vendredi 2 novembre 2018

Viva o Brasil livre e viva a França.


Obrigado, Presidente Bolsonaro, que Deus esteja com você e com o Brasil.


Pour monsieur A. Del Valle "l’extrême-droite" n’est plus ce qu’elle était, ou l’affolement de la gauche face au retour de la Nation. Les aspects saillants de la politique prônée par le nouveau président brésilien Jair Messias Bolsonaro (libéralisme économique, pro-américanisme, pro-sionisme, lutte contre la corruption, strict parlementarisme, décentralisation, antiétatisme, etc.) ne correspondent tout simplement pas au modèle (soi-disant) «fasciste» ou même de l’extrême-droite historique en tant que telle. (A mon avis ce programme ressemble de plus en plus à un programme Libertarien!)

Toujours pour monsieur Del Valle la presse occidentale (l’ensemble des merdiatocrasseux et autres intellocrates marxistes culturels) a certes quasi unanimement qualifié (et violemment insulté) le nouveau président élu – démocratiquement rappelons-le – Jair  Messias Bolsonaro de «fasciste-misogyne-homophobe-raciste», (j’en passe et des pires), d’homme de «l’extrême-droite», (ils n’ont pas encore osé Ultra droite supercalifragilistique expédélilicieuses droite  voire de «nazi» nostalgique de la dictature militaire et nous en passons. Toutefois, si cette technique de diabolisation fondée sur la «reductio ad Hitlerum», à très haute dépense énergétique mais à valeur analytique quasi-nulle commence à perdre en puissance de frappe, nous nous plierons tout de même à l’exercice obligé qui consiste à y répondre non dans le cadre d’une «défense» du bolsonarisme (Et pourquoi pas ?), dont nul ne sait ce qu’il sera concrètement avec le temps, mais à tout le moins du programme du nouveau président tel qu’affiché durant la campagne et après la victoire face à la gauche (marxiste culturelle d’ultra gauche et Stalinienne nauséabonde de Fernando Haddad (PT, Parti des Travailleurs), qui ne semble pas accepter réellement sa défaite (sa belle branloute : Une branlée et une déroute).

Personnellement je suis heureux comme tout que le cinquième plus grand pays de la planète avec qui nous avons, nous la France une frontière commune (par le département français de Guyane), et ce sur 730 Kilomètres faisant du Brésil le pays ayant la plus grande frontière terrestre avec la France.
Il est bon de faire savoir qu’en France il y a des Français très heureux de l’élection de monsieur  Jair Messias Bolsonaro ce que je fais savoir ici.

Monsieur le président Bolsonaro en France il y a beaucoup de personnes qui pensent comme vous et qui vous approuvent lorsque vous dites en 2018 : «Il ne peut pas y avoir de politique de lutte contre le racisme et le harcèlement, ça ne peut pas continuer. Tout est apitoiement sur soi. Le pauvre Noir, la pauvre femme, le pauvre gay, le pauvre Nordestino [habitant du Nord-Est du Brésil, région la plus pauvre du pays]. Tout est apitoiement au Brésil. On va en finir avec ça». Qu’on prenne vite en France les mêmes dispositions ! 

Personnellement je connais le Brésil et j’affirme ici que ce pays est le moins raciste du monde ce n’est pas comme moi qui n'aime pas les blancs hétérosexuels normaux, en bonne santé et catholiques (Personnellement je suis fondamentalement papophobe, il n’est que de lire  ici ce que je pense de cette putain de vieille vérole du pape. Je n’en reste pas moins chrétien et protestant Luthérien).
Vous avez dit en 2015: «Je ne suis pas contre les Noirs. Mon objectif est de lutter contre les quotas. Nous sommes un peuple métissé, nous sommes égaux et nous ne pouvons pas créer de privilèges».
Nous avons eu en France un vrai président, le Général de Gaule, pas un guignol comme aujourd’hui qui avait dit le 5 mars 1959 : «C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se raconte pas d'histoire! Les musulmans, vous êtes allés les voir? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées».
En décembre 2014 vous avez eu cette réflexion : «J’ai de la peine pour l’entrepreneur au Brésil, parce que c’est très problématique d'être patron dans notre pays avec autant de droits du travail. Entre un homme et une femme jeune, qu’est-ce que l’entrepreneur pense ? «Cette femme a une alliance au doigt, d’ici peu elle va tomber enceinte, six mois de congé maternité…’ C’est bien beau ! Qui va payer la facture ? L’employeur». Ce sont juste des paroles de vérité !                                                                                           
En août 2018 vous avez eu cette réflexion que de nombreux Français approuvent : «Ce genre de personnes  [bandits] (chez nous les délinquants «djihadistes» et autres salopards criminels terroristes), on ne peut pas les traiter comme si c’étaient des êtres humains normaux, qui méritent le respect, qui sont victimes de la société. Et on ne peut pas laisser des policiers mourir de la main de ces gens», et aussi : «On doit accorder à la police, aux agents de sécurité publique, ‘l’exception d’illégalité’ [une carte blanche]. L'agent de police entre dans la favela, résout le problème, et s’il tue 10, 15, 20 [bandits] avec 15 ou 30 balles pour chacun, il doit être décoré et non poursuivi en justice».
 

Vous avez aussi raison lorsque vous dites : «Dieu est au-dessus de tous. Cette histoire d’État laïque, c’est n’importe quoi. L’État est chrétien, et la minorité qui est contre cela, qu’elle parte. Les minorités doivent se soumettre à la majorité».
Comme le général de Gaulle je et nous les Français de France et de souche pensons aussi que nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.
Nous aussi comme vous souhaitons que les marginaux rouges soient bannis de notre patrie. Nous croyons dans le futur de notre France comme vous dans celui du Brésil, et ensemble, en équipe, nous souhaitons aussi construire l’avenir que nous méritons.
Ah, si nous pouvions en France être  assuré qu’il n’y aura plus d’argent pour les ONG droit de l’hommiste d’ultra gauche. Si ça dépendait de moi, chaque citoyen aura une arme à feu chez lui comme bientôt au Brésil.
Com minhas mais respeitosas saudações, por favor, acredite que o Sr. Presidente tem meus melhores desejos para você e para o Brasil.



« Le Brésil au-dessus de tout, Dieu au-dessus de tous » 

 

 Michel Alain Labet de Bornay

2018. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). Trade Mark. Tous droits réservés.
Ce matériel peut être publié, diffusé ou redistribué dans la mesure de la citation de la source.
Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter? Des sous à nous envoyer ? Commenter l’article les commentaires sont libres et les ânes honimes tolérés ou écrivez à : a.de.bornay@gmail.com

1 commentaire:

  1. Adelio Bispo de Oliveira, 40 ans ; l’ordure d’ultra gauche s’affirmant communiste qui a tenté d’assassiné au poignard jeudi 5 septembre 2017 Jair Messias Bolsonaro le nouveau président du Brésil était un activiste du parti de l’ultra gauche radicale PSOL (Partido Socialismo e Liberdade) scission de l'aile gauche du Parti des travailleurs (dirigé par l’ex président Luiz Inácio Lula da Silva condamné en appel à 12 ans de prison pour divers délits d'organisation criminelle et corruption dans l'affaire Petrobras).

    RépondreSupprimer