lundi 18 mai 2009

Che Guevara le boucher !

A propos d’un film à la con !
Saga Che Guevara - 1ère partie : L' Argentin & 2ème partie : Guérilla. http://www.froggydelight.com/images/janvier2009/che_l_argentin.jpg Film de merde bolcho réalisé par l’amer loque Steven Soderbergh, pour s’en foutre plein les fouilles avec un mythe grotesque. France, USA, Espagne. 2009. Biographie. Avec Benicio Del Toro, Carlos Bardem, Demian Bichir, Santiago Cabrera.

Tous les bobos du parti socialiste et communiste pourris allaient dans des camps de vacances à Cuba dans les années 70 pour soutenir la révolution et participer à la maigre récolte de la canne à sucre.
Maintenant ces connards ne s’en vantent pas.
Vraiment tous ces gauchus avec le sang des 100 millions de morts du communisme sur les mains, me débectent.

“Le socialisme c’est vraiment bien le printemps du goulag”

De plus les communistes socialistes et assimilés sont les plus grands criminels de l’histoire !
Amnésie, négationnisme, falsification, occultation, diversion: tout est bon pour cacher la réalité des révolutions socialistes avec leurs faillites humaines, économiques et écologiques sans compter l'océan des drames humains!
Derrière le rideau de propagande mensongère surgit la réalité de l'horreur de la construction du socialisme provoquant misère et terreur pour la très grande majorité du peuple au profit d'une nouvelle bourgeoisie qui, sans états d'âmes, arrête, déporte, affame et fusille!
Si l'horreur provoquée par la construction du socialisme a pu exister si longtemps et se produire dans tant de pays, c'est à cause du rideau de mensonges constamment organisés par des organisations (pc, associations d'«amitié», groupes actifs et « militants » nidoreux, collectifs pour la « paix », soutien aux immigrés illégaux etc.), des agents payés ou bénévoles, des intellocrates et des idiots utiles ou abrutiles au QI d’une huître tel une C la Rose sur le Post.fr), qui se sont donc fait complices de ces horreurs. Les collabos de l'horreur sont aussi les idiots utiles qui voulaient servir le peuple mais qui se font les larbins et complices des bourreaux du peuple! Et ça vaut aussi pour les « soutiens » au « peuple » palestinien. Et à ceux qui soutiennent l’image « Christique » d’un grand criminel contre l’humanité tel le fameux Bou Ché.
Tout le monde connaît l’inénarrable trogne de l’abject marxiste Che Guevara; son faciès velu et désobligeant orne quantité d’objets les plus futiles. Il y a peu encore, je voyais des agendas scolaires ornés de sa délicate frimousse, comme si l’achat de cet objet ô combien socialisant embelli par cette figure à l’ampleur presque « christique », était l’apogée, que dis-je, le parangon de la classe branchouille socialo et révolutionnaire bolcho.
Nul doute que tout étudiant qui aura commis cet investissement se verra gratifié de l’admiration ravie de ses camarades agrémentée d’une pointe de jalousie amère à chaque fois qu’il l’exhibera fièrement à l’issue d’un cours. Ce que ces écervelés qui se prennent pour d’énergiques rebelles ignorent sans doute aucun, c’est que le tortionnaire Che, s’il était encore en vie à ce jour, les aurait à n’en point douter, abattus courageusement d’une balle dans le dos après les avoir jugés hâtivement (étape facultative) et traités de fascistes, ou pire encore, de bourgeois (ce qu’ils sont, à leur plus grand déshonneur, je le concède).
Ces « jeunes » assoupis et enivrés de mollesse mériteraient bien un soufflet doublé d’une obligation de se munir, non pas d’un agenda Che Guevara, mais d’un tant soit peu de jugeote. J’en souhaiterais presque le Che soit encore en vie, cet ennemi farouche du capitalisme, rien que pour qu’il puisse verdir d’une insupportable rage en constatant à quel point l’ingénieux commerce s’est accaparé son aura pour en faire un atout majeur de vente et ainsi atteindre des chiffres d’affaire faramineux.
Ironie du sort, pourrais-je dire. Les affaires vont d’autant plus aller bon train que nous célébrons en ce fatal jour endeuillé, le trépas du sieur Guevara qui a eu la très bonne idée de quitter ce cruel monde depuis quarante ans. Quarante ans de négationnisme historique, de relativisme culturel, de T-shirts Che Guevara et de mensonges procommunistes.
Finalement, en quarante ans, rien n’a changé, il y aura toujours des crétins marxistes du MRap qui iront vous dire que le Che était un homme exceptionnel, humaniste exemplaire et idéaliste, qui vous distribueront une image romantique et pure de cette homme et en profiteront pour faire le discret panégyrique du courage communiste.
En ce qui me concerne, je retiendrai cette date fétide comme le jour pleinement consacré aux abrutis arborant ingénument sur eux une représentation d’un des plus inflexibles meurtriers du siècle dernier (puisse le Saint Esprit ou toute autre entité lumineuse leur faire réaliser que porter un T-shirt du Che ne vaut guère mieux que d’en porter un à l’effigie d’Himmler. Ô effroi, j’entends déjà s’élever claironnantes des voix rédemptrices m’affirmer que le communisme est amplement meilleur que le nazisme, ben tiens…) et par la même occasion l’énième et éclatante preuve de la gaucherie de gauche qui idolâtre des simulacres de fausses idoles en se permettant de falsifier et d’instrumentaliser l’histoire à des fins purement idéologiques, pour ne pas dire, propagandistes (et là nous nous rapprochons pernicieusement des fameuses photographies truquées qui circulaient il y a quelques décennies au sein de la Russie soviétique, sauf que nul n’ira admettre que cette hérésie se poursuit encore en notre époque rayonnante, une paire d’œillères bien ajustées faisant partie de l’attirail du parfait petit citoyen crétin.
Cette énième manifestation de ce tropisme gauchiste (repris d’ailleurs par notre munificent et fienteux président lors de (L’ Affaire Guy Môquet) devrait pourtant en inquiéter plus d’un.

Quitte à ce que ce long pamphlet soit de quelque utilité, qu’il permette d’instruire le gauchiste errant pour qui ces lignes subversives semblent iniques de l’imposture de cet homme dont on nous vante encore la sainteté et qui est devenu, excusez-moi du peu, un nouveau Christ pour jeunes branchouilles (le catéchisme les ayant ennuyés pendant l’enfance, il fallait bien trouver un substitut à ces ouailles candides), qui au lieu de fureter trois heures au H&M du quartier, feraient mieux d’aller ne serait-ce qu’une fois dans leur vie dans une bibliothèque (oui, cela existe encore) consulter un ouvrage historique (mais point ceux, falsifiés et incomplets qu’on met entre les mains des élèves pour mieux les abêtir).
Fidèle à son éthique, ce blog entend casser l'image de l'imposteur marxiste surnommé Le Che. Imposteur ? Oui, car depuis bientôt 40 ans, on nous fait croire à la bonté bolchevique et l'honnêteté stalinienne de ce type. La réalité est bien sûr, tout autre !!
Rappelons juste qu’en février 1961 le camarade Guevara interdit les syndicats libres, les tribunaux libres, la liberté de presse “on ne peut pas faire de révolution ou il y a la liberté de presse, les journaux qui sont les instruments de l’oligarchie)et qu’en avril 1961 (discours télévisé) il a interdit le droit de grève. Quel démocrate!
"Nous avons fusillé, nous fusillons et nous fusillerons" (Che Guevara, à la tribune des Nations Unies). On estime entre 200 et 500 les exécutions que Che Guevara a ordonnées à la tête du Comité d'épuration, et à 2000 l'ensemble des exécutions perpétrées sous sa responsabilité.











Rappelons également que selon Pierre Clostermann, le raciste Che disait que les noirs étaient “d’une sauvagerie atavique”.

Pas étonnant les communistes soient des racistes fondamentaux !

Et c'est pas moi qui le dit:

http://www.grioo.com/blogs/guyzoducamer/index.php/2006/12/27/1614-afrodescendants-de-cuba-et-racisme

http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=780

Ceci dit, Guevara aurait vraisemblablement chié à la gueule des bobos gauchus et décérébrés qui le plébiscitent, à commencer par Besancenot .
C’était aussi un lâche (Comme tous les petits péteux communistes ou socialos genre actifs et militants). Il s’était rendu en criant «Ne tirez pas, je vaut pour vous plus cher vivant que mort».
C’était encore un psychopathe. Il tuait pour le plaisir. Un fou furieux assoiffé de sang, vous avez là la liste de ces 216 victimes exécutés par ce malade mental communiste et assassin (pléonasme) entre 1957 et 1959 :

Assiste-t-on à la fin du mythe Che Guevara ? Des signes encourageants nous le font croire. Pas moins de huit pages dans un numéro récent de L'Express (du 27 septembre : http://www.lexpress.fr/info/monde/dossier/cuba/dossier.asp?ida=460199) sont consacrées à ce personnage devenu héros de l'imaginaire occidental alors qu'il ne s'agissait que d'un bandit criminel. Plusieurs articles et témoignages dévoilent le vrai visage du guérillero : « Cela lui plaisait de tuer des gens » raconte Huber Matos, ancien compagnons d'armes. « Il tuait comme on avale un verre d'eau », témoigne Luciano Medina, l'ancien coursier personnel de Castro ; « La révolution exigeait qu'il tue, il tuait », raconte aussi Sergio Garcia, frère de l'une des victimes du Che. La suite ici : http://www.fahayek.org/index.php?option=com_content&task=view&id=1639&Itemid=54


La suite ici: http://anticommuniste.blogspot.com/2008/09/che-guevara-dit-le-bou-che.html

Mis en ligne ici aussi le 18 Mai 2009 :
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http://www.lepost.fr/article/2009/05/18/1540432_a-propos-d-un-film-a-la-con.html


Bornay

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