mercredi 18 décembre 2019

LA LISTE (Partie 4)









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Et si on continuait avec la liste ? Non ? Vous préférez une petite histoire ? Bon d’accord ; alors c’est l’histoire d’un nègre… non pas celle-là ; alors c‘est la blague d’un arabe avec un niaquoué  non pas celle-là aussi ? On peut plus rigoler alors ? Mais si on peut, tiens une petite chanson rien que pour toi blanchette : Le nouveau clip du  «chanteur» de rap  Nick (Ta mère  ou ta sœur la pute ?)  Conrad, intitulé «Doux pays», vas te faire hurler de rire sale gwer, putain de batbou. Extrait : «Je baise la France (…), grosse pute me donne encore tort (...) Elle aime quand on se tue, quand il y a du sang à l'aéroport (…) Je baise la France, je brûle la France. Doux pays de mon enfance (…) Je baise la France jusqu'à l'agonie (…), Bite dans sa bouche, Jouis comme un porc. Cet hexagone, j'l'encule sa grand-mère ; Que dit l'autre con de Charles Trenet, N'a jamais été doux, le pays ; Je baise la France, je brûle la France, Doux pays de mon enfance...  Nique le buzz, jveux tout baiser. Et sans faire d'effort, j'vais pulvériser toutes ces catins. J'ai brûlé la France, j'ai brûlé la France, Instoppable est l'incendie». Outre les mots d’une grande vulgarité commune à ces individus au QI d’un môme de 12 ans, la scène finale du clip dépeint un individu de race noire vêtu en gourou suprémaciste noir étranglant une femme blanche mise le dos à terre. Nick Conrad le rappeur bien «français», avait déjà été condamné en mars dernier pour son clip raciste et ultra-violent «Pendez les Blancs», là le trentenaire d'origine camerounaise éructais «Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement, que ça pue la mort que ça pisse le sang», waouh ; vous me voyez faire la même chose avec les «chances pour la France» de race noire ? Dès la sortie du morceau, le parquet de Paris avait ouvert une enquête pour «provocation publique à la commission d'un crime ou d'un délit». «Pendez les Blancs», une scène qui fait froid dans le dos et qui aurait dû rendre furieuse et Marlène Schiappa et l’ensemble de la bien-pensance marxiste culturelle de l’Express comme du Monde. Que nenni mon zami ! T’est qu’une merde pour ces gars-là, une espèce de face de craie, blanche neige, cachet d'aspirine, sale blanc, batbou, toubab, blanc d’œuf, sous-chien, face de mayo, gaulois, Clovis, aspirine, cacheton, sale bouffeur de porc, fuck white people, etc.
Bon assez rigolé, il est temps de dire : en avant pour la «fachosphère» !

Comment, vous ne connaissez pas la «Fachosphère» ? La gauche ultra et marxiste culturelle en connait un rayon elle ; sur  La Toupie un formateur de conviction marxiste on nous dit que: L’étymologie de fachosphère : est un composé de facho, abréviation de fasciste, dérivé de l'italien fasci, faisceau en oubliant (volontairement ?) que le fascisme est un socialisme, le fondateur du fascisme, Mussolini, fut d'abord un dirigeant du parti socialiste italien. En France, les chefs des seuls partis authentiquement fascistes, Valois, Doriot, Déat, furent, le premier un théoricien d'extrême gauche, le second un des principaux responsables du parti communiste, et le troisième un député socialiste, successeur de Léon Blum à la tête de la S.F.I.O. De facho donc et de sphère, issu, via le latin sphaera, sphère, globe, boule, du grec ancien sphaîra, balle, ballon, globe. Le terme fachosphère est un magnifique néologisme qui désignerait pour ces foutriquets ultras gauchistes l'ensemble des partis politiques et de la mouvance présumée fasciste et plus généralement aussi présumée d'extrême droite. Il est employé par leurs détracteurs pour désigner en particulier les sites Internet, les blogs et les activistes des réseaux sociaux liés à l'extrême droite présumée ou défendant prétendument leurs idées qui ne sauraient être que nauséabondes bien sûr. Profitant de la liberté d'expression plus grande que sur les médias classiques tous marxistes culturels auxquels une prétendue extrême droite qui n’est que patriote et nationaliste estimerait avec juste raison n’avoir que très peu accès, la soi-disant fachosphère serait très active sur Internet et très influente (en voilà une bonne nouvelle). Elle y trouve un moyen efficace de diffuser ses messages à des publics ciblés au moyen des réseaux sociaux et des forums, sans oublier Fesse de Bouk. Internet permet aussi, outre un fort impact médiatique, le recrutement de nouveaux sympathisants ou militants, de collecter des ressources financières, d'organiser la coopération entre les différentes organisations ou de mobiliser ses membres pour des actions particulières. La propagation sur les blogs ou sur les forums qui seraient  les plus radicaux d'extrême droite de soi-disant propos contraires à la législation ou et la, défense de ce bidonner : anti-démocratiques (xénophobie, racisme, antisémitisme, etc. il est pourtant curieux de savoir que le MRAP une des parties de la nébuleuse marxiste Stalinienne en France distille de la haine des juifs en général) cela poserait la question des moyens à mettre en oeuvre pour contrer la diffusion de ces idées dans le respect du droit à la liberté d'expression. Et pourtant moi qui suis libertarien minarchiste j’ai un peu tendance à croire que la droite patriote exécute un simple numéro de nationalisme à vide ; rien dans les mains, rien dans les poches d’homo incompetens commun.
A mon humble avis le terme «fachosphère ou « réacosphère» participe de la Reductio ad hitlerum, ou déshonneur par association. Le sophisme est un raisonnement qui n’est logiquement correct qu’en apparence. Il se distingue des paralogismes dans le sens où il est volontairement fallacieux, conçu avec l’intention d’induire en erreur. Ici, nous expliquons le déshonneur par association. La méthode est simple : disqualifier un adversaire en le comparant à un personnage honni du passé comme Hitler, Mussolini et même à l’appartenance aux idéologies qui les animaient. Par extension, le déshonneur par association peut s’immiscer lorsqu’on opère une catégorisation fallacieuse des arguments présentés : il s’agit de rattacher l’argumentaire à un concept, un courant, une doctrine qui est connue pour être en elle-même négative, réfutée, inadmissible, immorale comme ici le fameux fascisme qui était pourtant un socialisme hétérodoxe. Si le sophisme réductio ad hitlerum apparaît rarement sous la forme «vous avez le même argument qu’Hitler», il est plutôt présent aujourd’hui comme une tactique de déshonneur par association en faisant un rapprochement avec la politique de ces personnages. L’évocation subtile d’une période historique, fasciste ou nazie par exemple, discrédite l’interlocuteur et l’exclut de la discussion, évidemment sans développer une argumentation valide. On suppose alors que l’argument est identique à un concept et que ce dernier est largement réfuté.

Bon, allez on y va.

https://www.polemia.com/ site simplement de droite plutôt molle qui dit juste une bonne vérité. Pourquoi Polémia ? Parce que dans un monde en proie au chaos et de plus en plus dominé par le choc des civilisations, il faut avoir le courage de déceler les nouvelles lignes de fracture et de discerner les conflits à venir pour mieux les prévenir. (Polémia est dirigé par Jean-Yves Le Gallou, ENA (comme Macron), inspecteur général de l’administration (ER), ancien député européen, président de Polémia. Essayiste il a publié de nombreux ouvrages dont «La Tyrannie médiatique» et «Immigration : la catastrophe, que faire ?». Jean-Yves Le Gallou présente chaque semaine sur TVlibertés i-média, émission d’analyse critique des médias).Pour un professeur de droit américain la France présente la plus grande menace mondiale  contre la liberté d'expression.                                                                                       La lutte contre la fameuse "haine" en ligne et de fait la loi liberticide Avia (voir ici l'imbécile "loi" de madame Lætitia Avia) qui fait honte à la France (Ah, Lætitia Avia d’origine Togolaise avec un joli nom de pompe à essence que je confond toujours avec Sibeth Ndiaye, née Sénégalaise, qui est naturalisée française en 2016 et est «porte-parole» du honteux gouvernement marxiste culturel Macron, cette brave demoiselle que Gille Goldnadel démoli, avec infiniment de talent, d’humour et de finesse, dont il dira : «Avec une belle brochette de conneries chaque jour, elle doit être vraiment harissa de fatigue».. Et beaucoup d’intellectuels, en France et à l’étranger, s’en inquiètent. Mais elle est passée comme une lettre à la poste à l’Assemblée nationale. Les trois quarts des élus LR, censés être dans l’opposition, sont même allés jusqu’à la voter avec les députés macronistes. Et seuls 6 députés LR ont voté contre cette loi. Les opposants n’ont guère livré la bataille pour la Liberté d’expression. A titre d’exemple pour le Rassemblement National : 12 petits amendements seulement, défendus à minima par les 6 élus disposant pourtant d’une vingtaine d’assistants. Aucun argument de fond n’a été développé. C’est oublier que la chambre des députés n’est pas seulement une assemblée délibérative mais une tribune. Un lieu d’exposition démocratique des grandes controverses. Et il y avait matière ! Flou de la notion de «haine», justice d’Etat transféré à des compagnies privées étrangères, absence du principe de contradictoire et de possibilité d’appel… Un pur délire liberticide! Je vous invite à aller voir en cliquant ici les seize thèses sur la société de propagande, par monsieur Le Gallou. 
                                                                                           Monsieur Le Gallou devrait Lire mon livre Note 9. 

                            Lisez Note 9 
                                                                                               Livre on ne peut plus pernicieux, mis à l’index des livres interdits par la nomenklatura marxiste culturelle merdiatique Française et par le Saint-Siège de la bienpensance intellectuelle politiquement correcte qui a quand même un avantage, puisque  son excellence et grand leader bien aimé Kim Jong-un (*) guide suprême de la grande république populaire démocratique de Corée, génie parmi les génies, auguste suprématie encore plus grande que celle de monsieur notre grand et magnifique président Macron le génie des Alpages qui en dira : «Note9 est une perle populaire et démocratique de l’ethnographie politique démocratique et populaire ! On peut bien sûr ne pas être d'accord avec cet auteur chien capitaliste, d’extrême et d’ultra droite mais il a le mérite comme mon ami Trump de ne pas faire de langue de bois comme aussi notre ami Alexandre Benalla (né Maroine Benalla). Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à travers l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du positionnement des femmes, des hommes et autres genres politiques d’aujourd’hui».
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(*) Le seuil de 2185% de popularité a été atteint hier par Kim Jong-un qui n’est pas d’ultra droite ; ouf. Ce taux historique est le fruit d’un long travail et de mesures fortes, salués par la population qui a exprimé avec vigueur sa satisfaction lors du dernier sondage. Une leçon à méditer pour les pays occidentaux? A l’heure où la popularité d’Emmanuel Macron et celles de monsieur François Goullet de Rugy nos aristarques préférés connaît des hauts et des bas, au gré des humeurs des Français «un peuple de racistes fachos d’ultra droite et de pisse-froids», il semblerait que les Nord-Coréens aient quelques années d’avance dans la recherche du bonheur. Les Français ont peut-être des leçons à apprendre de ce beau pays si démocratique.

Plus sérieusement Note 9 est un livre d’histoire. J’ai pris conscience que nous sommes tous gouvernés par le passé, beaucoup plus important que le présent. Notre perception du monde repose sur d’innombrables événements et décisions du passé. Ce que nous ajoutons dans le présent est insignifiant. Très peu de gens en ont conscience car nous sommes gouvernés par ce que nous ne voyons pas, ne connaissons pas et auquel on ne pense jamais (d’ailleurs rien est fait d’ailleurs pour que l’on y pense, bien au contraire). Cette contrainte est acceptée sans discussion. Nous remettons en cause d’autres formes de contrôle comme la législation Liberticide et les autorités constituées. Mais l’empire invisible du passé qui détermine la quasi-totalité de leurs vies n’est pas mis en doute. Voilà le véritable pouvoir. Si le présent est régi par le passé, il en va de même pour l’avenir. Là est le drame ! Ne pas prendre conscience que l’avenir appartient au passé est criminel. Regardez ; le «politiquement correct» qui n’est pas une mode ou une convenance mais bien une idéologie qui domine le présent dans toutes ses manifestations les plus délétères et qui est également connue (pas encore assez) sous le nom de «Marxisme Culturel», est bien une création du passé, une autre approche du Marxisme, mise au point au siècle dernier par des Marxistes, en vue de détruire la civilisation occidentale, en instituant la tyrannie des minorités - raciales, culturelles, sexuelles, religieuses - sur la majorité traditionnelle. Je n’invente rien, je ne fais pas de «complotisme» tout ce que j’écris est vérifiable. Comprenez bien qu’après le rejet des révolutions hongroises et allemandes de 1918, le grand criminel contre l’humanité Lénine est bien obligé de constater que son coup d'État (et pas sa «révolution»)ne survit que par la terreur (Oui j’ai bien écrit coup d'État et je m’explique. Le 25 octobre 1917, Lénine et Trotski lancent leurs partisans dans un soulèvement armé à Petrograd contre le gouvernement provisoire dirigé par Kerenski. Le lendemain, Trotski annonce officiellement la dissolution du gouvernement provisoire lors de l'ouverture du Congrès panrusse des soviets ou conseils des députés ouvriers et paysans (qui compte 649 délégués, dont 390 bolcheviks). Les représentants au soviet de tout le pays approuvent le coup d’état. Aujourd’hui au sujet du coup d’état d’octobre 1917 appelé à tort révolution d’octobre, persistent des automatismes de pensée consécutifs au marxisme culturel ambiant. On pouvait espérer révolus ce genre de mensonges, compte tenu de ce qui est su, sur les faits comme sur leurs conséquences. Cette constance laisse voir combien l'illusion reste plus forte que la réalité quand le besoin de croire, propre aux hommes, se heurte au savoir, constitutif du vrai. Ce qui en dit davantage sur nous que sur l'histoire elle-même. Comme je disais plus haut ; l’empire invisible du passé qui détermine la quasi-totalité de nos vies n’est pas mis en doute. Il est aujourd’hui question de «révolution d'octobre» alors que tous les témoins de l'époque évoquent un coup d'Etat, à commencer par l'envoyé spécial de L'Humanité (celle de Jaurès), qui c’était rendu sur place. Un an plus tard, dans la Pravda, l'organe des Bolcheviks on parle bien de coup d'Etat pour en célébrer l'anniversaire. C'est en octobre 1920 (après la mise au point des théories sur le marxisme culturel) que le nouveau pouvoir transforme l'événement en geste révolutionnaire par le biais d'un spectacle son et lumière représentant une foule de gardes rouges à l'assaut du palais d'Hiver, symbole du peuple en arme.
La fiction est reprise par le film d'Eisenstein, Octobre, produit et diffusé à l'occasion du dixième anniversaire. Cette version finit par s'imposer comme la vérité sur octobre 1917.
Parler faussement de «révolution d'octobre» donne une aura à l'événement, et permet de voir le processus communiste sous un jour favorable tant tout acte révolutionnaire correspond dans l'imaginaire collectif à une avancée positive dont le modèle reste le 1789 Français qui fut une vraie révolution bourgeoise). Le coup d'État de Lénine ne survit alors que par la terreur ! Il lui fallait trouver autre chose et c’est là où le bât blesse. Il est très peu connu ou soigneusement tenu caché qu’en 1922 il convoque à l'Institut Marx-Engels de Moscou une réunion du Kominterm afin que Lukács et Münzenberg puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de l'Occident : au marxisme économique par le soulèvement du prolétariat, ils proposaient de substituer le marxisme culturel par la subversion des intellectuels. Le chemin serait long mais la victoire certaine. Willi Münzenberg, grand architecte de la désinformation et premier théoricien du marxisme culturel sous Lénine puis Staline qui le fit exécuter, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel : «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat». Note 9 en parlant du passé de Lénine, de Willie Münzenberg, grand architecte de la Désinformation vous explique le présent ou la vie est rendue impossible, et vous montre ce qui n’en est pas digne et doit être rejeté.
Recommandé par Polémia : https://fr.sputniknews.com/ et son journaliste monsieur Édouard Chanot, https://www.ndf.fr/ Nouvelles de France et son journaliste Vivien Hoch, https://www.tvlibertes.com/ et son journaliste Martial Bild.

Michel Alain Labet de Bornay

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