Tags: Camélia Jordana
Riad-Aliouane, Assa Traoré, Camélia Jordana, racisme, raciste, porno, sexe hard,
Algérienne, immigrés d’Algérie,
Camélia Riad-Aliouane, a pour pseudo Camélia Jordana, c’est
une activiste gauchiste, «chanteuse»
et «actrice» qui a débuté dans le
porno, elle est française, née le 15 septembre 1992 à Toulon.
Elle est «révélée»
en 2009 par l'émission de télévision Nouvelle Star, où elle finit péniblement troisième.
Camélia Jordana sait qu'elle est nulle, que sa voix
n'est pas mélodieuse, qu'elle chante faux et souvent à côté du tempo, mais
gonflée d'assurance, elle est une imposture vivante, sa voix éraillée est
proche de la crécelle, elle ne comprend rien à ce qu'elle raconte. Elle passe
son temps à lorgner la caméra et minaude pour embourber un maximum de gogos qui
ont les tympans en tampon Jex.
Camélia Jordana Aliouane est née dans une famille «bourgeoise» le 15 septembre 1992 à
Toulon. Petite-fille d’immigrés algériens, elle est la fille d'un chef
d'entreprise de transport de béton et d'une thérapeute en développement
personnel. Sa grand-mère illettrée, aînée d'une fratrie de neuf enfants, vient
vivre en France avec son mari, travaillant ensemble dans le Var comme ouvriers
agricoles dans les années 1950. En Algérie, son grand-père était un terroriste
local du très marxiste Front de libération nationale (FLN), devenu à partir de
1962 un parti politique indépendantiste dictatorial toujours au pouvoir
en Algérie.
Mademoiselle Jordana grandit à La Londe-les-Maures.
Elle suit ses piteuses études au lycée Jean-Aicard d’Hyères jusqu'en 1re
Littéraire c’est-à-dire qu’elle ne possède même pas le Bac ce qui fait d’elle
une quasi illettrée.
A partir de 2013, elle devient actrice porno. Voir
ici pour les plus de 18 ans: Camélia Jordana et Amira. Elle a failli
tourner dans le fameux film subventionné par le Vatican «Jésus Mainavalpa», mais ses origines musulmanes l’en on empêchée.
Elle serait agnostique. Aux yeux d'une agnostique, les
religions sont bien trop «humaines» du
fait de leurs modes de fonctionnement et des dynamiques anthropologiques sur
lesquelles elles reposent (soutien psychologique face à la mort, analogie très
anthropocentrique d'un dieu bâtisseur de l'univers...) pour qu'elles puissent
avoir un quelconque lien direct avec une forme d'intelligence supérieure. Déjà
que mademoiselle Jordana est totalement dépourvue d’intelligence avec un QI
négatif, il lui est bien sûr impossible d’appréhender quelque forme
d’intelligence que ce soit. Le fait est bien sûr aggravé par ses origines maghrébines.
En novembre 2018, elle affirme d’une façon très raciste
que sa génération ne se reconnaitrait pas dans la société française, dirigée
par des «vieux blancs riches». Cette
déclaration suscite évidemment, de justes accusations de racisme antiblanc qui
comme chacun sait n’existe pas dans le pays des doigts de l’homme dans le
Centre d’Union Libéral et celui des «actrices»
porno spécialistes de la «pipe à fond».
L’année suivante, dans un entretien accordé à La Provence, mademoiselle Riad-Aliouane notre
raciste nationale déclare à propos du conflit kurde en Turquie qui oppose des
marxistes léninistes à des bons musulmans ce qui est finalement tout benef pour
nous que «si c'étaient des blancs
catholiques qui se faisaient massacrer, on trouverait des solutions» bizarrement
mademoiselle Jordana semble ignorer avec son QI de protozoaire que tant les
Kurdes que les Turcs sont de race blanche.
Le 23 mai 2020, interrogée par Philippe Besson dans
l'émission On n'est pas couché, elle
déclare bêtement au sujet de prétendues violences policières : «Je parle des hommes et des femmes qui vont
travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle
autre raison que leur couleur de peau, c’est un fait» (Les gens qui vont «travailler» le matin dans les
banlieues ? Ils y en auraient encore alors ?). Elle ajoute : «Il y a des
milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en
fais partie. Aujourd’hui j’ai les cheveux défrisés, quand j’ai les cheveux
frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France. Vraiment.
Vraiment». Là, faut en tenir une grosse couche pour sortir de pareilles
conneries !
Ces propos entraînent de vives réactions, notamment de
la part d'hommes politiques. Christophe Castaner, ministère de l'Intérieur,
déclare, via son compte Twitter : «Non
madame, « les hommes et les femmes qui vont travailler tous les matins en
banlieue» ne se font pas «massacrer
pour nulle autre raison que leur couleur de peau» (d’autant que dans les
zones de non droit ceux qui vont
«travailler» le matin ne sont pas légion, le shit et la coke c’est plutôt
le soir que ça ce vend) Ces propos
mensongers et honteux alimentent la haine & la violence. Ils appellent une
condamnation sans réserve». Se déclarant «très attaché au débat public», il ne compte pourtant pas engager
de poursuite judiciaire, ce qui laisse à penser qu’il y aurait en France deux
sortes de racisme. Pourtant la loi n° 72-546 du 1er juillet 1972 sur la lutte
contre le racisme a introduit la notion de délit de «provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard
d'une personne ou d'un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur
appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion
déterminée».
Des personnalités de la droite molle et de la droite nationale
et patriote désapprouvent également ces propos racistes. Par exemple, Éric
Ciotti, député LR, déclare, via Twitter : «Propos
honteux et inadmissibles de [Camélia Jordana] hier soir sur le plateau de [On n'est pas couché]. Je demande à [Christophe Castaner] de déposer plainte pour défendre l’honneur
de nos policiers». Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement national,
déclare : «La palme du jour à
[Camélia Jordana] dont la bêtise sans
fond et le discours haineux vis à vis des forces de l’ordre nous démontrent qui
sont ceux qui divisent la France et sur quels critères ils «réfléchissent». Le
mieux serait juste de continuer à chanter et pas davantage !».
Les syndicats policiers réprouvent les propos de
Camélia Jordana. Alliance Police nationale annonce saisir le procureur de la
République, pour des «accusations inadmissibles
envers les policiers (racisme, meurtres…)», et celui des commissaires de la
Police nationale, dénonce le : «Témoignage
consternant d’une «nouvelle star de la bêtise» qui démontre en deux minutes la
pauvreté de sa pensée, accompagnée d’arguments scandaleux et calomnieux, le
tout sur le service public».
Des personnes de la gauche de l'extrême gauche et autre
ultra gauche raciste et antisémite, quant à elles, approuvent les propos de la
chanteuse. Elle est par exemple soutenue par Manon Aubry ou Manuel Bompard
(LFI), ou encore par le député Aurélien Taché (ex-LREM), qui déclare, via son
compte Twitter : «Bravo [Camélia
Jordana], mais le prix à payer va être
terrible… tu le savais. Ils vont nier puis retourner la charge de la preuve et
une fois encore, chercher à faire passer les victimes pour des coupables. Cette
France est si différente de celle dans laquelle nous avons grandi».
SOS Racisme a aussi, par communiqué, «apporté son soutien […] à l’analyse» de Camélia Jordana.
Dominique Sopo (pipi caca) (président de l'association) regrette que le
ministre de l’Intérieur ait condamné les propos de l'artiste et déclare ; «Cette attitude, qui a également été celle
de plusieurs syndicats policiers, est symptomatique de l’impossibilité dans
notre pays de traiter du sujet - malheureusement réel - du racisme au sein des
forces de l’ordre», il rappelle sa «demande
que soit ouvert le chantier de la lutte contre le racisme au sein de la police
et de la gendarmerie».
Assa Traoré (Voir
ici l'affaire qui dérange d'Adama Traoré) — la sœur de Adama
Traoré un jeune délinquant sortant de prison, mort en 2016 après son
interpellation —, apporte son soutien à la chanteuse et lance le hashtag «#MoiAussiJaiPeurDevantLaPolice». Les
inrocks note, le 25 mai, que le mot clé a «déjà
été utilisé plus de 40 000 fois» sur le réseau social.
Face au début de polémique, Camélia Jordana a réagi dans
un tweet publié dans la nuit du 25 mai 2020, en déclarant être «épatée par toutes ces réactions» (ah
vous qui m’épatâtes !) et donc «enthousiaste
par la réouverture du débat public». Elle invite Christophe Castagner à
débattre à la télévision «sur le plateau
de son choix».
Philippe Thierry Le Gaulois à dit :
Les névroses obsessionnelles des noirs deviennent
insupportables !!!
Là où le prochain blanc agressé (si ce n’est assassiné)
par un noir ou un magrébin, devrons-nous nous comporter de la même façon en
faisant des manifestations, des pillages et casses de commerces, de banques et
autres, et appeler à la condamnation de tous les noirs ainsi que leur appel à
la mort ?
L'État doit réagir et interdire ces manifs pour un fait
qu’aux USA il apparaît que le policier ne serait pas en cause puisque le noir
était délinquant multirécidiviste déjà condamné à cinq ans de prison, un faux monneyeur
drogué et avait d'autres complications !!!!
Nous sommes en 2020 et il serait bon que les noirs se
prennent en charge seul et arrêtent de se plaindre en permanence et arrêtent
leur communautarisme qui va jusqu'à défendre l'indéfendable, le délinquant, qui
sera toujours innocent s'il est noir même s'il est notoirement un trafiquant de
drogue, fausse monnaie, proxénète, agression, casse de commerces, brûleur de
voitures mais dès qu'un blanc va lui parler ou l'arrêter, il sera coupable, le
blanc, de tous les maux de la Terre et même de l'époque d'il y a plusieurs
siècles d'un certain esclavage !!!!
Mais attention, le noir ne se plaindra jamais de
l'esclavage dû à la tribu noire adverse ou des arabes musulmans qui les mirent
en esclavage il y a des siècles aussi !
La faute c’est toujours pour le blanc !!!
Personnellement j'ai une solution pour vous mais comme
vous n'êtes que des pleurnichards, vous ne l'accepterez pas !
Retournez en Afrique vivre votre liberté
!!!!!!!!!!!!!!!
Les Américains y avaient pensé, ils ont créé le
«Liberia» pour les anciens esclaves !
Résultats ; Le Liberia est une dictature et bien qu'ils
soient essentiellement entre noirs, ils se font la guerre et l'insécurité est à
son maximum.
L'histoire du Liberia en tant que pays commence en
1845, année où il a été fondé par une société américaine de colonisation,
l'American Colonization Society, pour y installer des esclaves noirs libérés.
Rapidement, un malaise entre américano-libériens et population autochtone
apparaît.
En 1971, William Tolbert, vice-président depuis 1951,
accède à la présidence à la suite de la mort du président Tubman. La politique
économique qu'il mène accroît le clivage entre américano-libériens et tribus
d’autochtones. Et le 12 avril 1980, le gouvernement est renversé lors un coup
d'État mené par Samuel Doe, un autochtone qui prend le pouvoir. Il instaure
rapidement une abominable dictature.
La guerre civile au Liberia a coûté la vie à plus de
150 000 personnes, des civils pour la plupart, et a provoqué un effondrement
total de l'État. Des milliers de personnes ayant été déplacées à l'intérieur du
Liberia et hors de ses frontières, quelque 850 000 personnes se sont réfugiées
dans les pays voisins. Les combats ont commencé à la fin de l'année 1989 et au
début de l'année 1990, causant plusieurs centaines de morts lors des
affrontements entre les forces gouvernementales et les combattants se réclamant
d'un groupe d'opposition, le National Patriotic Front of Liberia (NPFL), dirigé
par un ancien membre du Gouvernement, Charles Taylor. Charles Taylor est de
père américano-libérien et de mère native. Après des études aux États-Unis, il
est revenu en Afrique, s'est plongé dans les intrigues politiques et militaires
ouest-africaines, et est devenu un chef de guerre, avide de profits financiers.
D’où une merde encore plus noire pour le pays.
Michel Alain Labet de Bornay
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