Monsieur E. Zemmour (nom d’origine berbère
signifiant : olivier) se fait insulter et cracher dessus dans la rue par
un maghrébin musulman (c’est lui qui le revendique): «Gros fils de p… nique bien ta mère !» (Comme d’habitude les
merdias habituels marxistes culturels et collabos qualifient le «maghrébin» (selon Europe Israël) de «jeune», de «chance pour la France», d’«homme» ou de «jeune homme» (il y a aussi quelques «individu») alors que ce n’est qu’une vermine, une racaille
musulmane raciste, militant du continuum de la haine !).
En se filmant avec son portable, un individu a
copieusement insulté monsieur Zemmour dans une rue de Paris. Il s’est vanté
plus tard de lui avoir craché dessus (des crachats en pleine pandémie de Covid
19 pourraient être assimilés à une tentative d’homicide), et a expliqué ne pas
avoir engagé une conversation courtoise avec le polémiste car celui-ci «est super fort, le débat c’est impossible».
Jeudi 30 avril, un jeune homme a aperçu Éric Zemmour
dans une rue parisienne, lequel venait visiblement de faire les courses. Il l’a
immédiatement inondé d’insultes (racistes ?) en se filmant avec son
téléphone. Il s’est ensuite vanté d’avoir craché sur lui et a partagé l’extrait
sur son compte Snapchat, sous le pseudonyme de «Haram La Gratuité».
L’individu, de retour chez lui, a ensuite affirmé avoir
reçu à la fois des messages de soutien de ses abonnés et des insultes de la
part des «partisans» de Zemmour. Il a
cependant reconnu qu’il «n’aurait pas dû
l’insulter» et a expliqué que «c’est
impossible de parler avec lui, il est super fort, le débat c’est impossible». Fin
de la source Europe Israel.
En fait la racaille a dit textuellement dans son
Français approximatif : «c’est
impossible de parler avec lui, il est super fort [...] à part l’insulter sa mère vous voulez faire quoi ?» (…) «C’est comme si j’avais voulu parler avec
Marine Le Pen», a-t-il poursuivi, «à part l’insulter sa mère, vous voulez faire
quoi?». Le racisme et la haine des musulmans pour les Français judéo
chrétiens est dévoilé ici très nettement en plein ramadan un pétard à la
bouche (ce n’est pas Haram (illicite) de
fumer de la drogue pendant le ramadan ?) et puis quel aveu d’impuissante intellectuelle d’un
crétin inculte au QI de mouche à merde ! S’il voulait faire une belle et
bonne publicité à monsieur Zemmour ou à madame Le Pen c'est réussi. Cela
confortera certainement Eric Zemmour et madame Le Pen dans le fait que ces
racailles n'ont rien à faire en France mais aussi que nos merdias comme @LCI,
@BFMTV, @franceinfo etc. avec tous les politiques de LREM comme monsieur
Castaner et autre préfet Lallement ont choisis le camp de la collaboration en
ne divulguant surtout pas cette info alors qu'ils sont vent debout quand un
policier dit en plaisantant «bicot»
en parlant d’un individu qu’il vient de sauver de la noyade (Voir
ici).
Dans d’autres odieuses vidéos, diffusées plus tard sur le réseau social Snapchat,
où il se fait surnommer «Haram La
Gratuité» (@haramdims), la racaille s’est félicité d’avoir «craché un gros mollard dans la tête» d’Éric
Zemmour, qualifié de «petit con», à
visage découvert.
Puis, après avoir remercié ses fans «islamo-racailles» (c’est lui qui le
dit !) pour leurs «messages
d’encouragement» (sic), il a tenté de justifier son agression dans un
français massacré, un vrai pataouète : «Ouais,
ouais, je sais, j’aurais pas dû l’insulter et tout ça, mais comment vous voulez
parler avec lui, dites-moi ? C’est peut-être un fils de pute, mais c’est
impossible de parler avec lui, il est super fort... c’est impossible, donc
c’est comme si j’aurais voulu parler avec Marine Le Pen. A part l’insulter sa mère,
vous voulez faire quoi ?» Contacté dans son très sympathique appartement
dont le loyer provient certainement de la CAF, la vermine n'a pas souhaité
réagir et alimenter la polémique, considérant que les images parlaient
d'elles-mêmes persuadé de son impunité et d’être dans le camp du bien car c'est
ce que lui répète les gauchos allah con et la fausse daroite et les merdias
depuis toujours.
L’histoire a fait le tour des réseaux sociaux, et de
nombreux internautes ont déploré cette attitude. Même si certains n’adhèrent
pas aux très bonnes idées de monsieur Zemmour, ils ont indiqué que se comporter
de la sorte permettait bien sûr à la fois aux fameux «fachos» d’alimenter la prétendue haine envers la communauté
d’origine maghrébine et musulmane en France et de faire des amalgames. Ah les
fameux amalgames !
C'est impossible à une racaille mahométane d'engager
une discussion car elle ne dispose pas du nombre de neurones minimum requis
pour pouvoir échanger des idées. La racaille en reste en général au stade des
éructations barbaresques.
Monsieur Michel Taube le champion des doigts de l’homme sur son blog dans son édito sur opinion internationale dira très
justement: «Mais le pire est ailleurs,
car personne ne sera surpris qu’Éric Zemmour puisse faire l’objet d’une telle
agression.(Si moi, agresser Zemmour pour ces idées, c’est la porte ouverte
au grand n’importe quoi et à la guerre civile) Il peut même s’estimer chanceux qu’elle soit restée verbale, même si
le crachat dépasse ce cadre. Le pire, c’est que l’agresseur fut à ce point
convaincu que son acte resterait impuni qu’il se permit d’agir à visage
découvert et de publier sa vidéo sur les réseaux sociaux. Pourquoi s’en
priverait-il ? Avec des centaines de milliers de vues, le voilà glorifié
auprès de sa mouvance de la haine musulmane et sur Internet. Le ratio
bénéfice/risque, terme en vogue à l’heure du Covid-19, joue clairement en sa
faveur. En théorie, une agression verbale est passible d’une amende de 12.000
euros (article 33 de la loi du 29 juillet 1881). Curieusement, le crachat est
moins lourdement sanctionné (750 € au titre de l’article R. 624-1 du Code
pénal). Mais qu’importe. Même si Éric Zemmour déposait plainte, l’affaire ne
connaîtrait probablement aucune suite judiciaire, et même dans l’hypothèse
inverse, l’individu échapperait à toute condamnation parce que le juge
considérerait les faits incriminés comme une petite gaminerie sans importance,
s’il ne considère pas que c’est une réaction légitime aux provocations de la
victime, transformée en coupable. Il n’est pas digne d’une démocratie que seuls
Valeurs actuelles, Sputnik et maintenant Opinion Internationale, relaient ce
fait. Certes relayer contribue à glorifier cette ordure, ce lâche, cet abruti,
ce délinquant, qui s’en est pris à un homme auquel il n’est pas capable
d’opposer le moindre argument, pour peu qu’il ait compris le sens de ses propos
(ce dont on peut douter !). Il faut surtout condamner cette insulte
arbitraire et haineuse. Faut-il réveiller Voltaire de ses cendres ? La
condition même de la liberté de la presse est que les journalistes protègent
celles et ceux qui l’exercent quand ils ne sont pas d’accord entre eux».
Là
maintenant je laisse à monsieur Michel Taube la responsabilité de ses paroles
de bisounours et à ses illusions de droit de l’hommiste : «Nous ne sommes pas d’accord avec Eric Zemmour sur bien
des sujets : l’Islam n’est pas le problème selon nous mais l’interprétation
rigoriste qui s’impose dans le monde musulman et parmi les convertis» (la suite ici) par contre j’applaudit des deux mains à cette fin
d’article : «Le «pas de vague», si
cher à nos politiques, a-t-il déteint sur les médias ? On s’étonne au passage
(mais ne parlons-nous pas du même problème ?) que l’instruction donnée aux
forces de police d’ignorer le non-respect des attroupements en zones sensibles,
durant la période de Ramadan, n’ai pas suscité une indignation générale. L’État
(et la justice) ne serait-il fort qu’avec les faibles, avec ceux qu’il doit
protéger, et aussi lâche que Haram La Gratuité avec ceux qui le méprisent, le
haïssent, le défient ? Madame Belloubet, qu’attendez-vous pour saisir le
parquet et ordonner l’interpellation de l’idiot de la Toile qui a agressé l’un
de nos plus brillants et controversés intellectuels français ? ».
Il est gentil monsieur Taube et nous avons beaucoup de
points communs notamment le sionisme, mais si je comprends et accepte le
sionisme de mes amis juifs, il faudrait qu’il accepte le judéo christianisme
des français nationalistes et de leur rejet de l’islam sous toutes ses formes.
Il est urgent de faire constater que les opinions de l’islamo racaille raciste
n’ont pas leur place en France !
Plusieurs personnalités politiques et quelques vrais journalistes
ont commenté la scène dont Éric Naulleau, qui a tenu à faire savoir qu'il
apportait son soutien à Éric Zemmour. «J'exprime
mon soutien inconditionnel et renouvelle mon amitié à Éric Zemmour, harcelé et
menacé en pleine rue par une lamentable racaille, un sombre crétin dont la
bêtise n'a d'égale que la lâcheté», a posté l'essayiste et chroniqueur. Un
tweet «liké» 13.000 fois en une
journée.
Éric Zemmour a également pu compter sur le soutien des
députés LR Valérie Boyer et Éric Ciotti. L'eurodéputé RN Gilbert Collard a fait
part de son «ras-le-bol du Niqueland»
alors que le maire de Béziers Robert Ménard a tweeté son soutien à «son ami» Éric Zemmour, tout comme le
membre du bureau national du RN Jean Messiha. Le journaliste Jean-Michel
Aphatie quant à lui «condamne sans
réserve l'agression» subie par Éric Zemmour. Cette agression d'Éric Zemmour
est intolérable et injustifiable. Il faut que l'auteur de cette agression, qui
revendique son geste sur les réseaux sociaux, soit interpellé», a tweeté le président
LR du Sénat Gérard Larcher. Il fallait bien toutefois dans cette histoire un journalopette,
un chancre mou de la plume, certains on crut le trouver en la personne de monsieur
Claude Askolovitch celui qui pour Patrick Jardin est le porte-voix de cette
gauche retranchée dans sa bien-pensance (et qui pour moi n’est qu’un islamo gauchiste).
Voir
ici sur Valeurs actuelles extraits : «Le journaliste (sans rire) a
publié une tribune au vitriol contre l’essayiste et justifié à demi-mot
l’agression qu’il a subie en pleine rue. «L’homme qui crache sur Zemmour n’est
autre qu’un autre Zemmour ». C’est le titre du billet d’humeur publié par le
journaliste Claude Askolovitch sur Slate ce samedi 2 mai. Et le préambule est
clair, il semble justifier l’agression subie par le journaliste et essayiste
dans la nuit de jeudi à vendredi. «Ils sont une même barbarie et l'empathie
m'est impossible», dit-il. «C'est un triste spectacle qu'un homme courbé qui
presse le pas sous l'insulte, quand un autre plus jeune, plus fort, vivant, le
poursuit et le moque, l'injurie salement et finalement lui crache dessus et en
rit, en jouit, puissant», dit-il. Et de continuer avec un ton ironique : «C'est
un triste spectacle de voir Éric Zemmour ainsi se rencontrer, devenu celui que
l'on chasse et qui baisse la tête, lui qui d'habitude porte beau la vindicte et
le mépris des autres.» Utilisant un vocabulaire centré autour de la haine (habituel
aux gauchistes ultras anti Français et collabos des islamo racailles), Claude Askolovitch compare Eric Zemmour à
son agresseur : «À quel point Zemmour et son tourmenteur se ressemblent, le
devine-t-il, le savent-ils ?», demande-t-il. (…) Avec une certaine médisance, Askolovitch critique celui qui fut dans
un autre temps son ami : «Zemmour est détestable tout autant que celui qui le
brime. Ils ne se justifient pas, ils se complètent, se ressemblent, ils sont la
même inhumanité et deux incultures». (…)
Son discours s’approche même parfois de la calomnie, lorsqu’il avance que «Zemmour
et son cracheur s'emboîtent. Leurs prétextes se rencontrent. Zemmour est la
preuve et l'excuse du fasciste au crachat, qui règle d'un mollard les comptes
accumulés». Finalement, sa diatribe est dévoilée plutôt clairement : «Je
déteste à parts égales le cracheur et Zemmour», lâche-t-il. Sans oublier de
sermonner toutes les personnalités qui ont dénoncé cette attaque ces dernières
heures. «Cet amour me sidère. Je le trouve poisseux et faux, confus, et nimbé
d'une affirmation de classe qui ne me dit rien de bon».
Les réactions ne se sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux. De
nombreux internautes se sont insurgés du texte du journaliste. «Votre cœur
penche pour l'agresseur, vous ramenez un crachat au niveau d'une œuvre
d'écriture et c'est normal. Comme ce cracheur l'admet, ‘Il n'y avait rien
d'autre à faire, il est trop fort en débat’ », dénonce l’un d’eux. «Un
agresseur comparé à un débatteur ! Bravo Askolovitch !», s’insurge un autre.
Quand certains préfèrent ironiser : «Les crachats d'Askolovitch sur Zemmour
dans Slate ne pèsent pas un mollard».
Michel Alain Labet de Bornay
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Au micro de Boulevard Voltaire, Maître Gilles-William Goldnadel réagit à l’agression (insultes, crachat) dont a été victime monsieur Zemmour, ce 30 avril, en pleine rue, agression diffusée sur le réseau social Snapchat et relayée sur Twitter. Il dénonce l’absence de réaction de la plupart des médias et de Christophe Castaner, et le sentiment d’impunité de «la racaille». Une vidéo tirée du réseau social Snapchat est sortie, hier, sur Twitter. On y voit une personne poursuivre, insulter et d’après ses mots avoir craché sur Éric Zemmour. Cette agression passe pour l’instant relativement inaperçue. Que vous a inspiré cette vidéo ? Cette vidéo m’inspire tout un tas de réflexions que je vous donne peut-être dans le désordre. Premièrement, les faits sont complètement avérés. L’agresseur lui-même s’en vante glorieusement sur les réseaux sociaux. Cela montre à quel point il a conscience de jouir d’un sentiment total d’impunité. Ce sentiment s’appuie rationnellement sur les dégradations de M. Castaner qui étaient totalement dans la culture de l’excuse. Je ne le savais d’ailleurs pas aussi cultivé… Il expliquait que les petits gars dans les banlieues ne supportaient pas le confinement et la misère. Toutes les excuses à deux balles, pardon pour l’expression triviale, qu’on balance depuis trente ans sont l’ingrédient le plus sûr pour fabriquer des cocktails Molotov intellectuels et, si j’ose, dire matériels. Deuxièmement, j’ai publié hier, sous le propre tweet de Christophe Castaner, avec une sévérité exemplaire, un commentaire qui disait que s’il pensait que n’importe qui ne peut être injurié, pas même un délinquant clandestin irrégulier, on peut imaginer aussi qu’un journaliste français n’a pas à être injurié en période dangereuse. Je peux vous dire qu’au moment où nous parlons, M. Castaner ne s’est fendu d’aucun communiqué pour réprouver ce qui s’est passé. Je rends hommage à son culte du premier mai, mais il me semble tout de même que ces événements auraient dû requérir de sa part une déclaration immédiate. Il ne doit pas être extrêmement difficile pour nos limiers d’aller rechercher celui qui s’est vanté sur la Toile. Hormis Valeurs actuelles, Sputnik et Boulevard Voltaire, on a l’impression qu’aucun média ne s’est fait écho de cette agression, alors que si elle avait concerné Jean-Michel Aphatie ou Christophe Barbier, cela aurait fait les gros titres.
RépondreSupprimerEt la racaille quand est ce qu’on l’arrête ? Il s’appelle Mehdi Korchi et habite dans le quartier pourave de La Source / HLM Nord, Bâtiment 7, Numéro 4 Rue Henri Troyat 45000 Orléans.
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