samedi 2 mai 2020

Eric Zemmour, Marine Le Pen, les musulmans ont peur !




Monsieur E. Zemmour (nom d’origine berbère signifiant : olivier) se fait insulter et cracher dessus dans la rue par un maghrébin musulman (c’est lui qui le revendique): «Gros fils de p… nique bien ta mère !» (Comme d’habitude les merdias habituels marxistes culturels et collabos qualifient le «maghrébin» (selon Europe Israël) de «jeune», de «chance pour la France», d’«homme» ou de «jeune homme» (il y a aussi quelques «individu») alors que ce n’est qu’une vermine, une racaille musulmane raciste, militant du continuum de la haine !).
En se filmant avec son portable, un individu a copieusement insulté monsieur Zemmour dans une rue de Paris. Il s’est vanté plus tard de lui avoir craché dessus (des crachats en pleine pandémie de Covid 19 pourraient être assimilés à une tentative d’homicide), et a expliqué ne pas avoir engagé une conversation courtoise avec le polémiste car celui-ci «est super fort, le débat c’est impossible».
Jeudi 30 avril, un jeune homme a aperçu Éric Zemmour dans une rue parisienne, lequel venait visiblement de faire les courses. Il l’a immédiatement inondé d’insultes (racistes ?) en se filmant avec son téléphone. Il s’est ensuite vanté d’avoir craché sur lui et a partagé l’extrait sur son compte Snapchat, sous le pseudonyme de «Haram La Gratuité».
L’individu, de retour chez lui, a ensuite affirmé avoir reçu à la fois des messages de soutien de ses abonnés et des insultes de la part des «partisans» de Zemmour. Il a cependant reconnu qu’il «n’aurait pas dû l’insulter» et a expliqué que «c’est impossible de parler avec lui, il est super fort, le débat c’est impossible». Fin de la source Europe Israel.

En fait la racaille a dit textuellement dans son Français approximatif : «c’est impossible de parler avec lui, il est super fort [...] à part l’insulter sa mère vous voulez faire quoi ?» (…) «C’est comme si j’avais voulu parler avec Marine Le Pen», a-t-il poursuivi, «à part l’insulter sa mère, vous voulez faire quoi?». Le racisme et la haine des musulmans pour les Français judéo chrétiens est dévoilé ici très nettement en plein ramadan un pétard à la bouche  (ce n’est pas Haram (illicite) de fumer de la drogue pendant le ramadan ?) et puis quel aveu d’impuissante intellectuelle d’un crétin inculte au QI de mouche à merde ! S’il voulait faire une belle et bonne publicité à monsieur Zemmour ou à madame Le Pen c'est réussi. Cela confortera certainement Eric Zemmour et madame Le Pen dans le fait que ces racailles n'ont rien à faire en France mais aussi que nos merdias comme @LCI, @BFMTV, @franceinfo etc. avec tous les politiques de LREM comme monsieur Castaner et autre préfet Lallement ont choisis le camp de la collaboration en ne divulguant surtout pas cette info alors qu'ils sont vent debout quand un policier dit en plaisantant «bicot» en parlant d’un individu qu’il vient de sauver de la noyade (Voir ici). Dans d’autres odieuses vidéos, diffusées plus tard sur le réseau social Snapchat, où il se fait surnommer «Haram La Gratuité» (@haramdims), la racaille s’est félicité d’avoir «craché un gros mollard dans la tête» d’Éric Zemmour, qualifié de «petit con», à visage découvert.
Puis, après avoir remercié ses fans «islamo-racailles» (c’est lui qui le dit !) pour leurs «messages d’encouragement» (sic), il a tenté de justifier son agression dans un français massacré, un vrai pataouète : «Ouais, ouais, je sais, j’aurais pas dû l’insulter et tout ça, mais comment vous voulez parler avec lui, dites-moi ? C’est peut-être un fils de pute, mais c’est impossible de parler avec lui, il est super fort... c’est impossible, donc c’est comme si j’aurais voulu parler avec Marine Le Pen. A part l’insulter sa mère, vous voulez faire quoi ?» Contacté dans son très sympathique appartement dont le loyer provient certainement de la CAF, la vermine n'a pas souhaité réagir et alimenter la polémique, considérant que les images parlaient d'elles-mêmes persuadé de son impunité et d’être dans le camp du bien car c'est ce que lui répète les gauchos allah con et la fausse daroite et les merdias depuis toujours.

L’histoire a fait le tour des réseaux sociaux, et de nombreux internautes ont déploré cette attitude. Même si certains n’adhèrent pas aux très bonnes idées de monsieur Zemmour, ils ont indiqué que se comporter de la sorte permettait bien sûr à la fois aux fameux «fachos» d’alimenter la prétendue haine envers la communauté d’origine maghrébine et musulmane en France et de faire des amalgames. Ah les fameux amalgames !
C'est impossible à une racaille mahométane d'engager une discussion car elle ne dispose pas du nombre de neurones minimum requis pour pouvoir échanger des idées. La racaille en reste en général au stade des éructations barbaresques.

 Monsieur Michel Taube le champion des doigts de l’homme sur son blog dans son édito sur opinion internationale dira très justement: «Mais le pire est ailleurs, car personne ne sera surpris qu’Éric Zemmour puisse faire l’objet d’une telle agression.(Si moi, agresser Zemmour pour ces idées, c’est la porte ouverte au grand n’importe quoi et à la guerre civile) Il peut même s’estimer chanceux qu’elle soit restée verbale, même si le crachat dépasse ce cadre. Le pire, c’est que l’agresseur fut à ce point convaincu que son acte resterait impuni qu’il se permit d’agir à visage découvert et de publier sa vidéo sur les réseaux sociaux. Pourquoi s’en priverait-il ? Avec des centaines de milliers de vues, le voilà glorifié auprès de sa mouvance de la haine musulmane et sur Internet. Le ratio bénéfice/risque, terme en vogue à l’heure du Covid-19, joue clairement en sa faveur. En théorie, une agression verbale est passible d’une amende de 12.000 euros (article 33 de la loi du 29 juillet 1881). Curieusement, le crachat est moins lourdement sanctionné (750 € au titre de l’article R. 624-1 du Code pénal). Mais qu’importe. Même si Éric Zemmour déposait plainte, l’affaire ne connaîtrait probablement aucune suite judiciaire, et même dans l’hypothèse inverse, l’individu échapperait à toute condamnation parce que le juge considérerait les faits incriminés comme une petite gaminerie sans importance, s’il ne considère pas que c’est une réaction légitime aux provocations de la victime, transformée en coupable. Il n’est pas digne d’une démocratie que seuls Valeurs actuelles, Sputnik et maintenant Opinion Internationale, relaient ce fait. Certes relayer contribue à glorifier cette ordure, ce lâche, cet abruti, ce délinquant, qui s’en est pris à un homme auquel il n’est pas capable d’opposer le moindre argument, pour peu qu’il ait compris le sens de ses propos (ce dont on peut douter !). Il faut surtout condamner cette insulte arbitraire et haineuse. Faut-il réveiller Voltaire de ses cendres ? La condition même de la liberté de la presse est que les journalistes protègent celles et ceux qui l’exercent quand ils ne sont pas d’accord entre eux».                                                                                           
Là maintenant je laisse à monsieur Michel Taube la responsabilité de ses paroles de bisounours et à ses illusions de droit de l’hommiste : «Nous ne sommes pas d’accord avec Eric Zemmour sur bien des sujets : l’Islam n’est pas le problème selon nous mais l’interprétation rigoriste qui s’impose dans le monde musulman et parmi les convertis» (la suite ici) par contre j’applaudit des deux mains à cette fin d’article : «Le «pas de vague», si cher à nos politiques, a-t-il déteint sur les médias ? On s’étonne au passage (mais ne parlons-nous pas du même problème ?) que l’instruction donnée aux forces de police d’ignorer le non-respect des attroupements en zones sensibles, durant la période de Ramadan, n’ai pas suscité une indignation générale. L’État (et la justice) ne serait-il fort qu’avec les faibles, avec ceux qu’il doit protéger, et aussi lâche que Haram La Gratuité avec ceux qui le méprisent, le haïssent, le défient ? Madame Belloubet, qu’attendez-vous pour saisir le parquet et ordonner l’interpellation de l’idiot de la Toile qui a agressé l’un de nos plus brillants et controversés intellectuels français ? ».
Il est gentil monsieur Taube et nous avons beaucoup de points communs notamment le sionisme, mais si je comprends et accepte le sionisme de mes amis juifs, il faudrait qu’il accepte le judéo christianisme des français nationalistes et de leur rejet de l’islam sous toutes ses formes. Il est urgent de faire constater que les opinions de l’islamo racaille raciste n’ont pas leur place en France !

Plusieurs personnalités politiques et quelques vrais journalistes ont commenté la scène dont Éric Naulleau, qui a tenu à faire savoir qu'il apportait son soutien à Éric Zemmour. «J'exprime mon soutien inconditionnel et renouvelle mon amitié à Éric Zemmour, harcelé et menacé en pleine rue par une lamentable racaille, un sombre crétin dont la bêtise n'a d'égale que la lâcheté», a posté l'essayiste et chroniqueur. Un tweet «liké» 13.000 fois en une journée.
Éric Zemmour a également pu compter sur le soutien des députés LR Valérie Boyer et Éric Ciotti. L'eurodéputé RN Gilbert Collard a fait part de son «ras-le-bol du Niqueland» alors que le maire de Béziers Robert Ménard a tweeté son soutien à «son ami» Éric Zemmour, tout comme le membre du bureau national du RN Jean Messiha. Le journaliste Jean-Michel Aphatie quant à lui «condamne sans réserve l'agression» subie par Éric Zemmour. Cette agression d'Éric Zemmour est intolérable et injustifiable. Il faut que l'auteur de cette agression, qui revendique son geste sur les réseaux sociaux, soit interpellé», a tweeté le président LR du Sénat Gérard Larcher. Il fallait bien toutefois dans cette histoire un journalopette, un chancre mou de la plume, certains on crut le trouver en la personne de monsieur Claude Askolovitch celui qui pour Patrick Jardin est le porte-voix de cette gauche retranchée dans sa bien-pensance (et qui pour moi n’est qu’un islamo gauchiste). Voir ici sur Valeurs actuelles extraits : «Le journaliste (sans rire) a publié une tribune au vitriol contre l’essayiste et justifié à demi-mot l’agression qu’il a subie en pleine rue. «L’homme qui crache sur Zemmour n’est autre qu’un autre Zemmour ». C’est le titre du billet d’humeur publié par le journaliste Claude Askolovitch sur Slate ce samedi 2 mai. Et le préambule est clair, il semble justifier l’agression subie par le journaliste et essayiste dans la nuit de jeudi à vendredi. «Ils sont une même barbarie et l'empathie m'est impossible», dit-il. «C'est un triste spectacle qu'un homme courbé qui presse le pas sous l'insulte, quand un autre plus jeune, plus fort, vivant, le poursuit et le moque, l'injurie salement et finalement lui crache dessus et en rit, en jouit, puissant», dit-il. Et de continuer avec un ton ironique : «C'est un triste spectacle de voir Éric Zemmour ainsi se rencontrer, devenu celui que l'on chasse et qui baisse la tête, lui qui d'habitude porte beau la vindicte et le mépris des autres.» Utilisant un vocabulaire centré autour de la haine (habituel aux gauchistes ultras anti Français et collabos des islamo racailles), Claude Askolovitch compare Eric Zemmour à son agresseur : «À quel point Zemmour et son tourmenteur se ressemblent, le devine-t-il, le savent-ils ?», demande-t-il. (…) Avec une certaine médisance, Askolovitch critique celui qui fut dans un autre temps son ami : «Zemmour est détestable tout autant que celui qui le brime. Ils ne se justifient pas, ils se complètent, se ressemblent, ils sont la même inhumanité et deux incultures». (…) Son discours s’approche même parfois de la calomnie, lorsqu’il avance que «Zemmour et son cracheur s'emboîtent. Leurs prétextes se rencontrent. Zemmour est la preuve et l'excuse du fasciste au crachat, qui règle d'un mollard les comptes accumulés». Finalement, sa diatribe est dévoilée plutôt clairement : «Je déteste à parts égales le cracheur et Zemmour», lâche-t-il. Sans oublier de sermonner toutes les personnalités qui ont dénoncé cette attaque ces dernières heures. «Cet amour me sidère. Je le trouve poisseux et faux, confus, et nimbé d'une affirmation de classe qui ne me dit rien de bon». 
                                                                                                Les réactions ne se sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux. De nombreux internautes se sont insurgés du texte du journaliste. «Votre cœur penche pour l'agresseur, vous ramenez un crachat au niveau d'une œuvre d'écriture et c'est normal. Comme ce cracheur l'admet, ‘Il n'y avait rien d'autre à faire, il est trop fort en débat’ », dénonce l’un d’eux. «Un agresseur comparé à un débatteur ! Bravo Askolovitch !», s’insurge un autre. Quand certains préfèrent ironiser : «Les crachats d'Askolovitch sur Zemmour dans Slate ne pèsent pas un mollard».


Michel Alain Labet de Bornay

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2 commentaires:

  1. Au micro de Boulevard Voltaire, Maître Gilles-William Goldnadel réagit à l’agression (insultes, crachat) dont a été victime monsieur Zemmour, ce 30 avril, en pleine rue, agression diffusée sur le réseau social Snapchat et relayée sur Twitter. Il dénonce l’absence de réaction de la plupart des médias et de Christophe Castaner, et le sentiment d’impunité de «la racaille». Une vidéo tirée du réseau social Snapchat est sortie, hier, sur Twitter. On y voit une personne poursuivre, insulter et d’après ses mots avoir craché sur Éric Zemmour. Cette agression passe pour l’instant relativement inaperçue. Que vous a inspiré cette vidéo ? Cette vidéo m’inspire tout un tas de réflexions que je vous donne peut-être dans le désordre. Premièrement, les faits sont complètement avérés. L’agresseur lui-même s’en vante glorieusement sur les réseaux sociaux. Cela montre à quel point il a conscience de jouir d’un sentiment total d’impunité. Ce sentiment s’appuie rationnellement sur les dégradations de M. Castaner qui étaient totalement dans la culture de l’excuse. Je ne le savais d’ailleurs pas aussi cultivé… Il expliquait que les petits gars dans les banlieues ne supportaient pas le confinement et la misère. Toutes les excuses à deux balles, pardon pour l’expression triviale, qu’on balance depuis trente ans sont l’ingrédient le plus sûr pour fabriquer des cocktails Molotov intellectuels et, si j’ose, dire matériels. Deuxièmement, j’ai publié hier, sous le propre tweet de Christophe Castaner, avec une sévérité exemplaire, un commentaire qui disait que s’il pensait que n’importe qui ne peut être injurié, pas même un délinquant clandestin irrégulier, on peut imaginer aussi qu’un journaliste français n’a pas à être injurié en période dangereuse. Je peux vous dire qu’au moment où nous parlons, M. Castaner ne s’est fendu d’aucun communiqué pour réprouver ce qui s’est passé. Je rends hommage à son culte du premier mai, mais il me semble tout de même que ces événements auraient dû requérir de sa part une déclaration immédiate. Il ne doit pas être extrêmement difficile pour nos limiers d’aller rechercher celui qui s’est vanté sur la Toile. Hormis Valeurs actuelles, Sputnik et Boulevard Voltaire, on a l’impression qu’aucun média ne s’est fait écho de cette agression, alors que si elle avait concerné Jean-Michel Aphatie ou Christophe Barbier, cela aurait fait les gros titres.

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  2. Et la racaille quand est ce qu’on l’arrête ? Il s’appelle Mehdi Korchi et habite dans le quartier pourave de La Source / HLM Nord, Bâtiment 7, Numéro 4 Rue Henri Troyat 45000 Orléans.

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