D’abord je ne sais pas vous, mais moi je me demande
bien pourquoi la grande majorité des merdiatistes dits des «journalistes» prononcent le nom de monsieur Jeffrey Epstein, «Jifri Epstine» certains sur le net
subodorent que prononcer Epstein : Epstine,
c’est pour faire «classieux», alors
qu’Albert Einstein reste prononcé «Aïnstaïne»
par ces benêts. Si vous devez dire un deux trois en Allemand vous direz :
Eins,
zwei, drei et pas ine, zvine, dri, mais bien «aïne, zvaï, draï», verstanden ? Bien sûr, mais nos petits
amis marxistes culturels stipendiés parlent le «politiquement correct dans le texte». Car monsieur Jeffrey
Epstein, non content d’être un feu (c’est fait gentiment «suicider» le 10 août 2019 dans sa cellule) et présumé
monstrueux escroc, un milliardaire spécialiste fiscaliste prétendument spécialisé
dans le blanchiment d’argent et la fraude fiscale avait été incarcéré
en 2019, dans l’attente d’un procès pour trafic de mineurs, où il risquait la
perpétuité.
Il y a un bon livre, devenu film qui me rappelle beaucoup l’affaire Epstein, c’est La Firme roman policier américain publié en 1991 par John Grisham.
Il y a un bon livre, devenu film qui me rappelle beaucoup l’affaire Epstein, c’est La Firme roman policier américain publié en 1991 par John Grisham.
Mais ce qui est rigoureusement tenu sous silence par
les médias c’est le fait qu’Epstein soi juif ! Juif Erev Rav
certes, un de ceux considérés comme ayant des comportements indignes se
manifestant parmi les Juifs.
D'ailleurs
sur Israelvalley.com le site officiel de la chambre de commerce
France Israël on nous dit : «En
Israël, les grands donateurs qui soutiennent l’État hébreu, demandent souvent
que leurs noms soient apposés sur des édifices (il suffit de se promener sur
les campus du pays pour s’en rendre compte). Aucun immeuble, institution où
autre ne porte le nom «Jeff Epstein» en Israël. Ce n’est pas par hasard. Jeff
Epstein avait en Israël, et ceci depuis des années, une sale réputation. Ses
donations (très faibles) ont été principalement réservées à des institutions
juives américaines de New York ($500 000 à une école juive). Epstein a fait une
donation de $6,5 millions à Harvard University. Les gros donateurs juifs
américains sont connus : Sheldon Adelson, Stephen Schwarzman, Michael
Bloomberg, Les Wexner (nous aurons l’occasion d’en reparler), Seth Klarman, Paul Singer, Norman Braman,
Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg, Bill Maher, Donald Sussman et Jim Simons.
Epstein est né dans une famille juive de classe moyenne à Brooklyn, New York,
où son père travaillait pour les espaces verts de la ville. De nombreux amis d’Epstein
étaient juifs, dont des milliardaires. Epstein avait une société de gestion de
fortune et son gros client était Les Wexner (Je vous disais qu'on le reverrai cet homme très actif dans la communauté
juive), le patron de Victorias
Secret,
la chaîne de lingerie pour très jeunes filles, qui aurait rompu les ponts
depuis 12 ans». Il n’est pas étonnant qu’on retrouve
Epstein copain comme
cochon avec Leslie
" Les" H. Wexner le grand patron de Victoria’s Secret qui
semble lui aussi collectionner les scandales. Plus de 100 mannequins, dont
Christy Turlington, Mila Jovovich et Doutzen Kroes, ont signé une lettre
ouverte appelant John Mehas, le PDG de la marque, à s’attaquer aux abus sexuels
au sein de la compagnie. Source
Marie Claire France. Leslie Wexner aurait néanmoins pris selon
Paris
Match.com ses distances avec Jeffrey Epstein.
La veille de la «disparition»
du trafiquant sexuel Jeffrey Epstein, les noms des personnalités accusées de
complicité se dévoilaient à la face du monde. Parmi eux, quelques citoyens
français dont Jean-Luc Brunel, patron de l’agence de mannequins MC2 lancée en
2004 à New-York, Miami et Tel Aviv. Ce dernier est cité à
plusieurs reprises dans les rapports de la police américaine qui enquête depuis
près de quinze ans sur Epstein et son entourage. Et pour cause. Jean-Luc Brunel
est soupçonné d’être un des principaux «rabatteurs»
d’Epstein, avec l’ancienne maîtresse de ce dernier, Ghislaine Maxwell, rôle que
tous deux démentent fermement avoir tenu. En d’autres termes, ils auraient aidé
le milliardaire à trouver des «proies» dont
Epstein et ses «potes» pouvaient
abuser sexuellement. Selon
Médiapart, Brunel est né dans une famille aisée des beaux quartiers parisiens
et son goût pour la fête et les voitures de luxe serait connu dans la capitale.
Il possède aussi une réputation sulfureuse dans le milieu de la mode, où, après
avoir dirigé une agence de mannequin à Paris à la fin des années 1970, il
s’envole aux États-Unis pour y ouvrir une nouvelle agence MC2 en 2004
(anciennement Karins USA). Ghislaine Maxwell est la fille de Robert
Maxwell de son vrai nom Ján Ludvik Hoch qui est élevé au sein d'une famille
juive pauvre en Ukraine. Réfugié au Royaume-Uni en 1940, il s'engage dans la
British Army. Intelligent et doué pour les langues, il réussit à monter
rapidement les échelons. En obtenant la citoyenneté britannique, il change de
nom pour s'appeler Robert Maxwell. Tout au long de son
parcours professionnel il s'est montré un dirigeant aux pratiques malsaines,
associant des sociétés à la santé financière très douteuse. Fin 1990, des
journalistes enquêtent sur un possible détournement des fonds des pensions de
retraite des employés de ses sociétés.
À 68 ans, Maxwell aurait
«chuté» de son yacht (Plouf!) alors qu'il est
au large des îles Canaries. Son corps, retrouvé flottant dans l'océan
Atlantique, est enterré au cimetière juif du mont des Oliviers à Jérusalem. La
cause «officielle» de sa mort est la
noyade accidentelle, mais cette version des faits a été mise en cause, on a
parlé de meurtre ou de suicide. Gordon Thomas, dans l'Histoire secrète du Mossad : de 1951 à nos jours, affirme qu'il
était un membre éminent du Mossad auquel il avait accordé des financements en
détournant notamment les fonds de pension de son groupe. Il aurait été tué
alors qu'il voulait récupérer l'argent prêté au Mossad. Les services secrets
israéliens auraient refusé et l'auraient éliminé de peur qu'il ne dévoile sur
la place publique les nombreuses informations qu'il connaissait. À cause de
leur gestion hasardeuse, ses entreprises ne lui ont pas survécu et ont fait
faillite. Maxwell s'étant également livré à plusieurs malversations
financières, l'écroulement de son groupe a été rapide et total.
Nous savons maintenant avec certitude (grâce à des enquêteurs britanniques qui auraient sans doute été qualifiés de «complotistes» par les désinformateurs merdiatistes de notre époque) que l'escroc milliardaire Robert Maxwell était au service du Mossad. Mieux encore : avant sa fille Ghislaine (aujourd'hui accusée de complicité de trafic sexuel de mineures pour Epstein), Robert Maxwell qui travaillait comme agent double pour le Mossad israélien et le MI6 britannique collaborait également avec Epstein, autre «sayan» du Mossad qui le tenait par les «couilles» si l’on peut dire (en fait qui le faisait chanter en fermant les yeux sur ses affaires pédo-criminelles. Dixit l’ancien officier de la CIA et du renseignement militaire, Robert David Steele. Selon un entretien avec Steele, dans l’émission radio du Millennium Report du 18 février 2017 «l'île d'Epstein était équipée de caméras. De nombreux politiciens ont été compromis. C'était une opération du Mossad et de la CIA… Il y a des vidéos de certains puissants dans des positions des plus humiliantes. Si cela sortait dans la presse, non seulement les politiciens seraient ruinés, mais le jeu d'extorsion serait terminé et, tout à coup, l'influence que la CIA et le Mossad exercent sur Washington serait révolue») ainsi que son mentor – Leslie Wexner, co-fondateur du groupe «Mega». Alors que les parties I et II de cette série, Le scandale Jeffrey Epstein: Trop gros pour échouer, se sont concentrées sur la nature généralisée des opérations de chantage sexuel dans l'histoire récente de l'Amérique et sur leurs liens avec les sommets du pouvoir politique américain et du renseignement américain. Les liens d’Epstein avec les services de renseignements israéliens et ses liens avec la faction philanthropique «informelle» pro-israélienne connue sous le nom de «Mega Group» constituent un aspect essentiel de la propre opération d’Epstein en matière de trafic sexuel et de chantage. En 1991, Wexner forme avec le milliardaire Charles Bronfman un groupe «d'étude», plus connu sous le nom de Mega Group. Le groupe était un club mal organisé composé de certains des hommes d'affaires les plus riches et les plus influents du pays, préoccupés par les problèmes des Juifs. Max Fischer , Michael Steinhardt , Leonard Abramson , Edgar Bronfman et Laurence Tisch en faisaient partie. Le groupe se réunirait deux fois par an pour deux jours de séminaires sur le thème de la philanthropie et de la judéité. En 1998, Steven Spielberg a parlé de son parcours religieux personnel. Plus tard, le groupe a discuté des camps d’été juifs. Le groupe, que Wexner a coprésidé avec Charles Bronfman, a ensuite inspiré un certain nombre d’initiatives philanthropiques telles que le Partenariat pour l’excellence en matière d’éducation juive , Birthright Israel et la modernisation du Hillel national.
Nous savons maintenant avec certitude (grâce à des enquêteurs britanniques qui auraient sans doute été qualifiés de «complotistes» par les désinformateurs merdiatistes de notre époque) que l'escroc milliardaire Robert Maxwell était au service du Mossad. Mieux encore : avant sa fille Ghislaine (aujourd'hui accusée de complicité de trafic sexuel de mineures pour Epstein), Robert Maxwell qui travaillait comme agent double pour le Mossad israélien et le MI6 britannique collaborait également avec Epstein, autre «sayan» du Mossad qui le tenait par les «couilles» si l’on peut dire (en fait qui le faisait chanter en fermant les yeux sur ses affaires pédo-criminelles. Dixit l’ancien officier de la CIA et du renseignement militaire, Robert David Steele. Selon un entretien avec Steele, dans l’émission radio du Millennium Report du 18 février 2017 «l'île d'Epstein était équipée de caméras. De nombreux politiciens ont été compromis. C'était une opération du Mossad et de la CIA… Il y a des vidéos de certains puissants dans des positions des plus humiliantes. Si cela sortait dans la presse, non seulement les politiciens seraient ruinés, mais le jeu d'extorsion serait terminé et, tout à coup, l'influence que la CIA et le Mossad exercent sur Washington serait révolue») ainsi que son mentor – Leslie Wexner, co-fondateur du groupe «Mega». Alors que les parties I et II de cette série, Le scandale Jeffrey Epstein: Trop gros pour échouer, se sont concentrées sur la nature généralisée des opérations de chantage sexuel dans l'histoire récente de l'Amérique et sur leurs liens avec les sommets du pouvoir politique américain et du renseignement américain. Les liens d’Epstein avec les services de renseignements israéliens et ses liens avec la faction philanthropique «informelle» pro-israélienne connue sous le nom de «Mega Group» constituent un aspect essentiel de la propre opération d’Epstein en matière de trafic sexuel et de chantage. En 1991, Wexner forme avec le milliardaire Charles Bronfman un groupe «d'étude», plus connu sous le nom de Mega Group. Le groupe était un club mal organisé composé de certains des hommes d'affaires les plus riches et les plus influents du pays, préoccupés par les problèmes des Juifs. Max Fischer , Michael Steinhardt , Leonard Abramson , Edgar Bronfman et Laurence Tisch en faisaient partie. Le groupe se réunirait deux fois par an pour deux jours de séminaires sur le thème de la philanthropie et de la judéité. En 1998, Steven Spielberg a parlé de son parcours religieux personnel. Plus tard, le groupe a discuté des camps d’été juifs. Le groupe, que Wexner a coprésidé avec Charles Bronfman, a ensuite inspiré un certain nombre d’initiatives philanthropiques telles que le Partenariat pour l’excellence en matière d’éducation juive , Birthright Israel et la modernisation du Hillel national.
On comprend mieux aujourd’hui que le juif Erev Rav Jeffrey
Epstein dérange les pouvoir établis et même en France ou il existerait des
liens avec
monsieur le ministre Jack Lang, ce serait en
étudiant le vaste réseau d'amis et de contacts d'Epstein, que le site Panamza.com/ a
identifié l’individu dont la carrière et la famille ont bénéficié de son amitié
méconnue avec Maxwell.
C'est un entretien ahurissant (et évidemment ignoré
par la presse française) qui fut donné le lundi 12 août par l'ancien chauffeur,
bodyguard et coach sportif (durant 5 ans) de Jeffrey Epstein. Ex-vedette des combats de MMA, le Russe Igor Zinoviev
(qui avait souvent visité Epstein en prison) a confié à l'interviewer du New
York Magazine que le pédocriminel avait été étrangement prévenu à l'avance de
sa première perquisition (en 2007) de son domicile de Floride. Plus important, il affirme que son ancien employeur a
été «aidé» pour se «suicider»... avant de conclure
l'entretien en tentant de dissuader le journaliste de rapporter ses propos et
d'enquêter davantage sur le sujet. Sources: Cliquez ici, Cliquer là, et aussi ici.
Pour en finir aujourd’hui‘hui, 3 nouvelles informations
importantes sur l'affaire Epstein :
L'autopsie a révélé des blessures au cou évoquant
davantage une «strangulation» qu'une «pendaison» d'après un expert interviewé
par le Washington Post. Source…
Selon son avocat interrogé par le New York Post,
Epstein en prison était d'humeur combative et optimiste (voire naïve) quant à
la suite judiciaire. Source…
Toujours d'après son avocat, Epstein aurait nié toute
tentative de suicide (le 23 juillet) et affirmé avoir été agressé par son
compagnon de cellule (un ex-policier...). Source
Source Epstein autopsie, Source aussi ici
Source Epstein autopsie, Source aussi ici
Et ce n’est pas fini, nini !
Michel Alain Labet de Bornay
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