dimanche 11 septembre 2011

Au pays de Francarabia. au Boukaquistan.




Il était une fois, dans le pays merveilleux de Francarabia au Boukaquistan une famille noble et bonne qui habitait un beau et grand château.

Ce château, les de Souchien de Dupont-Lévy Petit-Pois se le transmettait, l’améliorait et le retapait depuis des centaines de générations.

Le Duc François de Souchien de Dupont-Lévy Petit-Pois y habitait avec sa femme bien aimée la bonne Duchesse Anne née Archet. Dieu dans sa grande sagesse avait béni leur union en leur accordant deux enfants, l’ainé, le chevalier François Joseph Marie de Souchien de Dupont etc.etc. , son cadet Louis Gonzague  en religion frère Mathieu et  trois  filles, Anne Sophie, Marie Charlotte et Cunégonde. 

Face à l’insistance du cadet le frère Mathieu, un œcuméniste défenseur du multiculturalisme, membre de moult organisations caritatives, la famille des de Souchien etc. etc. un jour ont employé et logé une bonne, Fatoumata Bonobo qu’elle s’appelait.


Au bout de quelques mois, le gouvernement de Francarabia du roi Nicolas First leur a dit que la bonne Fatoumata était aussi une de Souchien de Dupont-Lévy Petit-Pois ainsi que Mamadou son mari et ses enfants les petits Bonobo et qu’ils avaient les mêmes droits qu’eux sur le château.


Comme les de Souchien etc. etc. , n’étaient pas d’accord, le gouvernement avec l’aide de l’Ajustice et de Saint Dikat de Lamagistrature leur a infligé une lourde amende et a mis le chevalier François Joseph Marie le plus remonté d’entre eux en prison pour racisme anti-bonne.

Car il faut vous dire qu’en Francarabia, il y avait l’ajustice du pays des doigts de l’homme (En ce temps là les habitants du pays de Francarabia au Boukaquistan étaient connus pour mettre leurs doigts  dans tous les trous qui passaient à leur portée) l’Ajustice était dirigée par un grand Personnage, le très noble grand prêtre Dikat de Lamagistrature, canonisé de son vivant et depuis peu par Ben Oït seizième du nom. Dikat de Lamagistrature se faisait appeler Saint Dikat de Lamagistrature pour donner plus de poids à ces décisions cruelles et sans appel, comme celle qu’il venait d’infliger aux de Souchien etc. etc. !


Les enfants de la bonne, des barbares, des brutes assoiffées de sang, dangereux opportunistes pillards dont la seule ambition était de dérober les biens que l’emploi de leurs talents n’avait pu leur procurer,  Hamady, Lassina, Fousseny, Houssine, Alassane, Lassana, Lamine, Bakary, Samba, Demba, Sékou, Abdou, Ibrahim, Sadia, Aliou, Mody, Amara, Lamine, Tidiane, Moussa, Yacouba, Adama, Ali, Daby, Daouda, Seydou, Salif, Makan, vexés et pas très intelligents ont pillé et saccagé le château.

La police de Francarabia est venue les arrêter puis les a aussitôt relâchés, le gouvernement du Roy Nicolas First et Saint Dikat ayant jugé qu’ils avaient été insultés. Ils sont donc revenus s’installer tranquillement dans le château des de Souchien de Dupont-Lévy Petit-Pois, et attendent que les de Souchien etc. etc. réparent les dégâts.
Pour moi, ni le gouvernement de Francarabia, ni les beaux esprits de la Rance qui pue, ni les intellos idiots utiles, ni les marxistes culturels, rien ni personne ne me fera croire que Fatoumata la bonne des de Souchien de Dupont-Lévy Petit-Pois, Mamadou le mari de la bonne et ses 28 enfants sont des de Souchien de Dupont-Lévy Petit-Pois.
Un conte de Papy Michel.

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