mardi 7 avril 2020

Monsieur le Président Emmanuel Macron.



On peut penser ce que l’on veut de monsieur le président de la république Française à condition de ne pas l’insulter. Hors, fleurissent ici ou là sur la toile les pires des insultes au sujet de celui-ci. Je n’aime pas monsieur Macron, mais je ne voudrais pas être à sa place !

Ces prédécesseurs de gauche comme d’une prétendue droite lui ont laissé un pays ingouvernable au bord de la guerre «civile» ou de «religion», comme vous voulez. Une situation internationale abominable à cause de la même «religion» terroriste l’obligeant à des opérations guerrières pour lui qui n’a même pas fait de service militaire et qui pense que dégager la culasse pour tirer un coup, c’est baisser la culotte de Brigitte. Et puis cerise sur le gâteau, voilà t y pas qu’une épidémie comme le monde n’en a plus connu depuis des siècles s’abat sur le pays !

Comme vous le savez, monsieur Macron est un énarque (qui a «fait» l’ENA) l’Ecole Nationale d’Administration, qui forme des «fonctionnaires» de haut niveau (la haute fonction publique) ce qui n’implique nullement qu’ils soient intelligents.
Mais bon, il a quand même étudié notre président, mais quasiment essentiellement ce que l'on nomme le management public la mise en œuvre de méthodes et de techniques visant à développer le pilotage de la décision publique. On est très loin d’une période de crise sanitaire avec des risques de guerre civile qui sera une guerre de religion ne disant pas son nom !

Selon notre «énarchiste» Macron, il n’y aurait plus de culture française, ni d’histoire de France et encore moins d’art français. Nos élites politiques (car il n’est pas seul) ne possèdent aucune conscience nationale : ils ne jurent plus que par le dieu Marché. Tous fantasment une France sans frontière empêchant de ce protéger qui se fondrait comme par magie dans le grand tout de la mondialisation et rêvent de passer à un monde où chaque individu de la planète deviendrait responsable de l’avenir de la France. Ils exigent la rupture avec notre héritage et rêvent d’une société pluriethnique tout en rejetant une identité nationale solide et structurée. Ils n’ont plus qu’un but effacer le concept de nation…
L’École nationale d’administration, l’ENA, fondée le 9 octobre 1945, est devenue un système d’allégeances opaque, de carrières balisées, de conformisme social et politique marxiste culturel, travesti en sens de l’État. Il faut savoir que l’ENA a été préparée puis organisée par Maurice Thorez, vice-président du Conseil et Secrétaire général du Parti Communiste Français. Cette École toute imprégnée de marxisme culturel le plus nauséabond a fourni l’essentiel des hauts cadres de l’administration française : ministres, PDG et présidents français, mais en réalité, elle cumule les incompétences et les gaspillages liés à l’absurde pratique du marxisme culturel. Ce n’est donc pas par hasard que monsieur le président Macron sorti de l’ENA ne développe pas le sens de l’imagination, du commandement, de la pédagogie, mais l’incohérence des décisions, ce qui est gravissime  dans la période que nous vivons, avec la déresponsabilisation et l’autocélébration.

Mais aujourd’hui face à la crise du Coronavirus il ne reste plus que l’incohérence des décisions, ce n’est pas de sa faute mais de celle de ceux qui ont voté pour lui. Je sais ce que cette toute petite minorité d’électeurs (44%, en fait  8 français sur 10 n’ont pas voté pour monsieur Macron) vont me dire, comme les allemands qui ont accepté la nomination du chancelier d’Hitler le 30 janvier 1933 : «on ne savait pas» !

Et bien aujourd’hui vous savez ! De toute façon Charles de Gaulle en 1940 à Londres, après la signature de l'armistice entre la France de Pétain et l'Allemagne, en parlant des Français aurait dit : «Ce sont des veaux. Ils sont bons pour le massacre. Ils n'ont que ce qu'ils méritent».

Alors aujourd’hui les gros cons de veaux qui ont voté Macron, si vous chopez le virus, vous n’aurez que ce que vous méritez !
Le drame c’est pour les autres, les nationaux, les patriotes, ceux qui votent RN, je vous conseille juste une prière de Padre Pio : «Mon Dieu, je confie mon passé à votre Miséricorde, mon présent à votre Amour, et mon avenir à votre Providence». 


Michel Alain Labet de Bornay
 
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