lundi 26 septembre 2011

Pourquoi il est nécessaire (et amusant) de haïr les libertariens.


Vidéo dédicacée pour Thierry dit CSP : Don't Worry Be Happy. Calme toi; tu vas te faire du mal!



Dans un article pestilentiel, Thiery X dit « courageusement » CSP (Les marxistes culturels cultivent la haine de l'autre. ) étale avec complaisance ses sentiments marxistes de profonde antipathie à l'égard des libertariens, conduisant à souhaiter leur abaissement et même la mort de ceux-ci.
Dans le titre : « Pourquoi il est nécessaire (et amusant) de haïr les libertariens » on comprend bien déjà ou CSP veut en venir et dans sa conclusion violente « Leur taper dessus à répétition en tant qu'ennemis politiques se justifie donc parfaitement » On voit bien le but : Leur élimination !

Pour une idéologie haineuse marxiste culturelle, la présence d'ennemis est intéressante pour deux raisons. La première est que cette présence crée une cohésion et un sentiment commun qui peut être étudié d'un point de vue psychologique. La deuxième est que l'identité des ennemis, et leurs supposés attributs, en dit beaucoup sur les propositions centrales de l'idéologie qui les attaque, en bien ou en mal.

Dans son écrit polémique véritable éructation pleine de poison et de bile, agressif, grossier, un tissu de fausses interprétations, de suspicion et de falsifications un vrai régal pour tout contre-révolutionnaire CSP dévoile son vrai visage celui d'un raciste haineux, deux attributs constant des marxistes.



Extrait : «  Considérons par exemple le journalisme. Les journaux, les brochures, les tracts remplissent une fonction indispensable de propagande, d'agitation et d'organisation. Dans un pays tant soit peu civilisé, aucun mouvement de masse ne saurait se passer d'un appareil journalistique. Et toutes les clameurs soulevées contre les "chefs", toutes les promesses solennelles de préserver la pureté des masses de l'influence des chefs, ne nous dispenseront pas d'employer pour ce travail des hommes issus des milieux intellectuels bourgeois, ne nous dispenseront pas de l'atmosphère, de l'ambiance "propriétaire", démocratique bourgeoise, où ce travail s'accomplit en régime capitaliste (…) »

Quand Hitler interdit en Allemagne en 1933 toute la littérature socialiste et communiste, ce fut le seul écrit dont il maintint la publication. Et il savait ce qu’il faisait.

Encore une fois sur internet j’ai croisé la haine : celle de la gauche « humaniste », « pacifiste », « tolérante » et « progressiste » qui braille et éructe son antisémitisme primaire dans les rues de France, le poing levé en chantant l’Internationale.

En fait cette haine des libertariens n’est rien d’autre qu’une phobie, un ensemble de souffrances psychiques rattachée à l'hystérie d'angoisse marxiste culturelle.


En effet, le marxisme culturel correspond à une peur de l’autre, une peur que l’autre soit meilleur que soi, donc il faut nier ses qualités (celles de l’autre qui le rendent supérieur) sinon on risque d’être moins bon et c’est cela que les collectivistes internationalistes ne supportent pas. Cela tient à la fois de l’immaturité et du complexe d’infériorité. On le voit bien dans la volonté des maxculs de supprimer toutes différences entre les hommes et même entre les « peuples ». Cette hystérie de l’égalité en est la meilleure preuve. Le fait qu’ils se posent toujours aussi en protecteur du faible. Comme si les forts étaient un danger pour la société alors que ce sont eux qui permettent à la société de vivre en la nourrissant et en la protégeant.




Cette « maladie » est malheureusement contagieuse, des Français en sont malades et ils l'ignorent. Ils croient que le communisme c'est fini parce que l'URSS s'est effondrée et que le parti communiste français n'a plus que quelques députés. La vérité serait plutôt que, chez nous, en ce début de XXIe siècle, l'idéologie marxiste a gagné la partie. Aucun gouvernement en France ne l'a jamais combattue. Tous, depuis la Libération, ont laissé les communistes investir les rouages essentiels du pays, en particulier l'Enseignement et l'Information.

Le résultat est une marxisation généralisée des esprits, génératrice d'une pensée unique, qui nous conduit progressivement, à l'ombre d'un État-Providence qui s'essouffle, vers un totalitarisme masqué. Cette marxisation généralisée des esprits explique aussi la paralysie générale devant les syndicats qui étouffent l'économie comme l'enseignement, et dont un ancien ministre socialiste (Jean Pierre Chevènement) a dit publiquement qu'ils sont de "véritables organisations staliniennes centralisées".

En conclusion je me contenterai d’une citation de François Mauriac : «  Les livres que tu as écrits, en haine de moi, sont incompréhensibles pour les barbares, qui te considèrent d'un œil méfiant; mais moi, que tu hais, je me glorifie de toi, mauvais garçon, parce que tu rends témoignage à mon génie et que tu me fais honneur ».


A propos d’ennemis :


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6 commentaires:

  1. En 1968, Henri Weber a 24 ans et cofonde la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Aujourd'hui, il fait partie du Siècle, club réservé aux élites de la classe dirigeante française. A voir le nombre d'ex-trotskistes qui s'y affichent chaque mois, on s'interroge. Pourquoi ces ex-militants d'extrême gauche s'intègrent-ils si bien dans les sphères de pouvoir ? «Parce qu'ils ne sont justement plus trotskistes», assure Daniel Coquema, auteur de Qui sont les trotskistes ?. Et s'il y avait pourtant de vraies raisons à ce que ces tenants d'un communisme révolutionnaire aient basculé du côté du "pouvoir pour soi" plutôt que du pouvoir pour tous ?

    L'équation n'a d'ailleurs rien d'un scoop. Depuis Pierre Lambert (Boussel de son vrai nom), le trotskisme crée des réseaux de pouvoir. Et pour cause, explique un ex-trotskiste, «beaucoup sont plus bolcheviques que trotskistes». Autrement dit : plus attachés au pouvoir qu'aux idées. Et tout aussi lassés de voir l'histoire le leur refuser depuis quatre-vingts ans. Rester «pur» et appartenir à des mouvements groupusculaires ou changer de bord ? Tandis que Pierre Lambert obtient 0,38 % des voix à l'élection présidentielle de 1988, certains de ses disciples, Lionel Jospin ou Jean-Christophe Cambadélis, s'inscrivent au PS. Entre autres. D'autres trotskistes, Julien Dray, David Assouline ou Henri Weber y entrent aussi. Mais n'allez pas croire qu'il est aisé de retourner sa veste. «C'est un peu comme un curé qui se défroque, c'est très violent», ajoute Christophe Nick, l'auteur des Trotskistes (Fayard, 2002).

    Ces militants issus du trotskisme ne se sont pourtant pas contentés d'«infiltrer» le PS. «Ils sont utiles, hyperformés. Le trotskisme était une école extrêmement exigeante qui, à terme, vaut mieux que Sciences-Po», ajoute Nick. Des bourreaux de travail avides de pouvoir. De quoi expliquer leur omniprésence dans les médias ? Nombre d'entre eux sont en effet passés du pouvoir par les armes au pouvoir d'un canard. «Créer un journal était le premier geste d'un lycéen militant», explique Christophe Nick. Michel Field, Denis Olivennes (actuel PDG d'Europe 1, ancien directeur du Nouvel Observateur), Hervé Chabalier (Capa), autant d'ex-trotskistes. Reste l'hypothèse du... complot. Non, ces hommes de presse n'ont pas renoncé. Ils restent vigilants. Ce qu'Edwy Plenel appelle le «trotskisme culturel». Ils préparent un coup : un jour le monde changera, et eux seront en poste pour mener à bien cette révolution. A moins qu'elle ne survienne lors d'un fameux dîner à l'hôtel du Crillon

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  2. T'as vu ça CSP ? Michel Alain te fait encore l'honneur d'un post, avec comme tags "Marine Le Pen, Front National, Nazislamistes, Nazis, Mahomet, Violeurs, pillards, pédophiles, Islamisme, terrorisme, Mohamed, Ali, Sunnites, chiites, Musulmans, Arabes..."

    Allez allez Michel Alain, on va prendre ses médicaments et on va retourner dans la chambre avec les murs en mousse.
    26 septembre 2011 19:15

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  3. Non Léo,je n'avais pas vu. "Pédophiles" ? Mh, mais c'est pour ainsi dire de l'amalgame voire de la diffamation, ça...
    Et le mec publie sous son vrai nom on dirait : c'est gentil de faciliter le travail de la Justice, Michel.
    Faudrait le retirer vite fait, je dis ça je dis rien.

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  4. Du coup je re-signale ce texte du camarade N Baillargeon sur l'imposture libertarienne.


    La haine communiste des libertariens


    Si nous sommes amenés/vraiment obligés (?) d'en parler ne leur faisons pas l'honneur de "cautionner" leur imposture sémantique.

    Utilisons un autre mot ou précisons: "l'IMPOSTURE libertarienne"...
    M'énerve rien que de l'écrire.
    Par Saint Joseph Staline. Amen.

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  5. Chez CSP, un commentaire intelligent, c’est rare !

    Ce commentateur donne un lien :
    Les libertariens sont antifascistes
    Petit extrait traduit pour les ceusses qui causent pas le maudit Anglois :
    « Le point de vue de Mussolini sur le fascisme et le libéralisme: "« Le principe essentiel de la doctrine fasciste est la conception de l’Etat, de son essence, de son rôle, de ses fins. Pour le fascisme, l’Etat est l’absolu devant lequel les individus et les groupes ne sont que le relatif. Le libéralisme niait l'Etat dans l'intérêt de l'individu, le fascisme réaffirme l'Etat comme la véritable réalité de l’individu...
    Tout dans l’Etat, rien contre l’Etat, rien en dehors de l’Etat. L’individu n’existe qu’autant qu’il fait partie de l’État et qu’il demeure subordonné aux nécessités de l’État. »
    On dirait un discours du NPA ou de l’ex LCR marxiste, non ?

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