lundi 19 août 2019

L’affaire Epstein.




D’abord je ne sais pas vous, mais moi je me demande bien pourquoi la grande majorité des merdiatistes dits des «journalistes» prononcent le nom de monsieur Jeffrey Epstein, «Jifri Epstine» certains sur le net subodorent que prononcer Epstein : Epstine, c’est pour faire «classieux», alors qu’Albert Einstein reste prononcé «Aïnstaïne» par ces benêts. Si vous devez dire un deux trois en Allemand vous direz : Eins, zwei, drei et pas ine, zvine, dri, mais bien «aïne, zvaï, draï»,  verstanden ? Bien sûr, mais nos petits amis marxistes culturels stipendiés parlent le «politiquement correct dans le texte». Car monsieur Jeffrey Epstein, non content d’être un feu (c’est fait gentiment «suicider» le 10 août 2019 dans sa cellule) et présumé monstrueux escroc, un milliardaire spécialiste fiscaliste prétendument spécialisé dans le blanchiment d’argent et la fraude fiscale avait été incarcéré en 2019, dans l’attente d’un procès pour trafic de mineurs, où il risquait la perpétuité.  
                                                                                                                                                                                                                     Il y a un bon livre, devenu film qui me rappelle beaucoup l’affaire Epstein, c’est La Firme roman policier américain publié en 1991 par John Grisham.

Mais ce qui est rigoureusement tenu sous silence par les médias c’est le fait qu’Epstein soi juif ! Juif Erev Rav certes, un de ceux considérés comme ayant des comportements indignes se manifestant parmi les Juifs.


D'ailleurs sur Israelvalley.com le site officiel de la chambre de commerce France Israël on nous dit : «En Israël, les grands donateurs qui soutiennent l’État hébreu, demandent souvent que leurs noms soient apposés sur des édifices (il suffit de se promener sur les campus du pays pour s’en rendre compte). Aucun immeuble, institution où autre ne porte le nom «Jeff Epstein» en Israël. Ce n’est pas par hasard. Jeff Epstein avait en Israël, et ceci depuis des années, une sale réputation. Ses donations (très faibles) ont été principalement réservées à des institutions juives américaines de New York ($500 000 à une école juive). Epstein a fait une donation de $6,5 millions à Harvard University. Les gros donateurs juifs américains sont connus : Sheldon Adelson, Stephen Schwarzman, Michael Bloomberg, Les Wexner (nous aurons l’occasion d’en reparler), Seth Klarman, Paul Singer, Norman Braman, Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg, Bill Maher, Donald Sussman et Jim Simons. Epstein est né dans une famille juive de classe moyenne à Brooklyn, New York, où son père travaillait pour les espaces verts de la ville. De nombreux amis d’Epstein étaient juifs, dont des milliardaires. Epstein avait une société de gestion de fortune et son gros client était Les Wexner (Je vous disais qu'on le reverrai cet homme très actif dans la communauté juive), le patron de Victorias Secret, la chaîne de lingerie pour très jeunes filles, qui aurait rompu les ponts depuis 12 ans». Il n’est pas étonnant qu’on retrouve  Epstein copain comme cochon avec Leslie " Les" H. Wexner le grand patron de Victoria’s Secret qui semble  lui aussi collectionner  les scandales. Plus de 100 mannequins, dont Christy Turlington, Mila Jovovich et Doutzen Kroes, ont signé une lettre ouverte appelant John Mehas, le PDG de la marque, à s’attaquer aux abus sexuels au sein de la compagnie. Source Marie Claire France. Leslie Wexner aurait néanmoins pris selon Paris Match.com ses distances avec Jeffrey Epstein.



 La veille de la «disparition» du trafiquant sexuel Jeffrey Epstein, les noms des personnalités accusées de complicité se dévoilaient à la face du monde. Parmi eux, quelques citoyens français dont Jean-Luc Brunel, patron de l’agence de mannequins MC2 lancée en 2004 à New-York, Miami et Tel Aviv. Ce dernier est cité à plusieurs reprises dans les rapports de la police américaine qui enquête depuis près de quinze ans sur Epstein et son entourage. Et pour cause. Jean-Luc Brunel est soupçonné d’être un des principaux «rabatteurs» d’Epstein, avec l’ancienne maîtresse de ce dernier, Ghislaine Maxwell, rôle que tous deux démentent fermement avoir tenu. En d’autres termes, ils auraient aidé le milliardaire à trouver des «proies» dont Epstein et ses «potes» pouvaient abuser sexuellement.  Selon Médiapart, Brunel est né dans une famille aisée des beaux quartiers parisiens et son goût pour la fête et les voitures de luxe serait connu dans la capitale. Il possède aussi une réputation sulfureuse dans le milieu de la mode, où, après avoir dirigé une agence de mannequin à Paris à la fin des années 1970, il s’envole aux États-Unis pour y ouvrir une nouvelle agence MC2 en 2004 (anciennement Karins USA). Ghislaine Maxwell est la fille de Robert Maxwell de son vrai nom Ján Ludvik Hoch qui est élevé au sein d'une famille juive pauvre en Ukraine. Réfugié au Royaume-Uni en 1940, il s'engage dans la British Army. Intelligent et doué pour les langues, il réussit à monter rapidement les échelons. En obtenant la citoyenneté britannique, il change de nom pour s'appeler Robert Maxwell. Tout au long de son parcours professionnel il s'est montré un dirigeant aux pratiques malsaines, associant des sociétés à la santé financière très douteuse. Fin 1990, des journalistes enquêtent sur un possible détournement des fonds des pensions de retraite des employés de ses  sociétés.  
                                                                                                                                      
À 68 ans, Maxwell aurait «chuté» de son yacht (Plouf!) alors qu'il est au large des îles Canaries. Son corps, retrouvé flottant dans l'océan Atlantique, est enterré au cimetière juif du mont des Oliviers à Jérusalem. La cause «officielle» de sa mort est la noyade accidentelle, mais cette version des faits a été mise en cause, on a parlé de meurtre ou de suicide. Gordon Thomas, dans l'Histoire secrète du Mossad : de 1951 à nos jours, affirme qu'il était un membre éminent du Mossad auquel il avait accordé des financements en détournant notamment les fonds de pension de son groupe. Il aurait été tué alors qu'il voulait récupérer l'argent prêté au Mossad. Les services secrets israéliens auraient refusé et l'auraient éliminé de peur qu'il ne dévoile sur la place publique les nombreuses informations qu'il connaissait. À cause de leur gestion hasardeuse, ses entreprises ne lui ont pas survécu et ont fait faillite. Maxwell s'étant également livré à plusieurs malversations financières, l'écroulement de son groupe a été rapide et total. 

                                                                                              
Nous savons maintenant avec certitude (grâce à des enquêteurs britanniques qui auraient sans doute été qualifiés de «complotistes» par les désinformateurs merdiatistes de notre époque) que l'escroc milliardaire Robert Maxwell était au service du Mossad. Mieux encore : avant sa fille Ghislaine (aujourd'hui accusée de complicité de trafic sexuel de mineures pour  Epstein), Robert Maxwell qui travaillait comme agent double pour le Mossad israélien et le MI6 britannique collaborait également avec Epstein, autre «sayan» du Mossad qui le tenait par les «couilles» si l’on peut dire (en fait qui le faisait chanter en fermant les yeux sur ses affaires pédo-criminelles. Dixit l’ancien officier de la CIA et du renseignement militaire, Robert David Steele. Selon un entretien avec Steele, dans l’émission radio du Millennium Report du 18 février 2017 «l'île d'Epstein était équipée de caméras. De nombreux politiciens ont été compromis. C'était une opération du Mossad et de la CIA… Il y a des vidéos de certains puissants dans des positions des plus humiliantes. Si cela sortait dans la presse, non seulement les politiciens seraient ruinés, mais le jeu d'extorsion serait terminé et, tout à coup, l'influence que la CIA et le Mossad exercent sur Washington serait révolue») ainsi que son mentor – Leslie Wexner, co-fondateur du groupe «Mega».  Alors que les parties I et II de cette série, Le scandale Jeffrey Epstein: Trop gros pour échouer, se sont concentrées sur la nature généralisée des opérations de chantage sexuel dans l'histoire récente de l'Amérique et sur leurs liens avec les sommets du pouvoir politique américain et du renseignement américain. Les liens d’Epstein avec les services de renseignements israéliens et ses liens avec la faction philanthropique «informelle» pro-israélienne connue sous le nom de «Mega Group» constituent un aspect essentiel de la propre opération d’Epstein en matière de trafic sexuel et de chantage. En 1991, Wexner forme avec le milliardaire Charles Bronfman un groupe «d'étude», plus connu sous le nom de Mega Group. Le groupe était un club mal organisé composé de certains des hommes d'affaires les plus riches et les plus influents du pays, préoccupés par les problèmes des Juifs. Max Fischer , Michael Steinhardt , Leonard Abramson , Edgar Bronfman et Laurence Tisch en faisaient partie. Le groupe se réunirait deux fois par an pour deux jours de séminaires sur le thème de la philanthropie et de la judéité. En 1998, Steven Spielberg a parlé de son parcours religieux personnel. Plus tard, le groupe a discuté des camps d’été juifs. Le groupe, que Wexner a coprésidé avec Charles Bronfman, a ensuite inspiré un certain nombre d’initiatives philanthropiques telles que le Partenariat pour l’excellence en matière d’éducation juive , Birthright Israel et la modernisation du Hillel national.
On comprend mieux aujourd’hui que le juif Erev Rav Jeffrey Epstein dérange les pouvoir établis et même en France ou il existerait des liens avec monsieur le ministre Jack Lang, ce serait en étudiant le vaste réseau d'amis et de contacts d'Epstein, que le site Panamza.com/ a identifié l’individu dont la carrière et la famille ont bénéficié de son amitié méconnue avec Maxwell.

C'est un entretien ahurissant (et évidemment ignoré par la presse française) qui fut donné le lundi 12 août par l'ancien chauffeur, bodyguard et coach sportif (durant 5 ans) de Jeffrey Epstein. Ex-vedette des combats de MMA, le Russe Igor Zinoviev (qui avait souvent visité Epstein en prison) a confié à l'interviewer du New York Magazine que le pédocriminel avait été étrangement prévenu à l'avance de sa première perquisition (en 2007) de son domicile de Floride. Plus important, il affirme que son ancien employeur a été «aidé» pour se «suicider»... avant de conclure l'entretien en tentant de dissuader le journaliste de rapporter ses propos et d'enquêter davantage sur le sujet. Sources: Cliquez ici, Cliquer là, et aussi ici.

Pour en finir aujourd’hui‘hui, 3 nouvelles informations importantes sur l'affaire Epstein :

L'autopsie a révélé des blessures au cou évoquant davantage une «strangulation» qu'une «pendaison» d'après un expert interviewé par le Washington Post. Source…

Selon son avocat interrogé par le New York Post, Epstein en prison était d'humeur combative et optimiste (voire naïve) quant à la suite judiciaire. Source…

Toujours d'après son avocat, Epstein aurait nié toute tentative de suicide (le 23 juillet) et affirmé avoir été agressé par son compagnon de cellule (un ex-policier...). Source
Source Epstein autopsie, Source aussi ici


Et ce n’est pas fini, nini !


Michel Alain Labet de Bornay




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