dimanche 17 mai 2009

Crime effroyable perpétré contre l'humanité.

Enfin, la condamnation des crimes atroces du communisme commence et l’ Holodomor le génocide ukrainien est enfin reconnu comme crime contre l’humanité. Ana Blandian disait : "Quand la justice ne parvient pas à être une forme de mémoire, seule la mémoire peut être une forme de justice".
Visitez le site : http://www.memorialsighet.ro/fr/

On attend du MRAP un communiqué du style :

« Campagne Vérité et Justice pour les ukrainiens ! » ou : « 75 ans de mensonges communistes ! Pour hier et pour demain, refusons l'oubli » ou encore : « Le MRAP choqué et indigné par la révélation de l’atroce vérité qui doit interpeller profondément la société toute entière devant ces crimes monstrueux du communisme qui marque le dépassement des limites de l’horreur dans le rejet de l’autre et le racisme »

Après que les traîtres Rosenberg aient été reconnus définitivement coupables,

(http://anticommuniste.blogspot.com/2008/10/les-rosenberg-dfinitivement-coupables.html), nouveau coup dur pour les communistes français et leur nébuleuse rouge du MRAP, LICRA, LDH, GISTI et autres officines nidoreuses!

Bientôt seront révélé les mensonges grotesques De ces rouges crapules au sujet de la « torture ».

http://www.liberation.fr/monde/0101164709-le-parlement-europeen-reconnait-l-holodomor


Le Parlement Européen, dans une résolution sur la commémoration de l' Holodomor, la famine artificielle survenue en Ukraine en 1932-1933 est décrite par les députés comme "un crime effroyable perpétré contre le peuple ukrainien et contre l'humanité".

L'intention d'extermination de la population paysanne ukrainienne, attribuée aux communistes soviétiques dans cette famine, n’est plus discutée. Depuis le 28 novembre 2006, l'Ukraine a officiellement qualifié l'Holodomor de "génocide", prévoyant des peines pour négationnisme à l'encontre des personnes qui en discuteraient la nature. Quant au Parlement de Russie ou aux autorités du Kazakhstan, pays également touchés par la famine, ils rejettent les accusations de "génocide" délibéré.

D'après la résolution adoptée par le Parlement, la famine de l'Holodomor de 1932-1933, qui a fait des millions de morts en Ukraine, "a été planifiée de manière cynique et cruelle par le régime stalinien marxiste pour imposer la politique soviétique de collectivisation de l'agriculture contre la volonté de la population rurale d'Ukraine".

Les députés pensent que "la commémoration des crimes contre l'humanité perpétrés au cours de l'histoire de l'Europe devrait permettre d'éviter la répétition de crimes semblables à l'avenir" et soulignent que "l'intégration européenne se fonde sur la volonté de surmonter les évènements tragiques du XXème siècle et que cette réconciliation avec une histoire difficile ne dénote en rien un sentiment de culpabilité collective, mais qu'elle constitue une base solide sur laquelle il sera possible de construire un avenir européen commun fondé sur des valeurs communes".


Déclaration au peuple ukrainien

La résolution fait ainsi une "déclaration au peuple ukrainien, et notamment aux survivants de l'Holodomor qui sont toujours en vie, ainsi qu'aux familles et aux proches des victimes".

Le Parlement reconnaît l'Holodomor (famine provoquée artificiellement de 1932-1933 en Ukraine) comme un "crime effroyable perpétré contre le peuple ukrainien et contre l'humanité".















La résolution "condamne fermement ces actes commis contre la population rurale d'Ukraine, caractérisés par une extermination et des violations massives des droits de l'homme et des libertés".

Le Parlement exprime ensuite sa "sympathie à l'égard du peuple ukrainien victime de cette tragédie, et rend hommage à ceux qui sont décédés en conséquence de la famine artificielle de 1932-1933".

Les députés invitent enfin les États issus de l'éclatement de l'Union soviétique à "permettre un libre accès aux archives relatives à la grande famine d'Ukraine de 1932-1933, qui pourront être ainsi examinées en profondeur afin que toutes les causes et conséquences de l'Holodomor soient révélées et étudiées en détails".

Le cas des communistes Français et autres militants. Au travers du cas Lacroix Riz.

Une plainte va être déposée contre cette sexagénaire marxiste pour : Apologie de génocides, négation, minimisation grossière, approbation et justification de crime contre l’humanité.
Cette plainte va se fonder, et c’est là ou on ce tord de rire, sur L’article 24bis de la loi sur la liberté de la presse dit « Loi Gayssot ».

Revenons voulez vous au 1er juillet 1972 jour ou est adoptée une loi, dite loi Pleven, qui sanctionne la provocation à la haine ou à la discrimination, la diffamation et l’injure raciale. Le 13 juillet 1990, cette loi est renforcée par une loi « tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe », adoptée par l’Assemblée nationale.
Cette loi porte sur des aménagements techniques du code pénal. Son apport principal réside dans l’ajout, après l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse d’un article 24 bis dont la forme est aujourd’hui la suivante:
« Art. 24 bis. (L. n. 90-615, 13 juill, 1990, art. 9). - Seront punis des peines prévues par le sixième alinéa de l’article 24 ceux qui auront contesté, par un des moyens énoncés à l’article 23, l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 et qui ont été commis soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l’article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale;[...] »
C’est cet article-là qu’on désigne communément par « Loi Gayssot ». Il n’y a aucune ambiguïté sur ce à quoi il se rapporte: la contestation des crimes contre l’humanité « tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 ». Les crimes contre l’humanité sont définis dans l’alinéa c (l’alinéa b définit les crimes de guerre) de l’article 6. Voici cet alinéa:
« c) Les crimes contre l’Humanité: c’est-à-dire l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation, et tout autre acte inhumain commis contre toutes populations civiles, avant ou pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux lorsque ces actes ou persécutions, qu’ils aient constitué ou non une violation du droit interne du pays où ils ont été perpétrés, ont été commis à la suite de tout crime rentrant dans la compétence du Tribunal, ou en liaison avec ce crime. »
Ce que l’on désigne communément par « négationnisme », à savoir la contestation de l’ampleur ou de la réalité du génocide ukrainien, tombe clairement sous le coup de cette loi. Par contre la loi Gayssot n’interdit en aucun cas l’étude de l’histoire du génocide, ni la réflexion. Elle ne sanctionne que l’expression publique d’un discours niant la réalité du génocide.
La camarade sexagénaire marxiste léniniste Annie Lacroix-Riz est bien une infâme négationniste révisionniste stalinienne pseudo historienne « française », membre du barbare pôle de résistance communiste ( 1) en France professeur d'histoire contemporaine à l'université Paris VII - Denis Diderot, notamment connue pour son monstrueux engagement « marxiste-léniniste ». Le marxisme léninisme est une infection au même titre que le sida et malgré la réalité des malheurs qu'il a provoqué, son culte persiste.

Son site négationniste : http://www.historiographie.info/menu.html

Dans un article sur la « famine génocidaire » en Ukraine en 1933 (Holodomor), la camarade marxiste Lacroix-Riz remet en cause les sources - provenant des chancelleries allemandes et italiennes de concert avec le Vatican - ayant servi à prouver le caractère organisé de l’ Holodomor et à en évaluer le nombre de morts ( un peut plus de six millions). Cet article a suscité de vives réactions, notamment dans les associations de la diaspora ukrainienne, dont le Congrès mondial ukrainien

À propos de la famine en Ukraine de 1932-33, elle écrit (écrits non publiés, mais diffusés sur Internet) : « L’URSS a connu en 1932-1933 une sérieuse disette conduisant à un strict renforcement du rationnement, pas une famine et en tout cas pas une famine à "six millions de morts"... » Et dénonce une « opération de propagande », un « bobard », une « campagne de presse » Il y a bien là, contestation de l’ampleur ou de la réalité du génocide ukrainien,et ces propos monstrueux tombent clairement sous le coup de la loi pénale Française et ce trouve être de plus une contribution exemplaire à la désinformation en matière historique, avec des méthodes et arguments idéologiques.
Amnésie, négationnisme, falsification, occultation, diversion: tout à toujours été bon pour la camarade sexagénaire Annie pour cacher la réalité des révolutions socialistes marxistes avec leurs faillites humaines, économiques et écologiques sans compter l'océan des drames humains et maintenant enfin reconnus, les monstrueux crimes contre l’humanité !


Derrière le rideau de propagande mensongère initié par ces marxistes néo barbares, surgit la réalité de l'horreur de la construction du socialisme marxiste léniniste provoquant misère insondable et terreur infâme pour la très grande majorité du peuple au profit d'une nouvelle « bourgeoisie » une nomenklatura qui, sans états d'âmes, arrête, assassine, déporte, affame et fusille! Si l'horreur provoquée par la construction du socialisme marxiste léniniste a pu exister si longtemps et se produire dans tant de pays, c'est à cause du rideau de mensonges constamment organisés par des organisations (parti communiste, socialiste, républicains, associations « d'«amitié entre les peuples( sic) » et autres ligues factieuses.), des agents payés ou bénévoles, des militants, des intellectuels et des abrutiles (es fameux idiots utiles), qui se sont donc fait complices de ces horreurs. Les collabos de l'horreur comme madame la camarade Lacroix sont aussi les idiots utiles qui voulaient servir le peuple mais qui se font les larbins et complices des bourreaux du peuple!

Madame la camarade Lacroix riz, nous cache bien sur, que bien avant le socialisme national, son idole socialiste international Lénine avait inauguré le génocide de masse et instrumentalisé les moyens pour y parvenir; Dès 1891, il confie à son ami Béliakov la nécessaire éradication de la classe paysanne. "En détruisant l'économie paysanne attardée, la famine nous rapproche objectivement de notre but final, le socialisme". En 1914, il jette les bases de la guerre civile :
"Pas de révolution sans bain de sang. Nous ne faisons pas la guerre contre les personnes en particulier, nous exterminons la bourgeoisie comme classe. Ne cherchez pas ce que l'accusé a fait contre l'autorité soviétique. La première question que vous devez lui poser, c'est à quelle classe il appartient, quelles sont ses origines, son éducation, sa profession". Toute la pensée léniniste et celle de la camarade Lacroix qui revendique cette pensée comme sienne, tourne autour de la négation de l'individu, de son élimination physique et d'une culture discriminatoire.
Le ténia Jean Paul Sartre en rajoutera en disant que : « Tout anticommuniste est un chien ». Aujourd’hui tout anticommuniste est qualifié du beau nom de facho !
La camarade Lacroix en déclarant : « L’URSS a connu en 1932-1933 une sérieuse disette conduisant à un strict renforcement du rationnement, pas une famine et en tout cas pas une famine à "six millions de morts"... » Et dénonce une « opération de propagande », un « bobard », une « campagne de presse » s’est livré, à une contestation de crimes contre l’humanité.
Ses propos, malgré quelques clauses de style, tendent à laisser planer le doute sur le nombre des morts dus au régime marxiste léniniste des camps de concentration et d’extermination, mais aussi sur la réalité d’un crime contre l’humanité reconnu. Ce faisant, elle s’inscrit résolument dans les thèses soutenues depuis des années par le Parti Communiste Français et sa nébuleuse bolchevique tendant à minimiser les crimes des régimes communistes mais aussi elle fait mine d’ignorer que pas un historien sérieux de cette période noire de l’histoire européenne n’a jamais mis en doute la destruction industrielle du peuple Ukrainien.

La Famine en Russie et Holodomor vu dans un ouvrage scolaire, celui de Georges-André Chevallaz: Histoire générale, de 1789 à nos jours. Permet à chacun de savoir avec précision ce qu’il en fut.
Après avoir tenus ces propos honteux, odieux et immondes Madame Lacroix Riz devra être suspendu au moins pour cinq ans de ses fonctions de professeur d’histoire contemporaine à l'université Paris VII - Denis Diderot.

On attendra de la justice une sentence impartiale et sévère qui ferme définitivement la porte à ce genre d’insinuations intéressées et empêche les émules communistes et leurs admirateurs néo barbares marxistes de tenter de réhabiliter un régime inhumain et monstrueux.

Déjà à la suite des repoussants propos, de la camarade marxiste Lacroix, une association d'Ukrainiens en France avait organisé une pétition pour « appeler les plus hautes autorités de l’État à tout mettre en œuvre pour lutter contre le révisionnisme stalinien », que l'on pouvait déjà raisonnablement interpréter comme une demande de suspension comme professeur d'université.

Un lien sur cet article est bien évidemment envoyé à Monsieur Guy Cousineau Président de l'Université Paris Diderot - Paris 7 De telle façon à ce qu’il ne reste pas dans l’ignorance et ne soit pas surpris des milliers de protestations que les parents, les fils et les filles des six millions de personnes exterminées par les propagateurs de l’idéologie la plus monstrueuse de tous les temps ne vont pas manquer de lui adresser.
Son adresse Mail : communic@univ-paris-diderot.fr
Ci-dessous la lettre au président Chirac.

Le 23 février 2006


L' Honorable Jacques Chirac
Président de la République française


Monsieur le Président,

À titre d'organisation représentative constituée de citoyens et de résidents d'origine ethnique ukrainienne répartis dans plus de trente pays, nous vous écrivons au sujet d'un enjeu d'importance. L'affaire en question nous a été signalée par des représentants de la communauté franco-ukrainienne et implique une employée d'un établissement d'enseignement régi par l'État.

Madame le professeur Lacroix-Riz de l'Université Paris 7 a écrit que la famine/génocide qui s'est abattu sur l'Ukraine en 1932-33 est une invention concertée de l'Allemagne, de la Pologne et du Vatican. En outre, elle a qualifié l'Église catholique ukrainienne de fasciste et de nazie. La communauté franco-ukrainienne a écrit des lettres à l'attention de Madame le professeur Lacroix Riz, du recteur de l'Université et du ministre de l'Éducation nationale. Toutes ces lettres sont demeurées sans réponse.


Bien que nous respections la liberté universitaire ainsi que la liberté d'expression, nous sommes profondément préoccupés par ce révisionnisme historique avoisinant le sectarisme. Comme l'a reconnu le monde entier, la famine qui a décimé l'Ukraine en 1932-33 était un génocide cruel perpétré par le régime soviétique de Josef Stalin. Cette tragédie a mené à la mort quelque sept millions d'hommes, de femmes et d'enfants. Le discours de Madame Lacroix Riz constitue un affront non seulement à la mémoire de ces victimes innocentes mais également à la mémoire des victimes d'autres génocides. De plus, l'insulte faite à l'Église catholique ukrainienne démontre que les propos de Madame Lacroix Riz sont empreints d'une hostilité contre une ethnie.

Compte tenu que la réputation de l'éducation et du savoir français est en jeu, tout comme la compassion du peuple de France envers la souffrance d'autrui, nous vous demandons de vous impliquer personnellement dans cette affaire. Nous ne visons pas le congédiement de Madame Lacroix Riz ni même sa condamnation. Nous demandons toutefois que le Président français émette une déclaration qui désavoue le sectarisme personnel de l'un de ses employés.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'expression de nos sentiments distingués.

Askold S. Lozynskyj
Président du Congrès Mondial Ukrainien



http://jcdurbant.wordpress.com/2007/08/06/histoire-a-quand-un-tribunal-de-nuremberg-pour-les-genocidaires-communistes-holodomor-the-other-forgotten-genocide/


Une copie de cet article est expédié à :

Gouvernement Ukrainien
zsmfa@mfa.gov.ua

Congrès mondial Ukrainien
congress@look.ca

A madame Ana Blandiana, présidente de La Fondation Academia Civica
acivica@memorialsighet.ro

Voir le site : http://www.memorialsighet.ro/fr/stiri_evenimente.asp?id=194


A Thomas Blanton, N.S.Archives, George Washington University, Washington D.C

Voir le site : http://www.nsarchive.org


Nous expédions de plus un courrier, à monsieur le ministre Xavier Darcos ministre de l'éducation nationale, membre de l'Académie des sciences morales et politiques.

Extraits :


M. le Ministre,

Notre association a participé en Juillet dernier en Roumanie au Mémorial des Victimes du Communisme et de la Résistance de Sighet à une école d’été, qui en est, par ailleurs, à sa onzième édition. En présence de 50 professeurs de lycée de presque tous les départements du pays et de 50 élèves sélectionnés à la suite d’un concours a été discutée l’introduction de l’étude de la monstrueuse répression communiste en Roumanie, et les crimes du communisme en Europe et dans le monde, dans les différentes classes de lycées Roumains, ainsi que particulièrement en France.

Cette manifestation a bénéficié de l’appui du Ministère de l’Education, de la Recherche et de la Jeunesse Roumain et de la prestigieuse Fondation Konrad Adenauer. Parmi les invités, il y a eu des personnalités marquantes de la recherche sur les crimes du communisme, dont Stéphane Courtois, Dennis Deletant, Vladimir Tismaneanu, l’académicien Alexandru Zub, Thierry Wolton.

Au bout de sept jours de débats, nous sommes arrivés à la conclusion que les jeunes générations Européennes présente de graves lacunes sur le plan de la connaissance de la période communiste en Roumanie et en Europe, provoquées principalement par la résistance de clichés issus de l’ancienne historiographie et par l’offensive de la culture de consommation. Pour des raisons commerciales, cette dernière cultive et souvent transforme en héros les figures emblématiques du communisme mondial, tout en occultant l’histoire réelle, les holocaustes et crimes contre l’ humanité commis aujourd’hui reconnus comme l’Holodomor en Ukraine ; les sacrifices et la terreur qui a sévi nu sur plus de moitié de la planète. Voilà pourquoi la plupart des participants à l’Ecole d’Eté sollicitent que, en vertu des prérogatives dont vous êtes investi, vous disposiez l’introduction, dès l’année scolaire 2009/2010, de l’étude des crimes du communiste en tant que discipline obligatoire. Il sera ainsi récupéré le grand retard accumulé pendant les 19 ans qui se sont écoulés depuis la chute des régimes communistes en Europe et qui a conduit à l’effacement de la mémoire de la jeune génération de l’histoire réelle du communisme.

Nous insistons sur le caractère obligatoire de cette nouvelle discipline, vu que son introduction dans le programme à titre de matière à option ne serait qu’une forme sans le fond, sans conséquences significatives.

Toutefois, nous proposons au Ministère que, dans les années à venir, l’enseignement de l’histoire de France soit fait dans des termes moins abstraits, qui se réclament moins de la sociologie, de sorte que l’histoire redevienne une discipline attractive et qu’elle soit réintroduite en tant discipline obligatoire au baccalauréat, tel que cela se passe, en Allemagne et dans d’autres pays de l’Union Européenne.

Il est grave que la réforme de l’enseignement se serve de l’argument de l’intégration européenne pour transformer l’histoire presque en un véritable mensonge par omission, et cela, non seulement parce que de cette manière on forme des générations qui ignorent tout de leurs racines, mais également parce qu’ainsi l’intégration est définie et perçue comme une renonciation à notre identité nationale, et non pas comme un enrichissement de l’identité européenne.

Nous croyons et nous sommes persuadés que la qualité de citoyens de l’Europe Unie ne nous dispense pas du devoir d’être des citoyens Français, conscients de nos origines et de nos traditions. Cette prise de conscience se réalise avant tout par la connaissance de l’expérience des générations successives, que nous offrons au patrimoine historique du continent …………………………………………………….

( 1 ) Le Pôle de renaissance communiste en France (PRCF) est un « mouvement politique bolchevique» se réclamant du plus monstrueux marxisme-léninisme, fondé en janvier 2004, ayant comme slogan « Franchement communiste », qui se situe dans l'échiquier politique à l’extrême gauche, regroupant des « militants » et groupes politiques issus du Parti communiste français (PCF), certains lui appartenant encore, mais l'ayant quitté dans leur majorité (comme Daniel Antonini, responsable international PRCF à Rizospastis, journal du PC Grec, 15 Mars 2008)
Son président délégué est Léon Landini et son président d'honneur est Georges Hage, ancien doyen de l'Assemblée nationale
Le marxiste renégat traître à la France Henri Alleg, de son vrai nom Harry Salem, est membre de la présidence d'honneur du Pôle de renaissance communiste .
Il est organisé en associations départementales, en sections et dans la mesure du possible en cellules. Le Comité politique national assume la direction nationale, selon des principes s'inspirant du fameux et bolcho centralisme démocratique ( on ne ri pas)
Le PRCF édite le mensuel Initiative communiste et la revue théorique ÉtincelleS. Des militants du mouvement animent également l'émission Convergence, émission hebdomadaire sur Radio Galère (FM 88,4 MHz à Marseille le lundi de 20h à 21h).
Les jeunes pour la renaissance communiste en France (JRCF) constituent le mouvement de jeunesse du PRCF.
Historique
Le PRCF fait partie des organisations communistes issue du refus de la « mutation » qu'a engagée la direction du PCF dans les années 1990. Elle succède et vient compléter un grand nombre d'autres organisations qualifiées « orthodoxes » par les médias, qui diffèrent entre elles principalement par leur positionnement envers le PCF.
Un des premiers mouvements d'opposition « orthodoxe » voit le jour en 1991, avec la création de la Coordination communiste pour la continuité révolutionnaire et la renaissance léniniste du PCF, plus communément appelée Coordination communiste. Née dans le Nord, il s'agit d'un groupe oppositionnel au sein du PCF, qui s'oppose particulièrement à la direction sur le bilan de l'URSS. Cependant, celui-ci reste dans un premier temps assez peu influent et très localisé.
Avec le 29e congrès du PCF, en 1996, d'autres groupes oppositionnels voient le jour, dont la « Gauche communiste » de Jean-Jacques Karman, qui réclame la construction d'un parti révolutionnaire comme le PCF de 1921, « Communistes de l'appel des 41 (Loir-et-Cher) » de Thérèse Hirzsberg ou encore l'« Appel des 500 » animé, entre autres, par Rolande Perlican, Henri Martin et Maurice Lassalle. Les deux premiers seront notamment à l'initiative de l'appel « Nous voulons rester communistes » et des « États généraux des communistes », avec la Coordination, le 14 février 1999.
C'est le congrès de Martigues, en 2000, qui marquera la rupture de la plupart de ces groupes avec le PCF. Alors que la Gauche communiste reste au sein du PCF, Rolande Perlican le quitte pour fonder Communistes, ainsi Thérèse Hirzsberg et l'Appel des 41. La majorité de la Coordination communiste, autour de Maurice Cukierman, quitte le PCF pour fonder la Coordination communiste pour la reconstruction du parti communiste révolutionnaire.
L'année qui suit voit naître un début d'unité entre ces groupuscules bolchos : en mai 2000, des militants, adhérents ou non au PCF, créent le Collectif national unitaire des communistes (CNUC), à l'initiative de Georges Hage. Ils participent aux débuts des Rouges vifs, groupe créé autour d'André Gerin ou Henri Martin, qui reste au sein du PCF. Le CNUC sera à l'origine d'un meeting, en 2001, intitulé « Retrouvailles communistes » et qui regroupe plusieurs groupes orthodoxes du PCF, à l'occasion de son 80e anniversaire : outre le CNUC et les Rouges vifs, on trouve la Gauche communiste, la partie de la Coordination communiste qui a choisi de rester au PCF, sous le nom de "Coordination des militants communistes du PCF pour sa continuité révolutionnaire et sa renaissance léniniste" (CMC) ou encore la Fédération PCF du Pas-de-Calais dirigée par Jean-Claude Danglot.
Suite à ces « retrouvailles » se crée un Comité de liaison pour une convergence communiste des associations nationales (souvent nommé Convergence communiste), animé notamment par le salopard et traître Henri Martin. Dans cette optique unitaire est fondée la "Fédération nationale des associations pour la renaissance communiste" (FNARC), début 2002 : principalement issue du CNUC, elle regroupe également des membres de la CMC ainsi que des groupes moins importants.
La création du Pôle pour la renaissance communiste en France s'inscrit dans la même logique que celle de la FNARC : la Convention nationale pour la renaissance communiste qui le fonde, les 17 et 18 janvier 2004, à Paris, se tient d'ailleurs à l'initiative de cette dernière. La création du PRCF ne donne pas lieu à des ralliements majeurs : sont présentes à la Convention les mêmes associations qu'aux « Retrouvailles » de 2001. Elle marque en revanche un changement de nature : d'une fédération d'associations, la FNARC se transforme en pôle de travail de militants de bords différents, dont une majorité est encore adhérente au PCF.
Relations avec le PCF

L'acte fondateur du PRCF précise : « le Pôle de Renaissance communiste ne se conçoit pas comme un parti mais comme un regroupement de militants travaillant sur la base d’une analyse marxiste-léniniste actualisée de la société ; le nouveau Pôle travaillera également à susciter des convergences communistes d’action sur tous les problèmes d’actualité ». Il est cependant en rupture totale avec le PCF, qu'il qualifie de mutant : il considère, contrairement aux groupes encore présentés au sein du PCF (comme la Gauche communiste ou la section du PCF 15e), qu'il n'est pas possible de le « redresser de l'intérieur ». C'est pourquoi il se donne l'objectif de créer un parti continuateur du PCF, qui continue son action d'avant le 22e congrès (date de l'abandon de la dictature du prolétariat, et donc de facto du marxisme-léninisme tel que souhaité par le PRCF).
Cependant, une partie importante des membres du PRCF sont également membres du PCF. De ce fait, et de par ses relations avec d'autres groupes « orthodoxes », notamment via Convergence communiste, il influence la vie politique interne du PCF. Au 32e congrès, en 2003, le projet alternatif de base commune intitulé « Reconstruire le PCF et réunifier les communistes sur des bases révolutionnaires » est soutenu à la fois par la fédération du Nord du PCF et Jean-Claude Danglot, par la Gauche communiste et par la FNARC. Au 33e, en 2006, le PRCF ne soutiendra pas officiellement de texte, mais déclare approuver totalement le texte « Remettons le PCF sur les rails de la lutte des classes », issu de la section du PCF Paris 15e.
Cependant, les principaux acteurs de premier plan du PCF un temps proches du PRCF s'en sont aujourd'hui éloignés, tels Jean-Claude Danglot, André Gerin ou Jean-Jacques Karman.
En 2007, Georges Hage, lance un appel "Groupons-nous dès demain" visant à rassembler toutes les sensibilités communistes opposées à la direction réformiste du PCF, en appelant à mettre en place une Confédération d'action communiste.
A la différence d'autres opposants à la ligne de la direction du PCF qui eux aussi rejettent ce qu'ils apellent la mutation/liquidation du parti et, par exemple, l'adhésion au Parti de la gauche européenne, le PRCF n'a pas totalement renoncé à toute activité militante à l'intérieur du PCF. Pariant que le PCF continuera sa dérive sociale-démocrate, il cherche à se constituer en alternative pour continuer le PCF sur des bases révolutionnaires modernes. Sa stratégie, basée sur l'unité de tous les communistes opposés à la liquidation du PCF entreprise par la direction réformiste.
A l'occasion du 10ème anniversaire de la disparition du camarade Georges Marchais (1997/2007), le PRCF rend hommage à l'ancien traître et travailleur volontaire en Allemagne chez Messerchmitt secrétaire général du PCF.
Participation électorale
La FNARC, prédécesseur du PRCF, a présenté des candidats aux élections législatives de 2002 ainsi qu'aux élections cantonales de 2004. Le PRCF a quant à lui, présenté plusieurs candidats aux élections législatives de juin 2007 ainsi qu'aux élections municipales et cantonales de mars 2008
Positionnement politique
Né d'une scission du PCF et ayant pour but de créer un nouveau PCF « franchement communiste » à ses yeux, le positionnement du PRCF se définit avant tout par rapport à ses oppositions avec ce premier.
D'un point de vue théorique, il se revendique du « marxisme-léninisme » le plus pourri : ses immondes utopies et grotesques buts sont de créer la rupture révolutionnaire avec le capitalisme qui instaurera la dictature du prolétariat, d'abord dans le cadre national, puis dans tous les pays grâce à l'internationalisme prolétarien. Ainsi, il dénonce la rupture intervenue au 22e congrès, qui vit remplacer la dictature du prolétariat par le « socialisme à la française » et l'autogestion. Il estime vouloir voir renaître l'idée d'un socialisme pour la France dans les conditions d'aujourd'hui. Pour lui, la construction du socialisme en France doit être un processus dont chaque étape sera le résultat de la volonté de la majorité du peuple.
D'un point de vue international, il se caractérise par une défense de principe des États s'étant revendiqués socialistes : ainsi, il refuse toute criminalisation de l'« expérience socialiste issue d'Octobre 1917 » et défend les régimes cubain et nord-coréen dans ce qu'il appelle sa lutte contre l'impérialisme américain. Il se démarque ainsi du PCF qui, s'il exprime encore occasionnellement un soutien "au peuple cubain", remet en cause les institutions politiques issues de la monstrueuse Révolution cubaine.
Un point de désaccord central entre le PRCF et le PCF est la question européenne : là où le PCF s'inscrit dans une logique de participation critique, le PRCF refuse le principe même de la supranationalité au nom du principe de souveraineté nationale : il souhaite donc le retrait de la France de l'Union européenne. Cela s'est marqué d'abord lors du vote interne au PCF sur l'adhésion au Parti de la gauche européenne, où les « orthodoxes » ont marqué leur opposition à toute participation à un parti européen, ce qui constituerait selon eux une forme de participation. Le PRCF a également marqué sa différence avec le PCF pendant la campagne sur le référendum français sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe en se déclarant contre « toute constitution européenne » et non pas contre « la constitution européenne ».
Enfin, le PRCF exprime un désaccord stratégique majeur sur l'alliance avec la social-démocratie : si la direction actuelle du PCF pose comme base à la participation gouvernementale son antilibéralisme, le PRCF refuse toute participation à un gouvernement social-démocrate et qualifie les deux participations précédentes de « funestes ».
Le CPN du PRCF adopte un texte "Un nouveau cours" en octobre 2006, et mentionné qu'il s'inscrit dans la logique de donner une image rénové du Pôle en étant clairement anti-sectaire et met en avant l'action pour l'unité des communistes opposés à la dérive du PCF, un rassemblement sur un "programme candidat" des « progressistes », en se dotant d'un projet novateur pour la France.
Organisation
L'organe souverain du PRCF est la conférence nationale, réunie tous les 2 ans et composée de délégués élus par les départements. À sa tête se trouve un comité politique national (CPN) composé de 54 membres, élu par la conférence nationale, qui contient en son sein une commission exécutive et un secrétariat politique. Il s'agit là d'un fonctionnement proche du fonctionnement du PCF avant le XXVIIIe congrès (comité central et bureau politique).
Le président-délégué du PRCF est Léon Landini ; le président du CPN est Jean-Pierre Hemmen ; le porte-parole national, directeur politique d'Initiative Communiste, est Georges Gastaud et Georges Hage, ex-député du Nord et ex-doyen de l'Assemblée nationale, est président d'honneur.

Michel Alain Labet de Bornay

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