs. Quant au revenu de la tranche la plus démunie de la population noire,
soit plus de 40 % des Sud-Africains, il est aujourd’hui inférieur de près de 50
% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994. En 2013, près de 17
millions de Noirs sur une population de 51 millions d’habitants ne survécurent
que grâce aux aides sociales, ou Social Grant, qui leur garantit le minimum
vital». Et l’on y compte 16 000 meurtres de blancs et plus de 50 000 viols de
femmes blanches par des noirs par an. 800 000 Blancs, peut-être un million, ont
fui le pays. Le ministère français des Affaires étrangères déconseille
fortement de visiter l’Afrique du Sud hors des circuits balisés, car «les agressions contre les touristes,
principalement motivées par le vol de leurs biens matériels ou objets de
valeur, peuvent s’accompagner de violences graves (vols sous la menace d’armes
à feu, piratages de voitures, viols, meurtres, etc.)». Le paradis «arc en ciel» marxiste-léniniste !
Et les héros sont priés de s’abstenir : «En cas d’agression, ne pas regarder son
agresseur dans les yeux et ne jamais tenter de résister ou de se défendre. Les
agressions sous la menace d’une arme à feu ou d’un couteau sont courantes ; il
s’agit d’assurer à votre agresseur, qui peut être sous l’emprise de l’alcool ou
de la drogue, de votre disponibilité à coopérer (sic !) et à lui remettre
immédiatement vos valeurs».
Alors je propose au Luc en Provence de rebaptiser d’urgence
le complexe sportif Nelson Mandela du nom d’Annette Kennealy cette pauvre femme
et fermière Sud-Africaine assassinée dans sa ferme et victime du racisme
antiblanc des noirs sud-africains voir
ici
Au lendemain de l'investiture de Ramaphosa, la question de la sécurité de
la minorité blanche est plus que jamais posée avec l'assassinat de madame Kennealy.
La veille, Annette Kennealy avait rendu visite à
sa mère puis, de retour dans sa ferme du Limpopo, avait partagé un lien sur
Facebook : «Pic brutal
avec 10 attaques ces quatre derniers jours dont un meurtre de fermier».
Annette Kennealy, 51 ans, était ensuite partie de coucher. C'est sa
mère qui a donné l'alerte le 21 mai au matin. Sa fille ne répondant pas à
ses appels et à ses messages, elle a prévenu un proche qui s'est précipité
jusqu'à l'exploitation située sur la commune de Louis Trichardt dans la
province du Limpopo. Il y a découvert Annette Kennealy, face contre terre,
dans une mare de sang, l'œil gauche et le front enfoncés. Près du corps, un
marteau et une barre de fer.
La disparition d'Annette Kennealy survient à
l'heure où les syndicats de fermiers blancs s'alarment d'une recrudescence des
attaques par des bandes de noirs racistes. Celles-ci auraient bondi de
25 % l'an passé. Depuis janvier, 126 agressions ont été recensées
ayant entraîné la mort de 16 personnes. Des meurtres barbares souvent
précédés de viols et d’abjects actes de torture. «Stop au génocide blanc», crient dans les manifestations les
membres d'AfriForum, l'association la plus engagée dans la défense des intérêts
des Afrikaners, dont les représentants ont rencontré l'an passé
John Bolton, le conseiller américain à la Sécurité nationale.
Une campagne menée sur fond d’une absurde réforme
agraire de style collectiviste ; notons que les opposants à cette réforme rappellent
les évictions violentes et les massacres de fermiers blancs ordonnées il y a
près de vingt ans par le gouvernement communiste au Zimbabwe voisin. Elles
avaient précipité la ruine totale de l’économie du pays qui ne s’en est
toujours pas remis. En effet, la question de la redistribution foncière
empoisonne toujours les relations entre le pouvoir et la minorité blanche. Un
chiffre : 72 % des terres appartiennent aux Blancs qui représentent
9 % de la population. Résultat, les autorités envisagent d'amender la
Constitution afin de supprimer les indemnités compensatrices lors des
expropriations.
Certes, mais les statistiques montrent que les
intéressés ont cinq à dix fois plus de risques de périr de mort violente que le
reste de la population. En revanche, les raisons ne sont pas seulement
ethniques. Dans bien des cas, les massacres s'accompagnent de pillages
facilités par l'isolement des exploitations. Et la communauté noire n'y échappe
pas. Sur les 84 tués dénombrés en 2017, 25 en font partie. Au
lendemain de l'assassinat d'Annette Kennealy, la police a arrêté un
suspect, âgé de 40 ans. Il s'agirait de l'un de ses anciens employés dont
on ignore encore les motivations. Seule certitude : il n'a rien volé.
Gilles-William Goldnadel avocat
et essayiste, décrypte l’actualité toutes les semaines, pour FigaroVox.
Il y soutient qu’en dépit d’un phénomène de
réchauffement climatique de l’intolérance que j’appelle moi marxisme culturel, causé
par une rencontre de vents d’ouest et d’est au-dessus de nos têtes, il convient
plus que jamais de dire et nommer les choses.
Et que si l’on
les dit sans gêne et sans haine, les intolérants (les haineux
communistes ?) baissent d’un ton dans leurs imprécations.
Les exemples fourmillent dans tous les domaines de ce
qu’on n’ose dire mais qui doit être dit.
Un article du Point.fr du 31 mai nous révèle la hausse
brutale d’attaques mortelles contre la minorité blanche d’Afrique du Sud.
Annette Kennealy a été retrouvée le 21 mai face contre terre dans une mare de
sang, l’œil gauche et le front enfoncés. Près du corps un marteau et une barre
de fer. «Le Point avait rencontré Annette. Parmi les fermiers blancs, elle
suscitait le respect en raison de son acharnement à défendre leur cause.
Divorcée, mère de deux filles, elle vivait entourée de ses chevaux et de ses
cinq chiens. Elle sillonnait le Limpopo à bord de son pick-up pour réconforter
les survivants des violences des campagnes sud-africaines». Depuis la fin
de l’apartheid en 1994, plus de 3000 fermiers ont été assassinés. En raison de
la couleur de leur peau. Des meurtres le plus souvent précédés d’actes de
torture.
Est-ce tellement difficile d’écrire que ce
gouvernement radical et démagogique du président Ramaphosa qui veut confisquer
sans indemnités les biens des blancs trahit l’esprit de De Klerk et va faire de
l’Afrique du Sud le Zimbabwe de Mugabe?
Pour un peu, on passerait pour raciste. Et pourtant il
faut absolument le dire.
D’autant que chance pour nous Français, il existe une
association OLRA (l’Organisation de
Lutte contre le Racisme Antiblanc. Universaliste. Laïque et Apolitique).
Comme les autres formes de racisme, le Racisme
Antiblanc peut se manifester au travers d'injures, de diffamations, de
harcèlements, d'agressions (y compris de meurtres et de viols), de
discriminations ou d'incitation et d'appel à la haine, à la violence ou à la
discrimination. Aux États-Unis, il a notamment été exprimé par des groupes extrémistes
de noirs, il y existe des suprémacistes noirs (black supremacists) prônant la
supériorité de la «race noire». Il
s'agit de groupes organisés comme les Black Muslims et Nation of Islam (Tiens
comme c’est bizarre des musulmans). Nation of Islam fut notamment représenté
par Malcom X puis par Khalid Abdul Muhammad qui tient des discours antiblancs
et appelle au meurtre des Américains blancs. Au Zimbabwe, le président Robert
Mugabe a mis en place une politique raciste visant à exproprier et chasser les
Blancs. En Afrique du Sud, l'homme politique Julius Malema, qui avait repris
dans ses meetings un chant incitant à tuer des fermiers blancs, a été reconnu
coupable d'incitation à la haine raciale par la justice (Le chant en question
est Dubula ibhunu («Tuez le Boer»), un chant raciste traditionnel de l'époque
de l'ANC de Nelson Mandela aujourd’hui soutenu par la «mère de la nation» son ancienne femme, Winnie Madikizela-Mandela.
J'en
terminerai par un extrait d'article de Gilles William Goldnadel du
01/10/2018: FIGAROVOX/TRIBUNE - Gilles-William Goldnadel, réagissant au
clip raciste (Nick Conrad, d'origine camerounaise), incitant au
meurtre des blancs (hé oui chez bous aussi ; ce sont les joies d’une
immigration de «chances pour la France»
bien réussie), s'en prend aux médias qui selon lui refusent de voir dans cet
événement une inquiétante montée de la haine raciale. : «L'affaire du rappeur raciste et noir
appelant en chantant à massacrer les enfants blancs jusque dans leurs crèches,
m'a servi cette semaine sur un plateau des provisions, surabondantes jusqu'à
m'étouffer, pour établir ma thèse. (…) Le fait que celui-ci, loin de plaider le délire hallucinatoire,
légitimait ses propos par les thèses (Islamomarxistes et racistes) de Malcom X et le (prétendu) racisme blanc, ne lui posait problème. Un
peu comme si je chantonnais une ritournelle, aidé de mon harmonica, proposant
d'empoisonner les enfants d'aujourd'hui de Germanie, histoire de me revancher
d'Hitler et de sa compagnie».
Cher maître, c’est qu’elle existe cette chanson ;
c’est le «Lambeth Walk» danse à la
mode aux Etats-Unis et au Royaume-Uni à la fin des années 1930. La chanson
Lambeth Walk, est issue de la comédie musicale Me and My Girl, faisait
référence à une rue dans un quartier Cockney de Londres. Les danseurs faisaient
de grandes enjambées d’avant en arrière, tout en ponctuant leur «marche» de high kicks (grands coups de
pieds) et de gestes larges comme les troufions hitlériens. En 1940, un audacieux membre du ministère britannique de l’Information a
créé ce film, «Lambeth Walk – Nazi Style»
Charles A. Ridley a monté des extraits d’un film de propagande de 1934, Le
triomphe de la volonté, réalisé par Leni Riefenstahl, afin de donner l’illusion
que les soldats nazis et Hitler dansaient le «Lambeth Walk». La blague était d’autant plus drôle
qu’un membre du Parti nazi avait publiquement dénoncé la danse en 1939, après
que la mode avait pris à Berlin. Pour lui, il s'agissait d'«une bêtise juive et de sautillements bestiaux».
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