samedi 31 août 2013

J’ai plus envie. Merde !





Vidéo, voir à 9 minutes 22: Qu’elle est la première ville arabe traversée par le Paris Dakar ? Marseille ? Non c’est Toulon !




Marseille ? Une honte pour la France !
Philippe Carrese ça ne vous dit rien ? Mais si, jusqu'ici, on le connaissait comme homme de télévision (de "Bzzz" à "Plus belle la vie"), écrivain (une longue série démarrée avec le légendaire "Trois jours d'engatse"), illustrateur, musicien...
Homme de gauche ? Sans doute ; dans « Plus belle la vie » le petit feuilleton apologiste de la « diversité » à Marseille les méchants sont forcément des chrétiens ! Voir ici.


Marseille ? La mort !
Depuis le début de l'année, ce monsieur est devenu un peu par hasard le chantre des désillusions de Marseille, la voix du désamour de la cité phocéenne, mais pas que de cela, monsieur Carrese, c’est la voie de la France profonde, un électrochoc ; Une grande claque aux prétendues naïvetés de la gauche, au folklore marxiste culturel du « vivre ensemble » qui leur tient lieu trop souvent de pensée.

Moi aussi, j’ai plus envie de ce manque de rigueur élevé en principe de vie.
J’ai plus envie de l’incivisme, plus envie de la médiocrité et de la haine de l’autre comme religion, plus envie de voir des torchonnées et des barbus en jupette envahir ma ville, plus envie du manque d’ambition comme profession de foi.

J’ai plus envie non plus de payer des impôts démesurés pour nourrir des branleurs qui me crachent allah gueule et de subir l’insalubrité à longueur de vie.


Sur son blog, Philippe Carrese écrit : «  J’ai plus envie » est une chronique parue en 2006 dans le défunt magazine « Mars Mag ». Ce texte coup de gueule circule sur la toile depuis quelques temps, dans son intégralité. Je ne sais pas pourquoi ni grâce à qui ces mots se transmettent d’un internaute à l’autre, mais ça n’a aucune importance, tant qu’il circule à la virgule près comme je l’ai écrit. » Le voici tel qu’il est paru à l’époque...

Depuis cinq ans, rien n’a changé, malheureusement :
Je m’apprêtais à écrire une chronique rafraîchissante pour un magazine d’été riant, bien décidé à taire mes énervements habituels. J’avais pris de bonnes résolutions, rangé ma parano dans ma poche et mes colères avec mes tenues d’hiver, au fond d’un placard. Je m’apprêtais même à faire de l’humour. Quelquefois, j’y arrive. Mais voilà Une randonnée pédestre éprouvante entre les Cinq Avenues et le cours d’Estienne d’Orves a sapé mon moral et éradiqué mes résolutions optimistes.
J’ai plus envie de relativiser. J’ai plus envie de faire de l’humour. Et j’ai plus envie de subir ce cauchemar quotidien

J’ai plus envie de supporter toute la misère du monde à chaque coin de rue.

Avec l'Islam, j'ai les BOULES !
J’ai plus envie de slalomer sans cesse entre des culs-de-jatte mendiants, des épaves avinées et des cartons d’emballages de fast-foods abandonnés sur le bitume chaotique du premier arrondissement.
J’ai plus envie de cette odeur de pourriture qui me saute à la gorge, de cette odeur d’urine à tous les angles de travioles, de cette odeur de merdes de chiens écrasées sur tous les trottoirs, de ces relents de transpiration et de crasse sur les banquettes arrière du 41.
J’ai plus envie de perdre des heures en bagnole dans un centre-ville laid, dévasté par manque total de prise de conscience individuelle et d’organisation collective.
J’ai plus envie de voir ma difficile survie professionnelle lézardée par des bureaucrates en R.T.T, assenant au petit peuple que la voiture est un luxe inutile, eux qui n’ont sans doute plus pris un métro depuis des lustres.
J’ai plus envie de me retrouver sur le parvis de la gare Saint Charles à onze heures du soir avec mes jambes et ma mauvaise humeur comme alternative à l’absence totale de transports en commun et à la présence suspecte de rares transports individuels qui frisent l’escroquerie.
J’ai plus envie.

J’ai plus envie de baisser les yeux devant l’indolence arrogante de jeunes connards.

J’ai plus envie de jouer les voitures-balais pour de malheureux touristes étrangers bouleversés, fraîchement dévalisés par des crétins sans loi ni repère.
J’ai plus envie de me retrouver à chercher des mots d’apaisement et à soliloquer des propos hypocrites sur la fraternité et la tolérance lorsque mes enfants se font racketter en bas de ma ruelle.

J’ai plus envie de me laisser railler par ces troupeaux d’abrutis incultes, vociférants et bruyants au milieu des trottoirs qui n’ont qu’une douzaine de mots à leur vocabulaire, dont le mot « respect » qu’ils utilisent comme une rengaine sans en connaître le sens.

J’ai plus envie de contempler mon environnement urbain saccagé par des tags bâclés et des graffitis bourrés de fautes d’orthographe. L’illettrisme est un vrai fléau, il plombe même l’ardeur des vandales.
Et aussi… J’ai plus envie de voir les dernières bastides mises à bas, les derniers jardins effacés d’un trait négligent sur des plans d’architectes en mal de terrains à lotir. J’ai plus envie de cette ville qui saccage son passé historique sous les assauts des promoteurs (le comblement de l’îlot Malaval est une honte).

J’ai plus envie de cette ville qui perd sa mémoire au profit du béton.

Et encore… J’ai plus envie d’écouter poliment les commentaires avisés des journalistes parisiens en mal de clichés, plus envie d’entendre leurs discours lénifiants sur la formidable mixité marseillaise. Elle est où, la mixité ? De la rue Thiers au boulevard des Dames, la décrépitude est monochrome.

Marseille c'est la CHARIA !

J’ai plus envie de traverser le quartier Saint Lazare et de me croire à Kaboul.

J’ai plus envie non plus de me fader encore et toujours les exposés béats de mes concitoyens fortunés, tous persuadés que le milieu de la cité phocéenne se situe entre la rue Jean Zermelo et le boulevard Lord Duveen. Désolé les gars, le centre ville, à Marseille, c’est au milieu du cloaque, pas à Saint Giniez. Tous les naufrages économiques de l’histoire récente de ma ville tournent autour de cette erreur fondamentale d’appréciation de la haute bourgeoisie locale.

J’ai plus envie de ce manque d’imagination institutionnalisé, plus envie de palabrer sans fin avec des parents dont la seule idée d’avenir pour leur progéniture se résume à: « Un boulot à la mairie ou au Département ».
J’ai plus envie d’entendre les mots « Tranquille », « On s’arrange », « Hé, c’est bon, allez, ha » prononcés paresseusement par des piliers de bistrots.

J’ai plus envie de ce manque de rigueur élevé en principe de vie.

J’ai plus envie de l’incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d’ambition comme profession de foi.



A Marseille le christ meurt tous les jours.
J’ai plus envie des discours placebo autour de l’équipe locale de foot en lieu et place d’une vraie réflexion sur la culture populaire ». J’ai plus envie non plus de me tordre à payer des impôts démesurés et de subir l’insalubrité à longueur de vie.
J’ai plus envie de m’excuser d’être Marseillais devant chaque nouveau venu croisé, décontenancé par sa découverte de ma ville. Ma ville! Et pourtant, Marseille Pourquoi j’ai plus droit à ma ville ? Merde ! »

Philippe Carrese

 


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6 commentaires:

  1. En 2006 Philippe Carrese écrit : « J’ai plus envie de cette odeur de pourriture qui me saute à la gorge, de cette odeur d’urine à tous les angles de travioles, de cette odeur de merdes (…) de ces relents de transpiration et de crasse sur les banquettes arrière du 41. »
    Mais ce n'est pas être raciste que de dire cela.
    Car le 19 juin 1991, au cours d'un dîner-débat du RPR, Jacques Chirac prononce le discours qui contient l'expression le « bruit et l'odeur ». Voici un extrait, portant sur l'immigration :
    « Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui habite à la Goutte d’or où je me promenais avec Alain Juppé il y a trois ou quatre jours, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. »

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  2. Viens à paris, petit Philou tu seras surpris… il y a des femmes sous des grillages …
    c’est comme à Kaboul…
    Les mêmes, en couleur, c’est normal le logiciel de charogne, de cadavre désossé est le même !

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  3. - Le Bisontin:
    « J’ai plus envie de traverser le quartier Planoise et de me croire à Kaboul »
    - Le Chaumontais:
    « J’ai plus envie de traverser le quartier Rochotte et de me croire à Kaboul »
    - Le Strasbourgeois:
    « J’ai plus envie de traverser le quartier Neuhof ou de Hautepierre et de me croire à Kaboul »
    - Le De Bornasse :
    « Il a plus envie de traverser le Luc en Provence et de se croire à Kaboul »
    - Le Nauséabond du FN le bras tendu :
    « J’ai plus envie de traverser le quartier France et de me croire à Kaboul »
    Le Bobo du Fion de gauche:
    « J’ai trop envie de traverser le quartier Saint Lazare pour me retrouver à Kaboul »
    Le gocho socialo:
    « J’ai trop envie de bombarder Bachar pour me recréer mon Kaboul »
    Le CRAN:
    « Kaboul n’a pas assez de noirs et Bachar est trop clair de peau, il faut le bombarder »

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  4. Le texte du Caresse est ultra soft. Dans la merde jusqu’au cou et il n’identifie toujours pas le problème. Ou alors très timidement. Donc désolé mais « plus envie » ou pas il le mérite.
    La première révolution à faire dans ce pays c’est déjà de dire ce qu’on pense.
    Nous en sommes loin.

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  5. Les signes de l’échec absolu des socialistes français au pouvoir s’accumulent jour après jour.
    Manuel Valls a beau élever la voix contre le Front national, contre le « péril d’extrême-droite » et (on est de gauche ou on ne l’est pas) contre « l’islamophobie », qu’il ose mettre sur le même plan que l’antisémitisme. Ce que voient les Français, c’est surtout l’insécurité qui monte et contre laquelle Manuel Valls est strictement impuissant – lui qui a perdu toute once de crédibilité lorsqu’il a réprimé plus férocement les manifestants paisibles opposés au mariage homosexuel que les émeutiers de banlieue qui ont déferlé voici quelques semaines sur le Trocadéro et qui a récidivé lors des émeutes de Trappes, organisées en défense d’une convertie voilée de noir.
    Ce que voient les Français, c’est aussi la partialité de la justice qui a fait incarcérer Nicolas Bernard-Buss voici peu, montrant qu’un gouvernement socialiste pouvait recourir à l’emprisonnement pour motif politique, et qui relâche à intervalles réguliers des criminels condamnés, pour « bonne conduite » ou pour leur donner leur « chance » de récidiver.
    Ce que voient les Français est que, derrière des gens comme Manuel Valls, qui ne trompe personne, il y a des gens comme Christiane Taubira qui n’en finit pas de vouloir « réformer » la justice en direction de davantage de laxisme encore, et qui semble bénéficier de l’appui massif du gouvernement.
    Ce que voient les Français, ce sont des crimes comme ceux qui se succèdent à Marseille et comme celui qui a eu lieu récemment à Marignane. Un homme peut donc s’en prendre à un débitant de tabac avec un fusil pour quelques paquets de cigarettes, et cet homme peut tuer froidement un père de famille qui tente de s’interposer, puis partir. Cet homme peut être un homme condamné à de la prison pour une douzaine de délits, mais remis en liberté au nom d’idées comme celles de Christiane Taubira – sans aucun doute pour lui donner sa « chance », une « chance » qu’il a saisie…
    Ce que voient les Français est que l’homme devenu un assassin s’appelle Marwan, et qu’il ne faut pas dire que 70 % de ceux qui sont en prison en France s’appellent Marwan, ou portent un autre prénom montrant qu’ils ne sont pas vraiment d’ascendance chrétienne.
    Ce que voient les Français est que la mère de Marwan porte le hijab, signe qu’elle est très bien intégrée à la société française, et qu’elle « considère » que son fils ne peut pas avoir fait cela. C’est vrai qu’un homme qui a commis une douzaine de délits ne peut pas en commettre un treizième, un quatorzième ou un quinzième…
    Ce qu’entendent les Français, ce sont des commentateurs qui excusent le meurtre et osent dire que c’est le geste de l’assassiné qui a transformé l’assassin en assassin !
    Il est exact que le geste du père de famille assassiné était insensé dans la France d’aujourd’hui. Tenter de s’opposer à un criminel qui sait qu’il ne risque pas grand-chose, et le faire sans être armé, implique le risque d’être assassiné. Un policier qui ose riposter à un criminel risque lui-même des sanctions, c’est dire.
    Il est exact aussi qu’une colère immense est en train de monter au sein de la population française, qui considère que la première des libertés est la possibilité de vivre en sécurité, qui discerne que cette liberté est désormais abolie, qui discerne aussi que la police est appelée à la plus grande « prudence » face aux criminels, qui discerne enfin que la justice fait preuve de mansuétude vis-à-vis de ceux-ci, et qui discerne, en outre, que les commentateurs ont une nette propension à traiter les criminels en victimes, tout en se refusant à noter qu’il existe un problème de surdélinquance violente au sein d’une certaine catégorie de la population.
    Il semble indéniable que la population française peut être tentée par une réaction qui ira à l’inverse des discours de vertu frelatés du gouvernement socialiste et de ses adeptes. Ce jour-là, le gouvernement socialiste et ses adeptes porteront une très lourde responsabilité, y compris dans la montée d’un racisme qu’ils prétendent combattre.

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  6. Je suis désolé monsieur Labet de Bornay mais il faut comprendre un peu la vie infernale de ses « jeunes » certains sans papiers, ce n'est pas de leur faute ces jeunes hommes, il faut comprendre, la chaleur à Marseille, souvent la période de ramadan, le dur jeune islamique, la pression, la peur, la hantise de toutes ces extrêmes droites qui vous harcèlent sans cesse ! L’extrême droite qui viole des jeunes filles musulmanes dans des caves, qui agresse nos vielles moukères pour leur piquer les allocs de la CAF, l’extrême droite qui vend de la drogue à nos enfants, l’extrême droite qui mange du porc beuuuurk ! L’extrême droite qui braque des tabac, des bijouteries, arrache les bijoux en or du coup de nos fatmas. L’extrême droite qui nous vend de l’alcool. Et par-dessus tous ça les discours du bloc identitaire et de Marine Lepen qui stigmatise toute une population ! Avec des bandes de centaines de millier de néo-nazis qui sèment la panique dans les rues de nos bonnes villes de France, faisant des saluts nazis et attaquant des boutiques de kebabs, brutalisant les bons musulmans aux terrasses des cafés ou dans les fêtes de village. Forcément ça stress ! Et voilà ; à cause de l’islamophobie et du racisme des fachos, arrivent quelques incidents regrettables certes, mais qu’une analyse logique et un autre décryptage ne peut qu’excuser.

    Ces jeunes sont en situation de peur panique permanente, car avec des slogans fleurissants aux quatre coins de Marseille et même dans la France entière émanent des fascistes néos nazis du bloc identitaire ou souvent de militants du Front National comme « Ici, c'est chez nous ! » ou « la France aux Français », on comprend aisément que les futures chances pour la France souvent sans papier, subissent dans notre pays des conditions inacceptables pour des êtres humains et commettent quelques « petites bêtises ». Le message "Ici, c'est chez nous !", n'est pas difficile à décrypter : le racisme, l’islamophobie, l’homophobie,la xénophobie, la haine d’extrême droite, la revendication de l'exclusion de l'autre.

    Les mots ont à peine changé : on remplace le « complot judéo- bolchévique » agité par Hitler par la fantasmée « menace islamomarxiste ». « La défense de l'identité européenne et blanche » est un autre recyclage raciste : celui évident de « l'identité de la race aryenne ».
    Les jeunes sont terrorisés et commettent quelques « bavures » facilement excusables au vu de cette situation innaceptable.

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