samedi 23 février 2019

L'affaire Audin


Douze balles pour Maurice.



CHAPITRE 1
L’insurrection

Chapitre 2
Maurice Audin

CHAPITRE 3
L’internationale Communiste et les évènements d’Algérie.

Chapitre 4
12 balles pour Maurice.

Chapitre 5
Conclusion sur l’affaire Audin





Prologue 


Vous lisez le prologue de l'affaire Audin un livre écrit par Michel Alain Labet de Bornay sur son blog blogspot.com/, c'est ici.

Il aura fallu attendre 61 ans pour qu’un président français s’exprime sur les causes de la mort du «camarade» bolchevique Maurice Audin. Ce jeune Français internationaliste «camarade» mathématicien marxiste membre de l’ex PC SFIC devenu en 1943 PC-(F)N, puis du PCA et du fameux «réseau bombe» de terroristes communistes pendant la fameuse «bataille d’Alger» disparu pendant ladite «bataille» après son arrestation, était devenu pour toute la gauche marxiste culturelle de France le symbole de quelques extrémistes de gauche terroristes «disparus» de cette pseudo «guerre» d’indépendance.
L’écrivain et patriote Français, monsieur E. Zemmour dans son intervention au journal l’Opinion mardi 18 septembre 2018, a déclaré avoir était scandalisé comme moi par la reconnaissance du très marxiste culturel et chef des armées le président français (qui n’as pas fait de service National) de l’actuelle 5ème république, monsieur E. Macron, de la responsabilité de l’Etat français (en réalité de la IVème république  sous le gouvernement du Radical Socialiste Maurice Bourgès-Maunoury. Le ministre résident et gouverneur général de l’Algérie étant Robert Lacoste militant socialiste membre de la Section Française de l’Internationale Ouvrière (SFIO). On peut dire ce qu’on veut des socialistes que je voue comme les cocos aux pires des gémonies, mais Robert Lacoste était un homme avec des couilles et un vrai Français. Tout juste après la visite en Algérie du socialope Guy Mollet, accueilli par les Français d’Alger qui lui jettent des tomates (la «journée des tomates»), des œufs pourris et aussi des billes d’acier pour faire bonne mesure, Lacoste accepte de remplacer le général Catroux et devient ministre résident et gouverneur général de l’Algérie. Il conserve le ministère de l’Algérie jusqu’aux événements du 13 mai 1958. Partisan du maintien de l’Algérie dans la République française, une Algérie nouvelle profondément modifiée par la «loi-cadre», il est l’un des principaux adversaires du FLN. Pour cela, il n’hésite pas à montrer du doigt ceux qui, en métropole, ou dans les couloirs de l’ONU, au nom de l’idéologie, ne sont qu’indulgence à l’égard des attentats et des assassinats fomentés par le FLN et les traîtres communistes. Il déclare par exemple le 7 juillet 1957 à Alger devant des anciens combattants : «sont responsables de la résurgence du terrorisme, qui a fait à Alger, ces jours derniers, vingt morts et cinquante blessés, les exhibitionnistes du cœur et de l'intelligence qui montèrent la campagne contre les tortures. Je les voue à votre mépris». Nous verrons tout à l’heure le grave cas d’un de ces  exhibitionnistes du cœur et de l'intelligence, le «camarade» Harry Salem dit de son pseudonyme Henri Alleg un juif Erev Rav terroriste, de piteuses ordures communistes complices de crimes contre l’humanité qui montèrent la campagne contre les prétendues «tortures», soi-disant systématisées particulièrement l’opuscule «La Question», une détestable affabulation.                                                       Témoignant pour la défense du général Salan lors de son procès, le 19 mai 1962, Robert Lacoste déclare à propos des partisans du FLN et des Accords d'Évian: «J’ai quand même le droit de dire cette espèce d’écœurement que j’ai aujourd’hui parce que ceux-là qui ont tué femmes et enfants à la terrasse des cafés, aux arrêts d’autobus, à la sortie des écoles, dans les stades et dans les bals populaires, sont amnistiés» (sous-entendu les fameux «camarades» marxistes, les vermines terroristes traîtres à la France, devenus aujourd’hui des «insoumis»).
C’est donc bien la quatrième république socialiste qui a une responsabilité certaine dans la disparation du complice des terroristes communistes poseurs de bombes Maurice Audin durant les opérations de maintien de l’ordre dans les départements Français d’Algérie. N’oublions pas aussi la responsabilité de François Mitterrand ministre de l’intérieur de l’époque.
Monsieur Zemmour à propos de cette affaire déclarera à monsieur Beytout le patron du journal l’Opinion : «J’étais scandalisé par le comportement d’Emmanuel Macron».
Connu pour ses bonnes déclarations patriotiques, monsieur Zemmour a pleinement justifié la prétendue torture ou interrogatoires musclés et la mort accidentelle de l’odieux militant communiste complice d’actes de terrorisme Maurice Audin, par les autorités françaises. «Je pense que ce monsieur Audin est mort dans des conditions tragiques évidement (…), a-t-il déclaré. «Moi je pense qu’il méritait 12 balles dans la peau. C’était un traître, c’était un type qui était contre la France… la torture ça a permis quand même d’arrêter les attentats» a-t-il ajouté.
En revanche on peut toujours espérer qu’un hommage soit un jour rendu aux «Patriotes» morts pour que l’Algérie reste française, donc «morts pour la France» et pas comme ces traîtres «pour les ennemis de la France», ces assassins de français sur une terre française !


Monsieur le président de la Ripoublique Française Macron n’a pas fait son service national. Né le 21 décembre 1977, il est ainsi le premier chef des armées de la Ve République sans aucune expérience militaire.
Aussi sans connaissances historiques, mais avec une pseudo culture marxiste culturelle falsificatrice de l’histoire ce monsieur s’impose en historistrion.
A propos d’histoire voyons un peu celle de cette fameuse «Algérie».
Au départ, mon projet initial était de tenter d’éclaircir ce qu’il est convenu d’appeler «l’affaire Audin» du nom de ce doctorant en mathématique un internationaliste communiste algérois qui a disparu pendant la Bataille d’Alger en juin 1957 après son arrestation par l’armée française, mais  je me suis vite vu obligé de replacer cet épisode anecdotique dans le contexte historique de l’époque, celui des événements faussement dits «Guerre d’Algérie».
Il eut fallu pour qu’il ait «guerre» qu’il y eu belligérants de nation différente, hors, l’Algérie c’était la France ; des départements Français.
De région berbère à province romaine, de camps militaires arabes musulmans envahisseurs, à province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français, l'Algérie, n'a jamais existé avant 1962 ! Elle n'a jamais eu 3000 ans d'histoire, la Numidie n'a jamais été l’Algérie, l’Algérie n'existait pas avant qu'un français vienne décréter possession d'empire la ville d’Alger (Le Dey d’Alger, était le représentant de la «Sublime Porte», autrement dit de l’Empire Ottoman), les indigènes musulmans appelés «barbaresques», des analphabètes à 98% vivaient d’une forme de culture orale, sans écrits et sans nation, il y avait des entités certes, l'entité kabyle, le royaume de Tlemcen etc... (Aujourd'hui comme hier les pays de barbaresques arabes peuplés de musulmans ont du mal à enrayer l'illettrisme. «L'analphabétisme touche toujours plus de 40 % des personnes âgées de plus de 15 ans» dans ces pays, soit près de 60 millions d'adultes, selon un rapport de l'Unesco rédigé à Tunis, le 7 janvier 2009, à l'issue d'une rencontre régionale préparant la sixième Conférence internationale sur l'éducation des adultes, prévue à Belém, au Brésil, au mois de mai. Alors que l'ONU s'était fixé pour objectifs, d'ici à 2015, la scolarisation obligatoire de tous les enfants, la réduction de moitié du taux d'analphabétisme et l'égalité des sexes dans l'éducation, les deux tiers des illettrés sont des femmes et près de 6 millions d'enfants d'âge scolaire - dont environ 60 % de filles - ne sont pas scolarisés, d'après les données fournies par les pays arabo-musulmans eux-mêmes). Mais braves gens savez-vous au fait pourquoi la France mis au point l’expédition de 1830 contre le Dey d’Alger ? Tout simplement pour mettre fin aux agissements des trafiquants d'esclaves musulmans barbaresques. Pas du tout en vue d’une «colonisation» !
À l'heure où commençait à se développer la traite atlantique des noirs à laquelle participait bien évidemment les musulmans en Afrique sub-saharienne, la Méditerranée connut l'apogée d'une autre sorte d'esclavage bien moins connue mais bien plus terrible: celle des chrétiens blancs asservis en Afrique du Nord et au Levant. La littérature a gardé le souvenir de ces odieux pirates barbaresques musulmans qui faisaient trembler les marins et les habitants du littoral jusqu'en Angleterre : leurs attaques se soldaient par l'enlèvement d'hommes, de femmes et d'enfants qui, une fois captifs, étaient vendus sur les places d'Alger, de Tunis, de Fez et d'autres villes (le dernier marché aux esclaves fut fermé au Maroc en 1920). Plus de deux millions d'Européens blancs et chrétiens sont ainsi asservis en Afrique du Nord entre le 16ème et le 19ème. Vers 1675, les esclaves chrétiens formaient le quart de la population d'Alger. Quel était leur sort ? Une minorité était rachetée par leur famille ou par l'Eglise (mes recherches aux archives départementales des Alpes Maritimes m’ont fait découvrir une foule de document concernant le rachat des pauvres esclaves victimes des pirates barbaresque à Alger ou Tunis et ce jusqu’au 19ème siècle), une autre partie vendue comme domestique et la majorité allait aux galères et au «bagne». Selon certains récits de rescapés, le sort de ces derniers était terrible : soumis à des travaux extrêmement durs (carrières de sel, construction, coupe du bois), ils survivaient sous la menace de châtiments corporels qui pouvaient souvent être fatals. voir ici.
L’historien Robert C. Davis n'hésite pas à trancher un débat ancien concernant la relative douceur de l'esclavage en terre musulmane : au vu des documents qu'il cite, les galères et les bagnes de Tunis, d'Alger et de Tripoli n'avaient rien à envier au goulag communiste et aux pires camps de travail tel que les nationaux socialistes dit nazis ou ceux que l'histoire a récemment connus comme ceux du bon «camarade» marxiste Pol Pot ou du noir communiste raciste Robert Mugabe. Il s'étonne donc de l'effacement à peu près total de leur mémoire dès le XIXe siècle, et de l'oubli dans lequel a sombré cet épisode de l'asservissement humain, certes pas tout à fait comparable en volume avec l'esclavage à destination des Amériques, mais tout aussi cruel sinon plus et souvent pratiqué par les mêmes individus barbaresques notamment en Afrique sub-saharienne sous le nom de traite Arabe. Les premières victimes de cette calamité furent les Slaves, que les Vénitiens et les Marseillais allaient razzier en Europe centrale et orientale, pour les vendre aux notables du monde arabo-musulman. Cela devait durer toute l’époque carolingienne au Xème siècle sous les monarques saxons ou Germains Henri l’oiseleur et Otton Ier. Comme on sait, il fallut l’émergence d’États puissants en Europe de l’Ouest et l’arrêt de l’expansion arabe musulmane  aux Pyrénées pour que cela cesse. Et c’est pour combler ce déficit en eunuques et esclaves blancs, que les Arabo-musulmans allaient massivement se tourner vers les peuples négro-africains. Cette première traite négrière en grand, qui fut non seulement la plus longue de l’histoire de l’humanité, puisqu’elle a duré treize siècles sans interruption, aura également opéré une ponction humaine largement supérieure à celle de la traite transatlantique vers les Amériques. Et le plus triste (ou le plus rigolo suivant le coté pour lequel on vote) dans cette tragédie, est que la plupart des déportés n’ont jamais assuré de descendance, du fait de la castration massive que pratiquaient les Arabes musulmans. Il serait largement temps de prendre conscience que les arabo-musulmans ont déporté et massacré 17 millions d'Africains noirs et plus de trois millions de chrétiens blancs.
Cet esclavage des chrétiens asservis en Afrique du Nord et au Levant est vu par Robert C. Davis comme un exemple d'esclavage non fondé sur la race, mais sur le ressentiment éprouvé par le monde musulman à l'égard de la chrétienté à la suite de la reconquista espagnole. Ce n’est pas totalement faux mais la mentalité arabo-musulmane est esclavagiste par nature et continue d’exister dans de nombreux pays musulmans comme au Pakistan pays musulman ou l'esclavage touche des millions de Pakistanais.
Dans cette affaire en 1830 nous ne souhaitions d'ailleurs pas prendre le contrôle de toute cette région qui deviendra en 1962 l'Algérie, cette conquête se réalise en plusieurs étapes distinctes, du débarquement de l'armée d'Afrique à Sidi-Ferruch le 14 juin 1830, commandée par le général de Bourmont, et s'achève pour l'essentiel lors de la reddition formelle de l'émir Abd el-Kader au duc d'Aumale, le 23 décembre 1847. Cette phase principale de la conquête se termine par l'annexion des territoires conquis à la République française, via la création des départements français d'Algérie en décembre 1848. Des campagnes de pacification du territoire continuent cependant de se dérouler durant les décennies qui suivent, et la conquête du Sahara n'est achevée qu'en 1902.
Vous devez aussi savoir que lorsque nous sommes arrivés dans ces régions nous avons découvert des populations illettrées de quasi débiles qui vivaient au moyen-âge ou pour certaines tribus quasiment à l’âge de pierre.
Le territoire algérien n’a jamais existé en tant que pays et le «peuple» algérien, était composé d’une mosaïque de tribus à 60% berbères et 40% arabes, sans aucune unité entre elles, mais en perpétuel état de guérillas. Ferhat Abbas, président de la république algérienne, du temps du G.P.R.A., avait reconnu : «La France n’a pas colonisé l’Algérie. Elle l’a fondée». En fait elle n’a fait que nommer le territoire, comme la Corse ou le Pays Basque.                        Effectivement c’est le 14 octobre 1839, et par décision du ministre de la guerre, que le nom «Algérie» fut attribué pour la première fois à cette partie de l’Afrique du Nord. Il n’y a jamais eu auparavant dans l’Histoire de pays ainsi nommé !                                                                         Les territoires d’Algérie, c’était la France puisque nous comptions outre méditerranée cinq départements français de plein exercice: Alger, Oran, Constantine, Bône, Territoires du Sud.
La pseudo «Guerre» d’Algérie nous l’avions gagnée, mais la «guerre» seulement sur le plan militaire (Oui; nous avions gagné en Algérie avec l'aide de L'OAS qu’il convient de ne pas oublier. Monsieur Gomez en dira : «l’OAS n’avait aucune idéologie politicienne, elle n’était ni de gauche ni de droite, elle n’était pas raciste, ni antisémite. Nombreux furent les arabes et les juifs qui se sont battus dans ses rangs et sont tombés au champ d’honneur des patriotes (...) l’OAS n’a existé que seize mois, de fin février 1961 à début juillet 1962 (…) L’OAS a exécuté des individus communistes et gauchistes qui étaient les complices de ceux qui ensanglantaient l’Algérie, les «porteurs de valises» qui les finançaient, ceux qui fabriquaient leurs bombes et assassinaient en leurs noms, ceux qui leur fournissaient de faux papiers, de l’aide et de l’assistance»).
 L’A.L.N., l’Armée de Libération National (F.L.N.) ne contrôlait plus aucune parcelle du territoire et elle cantonnait ses troupes dans les pays frontaliers, Maroc et Tunisie.
Parmi les milliers de témoignages qui le prouvent, il y a celui de Gilbert Meynier auteur de «Histoire intérieure du FLN», qui reprend une thèse de doctorat. Gilbert Meynier était lui-même membre du FLN. Il décrit la situation de manière détaillée et constate qu’il ne restait pratiquement rien de l’ALN sur le territoire algérien. Mais il était évidemment plus glorieux pour le FLN de dire abusivement qu’il avait gagné la guerre, de le répéter ad nauseam dans les médias et dans les programmes scolaires. En France on l’a également bêtement répété, soit par ignorance soit pour ne pas compliquer les relations avec l’Algérie. Alors pourquoi De Gaulle a-t-il ordonné le cessez-le-feu et donné le pouvoir politique au FLN ? La réponse habituelle est qu’il craignait que garder un pays arabe et musulman paralyserai sa diplomatie et par ailleurs qu’il aurait gardé «une dent» contre les Pieds-noirs à la suite de son séjour à Alger pendant la deuxième guerre mondiale. C’est exact, mais ce n’est pas la raison principale. Deux autres raisons moins connues ont pesé davantage :
De Gaulle avait ses filières d’information musulmanes qui lui disait qu’après une période de fraternisation pendant l’été 58, les Pieds-noirs avaient recommencé à bloquer la scolarisation et les promotions de musulmans, et que le problème recommencerait donc avec ou sans le FLN et ce qui a pesé le plus à mon avis, était sa bonne connaissance du problème démographique: sur la base de la fécondité musulmane de cette époque, une Algérie restant française aurait conduit assez rapidement à une majorité musulmane de Dunkerque à Tamanrasset.
Aujourd’hui nous sommes en Europe et particulièrement en France confronté au même problème. Houari Boumediene dans son discours à l’ONU en 1974 dira : «Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire».
Le Premier ministre turc Tayyip Erdogan, a récemment répété en public les mots, écrit en 1912 par le poète musulman nationaliste Turc Ziya Gökalp : «Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats».                                                           L’Archevêque émérite de Smyrne, Giuseppe Germano Bernardini, raconte une conversation qu’il a eue avec le leader musulman (T. Erdogan) : «Grâce à vos lois démocratiques, nous vous envahirons. Grâce à nos lois religieuses, nous vous dominerons».
De Gaulle n’était pas un prophète malheureusement il n’avait pas prévu l’avènement du marxisme culturel et du grand remplacement.
André Galileo sur Riposte Laïque fait en 2015 une sorte de synthèse que j’avais déjà faite en 2011 dans : Le marxisme culturel Quèsaco modifié plus tard dans Paix et Liberté N°1 et N°2 complété en 2018 par cultural-marxism N°3 (avec tous ces liens, vous pouvez vous faire votre propre opinion mais je ne suis pas optimiste).
Monsieur Meynier a tout à fait raison, Charles de Gaulle, dira le 5 mars 1959 (rapporté par Alain Peyrefitte) : «C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se raconte pas d'histoire! Les musulmans, vous êtes allés les voir? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées».
Le F.L.N. reconnaissons-le, avait aussi gagné l’indépendance de ce nouveau pays, l’Algérie, par une politique bien menée, avec l’appui des communistes dit Français et de l’U.R.S.S., des Etats-Unis, de la Chine et d’autres.
Ceci étant dit qu’est-ce que finalement que cette «affaire» Maurice Audin ?
Maurice Audin était un mathématicien et militant du Parti communiste dit algérien arrêté le 11 juin 1957 à Alger, en pleine bataille d’Alger pendant les événements dans les départements Français d’Algérie. Il ne réapparaîtra jamais après son arrestation.

       
D’après les explications officielles de l’époque, monsieur Audin (dont on ne parlait plus) qui avait été arrêté pour sa participation active au réseau terroriste et communiste «bombe» qui fit plusieurs centaines de victimes civiles dont des centaines de femmes et d’enfants à Alger se serait évadé au cours d’un transfert. Mais les circonstances de sa disparition n’ont jamais été totalement élucidées. Sa femme Josette est convaincue qu’il a été étranglé par un lieutenant parachutiste (pourquoi un lieutenant ? La réponse est assez facile à trouver ; il y avait à l’époque à Alger un jeune lieutenant du nom de Jean Marie Le Pen, alors autant charger la mule !).
Selon l’historistrion marxiste Pierre Vidal-Naquet, auteur d’un livre sur cette affaire, Maurice Audin a été tué par l’officier de renseignements chargé d’interroger cet homme suspecté d’aider le Front de libération nationale (FLN). Seulement voilà, notre Maurice Audin faisait partie du «réseau bombe» pendant la bataille d’Alger, réseau notoirement communiste (même s’il «travaillait» effectivement «pour» le FLN il n’en faisait pas partie). Monsieur Audin comme le camarade marxiste Fernand Iveton était bien un terroriste communiste (Fernand Iveton (ouvrier tourneur à l’usine à gaz du Hamma de l'EGA à Alger est délégué syndical, affilié à la Confédération générale du travail (CGT), puis à l'Union générale des syndicats algériens (UGSA). En juin 1955, Iveton devient un terroriste marxiste membre d’un autre réseau marxiste dit des Combattants de la libération, l'organisation terroriste interne au Parti communiste algérien (PCA) interdit, aux côtés notamment d'Abdelkader Guerroudj, Georges Acampora, Yahia Briki, Félix Colozzi et Mohamed Hachelaf (il se peut même qu’Audin en fit partie). À la suite de l'accord FLN-PCA du 1er juillet 1956, il intègre le Front de libération nationale (FLN) à titre individuel avec un certain nombre de ses camarades. En octobre 1956, il dépose une bombe dans l’usine à gaz du Hamma où il travaille. Iveton est repéré par un contremaître de l'usine, monsieur Oriol, qui se méfie de lui et l'a vu entrer dans le local avec son sac de plage et en ressortir les mains vides. Oriol prévient son chef, Carrio, et ils pénètrent tous les deux dans le local désaffecté où ils entendent le bruit de la minuterie de la bombe. Iveton est arrêté à 16 h 20. La bombe est désamorcée par les militaires. Il n'y a ni dégâts, ni victimes. En application des pouvoirs spéciaux demandés par le président du Conseil, le socialiste Guy Mollet, et votés par l'Assemblée nationale en mars 1956, il est jugé par le tribunal militaire d'Alger. Il est condamné à mort pour «tentative de destruction d'édifice à l'aide d'explosifs», le 24 novembre 1956, à l'issue d'une journée d'audience. Le pourvoi d'Iveton devant le tribunal de cassation militaire est rejeté le 3 décembre 1956. N'ayant pas tué, Iveton croit à sa grâce plaidée par l'avocat communiste Joë Nordmann qui s'est joint aux avocats commis d'office, Albert Smadja et Charles Laînné. Mais son recours est refusé le 10 février 1957 par le président de la République, René Coty, avec l’accord du garde des Sceaux de l’époque, François Mitterrand le futur président de la république socialiste. Il est guillotiné le 11 février 1957).
Ah, ce cher socialope Mitterrand dit La Mite qui reçut la Francisque – la décoration du Maréchal – des mains de Pétain lui-même. Son biographe dira : «Mitterrand se vit décerner la Francisque pour services rendus à la Révolution nationale». Une autre aspérité de taille dans le parcours du collabo Mitterrand réside dans son rôle, en tant que ministre de la Justice, dans les interrogatoires musclés de terroristes rouges ou d’arabes en Algérie. François Malye et Benjamin Stora avaient révélé cette face très sombre de son parcours dans un documentaire et un livre en 2010, François Mitterrand et la guerre d’Algérie (éd. Calmann-Lévy). Quand en 1956 le Conseil envisagea d’accélérer les exécutions des prisonniers condamnés à mort dans les départements Français de la province Française l’Algérie, Mitterrand y fut favorable. 44 Arabes et un Français né le 12 juin 1926 à Alger au Clos-Salembier département Français d’Alger de nombreux incultes le dise «Européen» (Iveton) ont été envoyés à la guillotine en un an à compter de juin 1956. En tant que ministre de la Justice, il a recommandé que les condamnations soient effectives dans au moins 32 cas dont celui d’Iveton.
Monsieur Audin était lui complice de crimes terroristes atroces et de la mort de centaines d’innocents.
Il est certain et le nier serait idiot que la torture sur les terroristes de tous bords a été appliquée en Algérie, mais au vu de la gravité des méfaits du traître communiste Audin et de son réseau «bombe», sa mort ne peut être qu’un regrettable incident, alors que ce traître méritait 12 balles dans la peau.

Qu’a fait monsieur le président de la Vème république Emmanuel Macron le 13 septembre 2018 ?
Le président s’est rendu au domicile de la veuve et complice du traître et terroriste membre communiste du réseau bombe d’Alger Maurice Audin pour lui demander «pardon» pour la mort de son époux et reconnaître la responsabilité de l’Etat français dans la disparition du jeune homme croyant bêtement faire plaisir aux dictateurs Algériens du FLN et par conséquent à quelques futurs électeurs du sus dit FLN de nationalité Française qui ont toujours, mais notre bon président ne le sais pas, profondément détesté les cocos et autres socialoperies, Audin y compris.
Son prédécesseur François Hollande avait déjà décidé d’ouvrir les archives concernant Maurice Audin en 2013. En 2014, il avait déclaré que «les documents et les témoignages dont nous disposons aujourd’hui sont suffisamment nombreux et concordants pour infirmer la thèse de l’évasion qui avait été avancée à l’époque. Maurice Audin ne s’est pas évadé. Il est mort durant sa détention». Le président Hollande aurait même pu ajouter : «mort certainement sous la torture pratiquée en vue d’obtenir des noms de ses complices pour préserver des centaines de vies d’innocents». La photo ci-dessus du quotidien L’écho d’Alger du 28 Novembre 1956 titre bien que les bombes terroristes et les horribles attentats sont le fait à Alger des réseaux communistes.

Maurice et Josette Audin sont des marxistes purs et durs, militants terroristes ou pour le moins complices du PCA (Parti Communiste terroriste  illégal et interdit dit abusivement Algérien, notons que l’Algérie à cette époque n’existe pas, l’Algérie c’est la France, ce sont des départements Français) le couple Audin et ses complices terroristes marxistes du réseau «bombes» à Alger font croire à l’époque et même encore aujourd’hui qu’ils faisaient partie d’une minorité «anticolonialiste» de Français d'Algérie (or l’Algérie n’était pas une colonie !) ces gens-là complices de terroristes étaient des gauchiasses  maudits  traîtres à la France. Le PCA qui avait émergé en 1920 comme une extension de l’immonde Parti Communiste s’affirmant sans honte français devient sous les ordres de Moscou et du Komintern une entité séparée en 1936 et ouvre petitement ses rangs aux autochtones. Sa presse sera jusqu’en septembre 1955 l’hebdomadaire Liberté, relayé ensuite par le quotidien algérois Alger Républicain. Ce quotidien marxiste-léniniste relais de Moscou et de ses idées nauséabondes fera sans cesse de la propagande en faveur des rebelles fellaghas jusqu’en septembre 1956 où il sera interdit.
Le couple Audin était communiste, Maurice Audin est mort accidentellement n’ayant pas supporté des interrogatoires musclés pour lui faire avouer sa participation notoire au réseau bombe terroriste d’Alger qui fit des centaines d’innocentes victimes civiles. Josette Audin (née Sempé) est décédée le 2 février 2019 à 87 ans (le terrorisme ça conserve) elle une complice notoire de son mari abritant des terroristes du réseau bombe d’Alger et aurait mérité la peine de mort elle aussi. Prenons note qu’en Algérie, le 4 juillet 1963, au lendemain de l’anniversaire de l’indépendance, Josette Audin reçut la citoyenneté algérienne. On se demande ce qu’elle faisait en France ? Après «les émeutes d’octobre 1988», le ministère algérien des anciens moudjahidines informait Josette Audin que la Commission nationale de contrôle avait reconnu Maurice Audin comme membre, pendant la guerre, de l’Organisation civile du FLN (Front de Libération Nationale). Maurice Audin est un chahid (martyr) mort pour l’Algérie.
Le PCA avait à une époque une implantation relativement importante dans la population Européenne, du même ordre qu’en Métropole. Bab El Oued était lors un «fief» communiste.
Les dirigeants du PCA n’arrivèrent pas à se faire admettre par les «nationalistes»  musulmans, avant le 1er novembre 1954 (le 1er Novembre 1954 dit aussi la Toussaint rouge ou sanglante, est la journée, durant laquelle le Front de Libération nationale (FLN) manifeste pour la première fois son existence en commettant une série d'attentats terroristes et criminels en plusieurs endroits du territoire de la république Française dans les départements Français d’Algérie ; avant cela toutes les tentatives des dirigeants communistes pour réaliser l'unité d'action avec les rebelles échoueront. Apres le 1er novembre, le PCA s'efforce de créer le maximum d’agitation par l’intermédiaire de la CGT, et engage les dockers à refuser de décharger le matériel de guerre en Algérie (Benoit-Frachon se rend en Algérie pour assurer les rebelles fellouzes de l'appui de la CGT et de la FSM. (Frachon est un marxiste activiste révolutionnaire professionnel. En 1909, apprenti en boulonnerie âgé de seize ans il adhère à la CGT et en devient rapidement un permanent. Dirigeant de la grande grève des métallurgistes de Saint-Étienne de 1924, il s'affirme et devient secrétaire permanent de l'union départementale de la CGTU. À partir de 1928, Frachon accède à des responsabilités supérieures. En accord avec les orientations de la direction de l’IC l'Internationale Communiste, il est formé à la fameuse école du crime terroriste, l’école Internationale Lénine à Moscou et entre au bureau politique du PC-(F) : il est l'archétype de cette génération de dirigeants communistes à la culture d’amibes mais malléables et lobotomisés qui connaît une promotion très rapide (trois ans en l'occurrence).
Les quelques actions terroristes à mettre à leur compte des terroristes du PCA resteront marginales et amateuristes. Seul le réseau «Bombes» pendant la bataille d’Alger fera plusieurs centaines de victimes innocentes, femmes, enfants et indigènes autochtones y compris. Après la «Bataille d’Alger» gagnée haut la main par la France on n’entendra plus parler d’eux.                                                          Le fait que Bab El Oued basculera de bastion communiste en bastion farouchement «Algérie Française» explique l’abîme qui séparait les dirigeants marxistes et autres intellocrates terroristes des sympathisants ou des militants de base et l’échec final comme d’habitude. Le PCA prit position à retardement pour l’indépendance des départements Français d’Algérie, André Moine  et Camille Larribere estimant prématurée l’entrée dans la lutte armée. (André Moine avait à 19 ans été formé lui aussi à Moscou à l’école Internationale Lénine véritable école du crime et du terrorisme communiste.                                             Moine devient ce qu’on nommait au Parti un «intellectuel révolutionnaire autodidacte» c’est-à-dire un agent du Komintern révolutionnaire professionnel comme seuls les partis communistes savaient en produire. André Moine sera successivement artisan du Front Populaire, contrebandier d'armes pour l'Espagne et ses brigades rouges, arrêté il part comme bagnard aux portes du désert du Sahara. Libéré à Alger en 1942, il reprend sa vie d’agitateur politique marxiste et ne rentre en France qu'en 1946. Un an plus tard, le Komintern lui demande de retourner en Algérie pour être intégré au Parti communiste dit algérien. Cet agent de Moscou internationaliste et antinationaliste deviendra donc un communiste soi-disant «algérien» et participera à la direction du parti communiste local, le PCA).
Quant à monsieur Jean Marie Larribere né en 1895 (Il était fils d'un instituteur républicain puis, successivement socialiste et communiste, venu prendre un poste à Sidi Bel Abbès en 1900. Il est mort le 24 décembre 1970 à Sig (Algérie) c’était un homme politique français qui et c’est assez rare deviendra Algérien après 1962. Aux débuts de la Quatrième République il a été député et sénateur communiste du département d'Oran. Mobilisé durant la Première Guerre mondiale dans les tirailleurs algériens. Il combat aux Dardanelles, à Verdun et reçoit la Légion d'honneur. Après la guerre il entreprend des études de médecine, et dans la suite de l'engagement «pacifiste» de son père, adhère au Parti communiste. Militant à Oran et à Paris, il fait la connaissance à l'Union intercoloniale d’ Ho Chi Minh un grand criminel contre l’humanité communiste. Il obtient sa thèse de médecine en 1924 et continue de militer en métropole. En 1929 il entre au Comité central du Parti communiste, mais est entraîné dans la lutte des fractions qui agite la direction de celui-ci. Éloigné pour «sectarisme», il retourne en Algérie où il exerce sa profession dans une bourgade de l'Oranais, à Saint-Denis-du-Sig. Mobilisé en 1939, il est médecin auxiliaire des zouaves, puis il s'engage dans un corps franc d'Afrique qui combat en Tunisie après le débarquement allié en Afrique du Nord. Il y est blessé. Contacté par le Parti communiste français, il est chargé par le général Giraud d'une mission en France auprès de la direction clandestine. De retour en Algérie, où de Gaulle a supplanté Giraud, il milite dans le Parti communiste dit algérien (PCA). À l'automne 1945 il est élu conseiller général d'Oran, puis les électeurs du 1er collège du département d'Oran l'élisent, ainsi qu'une autre députée communiste, Alice Sportisse (née Alice, Gilberte Crémadès le 9 juillet 1909 à Lavarande (aujourd'hui Sidi Lakhdar, près de Aïn Defla, en Algérie) Alice Sportisse est décédée le 3 juin 1996 à Agen (Lot-et-Garonne), c’était une femme politique française, membre du Parti communiste dit français, député à la première Assemblée constituante). Non réélu en juin 1946, contrairement à sa collègue, Jean Marie est élu en décembre 1946 au Conseil de la République. Il est battu en 1948.
Dans les années cinquante, un séjour en Union Soviétique notamment à l’école du meurtre marxiste, l’école Internationale Lénine le formera à l’action terroriste.


Pendant les événements en Algérie, rare véritable «intellectuel» marxiste et membre du comité central du PCA, le camarade Jean Marie «combat» comme cadre dirigeant des terroristes rouges pour l'Indépendance des départements Français et ce en bon coco sous divers pseudonymes Labairou, Lari et Lary. En 1955-1956 il devient conseiller militaire à la direction des terroristes rouges dits Combattants  de la libération, minuscule organisation terroriste armée du PCA, il meurt en Algérie en 1970. Mais dans la famille Larribere il n’était pas tout seul à aider les fellouzes, Camille Larribère, frère de Jean-Marie, était lui aussi membre du Parti Communiste se disant Algérien (ce qu’il ne sera que dans les départements Français, durant les «événements» et le plus souvent interdit, à mesure que les camps se sont durcis jusqu’à embrigader de plus en plus les populations civiles, les mots «traître» et «anti-Français» se sont imposés pour qualifier les communistes dans la presse d’Algérie, les tribunaux militaires, les discours des hommes d’État français et des vrais Français, consacrant ainsi leur exclusion du corps «national». Outre quelques «libéraux» et des très naïfs «chrétiens progressistes» qui souhaitaient une société égalitaire, les communistes voulaient une Algérie socialiste sur le modèle-phare et inconséquent des peuples du Tiers-Monde, Cuba, modèle mis en avant tant par le FLN que par le PCA ressuscité dès les premières semaines de l’indépendance. Ces élans politiques prennent plusieurs directions. Pour certains – ouvriers, agriculteurs, enseignants, avocats, médecins, etc. –, la construction de l’Algérie indépendante est une partie intégrante de leur emploi. D’autres rejoignent l’administration du nouvel État, dont les besoins en cadres sont très importants : les uns gagnent les ministères, les autres, petits fonctionnaires du temps des départements Français d’Algérie (trésor public, PTT), transmettent leurs «connaissances» à de nouveaux employés algériens. L’élan politique est plus directement continu pour celles et ceux qui militent au PCA, dans les syndicats, ou «travaillent» à Alger Républicain, quotidien dirigé par des communistes mais qui se voudrait bien l’expression d’un front anti-impérialiste des Algériens favorables à une Algérie socialiste. Ces militants rencontrent rapidement un très grand nombre de difficultés, liées non pas à leurs origines mais à leurs opinions politiques : le PCA est interdit sur décision du Bureau politique du FLN le 30 novembre 1962, le syndicat unique UGTA est mis sous contrôle du FLN qui veille à ce que des communistes et des non-nationaux n’y aient pas de responsabilités, et Alger Républicain, soumis à de multiples pressions contradictoires, devient de facto, courant 1964, un organe du parti unique FLN. La nationalité algérienne n’existant pas d’un point de vue juridique avant 1963, ce code définit les moyens de son acquisition y compris pour les anciens soi-disant «colonisés». Dans le projet initial comme dans le projet adopté, est définie une «nationalité d’origine», accordée rétroactivement à ceux dont la loi considère qu’ils n’ont pas à acquérir la nationalité algérienne : L’article 34 définit le sens du mot «Algérien» en matière de nationalité d’origine. Il s’agit de toute personne dont au moins deux ascendants en ligne paternelle sont nés en Algérie et y jouissent du statut de musulman. Hé oui comme on dit : «Dans le cul la balayette», les Algériens sont d’abord des Musulmans et le communisme immonde est strictement Verboten !
Enfin pas tout à fait, il y a l’article 8, qui s’applique aux ressortissants de tous les pays et ne reconnaît pas spécifiquement l’apport de ceux des natifs d’Algérie qui se voudraient Algériens, précise les possibilités d’acquisition de la nationalité pour «participation à la lutte de libération» : «Sauf opposition du ministre de la Justice, ceux qui ont participé à la lutte de libération nationale et qui résident en Algérie ont droit à la nationalité algérienne. Ils devront formuler une déclaration au Ministre de la Justice et ce dans les six mois de la promulgation du présent code». La circulaire d’application précisera les pièces qui devront être fournies par chaque requérant : ses papiers d’état-civil, la preuve de sa résidence en Algérie, et «la preuve ou une offre de preuve suffisamment circonstanciée de sa participation à la lutte de libération nationale». Ces dispositions, sont très mal vécues à l’époque par l’ensemble des «progressistes» et sont combattues publiquement par un certain nombre d’humanistes, anciens terroristes fous furieux européens et juifs Erev Rav, rejoints par une dizaine de députés. Ils y voient une trahison des principes mis en avant par le FLN durant la «guerre» : Entre août 1963 et décembre 1965, seulement 300 individus environ sont faits Algériens en vertu de l’article 8, après, parfois, de longs mois d’attente. Parmi ces naturalisés pour «participation à la lutte de libération» se trouvent un peu moins de 100 «Français» natifs d’Algérie (70 membres ou anciens membres du PCA seulement, car reconnaitre les cocos comme Algériens, comme des nationaux, reviendrait implicitement à reconnaître le rôle du PCA dans la «lutte» pour l’indépendance et, précisément, son caractère «national». Cela revient donc à reconsidérer publiquement le rôle d’un parti antinationaliste, internationaliste interdit dans les premiers mois de l’indépendance et dénigré depuis 1954 par le FLN qui voyait en lui un concurrent), chiffres qui indiquent que la majorité des socialopes européens et juifs, dont certains étaient outrés par la demande de preuves qui leur était faite, n’ont pas formulé de demande ou n’ont pas obtenu de réponse).
Camille Larribère, frère de Jean-Marie, est actif parmi les paysans de l’Oranie, et avait pris position dès 1952 pour la lutte armée. En 1955, il a été l’un des dirigeants communistes et des organisateurs des très modestes Combattants de la Libération (C.D.L.), des terroristes qui rejoignirent ensuite les rangs du FLN à titre individuels (les fellouzes musulmans ne voulaient pas des cocos). Dans le sillage de leur père et leur oncle, les cinq filles du docteur Jean Marie Larribère, ainsi que leurs conjoints ont fait preuve du même engagement dans le terrorisme. Lucette Larribère et son époux en secondes noces, Bachir Hadj Ali a fait partie des fameux  et très peu nombreux Combattants de la Libération. Son premier époux, Robert Manaranche, membre du syndicat C.G.T. des fonctionnaires et militant de la cause algérienne a été arrêté en février 1957 par les parachutistes français puis interné au camp de Lodi. Simone Larribère, épouse Benhaïm, était membre du syndicat des travailleurs de l’EGA (Electricité et Gaz d’Algérie) comme Iveton son collègue qui sera guillotiné et s’activait au sein des terroristes du Parti Communiste Algérien aux côtés de deviner qui ? Ce cher Maurice Audin bien sûr. Benabdallah Abdelkrim, époux de Suzanne Larribère, dirigeant du Parti Communiste Marocain et du Croissant Noir, organisation de la lutte armée contre le «colonialisme» français, a été assassiné durant la lutte d’indépendance du Maroc (NB : Le Maroc n’était pas lui non plus une colonie mais un protectorat). Paulette Larribère et son époux Daniel Touboul ont été arrêtés après les grèves des étudiants du 19 mai 1956. Paulette Larribère a fait 14 mois à la prison d’Oran. Son mari Daniel Touboul a été interrogé avec quelque énergie au commissariat de la Marine, pour ensuite faire 3 années de prison à Oran et Berrouaghia. Aline Larribère, s’est engagée au Parti Communiste Algérien à l’âge de 17 ans, au moment de la grève des dockers. Elle a été arrêtée en même temps qu’Emile Schecroun, son actuel époux, militant du PCA aussi, en septembre 1956 lors du démantèlement du «maquis» de Tlemcen).
Le 2 Novembre 1954, Le journal communiste, l’Echo Républicain, traitait les responsables de l’insurrection de «provocateurs» et «d’agitateurs inconscients». Moscou très pris par la guerre au Viet Nam avait été pris par surprise mais quelques mois plus tard le PCA approuvera et aidera le FLN.
Le «Secrétaire» du PCA c’est-à-dire le chef, le boss, le patron officiel, Paul Caballero, organise alors une petite aide logistique pour les rebelles par le biais du Secours Populaire Algérien (SPA) bien évidemment copié sur le très fameux secours populaire Français filiale du PC(F), ses traitres et sordides actions étaient commises dans le bled et à Duperré, ville connue comme la petite Moscou. (Paul Caballero, né le 14 juillet 1910 à Oran (Dans le département d’Oran et dans la province française d'Algérie), mort le 7 mai 1995 à Massy (Essonne, France) ; ouvrier métallurgiste marxiste et Cégétiste participant aux grèves de 1936 à Oran et en France ; mobilisé en 1939, fait prisonnier ; évadé, revenu à Oran en 1940 ; appelé en 1941 à Alger pour renforcer le PC clandestin décimé ; condamné à mort par contumace comme dirigeant communiste en 1942 ; en 1943 secrétaire à l’organisation du PCA, le redevient en 1945 et demeure membre du secrétariat aux côtés de la direction clandestine pendant les événements ; arrêté à nouveau en 1957 il cesse de nuire et est emprisonné jusqu’en 1962).
Ce n’est que le 20 Juin 1955 que le PCA sur ordre de Paris et de Moscou s’engage très modestement dans la lutte armée à côté des rebelles fellaghas du FLN. Paul Caballero est très vite arrêté et le PCA interdit le 13 septembre 1955 et devient une organisation terroriste clandestine, en relation avec le FLN ; la famille Audin participe très activement aux actions terroristes illégales liées à cette situation, notamment cache d’armes et de bombes et de terroristes fellaghas poseurs de bombes dont les Audin sont les complices objectifs.
En septembre 1956, Maurice organise, avec sa sœur (Charlye, née en 1925) et son beau-frère (Christian Buono), l'exfiltration clandestine à l'étranger de Larbi Bouhali, premier secrétaire du PCA (Le camarade Larbi né en 1912 à El Kantara (près de Biskra, en France, arrondissement de Batna, département de Constantine) est un communiste devenu algérien en 1962, membre fondateur et secrétaire général du Parti communiste algérien en 1936. Issu d'une famille paysanne, il est rapidement repéré par ses instituteurs Français communistes qui en 1934 l’expédient à Moscou à l’école Internationale Lénine, pour recevoir pendant 9 mois, une formation de révolutionnaire et d’activiste terroriste marxiste, le tout nouveau PCA et le Komintern ayant désespérément besoin de cadres arabes à sa botte. Larbi Bouhali participe à la fondation du congrès du Parti communiste algérien en 1936, et en 1939 il est nommé secrétaire du secours populaire algérien, organisme copié sur le secours populaire Français. En 1940 Bouhali, avec d'autres dirigeants européens du Parti communiste, est emprisonné et déporté au camp de Djeniene Bourezg. Au troisième congrès du parti, qui se tient en 1947, il est élu secrétaire général en remplacement d’Amar Ouzegane (Amar a eu lui aussi un parcours assez croquignolesque, il quitte l'école à 13 ans pour travailler comme vendeur de journaux à la criée et allah sauvette de L'Écho d'Alger dit en arabe  Alqarf al'ahmar, La merde rouge, il deviendra plus tard rédacteur en chef de l'hebdomadaire communiste Luttes sociales, puis il collaborera au journal indépendantiste Jeune musulman, avant de devenir à l'indépendance directeur de Révolution africaine. Lui aussi mis en contact avec les cocos, il est vite repéré car ils avaient comme on l’a vu désespérément besoin de jeunes arabes musulmans pour accréditer leur thèses imbéciles marxistes et indépendantistes avant de devenir avec l’aide des «camarades» télégraphiste puis postier c’est-à-dire un espion rouge à la poste. Il intégrera bien évidemment le «monde» qui pue (J’en sais quelque chose ayant été dans la marine marchande contraint sous les menaces de prendre ma carte de la CGT) du syndicalisme marxiste au sein de la CGTU, avant de rejoindre les Jeunesses communistes en 1930. Après le traditionnel voyage nature et découverte de l’activisme marxiste et du terrorisme révolutionnaire communiste à l’école Internationale Lénine de Moscou, il devient en 1934 secrétaire du Parti communiste français dans les départements Français d’Algérie. Il est délégué au 7ème Congrès Mondial de l'Internationale Communiste (Komintern) à Moscou du 25 juillet au 20 août 1935. Il entre au comité central du PC-(Français) en 1936 lors du congrès de Villeurbanne. Il fera partie des premiers dirigeants du Parti communiste dit algérien (un pays qui n’existe pas encore) à sa création la même année mais va s'en éloigner à cause des positions assimilationnistes de l'AML de Ferhat Abbas et du PPA de Messali Hadj.
C’était en novembre 1936 que se tenait à Alger le premier Congrès du nouveau Parti communiste d’Algérie. L’Humanité, qui en rend compte dans son numéro du 7, expose comment le Congrès, bien représentatif, dit-elle, du peuple algérien avec ses soixante-deux délégués arabes et ses soixante-sept délégués français, « désigna un Comité central comprenant les meilleurs militants du Parti». Elle publie la photographie d’un homme jeune, de grosses lunettes sur les yeux, le chef surmonté d’un fez. C’est « le camarade Ouzegane, élu secrétaire du Parti communiste d’Algérie, à côté de Ben Ali Boukort et Jean Barthel». Le 10 septembre 1937, dans le feuilleton «colonial» de l’immonde quotidien communiste, paraissait la même photo au centre d’un article de «notre camarade Amar Ouzegane» intitulé : «Un cri d’alarme au peuple de France». Le secrétaire du Parti communiste algérien s’écriait : «Le peuple d’Algérie qui a accueilli avec un grand espoir l’avènement d’un gouvernement de Front populaire ne peut attendre plus longtemps la réalisation des promesses faites par le gouvernement Léon Blum». Promesses bien modestes comme les revendications que venait de formuler le Comité exécutif du Congrès musulman. Aucune allusion à quelque séparatisme que ce soit. Et, du point de vue politique,  «vote du projet Blum-Viollette élargi comme première étape vers le suffrage universel». Ce projet, rappelons-le, envisageait de donner le droit de vote immédiatement à vingt mille musulmans environ.
En 1937, il est élu conseiller municipal d'Alger, il quitte le PC-(F) à la suite du pacte germano-soviétique avant d'y ré-adhérer au début de la Seconde Guerre mondiale. Entré en «clandestinité», il est interné de 1940 jusqu'en 1943. En 1945, il est élu député PC-(F) d'Alger, il deviendra à cette occasion premier secrétaire du PCA avant d'en être exclu le 30 décembre 1947 à cause de ses positions nationalistes et musulmanes. Il se rapproche de L'Association des oulémas musulmans algériens et de Mohamed Bachir El Ibrahimi, le mot d'ordre du mouvement était «L'islam est notre religion, l'arabe est notre langue et l'Algérie est notre pays». Il entre au FLN en 1955 et devient un important conseiller politique de la zone d'Alger. Il participera à la rédaction du Congrès de la Soummam avant d'être arrêté en 1958, il y restera jusqu'en avril 1962.
À l'indépendance il est député de Médéa à l'Assemblée constituante. Il sera nommé ministre de l'Agriculture et de la Réforme agraire le 27 septembre 1962.
C’est en fait en 1963, que le gouvernement algérien dont la constitution adoptée en août 1963 se révèle en fait un «paravent juridique», incapable cependant de masquer la concentration du pouvoir autour du seul chef de l’État et de quelques «privilégiés» du FLN. Outre les premières mesures qui visaient à provoquer le départ des Européens jugés inassimilables et dangereux, Ben Bella s’applique à poser les bases du «socialisme» algérien et commence par s’accaparer des fermes abandonnées par les français. Il permet aux petits fermiers de conserver leurs terres et en distribue un certain nombre à des vétérans de la «guerre». Mais la plupart des terres sont transformées sous le modèle socialiste et communiste en fermes d'État. En 1963, le  ministre de l'Agriculture et de la Réforme agraire Amar Ouzegane formé à Moscou et recevant ses ordres du Komintern veut avant tout la poursuite d’une révolution paysanne. En octobre 1963, une loi nationalise les terres des Français, qui possédaient alors 27 % de la surface agricole utile (SAU) du pays (soit près de 3 millions d'hectares), tandis que les quelques milliers de grands propriétaires algériens (1,3 % de l’effectif des propriétaires) détenaient 23 % des terres. Néanmoins, la réforme agraire marxiste mise en place par Amar Ouzegane, «improvisée et désorganisée», déçoit par ses très mauvais rendements et la casse importante de tracteurs soviétiques qu'elle occasionne. Les dernières propriétés volées sont nationalisées bien évidemment sans indemnités tandis qu’apparaissent les premières unités agricoles «autogérées». En 1965, ce secteur «socialisé» s’étend sur deux millions d’hectares et emploie 115 000 ouvriers. Cette politique communiste socialisante qualifiée souvent d’Islamomarxiste improvisée et anarchique va se révéler un échec catastrophique, accélérant l’exode rural. Winston Churchill dira : «Le socialisme est une philosophie de l'échec, un principe de l'ignorance et l'évangile de la jalousie». Il dira aussi : «Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère».
Combiné à un processus d’appropriation et de vol des espaces laissés vacants par les «pieds noirs», ce mouvement d’afflux vers les villes marquera durablement le paysage urbain. Au déracinement s’ajoute le chômage qui touche une très grande partie de la population, notamment à cause de la grave crise que connaît une industrie vétuste et totalement désorganisée. Le dérapage démographique – la population augmente de 3 % par an – combiné au recul de la production agricole laisse présager des énormes difficultés à venir. L’émigration vers la France constitue alors une «soupape» à même d’alléger la pression sur le marché du travail. Au printemps 1965, le seuil des 450 000 Algériens en France est dépassé.
Ce pays islamomarxiste est toujours dangereusement dépendant des marchés internationaux. L’Algérie se classe parmi les dix premiers pays les plus grands importateurs de céréales. Il en est de même pour d’autres produits agricoles tels que le lait en poudre, les huiles, le sucre et le café. Cette situation aurait été moins intenable si l’Algérie arrivait à exporter ce que ses terres produiraient afin d’équilibrer sa balance commerciale agricole. Mais seulement une quantité marginale de dattes, de vin et de quelques produits maraîchers a pu se frayer une petite place dans les marchés étrangers.
Ouzegane est promu ministre d'État le 18 septembre 1963 puis ministre du Tourisme le 2 décembre 1964 au 19 juin 1965 à partir de cette date je n’ai plus de renseignement sur l’islamomarxiste Ouzegane).



Entre 1962 et 1965 apparaissent aux côté des quelques communistes allah con non encore viré à grands coups de pied au cul par les fellouzes musulmans, des «amis de l’Algérie nouvelle» ? Qui sont donc ces crapules de «pieds-rouges», les nouveaux «Pieds-noirs» ? Ce sont ceux dont l’histoire a quelque peu disparue avec le reflux du marxisme officiel confronté à des échecs à répétition, aux génocides (désormais reconnu par le Parlement européen en 2008 l'Holodomor en Ukraine pour «un crime effroyable perpétré contre le peuple ukrainien et contre l'humanité» sans pour autant lui donner une qualification de «génocide». Les marxistes, socialistes, militants «altermondialistes», antiracistes du MRAP antisémites, et autres complices de crimes contre l’humanité par leur silence abject, devraient faire leur mea-culpa en urgence) au profit du marxisme culturel durant les années 1980, et que l’on confond souvent avec les fonctionnaires coopérants. Ils et elles étaient quelques milliers, insoumis et chrétiens gauchistes, communistes de tout acabit, «pablistes» et crétins libertaires rouges entrés dans la rébellion des croyants au grand soir, au petit Jésus Soviétique et aux lendemains qui chanteraient l’Internationale avec partout des camps de rééducation citoyens du Goulag et des Laogai (camp de rééducation par le travail, le Laogai est un camp de concentration et d’extermination en république populaire de Chine qui peut être comparé aux camps nazis (sociaux-nationalistes) et de leur célèbre devise «Arbeit macht Frei» signifiant «le travail rend libre», sans oublier les camps communistes de Corée du Nord ou existe encore en 2018 des chambres à gaz homicides (En février 2004 des Nord-Coréens dissidents ont témoigné de l'existence et l'utilisation, jusque-là supposées, de chambres à gaz dans le principal camp de concentration nord-coréen, le camp 22, qui peut enfermer 50 000 personnes, et possède des chambres à gaz qui servent à la fois à éliminer les prisonniers et à mener des expérimentations), qui travaillaient dans les usines marocaines d’armement du FLN ou portaient les valises en métropole dans l’ignoble réseau marxiste de Francis Jeanson aux côtés d’Henri Curiel, qui avaient déserté l’armée française, fuyaient la police ou l’Organisation de l’Armée Secrète (OAS), et avaient émigré à Tunis au siège du GPRA. Ce sont aussi des universitaires marxistes comme l’ethnologue Jeanne Favret-Saada et la sociologue Catherine Lévy (Erev Rav parmi les Erev Rav madame Lévy après son engagement raté auprès des musulmans Algériens, soutiendra en bonne marxiste les terroristes antisémites islamomarxistes les «palestiniens» du FPLP) des pseudos journalistes comme l’Erev Rav Henri Alleg, Maurice T. Maschino ou Arnaud Spire, des militants et militantes comme Eugénie Dubreuil de la Fédération anarchiste ou Jean Carbonare de la Cimade.

La malnutrition et la tuberculose frappent les habitants et les habitantes des campagnes qui manquent de personnels soignants, comme de personnel enseignant. Puisque les hôpitaux publics sont désertés par les médecins français qui ont été expulsés ils sont privatisées, à l’instar des cliniques Verdun et Albert-de-Mun. A la clinique de l’Hermitage s’installent plusieurs officiantes et officiants, dont la psychiatre Anne Leduc, amie de Frantz Fanon, le médecin martiniquais qui avait combattu avec le FLN jusqu’à son décès en décembre 1961.
Les rejoignent dans un babélisme joyeux des médecins originaires d’URSS, de Chine, d’Égypte et de Cuba dans le cadre d’accords de coopération. Le service œcuménique d’entraide caritative proposée par la Cimade, présente en Algérie dès 1957 sur le front des camps de regroupement de la population, propose des militants qui participent, aux côtés d’autres venant de l’UNEF, à la création de centres de formation médicale et d’«accoucheuses rurales». Toutes et tous œuvrent donc à «faire la soudure», en évitant de tomber dans les mains d’une armée française encore présente sur le territoire (notamment dans le Sahara, puisque son retrait prévu par les accords d’Évian n’est que graduel).

A cette époque, Alger est l’une des plaques tournantes du tiers-mondisme, accueillant les militants et militantes d’Afrique et d’Amérique latine qui rêvent les pauvres imbéciles (au sens psychiatrique du terme) d’un nouveau socialisme théorisé dans les pages de la revue prochinoise Révolution africaine entre autres animée par le jeune avocat Jacques Vergès.
Pour autant, la voie consensuelle d’un nationalisme frotté de la magnifique  culture arabo-musulmane sous-développée s’insinue toujours davantage dans les parages de l’utopie autogestionnaire. Et les «gaouris» (Ce terme vulgaire et grossier désigne «un Occidental». il est emprunté au turc gavur, qui  désigne le cochon) travaillant dans ces organes de presse socialos communistes ou Islamomarxistes que sont El Moudjahid et Alger républicain ne sont pas vraiment autorisés à en critiquer les orientations et les réalisations. Ainsi du code de la nationalité, adopté en mars 1963 et intégré à la constitution de la nouvelle république approuvée par référendum en septembre. Son article 34, en prévoyant que «Le mot Algérien en matière de nationalité d’origine s’entend de toute personne dont au moins deux ascendants en ligne paternelle sont nés en Algérie et y jouissaient du statut musulman», exclut de fait les pieds-rouges qui travaillent à la construction du socialisme infecte

Le sabotage en janvier 1963 du premier congrès de l’Union Générale des Travailleurs Algériens (UGTA), seul syndicat autorisé par le FLN depuis l’indépendance mais à condition pour lui d’en encadrer le déroulement et d’en caporaliser le fonctionnement, est un autre indice manifestant la volonté autoritaire du pouvoir en place. Quelques articles confidentiels de Jean-François Lyotard pour la revue Socialisme ou Barbarie ou du groupuscule trotskyste Driss ont analysé les contradictions d’un pouvoir gonflé d’une phraséologie socialisante, alors que sa brutalité entretient l’apolitisme d’une population musulmane qui craint la répression.
Malgré la belle manifestation de quelques centaines de femmes à l’appel de l’Union Nationale des Femmes Algériennes (UNFA) lors du 8 mars 1965 devenue depuis «journée officielle de la femme», le démantèlement du groupe de rebelles d’inspiration guévariste de Dra-El-Mizan (Kabylie) en août 1963 précipite le début d’un désenchantement renforcé par le coup d’État de Boumediene le 19 juin 1965. Ce putsch est symboliquement encadré, d’abord par l’exil en 1964 d’un fondateur historique du FLN, Mohamed Boudiaf, condamné à mort par Ben Bella pour avoir lancé le Parti de la Révolution Socialiste (PRS), puis par l’évasion de la prison d’El Harrach le 1er mai 1966 de Hocine Aït-Ahmed, un autre fondateur du FLN ayant également participé à la création du PRS.                                          «C’est l’Etat-armée sous Houari Boumediene qui tient véritablement le parti FLN, et non le parti unique qui tient l’Etat» affirme avec raison Benjamin Stora.

Quel terrain peut-il alors rester à des «pieds-rouges» marxistes abjects qui suscitent toujours plus la méfiance à juste titre d’un Etat qui substitue progressivement au rêve idiot autogestionnaire qui ne peut pas fonctionner, la réalité brutale d’un centralisme bureaucratique mais fortement teinté d’islamisme ? Réalité qui peut prendre la forme, du point de vue de la police algérienne formée par la police française, de la torture destinée à tout ce qui peut ressembler de loin ou de près à une opposition, comme l’Organisation de Résistance Populaire (ORP) créée à Alger par des membres du FLN en lutte contre le «fascisme» du «gang du 19 juin» (Le coup d’État du 19 juin 1965 en Algérie ou le «redressement révolutionnaire» est un putsch militaire animé par le «colonel» auto-proclamé Mohamed Ben Brahim Boukharouba dit suivant la mode marxiste de l’époque Houari Boumédiène, ministre de la Défense, à l'issue duquel le président de la République Ahmed Ben Bella est renversé et Boumédiène devient le nouveau président de l'Algérie de 1965 à 1978. Le «colonel» commandant en Oranie a pris comme «nom de guerre» celui du célèbre mystique soufi Sidi Boumédiène, saint et savant musulman, dont un sanctuaire à Tlemcen perpétue la mémoire. Dès le lendemain du coup d’État, la chasse aux «Ben Bellistes» et aux opposants de gauche la plupart communistes est lancée dans les ruelles de la capitale, à la fois massive et violente. Les camions de l'armée sillonnent les rues d'Alger, les manifestants parcourent les rues aux cris de «Boumédiène assassin», ils sont environ entre 2 000 et 3 000 personnes. La radio passe en boucle des appels au calme et des menaces à l'encontre des manifestants. Plusieurs arrestations musclées ont lieu, dont 50 Français marxistes ou gauchistes accessoirement partisans de Ben Bella et de l’Internationale Communiste. À Constantine, les arrestations et les disparitions des mêmes vont se multiplier au fil des semaines. À Annaba, il y a plusieurs arrestations et une centaine de morts. À Oran, les rues sont quadrillées par les automitrailleuses et les patrouilles militaires. Une manifestation «spontanée» composée en majorité d'étudiants se déroule place d'Armes, et plusieurs d'entre eux sont arrêtés et torturés par la Sécurité militaire islamomarxiste).
Voyons le cas d’une certaine Gilberte Chemouilli, née en 1921, peut-être à Alger, juive Erev Rav, militante communiste depuis 1938 ; après la guerre, est employée à Alger Républicain le Pifou d’Alger comme dactylo du comité central du PCA, avec son mari Taleb Bouhali, présentée par le PCA comme exemple de couple «mixte» (?). Compagne de William Sportisse un juif Erev Rav lui aussi communiste, elle avait été arrêtée après le coup d’Etat du 19 juin 1965 et sauvagement torturée dans les locaux de la sécurité militaire par les «révolutionnaires» islamomarxistes de l’ami Boumediene. Avant de goûter aux gaies  geôles de l’Algérie libre, indépendante, humaniste et démocratique, elle avait séjourné déjà dans les prisons 4 étoiles Françaises pour ses immondes activités de traitre à la France et d’activiste communiste. En 1940, âgée à peine de 23 ans, elle avait partagé sa belle prison avec l’un des nombreux «secrétaire-général» du PCA, Kaddour Belkaïm qui périra en détention. Elle était veuve avant de connaître William (William Sportisse a lui-même un long parcours politique de traître à la France: entré au Parti communiste algérien (PCA) dans la clandestinité imposée par la Troisième République, il devient après-guerre dirigeant des Jeunesses Communistes, de l’Union de la jeunesse démocratique algérienne (UJDA) et du PCA à Constantine et Alger, avant d’être responsable d’une émission de radio clandestine en langue arabe émise depuis Budapest en Hongrie devenue communiste membre de l’IC et du Komintern à destination du Maghreb en 1954-1955. À partir de 1956 et durant tous les événements et opérations de maintien de l’ordre dans les départements Français d’Algérie, il est à la tête du tout petit noyau communiste clandestin de Constantine, échappant aux recherches policières et coordonnant les réseaux terroristes de propagande et de soutien matériel au FLN-ALN. Après  l’indépendance,  membre de la rédaction du quotidien  Alger Républicain et devenu un des très rares citoyen algérien communiste (environ 70), il est victime de la sympathique répression qui vise les opposants au coup d’État de Boumediene en 1965, emprisonné puis torturé et enfin assigné à résidence, il ne retrouve la liberté qu’en 1974. Avec sa compagne Gilberte Chemouilli, il a vécu et milité en Algérie jusque 1994, alors que la plupart de ses «camarades» non-musulmans restés à l’indépendance avec ceux dit  «pieds-rouges» que le musulman plus ou moins socialope Boumediene ne pouvait pas à juste titre supporter et qui ont quitté le pays peu après 1965 à grand coup de pied au cul. En «exil» en France depuis 1994, il  poursuit jusqu’à ce jour sa triste activité  de terroriste et de rebelle payé par la France au  sein du Parti algérien pour la  démocratie et le socialisme (ici des infos de première main sur les horreurs communistes et les crimes contre l’humanité en cours d'exécution), PADS héritier du PCA interdit en Algérie dès 1964, installé en France). Le premier mari de Gilberte Chemouilli, Taleb Bouali, dirigeant communiste et rebelle est zigouillé par nos soldats dans les rangs des terroristes l’ALN en wilaya 4. Voici ce qu’écrivait Henri Alleg au sujet de Gilberte dans la présentation du petit livre «Les torturés d’El Harrach», livre composé par les témoignages des militants communistes arrêtés et torturés par les Islamomarxistes arabes algériens après le 19 juin 1965: «Gilberte Taleb, si frêle, si claire, si simple dans sa bonté et son dévouement absolus qu’elle trouvait «normal» que sa vie, comme celle de son mari Bouali Taleb (…), faite de peines et de sacrifices. Si modeste, qu’elle n’a même pas conscience de son héroïsme lorsqu’elle explique à son défenseur pourquoi elle avait tenté de fuir au moment de son arrestation : «J’avais peur de ne pas tenir le coup sous les tortures. J’espérais qu’ils me tireraient dessus quand j’essaierais de fuir». Tous ces traîtres communistes expulsés d’Algérie, complices de monstrueux crimes contre l’humanité se sont retrouvés en France ou ils ont passé des retraites dorées payées avec une partie de l’argent des malheureux pieds noirs qu’ils ont contribué à voler et souvent massacrer, que leur noms soit maudits et leur mémoire effacée à tous jamais.                                                                                           Quoique j’ai envie d’un petit dernier (pour la route) car le «cas» de Lucien Hanoun ou Hannoun est particulièrement intéressant : Né en 1914 dans une famille Française de religion Israélite d'Algérie, Lucien Hannoun n'a pas connu son père tué pour la France sur les théâtres des opérations au cours de la guerre de 1914-1918 (Désiré Nessim Hanoun, de confession Israélite et Français avec un grand F, parti au front dans son uniforme de Zouave dès le déclenchement du conflit mondial et disparu à jamais en Serbie. «Mort pour la France», diront les documents officiels, comme à propos de deux de ses frères, les oncles de Lucien). Il a été élevé par son beau-père et sa mère qui s'était remariée (en 1921 avec Émile Timsit, chef-comptable dans une banque, et donnera naissance à Ulysse, né en 1922, et Armide, née en 1925, qui grandiront avec Lucien et deviendront très malheureusement eux aussi communistes). 

En 1956, cette marxiste de 64 ans subira en quelques semaines le décès de son mari, l’internement de son fils Lucien et l’expulsion de sa fille Armide, soupçonnée d’avoir posé une bombe pour les réseaux communistes pour le compte du FLN. Restée seule à Alger, elle rendra visite à Lucien en prison et à préparer des colis pour ses codétenus, avant de se rendre chez son fils Ulysse, enseignant à Béziers, dont le domicile subira en sa présence une action de l’OAS). En sa qualité de pupille de la nation Lucien put poursuivre ses études secondaires en métropole au Lycée Lakanal. Il termine ses études avec le titre de professeur de l'enseignement secondaire. En métropole, il milite activement dans le très rouge syndicat des enseignants, notamment dans les «luttes» déjà très marxiste culturelles pour «l'école émancipée» un des premiers syndicats Stalinien de France. C’est dans ce cadre qu’il écoute une intervention du «camarde»  Lucien Sportisse militant Marxiste-Léniniste. En 1938, celui-ci  l’invite à rejoindre les communistes.                                                        Il revient dans le département d'Oran dans les années 1940 et il va enseigner comme professeur au lycée de Sidi-bel Abbés. Mais les lois de l’état Français avec l'abrogation du décret Crémieux vont lui interdire d'enseigner dans les établissements de France,  déchu de la citoyenneté française et désormais considéré comme un «indigène israélite», il est révoqué de l’enseignement le 18 décembre 1940. Il enseignera alors dans des écoles juives qui étaient plus ou moins «clandestines». En 1941, avec d’autres enseignants de confession Israélite révoqués, il rejoint le lycée Maïmonide, mis en place pour accueillir les enfants juifs exclus des écoles. Il s’y trouve en contact avec des jeunes juifs devenus des Erev Rav marxistes, dont certains, à l’image de Daniel Timsit entament une précoce politisation communiste et terroriste. Chargé par le Parti communiste algérien (PCA) clandestin de diriger les Jeunesses Communistes d’Alger, Lucien chapeaute un réseau d’une petite dizaine de jeunes garçons et filles, parmi lesquels son demi-frère Ulysse et sa demi-sœur Armide, déjà visé à l’âge de 15 ans par une perquisition au domicile parental. Malgré le débarquement anglo-américain du 8 novembre 1942 à Alger – de l’imminence duquel Lucien a été informé par des collègues impliqués dans sa préparation –, les discriminations continuent. Mobilisé dans les unités de pionniers israélites, au sein desquelles les juifs fortement soupçonnés d’être des communistes sont privés d’armes et astreints à des tâches subalternes, il est encadré par des officiers français ; après la dissolution des unités de pionniers, et malgré sa volonté de participer au combat armé, il est comme beaucoup de juifs soupçonnés à juste titre d’être des extrémistes marxisants et potentiellement des traîtres à la France tenu à l’écart des unités combattantes lors des campagnes d’Italie, de France et d’Allemagne.
Démobilisé et nommé professeur à Sidi-Bel-Abbès puis Boufarik, Lucien regagne finalement Alger et le domicile familial en 1949. Le cœur de sa vie militante débute alors et se centre désormais sur la soi-disant question coloniale. Secrétaire de la section du PCA de la Casbah, il devient un personnage familier pour les habitants du quartier. Car Lucien est un militant de terrain, un porte-plumes de Moscou ancré dans son quartier et à l’écoute de ses résidents. Dans une Casbah profondément musulmane où les communistes se heurtent très souvent à une ferme hostilité et à un antisémitisme exacerbé, la tâche n’est pas évidente, d’autant plus que les communistes musulmans sont très très peu nombreux à y militer ouvertement. Il fait dire que dans le livre «Saint» le fameux Coran-iquetamère des barbaresques il est dit  que le juif est assimilé à un descendant du singe ou du porc. Cette haine envers les juifs est inscrite dans le marbre coranique, c’est une obligation divine quoiqu’en pensent les spécialistes du mensonge et de la takkia. Mais Lucien Hanoun s’accroche. Il parcourt les petites placettes et les ruelles pour y vendre Liberté et El Djazaïr El Jadida à la criée, s’essayant à quelques slogans en arabe avec un accent dont son camarade Tayeb Bouhraoua affirmait 60 ans plus tard avec amusement qu’il plaisait beaucoup dans la Casbah. Il assure des meetings improvisés bilingues avec son camarade Mahmoud Latrèche, qu’il porte parfois sur ses épaules à l’entrée des cafés maures. Il fait cotiser (racket maffieux) pour le parti, des petits commerçants musulmans et juifs de la rue de la Lyre, et anime devant des centaines d’arabes musulmans des projections de films en arabe dans les cinémas du quartier. Il est régulièrement gardé à vue par la police pour ses activités de propagande terroriste, comme pour ce tract rendant hommage en mars 1950 aux «dockers d’Algérie [qui] montrent à tous les «Algériens» le chemin de la lutte pour la Libération Nationale» en refusant de charger du matériel militaire à destination de l’Indochine en guerre. Et il observe les déboires des résidents algériens depuis sa fenêtre ou l’entrée de son immeuble, se tenant prêt à intervenir contre l’expulsion de locataires ou l’arrestation de militants. À l’été 1954, il va à la rencontre de femmes arabes qui se voient refuser l’inscription de leurs enfants dans l’école du boulevard, où il fut lui-même scolarisé dans les années 1920, et les aide à s’organiser en comité pour porter leurs revendications auprès des autorités.
Cette activité lui attire de nombreuses inimitiés. Au collège de Boufarik où il enseigne, il est un jour convoqué dans le bureau du proviseur où l’attend un Français qui n’a pas supporté la leçon d’éducation civique dispensée à son fils en classe de Cinquième, lors de laquelle Lucien a comparé le fonctionnement théorique des élections locales a des trucages électoraux soi-disant pratiqués en Algérie. Dans le même collège, un enseignant Français, l’entendant condamner le «colonialisme», croit utile de lui rappeler que sans la France et le décret Crémieux, qui a fait de ses grands-parents des citoyens pleinement français, il n’en serait pas où il en est. Et à Alger, où il s’entretient en 1954 avec le recteur à propos des refus d’inscription d’enfants indigènes et musulmans, il se voit opposer cette sentence lapidaire mais juste : «Vous, vous êtes un anti-Français !». D’autant que si ces enfants étaient sous le statut particulier «d’indigène» c’est parce que leurs parents ne désiraient pas devenir pleinement Français.
Cette même formule lui sera lancée par les juges militaires lors de son procès en 1958. Dans les premiers mois de la rébellion, en collaboration avec André Moine (dirigeant du PCA) et Alfred Gerson (envoyé du PC dit F), Lucien prend en effet la tête d’un réseau clandestin chargé de rédiger, confectionner et diffuser un journal et des tracts de propagande à destination des soldats français. Le journal se nommera La Voix des soldats, et paraîtra sous la forme de 9 numéros de 2 à 4 pages entre janvier 1956 et janvier 1957. Parfois fictivement rédigé par des soldats à la première personne du pluriel, La Voix des soldats se veut le pendant «anticolonialiste» du Bled, organe de l’armée française. On y développe une dénonciation du colonialisme qui n’existait pas en Algérie qui était des départements Français et une légitimation du terrorisme indépendantiste. On y appelle à une mobilisation des soldats pour la réduction du service militaire, pour un retour rapide dans les foyers et pour un cessez-le-feu. Surtout, on y enjoint les soldats à désobéir aux ordres, à condamner la torture, à fraterniser avec la rébellion, à soutenir leurs camarades insoumis et déserteurs, voire à envisager la désertion. Après l’été 1956 et les accords entre FLN et PCA, Lucien Hanoun est encouragé à poursuivre ce travail par un responsable du FLN, dont il apprendra plus tard qu’il le considérait à compter de cette date comme un membre du Front.



Lucien fut arrêté en novembre 1956. Il n’échappa à la mort que grâce à la campagne de mobilisation organisée en France, notamment par ses anciens condisciples français. Condamné à quatre années de prison, il sera ensuite transféré dans une prison en France. Libéré en 1961, il revint clandestinement en Algérie sur la demande du Parti Communiste dit Français pour poursuivre ses combats de traître et de terroriste rouge  aux ordres de l’IC dans les départements Français d’Algérie. Il milita auprès de la direction du parti jusqu'à l'accession à l'indépendance.



Dès 1962 il reprend ses activités en tant que professeur dans un lycée de l'Algérie indépendante. Avec Gilberte Salem (épouse d’Henri Alleg) née Gilberte Serfaty il refuse de répondre aux sollicitations et aux pressions des responsables algériens afin qu'il choisisse le statut de coopérant. Il se déclare Algérien et obtient par sa résistance à ses sollicitations et pressions d'être intégré dans le cadre de la fonction publique algérienne sans bénéficier des avantages du statut de coopérant. Il poursuivra en même temps son activité au sein d’un Parti communiste algérien qui sera immédiatement interdit au lendemain de l'indépendance.

Deux ans après le coup d'Etat de 1965, il doit quitter le pays pour échapper à une arrestation probable en raison de son activité militante communiste. Il se rend en France, où il reprendra ses activités d'enseignant dans un lycée français, tout en poursuivant ses actions de traître à la France et cela avec les impôts des Français et des pieds noirs expulsés de «son» pays !
Il sera parmi les créateurs de l'immonde association loi de 1901 marxiste depuis 1996 dite ACCA Association contre le Colonialisme que présidait le traître Salem dit Henri Alleg. Il continuera au sein de cette association à manifester sa fameuse «solidarité» avec les «combats» du peuple algérien contre l'impérialisme et le néo-colonialisme. Il militera ensuite activement avec l'ACCA au côté des associations soutenant le combat du peuple sahraoui pour son indépendance (Spécialiste des causes allah con et marxistes léninistes, le crétin de l’Atlas et néanmoins «professeur» Lucien ignore que le fameux «peuple» sahraoui n’existe pas. Lors de la conquête espagnole à la fin du XIXe siècle, les habitants du Sahara occidental étaient appelés los nativos ou las gentes del Sahara. Ils appartenaient à plusieurs groupements tribaux nomades ou semi-nomades aux appartenances ethniques diverses, maintenant pour chacun des liens de nature différente avec les entités voisines (Maroc et émirats mauritaniens (Chinguetti, Trarza, Brakna et Tagant)) et établis de part et d'autre des frontières du territoire).
Il célébra son centième anniversaire en septembre 2014 à la fête de l'Humanité. Il fit un discours émouvant pour appeler les forces populaires à soutenir le combat juste et légitime du peuple Sahraoui qui n’existe pas (c’est moche de devenir vieux et con). Les obsèques de Lucien ont eu lieu mercredi 11 avril 2018 à 14 heures 30 au cimetière de Thiais (Si des fois vous ne savez pas où aller cracher).
Interrogé en 2007 sur la réception et l’impact de ce rouge torchon  La Voix des soldats qui ne paraîtra que sous la forme de 9 numéros de 2 à 4 pages entre janvier 1956 et janvier 1957, Lucien Hanoun avouait qu’il n’en avait jamais eu le moindre écho. Il insistait sur les multiples contraintes auxquelles le réseau de traîtres avait dû faire face : la clandestinité, la répression, mais aussi l’absence de soutien réel de la part du PC-(F), que Lucien avait sollicité en vain pour obtenir le contact avec des appelés communistes français. Parallèlement à une diffusion à l’aveugle dans des lieux fréquentés par des militaires, c’est donc en s’appuyant sur des appelés communistes algériens que le réseau fait parvenir ses écrits dans les casernes, notamment à la base aérienne de Hussein Dey, par l’intermédiaire de Pierre Khalifa – condamné à deux ans de prison fin 1956 –, et à la caserne de Batna, par l’intermédiaire de Jean-Pierre Saïd (en 1947, Jean-Pierre Saïd, âgé de 14 ans et déjà juif érev Rav, quitte définitivement l’école, exclu du lycée Bugeaud pour ses très mauvais résultats. Il n’en sera pas moins embauché cinq ans plus tard par l’IC comme journaliste (sic) à Alger Républicain, conséquence inattendue de la première des trois arrestations qu’il subira en une dizaine d’années). Si la diffusion du journal fut sans doute extrêmement réduite, le général Massu a rappelé dans ses mémoires que l’action du réseau fut prise très au sérieux par l’armée et par le gouvernement français, attachés à détruire ce qu’ils percevaient comme une activité dangereuse et terroriste.
La police Française ne restait pas inactive devant le terrorisme des communistes. Un premier coup est porté au réseau en novembre 1956, lorsque Lucien Hanoun, déjà soupçonné d’être rédacteur de la feuille et visé par une note de police le décrivant comme «particulièrement dangereux, en raison de sa connaissance de la langue arabe et des liaisons qu’il assure avec les milieux musulmans», est arrêté en même temps que 35 militants d’Alger et interné au camp de Lodi sur décision administrative. Le réseau poursuit toutefois son action sous la direction d’un autre traître lui aussi enseignant, Georges Torrès, jusqu’aux arrestations de mars 1957 qui aboutiront à l’inculpation de 26 scélérats hommes et femmes par le tribunal militaire d’Alger. En pleine «bataille d’Alger», les interrogatoires musclés sont pratiquée systématiquement contre les membres  du réseau de traîtres communistes. Omar Djeghri y laissera la vie (Madame Marie Moatti aurait été témoin (sonore) à la villa Sésini de la mort d’Omar Djeghri. Marie Moatti née en 1925 à Alger était la fille de Marcel Salomon Moatti et de Fortunée Yvonne Moatti. Docteur en médecine. Compagne de Sadek Hadjerès (n°1 du PCA clandestin avec Bachir Hadj Ali). Militante du PCA depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale membre de la cellule marxiste des étudiants de l’université d’Alger. Arrêtée en octobre 1956 dans le cadre du démantèlement du réseau bombes communiste dit de «fabrication d’explosifs» de la Zone autonome d’Alger. Madame Marie a bien participé à ce réseau comme Audin et sa famille, comme hébergeuse de terroristes et de poseurs de bombes (notamment Hadjerès). Bénéficie d’un non-lieu le 7 mars 1957. Mais elle est de nouveau arrêtée le 15 mars. Les avocats métropolitains Braun et Douzon écrivent au président du Conseil en avril 1957 pour demander de ses nouvelles ainsi que de celles de deux autres arrêtés (Mohamed Abdelli et Gilbert Cohen). Le président transmet à Lacoste, qui répond le 15 avril 1957 que tous les trois ont été libérés (lettre présente dans ANOM/GGA/12 CAB 231). Elle sera par la suite expulsée vers la France. Informations provenant des dossiers d’instruction des tribunaux militaires (SLNA), tandis que le démantèlement du groupe de traîtres, criminels communistes terroristes et poseurs de bombes conduit de proche en proche à l’arrestation et à la disparition de Maurice Audin en juin 1957).
Lucien Hanoun, interné bien avant les autres et extrait du camp de Lodi par les parachutistes alors que le réseau est déjà largement démantelé, échappe aux interrogatoires musclés. Considéré à juste titre comme un des principaux responsables du groupe, il écope d’une peine très indulgente de quatre années de prison grâce au soutien de nombreux enseignants de France, dont ses anciens condisciples de khâgne. Interrogé en 2007, il rapportait son premier dialogue avec les juges lors du procès de 1958 :
Ils citent mon nom : «Hanoun Lucien…» – moi j’ajoute «Mimoun» ; «… fils de Hanoun Désiré… » – j’ajoute «Nessim» ; «… et de Sultan Anaïs» – j’ajoute «Nedjma». Et Nedjma, c’est un nom célèbre, c’est le nom du roman de Kateb Yacine, et ils devaient le connaître ! Alors ils se sont regardés, et j’ai dit : «aussi haut que je remonte parmi mes ancêtres, je trouve des Algériens». « Ah, c’est pour ça que vous êtes devenu nationaliste ?» ; «J’suis pas nationaliste, j’suis communiste !». Ça a commencé comme ça. Une façon de redresser la barre. Là c’est bien l’aveu ! Je ne suis pas «nationaliste» dira Hanoun un des traîtres Français chefs de la rébellion en Algérie, précisant qu’il est «communiste» !
Cette proclamation d’algérianité, Lucien Hanoun la met rapidement à l’épreuve dans les prisons de Barberousse, Maison-Carrée, Boufarik, Berrouaghia et des Baumettes, où il est mêlé à des détenus rebelles fellaghas musulmans avec lesquels ses relations ne sont pas très bonnes. Avec les militants de la base du FLN, les illettrés au QI de protozoaires, il vit une réelle fraternité, avivée par les «luttes» communes et les solidarités quotidiennes : 50 ans plus tard, il racontait avec émotion les cours de français qu’il dispensait à de jeunes fellouzes. Mais avec les cadres du FLN, les tensions sont très fréquentes : certains entraînent le boycott de ses cours de français en l’accusant justement de chercher à répandre l’athéisme parmi les détenus, tandis qu’un autre lui déclare lors d’une promenade : «Les communistes, à la libération, on les pendra».
Dès avant l’indépendance, Lucien Hanoun sait donc que la reconnaissance comme «vrais Algériens» des communistes, particulièrement non musulmans, s’avérera très difficile. Il n’en bataille pas moins dans les premiers mois de l’Algérie nouvelle pour cette reconnaissance, en refusant d’être considéré comme un coopérant français et en s’élevant contre les dispositions restrictives du code de la nationalité algérienne de mars 1963 envers les non-musulmans. Jouant finalement le jeu de la demande de nationalité algérienne – qu’il obtient en juillet 1963 – et du titre d’ancien «moudjahid» – qui lui est reconnu en mars 1965 – (C’est là encore une fois que l’on voit la duplicité de ses juifs érev Rav, de ces traîtres à la France, car en principe le moudjahid est un combattant de la foi musulmane qui s'engage dans le Djihad ! Alors ancien juif devenu un athée marxiste soit un Erev Rav communiste, tu parles d’un beau combattant de la «foi»), Hanoun  poursuit son militantisme allah con dans le mouvement syndicaliste enseignant et adhère au FLN après l’adoption de la charte dite socialiste d’Alger par le parti unique en 1964. Refroidi par le coup d’État de Boumediene en 1965 et par une politique d’arabisation qui le marginalise en tant qu’enseignant de français et non-arabophone, il s’éloigne du FLN et se résigne à quitter l’Algérie en 1967. Continuant évidemment son militantisme de traître communiste en France qui le paye avec l’argent des impôts des Français qu’il hait, il n’aura de cesse d’avoir les yeux tournés vers le Maghreb, en s’impliquant notamment dans le soutien à l’autodétermination du Sahara occidental. Vivant une retraite paisible payée par la France dans un appartement modeste de Vitry-sur-Seine, il confiait la joie qui le gagnait lorsqu’il parvenait à échanger quelques mots en arabe avec d’autres exilés de banlieue parisienne. Il y a eu beaucoup de coup de pied au cul perdu et des pelotons d’exécution manqués dans cette affaire.
Quelques années plus tard pour l'hebdomadaire Jeune Afrique, Boumédiène incarnera un «socialisme spécifique», «sorte d’idéologie marxiste-léniniste teintée d’arabisme forcené et de charia approximative». Tiens elle est pas mal celle-là, en deux mots c’est de l’Islamomarxisme non ? Vous voyez «amis» cocos abrutis et autres trous du cul «altermondialistes» comme vos idiotes questions trouvent souvent des réponses dans l’étude de l’histoire.
Dans les années 1970 malgré une décennie marquée par une euphorie militante et créatrice de mélanges arrachés au dogmatisme d’un Etat-FLN, ce dernier ne sait vraiment plus que faire de ces «socialistes en peau de lapin». Et il va bientôt leur préférer l’apolitisme des coopérants missionnés par l’État français. Les premiers départs sont actés à partir de l’été 1965, et le retour difficile de bon nombre de pieds-rouges (l’État français veut juger certains insoumis) s’effectue dans l’absence d’un bilan collectif des tristes expériences socialistes menées.
Tiens si on revenait à m’sieur le camarade Audin et à l'exfiltration clandestine à l'étranger de Larbi Bouhali, premier secrétaire du PCA.
Larbi Bouhali lui, au début de la rébellion, s’était déjà réfugié courageusement en métropole et le 13 septembre 1955, après la dissolution du Parti Communiste algérien, il s'installe en Tchécoslovaquie selon Henri Alleg un des grands patrons du Communisme en Algérie dans son livre «Souvenirs Algériens». Encore un gros mensonge coco ! Le camarade Bouhali on l’a vu plus haut a été «exfiltré» en 1956 en direction de la Tchécoslovaquie par le bien connu maintenant membre du réseau bombes d’Alger ce cher Maurice Audin ayant assuré la logistique avec sa sœur Charlie et son beau-frère Christian Buono. En 1962 à l'indépendance de l'Algérie, il reste plusieurs mois en Allemagne de l'Est, et rentre en Algérie, mais «s'exile» à nouveau (avec d'autres très courageux dirigeants communistes), quelques mois après le coup d’État de 1965. Il devient membre de la direction centrale du sans éclater de rire SVP, Mouvement Démocratique et Social. Larbi Bouhali a représenté les communistes algériens qui n’existaient plus à différents événements internationaux, tels que le 10e anniversaire de la célèbre et criminelle contre l’humanité République populaire de Chine à Pékin en 1959 et à la réunion internationale de 1969 des partis communistes et ouvriers à Moscou).
On vient de voit intervenir dans l’affaire Audin Christian Buono, un militant marxiste et terroriste rouge du Parti Communiste Algérien. Descendant d’une famille italo-maltaise immigrée en Algérie, il était né le 8 décembre 1923 et avait passé une dizaine d’années de sa vie à Constantine. Pendant la deuxième guerre mondiale, en 1941, il entre à l’École Normale de Bouzaréah (Alger) et à sa sortie il est nommé instituteur à Burdeau où il exerce sa profession de 1945 à 1947. Il s’était marié en 1947 avec Charlye Audin, sœur ainée du camarade complice des terroristes du «réseau Bombes» à Alger Maurice Audin. Son influence politique marxiste aurait contribué à l’adhésion de Christian, en 1955, au Parti communiste «algérien», en pleine rébellion. Charlye et lui sont enseignants dans des écoles de Tizi-Ouzou, Tigzirt, Mizrana et Makouda. Tous deux reviennent en 1956 à Alger, plus précisément dans la Cité «populaire» de la Montagne où ils vont exercer leur profession d’enseignants du primaire.
Tous deux deviendront avec Maurice les logeurs des dirigeants terroristes clandestins du Parti communiste Algérien tels qu’on vient de le voir le courageux Larbi Bouhali, premier secrétaire, puis Paul Caballero et André Moine. Pendant cette période, Christian Buono aura la charge de rechercher des planques pour les camarades terroristes, les armes et pour le matériel d’impression des publications clandestines du PCA. C’est dans la demeure de Charlye et Christian qu’André Moine sera arrêté en 1957. Christian Buono le sera également. Emprisonné à Barberousse il sera dans la même cellule qu’Harry Salem dit Henri Alleg qui lui aurait raconté sa dernière rencontre avec Maurice Audin.
Mais en 1959 le tribunal permanent des forces armées à Alger, au procès de plusieurs militants communistes poursuivis à la suite de leurs actions terroristes de traîtres à leur patrie, le condamne à seulement cinq ans de prison. Internés avec d’autres militants et dirigeants communistes ou rebelles fellouzes, Christian y demeurera pendant deux années. Son avocat, Maître Matarasso qui milite au Parti communiste français, parvient à lui obtenir de ce tribunal la liberté médicale avec une assignation à résidence à son domicile en raison soi-disant d’une augmentation des troubles de sa vue. Le terroriste rouge Christian Buono parvient à fausser compagnie aux services de police qui assuraient sa surveillance. Il disparaît, retrouve une bonne vue par l’opération du saint esprit humaniste, prend le nom de Michel Marchand et milite clandestinement dans le PCA notamment dans le réseau «Bombe»  jusqu’à l’indépendance. A ce moment-là, il reprend aux côtés de son épouse son métier d’enseignant à l’école primaire de la Cité de la Montagne. Elle devient une école modèle de type soviétique que le Premier Président de la République Algérienne, Ahmed Ben Bella, visitera.
En janvier 1957, était lancée l'opération dite plus tard «bataille d'Alger», pour laquelle la 10e Division Parachutiste du général Massu qui détiendra les pouvoirs de police dans la zone d'Alger s’illustra brillamment.
En mars 1957, Maurice Audin héberge un autre dirigeant communiste, Paul Caballero, au moment où celui-ci doit être soigné par un médecin, on choisit évidemment Georges Hadjadj, membre du Parti.
Hadjadj, Juif érev rav qui se définissait lui-même et sans rigoler comme un «juif arabe» militait avec les étudiants communistes de l’université d’Alger puis dans le quartier de Bab El Oued, où il s’installait comme médecin pneumologue au début des années 1950. Après 1955, il met sa résidence secondaire à disposition du Parti Communiste illégal et terroriste, qui y abrite son imprimerie clandestine et y fait transiter une grande partie des armes volées par l’aspirant Henri Maillot en avril 1956. En juin 1957, il est arrêté par les forces de l’ordre les parachutistes, il est mis en garde à vue et interrogé plusieurs jours à El Biar, puis détenu 18 mois en prison avant d’être interné au camp de Lodi jusqu’en juin 1959, date de son expulsion vers la métropole. Georges Hadjadj va faire l’objet d’un certain ostracisme de la part d’une partie de ses ex-camarades du PCA : certains lui reprocheront avec juste raison d’avoir «donné» le nom et l’adresse de son camarade de réseau Maurice Audin.
Et c’est ainsi que le 11 juin 1957, les militaires chargés de leur mission de police viennent chercher Maurice Audin vers 23 heures. Une demi-douzaine d'hommes du 1er régiment des chasseurs parachutistes (RCP) dont le capitaine Devis et le lieutenant Philippe Erulin grimpent les trois étages de l'immeuble HLM de la rue Flaubert, dans le quartier du Champ-de-Manœuvre, et tambourinent à la porte. Josette, la femme d’Audin, elle aussi professeur de mathématiques et membre active du réseau bombe, ouvre la porte. Les trois enfants, Michèle, 3 ans, Louis, 1 an et demi, et Pierre, 1 mois, dorment.
«Je me souviens d'une invasion dans l'appartement, tout s'est passé très vite, raconte-t-elle. J'ai été enfermée dans une pièce et n'en suis sortie que pour dire au revoir à mon mari. Quand, plus tard, j'ai demandé des renseignements au bureau des militaires, on m'a répondu d'un ton patelin : «Il y a des interrogatoires un peu musclés, mais ne vous en faites pas».
Interrogatoires un peu musclés ! Certes, et même violents mais à Alger le mois de juin est l'un des plus sanglants. Une bombe parmi beaucoup d’autres posée par le réseau «bombe» des communistes dont Josette et Maurice Audin vient de faucher la jeunesse d’Alger, qui swinguait avec le groupe de jazz Lucky Starway au Casino de la Corniche. 8 morts, 92 blessés.


Le chef d'orchestre est tué sur le coup, un danseur a les jambes sectionnées. Les obsèques des victimes, le 11 juin, tournent à l'émeute. Le couvre-feu est instauré en catastrophe à 21 heures. Deux heures plus tard, les parachutistes frappaient à la porte de Maurice Audin.
Georges Hadjadj la balance d’Audin est un témoin, des dernières heures du traître Audin. Egalement terroriste rouge et membre du Parti communiste, il a été arrêté peu de temps avant lui, et immédiatement emmené à El-Biar. Les interrogatoires durent trois jours. Le troisième soir, sans recours à quelque «torture» que ce soit un des officiers parachutistes menace d'aller chercher sa femme et de la torturer sous ses yeux. Il craque et avoue qu'il a soigné, au domicile de Maurice Audin, un des dirigeants du Parti l’envoyé spécial de l’IC un des activistes di Komintern formé à Moscou à l’action révolutionnaire et terroriste, le soi-disant «ouvrier métallurgiste» Paul Caballero. Quelques heures plus tard, le jeune mathématicien est ficelé sur une planche, au deuxième étage, dans une pièce disposant d'un évier et d'un robinet. Georges Hadjadj doit répéter devant lui son accusation.
«Audin était attaché en slip, et étaient fixées d'une part à son oreille et d'autre part à sa main des petites pinces reliées à la magnéto par des fils», déclarera  Hadjadj la balance en 1960 au Comité Audin, créé, entre autres, par l'historistrion marxiste Pierre Vidal-Naquet. Les deux traîtres passeront ensuite une journée entière dans la même pièce, le 19 juin. «Il portait encore les séquelles des sévices, notamment des escarres noires où avaient été accrochées les électrodes, déclara Hadjadj. Mais il avait quand même bon moral. Il m'a dit qu'il avait résisté, qu'il n'avait pas parlé. Je n'imagine pas une seconde qu'il ait pu s'enfuir».
A mon humble avis, Audin est mort d’une crise cardiaque n’ayant pas résisté à la «Gégène». Gégène est l'abréviation de (groupe électro)gène avec redoublement, pour faire jeu de mot avec Gégène, forme populaire du prénom Eugène. La gégène fut utilisée dès les années 1930 par la Sûreté Générale Indochinoise entre autres chargée de la répression des mouvements communistes vietnamiens. Elle fut ensuite utilisée durant la bataille d'Alger, sur les traîtres membres terroristes  communiste du PCA et du Front de libération nationale (FLN), pour leur soutirer des informations, tels que les emplacements de bombes à retardement. Le générateur se présente comme une dynamo électrique manuelle, le principe était de placer les électrodes (+/-) à différents endroits du corps, afin que le courant électrique – un courant continu de basse tension – traverse celui-ci. La plupart du temps une électrode était placée sur une oreille et l'autre sur les parties génitales, ce qui permettait, selon l'intensité et la durée d'utilisation, de dépasser le seuil de douleur d'électrisation propre à chaque individu, dans le but d'obtenir des renseignements. Cette technique a été décrite dans un manuel d’interrogatoire français intitulé Le manuel de l’officier de renseignement, écrit par le colonel Bigeard.
Le corps d’Audin ne pouvait pas être rendu à sa famille puisqu’une souricière avait été installée dans l'appartement de la famille Audin, ou Henri Alleg, ancien directeur du journal Alger républicain et un des chefs du réseau, est arrêté le lendemain. Cette «souricière» restât en place, les forces de l’ordre tentant d’arrêter d’autres terroristes du réseau «bombe» ce qui explique que les forces de l’ordre firent disparaître le corps d’Audin.
Cette disparition aura bien sûr des effets considérables : c'est le début de «l'affaire Audin».
Emmanuel Macron qui ne sait pas ce qu’est que l’armée Française n’ayant même pas effectué de service militaire il reconnait en 2018 «au nom de la République française, que Maurice Audin (oubliant sa qualification de complice communiste des terroristes du réseau Bombe) a été torturé puis exécuté ou torturé à mort (ce qui n’est pas tout à fait la même chose) par des militaires (disposant à l’époque des pleins pouvoirs qui l’avaient arrêté à son domicile).
Comment cette déclaration est-elle reçue en France et en Algérie ?
Alger a réagi via le ministre, Tayeb Zitouni. Il a qualifié le geste d’Emmanuel Macron de «pas positif louable», rapporte le site de Radio Algérie. Il a ajouté que cette annonce «est une preuve qu’il y aura davantage de reconnaissances», signe qu’il y a encore des attentes côté algérien.
Pour l’historiocrate marxiste culturel, de 1968 à 1984, membre du groupe trotskiste d’Ultra Gauche Alliance des jeunes pour le socialisme, l'organisation de jeunesse de l'Organisation communiste internationaliste (AJS-OCI), dernier cercle de l’enfer où s’agite en monologuant la multitude confuse des sectateurs livrés à leurs obsessions d’antiprolétariens, d’antisoviétiques et de contre-révolutionnaires spécialiste auto-proclamé de la prétendue «guerre» d’Algérie, Benjamin Stora, qui avait accompagné Emmanuel Macron lors de sa visite à Alger en décembre 2017, il s’agit d’une «décision historique». Elle va plus loin que les prises de position des précédents chefs d’Etat, et marque un seuil sur lequel il sera bien difficile de revenir», estime-t-il dans une tribune publiée sur le site du Monde.
Chez les politiques français, le geste du président a été immédiatement salué à gauche, et au premier chef par le parti communiste qui plaide depuis des décennies aux côtés de la famille. Pierre Laurent y voit «une victoire historique de la vérité et de la justice», se réjouissant que tombe «un mensonge d’État qui durait depuis 61 ans».
Comme souvent les journalopes merdiatocrasseux et marxistes culturels oublient volontairement de nous dire que le dénommé Audin était un traître à la France, complice d’un réseau de criminels terroristes rouges poseurs de bombes, assassins de femmes et d’enfants.
Sur le plan historique il serait peut-être bon de rappeler que le texte qui fut adopté à l'Assemblée nationale à Paris, le 12 mars 1956, par 455 voix, y compris celles des 146 députés du Parti Communiste s’affublant du nom de Français, contre 76, disait : «Le gouvernement disposera en Algérie des pouvoirs les plus étendus pour prendre toutes les mesures exceptionnelles commandées par les circonstances, en vue du rétablissement de l'ordre, de la protection des personnes et des biens et de la sauvegarde du territoire».
Le gouvernement du socialiste Guy Mollet et ses alliés communistes avaient ainsi sollicité et obtenu des «pouvoirs spéciaux» afin de disposer dans les départements Français d’Algérie des moyens d'intervention qui lui sembleraient bons, sans même en référer à l'Assemblée nationale, sorte de lutte finale et de grand soir.
Dès le début du mois de février, après un voyage à Alger au cours duquel il fut accueilli par des manifestations d'hostilité de la part de la population, Guy Mollet nomma comme nouveau gouverneur d'Algérie un socialiste, Robert Lacoste, qui réclama aussitôt des renforts militaires, qu'il obtint sans tarder. Le 28 février, tandis que Guy Mollet justifiait à la radio l'envoi de nouvelles troupes en Algérie, L'Humanité titrait: «Guy Mollet aux Algériens: guerre à outrance si vous ne déposez pas les armes» et réclamait qu'il entame des négociations et qu'il réalise la paix. Cette prise de position n'allait rendre que plus scandaleux le vote des pouvoirs spéciaux de ses députés, quelques jours plus tard.

Le 12 mars, le PC-(F) malgré sa haine éternelle contre la France votait la confiance au gouvernement Guy Mollet et lui accordait les pouvoirs spéciaux qu'il réclamait. Lors de son discours à l'Assemblée nationale, Jacques Duclos, au nom du groupe communiste, justifia ce vote en expliquant: «Les pouvoirs spéciaux sont demandés, nous dit-on, pour aboutir rapidement à la paix et pour contraindre, si besoin est, les grands possédants d'Algérie à renoncer à leurs privilèges». Duclos précisait d'ailleurs que «d'autres déclarations différentes ont été faites aussi, et elles sont relatives à des mesures militaires que nous ne saurions approuver», preuve qu'il ne pouvait ignorer ce que cachaient ces «pouvoirs spéciaux».

En fait, la façade légale, la direction du PC-(F) s'engageait à ne pas gêner le gouvernement et à faire accepter sa politique par la population et par les travailleurs du pays. Il espérait que le soutien de ses députés au gouvernement Guy Mollet lui vaudrait, en retour, de réintégrer le jeu politique traditionnel, d'autant que le Parti, dans son souci d'apparaître responsable aux yeux de la bourgeoisie française, parlait de «paix en Algérie», mais se gardait bien de revendiquer le droit du peuple algérien à l'indépendance, tout en aidant de toutes ses forces le FLN en fabriquant et posant les bombes terroristes meurtrières qui ensanglantaient Alger.


Depuis 1947, avec la Guerre froide, le PC-(F) avait été déclaré infréquentable par tous les autres partis. Après la mort de Staline, en 1953, sa direction avait espéré un changement d'attitude à son égard et n'avait pas ménagé ses offres de services. En vain. En 1954, Pierre Mendès-France avait même refusé d'inclure dans le total des voix pour son investiture celles des députés communistes. Au début de cette année 1956, l'espoir de mettre fin à cet ostracisme passait loin devant tout ce qui concernait le sort des habitants des territoires Français d’Algérie.                             Le 17 mars 1956, Guy Mollet signait avec son ministre de la Défense, Bourgès-Maunoury, celui de la Justice, François Mitterrand, et Robert Lacoste (gouverneur général de l'Algérie) un décret relatif à l'application de la justice militaire en Algérie. Ce décret donnait les pleins pouvoirs à l'armée, qui utilisa les interrogatoires  musclés et ce qu’il faut bien appeler torture (somme toute très modérée) contre les arabes musulmans terroristes (déjà) et les communistes terroristes assassins de civils, de femmes et d’enfants et contre tous ceux qu'elle soupçonnait d'aider le FLN ou les fanatiques terroristes musulmans ou communistes. De 200000 hommes début 1956, les troupes présentes en Algérie passèrent à 450000 hommes en juillet, afin d'assurer le «quadrillage» de la population que Robert Lacoste réclamait depuis son arrivée en Algérie.
Au commencement de 1957, les tensions sont particulièrement vives à Alger entre les différentes communautés. Dès lors, le 7 janvier, une ordonnance de Robert Lacoste confie au général Massu les pleins pouvoirs sur le Grand Alger. La 10ème division parachutiste, division élitiste qui compte en son sein de nombreux hommes nés en Algérie, anciens combattants d'Indochine, reçoit alors la mission de «pacifier» la ville.
Dans la plupart des ouvrages traitant de la fameuse «bataille d’Alger» la part belle est faite au FLN et particulièrement à un homme Yacef Saadi dont on peut dire qu’il est une sorte de communiste nationaliste soit un Islamomarxiste dont les altermondialistes et marxistes antiracistes d’aujourd’hui nient l’existence. Yacef Saâdi commence sa vie professionnelle comme apprenti boulanger dans la Casbah. En 1945, il rejoint le Parti du Peuple Algérien (PPA, fondé le 11 mars 1937 par Messali Hadj en France, après l'interdiction de l'Étoile nord-africaine (ENA) fondé en 1926 par Hadj Ali Abd el-Kader membre du comité directeur du Parti Communiste (SFIC). Quand le Komintern (la direction Internationale du Parti Communiste  en France la SFIC) demande que l'action du parti dit plus tard Français se développe parmi les «travailleurs» nord-africains, Hadj Ali Abd el-Kader fonde alors l'Étoile nord-africaine dans ce but), Yacef Saâdi est donc militant communiste du PPA parti marxiste et nationaliste interdit par les autorités auquel succéda sans rire SVP le Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD) qui possède déjà une  petite aile paramilitaire, l'Organisation spéciale (OS) ou de 1947 à 1949, Yacef Saâdi sert comme apprenti terroriste marxiste.



Entre l’automne 1956 et l’été 1957 les communistes d’Alger créent les filières de conception, de réalisation, de stockage et de distribution de bombes (réseau bombes) et organise les séries d’attentats à la bombe dans Alger. Ces attentats dans les lieux publics (bars et restaurants, hôtels, avenues et boulevards, transports en commun, stades, dancings) font des centaines de victimes civiles, y compris des femmes des vieillards et des enfants et sont souvent le fait de poseurs de bombes fournis par l’Islamomarxiste ou Messaliste  Yacef Saadi qui avait plus ou moins rejoint le FLN ou pour le moins que le FLN laissait faire.
Les chefs du réseau «bombe» d’Alger : En premier Caballero et Moine agents du Komintern formés à Moscou venant de métropole suivit des militants dit «journalistes» d’Alger Républicain : Henri Alleg et André Ruiz (Né le 12 avril 1911 à Colomb-Béchar, Ruiz est mort à Alger d’un cancer à la fin des années 1960 ; contrôleur des PTT à Alger, secrétaire général de la CGT en Algérie en 1949, membre du Conseil général de la Fédération Syndicale Mondiale prosoviétique formé à Moscou à l’école Internationale Lénine, membre du Bureau politique du PCA ; à la transformation de la CGT en UGSA en juin 1954, partage le secrétariat général avec Lakhdar Kaïdi auquel il laisse le premier rôle; emprisonné pendant la rébellion; à l’indépendance opte pour la nationalité algérienne), avec les Audin, Timsit, Maillot, Laban, le professeur Mandouze, le docteur Chaulet et son épouse, le papetier Gallice, le couple Gauteron, Evelyne Lavalette, la famille à Oran, du docteur Jean-Marie Larribère, tous marxistes et  complices sinon même poseurs de bombes pour le compte du FLN. Parmi ceux-ci se distingue Danièle Minne la poseuse de bombe de l’Otomatic, rendez-vous des étudiants qui fera cinq morts civils et 32 blessés horriblement mutilés. A quand la «reconnaissance» et l’hommage rendu à ses morts innocents par «l’état Français» ou un président marxiste culturel ?
Celle qui se fera appeler Djamila Amrane-Minne, née Danièle Minne aurait bien comme Audin mérité 12 balles dans sa peau de traître à sa patrie, est née le 13 août 1939 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) et morte le 11 février 2017 à Alger. Cette immondesque terroriste rouge est dite «intellectuelle» !
Fille et belle-fille d'ignobles activistes communistes terroristes et traîtres condamnés à mort, elle est une militante communiste «rallié» comme ses parents au Messalisme souvent dit à tort au Front de Libération Nationale utilisant des messalistes, une porteuse de valise et une terroriste criminelle poseuse de bombe à Alger. Elle bénéficiera de l'amnistie générale de 1962. Installée en Algérie, après l'indépendance, elle devient le premier professeur en «histoire de nationalité» algérienne. Mariée durant la rébellion à Khellil Amrane, tué peu avant le cessez-le-feu, elle épouse en secondes noces le frère de Khellil Amrane, Rabah Amrane. Elle porte en prénom un sobriquet arabo musulman, Djamila. Durant les années 1990, fuyant l’Algérie ou les communistes ne sont plus en odeur de sainteté, elle enseigne l'Histoire de la décolonisation en France qu’elle a trahie, à l'Université Toulouse II-Le Mirail ; elle était membre du Groupe de recherche sur l'histoire immédiate et payée avec l’argent des Français qu’elle haïssait.
Dans la famille Minne, une famille de traîtres et terroristes communistes on trouve la mère de Danielle, Jacqueline Netter juive érev rav morte le 18 janvier 2015 à Alger, et mère de Danielle qui s’était  mariée avec Pierre Minne, enseignant et militant communiste comme elle. Leur fille, Danièle Minne, naît en 1939. En 1942, en raison de ses origines juives, elle est internée par les Sociaux Nationalistes du Parti des Travailleurs Allemands. Heureusement avec l'aide de son mari, de militants communistes et d'un prêtre catholique, elle réussit à fuir vers la zone libre qui existait heureusement grâce au Maréchal Pétain. Jacqueline et son époux ainsi que leur fille partent s'installer au Sénégal, d'où ils sont rapidement expulsés pour activités communistes.                                                                      En 1948, les Minne partent enseigner le merveilleux marxisme léninisme criminel en Algérie. Ils s'installent dans la région de Tlemcen puis à Chetouane et à Négrier d'abord, puis à Aïn Fezza où Jacqueline est institutrice.
Divorcée, Jacqueline Netter se remarie en 1950, avec Abdelkader Guerroudj, militant du Parti communiste algérien et directeur de l'école où elle enseigne.
Engagés dans l’insurrection de novembre 1954, ses parents sont visés, en mai 1955, pour leurs activités nidoreuses de communistes par un avis d'expulsion du préfet d’Oran mais peuvent s’installer à Alger en janvier 1956, après avoir passé quelques mois en France en formation d’activistes marxistes
On a tendance aujourd’hui à faire croire au sujet de l’Algérie à une insurrection «populaire» ou dans les Djebels des arabes musulmans à 94 % analphabètes se seraient levés comme un seul homme pour faire une «révolution nationale», seulement c’est faux, ce sont les communistes internationalistes qui ont auprès d’hommes formés au communisme le plus total et aux idées extrémistes marxistes de type soviétiques et bolchéviques staliniennes qui ont déclenchés les hostilité et la rébellion après presque 40 ans de préparation.
L’URSS est souvent présentée comme ayant eu un rôle directeur par l’intermédiaire de la SFIC puis du (PC-F) et distribué les tâches – mais quelles tâches ? La seule qui soit assez clairement définie incombe à la Tchécoslovaquie : fournir des armes et une formation à la guérilla. Le rôle de la RDA est d’accueillir des traîtres dit «réfugiés politiques» et des étudiants et de les former/formater pour le futur État algérien. La distribution des «taches» se fera par l’intermédiaire d’agents Français du Komintern et membre de l’IC formés à Moscou. Tel des Alleg, Moine ou Caballero officiellement membres du PCA illégal.
L’exemple des «fils de la Toussaint», les neuf chefs historiques du déclenchement des événements d’Algérie est ici symptomatique.
Nous allons voir cas par cas que les neuf hommes  à l’origine de la rébellion en Algérie étaient tous des marxistes. Mais avant cela voyons l’origine de ce marxisme animant les futurs créateurs du FLN.
Tout commence avec Messali Hadj fils du Hadj Ahmed Messali et de Ftéma Sari Ali Hadj-Edinne. Son grand-père maternel était cadi et membre de la confrérie des Derkaoua. Le père de Messali était cordonnier. La famille respectait la tradition, le culte des saints, les fêtes et la pratique de la religion musulmane. À sept ans, Messali est inscrit dans une école primaire française. Son père refuse l'école coranique. Messali a des capacités d'observation et de mémorisation importantes. En 1917, il effectue son service militaire en métropole à Bordeaux.
Il se rend à Paris après la Première Guerre mondiale, ou il fréquente le Parti Communiste (PC-SFIC qui ne deviendra F qu’en 1943) et notamment Abdelkader Hadj Ali, né en 1883 au douar Sidi Saada près de Relizane ancien lieutenant de l'armée française. Abdelkader c’était rendu en métropole à l'âge de 18 ans. Militant du Parti Communiste connu alors sous le nom de Section Française de l’Internationale Communiste (SFIC) dès sa création, en décembre 1920, il est le premier Français musulman d’origine maghrébine porteur de l'idée anti-coloniale. Il milite à la commission de la SFIC dont il devient dirigeant aux côtés du vietnamien Hô Chi Minh. Abdelkader Hadj Ali cumulait deux fonctions, membre du comité central de la Section Française de l’Internationale Communiste (SFIC) et président de l'Étoile nord-africaine lors de la création de celle-ci en 1926. Hadj Ali Abd el-Kader est membre du comité directeur de la SFIC qui deviendra souvent à l’usage des illettrés indigènes dans les années 1930 le Parti Communiste s’affublant du nom de Français (PC-(F)) quand le Komintern dirigé par le Parti communiste de l'Union soviétique, exige que l'action du parti se développe parmi les travailleurs nord-africains. Hadj Ali Abd el-Kader fonde alors sur ordre de Moscou l'Étoile Nord-Africaine dans ce but. Cette organisation marxiste, selon la volonté de Hadj Ali Abd el-Kader, est fondamentalement «laïque» et compte bêtement se battre en complète collaboration avec la fameuse arlésienne la célèbre «classe ouvrière» française. Elle recrute la majeure partie de ses militants dans l'émigration ouvrière algérienne, militants qui sont placés sous surveillance par le Service des affaires indigènes nord-africaines de la Préfecture de police de Paris. Les buts avoués de cette association notoirement marxiste-Léniniste sont «la défense des intérêts sociaux, matériels et moraux» des travailleurs de cette région. En 1927, elle accueille Messali Hadj. Ce jeune Tlemcenien a des points de vue qui divergent de ceux de Hadj Ali Abdelkader moins préoccupé par la laïcité et faisant état de points de vue nationalistes, il veut engager le mouvement sur le terrain politique en se faisant porte-parole d'une revendication d'indépendance de l'Afrique du Nord (Maroc, Algérie et Tunisie au sein d'un ensemble national que serait l'Algérie). Il est membre et permanent du parti communiste et il est adhérent et militant de la CGTU. Le parti comprenait seulement de 3 à 4000 membres en 1924.
Il est maintenant évident même pour les plus imbéciles des marxistes culturels ou socialistes que les événements d’Algérie ont été téléguidés depuis Moscou et le PCUS chef de l’IC. Notons que le Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS) était le seul parti politique autorisé dans l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) entre 1925 et 1990, c’était ce que ces gens-là appelaient la Démocratie.
Notre jeune Français Messali Hadj se marie avec une métropolitaine, Émilie Busquant ; il aura deux enfants : Ali (1930-2008) et Djanina (1938-).
Dès 1926, il est élu président et fait partie des membres fondateurs de l’association marxiste-léniniste l'Étoile nord-africaine (ENA), il dénonce l'arbitraire dont serait victime le «peuple algérien» et pose le problème de l'indépendance nationale.                                                                                                      En 1927, avec Hadj Ali Abdelkader et quelques autres Français indigènes, Messali Hadj dressera la base d'un programme, bien que plus étendu et n’y allant pas avec le dos de la cuillère à couscous, se résumant à :
L'indépendance totale des trois pays d'Afrique du Nord «Algérie, Tunisie et Maroc» ;
L'unité du Maghreb ;
La terre aux fellahs ;
Création d'une assemblée constituante au suffrage universel ;
La remise en toute priorité à l’État des banques, des mines, des chemins de fer, des ports et de tous les services publics que détenait la France.
Malgré les tracasseries de l'administration française, emprisonné à maintes reprises et déporté, il continue à militer après la dissolution de l'ENA par le Front Populaire en janvier 1937. Il participe alors à la fondation du Parti du Peuple Algérien (PPA) le 11 mars 1937. Il est élu président du parti à sa fondation. Le PPA n’a rien à voir avec le PCA.  Le Parti Communiste Algérien (PCA) émerge dans les départements Français d’Algérie dès la scission du congrès de Tour en 1920 comme une extension de la toute nouvelle SFIC qui deviendra plus tard le fameux Parti communiste dit français. Ses noyaux (cellules) sont principalement composés d'ouvriers expatriés, européens dont de nombreux Français gauchistes extrémistes  «indésirables» en métropole, après que leurs parents eurent été envoyés au bagne à la suite de leurs actions terroristes et criminelles de la commune de Paris et de mouvements de gauchistes ultérieurs le PCA ne contera que très peu d’indigènes arabes et musulmans dans ses rangs.
C'est lors de la parade du 14 juillet 1937 organisée par le Parti communiste algérien (PCA) au nom du Front populaire français, que le drapeau algérien, confectionné par Mme Messali, est déployé pour la première fois dans les rues d'Alger. Sous l'influence de Chekib Arslan il s'éloigne alors du Parti Communiste (la SFIC), hostile à l’époque l'idée d'indépendance.
Encore une fois pour les crétins congénitaux au QI de protozoaires socialistes, communistes, marxistes trotskistes, altermondialistes, antiracistes et autres abrutiles et j’en oublie, je vais démontrer grâce à Chekib Arslan que si l’insurrection dans les départements d’Algérie à bien été au départ une idée totalement marxiste elle est devenue en quelques années Islamo marxiste.
Monsieur Christian Delarue est un des très rares altermondialistes, antiracistes et marxistes avoués qui a essayé en 2005 d’apporter une pseudo critique à mon travail.
Ce travail faisait suite à une question pour une fois intéressante posée sur Internet par le MRAP,  Cliquez ici pour voir la question : «Le MRAP attend que ceux qui parlent d'islamo marxisme expliquent ce que c'est, et en quoi ce serait musulman et marxiste».
Pour mes fidèles lecteurs vous conviendrez que je ne pouvais pas laisser cette question fondamentale sans y apporter une réponse nette. C’est à lire et c’est en Français, le délicat mouvement marxiste le MRAP disait : «L'islamo marxisme est une invention de ses détracteurs, une construction pseudo intellectuelle qui ne correspond à aucun théoricien, aucun mouvement. Le MRAP attend que ceux qui parlent d'islamo marxisme expliquent ce que c'est, et en quoi ce serait musulman et marxiste».                                                        Sur le merveilleux blog dit Chris Mondial (bigre, pourquoi pas galactique ?) son altesse royale, incomparable fonctionnaire des finances, monsieur Christian Delarue, un Alter mondialiste très distingué, Membre émérite du conseil d’administration de l’association ATTAC France, génial responsable antiraciste du MRAP (le MRAP, le joyeux mouvement d’ultra gauche marxiste qui en France distille de la haine des juifs) monsieur Delarue, avoue nettement être marxiste.  Aujourd’hui on découvre dans son entier la forme colossale du dur aveu, on reconnaît aussi l’esprit d’humanité et de dialogue de l’homme marxiste avec sa grandeur et sa simplicité des grandes âmes. Son éminence C. Delarue est profondément moral. Illustrissime intellectuel critique il peint sur ses blogs le vice capitaliste crapuleux d’une main rude et vertueuse, mais ce marxiste d’anthologie n’est pas content, il répond à mon article : «A suivre le fiel répandu sur le web, il y aurait des marxistes au MRAP. Disons le tout de suite : c’est certain. Mais cela constitue une richesse d'analyses et un apport d'expériences pour la lutte contre les dominations, les oppressions dont le racisme est l’un des vecteurs (là c’est une opinion, il est assez évident aujourd’hui que le marxisme est une idéologie à l’origine d’un des plus monstrueux crime contre l’humanité reconnu pas l’Union Européenne l’Holodomor qui a fait plus de neuf millions de victime et au total sur la planète 150 millions de morts innocents. Quelle magnifique richesse d'analyse et apport d'expériences que le marxisme). On ne saurait dire sérieusement pour autant que le MRAP est marxiste (Oh ben non alors peut-être un tantinet communiste). (…) Quant à l'islamomarxisme, il s'agit à l'évidence plus d'un mot-valise stigmatisant qu'une catégorie philosophico-politique définissant un courant de pensée. La compatibilité de l'islam et du marxisme est un monstre épistémologique et un monstre théorique non réalisé à ma connaissance (les «connaissances» du marxiste sont généralement extrêmement faibles. Les marxistes s’affirmant «intellectuels critiques» sont les grands prêtres fondamentalistes de cette religion séculière le marxisme).  Nous pouvons aisément comparer le fondamentalisme marxiste au fondamentalisme chrétien, position religieuse dans les deux cas qui soutient le plus souvent une interprétation stricte et littéraliste de textes sacrés (Dans le cas du marxiste les textes de Marx ont force de loi). Le terme «fondamentalisme» en lui-même signifie, en général, une adhésion rigide aux principes fondamentaux d’un domaine quelconque. Ainsi, le fondamentalisme se manifeste par un engagement envers des doctrines radicales et peu nuancées, généralement religieuses, mais aussi séculières ou même antireligieuses. Le fondamentalisme cherche à justifier une conception du monde répondant à un besoin de sécurité intellectuelle et existentielle, ou à faire prévaloir un pouvoir politique, communautaire ou religieux.
Seulement voilà, l’intellectuel critique n’a pas lu le livre d'Arthur de Gobineau : Essais sur l'inégalité des races humaines. Pas plus qu’il n’a exercé son droit d’Intellectuel critique lorsque j’ai écrit : les races existent sur un blog que ce monsieur a déjà «critiqué» et ou les commentaires sont libres.                                        S’il n’a pas lu de Bornay ni de Gobineau ce doit être parce qu’il a une dent contre les aristos !                                                                 Apparemment non, parce qu’il ne semble pas avoir lu Marx non plus, ce qui est curieux pour un marxiste distingué.                                                      Par exemple l’antisémite Marx, dans sa  lettre à Friedrich Engels du 24 mars 1861, y décrit «la créature la plus hideuse que j’ai vue de ma vie, au répugnant faciès juif» (garstigen jüdischen Physiognomie). Dans une autre lettre à Friedrich Engels du 30 juillet 1862, sur Ferdinand Lassalle (1825-1864), ami politique de Marx, il écrit bien «Nègre» (Nigger) et non «Negro» («Noir»). «Le juif adipeux de Breslau… Il est clair, à la forme de sa tête et à l’implant de ses cheveux, qu’il descend des nègres qui se joignirent à Moïse pour son voyage en Égypte ; à moins que peut-être, sa mère ou sa grand-mère n’aient forniqué avec un nègre». (Curieusement Marx avait une connaissance suffisante de l’exode (Exode 12:37-38) pour qualifier l’érev rav, l’Assafsouf ou peuple de boue de «nègres»). Ailleurs, Marx traite Lassalle de juif nègre, youpin, sale juif et juif de merde. Marx continuera gentiment (in Herr Vogt, Alfred Costes Éd., Paris, 1927-1928) : «Le grand art du nez de Levy consiste en effet à renifler la pourriture… Le nez de Levy sert au Daily Telegraph de trompe, d’antenne, de phare et de télégraphe. On peut dire sans exagérer que Levy écrit son journal avec son nez» (Joseph Moses Levy est le directeur libéral du quotidien Daily Telegraph).                                                        Une petite dernière, pour la route ? Elle est de Friedrich Engels (C’est au grand capitaliste Allemand devenu Marxiste  Engels que l’on doit en partie les idées idiotes du féminisme moderne partie intégrante du marxisme culturel. Il considère par exemple le concept de mariage monogame comme résultant de la domination de l'homme sur la femme. Plus tard les marxistes-léninistes racistes et antisémites parleront du féminisme comme d’une «diversion» car dans cette analyse, toutes les «classes sociales» sont composées de femmes et d'hommes et les premières ne constituent pas une caste ou une classe particulière caractérisée par une réelle solidarité d'intérêts. De ce fait, l'invocation d'un conflit d'intérêts entre sexes ou la lutte pour l'émancipation d'un sexe à l'égard de l'autre serait un «artifice» ayant pour conséquence, voire pour but de «masquer les vrais rapports de domination et les vraies lignes de fracture sociale». Par chance il existe le masculinisme avec les incels, en français «célibataires involontaires», les MGTOW pour «homme qui prend son propre chemin», et les MRA the Men’s rights activists pour «Activiste pour les droits des hommes».  Le site du journal Times of India évoquait déjà en 2015 la mobilisation de militants à l’occasion de la Journée internationale de l’homme le 19 novembre. L’occasion pour ceux-ci de manifester pour leurs droits: «Il y a cent ans, les femmes ont commencé à ressentir le besoin de s’affirmer elles-mêmes et d’affirmer leurs besoins. Aujourd’hui, les hommes ressentent la même pression et éprouvent le besoin de parler des problèmes qu’ils rencontrent tous les jours en raison du sexe auquel ils appartiennent. Les activistes pensent qu’au cours des dernières décennies le courant s’est retourné contre les hommes, faisant d’eux l’objet de beaucoup de discriminations sociales»).                                                    La blague bien raciste est sur Paul Lafargue, gendre de Karl Marx, fondateur, avec Jules Guesde, du Parti ouvrier français et de L’Humanité. De son propre gendre, Marx dit qu’il «possède la tare que l’on trouve en général dans la tribu des nègres : une totale absence de honte» (Lafargue n’est pas noir, mais créole des Antilles). Voici maintenant l’humour d’Engels (Par ses écrits, son militantisme communiste, son travail de publication de textes importants de Marx, Friedrich Engels reste pour beaucoup une référence du marxisme) qu’il faut avoir lu quand on se qualifie d’intellectuel critique marxiste ! Laura Marx est la seconde fille de Karl. En 1887, son mari Paul Lafargue est candidat (socialiste) aux élections municipales du Ve arrondissement de Paris. Le 26 avril 1887, Engels félicite ainsi Laura (pour lui, c’est drôle) : «Comme nègre, Lafargue est proche du règne animal, donc le Ve arrondissement est parfait pour lui, avec le zoo du jardin des Plantes» Verbatim : “Paul, the candidate of the Jardin des Plantes – and the animals… Being in his quality as a nigger a degree nearer to the animal kingdom than us, he is undoubtedly the most appropriate representative of that district.” (Marx-Engels Werke, MEW, vol. 36, 1967, Institut du marxisme-léninisme, Parti socialiste unifié d’Allemagne SED, DDR).
Mais attention l’antiraciste surtout lorsqu’il est intellectuel critique et fonctionnaire des impôts s’en bat les choses de la vie des théoriciens du marxisme. Pour lui l'antiracisme inclut essentiellement les opinions, actions, mouvements et les politiques adoptées ou développées pour s'opposer au racisme. Bien évidemment pour ces gens-là les excellentissimes intellectuels critiques marxistes il est un racisme qui n’existe pas, c’est le racisme anti-blancs.                                                                  De par sa nature, l'antiracisme avance la vision que le racisme dans une société est à la fois pernicieux et socialement pénalisant et que des changements dans le sens politique marxiste-léniniste, économiques collectiviste et évidemment sociaux sont nécessaires pour l'éradiquer.                              (Gilles-William Goldnadel dans le journal Le Figaro dira : «Le racisme antiblanc est le trou le plus noir de l'information comme de la réflexion. Si vous aimez la tranquillité, évitez donc de le nommer. Ou utilisez si possible une circonlocution. Essayez plutôt «détestation anti-occidentale». Il existe en Afrique un pays dont les intellectuels critiques distingués détestent parler, c’est le Zimbabwe. Pourtant c’est un peu le pays de leurs rêves, un pays aussi sympathique que la chaleureuse Corée du Nord ou existent encore des chambres à gaz homicides marxistes ! Un endroit ou l’économie collectiviste en échec bien sûr, a ruiné le pays. Un pays ou n’existe aucun service social avec plus de 4000% d’inflation par an (économie socialiste oblige). L’intellectuel et professeur marxiste-léniniste Robert Mugabe président du Zimbabwe qui collectionne sept diplômes académiques, dira dans un discours prononcé aux funérailles d'un ministre en mars 2003 : «Je suis toujours l’Hitler de l'époque. Cet Hitler n'a qu'un seul objectif: justice pour son peuple, souveraineté pour son peuple, reconnaissance de l'indépendance de son peuple et de son droit à ses ressources. Si c'est Hitler, alors laissez-moi être dix fois plus hitlérien. Dix fois, c'est ce que nous défendons». Ah, ces intellectuels critiques marxistes sont vraiment plein d’humour comme leur idole raciste et antisémite Karl Marx ! Camarade Bob avait pourtant bien commencé sa «révolution» socialiste marxiste. Trois ans après l'indépendance, Robert Mugabe déploie    sa 5e brigade  humaniste, formée par des instructeurs nord-coréens progressistes et pacifistes, dans la province du Matabeleland. Ces forces spéciales et escadrons de la mort torturent (avec modération) des paysans, incendient des villages, multiplient les exécutions publiques. Bilan: au moins 30 000 tués, c’est le génocide des n’débélés. Et alors on dit quoi ? On dit vive la dictature marxiste du prolétariat et de «Comrade Bob» !                                                                  Et ce n’est pas fini le 20/08/2017, le président marxiste du Zimbabwe Robert Mugabe refait parler de lui pour une sortie ultra-raciste. Selon le média News Day, Robert Mugabe a déclaré le 14 août dernier que toutes les personnes accusées d’avoir tué des fermiers blancs depuis le lancement de la réforme socialiste du pays et de la confiscation des terres aux Blancs, tous ceux-là devaient obtenir l’immunité et ne pas être poursuivis en justice. Il est sympa le Bob non ?                                                     Pour ceux qui ne l’ont pas déjà vue, je vous conseille cette vidéo sur le génocide blanc en Afrique du Sud. Pour ceux qui croiraient que le problème est uniquement l’islam alors qu’il n’est qu’une des nombreuses manifestations de la haine antiblanc qu’une grande partie du monde nous voue ouvertement). Bon finissons-en avec notre  «ami» marxiste et ses argumentations oiseuses : … «Je ne compte pas répondre plus à ce discours tant les assertions manquent de contenu probant. Le "salafisme remplaçant le marxisme" c’est pour les esprits faibles pas pour des intellectuels critiques. Christian Delarue».                                                                                                Bon alors puisque nous sommes en plein dans le sujet du «mot valise» avec ses fameux «porteurs» des susdites, nous avons avec Messali Hadj le prototype de l’Islamo marxiste et le MRAP un mouvement marxiste : «attend que ceux qui parlent d'islamo marxisme expliquent ce que c'est, et en quoi ce serait musulman et marxiste».                                         
Et bien alors allons-y mon zami !              
Nous venons de voir que Messali Hadj sous l'influence de Chekib Arslan s'éloigne du Parti Communiste (la SFIC) hostile à l’époque l'idée d'indépendance mais pas seulement.  Messali Hadj avait compris que les indigènes d’Algérie sont et resterons toujours et d’abord des musulmans. Chakib Arslan (1869–1946) un émir druze originaire du Liban était à l’époque un écrivain influent. Ce célèbre nationaliste arabo-islamique est à l'origine du journal «La Nation Arabe» qui influença beaucoup de chefs nationalistes arabes, en particulier les indépendantistes maghrébins comme Messali Hadj, leader de l'étoile nord-africaine qui le fréquenta assidument lors de son exil à Genève. Arslan contribua à éloigner Messali Hadj du parti communiste, et à le dresser contre le projet Blum-Viollette. Il rapprocha alors l'étoile nord-africaine des Oulémas musulmans réformistes. Ce qui faisait bien alors une alliance Islamo marxiste. Bien que Chakib Arslan n’ai pas été communiste il a préconisé au moins jusqu’en 1930 une alliance entre les nationalistes arabes musulmans et les Partis Communistes. A sa fondation en 1933 l’Etoile Nord-Africaine adoptera un programme politique centré sur : «Une indépendance totale de l’Algérie  arabo-islamique et une structuration en partie sur le model marxiste». Si ça ce n’est pas de l’islamomarxisme qu’est-ce que c’est ?                                                                    Il n’y a pas qu’en France que sévissait cet Islamo Marxisme, Tan Malaka, militant nationaliste indonésien, musulman et marxiste fut l’une des figures les plus marquantes de ces militants révolutionnaires des Trois Continents qui cherchèrent à décentrer le marxisme et à lier lutte anticapitaliste, anti-impérialiste et renaissance nationale culturelle.
A l’instar du Tatare Mirsaid Sultan Galiev avec le «communisme national musulman» que l’on peut aisément qualifier d’Islamomarxisme qui devient de ce fait une catégorie philosophico-politique définissant un courant de pensée, n’en déplaise aux alter mondialistes et autres trou du cul marxistes culturels alter mondialistes ou Mrapistofurieux pour qui la compatibilité de l'islam et du marxisme est un monstre épistémologique et un monstre théorique qui n’aurait jamais été réalisé à leur toute petite connaissance de physalie qui ignorent alors même qu’ils sont marxistes la création, effective en juin 1918, d’un Parti communiste des musulmans de Russie à même de préserver l’autonomie du mouvement révolutionnaire musulman que compromettrait son incorporation à des organisations marxistes dominées par les Russes, fussent-ils soviétiques.                                                                A l’instar aussi de l’Indien Manabendra Nath Roy, du Péruvien José Carlos Mariategui et son communisme Inca ou du Vietnamien Ho Chi Minh, Tan Malakka s’attacha à adapter le marxisme, abominable idéologie née dans un contexte européen, aux réalités nationales et culturelles d’un pays asiatique et musulman, l’Indonésie, notamment en prenant en compte sa dimension islamique contre un communisme «occidentaliste» qui ne voyait avec juste raison dans l’Islam qu’un résidu de traditions moyenâgeuses allah con. Pour ces révolutionnaires non occidentaux le marxisme était compris «en tant que ferment de la renaissance nationale socialiste». Nationale socialiste ? Bizarre, vous avez dit bizarre ?
Quoi qu’il en soit, j’espère que les génies des Alpages et  thaumaturgiques muscadins intellectuels critiques antiracistes auront une bonne fois pour toute compris preuve à l’appui que l'islamo marxisme n’est en aucune façon une invention d’historistrions de type marxistes culturels ou une construction pseudo intellectuelle qui ne correspondrait à aucun théoricien, ni aucun mouvement. 


Vous venez de lire le prologue de l’affaire Audin. Audin était un traître à la France et un terroriste rouge complice de crime contre l’humanité comme tout bon communiste. Vous voulez en savoir plus sur les événements dans les départements Français d'Algérie cliquez ici pour lire au Chapitre 2 : L’insurrection. Vous en saurez un peu plus sur Messali Hadj et l’Etoile Nord-Africaine qui se séparera de la SFIC ou parti Communiste Internationaliste (futur PCF en 1945) ce en 1928 et sur les criminels attentats terroristes qui ont été préparés par neuf islamomarxistes dit les «fils de la Toussaint» commis le 1er novembre 1954 prélude à l’indépendance en 1962.




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