mercredi 18 décembre 2019

La Liste. (Partie 3)




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Nous n’en avons pas encore fini avec la belle Liste des crapules marxistes culturelles de l’école de Francfort ou apparentés, nous continuons donc avec le cas de Franz Léopold Neumann qui est dit sur Wikipédia : Franz Léopold Neumann (1900-1954) était un activiste germano-juif (ce qui veut dire un Erev Rav

marxiste culturel), théoricien marxiste occidental et avocat du travail (doctorat en droit en 1923 avec une thèse sur la méthode de la théorie de la peine), devenu «politologue»  en exil et surtout connu pour ses analyses théoriques du socialisme-national . Il a étudié en Allemagne et au Royaume-Uni et a passé la dernière phase de sa carrière aux États-Unis. Neumann est considéré, avec Ernst Fraenkel et Arnold Bergstraesser, parmi les fondateurs de la science politique moderne c’est à dire marxiste culturelle en République fédérale d’Allemagne. C’est bien sûr l’ami de Neumann, le maintenant bien connu Paul Massing, le salopard d’espion soviétique qui avait dénoncé à Moscou que Neumann lui avait dit qu'il avait réalisé une étude de l'économie soviétique pour le département russe de l'OSS aux états unis.

Friedrich Pollock: (22 mai 1894 - 16 décembre 1970) était comme d’habitude un juif Erev Rav marxiste culturel (est dit sur Wikipédia : D'origine juive, comme la quasi-totalité des fondateurs de l’École de Francfort et pas comme précédemment un activiste germano-juif) il est dit aussi : un «économiste» et «philosophe» allemand. Il était membre de la première génération de l'institut de recherches en sciences sociales connu sous le nom d'École de Francfort à côté de Max Horkheimer, Theodor W. Adorno et de Walter Benjamin, entre autres. Il était économiste de formation et directeur adjoint de l'Institut à partir de 1928 jusqu'à 1959. Il s'est bien sûr exile devant la menace du social-nationalisme. Il est aussi connu comme tous les marxistes sous un pseudonyme, celui de Karl Baumann ou de Kurt Baumann. Après la prise du pouvoir par les socialistes-nationaux  en 1933, Pollock et Horkheimer s’exilent via Genève et Paris à New York. Là-bas, il est devenu responsable du séminaire et directeur exécutif de l’ Institute for Social Research. En 1950, il retourne à Francfort pour travailler au sein de l’Institut de recherche sociale reconstitué. En 1951, l’université l’a nommé professeur non programmé et en 1958, professeur régulier d’économie et de sociologie. Pollock a déménagé en 1959 avec Max Horkheimer à Montagnola, dans le Tessin, mais a conservé son poste de professeur à Francfort jusqu'à sa retraite en 1963. Il est décédé le 16 décembre 1970 à Montagnola. Curieusement cet Erev Rav repose dans le cimetière juif de Berne, à l'instar de son ami Max Horkheimer.
Alfred Sohn-Rethel: (né «Alfred Karl Edward Sohn» le 4 janvier 1899 à Neuilly-sur-Seine, mort le 6 avril 1990 à Brême) était encore un sorte de philosophe allemand auto proclamé et marxiste culturel, spécialiste d'épistémologie et très proche du marxisme critique de l'École de Francfort avec qui il a collaboré. Il a, notamment, introduit dans le pseudo débat marxiste culturel dit aussi marxiste/marxien, la notion d'«abstraction réelle». L’abstraction réelle est une sorte d’algèbre casuistique qui sert à travestir la perversité du marxisme.
Karl August Wittfogel: Encore un qui nous change un peu de l’ Erev Rav habituel puisque est le fils d'un pasteur luthérien, né le 6 septembre 1896 à Woltersdorf, dans la province de Hanovre (Basse-Saxe). Avant la première guerre mondiale, il est actif dans le mouvement Wandervogel dont il dirige le groupe de Lunebourg. Après la guerre de 14, il devient militant du Parti social-démocrate indépendant, dont il crée la branche locale à Lunebourg. Puis, lors de la fusion en 1920, il rejoint le Parti communiste d'Allemagne. Sa rencontre avec Karl Korsch, en 1920, lui vaut d’être invité trois ans plus tard à la conférence de lancement de l’Institut pour la recherche sociale. La même année, il devient professeur de lycée à Tinz, tout en poursuivant ses études à Frankfort sous la direction de Carl Grünberg, directeur de l'Institut pour la recherche sociale, c'est-à-dire de l'École de Francfort. En 1921, il épouse Rose Schlesinger, la bibliothécaire de l'Institut. Il participera aux fameux «travaux» de l’«école» marxiste culturelle de 1925 à 1933. Dès 1926, il commence à publier ses travaux sur les structures politiques de la Chine ancienne, Das erwachende China (Le réveil de la Chine), et soutient sa thèse d'économie en 19286. Dès cette époque, il s'intéresse au rôle du contrôle des installations hydrauliques dans la naissance de la bureaucratie chinoise. Lors de la prise du pouvoir des sociaux nationalistes, il tente de s’enfuir par la Suisse, ce qui lui vaut d'être interné dans un camp allemand en 1933. Libéré grâce à une campagne internationale de soutien, il rejoint les États-Unis en 1934. Il y poursuit sa carrière comme tous les autres marxistes culturels à l'université Columbia (New York), où il restera jusqu'en 1966. De 1935 à 1939, il voyage régulièrement en Chine pour ses recherches. En 1939, il prend la nationalité américaine. En 1957, Wittfogel publie son œuvre majeure, Le Despotisme oriental (Oriental Despotism: A Comparative Study of Total Power). Dans ce livre célèbre, Wittfogel examine, avec une grande érudition, ses caractéristiques économiques et sociales. Il propose de voir dans l'organisation centralisée des grands travaux hydrauliques le fondement social du «despotisme oriental», catégorie qu'il applique non seulement aux sociétés hydrauliques anciennes, mais aussi à l'Union soviétique de Joseph Staline. Son analyse s'appuie sur la notion de mode de production asiatique développée par Karl Marx. Elle suscite et réactive rapidement un débat à l'échelle internationale sur ce mode de production. Dans les pays de l'Est, elle sert d'appui à une critique de la bureaucratie. Après l'écriture du Despotisme oriental, qui est encore marqué par sa formation marxiste, Wittfogel évolua jusqu'à devenir, par opposition au système stalinien, l'un des inspirateurs du courant néo-conservateur américain. Son trajet est donc proche de celui de James Burnham, auquel il emprunte l'analyse de la société directoriale. Enfin un qui était un peu moins imbécile que les autres ! Qui sait aujourd’hui que les premiers «écologistes» d’Europe furent des marxistes culturels de l’école de Francfort fondateurs de Die Grünen (Les Verts Allemand, de vrais Pastèques comme chez nous, vert dehors, rouge dedans) qui firent leur entrée  au Bundestag en 1983. Trente ans plus tard, la formation politique est partie intégrante du paysage politique allemand.
Günther Anders: Lui aussi Juif Erev Rav (pour changer un peu) Anders (né Günther Siegmund Stern) si il était bien un pur marxiste culturel, cousin de Walter Benjamin, n’était pas nettement un homme de l’école de Francfort mais un «penseur» d’ultra gauche, journaliste allemand puis autrichien, né en 1902 à Breslau et mort à Vienne en 1992. Ancien élève de Husserl et Heidegger et premier époux de Hannah Arendt, il est connu pour être un virulent critique de la technologie et un auteur pionnier du mouvement antinucléaire. Le principal sujet de ses écrits est la destruction de l'humanité. 

Nous en terminons enfin avec cette liste de sombres crapules marxistes culturelles avec Hartmut Rosa : né le 15 août 1965 à Lörrach, c’est encore un «sociologue et philosophe» allemand, qui enseigne à l'université Friedrich-Schiller d'Iéna. Il fait partie d'une nouvelle génération de «penseurs» politiquement corrects, travaillant dans le sillage de la théorie critique (École de Francfort) c’est-à-dire de marxistes culturels convaincus. Il enseigne à l’université Friedrich Schiller d’Iéna. Il est directeur du Max Weber Kolleg de l'Université d'Erfurt depuis 2013 et coéditeur du journal Time & Society. Il est titulaire d'un PhD avec la thèse «identité et pratique culturelle. La philosophie politique de Charles Taylor», soutenue en 1997 à l'Université Humboldt de Berlin sous la direction du Dr. Dürer. Le travail et les recherches d'Hartmut Rosa aborde les thèmes du diagnostic temporel et de l'analyse moderne, des fondements normatifs et empiriques de la critique sociale, des théories du sujet et de l'identité, de la sociologie du temps et de la théorie de l'accélération, ainsi que de la «sociologie des relations entre le monde». Ses études théoriques portent sur l'histoire de l'accélération du temps, l'augmentation des capacités et besoins dus au progrès technique et la difficulté de l'homme à se situer et contrôler sa vie, ce rythme d'accélération étant devenu indépendant.

Pour en terminer avec l’école de Francfort je me dois de vous parler de Sigmund Freud, encore un juif Erev Rav, né Sigismund Schlomo Freud le 6 mai 1856 à Freiberg (Autriche) (actuelle République tchèque) et mort le 23 septembre 1939 à Londres. Il est bon de préciser que comme tous les membres présents et à venir de l’école de Francfort et leurs théories c’est que la psychanalyse est une escroquerie intellectuelle. Même un psychanalyste,  J. Lacan, l’avouera le 26 janvier 1977 : «Notre pratique est une escroquerie. Bluffer, faire ciller les gens, les éblouir avec des mots qui sont du chiqué, c'est quand même ce qu'on appelle d'habitude du chiqué… Du point de vue éthique, c'est intenable, notre profession... Il s'agit de savoir si Freud est oui ou non un événement historique. Je crois qu'il a raté son coup. C'est comme moi, dans très peu de temps, tout le monde s'en foutra de la psychanalyse». Plus près de nous en 1985 Peter Medawar dans The limits of science, Oxford University Press, dira : «L'opinion gagne du terrain, selon laquelle la doctrine psychanalytique est la plus prodigieuse escroquerie intellectuelle du vingtième siècle; et un produit condamné avec ça, une voie sans issue, quelque chose de l'ordre du dinosaure ou du zeppelin dans l'histoire des idées, une vaste structure d'une conception radicalement inadaptée et vouée à rester sans postérité».

L’escroc Erev Rav (pléonasme ?) Sigismund Schlomo joua un rôle non négligeable dans les absurdes théories marxistes culturelles, car la psychanalyse est au cœur de la «théorie critique» de l'école de Francfort, un trait qu'elle partage avec le «freudo-marxisme». On peut toutefois distinguer entre la position de Fromm qui, renonçant à la théorie des pulsions, devait devenir un «révisionniste», s’appuyant quand même sur les thèses absurdes de la psychanalyse en tant que soi-disant composante d’une théorie de la socialisation, et une position antithétique, en ligne avec l’utilisation de la psychanalyse, Adorno partage avec Benjamin, l’idée auquel Horkheimer souscrivait, que la radicalité de Sigismund Schlomo Freud constitue le principe critique à travers lequel sont révélés les processus sociaux de réification, renversant ainsi le cadre matérialiste (Ouf, elle est pas belle aussi l’escroquerie marxiste culturelle de la théorie critique ?). On trouve des preuves de cette opposition dans la querelle néo-révisionniste (entre Marcuse et Fromm) et, dans une certaine mesure, dans Habermas et Honneth, dont le «travail» présente une certaine continuité avec celui de Fromm), ayant fait leur «nid» aux états unis (L'arrivée du Socialiste Hitler nommé au pouvoir contraint le soi-disant «Institut» à fermer ses portes, et ses membres, dispersés, à l'exil. Une partie d'entre eux, notamment Horkheimer, Adorno et Marcuse (1898-1979) iront aux États-Unis, où ils rouvriront l'Institut à New York), la théorie du genre elle, pur produit du marxisme culturel néo-freudien a débarqué en France au début des années 2000, et depuis elle s’y développe très rapidement. Le Salon Beige touche ici du doigt la vérité en écrivant en Novembre 2015: «La théorie du Genre est un projet préparé pour saper l’Occident sur le plan moral et culturel ( Oui et non car si la théorie du genre fait bien partie du projet de Lénine, Georg Lukacs et Willy Münzenberg de destruction de la société occidentale elle n’est qu’une partie de la règle N°6). Continuons donc : «Jeanne Smits a longuement interrogé le Dr Anca-Maria Cernea, le médecin roumain qui a suivi l'ensemble du synode sur la famille en tant qu'observatrice, pour L'Homme nouveau. Elle explique notamment comment elle avait le sentiment d'être en présence d'une «minorité léniniste» qui voulait faire avancer son ordre du jour révolutionnaire au sein même de l'Eglise. Jeanne Smits avait déjà traduit son intervention au synode. Extrait de l'entretien donné à L'Homme Nouveau : "[...] La théorie du Genre n’est pas une politique américaine par définition. Je crois qu’il est important de la voir dans le contexte de l’École critique – un autre nom de l’École de Francfort. Judith Butler, la fondatrice de la théorie du Genre, s’inscrit officiellement dans cette École critique qui provient de l’École de Francfort. Et celle-ci a ses origines dans la période des années 1920. C’est un projet du Komintern, explicitement préparé pour saper l’Occident sur le plan moral et culturel. Il s’agissait de détruire la résistance morale des pays occidentaux, en vue de la Révolution : c’étaient les Russes qui préparaient la conquête du monde entier pour instaurer la société communiste. Il y a eu des personnages très importants pour les débuts de cette tendance : Georg Lukács, (Georg Lukács ou György Lukács, né György Löwinger qui deviendra le baron "Szegedi Lukacs György Bernat", soit Baron Georges Bernard Lukacs de Szeged, un juif bien sûr Erev Rav) un grand intellectuel (sic) hongrois malheureusement communiste, mais Baron  (Et criminel contre l’humanité), un personnage très subtil, qui a conçu ce projet. (Ce n’est vrai qu’en partie, car c’est Lénine qui voyant les échecs des révolutions ou coups d’état socialistes en a conçu le projet initial). Puis cela a été la tâche de Willi Münzenberg, le chef du parti communiste allemand (Non Münzenberg n’était qu’un simple militant), qui s’est occupé de poser les fondations de l’École de Francfort (Assisté bien sûr par Georg Lukacs). En même temps et en parallèle, il y a eu une autre lignée, celle d’Antonio Gramsci, communiste italien. Il a élaboré un projet de domination culturelle, mais dans son cas c’était explicitement en vue de l’instauration du communisme nonobstant Gramsci a fait beaucoup pour l’élaboration du marxisme culturel. Pour l’École de Francfort, c’est plutôt une tendance à détruire : ses tenants visent la destruction, elle ne propose pas de projet pour remplacer la réalité qu’ils contestent. Ils ne font que déconstruire, dénoncer, détruire : ils ne s’occupent que de la critique, et c’est pour cela qu’on l’appelle maintenant l’École critique (Certes, mais en parallèle l’école de Francfort élabore les théories marxistes culturelles). La tendance de Gramsci est explicitement orientée vers une société communiste, mais il renverse un peu l’ordre classique du marxisme. Il ne professe pas d’abord la révolution violente, la prise des moyens de production, la nationalisation de la propriété : il soutient qu’il est plus important de conquérir d’abord l’hégémonie culturelle. Pour Gramsci, l’ennemi le plus important qu’il faut vaincre, pour pouvoir instaurer le communisme, c’est l’Église catholique. Il écrivait ces choses au cours des années 1920. Il recommandait de procéder sans rien dire du projet, mais d’utiliser plutôt des compagnons de route : des gens qui ne sont pas explicitement communistes et qui ne se rendent même pas compte du fait qu’ils sont utilisés comme des vecteurs pour le message communiste. Il disait qu’il fallait infiltrer la culture, les médias, l’université, et surtout, surtout l’Église catholique. (Oui bon, c’est pas mal et ça met sur la voie mais en cliquant ici vous y apprendrez qu’il faut aller chercher au Québec pour avoir enfin une vision incomplète mais assez réaliste du marxisme culturel avec en Janvier 2018 deux beaux articles parus chez  Soverain un vrai média politiquement incorrect qui n’est pas dans La Liste ; articles de monsieur Patrice-Hans Perrier écrivain et journaliste québécois. Qui déclarera : «Antonio Gramsci, idéologue marxiste hérétique, réalisant que la Révolution bolchévique n’est pas duplicable en Europe de l’Ouest, élabore une doctrine destinée à contrer l’hégémonie culturelle des classes dominantes. Gramsci sera condamné par le régime fasciste de Mussolini en raison de ses activités de militant communiste. Il profitera de sa longue incarcération (1928 – 1938) pour développer sa doctrine de l’hégémonie culturelle, tout en préconisant d’éduquer les masses prolétariennes afin de les aider à s’émanciper de la tutelle d’une culture bourgeoise supposément omnipotente. Cette approche stipule que l’hégémonie culturelle des classes supérieures fascine les dominés au point où les victimes finissent par adopter la vision du monde de leurs bourreaux. Les dominés sont colonisés de l’intérieur par la représentation symbolique imposée par la bourgeoisie qui s’en sert afin d’instituer les codes de sa morale. Par-delà les conventions bourgeoises, Gramsci dénonce l’effet de mimétisme induit par cette hégémonie culturelle qui empêche les dominés de penser par eux-mêmes et, partant, d’être en mesure de se doter d’une authentique pensée critique. Plusieurs des épigones des discours sur l’identité et le genre introduiront, par la suite, leur fil dans l’aiguille…».

Continuons avec la fameuse escroquerie intellectuelle de la théorie du Genre décortiquée par le Salon Beige : La théorie du genre s’affirme avec l’introduction dans certains manuels scolaires, avec la création de crèches «neutres», obligation, introduite par Vincent Peillon, de former l’ensemble des enseignants à la lutte contre «les stéréotypes de genres», volonté de certains parlementaires de débaptiser «les «maternelles» pour remplacer ce terme par un mot «non genré», mise en place de séminaires obligatoires pour sensibiliser tous les ministres à cette théorie … Il est très difficile pour le non-spécialiste de comprendre les enjeux et les implications de cette théorie, tant elle repose sur des présupposés idéologiques en contradiction avec la réalité que vit l’immense majorité de nos concitoyens. Le fondement de cette théorie consiste à nier la réalité biologique pour imposer l’idée que le genre «masculin» ou «féminin» dépend de la culture, voire d’un rapport de force et non d’une quelconque réalité biologique ou anatomique. Dès lors le risque est de résumer «la théorie du genre» à un inventaire de mesures plus ou moins farfelues en perdant de vue l’ambition globale de cette théorie. En effet, derrière chaque proposition (crèches neutres, lutte contre les stéréotypes de genres, développement de l’éducation sexuelle dès la maternelle, banalisation des changements de sexes, … se cache une idéologie construite qui vise à remettre en cause les fondements de nos sociétés «hétéro centrées (Il est bien évident que si vous m’avez lu attentivement, vous avez le nom de cette idéologie sur le bout de la langue… c’est le fameux marxisme culturel destructeur de nos civilisation judéo-chrétiennes). Les sciences sont elles aussi contestées. La biologie, par exemple, est souvent présentée comme une science visant à imposer un «ordre hétérosexuel» qu’il faut donc «challenger» ( ?) grâce à la théorie du genre. L’annonce n’a pas fait la une des médias. Pourtant l’événement est majeur et d’actualité quand on sait que la France par exemple a mis l’enseignement de l’idiote et le mot est faible pour la théorie marxiste culturelle gender au programme scolaire. Cela alors qu’il n’y a aucune démonstration scientifique, aucun débat public sur la question, et aucune urgence à décerveler nos chères têtes blondes de plus en plus brunes et frisées. On leur apprend qu’à la différence de l’identité sexuelle, le genre ne serait pas inné. Ainsi le Bulletin Officiel du 30 septembre 2010 précise, sous masculin/féminin: «Ce thème vise à fournir à l'élève des connaissances scientifiques clairement établies, qui ne laissent de  place ni aux informations erronées sur le fonctionnement de son corps ni aux préjugés. Ce sera également l’occasion d’affirmer que si l’identité sexuelle et les rôles sexuels dans la société avec  leurs stéréotypes appartiennent à la sphère publique, l’orientation sexuelle fait partie, elle, de la sphère  privée. A l'issue de cet enseignement l'élève devrait être capable d’expliquer (...) le déterminisme génétique et hormonal du sexe biologique, et de différencier ainsi identité et orientation  sexuelles».
Ce n’est bien sûr pas le cas partout. Retour sur un événement qui s’est produit en Norvège. Suite à l’enquête menée par Harald Eia, le scandale de la théorie du genre a éclaté au grand jour et est devenu une affaire nationale. Au point où le gouvernement a décidé d’annuler les subventions aux études de genre et aux associations qui en font la promotion! La théorie du genre a heureusement été flinguée et laissée pour morte dans le caniveau dont elle n’aurait jamais dû sortir. Cette théorie a été portée par le lobby gay américain entièrement marxiste culturel qui y ont vu un moyen de changer la société à leur profit. Le modèle de référence étant l’hétérosexualité et la différenciation sexuelle, il fallait démolir ce modèle. Avec une double intention: ne pas assumer leur homosexualité comme une différence, et dévaluer au passage l’identité masculine. Aux Etats-Unis, Judith Butler, féministe homosexuelle, a largement diffusé cette théorie, en particulier dans les milieux universitaire. Elle est cautionnée par son université notoirement marxiste culturelle (Berkeley), comme d’autres études de genre sont cautionnées dans les universités suisses.
Rappel  rapide: la théorie du genre affirme que la biologie n’a aucun lien avec la définition du masculin et du féminin, qui ne seraient que des constructions sociales et …. Bien sûr ….. Culturelles (quand je vous le répète depuis le début !). Corps et culture sont découplés, dissociés, comme une sorte de schizophrénie intellectuelle. Toute différence est niée, le corps est refusé. Sauf, étonnement, quand il s’agit d’accuser les hommes d’une supposée mise en esclavage des femmes et de leur attribuer toute la charge du mal de la planète. Un des résultats de cette théorie est le refus de différencier les enfants et de nier toute identité fondée sur le sexe biologique. L’école suédoise d’Egalia est
l’un des plus graves exemples de cette volontaire destruction des identités, de cette déculturation. De cette négation de millions d’années dévolution. C’est un des successeurs de Freud qui était selon Michel Onfray un fabulateur cocaïnomane qui aimait l'argent, partisan des régimes autoritaires marxistes, cupide et menteur comme un vrai communiste, sans oublier son adoration pour les théories socialistes, Onfray dira à l'AFP que : «Schlomo Freud était un compagnon de route du césarisme fasciste autoritaire de son temps (…) Il a fait par exemple une dédicace élogieuse à Mussolini». Décidément : Facho, cocos, même combat ! D’autres décrive notre Erev Rav Freud comme un immonde escroc doublé d'un pervers, un de ses successeurs,  le psychanalyste Robert Stoller parle beaucoup des résultats de ses analyses dans son livre Sex and Gender: On the Development of Masculinity and Femininity. On lui attribue l'introduction du terme «gender identity» lors du Congrès Psychoanalytique International de 1963. 

                                                                                   Mais au fait d’où nous vient en Europe cette absurdité inventée par l’escroc marxiste culturel Robert Stoller ? Il semble que cela vienne du lobby homosexuel féminin américain lobotomisé par le marxisme culturel ambiant. Bon je dis lobby homo féminin, mais c’est bien dit vulgairement, des lesbiennes, gomorrhéennes, lesbiches, gouines, broutes minous, fricarelles, tribades, goudous, inverties, anandrynes,  amatrices de tarte au poil et autres gazon maudit comme on disait péjorativement dans le temps et qui seraient assistées par les joyeux amateurs de la rondelle. Oui et tout autant péjoratif, les tafioles, bougres, sodomites, tantes, tapettes, tatas, tarlouzes, pédales, pédés, culistes, cinaèdes, bardaches, ganymèdes, mignons, gitons, pédérastes, uranistes, unisexuels, enculés, invertis, antiphysiques, pédé, folle, etc. Au Canada français, on relève les mots fif et fifi. L’objectif avec cette absurde théorie du «genre» véritable escroquerie intellectuelle, c’est d’accréditer que les déviances sexuelles ne sont pas des maladies mentales (Sous la pression des lobbies gay aux états unis, l’homosexualité a été rayée de la liste des maladies mentales). Seulement voilà, encore une fois sur dreuz.info, Jean-Patrick Grumberg le 9 novembre 2019 nous informe que  Christopher Dummit, le père de la théorie du genre en 1998 avoue : «Je me suis trompé … mais pour ma défense, je ne suis pas le seul. Tout le monde a menti (et ment encore) (…) c’est ainsi que fonctionne le champ des études sur le genre (…) c’était une banqueroute intellectuelle» explique Dummit dans un article publié sur Quillette, et que les médias marxistes culturels n’ont pas envie que vous lisiez – et ils vont un peu plus détester Dreuz-Info parce que Dreuz en parle : «Je n’ai pas trouvé les explications [sur le genre] dans mes recherches, avoue Dummit, elles sont venues de mes convictions idéologiques (marxistes culturelles). Comme la psychanalyse, le «genre» est une fabuleuse escroquerie intellectuelle ! 
                                                                                Considérée comme une pathologie psychiatrique jusqu’en 1973 aux USA et jusqu’en 1992 en France, l’homosexualité avait sa place dans un diagnostic au même titre que la schizophrénie ou la dépression. Toutefois une certaine pathologie homosexuelle reste du domaine de la maladie mentale c’est l'orientation sexuelle égodystonique (Se dit d'un trouble, d'un évènement ou d'une conduite d'une personne, qui lui est déplaisante, et contraire à ses valeurs). L’Organisation mondiale de la santé liste l'orientation sexuelle égodystonique dans le CIM-10, en tant que trouble du développement sexuel et de l'orientation sexuelle. Le diagnostic de l'OMS se prouve lorsque l'identité ou l'orientation sexuelle est claire, mais qu'un patient souffre d'un trouble psychologique ou comportemental qui le pousse à vouloir changer son orientation sexuelle. Le manuel note que l'orientation sexuelle n'est pas un trouble en elle-même. La catégorie diagnostique d'«homosexualité égodystonique» a été retirée du DSM, publié par l'Association Américaine de Psychiatrie, en 1987 (avec la publication du DSM-III-R), mais revient potentiellement dans le DSM-IV sous la catégorie «trouble sexuel non-spécifié» incluant «détresse marquée et persistante au sujet de son orientation sexuelle». Si l'homosexualité n'est plus considérée en général comme un trouble mental, on distingue toutefois l'homosexualité intériorisée et égodystonique. Dans ce dernier cas, l'orientation sexuelle est source de souffrance et de questionnement et des soins psychiatriques peuvent être proposés. C’est tortiller du cul pour chier droit !  
                                                                              La pédophilie un trouble psychique reconnu comme une perversion sexuelle (paraphilie), la gérontophilie, la nécrophilie, la zoophilie, le sadomasochisme, le voyeurisme et l’exhibitionnisme, restant des maladie mentales.                                                                              De plus il y a pour les débiles anormaux, sectateurs de l’absurde et fausse théorie du «genre», un objectif autre, c’est d’abaisser l’âge de la majorité sexuelle à 12 ans rendant ainsi la pédophilie légale et dépénalisée.

Monsieur Marc-Olivier Bherer journaliste au Monde sans être carrément un négationniste du marxisme culturel nous affirme depuis Août 2019 que le «marxisme culturel», serait le fantasme préféré de l’extrême droite et qu’il désignerait dans les fameux «cercles complotistes» l’arlésienne de l’ultra gauche, une cabale contre l’Occident chrétien, mais notons qu’il affirme que la notion est devenue banale au sein de la droite anglo-saxonne. Ah, voilà une réponse qu’elle est bonne saperlipopette ! Et de s’interroger : «Comment un terme bascule-t-il dans le lexique complotiste ? C’est la question posée par l’expression «marxisme culturel», très répandue à l’extrême droite. En 2011, le terroriste norvégien Anders Breivik l’employait une centaine de fois dans le manifeste publié pour expliquer les attentats qu’il avait commis» (Ce qui est exact, Breivik n’est pas un homme d’extrême droite, ni n’est un ultranationaliste néonazi ou chrétien comme certains marxistes culturels voudrait le faire croire : voir ici, l'auteur des deux attaques en Norvège (77 morts) c’est très largement inspiré du «livre» de l’écolo anarchiste et terroriste Kaczynski pour écrire son manifeste Déclaration européenne d'indépendance, Theodore John Kaczynski, était cet anarchiste anticapitaliste, militant écologiste, néo-luddite et terroriste américain plus connu sous le nom de «Unabomber».



Michel Alain Labet de Bornay




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