mercredi 17 juin 2020

Egountchi Behanzin, quel brave jeune homme !



Sylvain Afoua dit aujourd’hui Egountchi Behanzin un vrai nom à coucher dehors avec un billet de logement aura tout essayé, rappeur raté au nom de scène à chier de Gucci-ID, il choisit pour pseudo ridicule comme on vient de le voir le nom d’un prétendu «roi» du Dahomey, Egountchi Behanzin de son vrai nom Gbèhin azi bô ayidjlè Ahossou Gbowelé dit «prince» Kondo, dont le couronnement sera notamment marqué par des merveilleux et traditionnels sacrifices humains et s’auto proclame en 2017 le chefaillon en France de la «Ligue de défense noire africaine» un «mouvement pour la défense des droits des Afrodescendants et des Africains aux sacrifices humains et au traditionnel cannibalisme». Afoua se définit comme un «activiste politique, anti-négrophobie, panafricain (et) révolutionnaire». En un mot ce «jeune homme» est un sale raciste! Les journalopes de la presse allah botte des marxistes culturels disent eux «racialiste»Il est ici sur tweeter . Jean Messiha a estimé que l’homme est «un suprémaciste et un identitaire noir, une espèce de nazi noir».

Plein de haine il éructe : «La France, c'est-à-dire l'Etat français est un Etat totalitaire, terroriste, esclavagiste, colonialiste. L'Etat français exploite son propre peuple, alors vous imaginez ce qu'ils font en Afrique», s'est-il exclamé dernièrement dans une manifestation interdite, mais anormalement tolérée par l’état marxiste culturel Français.

Afoua alias Egountchi Behanzin 31 ans leader auto proclamé de la Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA), groupuscule communautariste et raciste antiblancs, a été condamné en novembre 2019, avec un complice un certain Romuald B., pour «acte d’intimidation» envers monsieur Patrick Balkany, maire de Levallois-Perret, absent à l’audience puisque incarcéré depuis le 13 septembre dernier après sa condamnation pour fraude fiscale. L’escroc Balkany qu’il avait pris à partie début septembre dans la rue à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Le tribunal a condamné les deux activistes racistes, qui avaient chacun un casier judiciaire chargé, à six mois de prison, un euro de dommages et intérêts (sans rigoler !) à verser à monsieur Balkany ce qui va bien l’arranger pour régler ces dettes et amende de 100 000 euros pour fraude fiscale.



On apprend, lors de ce procès, que l’individu noir et haineux Afoua, dit Egountchi Behanzin ne travaille pas, vit évidemment des aides sociales, mais surtout, a, entre autres, été condamné en 2014 à sept ans de prison pour viol sur personne vulnérable.
Voilà donc qui est ce charmant personnage noir qui se permet de cracher régulièrement sa haine des Français et des blancs en, par exemple, profanant la statue de Jeanne d’Arc à Paris, ou en organisant des manifestations racistes anti-blanches ou incitant à tuer les Blancs…

Toutes choses qui ne lui ont valu aucun ennuis avec la police et cette magnifique ajustice de s’pays des doigts de l’homme.
En mai 2018, le magazine en ligne «Nous sommes partout» par l’intermédiaire d’Ivan Lévy, un grand journaliste de NSP s’interrogeais pour savoir si le leader de la LDNA, Gucci-IG était sexiste, raciste, primitif ? Ou tout simplement primaire ?
Monsieur Lévy écrivais : «Les pages Facebook  Génération Identitaire viennent d’être fermées après l’intervention de l’inénarrable LDNA (Ligue de Défense Noire Africaine) et de son «führer» Gucci-IG. L’énergumène prête à rire tant il est la quintessence du gongoïde de banlieue aux muscles stéroïdés et à l’orthographe douteuse. Ajoutons à cela une incapacité pitoyable à s’exprimer correctement et autrement qu’avec force répétitions dans ses vidéos de propagande (Il est vrai que monsieur Lévy n’est pas forcément au courant que le QI des noirs est inférieur à celui des blancs et ce n’est pas moi qui le dit :«C’est un fait connu et incontestable que, soumis à des tests destinés à mesurer leur Q.I., les Noirs des Etats-Unis obtiennent une moyenne inférieure de quinze points à la moyenne des Blancs» (Source Le Monde Diplomatique Juin 1975). Source confirmée par monsieur de Lesquen : «Le QI des noirs est inférieur à celui des blancs». 
                                  
 «A croire que son public a besoin qu’on lui répète les choses soixante-douze fois pour les comprendre. Le sommet du ridicule est atteint lors de la présentation filmée de la «Section LDNA Bondy» d’une durée de 3 minutes et dans laquelle le sémillant Gucci-IG nous assène pas moins de seize «à Bondy» et peine à laisser parler sa présidente de section à laquelle il coupe la parole sans vergogne non sans avoir précisé que «maman» faisait «aussi» à manger. Visiblement, pour ce grand militant de la cause africaine, il n’y a que deux sortes de femmes : les mamans et les putains. Il suffit pour cela de regarder un de ses clips, en particulier le gracieux Sans Forcer dans lequel le melliflu musicien nous gratifie de paroles d’un immense raffinement telles que (je cite et m’en excuse par avance) « Que des gros bras dans mon équipe et ma bite dans vos gros culs».  
Nous ne doutons pas que Gucci-IG puisse être bien pourvu par la nature mais il n’est pas obligé de le crier sur les toits, d’autant plus qu’il sombre ici dans un des pires stéréotypes racistes sur les noirs, celui qui consiste à imaginer «qu’ils en ont une grosse». Personnellement, n’en ayant jamais vu et n’en ayant nullement l’intention, le doute m’habite. (D’autant que si j’osais… allez j’ose : Il parait que la bi… de Lévy c’est quelque chose). 
Les paroles nous laissent pantois par leur poésie et leur fraîcheur : «je m’entraîne pour les baiser», «AK 47 Négro, tu veux tester ?», «on attaque au rocket comme au Hamas», j’en passe et des meilleures, le tout sur fond d’images d’un raffinement inattendu et dans lesquelles n’évoluent que des femmes blanches dénudées, dans des positions que la pudeur nous permettra d’identifier comme avantageuses évoquant à s’y méprendre le canidé femelle. «Toujours chargé» de poudre blanche, notre ami s’en donne à cœur joie et se tripote les parties intimes pendant les 3 minutes 49 que dure le clip, évoquant à s’y méprendre le bonobo en rut. Heureusement pour lui, le caudillo de la LDNA s’est allié aux intellectuels de la Brigade Anti Négrophobie qui, si elle maîtrise un peu mieux la langue du colonisateur, n’en voit pas moins des racistes partout. A ce niveau-là, on frôle le trouble mental. Les deux collectifs se sont illustrés en demandant l’interdiction de «la nuit des noirs» au carnaval de Dunkerque et le retrait d’un livre pour enfants de Blaise Cendras intitulé «Petits contes nègres pour les enfants des blancs» avec un argumentaire délirant accusant les princesses Disney d’être toujours blondes aux yeux bleus et de véhiculer des clichés racistes. Personne n’oblige ces messieurs à assister au carnaval.
En résumé la LDNA qui a manifesté devant l'ambassade d'Afrique du sud à Paris le 6 septembre dernier, dans le contexte des violences soi-disant «racistes» qui s’y déroulent opposant locaux et étrangers, tous africains de race noire. Cette LDNA donnera comme réponse à «la xénophobie» dans ce pays, par l’intermédiaire de l'un des intervenants, un noir,qui a appelé aux meurtres des «Blancs», des «Chinois» et des «Indiens» : «La xénophobie doit s'arrêter. Si vous voulez être xénophobe, d'accord. Commencez par tuer les Blancs, commencez par tuer les Chinois, commencez par tuer les Indiens. Ne tuez pas vos frères […] nous avons la même couleur [de peau]». Voilà qui nous aurait immédiatement mieux éclairé sur cette organisation qui prône la xénophobie, la haine raciale jusqu’à l’appel au meurtre.
On aurait aussi pu rappeler que la LDNA avec le Conseil représentatif des Associations Noires de France (CRAN), soutenus par Rokhaya Diallo qui tient les blancs de façon fantaisiste pour héritiers d’un colonialisme faisant sommeiller en chacun d'eux un raciste qui s’ignore, ont empêché la tenue de la pièce d’Eschyle «Les suppliantes» à la Sorbonne, prétextant que les comédiens se grimaient en noir, simplement pourtant comme dans l’antiquité, pour assimiler cela à un "Blackface" (maquillage noir pratiqué lors de spectacles par des blancs aux États-Unis pouvant s’apparenter à une forme de racisme). Ce n’était qu’un prétexte pour faire publicité à leur discours de victimisation outrancier justifiant leur intolérance, et leur volonté d’imposer à notre République égalitaire où les individus se mélangent, leur projet politique d’une société divisée selon l’origine, la couleur, la religion, séparant les individus dans un face à face fratricide. Le ressentiment ne peut être à l’origine d’aucun projet d’avenir, d’aucun idéal. La pièce a pu plus tard heureusement être joué, dans le Grand amphi de la Sorbonne, faisant un pied de nez à ceux-là. C'est en regardant devant, tous ensemble, que nous serons toujours plus et mieux égaux.
Michel Alain Labet de Bornay

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