Obrigado, Presidente Bolsonaro, que Deus esteja com
você e com o Brasil.
Pour monsieur A. Del Valle "l’extrême-droite" n’est plus ce qu’elle était, ou l’affolement de la gauche face au retour de la Nation. Les aspects saillants de la politique prônée par le nouveau président brésilien Jair Messias Bolsonaro (libéralisme économique, pro-américanisme, pro-sionisme, lutte contre la corruption, strict parlementarisme, décentralisation, antiétatisme, etc.) ne correspondent tout simplement pas au modèle (soi-disant) «fasciste» ou même de l’extrême-droite historique en tant que telle. (A mon avis ce programme ressemble de plus en plus à un programme Libertarien!)
Toujours pour monsieur Del Valle la presse occidentale (l’ensemble
des merdiatocrasseux et autres intellocrates marxistes culturels) a certes
quasi unanimement qualifié (et violemment insulté) le nouveau président élu –
démocratiquement rappelons-le – Jair
Messias Bolsonaro de «fasciste-misogyne-homophobe-raciste»,
(j’en passe et des pires), d’homme de «l’extrême-droite»,
(ils n’ont pas encore osé Ultra droite supercalifragilistique expédélilicieuses
droite voire de «nazi» nostalgique de la dictature militaire et nous en passons.
Toutefois, si cette technique de diabolisation fondée sur la «reductio
ad Hitlerum», à très haute dépense énergétique mais à valeur analytique
quasi-nulle commence à perdre en puissance de frappe, nous nous plierons tout
de même à l’exercice obligé qui consiste à y répondre non dans le cadre d’une «défense» du bolsonarisme (Et pourquoi
pas ?), dont nul ne sait ce qu’il sera concrètement avec le temps, mais à
tout le moins du programme du nouveau président tel qu’affiché durant la
campagne et après la victoire face à la gauche (marxiste culturelle d’ultra
gauche et Stalinienne nauséabonde de Fernando Haddad (PT, Parti des
Travailleurs), qui ne semble pas accepter réellement sa défaite (sa belle branloute :
Une branlée et une déroute).
Personnellement je suis heureux comme tout que le cinquième
plus grand pays de la planète avec qui nous avons, nous la France une frontière commune (par le département
français de Guyane), et ce sur 730
Kilomètres faisant du Brésil le pays ayant la plus grande frontière terrestre
avec la France.
Il est bon de faire savoir qu’en France il y a des
Français très heureux de l’élection de monsieur Jair Messias Bolsonaro ce que je fais
savoir ici.
Monsieur le président Bolsonaro en France il y a
beaucoup de personnes qui pensent comme vous et qui vous approuvent lorsque
vous dites en 2018 : «Il ne peut pas
y avoir de politique de lutte contre le racisme et le harcèlement, ça ne peut
pas continuer. Tout est apitoiement sur soi. Le pauvre Noir, la pauvre femme,
le pauvre gay, le pauvre Nordestino [habitant du Nord-Est du Brésil, région la
plus pauvre du pays]. Tout est apitoiement au Brésil. On va en finir avec ça». Qu’on
prenne vite en France les mêmes dispositions !
Personnellement je connais le Brésil et j’affirme ici que ce pays est le moins raciste du monde ce n’est pas comme moi qui n'aime pas les blancs hétérosexuels normaux, en bonne santé et catholiques (Personnellement je suis fondamentalement papophobe, il n’est que de lire ici ce que je pense de cette putain de vieille vérole du pape. Je n’en reste pas moins chrétien et protestant Luthérien).
Personnellement je connais le Brésil et j’affirme ici que ce pays est le moins raciste du monde ce n’est pas comme moi qui n'aime pas les blancs hétérosexuels normaux, en bonne santé et catholiques (Personnellement je suis fondamentalement papophobe, il n’est que de lire ici ce que je pense de cette putain de vieille vérole du pape. Je n’en reste pas moins chrétien et protestant Luthérien).
Vous avez dit en 2015: «Je ne suis pas contre les Noirs. Mon objectif est de lutter contre les
quotas. Nous sommes un peuple métissé, nous sommes égaux et nous ne pouvons pas
créer de privilèges».
Nous avons eu en France un vrai président, le Général
de Gaule, pas un guignol comme aujourd’hui qui avait dit le 5 mars 1959 :
«C'est très bien qu'il y ait des Français
jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est
ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à
condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus
la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race
blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se
raconte pas d'histoire! Les musulmans, vous êtes allés les voir? Vous les avez
regardés avec leurs turbans et leurs djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont
pas des Français. Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri,
même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre.
Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les
Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le
corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt
millions et après-demain quarante? Si nous faisions l'intégration, si tous les
Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les
empêcherez-vous de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y
est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus
Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées».
En décembre 2014 vous avez eu cette réflexion : «J’ai de la peine pour l’entrepreneur au
Brésil, parce que c’est très problématique d'être patron dans notre pays avec
autant de droits du travail. Entre un homme et une femme jeune, qu’est-ce que
l’entrepreneur pense ? «Cette femme a une alliance au doigt, d’ici peu elle va
tomber enceinte, six mois de congé maternité…’ C’est bien beau ! Qui va payer
la facture ? L’employeur». Ce sont juste des paroles de vérité !
En août 2018 vous avez eu cette réflexion que de nombreux Français approuvent : «Ce genre de personnes [bandits] (chez nous les délinquants «djihadistes» et autres salopards criminels terroristes), on ne peut pas les traiter comme si c’étaient des êtres humains normaux, qui méritent le respect, qui sont victimes de la société. Et on ne peut pas laisser des policiers mourir de la main de ces gens», et aussi : «On doit accorder à la police, aux agents de sécurité publique, ‘l’exception d’illégalité’ [une carte blanche]. L'agent de police entre dans la favela, résout le problème, et s’il tue 10, 15, 20 [bandits] avec 15 ou 30 balles pour chacun, il doit être décoré et non poursuivi en justice».
En août 2018 vous avez eu cette réflexion que de nombreux Français approuvent : «Ce genre de personnes [bandits] (chez nous les délinquants «djihadistes» et autres salopards criminels terroristes), on ne peut pas les traiter comme si c’étaient des êtres humains normaux, qui méritent le respect, qui sont victimes de la société. Et on ne peut pas laisser des policiers mourir de la main de ces gens», et aussi : «On doit accorder à la police, aux agents de sécurité publique, ‘l’exception d’illégalité’ [une carte blanche]. L'agent de police entre dans la favela, résout le problème, et s’il tue 10, 15, 20 [bandits] avec 15 ou 30 balles pour chacun, il doit être décoré et non poursuivi en justice».
Vous avez aussi raison lorsque vous dites : «Dieu est au-dessus de tous. Cette histoire d’État laïque, c’est n’importe quoi. L’État est chrétien, et la minorité qui est contre cela, qu’elle parte. Les minorités doivent se soumettre à la majorité».
Comme le général de Gaulle je et nous les Français de
France et de souche pensons aussi que nous sommes quand même avant tout un
peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion
chrétienne.
Nous aussi comme vous souhaitons que les marginaux
rouges soient bannis de notre patrie. Nous croyons dans le futur de notre France
comme vous dans celui du Brésil, et ensemble, en équipe, nous souhaitons aussi construire
l’avenir que nous méritons.
Ah, si nous pouvions en France être assuré qu’il n’y aura plus d’argent pour les
ONG droit de l’hommiste d’ultra gauche. Si ça dépendait de moi, chaque citoyen
aura une arme à feu chez lui comme bientôt au Brésil.
Com minhas mais respeitosas saudações, por favor,
acredite que o Sr. Presidente tem meus melhores desejos para você e para o
Brasil.
« Le Brésil au-dessus de tout, Dieu au-dessus de tous »
Michel Alain Labet de Bornay
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Adelio Bispo de Oliveira, 40 ans ; l’ordure d’ultra gauche s’affirmant communiste qui a tenté d’assassiné au poignard jeudi 5 septembre 2017 Jair Messias Bolsonaro le nouveau président du Brésil était un activiste du parti de l’ultra gauche radicale PSOL (Partido Socialismo e Liberdade) scission de l'aile gauche du Parti des travailleurs (dirigé par l’ex président Luiz Inácio Lula da Silva condamné en appel à 12 ans de prison pour divers délits d'organisation criminelle et corruption dans l'affaire Petrobras).
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