CHAPITRE 1
L’insurrection
Chapitre 2
Maurice
Audin
CHAPITRE 3
L’internationale
Communiste et les évènements d’Algérie.
Chapitre 4
12
balles pour Maurice.
Chapitre 5
Conclusion
sur l’affaire Audin
Prologue
Vous lisez le prologue de l'affaire
Audin un livre écrit par Michel Alain Labet de Bornay sur son blog blogspot.com/,
c'est ici.
Il aura fallu attendre 61 ans pour qu’un président
français s’exprime sur les causes de la mort du «camarade» bolchevique Maurice Audin. Ce jeune Français internationaliste
«camarade» mathématicien marxiste membre
de l’ex PC SFIC devenu en 1943 PC-(F)N, puis du PCA et du fameux «réseau bombe» de terroristes communistes
pendant la fameuse «bataille d’Alger»
disparu pendant ladite «bataille» après
son arrestation, était devenu pour toute la gauche marxiste culturelle de
France le symbole de quelques extrémistes de gauche terroristes «disparus» de cette pseudo «guerre» d’indépendance.
L’écrivain et patriote Français, monsieur E. Zemmour
dans son intervention au journal l’Opinion mardi 18 septembre 2018, a déclaré
avoir était scandalisé comme moi par la reconnaissance du très marxiste
culturel et chef des armées le président français (qui n’as pas fait de service
National) de l’actuelle 5ème république, monsieur E. Macron, de la
responsabilité de l’Etat français (en réalité de la IVème république sous le gouvernement du Radical Socialiste
Maurice Bourgès-Maunoury. Le ministre résident et gouverneur général de
l’Algérie étant Robert Lacoste militant socialiste membre de la Section
Française de l’Internationale Ouvrière (SFIO). On peut dire ce qu’on veut des
socialistes que je voue comme les cocos aux pires des gémonies, mais Robert
Lacoste était un homme avec des couilles et un vrai Français. Tout juste après
la visite en Algérie du socialope Guy Mollet, accueilli par les Français
d’Alger qui lui jettent des tomates (la «journée
des tomates»), des œufs pourris et aussi des billes d’acier pour faire
bonne mesure, Lacoste accepte de remplacer le général Catroux et devient
ministre résident et gouverneur général de l’Algérie. Il conserve le ministère
de l’Algérie jusqu’aux événements du 13 mai 1958. Partisan du maintien de
l’Algérie dans la République française, une Algérie nouvelle profondément
modifiée par la «loi-cadre», il est
l’un des principaux adversaires du FLN. Pour cela, il n’hésite pas à montrer du
doigt ceux qui, en métropole, ou dans les couloirs de l’ONU, au nom de
l’idéologie, ne sont qu’indulgence à l’égard des attentats et des assassinats
fomentés par le FLN et les traîtres communistes. Il déclare par exemple le 7
juillet 1957 à Alger devant des anciens combattants : «sont responsables de la résurgence du terrorisme, qui a fait à Alger,
ces jours derniers, vingt morts et cinquante blessés, les exhibitionnistes du
cœur et de l'intelligence qui montèrent la campagne contre les tortures. Je les
voue à votre mépris». Nous verrons tout à l’heure le grave cas d’un de ces exhibitionnistes du cœur et de l'intelligence,
le «camarade» Harry Salem dit de son
pseudonyme Henri Alleg un juif Erev Rav terroriste, de piteuses ordures
communistes complices de crimes contre l’humanité qui montèrent la campagne
contre les prétendues «tortures»,
soi-disant systématisées particulièrement l’opuscule «La Question», une détestable
affabulation. Témoignant pour la
défense du général Salan lors de son procès, le 19 mai 1962, Robert Lacoste
déclare à propos des partisans du FLN et des Accords d'Évian: «J’ai quand même le droit de dire cette
espèce d’écœurement que j’ai aujourd’hui parce que ceux-là qui ont tué femmes
et enfants à la terrasse des cafés, aux arrêts d’autobus, à la sortie des
écoles, dans les stades et dans les bals populaires, sont amnistiés» (sous-entendu
les fameux «camarades» marxistes, les
vermines terroristes traîtres à la France, devenus aujourd’hui des «insoumis»).
C’est donc bien la quatrième république socialiste qui
a une responsabilité certaine dans la disparation du complice des terroristes
communistes poseurs de bombes Maurice Audin durant les opérations de maintien
de l’ordre dans les départements Français d’Algérie. N’oublions pas aussi la
responsabilité de François Mitterrand ministre de l’intérieur de l’époque.
Monsieur Zemmour à propos de cette affaire déclarera à
monsieur Beytout le patron du journal l’Opinion : «J’étais scandalisé par le comportement d’Emmanuel Macron».
Connu pour ses bonnes déclarations patriotiques,
monsieur Zemmour a pleinement justifié la prétendue torture ou interrogatoires
musclés et la mort accidentelle de l’odieux militant communiste complice
d’actes de terrorisme Maurice Audin, par les autorités françaises. «Je pense que ce monsieur Audin est mort
dans des conditions tragiques évidement (…), a-t-il déclaré. «Moi je pense qu’il méritait 12 balles
dans la peau. C’était un traître, c’était un type qui était contre la France…
la torture ça a permis quand même d’arrêter les attentats» a-t-il ajouté.
En revanche on peut toujours espérer qu’un hommage soit
un jour rendu aux «Patriotes» morts
pour que l’Algérie reste française, donc «morts
pour la France» et pas comme ces traîtres «pour les ennemis de la France», ces assassins de français sur une
terre française !
Monsieur le président de la Ripoublique Française Macron n’a pas fait son service national. Né le 21 décembre 1977, il est ainsi le premier chef des armées de la Ve République sans aucune expérience militaire.
Aussi sans connaissances historiques, mais avec une
pseudo culture marxiste culturelle falsificatrice de l’histoire ce monsieur
s’impose en historistrion.
A propos d’histoire voyons un peu celle de cette
fameuse «Algérie».
Au départ, mon projet initial était de tenter
d’éclaircir ce qu’il est convenu d’appeler «l’affaire
Audin» du nom de ce doctorant en mathématique un internationaliste communiste
algérois qui a disparu pendant la Bataille d’Alger en juin 1957 après son
arrestation par l’armée française, mais
je me suis vite vu obligé de replacer cet épisode anecdotique dans le
contexte historique de l’époque, celui des événements faussement dits «Guerre d’Algérie».
Il eut fallu pour qu’il ait «guerre» qu’il y eu belligérants de nation différente, hors,
l’Algérie c’était la France ; des départements Français.
De région berbère à province romaine, de camps
militaires arabes musulmans envahisseurs, à province almoravide puis almohade
et de province ottomane à département français, l'Algérie, n'a jamais existé
avant 1962 ! Elle n'a jamais eu 3000 ans d'histoire, la Numidie n'a jamais
été l’Algérie, l’Algérie n'existait pas avant qu'un français vienne décréter
possession d'empire la ville d’Alger (Le Dey d’Alger, était le représentant de
la «Sublime Porte», autrement dit de
l’Empire Ottoman), les indigènes musulmans appelés «barbaresques», des analphabètes à 98% vivaient d’une forme de
culture orale, sans écrits et sans nation, il y avait des entités certes,
l'entité kabyle, le royaume de Tlemcen etc... (Aujourd'hui
comme hier les pays de barbaresques arabes peuplés de musulmans
ont du mal à enrayer l'illettrisme. «L'analphabétisme
touche toujours plus de 40 % des personnes âgées de plus de 15 ans» dans
ces pays, soit près de 60 millions d'adultes, selon un rapport de l'Unesco
rédigé à Tunis, le 7 janvier 2009, à l'issue d'une rencontre régionale
préparant la sixième Conférence internationale sur l'éducation des adultes,
prévue à Belém, au Brésil, au mois de mai. Alors que l'ONU s'était fixé pour
objectifs, d'ici à 2015, la scolarisation obligatoire de tous les enfants, la
réduction de moitié du taux d'analphabétisme et l'égalité des sexes dans
l'éducation, les deux tiers des illettrés sont des femmes et près de 6 millions
d'enfants d'âge scolaire - dont environ 60 % de filles - ne sont pas
scolarisés, d'après les données fournies par les pays arabo-musulmans eux-mêmes).
Mais braves gens savez-vous au fait pourquoi la France mis au point
l’expédition de 1830 contre le Dey d’Alger ? Tout simplement pour mettre fin
aux agissements des trafiquants d'esclaves musulmans barbaresques. Pas du tout
en vue d’une «colonisation» !
À l'heure
où commençait à se développer la traite atlantique des noirs à laquelle
participait bien évidemment les musulmans en Afrique sub-saharienne, la
Méditerranée connut l'apogée d'une autre sorte d'esclavage bien moins
connue mais bien plus terrible: celle des chrétiens blancs asservis en Afrique
du Nord et au Levant. La littérature a gardé le souvenir de ces odieux pirates
barbaresques musulmans qui faisaient trembler les marins et les habitants du
littoral jusqu'en Angleterre : leurs attaques se soldaient par l'enlèvement
d'hommes, de femmes et d'enfants qui, une fois captifs, étaient vendus sur les
places d'Alger, de Tunis, de Fez et d'autres villes (le dernier marché aux
esclaves fut fermé au Maroc en 1920). Plus de deux millions d'Européens blancs
et chrétiens sont ainsi asservis en Afrique du Nord entre le 16ème
et le 19ème. Vers 1675, les esclaves chrétiens formaient le quart de la
population d'Alger. Quel était leur sort ? Une minorité était rachetée par
leur famille ou par l'Eglise (mes recherches aux archives départementales des
Alpes Maritimes m’ont fait découvrir une foule de document concernant le rachat
des pauvres esclaves victimes des pirates barbaresque à Alger ou Tunis et ce
jusqu’au 19ème siècle), une autre partie vendue comme domestique et
la majorité allait aux galères et au «bagne».
Selon certains récits de rescapés, le sort de ces derniers était
terrible : soumis à des travaux extrêmement durs (carrières de sel,
construction, coupe du bois), ils survivaient sous la menace de châtiments
corporels qui pouvaient souvent être fatals. voir ici.L’historien Robert C. Davis n'hésite pas à trancher un débat ancien concernant la relative douceur de l'esclavage en terre musulmane : au vu des documents qu'il cite, les galères et les bagnes de Tunis, d'Alger et de Tripoli n'avaient rien à envier au goulag communiste et aux pires camps de travail tel que les nationaux socialistes dit nazis ou ceux que l'histoire a récemment connus comme ceux du bon «camarade» marxiste Pol Pot ou du noir communiste raciste Robert Mugabe. Il s'étonne donc de l'effacement à peu près total de leur mémoire dès le XIXe siècle, et de l'oubli dans lequel a sombré cet épisode de l'asservissement humain, certes pas tout à fait comparable en volume avec l'esclavage à destination des Amériques, mais tout aussi cruel sinon plus et souvent pratiqué par les mêmes individus barbaresques notamment en Afrique sub-saharienne sous le nom de traite Arabe. Les premières victimes de cette calamité furent les Slaves, que les Vénitiens et les Marseillais allaient razzier en Europe centrale et orientale, pour les vendre aux notables du monde arabo-musulman. Cela devait durer toute l’époque carolingienne au Xème siècle sous les monarques saxons ou Germains Henri l’oiseleur et Otton Ier. Comme on sait, il fallut l’émergence d’États puissants en Europe de l’Ouest et l’arrêt de l’expansion arabe musulmane aux Pyrénées pour que cela cesse. Et c’est pour combler ce déficit en eunuques et esclaves blancs, que les Arabo-musulmans allaient massivement se tourner vers les peuples négro-africains. Cette première traite négrière en grand, qui fut non seulement la plus longue de l’histoire de l’humanité, puisqu’elle a duré treize siècles sans interruption, aura également opéré une ponction humaine largement supérieure à celle de la traite transatlantique vers les Amériques. Et le plus triste (ou le plus rigolo suivant le coté pour lequel on vote) dans cette tragédie, est que la plupart des déportés n’ont jamais assuré de descendance, du fait de la castration massive que pratiquaient les Arabes musulmans. Il serait largement temps de prendre conscience que les arabo-musulmans ont déporté et massacré 17 millions d'Africains noirs et plus de trois millions de chrétiens blancs.
Cet esclavage des chrétiens asservis en Afrique du Nord et au Levant est vu par Robert C. Davis comme un exemple d'esclavage non fondé sur la race, mais sur le ressentiment éprouvé par le monde musulman à l'égard de la chrétienté à la suite de la reconquista espagnole. Ce n’est pas totalement faux mais la mentalité arabo-musulmane est esclavagiste par nature et continue d’exister dans de nombreux pays musulmans comme au Pakistan pays musulman ou l'esclavage touche des millions de Pakistanais.
Dans cette affaire en 1830 nous
ne souhaitions d'ailleurs pas prendre le contrôle de toute cette région qui
deviendra en 1962 l'Algérie, cette conquête se réalise en plusieurs étapes
distinctes, du débarquement de l'armée d'Afrique à Sidi-Ferruch le 14 juin
1830, commandée par le général de Bourmont, et s'achève pour l'essentiel lors
de la reddition formelle de l'émir Abd el-Kader au duc d'Aumale, le 23 décembre
1847. Cette phase principale de la conquête se termine par l'annexion des
territoires conquis à la République française, via la création des départements
français d'Algérie en décembre 1848. Des campagnes de pacification du territoire
continuent cependant de se dérouler durant les décennies qui suivent, et la
conquête du Sahara n'est achevée qu'en 1902.
Vous devez aussi savoir que lorsque nous sommes arrivés
dans ces régions nous avons découvert des populations illettrées de quasi débiles
qui vivaient au moyen-âge ou pour certaines tribus quasiment à l’âge de pierre.
Le territoire algérien n’a jamais existé en tant que
pays et le «peuple» algérien, était
composé d’une mosaïque de tribus à 60% berbères et 40% arabes, sans aucune unité
entre elles, mais en perpétuel état de guérillas. Ferhat Abbas, président de la
république algérienne, du temps du G.P.R.A., avait reconnu : «La France n’a pas colonisé l’Algérie. Elle l’a fondée». En fait
elle n’a fait que nommer le territoire, comme la Corse ou le Pays Basque. Effectivement c’est le
14 octobre 1839, et par décision du ministre de la guerre, que le nom «Algérie» fut attribué pour la première
fois à cette partie de l’Afrique du Nord. Il n’y a jamais eu auparavant dans l’Histoire
de pays ainsi nommé !
Les territoires d’Algérie, c’était la France puisque nous comptions
outre méditerranée cinq départements français de plein exercice: Alger, Oran,
Constantine, Bône, Territoires du Sud.
La pseudo «Guerre»
d’Algérie nous l’avions gagnée, mais la «guerre»
seulement sur le plan militaire (Oui;
nous avions gagné en Algérie avec l'aide de L'OAS
qu’il convient de ne pas oublier. Monsieur Gomez en dira : «l’OAS n’avait aucune idéologie
politicienne, elle n’était ni de gauche ni de droite, elle n’était pas raciste,
ni antisémite. Nombreux furent les arabes et les juifs qui se sont battus dans
ses rangs et sont tombés au champ d’honneur des patriotes (...) l’OAS n’a existé que seize mois, de fin
février 1961 à début juillet 1962 (…) L’OAS
a exécuté des individus communistes et gauchistes qui étaient les complices de
ceux qui ensanglantaient l’Algérie, les «porteurs de valises» qui les
finançaient, ceux qui fabriquaient leurs bombes et assassinaient en leurs noms,
ceux qui leur fournissaient de faux papiers, de l’aide et de l’assistance»).
L’A.L.N.,
l’Armée de Libération National (F.L.N.) ne contrôlait plus aucune parcelle du
territoire et elle cantonnait ses troupes dans les pays frontaliers, Maroc et
Tunisie.
Parmi les milliers de témoignages qui le prouvent, il y
a celui de Gilbert Meynier auteur de «Histoire
intérieure du FLN», qui reprend une thèse de doctorat. Gilbert Meynier
était lui-même membre du FLN. Il décrit la situation de manière détaillée et
constate qu’il ne restait pratiquement rien de l’ALN sur le territoire
algérien. Mais il était évidemment plus glorieux pour le FLN de dire abusivement
qu’il avait gagné la guerre, de le répéter ad nauseam dans les médias et dans
les programmes scolaires. En France on l’a également bêtement répété, soit par
ignorance soit pour ne pas compliquer les relations avec l’Algérie. Alors
pourquoi De Gaulle a-t-il ordonné le cessez-le-feu et donné le pouvoir
politique au FLN ? La réponse habituelle est qu’il craignait que garder un pays
arabe et musulman paralyserai sa diplomatie et par ailleurs qu’il aurait gardé «une dent» contre les Pieds-noirs à la
suite de son séjour à Alger pendant la deuxième guerre mondiale. C’est exact,
mais ce n’est pas la raison principale. Deux autres raisons moins connues ont
pesé davantage :
De Gaulle avait ses filières d’information musulmanes
qui lui disait qu’après une période de fraternisation pendant l’été 58, les
Pieds-noirs avaient recommencé à bloquer la scolarisation et les promotions de
musulmans, et que le problème recommencerait donc avec ou sans le FLN et ce qui
a pesé le plus à mon avis, était sa bonne connaissance du problème
démographique: sur la base de la fécondité musulmane de cette époque, une
Algérie restant française aurait conduit assez rapidement à une majorité
musulmane de Dunkerque à Tamanrasset.
Aujourd’hui nous sommes en Europe et particulièrement
en France confronté au même problème. Houari Boumediene dans son discours à
l’ONU en 1974 dira : «Un jour, des
millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère
Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour
le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes
nous donnera la victoire».
Le Premier ministre turc Tayyip Erdogan, a récemment
répété en public les mots, écrit en 1912 par le poète musulman nationaliste
Turc Ziya Gökalp : «Les mosquées sont nos
casernes, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats». L’Archevêque
émérite de Smyrne, Giuseppe Germano Bernardini, raconte une conversation qu’il
a eue avec le leader musulman (T. Erdogan) : «Grâce à vos lois démocratiques, nous vous envahirons. Grâce à nos lois
religieuses, nous vous dominerons».
De Gaulle n’était pas un prophète malheureusement il
n’avait pas prévu l’avènement du marxisme culturel et du grand remplacement.
André
Galileo sur Riposte Laïque fait en 2015 une sorte de synthèse
que j’avais déjà faite en 2011 dans
: Le marxisme culturel Quèsaco modifié
plus tard dans Paix et Liberté N°1 et
N°2
complété
en 2018 par cultural-marxism N°3 (avec tous ces liens,
vous pouvez vous faire votre propre opinion mais je ne suis pas optimiste).
Monsieur Meynier a tout à fait raison, Charles de
Gaulle, dira le 5 mars 1959 (rapporté par Alain Peyrefitte) : «C'est très bien qu'il y ait des Français
jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est
ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à
condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus
la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race
blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se
raconte pas d'histoire! Les musulmans, vous êtes allés les voir? Vous les avez
regardés avec leurs turbans et leurs djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont
pas des Français. Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri,
même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre.
Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les
Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le
corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt
millions et après-demain quarante? Si nous faisions l'intégration, si tous les
Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les
empêcherez-vous de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y
est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus
Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées».
Le F.L.N. reconnaissons-le, avait aussi gagné
l’indépendance de ce nouveau pays, l’Algérie, par une politique bien menée,
avec l’appui des communistes dit Français et de l’U.R.S.S., des Etats-Unis, de
la Chine et d’autres.
Ceci étant dit qu’est-ce que finalement que cette «affaire» Maurice Audin ?
Maurice Audin était un mathématicien et militant du
Parti communiste dit algérien arrêté le 11 juin 1957 à Alger, en pleine
bataille d’Alger pendant les événements dans les départements Français
d’Algérie. Il ne réapparaîtra jamais après son arrestation.
D’après les explications officielles de l’époque,
monsieur Audin (dont on ne parlait plus) qui avait été arrêté pour sa
participation active au réseau terroriste et communiste «bombe» qui fit plusieurs centaines de victimes civiles dont des
centaines de femmes et d’enfants à Alger se serait évadé au cours d’un
transfert. Mais les circonstances de sa disparition n’ont jamais été totalement
élucidées. Sa femme Josette est convaincue qu’il a été étranglé par un
lieutenant parachutiste (pourquoi un lieutenant ? La réponse est assez
facile à trouver ; il y avait à l’époque à Alger un jeune lieutenant du
nom de Jean Marie Le Pen, alors autant charger la mule !).
Selon l’historistrion marxiste Pierre Vidal-Naquet,
auteur d’un livre sur cette affaire, Maurice Audin a été tué par l’officier de
renseignements chargé d’interroger cet homme suspecté d’aider le Front de
libération nationale (FLN). Seulement voilà, notre Maurice Audin faisait partie
du «réseau bombe» pendant la bataille
d’Alger, réseau notoirement communiste (même s’il «travaillait» effectivement «pour»
le FLN il n’en faisait pas partie). Monsieur Audin comme le camarade marxiste Fernand
Iveton était bien un terroriste communiste (Fernand Iveton (ouvrier tourneur à l’usine à gaz du Hamma de l'EGA à
Alger est délégué syndical, affilié à la Confédération générale du travail
(CGT), puis à l'Union générale des syndicats algériens (UGSA). En juin 1955,
Iveton devient un terroriste marxiste membre d’un autre réseau marxiste dit des
Combattants de la libération,
l'organisation terroriste interne au Parti communiste algérien (PCA) interdit,
aux côtés notamment d'Abdelkader
Guerroudj, Georges Acampora,
Yahia Briki, Félix Colozzi et Mohamed Hachelaf (il se peut même qu’Audin en fit
partie). À la suite de l'accord FLN-PCA du 1er juillet 1956, il intègre le
Front de libération nationale (FLN) à titre individuel avec un certain nombre
de ses camarades. En octobre 1956, il dépose une bombe dans l’usine à gaz du
Hamma où il travaille. Iveton est repéré par un contremaître de l'usine,
monsieur Oriol, qui se méfie de lui et l'a vu entrer dans le local avec son sac
de plage et en ressortir les mains vides. Oriol prévient son chef, Carrio, et
ils pénètrent tous les deux dans le local désaffecté où ils entendent le bruit
de la minuterie de la bombe. Iveton est arrêté à 16 h 20. La bombe est
désamorcée par les militaires. Il n'y a ni dégâts, ni victimes. En application
des pouvoirs spéciaux demandés par le président du Conseil, le socialiste Guy
Mollet, et votés par l'Assemblée nationale en mars 1956, il est jugé par le
tribunal militaire d'Alger. Il est condamné à mort pour «tentative de destruction d'édifice à l'aide d'explosifs», le 24
novembre 1956, à l'issue d'une journée d'audience. Le pourvoi d'Iveton devant
le tribunal de cassation militaire est rejeté le 3 décembre 1956. N'ayant pas
tué, Iveton croit à sa grâce plaidée par l'avocat communiste Joë Nordmann qui
s'est joint aux avocats commis d'office, Albert Smadja et Charles Laînné. Mais
son recours est refusé le 10 février 1957 par le président de la République,
René Coty, avec l’accord du garde des Sceaux de l’époque, François Mitterrand
le futur président de la république socialiste. Il est guillotiné le 11 février
1957).
Ah, ce cher socialope
Mitterrand dit La Mite qui reçut la Francisque – la décoration du Maréchal –
des mains de Pétain lui-même. Son biographe dira : «Mitterrand se vit décerner la Francisque pour services rendus à la Révolution
nationale». Une autre aspérité de taille dans le parcours du collabo
Mitterrand réside dans son rôle, en tant que ministre de la Justice, dans les
interrogatoires musclés de terroristes rouges ou d’arabes en Algérie. François
Malye et Benjamin Stora avaient révélé cette face très sombre de son parcours
dans un documentaire et un livre en 2010,
François Mitterrand et la guerre d’Algérie (éd. Calmann-Lévy). Quand en
1956 le Conseil envisagea d’accélérer les exécutions des prisonniers condamnés
à mort dans les départements Français de la province Française l’Algérie,
Mitterrand y fut favorable. 44 Arabes et un Français né le 12 juin 1926 à Alger
au Clos-Salembier département Français d’Alger de nombreux incultes le dise «Européen» (Iveton) ont été envoyés à la
guillotine en un an à compter de juin 1956. En tant que ministre de la Justice,
il a recommandé que les condamnations soient effectives dans au moins 32 cas
dont celui d’Iveton.
Monsieur Audin était lui complice de crimes terroristes
atroces et de la mort de centaines d’innocents.
Il est certain et le nier serait idiot que la torture
sur les terroristes de tous bords a été appliquée en Algérie, mais au vu de la
gravité des méfaits du traître communiste Audin et de son réseau «bombe», sa mort ne peut être qu’un
regrettable incident, alors que ce traître méritait 12 balles dans la peau.
Qu’a fait monsieur le président de la Vème république Emmanuel
Macron le 13 septembre 2018 ?
Le président s’est rendu au domicile de la veuve et
complice du traître et terroriste membre communiste du réseau bombe d’Alger Maurice
Audin pour lui demander «pardon» pour
la mort de son époux et reconnaître la responsabilité de l’Etat français dans
la disparition du jeune homme croyant bêtement faire plaisir aux dictateurs
Algériens du FLN et par conséquent à quelques futurs électeurs du sus dit FLN
de nationalité Française qui ont toujours, mais notre bon président ne le sais
pas, profondément détesté les cocos et autres socialoperies, Audin y compris.
Son prédécesseur François Hollande avait déjà décidé
d’ouvrir les archives concernant Maurice Audin en 2013. En 2014, il avait
déclaré que «les documents et les
témoignages dont nous disposons aujourd’hui sont suffisamment nombreux et
concordants pour infirmer la thèse de l’évasion qui avait été avancée à
l’époque. Maurice Audin ne s’est pas évadé. Il est mort durant sa détention».
Le président Hollande aurait même pu ajouter : «mort certainement sous la torture pratiquée en vue d’obtenir des noms
de ses complices pour préserver des centaines de vies d’innocents». La
photo ci-dessus du quotidien L’écho
d’Alger du 28 Novembre 1956 titre bien que les bombes terroristes et les
horribles attentats sont le fait à Alger des réseaux communistes.
Maurice et Josette Audin sont des marxistes purs et
durs, militants terroristes ou pour le moins complices du PCA (Parti Communiste
terroriste illégal et interdit dit
abusivement Algérien, notons que l’Algérie à cette époque n’existe pas,
l’Algérie c’est la France, ce sont des départements Français) le couple Audin
et ses complices terroristes marxistes du réseau «bombes» à Alger font croire à l’époque et même encore aujourd’hui
qu’ils faisaient partie d’une minorité «anticolonialiste»
de Français d'Algérie (or l’Algérie n’était pas une colonie !) ces gens-là
complices de terroristes étaient des gauchiasses maudits traîtres à la France. Le PCA qui avait émergé
en 1920 comme une extension de l’immonde Parti Communiste s’affirmant sans honte
français devient sous les ordres de Moscou et du Komintern une entité séparée
en 1936 et ouvre petitement ses rangs aux autochtones. Sa presse sera jusqu’en
septembre 1955 l’hebdomadaire Liberté,
relayé ensuite par le quotidien algérois Alger
Républicain. Ce quotidien marxiste-léniniste relais de Moscou et de ses
idées nauséabondes fera sans cesse de la propagande en faveur des rebelles
fellaghas jusqu’en septembre 1956 où il sera interdit.
Le couple Audin était communiste, Maurice Audin est
mort accidentellement n’ayant pas supporté des interrogatoires musclés pour lui
faire avouer sa participation notoire au réseau bombe terroriste d’Alger qui
fit des centaines d’innocentes victimes civiles. Josette Audin (née Sempé) est décédée
le 2 février 2019 à 87 ans (le terrorisme ça conserve) elle une complice
notoire de son mari abritant des terroristes du réseau bombe d’Alger et aurait
mérité la peine de mort elle aussi. Prenons note qu’en Algérie, le 4 juillet
1963, au lendemain de l’anniversaire de l’indépendance, Josette Audin reçut la
citoyenneté algérienne. On se demande ce qu’elle faisait en France ?
Après
«les émeutes d’octobre 1988», le
ministère algérien des anciens moudjahidines informait Josette Audin que la
Commission nationale de contrôle avait reconnu Maurice Audin comme membre,
pendant la guerre, de l’Organisation civile du FLN (Front de Libération Nationale).
Maurice Audin est un chahid (martyr) mort pour l’Algérie.
Le PCA avait à une époque une implantation relativement
importante dans la population Européenne, du même ordre qu’en Métropole. Bab El
Oued était lors un «fief» communiste.
Les dirigeants du PCA n’arrivèrent pas à se faire admettre
par les «nationalistes» musulmans, avant le 1er novembre 1954 (le 1er
Novembre 1954 dit aussi la Toussaint rouge ou sanglante, est la journée, durant
laquelle le Front de Libération nationale (FLN) manifeste pour la première fois
son existence en commettant une série d'attentats terroristes et criminels en
plusieurs endroits du territoire de la république Française dans les
départements Français d’Algérie ; avant cela toutes les tentatives des
dirigeants communistes pour réaliser l'unité d'action avec les rebelles
échoueront. Apres le 1er novembre, le PCA s'efforce de créer le maximum
d’agitation par l’intermédiaire de la CGT, et engage les dockers à refuser de
décharger le matériel de guerre en Algérie (Benoit-Frachon se rend en Algérie
pour assurer les rebelles fellouzes de l'appui de la CGT et de la FSM. (Frachon
est un marxiste activiste révolutionnaire professionnel. En 1909, apprenti en
boulonnerie âgé de seize ans il adhère à la CGT et en devient rapidement un
permanent. Dirigeant de la grande grève des métallurgistes de Saint-Étienne de
1924, il s'affirme et devient secrétaire permanent de l'union départementale de
la CGTU. À partir de 1928, Frachon accède à des responsabilités supérieures. En
accord avec les orientations de la direction de l’IC l'Internationale Communiste,
il est formé à la fameuse école du crime terroriste, l’école Internationale
Lénine à Moscou et entre au bureau politique du PC-(F) : il est l'archétype de
cette génération de dirigeants communistes à la culture d’amibes mais
malléables et lobotomisés qui connaît une promotion très rapide (trois ans en
l'occurrence).
Les quelques actions terroristes à mettre à leur compte
des terroristes du PCA resteront marginales et amateuristes. Seul le réseau «Bombes» pendant la bataille d’Alger
fera plusieurs centaines de victimes innocentes, femmes, enfants et indigènes autochtones
y compris. Après la «Bataille d’Alger»
gagnée haut la main par la France on n’entendra plus parler d’eux. Le fait que Bab El
Oued basculera de bastion communiste en bastion farouchement «Algérie Française» explique l’abîme qui
séparait les dirigeants marxistes et autres intellocrates terroristes des sympathisants
ou des militants de base et l’échec final comme d’habitude. Le PCA prit
position à retardement pour l’indépendance des départements Français d’Algérie,
André Moine et Camille Larribere
estimant prématurée l’entrée dans la lutte armée. (André Moine avait à 19 ans
été formé lui aussi à Moscou à l’école Internationale Lénine véritable école du
crime et du terrorisme communiste. Moine devient ce qu’on
nommait au Parti un «intellectuel
révolutionnaire autodidacte» c’est-à-dire un agent du Komintern
révolutionnaire professionnel comme seuls les partis communistes savaient en
produire. André Moine sera successivement artisan du Front Populaire,
contrebandier d'armes pour l'Espagne et ses brigades rouges, arrêté il part
comme bagnard aux portes du désert du Sahara. Libéré à Alger en 1942, il
reprend sa vie d’agitateur politique marxiste et ne rentre en France qu'en 1946.
Un an plus tard, le Komintern lui demande de retourner en Algérie pour être
intégré au Parti communiste dit algérien. Cet agent de Moscou internationaliste
et antinationaliste deviendra donc un communiste soi-disant «algérien» et participera à la direction
du parti communiste local, le PCA).
Quant à monsieur Jean Marie Larribere né en 1895 (Il
était fils d'un instituteur républicain puis, successivement socialiste et
communiste, venu prendre un poste à Sidi Bel Abbès en 1900. Il est mort le 24
décembre 1970 à Sig (Algérie) c’était un homme politique français qui et c’est
assez rare deviendra Algérien après 1962. Aux débuts de la Quatrième République
il a été député et sénateur communiste du département d'Oran. Mobilisé durant
la Première Guerre mondiale dans les tirailleurs algériens. Il combat aux
Dardanelles, à Verdun et reçoit la Légion d'honneur. Après la guerre il
entreprend des études de médecine, et dans la suite de l'engagement «pacifiste» de son père, adhère au Parti
communiste. Militant à Oran et à Paris, il fait la connaissance à l'Union
intercoloniale d’ Ho Chi Minh un grand criminel contre l’humanité communiste.
Il obtient sa thèse de médecine en 1924 et continue de militer en métropole. En
1929 il entre au Comité central du Parti communiste, mais est entraîné dans la
lutte des fractions qui agite la direction de celui-ci. Éloigné pour «sectarisme», il retourne en Algérie où
il exerce sa profession dans une bourgade de l'Oranais, à Saint-Denis-du-Sig.
Mobilisé en 1939, il est médecin auxiliaire des zouaves, puis il s'engage dans
un corps franc d'Afrique qui combat en Tunisie après le débarquement allié en
Afrique du Nord. Il y est blessé. Contacté par le Parti communiste français, il
est chargé par le général Giraud d'une mission en France auprès de la direction
clandestine. De retour en Algérie, où de Gaulle a supplanté Giraud, il milite
dans le Parti communiste dit algérien (PCA). À l'automne 1945 il est élu
conseiller général d'Oran, puis les électeurs du 1er collège du département
d'Oran l'élisent, ainsi qu'une autre députée communiste, Alice Sportisse (née
Alice, Gilberte Crémadès le 9 juillet 1909 à Lavarande (aujourd'hui Sidi
Lakhdar, près de Aïn Defla, en Algérie) Alice Sportisse est décédée le 3 juin
1996 à Agen (Lot-et-Garonne), c’était une femme politique française, membre du
Parti communiste dit français, député à la première Assemblée constituante).
Non réélu en juin 1946, contrairement à sa collègue, Jean Marie est élu en
décembre 1946 au Conseil de la République. Il est battu en 1948.
Dans les années cinquante, un séjour en Union
Soviétique notamment à l’école du meurtre marxiste, l’école Internationale
Lénine le formera à l’action terroriste.
Pendant les événements en Algérie, rare véritable «intellectuel» marxiste et membre du
comité central du PCA, le camarade Jean Marie «combat» comme cadre dirigeant des terroristes rouges pour
l'Indépendance des départements Français et ce en bon coco sous divers
pseudonymes Labairou, Lari et Lary. En 1955-1956 il devient conseiller
militaire à la direction des terroristes rouges dits Combattants de la libération,
minuscule organisation terroriste armée du PCA, il meurt en Algérie en 1970.
Mais dans la famille Larribere il n’était pas tout seul à aider les fellouzes,
Camille Larribère, frère de Jean-Marie, était lui aussi membre du Parti
Communiste se disant Algérien (ce qu’il ne sera que dans les départements
Français, durant les «événements» et
le plus souvent interdit, à mesure que les camps se sont durcis jusqu’à
embrigader de plus en plus les populations civiles, les mots «traître» et «anti-Français» se sont imposés pour qualifier les communistes dans
la presse d’Algérie, les tribunaux militaires, les discours des hommes d’État
français et des vrais Français, consacrant ainsi leur exclusion du corps «national». Outre quelques «libéraux» et des très naïfs «chrétiens progressistes» qui souhaitaient
une société égalitaire, les communistes voulaient une Algérie socialiste sur le
modèle-phare et inconséquent des peuples du Tiers-Monde, Cuba, modèle mis en
avant tant par le FLN que par le PCA ressuscité dès les premières semaines de
l’indépendance. Ces élans politiques prennent plusieurs directions. Pour
certains – ouvriers, agriculteurs, enseignants, avocats, médecins, etc. –, la
construction de l’Algérie indépendante est une partie intégrante de leur emploi.
D’autres rejoignent l’administration du nouvel État, dont les besoins en cadres
sont très importants : les uns gagnent les ministères, les autres, petits
fonctionnaires du temps des départements Français d’Algérie (trésor public,
PTT), transmettent leurs «connaissances»
à de nouveaux employés algériens. L’élan politique est plus directement continu
pour celles et ceux qui militent au PCA, dans les syndicats, ou «travaillent» à Alger Républicain,
quotidien dirigé par des communistes mais qui se voudrait bien l’expression
d’un front anti-impérialiste des Algériens favorables à une Algérie socialiste.
Ces militants rencontrent rapidement un très grand nombre de difficultés, liées
non pas à leurs origines mais à leurs opinions politiques : le PCA est interdit
sur décision du Bureau politique du FLN le 30 novembre 1962, le syndicat unique
UGTA est mis sous contrôle du FLN qui veille à ce que des communistes et des
non-nationaux n’y aient pas de responsabilités, et Alger Républicain, soumis à
de multiples pressions contradictoires, devient de facto, courant 1964, un organe
du parti unique FLN. La nationalité algérienne n’existant pas d’un point de vue
juridique avant 1963, ce code définit les moyens de son acquisition y compris
pour les anciens soi-disant «colonisés». Dans
le projet initial comme dans le projet adopté, est définie une «nationalité d’origine», accordée
rétroactivement à ceux dont la loi considère qu’ils n’ont pas à acquérir la
nationalité algérienne : L’article 34 définit le sens du mot «Algérien» en matière de nationalité
d’origine. Il s’agit de toute personne dont au moins deux ascendants en ligne
paternelle sont nés en Algérie et y jouissent du statut de musulman. Hé oui
comme on dit : «Dans le cul la
balayette», les Algériens sont d’abord des Musulmans et le communisme immonde
est strictement Verboten !
Enfin pas tout à fait, il y a l’article 8, qui
s’applique aux ressortissants de tous les pays et ne reconnaît pas
spécifiquement l’apport de ceux des natifs d’Algérie qui se voudraient Algériens,
précise les possibilités d’acquisition de la nationalité pour «participation à la lutte de libération»
: «Sauf opposition du ministre de la
Justice, ceux qui ont participé à la lutte de libération nationale et qui
résident en Algérie ont droit à la nationalité algérienne. Ils devront formuler
une déclaration au Ministre de la Justice et ce dans les six mois de la
promulgation du présent code». La circulaire d’application précisera les
pièces qui devront être fournies par chaque requérant : ses papiers d’état-civil,
la preuve de sa résidence en Algérie, et «la
preuve ou une offre de preuve suffisamment circonstanciée de sa participation à
la lutte de libération nationale». Ces dispositions, sont très mal vécues à
l’époque par l’ensemble des «progressistes»
et sont combattues publiquement par un certain nombre d’humanistes, anciens
terroristes fous furieux européens et juifs Erev Rav,
rejoints par une dizaine de députés. Ils y voient une trahison des principes
mis en avant par le FLN durant la «guerre»
: Entre août 1963 et décembre 1965, seulement 300 individus environ sont faits
Algériens en vertu de l’article 8, après, parfois, de longs mois d’attente.
Parmi ces naturalisés pour «participation
à la lutte de libération» se trouvent un peu moins de 100 «Français» natifs d’Algérie (70 membres
ou anciens membres du PCA seulement, car reconnaitre les cocos comme Algériens,
comme des nationaux, reviendrait implicitement à reconnaître le rôle du PCA
dans la «lutte» pour l’indépendance
et, précisément, son caractère «national».
Cela revient donc à reconsidérer publiquement le rôle d’un parti
antinationaliste, internationaliste interdit dans les premiers mois de
l’indépendance et dénigré depuis 1954 par le FLN qui voyait en lui un
concurrent), chiffres qui indiquent que la majorité des socialopes européens et
juifs, dont certains étaient outrés par la demande de preuves qui leur était
faite, n’ont pas formulé de demande ou n’ont pas obtenu de réponse).
Camille Larribère, frère de Jean-Marie, est actif parmi
les paysans de l’Oranie, et avait pris position dès 1952 pour la lutte armée.
En 1955, il a été l’un des dirigeants communistes et des organisateurs des très
modestes Combattants de la Libération (C.D.L.), des terroristes qui rejoignirent
ensuite les rangs du FLN à titre individuels (les fellouzes musulmans ne
voulaient pas des cocos). Dans le sillage de leur père et leur oncle, les cinq
filles du docteur Jean Marie Larribère, ainsi que leurs conjoints ont fait preuve
du même engagement dans le terrorisme. Lucette Larribère et son époux en
secondes noces, Bachir Hadj Ali a fait partie des fameux et très peu nombreux Combattants de la
Libération. Son premier époux, Robert Manaranche, membre du syndicat C.G.T. des
fonctionnaires et militant de la cause algérienne a été arrêté en février 1957
par les parachutistes français puis interné au camp de Lodi. Simone Larribère,
épouse Benhaïm, était membre du syndicat des travailleurs de l’EGA (Electricité
et Gaz d’Algérie) comme Iveton son collègue qui sera guillotiné et s’activait
au sein des terroristes du Parti Communiste Algérien aux côtés de deviner
qui ? Ce cher Maurice Audin bien sûr. Benabdallah Abdelkrim, époux de
Suzanne Larribère, dirigeant du Parti Communiste Marocain et du Croissant Noir,
organisation de la lutte armée contre le «colonialisme»
français, a été assassiné durant la lutte d’indépendance du Maroc
(NB : Le Maroc n’était pas lui non plus une colonie mais un protectorat).
Paulette Larribère et son époux Daniel Touboul ont été arrêtés après les grèves
des étudiants du 19 mai 1956. Paulette Larribère a fait 14 mois à la prison
d’Oran. Son mari Daniel Touboul a été interrogé avec quelque énergie au
commissariat de la Marine, pour ensuite faire 3 années de prison à Oran et
Berrouaghia. Aline Larribère, s’est engagée au Parti Communiste Algérien à
l’âge de 17 ans, au moment de la grève des dockers. Elle a été arrêtée en même
temps qu’Emile Schecroun, son actuel époux, militant du PCA aussi, en septembre
1956 lors du démantèlement du «maquis» de
Tlemcen).
Le 2 Novembre 1954, Le journal communiste, l’Echo Républicain, traitait les
responsables de l’insurrection de «provocateurs»
et «d’agitateurs inconscients». Moscou
très pris par la guerre au Viet Nam avait été pris par surprise mais quelques
mois plus tard le PCA approuvera et aidera le FLN.
Le «Secrétaire»
du PCA c’est-à-dire le chef, le boss, le patron officiel, Paul Caballero,
organise alors une petite aide logistique pour les rebelles par le biais du
Secours Populaire Algérien (SPA) bien évidemment copié sur le très fameux
secours populaire Français filiale du PC(F), ses traitres et sordides actions
étaient commises dans le bled et à Duperré, ville connue comme la petite
Moscou. (Paul Caballero, né le 14 juillet 1910 à Oran (Dans le département
d’Oran et dans la province française d'Algérie), mort le 7 mai 1995 à Massy
(Essonne, France) ; ouvrier métallurgiste marxiste et Cégétiste participant aux
grèves de 1936 à Oran et en France ; mobilisé en 1939, fait prisonnier ; évadé,
revenu à Oran en 1940 ; appelé en 1941 à Alger pour renforcer le PC clandestin
décimé ; condamné à mort par contumace comme dirigeant communiste en 1942 ; en
1943 secrétaire à l’organisation du PCA, le redevient en 1945 et demeure membre
du secrétariat aux côtés de la direction clandestine pendant les événements ;
arrêté à nouveau en 1957 il cesse de nuire et est emprisonné jusqu’en 1962).
Ce n’est que le 20
Juin 1955 que le PCA sur ordre de Paris et de Moscou s’engage très modestement
dans la lutte armée à côté des rebelles fellaghas du FLN. Paul Caballero est très
vite arrêté et le PCA interdit le 13 septembre 1955 et devient une
organisation terroriste clandestine, en relation avec le FLN ; la famille Audin
participe très activement aux actions terroristes illégales liées à cette
situation, notamment cache d’armes et de bombes et de terroristes fellaghas
poseurs de bombes dont les Audin sont les complices objectifs.
En septembre 1956, Maurice organise, avec sa sœur
(Charlye, née en 1925) et son beau-frère (Christian Buono), l'exfiltration
clandestine à l'étranger de Larbi Bouhali, premier secrétaire du PCA (Le
camarade Larbi né en 1912 à El Kantara (près de Biskra, en France,
arrondissement de Batna, département de Constantine) est un communiste devenu
algérien en 1962, membre fondateur et secrétaire général du Parti communiste
algérien en 1936. Issu d'une famille paysanne, il est rapidement repéré par ses
instituteurs Français communistes qui en 1934 l’expédient à Moscou à l’école
Internationale Lénine, pour recevoir pendant 9 mois, une formation de
révolutionnaire et d’activiste terroriste marxiste, le tout nouveau PCA et le Komintern
ayant désespérément besoin de cadres arabes à sa botte. Larbi Bouhali participe
à la fondation du congrès du Parti communiste algérien en 1936, et en 1939 il
est nommé secrétaire du secours populaire algérien, organisme copié sur le
secours populaire Français. En 1940 Bouhali, avec d'autres dirigeants européens
du Parti communiste, est emprisonné et déporté au camp de Djeniene Bourezg. Au
troisième congrès du parti, qui se tient en 1947, il est élu secrétaire général
en remplacement d’Amar Ouzegane (Amar a eu lui aussi un parcours assez
croquignolesque, il quitte l'école à 13 ans pour travailler comme vendeur de journaux
à la criée et allah sauvette de L'Écho
d'Alger dit en arabe Alqarf al'ahmar, La merde rouge, il deviendra plus tard rédacteur en chef de
l'hebdomadaire communiste Luttes sociales,
puis il collaborera au journal indépendantiste Jeune musulman, avant de devenir à l'indépendance directeur de Révolution africaine. Lui aussi mis en
contact avec les cocos, il est vite repéré car ils avaient comme on l’a vu
désespérément besoin de jeunes arabes musulmans pour accréditer leur thèses
imbéciles marxistes et indépendantistes avant de devenir avec l’aide des «camarades» télégraphiste puis postier
c’est-à-dire un espion rouge à la poste. Il intégrera bien évidemment le «monde» qui pue (J’en sais quelque chose ayant été dans la marine marchande
contraint sous les menaces de prendre ma carte de la CGT) du syndicalisme
marxiste au sein de la CGTU, avant de rejoindre les Jeunesses communistes en
1930. Après le traditionnel voyage nature et découverte de l’activisme marxiste
et du terrorisme révolutionnaire communiste à l’école Internationale Lénine de
Moscou, il devient en 1934 secrétaire du Parti communiste français dans les
départements Français d’Algérie. Il est délégué au 7ème Congrès Mondial de
l'Internationale Communiste (Komintern) à Moscou du 25 juillet au 20 août 1935.
Il entre au comité central du PC-(Français) en 1936 lors du congrès de
Villeurbanne. Il fera partie des premiers dirigeants du Parti communiste dit algérien
(un pays qui n’existe pas encore) à sa création la même année mais va s'en
éloigner à cause des positions assimilationnistes de l'AML de Ferhat Abbas et
du PPA de Messali Hadj.
C’était en
novembre 1936 que se tenait à Alger le premier Congrès du nouveau Parti
communiste d’Algérie. L’Humanité, qui en rend compte dans son numéro du
7, expose comment le Congrès, bien représentatif, dit-elle, du peuple algérien
avec ses soixante-deux délégués arabes et ses soixante-sept délégués français, « désigna
un Comité central comprenant les meilleurs militants du Parti». Elle publie
la photographie d’un homme jeune, de grosses lunettes sur les yeux, le chef
surmonté d’un fez. C’est « le camarade Ouzegane, élu secrétaire du
Parti communiste d’Algérie, à côté de Ben Ali Boukort et Jean Barthel». Le
10 septembre 1937, dans le feuilleton «colonial»
de l’immonde quotidien communiste, paraissait la même photo au centre d’un
article de «notre camarade Amar Ouzegane» intitulé : «Un cri
d’alarme au peuple de France». Le secrétaire du Parti communiste algérien
s’écriait : «Le peuple d’Algérie qui a accueilli avec un grand espoir
l’avènement d’un gouvernement de Front populaire ne peut attendre plus
longtemps la réalisation des promesses faites par le gouvernement Léon Blum».
Promesses bien modestes comme les revendications que venait de formuler le
Comité exécutif du Congrès musulman. Aucune allusion à quelque séparatisme que
ce soit. Et, du point de vue politique, «vote du projet Blum-Viollette
élargi comme première étape vers le suffrage universel». Ce projet,
rappelons-le, envisageait de donner le droit de vote immédiatement à vingt
mille musulmans environ.
En 1937, il est élu conseiller municipal d'Alger, il
quitte le PC-(F) à la suite du pacte germano-soviétique avant d'y ré-adhérer au
début de la Seconde Guerre mondiale. Entré en «clandestinité», il est interné de 1940 jusqu'en 1943. En 1945, il
est élu député PC-(F) d'Alger, il deviendra à cette occasion premier secrétaire
du PCA avant d'en être exclu le 30 décembre 1947 à cause de ses positions
nationalistes et musulmanes. Il se rapproche de L'Association des oulémas
musulmans algériens et de Mohamed Bachir El Ibrahimi, le mot d'ordre du
mouvement était «L'islam est notre
religion, l'arabe est notre langue et l'Algérie est notre pays». Il entre
au FLN en 1955 et devient un important conseiller politique de la zone d'Alger.
Il participera à la rédaction du Congrès de la Soummam avant d'être arrêté en
1958, il y restera jusqu'en avril 1962.
À l'indépendance il est député de Médéa à l'Assemblée
constituante. Il sera nommé ministre de l'Agriculture et de la Réforme agraire
le 27 septembre 1962.
C’est en fait en 1963, que le gouvernement algérien dont la constitution adoptée en août 1963 se révèle en fait
un «paravent juridique», incapable
cependant de masquer la concentration du pouvoir autour du seul chef de l’État
et de quelques «privilégiés» du FLN. Outre les premières mesures qui visaient à provoquer
le départ des Européens jugés inassimilables et dangereux, Ben Bella s’applique
à poser les bases du «socialisme»
algérien et commence par s’accaparer des fermes abandonnées par les français. Il permet aux petits
fermiers de conserver leurs terres et en distribue un certain nombre à des
vétérans de la «guerre». Mais la
plupart des terres sont transformées sous le modèle socialiste et communiste en
fermes d'État. En 1963, le ministre de l'Agriculture et de la Réforme agraire Amar Ouzegane formé à
Moscou et recevant ses ordres du Komintern veut avant tout la poursuite d’une
révolution paysanne. En octobre 1963, une loi nationalise les
terres des Français, qui possédaient alors 27 % de la surface agricole
utile (SAU) du pays (soit près de 3 millions d'hectares), tandis que les
quelques milliers de grands propriétaires algériens (1,3 % de l’effectif
des propriétaires) détenaient 23 % des terres. Néanmoins, la réforme
agraire marxiste mise en place par Amar Ouzegane, «improvisée et désorganisée», déçoit par ses très mauvais
rendements et la casse importante de tracteurs soviétiques qu'elle occasionne. Les dernières propriétés volées sont nationalisées
bien évidemment sans indemnités tandis qu’apparaissent les premières unités
agricoles «autogérées». En 1965, ce
secteur «socialisé» s’étend sur deux
millions d’hectares et emploie 115 000 ouvriers. Cette politique communiste
socialisante qualifiée souvent d’Islamomarxiste improvisée et anarchique va se
révéler un échec catastrophique, accélérant l’exode rural. Winston Churchill
dira : «Le socialisme est une
philosophie de l'échec, un principe de l'ignorance et l'évangile de la
jalousie». Il dira aussi : «Le
vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses.
La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la
misère».
Combiné à un processus
d’appropriation et de vol des espaces laissés vacants par les «pieds noirs», ce mouvement d’afflux
vers les villes marquera durablement le paysage urbain. Au déracinement
s’ajoute le chômage qui touche une très grande partie de la population,
notamment à cause de la grave crise que connaît une industrie vétuste et
totalement désorganisée. Le dérapage démographique – la population augmente de
3 % par an – combiné au recul de la production agricole laisse présager des énormes
difficultés à venir. L’émigration vers la France constitue alors une «soupape» à même d’alléger la pression
sur le marché du travail. Au printemps 1965, le seuil des 450 000 Algériens en
France est dépassé.
Ce pays islamomarxiste est toujours dangereusement
dépendant des marchés internationaux. L’Algérie se classe parmi les dix
premiers pays les plus grands importateurs de céréales. Il en est de même pour
d’autres produits agricoles tels que le lait en poudre, les huiles, le sucre et
le café. Cette situation aurait été moins intenable si l’Algérie arrivait à
exporter ce que ses terres produiraient afin d’équilibrer sa balance commerciale
agricole. Mais seulement une quantité marginale de dattes, de vin et de
quelques produits maraîchers a pu se frayer une petite place dans les marchés
étrangers.
Ouzegane est promu ministre d'État le 18 septembre 1963
puis ministre du Tourisme le 2 décembre 1964 au 19 juin 1965 à partir de cette
date je n’ai plus de renseignement sur l’islamomarxiste Ouzegane).
Entre 1962 et 1965 apparaissent aux côté des quelques
communistes allah con non encore viré à grands coups de pied au cul par les
fellouzes musulmans, des «amis de
l’Algérie nouvelle» ? Qui sont donc ces crapules de «pieds-rouges», les nouveaux «Pieds-noirs» ?
Ce sont ceux dont l’histoire a
quelque peu disparue avec le reflux du marxisme officiel confronté à des échecs
à répétition, aux génocides (désormais reconnu par le Parlement européen en
2008 l'Holodomor
en Ukraine pour «un crime effroyable
perpétré contre le peuple ukrainien et contre
l'humanité» sans
pour autant lui donner une qualification de «génocide».
Les marxistes, socialistes, militants «altermondialistes»,
antiracistes du MRAP antisémites, et autres complices de crimes contre l’humanité par leur silence abject,
devraient faire leur mea-culpa en urgence) au profit du marxisme culturel
durant les années 1980, et que l’on confond souvent avec les fonctionnaires
coopérants. Ils et elles étaient quelques milliers, insoumis et chrétiens
gauchistes, communistes de tout acabit, «pablistes»
et crétins libertaires rouges entrés dans la rébellion des croyants au
grand soir, au petit Jésus Soviétique et aux lendemains qui chanteraient
l’Internationale avec partout des camps de rééducation citoyens du Goulag et
des Laogai (camp de rééducation par le travail, le Laogai est un camp de
concentration et d’extermination en république populaire de Chine qui peut être
comparé aux camps nazis (sociaux-nationalistes) et de leur célèbre devise «Arbeit macht Frei» signifiant «le travail rend libre», sans oublier
les camps communistes de Corée du Nord ou existe encore en 2018 des chambres à
gaz homicides (En février 2004 des Nord-Coréens dissidents ont témoigné de
l'existence et l'utilisation, jusque-là supposées, de chambres à gaz dans le
principal camp de concentration nord-coréen, le camp 22, qui peut enfermer 50
000 personnes, et possède des chambres à gaz qui servent à la fois à éliminer
les prisonniers et à mener des expérimentations), qui travaillaient dans les
usines marocaines d’armement du FLN ou portaient les valises en métropole dans
l’ignoble réseau marxiste de Francis Jeanson aux côtés d’Henri Curiel, qui
avaient déserté l’armée française, fuyaient la police ou l’Organisation de
l’Armée Secrète (OAS), et avaient émigré à Tunis au siège du GPRA. Ce sont
aussi des universitaires marxistes comme l’ethnologue Jeanne Favret-Saada et la
sociologue Catherine Lévy (Erev Rav parmi les Erev Rav madame Lévy après son
engagement raté auprès des musulmans Algériens, soutiendra en bonne marxiste
les terroristes antisémites islamomarxistes les «palestiniens» du FPLP) des pseudos journalistes comme l’Erev Rav
Henri Alleg, Maurice T. Maschino ou Arnaud Spire, des militants et militantes
comme Eugénie Dubreuil de la Fédération anarchiste ou Jean Carbonare de la
Cimade.
La malnutrition et la tuberculose frappent les
habitants et les habitantes des campagnes qui manquent de personnels soignants,
comme de personnel enseignant. Puisque les hôpitaux publics sont désertés par
les médecins français qui ont été expulsés ils sont privatisées, à l’instar des
cliniques Verdun et Albert-de-Mun. A la clinique de l’Hermitage s’installent
plusieurs officiantes et officiants, dont la psychiatre Anne Leduc, amie de
Frantz Fanon, le médecin martiniquais qui avait combattu avec le FLN jusqu’à
son décès en décembre 1961.
Les rejoignent dans un babélisme joyeux des médecins
originaires d’URSS, de Chine, d’Égypte et de Cuba dans le cadre d’accords de
coopération. Le service œcuménique d’entraide caritative proposée par la
Cimade, présente en Algérie dès 1957 sur le front des camps de regroupement de
la population, propose des militants qui participent, aux côtés d’autres venant
de l’UNEF, à la création de centres de formation médicale et d’«accoucheuses rurales». Toutes et tous
œuvrent donc à «faire la soudure», en
évitant de tomber dans les mains d’une armée française encore présente sur le
territoire (notamment dans le Sahara, puisque son retrait prévu par les accords
d’Évian n’est que graduel).
A cette époque, Alger est l’une des plaques tournantes
du tiers-mondisme, accueillant les militants et militantes d’Afrique et
d’Amérique latine qui rêvent les pauvres imbéciles (au sens psychiatrique du
terme) d’un nouveau socialisme théorisé dans les pages de la revue prochinoise Révolution africaine entre autres animée
par le jeune avocat Jacques Vergès.
Pour autant, la voie consensuelle d’un nationalisme
frotté de la magnifique culture
arabo-musulmane sous-développée s’insinue toujours davantage dans les parages
de l’utopie autogestionnaire. Et les «gaouris»
(Ce terme vulgaire et grossier désigne «un
Occidental». il est emprunté au turc gavur, qui désigne le cochon) travaillant dans ces
organes de presse socialos communistes ou Islamomarxistes que sont El Moudjahid et Alger républicain ne sont pas vraiment autorisés à en critiquer les
orientations et les réalisations. Ainsi du code de la nationalité, adopté en
mars 1963 et intégré à la constitution de la nouvelle république approuvée par
référendum en septembre. Son article 34, en prévoyant que «Le mot Algérien en matière de nationalité d’origine s’entend de toute
personne dont au moins deux ascendants en ligne paternelle sont nés en Algérie
et y jouissaient du statut musulman», exclut de fait les
pieds-rouges qui travaillent à la construction du socialisme infecte
Le sabotage en janvier 1963 du premier congrès de
l’Union Générale des Travailleurs Algériens (UGTA), seul syndicat autorisé par
le FLN depuis l’indépendance mais à condition pour lui d’en encadrer le
déroulement et d’en caporaliser le fonctionnement, est un autre indice
manifestant la volonté autoritaire du pouvoir en place. Quelques articles
confidentiels de Jean-François Lyotard pour la revue Socialisme ou Barbarie ou du groupuscule trotskyste Driss ont
analysé les contradictions d’un pouvoir gonflé d’une phraséologie socialisante,
alors que sa brutalité entretient l’apolitisme d’une population musulmane qui
craint la répression.
Malgré la belle manifestation de quelques centaines de
femmes à l’appel de l’Union Nationale des Femmes Algériennes (UNFA) lors du 8
mars 1965 devenue depuis «journée
officielle de la femme», le démantèlement du groupe de rebelles
d’inspiration guévariste de Dra-El-Mizan (Kabylie) en août 1963 précipite le
début d’un désenchantement renforcé par le coup d’État de Boumediene le 19 juin
1965. Ce putsch est symboliquement encadré, d’abord par l’exil en 1964 d’un
fondateur historique du FLN, Mohamed Boudiaf, condamné à mort par Ben Bella
pour avoir lancé le Parti de la Révolution Socialiste (PRS), puis par l’évasion
de la prison d’El Harrach le 1er mai 1966 de Hocine Aït-Ahmed, un autre
fondateur du FLN ayant également participé à la création du PRS. «C’est l’Etat-armée sous Houari Boumediene
qui tient véritablement le parti FLN, et non le parti unique qui tient l’Etat»
affirme avec raison Benjamin Stora.
Quel terrain peut-il alors rester à des «pieds-rouges» marxistes abjects qui
suscitent toujours plus la méfiance à juste titre d’un Etat qui substitue
progressivement au rêve idiot autogestionnaire qui ne peut pas fonctionner, la
réalité brutale d’un centralisme bureaucratique mais fortement teinté
d’islamisme ? Réalité qui peut prendre la forme, du point de vue de la police
algérienne formée par la police française, de la torture destinée à tout ce qui
peut ressembler de loin ou de près à une opposition, comme l’Organisation de
Résistance Populaire (ORP) créée à Alger par des membres du FLN en lutte contre
le «fascisme» du «gang du 19 juin» (Le coup
d’État du 19 juin 1965 en Algérie ou le «redressement révolutionnaire»
est un putsch militaire animé par le «colonel»
auto-proclamé Mohamed Ben Brahim Boukharouba dit suivant la mode marxiste de
l’époque Houari Boumédiène,
ministre de la Défense, à l'issue duquel le président de la République Ahmed
Ben Bella est renversé et Boumédiène devient le nouveau
président de l'Algérie de 1965 à 1978. Le «colonel»
commandant en Oranie a pris comme «nom
de guerre» celui du célèbre mystique soufi Sidi Boumédiène, saint et savant
musulman, dont un sanctuaire à Tlemcen perpétue la mémoire. Dès le lendemain du
coup d’État, la chasse aux «Ben Bellistes»
et aux opposants de gauche la plupart communistes est lancée dans les ruelles
de la capitale, à la fois massive et violente. Les camions de l'armée
sillonnent les rues d'Alger, les manifestants parcourent les rues aux cris de «Boumédiène assassin», ils sont environ
entre 2 000 et 3 000 personnes. La radio passe en boucle des appels au calme et
des menaces à l'encontre des manifestants. Plusieurs arrestations musclées ont
lieu, dont 50 Français marxistes ou gauchistes accessoirement partisans de Ben
Bella et de l’Internationale Communiste. À Constantine, les arrestations et les
disparitions des mêmes vont se multiplier au fil des semaines. À Annaba, il y a
plusieurs arrestations et une centaine de morts. À Oran,
les rues sont quadrillées par les automitrailleuses et les patrouilles
militaires. Une manifestation «spontanée»
composée en majorité d'étudiants se déroule place d'Armes, et plusieurs d'entre
eux sont arrêtés et torturés par la Sécurité militaire islamomarxiste).
Voyons le cas d’une certaine Gilberte Chemouilli, née
en 1921, peut-être à Alger, juive Erev Rav, militante communiste depuis 1938 ;
après la guerre, est employée à Alger
Républicain le Pifou d’Alger comme dactylo du comité central du PCA, avec
son mari Taleb Bouhali, présentée par le PCA comme exemple de couple «mixte» (?). Compagne de William Sportisse un juif Erev Rav lui aussi communiste,
elle avait été arrêtée après le coup d’Etat du 19 juin 1965 et sauvagement
torturée dans les locaux de la sécurité militaire par les «révolutionnaires» islamomarxistes de l’ami Boumediene. Avant de
goûter aux gaies geôles de l’Algérie
libre, indépendante, humaniste et démocratique, elle avait séjourné déjà dans
les prisons 4 étoiles Françaises pour ses immondes activités de traitre à la
France et d’activiste communiste. En 1940, âgée à peine de 23 ans, elle avait
partagé sa belle prison avec l’un des nombreux «secrétaire-général» du PCA, Kaddour Belkaïm qui périra en
détention. Elle était veuve avant de connaître William (William Sportisse a
lui-même un long parcours politique de traître à la France: entré au Parti
communiste algérien (PCA) dans la clandestinité imposée par la Troisième
République, il devient après-guerre dirigeant des Jeunesses Communistes, de
l’Union de la jeunesse démocratique algérienne (UJDA) et du PCA à Constantine
et Alger, avant d’être responsable d’une émission de radio clandestine en
langue arabe émise depuis Budapest en Hongrie devenue communiste membre de l’IC
et du Komintern à destination du Maghreb en 1954-1955. À partir de 1956 et
durant tous les événements et opérations de maintien de l’ordre dans les
départements Français d’Algérie, il est à la tête du tout petit noyau communiste
clandestin de Constantine, échappant aux recherches policières et coordonnant
les réseaux terroristes de propagande et de soutien matériel au FLN-ALN. Après l’indépendance, membre de la rédaction du quotidien Alger Républicain et devenu un des très rares
citoyen algérien communiste (environ 70), il est victime de la sympathique
répression qui vise les opposants au coup d’État de Boumediene en 1965,
emprisonné puis torturé et enfin assigné à résidence, il ne retrouve la liberté
qu’en 1974. Avec sa compagne Gilberte Chemouilli, il a vécu et milité en
Algérie jusque 1994, alors que la plupart de ses «camarades» non-musulmans restés à l’indépendance avec ceux dit
«pieds-rouges» que le musulman
plus ou moins socialope Boumediene ne pouvait pas à juste titre supporter et
qui ont quitté le pays peu après 1965 à grand coup de pied au cul. En «exil» en France depuis 1994, il poursuit jusqu’à ce jour sa triste activité de terroriste et de rebelle payé par la
France au sein du Parti algérien pour
la démocratie et le socialisme (ici des infos de première
main sur les horreurs communistes et les crimes contre l’humanité en cours
d'exécution), PADS héritier du PCA interdit en Algérie
dès 1964, installé en France). Le premier mari de Gilberte Chemouilli, Taleb
Bouali, dirigeant communiste et rebelle est zigouillé par nos soldats dans les
rangs des terroristes l’ALN en wilaya 4. Voici ce qu’écrivait Henri Alleg au
sujet de Gilberte dans la présentation du petit livre «Les torturés d’El Harrach», livre composé par les témoignages des
militants communistes arrêtés et torturés par les Islamomarxistes arabes
algériens après le 19 juin 1965: «Gilberte
Taleb, si frêle, si claire, si simple dans sa bonté et son dévouement absolus
qu’elle trouvait «normal» que sa vie, comme celle de son mari Bouali Taleb (…),
faite de peines et de sacrifices. Si modeste, qu’elle n’a même pas conscience
de son héroïsme lorsqu’elle explique à son défenseur pourquoi elle avait tenté
de fuir au moment de son arrestation : «J’avais peur de ne pas tenir le coup sous
les tortures. J’espérais qu’ils me tireraient dessus quand j’essaierais de fuir».
Tous ces traîtres communistes expulsés d’Algérie, complices de monstrueux
crimes contre l’humanité se sont retrouvés en France ou ils ont passé des
retraites dorées payées avec une partie de l’argent des malheureux pieds noirs
qu’ils ont contribué à voler et souvent massacrer, que leur noms soit maudits
et leur mémoire effacée à tous jamais. Quoique
j’ai envie d’un petit dernier (pour la route) car le «cas» de Lucien Hanoun ou Hannoun est particulièrement intéressant :
Né en 1914 dans une famille Française de religion
Israélite d'Algérie, Lucien Hannoun n'a pas connu son père tué pour la France sur
les théâtres des opérations au cours de la guerre de 1914-1918 (Désiré Nessim
Hanoun, de confession Israélite et Français avec un grand F, parti au front
dans son uniforme de Zouave dès le déclenchement du conflit mondial et disparu
à jamais en Serbie. «Mort pour la
France», diront les documents officiels, comme à propos de deux de ses
frères, les oncles de Lucien). Il a été élevé par son beau-père et sa mère qui
s'était remariée (en 1921 avec Émile Timsit, chef-comptable dans une banque, et
donnera naissance à Ulysse, né en 1922, et Armide, née en 1925, qui grandiront
avec Lucien et deviendront très malheureusement eux aussi communistes).
En 1956, cette marxiste de 64 ans
subira en quelques semaines le décès de son mari, l’internement de son fils
Lucien et l’expulsion de sa fille Armide, soupçonnée d’avoir posé une bombe pour
les réseaux communistes pour le compte du FLN. Restée seule à Alger, elle rendra
visite à Lucien en prison et à préparer des colis pour ses codétenus, avant de
se rendre chez son fils Ulysse, enseignant à Béziers, dont le domicile subira
en sa présence une action de l’OAS). En sa qualité de pupille de la nation
Lucien put poursuivre ses études secondaires en métropole au Lycée Lakanal. Il
termine ses études avec le titre de professeur de l'enseignement secondaire. En
métropole, il milite activement dans le très rouge syndicat des enseignants,
notamment dans les «luttes» déjà très
marxiste culturelles pour «l'école
émancipée» un des premiers syndicats Stalinien de France. C’est dans ce
cadre qu’il écoute une intervention du «camarde»
Lucien Sportisse militant
Marxiste-Léniniste. En 1938, celui-ci l’invite à rejoindre les communistes.
Il revient dans le département d'Oran dans les années 1940 et il va
enseigner comme professeur au lycée de Sidi-bel Abbés. Mais les lois de l’état
Français avec l'abrogation du décret Crémieux vont lui interdire d'enseigner
dans les établissements de France, déchu de la citoyenneté française et désormais considéré comme un «indigène israélite», il est révoqué de
l’enseignement le 18 décembre 1940. Il enseignera alors dans des écoles juives
qui étaient plus ou moins «clandestines».
En
1941, avec d’autres enseignants de confession Israélite révoqués, il rejoint le
lycée Maïmonide, mis en place pour accueillir les enfants juifs exclus des
écoles. Il s’y trouve en contact avec des
jeunes juifs devenus des Erev Rav marxistes, dont certains, à
l’image de Daniel
Timsit entament une précoce politisation communiste et
terroriste. Chargé par le Parti communiste algérien (PCA) clandestin de diriger
les Jeunesses Communistes d’Alger, Lucien chapeaute un réseau d’une petite
dizaine de jeunes garçons et filles, parmi lesquels son demi-frère Ulysse et sa
demi-sœur Armide, déjà visé à l’âge de 15 ans par une perquisition au domicile
parental. Malgré le débarquement anglo-américain du 8 novembre 1942 à Alger –
de l’imminence duquel Lucien a été informé par des collègues impliqués dans sa
préparation –, les discriminations continuent. Mobilisé dans les unités de
pionniers israélites, au sein desquelles les juifs fortement soupçonnés d’être
des communistes sont privés d’armes et astreints à des tâches subalternes, il
est encadré par des officiers français ; après la dissolution des unités de
pionniers, et malgré sa volonté de participer au combat armé, il est comme
beaucoup de juifs soupçonnés à juste titre d’être des extrémistes marxisants et
potentiellement des traîtres à la France tenu à l’écart des unités combattantes
lors des campagnes d’Italie, de France et d’Allemagne.
Démobilisé et nommé professeur à Sidi-Bel-Abbès puis
Boufarik, Lucien regagne finalement Alger et le domicile familial en 1949. Le
cœur de sa vie militante débute alors et se centre désormais sur la soi-disant question
coloniale. Secrétaire de la section du PCA de la Casbah, il devient un
personnage familier pour les habitants du quartier. Car Lucien est un militant
de terrain, un porte-plumes de Moscou ancré dans son quartier et à l’écoute de
ses résidents. Dans une Casbah profondément musulmane où les communistes se
heurtent très souvent à une ferme hostilité et à un antisémitisme exacerbé, la
tâche n’est pas évidente, d’autant plus que les communistes musulmans sont très
très peu nombreux à y militer ouvertement. Il fait dire que dans le livre «Saint» le fameux Coran-iquetamère des
barbaresques il est dit
que le juif est
assimilé à un descendant du singe ou du porc. Cette haine
envers les juifs est inscrite dans le marbre coranique, c’est une obligation
divine quoiqu’en pensent les spécialistes du mensonge et de la takkia. Mais
Lucien Hanoun s’accroche. Il parcourt les petites placettes et les ruelles pour
y vendre Liberté et El Djazaïr El Jadida à la criée,
s’essayant à quelques slogans en arabe avec un accent dont son camarade Tayeb
Bouhraoua affirmait 60 ans plus tard avec amusement qu’il plaisait beaucoup
dans la Casbah. Il assure des meetings improvisés bilingues avec son camarade
Mahmoud Latrèche, qu’il porte parfois sur ses épaules à l’entrée des cafés
maures. Il fait cotiser (racket maffieux) pour le parti, des petits commerçants
musulmans et juifs de la rue de la Lyre, et anime devant des centaines d’arabes
musulmans des projections de films en arabe dans les cinémas du quartier. Il
est régulièrement gardé à vue par la police pour ses activités de propagande
terroriste, comme pour ce tract rendant hommage en mars 1950 aux «dockers d’Algérie [qui] montrent à tous les
«Algériens» le chemin de la lutte pour la Libération Nationale» en refusant
de charger du matériel militaire à destination de l’Indochine en guerre. Et il
observe les déboires des résidents algériens depuis sa fenêtre ou l’entrée de
son immeuble, se tenant prêt à intervenir contre l’expulsion de locataires ou
l’arrestation de militants. À l’été 1954, il va à la rencontre de femmes arabes
qui se voient refuser l’inscription de leurs enfants dans l’école du boulevard,
où il fut lui-même scolarisé dans les années 1920, et les aide à s’organiser en
comité pour porter leurs revendications auprès des autorités.
Cette
activité lui attire de nombreuses inimitiés. Au collège de Boufarik où il
enseigne, il est un jour convoqué dans le bureau du proviseur où l’attend un
Français qui n’a pas supporté la leçon d’éducation civique dispensée à son fils
en classe de Cinquième, lors de laquelle Lucien a comparé le fonctionnement théorique
des élections locales a des trucages électoraux soi-disant pratiqués en
Algérie. Dans le même collège, un enseignant Français, l’entendant condamner le
«colonialisme», croit utile de lui
rappeler que sans la France et le décret Crémieux, qui a fait de ses
grands-parents des citoyens pleinement français, il n’en serait pas où il en
est. Et à Alger, où il s’entretient en 1954 avec le recteur à propos des refus
d’inscription d’enfants indigènes et musulmans, il se voit opposer cette
sentence lapidaire mais juste : «Vous, vous
êtes un anti-Français !». D’autant que si ces enfants étaient sous le
statut particulier «d’indigène» c’est
parce que leurs parents ne désiraient pas devenir pleinement Français.
Cette
même formule lui sera lancée par les juges militaires lors de son procès en
1958. Dans les premiers mois de la rébellion, en collaboration avec André Moine
(dirigeant du PCA) et Alfred Gerson (envoyé du PC dit F), Lucien prend en effet
la tête d’un réseau clandestin chargé de rédiger, confectionner et diffuser un
journal et des tracts de propagande à destination des soldats français. Le
journal se nommera La Voix
des soldats, et paraîtra sous la forme de 9 numéros de 2 à 4 pages
entre janvier 1956 et janvier 1957. Parfois fictivement rédigé par des soldats
à la première personne du pluriel, La
Voix des soldats se veut le pendant «anticolonialiste» du Bled,
organe de l’armée française. On y développe une dénonciation du colonialisme qui
n’existait pas en Algérie qui était des départements Français et une
légitimation du terrorisme indépendantiste. On y appelle à une mobilisation des
soldats pour la réduction du service militaire, pour un retour rapide dans les
foyers et pour un cessez-le-feu. Surtout, on y enjoint les soldats à désobéir
aux ordres, à condamner la torture, à fraterniser avec la rébellion, à soutenir
leurs camarades insoumis et déserteurs, voire à envisager la désertion. Après
l’été 1956 et les accords entre FLN et PCA, Lucien Hanoun est encouragé à
poursuivre ce travail par un responsable du FLN, dont il apprendra plus tard
qu’il le considérait à compter de cette date comme un membre du Front.
Lucien fut arrêté en novembre 1956. Il n’échappa à la
mort que grâce à la campagne de mobilisation organisée en France, notamment par
ses anciens condisciples français. Condamné à quatre années de prison, il sera
ensuite transféré dans une prison en France. Libéré en 1961, il revint
clandestinement en Algérie sur la demande du Parti Communiste dit Français pour
poursuivre ses combats de traître et de terroriste rouge aux ordres de l’IC dans les départements
Français d’Algérie. Il milita auprès de la direction du parti jusqu'à
l'accession à l'indépendance.
Dès 1962 il reprend ses activités en tant que
professeur dans un lycée de l'Algérie indépendante. Avec Gilberte Salem (épouse
d’Henri Alleg) née
Gilberte Serfaty il refuse de répondre aux sollicitations et aux
pressions des responsables algériens afin qu'il choisisse le statut de
coopérant. Il se déclare Algérien et obtient par sa résistance à ses
sollicitations et pressions d'être intégré dans le cadre de la fonction
publique algérienne sans bénéficier des avantages du statut de coopérant. Il
poursuivra en même temps son activité au sein d’un Parti communiste algérien qui
sera immédiatement interdit au lendemain de l'indépendance.
Deux ans après le coup d'Etat de 1965, il doit quitter
le pays pour échapper à une arrestation probable en raison de son activité
militante communiste. Il se rend en France, où il reprendra ses activités
d'enseignant dans un lycée français, tout en poursuivant ses actions de traître
à la France et cela avec les impôts des Français et des pieds noirs expulsés de
«son» pays !
Il sera parmi les créateurs de l'immonde association
loi de 1901 marxiste depuis 1996 dite ACCA Association contre le Colonialisme que présidait le traître Salem dit Henri
Alleg. Il continuera au sein de cette association à manifester sa fameuse «solidarité» avec les «combats» du peuple algérien contre
l'impérialisme et le néo-colonialisme. Il militera ensuite activement avec
l'ACCA au côté des associations soutenant le combat du peuple sahraoui pour son
indépendance (Spécialiste des causes allah con et marxistes léninistes, le
crétin de l’Atlas et néanmoins «professeur»
Lucien ignore que le fameux «peuple»
sahraoui n’existe pas.
Lors de la conquête espagnole à la fin du XIXe siècle,
les habitants du Sahara occidental étaient appelés los nativos ou las gentes
del Sahara. Ils appartenaient à plusieurs groupements tribaux nomades ou
semi-nomades aux appartenances ethniques diverses, maintenant pour chacun des
liens de nature différente avec les entités voisines (Maroc et émirats
mauritaniens (Chinguetti, Trarza, Brakna et Tagant)) et établis de part et
d'autre des frontières du territoire).
Il célébra son centième anniversaire en septembre 2014
à la fête de l'Humanité. Il fit un discours émouvant pour appeler les forces
populaires à soutenir le combat juste et légitime du peuple Sahraoui qui n’existe
pas (c’est moche de devenir vieux et con). Les obsèques de Lucien ont eu lieu
mercredi 11 avril 2018 à 14 heures 30 au cimetière de Thiais (Si des fois vous
ne savez pas où aller cracher).
Interrogé en 2007 sur la réception et l’impact de ce
rouge torchon La Voix des soldats qui ne paraîtra que sous la forme
de 9 numéros de 2 à 4 pages entre janvier 1956 et janvier 1957, Lucien Hanoun
avouait qu’il n’en avait jamais eu le moindre écho. Il insistait sur les
multiples contraintes auxquelles le réseau de traîtres avait dû faire
face : la clandestinité, la répression, mais aussi l’absence de soutien
réel de la part du PC-(F), que Lucien avait sollicité en vain pour obtenir le
contact avec des appelés communistes français. Parallèlement à une diffusion à
l’aveugle dans des lieux fréquentés par des militaires, c’est donc en
s’appuyant sur des appelés communistes algériens que le réseau fait parvenir
ses écrits dans les casernes, notamment à la base aérienne de Hussein Dey, par
l’intermédiaire de Pierre Khalifa – condamné à deux ans de prison fin 1956 –,
et à la caserne de Batna, par l’intermédiaire de Jean-Pierre Saïd (en 1947, Jean-Pierre Saïd, âgé de 14 ans et déjà juif
érev Rav, quitte définitivement l’école, exclu du lycée Bugeaud pour ses très
mauvais résultats. Il n’en sera pas moins embauché cinq ans plus tard par l’IC comme
journaliste (sic) à Alger Républicain,
conséquence inattendue de la première des trois arrestations qu’il subira en
une dizaine d’années). Si la diffusion du journal fut sans doute extrêmement réduite,
le général Massu a rappelé dans ses mémoires que l’action du réseau fut prise
très au sérieux par l’armée et par le gouvernement français, attachés à
détruire ce qu’ils percevaient comme une activité dangereuse et terroriste.
La police Française ne restait pas inactive devant le
terrorisme des communistes. Un premier coup est porté au réseau en novembre
1956, lorsque Lucien Hanoun, déjà soupçonné d’être rédacteur de la feuille et
visé par une note de police le décrivant comme «particulièrement dangereux, en raison de sa connaissance de la langue
arabe et des liaisons qu’il assure avec les milieux musulmans», est arrêté en
même temps que 35 militants d’Alger et interné au camp de Lodi sur décision
administrative. Le réseau poursuit toutefois son action sous la direction d’un
autre traître lui aussi enseignant, Georges Torrès, jusqu’aux arrestations de
mars 1957 qui aboutiront à l’inculpation de 26 scélérats hommes et femmes par
le tribunal militaire d’Alger. En pleine «bataille
d’Alger», les interrogatoires musclés sont pratiquée systématiquement contre
les membres du réseau de traîtres
communistes. Omar Djeghri y laissera la vie (Madame Marie Moatti aurait été
témoin (sonore) à la villa Sésini de la mort d’Omar Djeghri. Marie Moatti née en 1925 à Alger était la fille de Marcel Salomon Moatti et
de Fortunée Yvonne Moatti. Docteur en médecine. Compagne de Sadek Hadjerès (n°1
du PCA clandestin avec Bachir Hadj Ali). Militante du PCA depuis la fin de la
Seconde Guerre mondiale membre de la cellule marxiste des étudiants de
l’université d’Alger. Arrêtée en octobre 1956 dans le cadre du démantèlement du
réseau bombes communiste dit de «fabrication
d’explosifs» de la Zone autonome d’Alger. Madame Marie a bien participé à
ce réseau comme Audin et sa famille, comme hébergeuse de terroristes et de
poseurs de bombes (notamment Hadjerès). Bénéficie d’un non-lieu le 7 mars 1957.
Mais elle est de nouveau arrêtée le 15 mars. Les avocats métropolitains Braun
et Douzon écrivent au président du Conseil en avril 1957 pour demander de ses
nouvelles ainsi que de celles de deux autres arrêtés (Mohamed Abdelli et
Gilbert Cohen). Le président transmet à Lacoste, qui répond le 15 avril 1957
que tous les trois ont été libérés (lettre présente dans ANOM/GGA/12 CAB 231).
Elle sera par la suite expulsée vers la France. Informations provenant des
dossiers d’instruction des tribunaux militaires (SLNA), tandis que le
démantèlement du groupe de traîtres, criminels communistes terroristes et
poseurs de bombes conduit de proche en proche à l’arrestation et à la
disparition de Maurice Audin en juin 1957).
Lucien Hanoun, interné bien avant les autres et
extrait du camp de Lodi par les parachutistes alors que le réseau est déjà largement
démantelé, échappe aux interrogatoires musclés. Considéré à juste titre comme
un des principaux responsables du groupe, il écope d’une peine très indulgente
de quatre années de prison grâce au soutien de nombreux enseignants de France,
dont ses anciens condisciples de khâgne. Interrogé en 2007, il rapportait son
premier dialogue avec les juges lors du procès de 1958 :
Ils citent mon nom : «Hanoun Lucien…» – moi
j’ajoute «Mimoun» ; «… fils de Hanoun Désiré… » – j’ajoute
«Nessim» ; «… et de Sultan Anaïs» – j’ajoute «Nedjma». Et Nedjma, c’est un
nom célèbre, c’est le nom du roman de Kateb Yacine, et ils devaient le
connaître ! Alors ils se sont regardés, et j’ai dit : «aussi haut que
je remonte parmi mes ancêtres, je trouve des Algériens». « Ah, c’est pour
ça que vous êtes devenu nationaliste ?» ; «J’suis pas nationaliste,
j’suis communiste !». Ça a commencé comme ça. Une
façon de redresser la barre. Là
c’est bien l’aveu ! Je ne suis pas «nationaliste» dira Hanoun un
des traîtres Français chefs de la rébellion en Algérie, précisant qu’il est «communiste» !
Cette proclamation d’algérianité, Lucien Hanoun la met
rapidement à l’épreuve dans les prisons de Barberousse, Maison-Carrée, Boufarik,
Berrouaghia et des Baumettes, où il est mêlé à des détenus rebelles fellaghas musulmans
avec lesquels ses relations ne sont pas très bonnes. Avec les militants de la
base du FLN, les illettrés au QI de protozoaires, il vit une réelle fraternité,
avivée par les «luttes» communes
et les solidarités quotidiennes : 50 ans plus tard, il racontait avec émotion
les cours de français qu’il dispensait à de jeunes fellouzes. Mais avec les
cadres du FLN, les tensions sont très fréquentes : certains entraînent le boycott
de ses cours de français en l’accusant justement de chercher à répandre
l’athéisme parmi les détenus, tandis qu’un autre lui déclare lors d’une
promenade : «Les communistes, à la
libération, on les pendra».
Dès avant l’indépendance, Lucien Hanoun sait donc que
la reconnaissance comme «vrais Algériens»
des communistes, particulièrement non musulmans, s’avérera très difficile.
Il n’en bataille pas moins dans les premiers mois de l’Algérie nouvelle pour
cette reconnaissance, en refusant d’être considéré comme un coopérant français
et en s’élevant contre les dispositions restrictives du code de la nationalité algérienne de mars 1963 envers les non-musulmans. Jouant finalement le jeu de la demande de
nationalité algérienne – qu’il obtient en juillet 1963 – et du titre d’ancien «moudjahid» – qui lui est reconnu en
mars 1965 – (C’est là encore une fois que l’on voit la duplicité de ses juifs
érev Rav, de ces traîtres à la France, car en principe le moudjahid est un
combattant de la foi musulmane qui s'engage dans le Djihad ! Alors ancien
juif devenu un athée marxiste soit un Erev Rav communiste, tu parles d’un beau combattant
de la «foi»), Hanoun poursuit son militantisme allah
con dans le mouvement syndicaliste enseignant et adhère au FLN après l’adoption
de la charte dite socialiste d’Alger par le parti unique en 1964. Refroidi par
le coup d’État de Boumediene en 1965 et par une politique d’arabisation qui le
marginalise en tant qu’enseignant de français et non-arabophone, il s’éloigne
du FLN et se résigne à quitter l’Algérie en 1967. Continuant évidemment son
militantisme de traître communiste en France qui le paye avec l’argent des
impôts des Français qu’il hait, il n’aura de cesse d’avoir les yeux tournés
vers le Maghreb, en s’impliquant notamment dans le soutien à
l’autodétermination du Sahara occidental. Vivant une retraite paisible payée
par la France dans un appartement modeste de Vitry-sur-Seine, il confiait la
joie qui le gagnait lorsqu’il parvenait à échanger quelques mots en arabe avec
d’autres exilés de banlieue parisienne. Il y a eu beaucoup de coup de pied au
cul perdu et des pelotons d’exécution manqués dans cette affaire.
Quelques années plus tard pour l'hebdomadaire Jeune Afrique, Boumédiène incarnera un «socialisme spécifique», «sorte d’idéologie
marxiste-léniniste teintée d’arabisme forcené et de charia approximative». Tiens
elle est pas mal celle-là, en deux mots c’est de l’Islamomarxisme non ? Vous voyez «amis» cocos abrutis et autres trous du cul «altermondialistes» comme vos idiotes questions trouvent souvent
des réponses dans l’étude de l’histoire.
Dans les années 1970 malgré une décennie marquée par
une euphorie militante et créatrice de mélanges arrachés au dogmatisme d’un
Etat-FLN, ce dernier ne sait vraiment plus que faire de ces «socialistes en peau de lapin». Et il va
bientôt leur préférer l’apolitisme des coopérants missionnés par l’État
français. Les premiers départs sont actés à partir de l’été 1965, et le retour
difficile de bon nombre de pieds-rouges (l’État français veut juger certains
insoumis) s’effectue dans l’absence d’un bilan collectif des tristes expériences
socialistes menées.
Tiens si on revenait à m’sieur le camarade Audin et
à l'exfiltration clandestine à l'étranger de Larbi Bouhali, premier secrétaire
du PCA.
Larbi Bouhali lui, au début de la rébellion, s’était
déjà réfugié courageusement en métropole et le 13 septembre 1955, après la
dissolution du Parti Communiste algérien, il s'installe en Tchécoslovaquie
selon Henri Alleg un des grands patrons du Communisme en Algérie dans son livre
«Souvenirs Algériens». Encore un gros
mensonge coco ! Le camarade Bouhali on l’a vu plus haut a été «exfiltré» en 1956 en direction de la
Tchécoslovaquie par le bien connu maintenant membre du réseau bombes d’Alger ce
cher Maurice Audin ayant assuré la logistique avec sa sœur Charlie et son
beau-frère Christian Buono. En 1962 à l'indépendance de l'Algérie, il reste
plusieurs mois en Allemagne de l'Est, et rentre en Algérie, mais «s'exile» à nouveau (avec d'autres très
courageux dirigeants communistes), quelques mois après le coup d’État de 1965. Il
devient membre de la direction centrale du sans éclater de rire SVP, Mouvement
Démocratique et Social. Larbi Bouhali a représenté les communistes algériens qui
n’existaient plus à différents événements internationaux, tels que le 10e
anniversaire de la célèbre et criminelle contre l’humanité République populaire
de Chine à Pékin en 1959 et à la réunion internationale de 1969 des partis
communistes et ouvriers à Moscou).
On vient
de voit intervenir dans l’affaire Audin Christian Buono, un militant marxiste et
terroriste rouge du Parti Communiste Algérien. Descendant d’une famille
italo-maltaise immigrée en Algérie, il était né le 8 décembre 1923 et avait
passé une dizaine d’années de sa vie à Constantine. Pendant la deuxième guerre
mondiale, en 1941, il entre à l’École Normale de Bouzaréah (Alger) et à sa
sortie il est nommé instituteur à Burdeau où il exerce sa profession de 1945 à
1947. Il s’était marié en 1947 avec Charlye Audin, sœur ainée du camarade complice
des terroristes du «réseau Bombes» à
Alger Maurice Audin. Son influence politique marxiste aurait contribué à
l’adhésion de Christian, en 1955, au Parti communiste «algérien», en pleine rébellion. Charlye et lui sont enseignants
dans des écoles de Tizi-Ouzou, Tigzirt, Mizrana et Makouda. Tous deux
reviennent en 1956 à Alger, plus précisément dans la Cité «populaire» de la Montagne où ils vont exercer leur profession
d’enseignants du primaire.Tous deux deviendront avec Maurice les logeurs des dirigeants terroristes clandestins du Parti communiste Algérien tels qu’on vient de le voir le courageux Larbi Bouhali, premier secrétaire, puis Paul Caballero et André Moine. Pendant cette période, Christian Buono aura la charge de rechercher des planques pour les camarades terroristes, les armes et pour le matériel d’impression des publications clandestines du PCA. C’est dans la demeure de Charlye et Christian qu’André Moine sera arrêté en 1957. Christian Buono le sera également. Emprisonné à Barberousse il sera dans la même cellule qu’Harry Salem dit Henri Alleg qui lui aurait raconté sa dernière rencontre avec Maurice Audin.
Mais en 1959 le tribunal permanent des forces armées à Alger, au procès de plusieurs militants communistes poursuivis à la suite de leurs actions terroristes de traîtres à leur patrie, le condamne à seulement cinq ans de prison. Internés avec d’autres militants et dirigeants communistes ou rebelles fellouzes, Christian y demeurera pendant deux années. Son avocat, Maître Matarasso qui milite au Parti communiste français, parvient à lui obtenir de ce tribunal la liberté médicale avec une assignation à résidence à son domicile en raison soi-disant d’une augmentation des troubles de sa vue. Le terroriste rouge Christian Buono parvient à fausser compagnie aux services de police qui assuraient sa surveillance. Il disparaît, retrouve une bonne vue par l’opération du saint esprit humaniste, prend le nom de Michel Marchand et milite clandestinement dans le PCA notamment dans le réseau «Bombe» jusqu’à l’indépendance. A ce moment-là, il reprend aux côtés de son épouse son métier d’enseignant à l’école primaire de la Cité de la Montagne. Elle devient une école modèle de type soviétique que le Premier Président de la République Algérienne, Ahmed Ben Bella, visitera.
En janvier 1957, était lancée l'opération dite plus
tard «bataille d'Alger», pour
laquelle la 10e Division Parachutiste du général Massu qui détiendra les
pouvoirs de police dans la zone d'Alger s’illustra brillamment.
En mars 1957, Maurice Audin héberge un autre dirigeant
communiste, Paul Caballero, au moment où celui-ci doit être soigné par un
médecin, on choisit évidemment Georges Hadjadj, membre du Parti.
Hadjadj, Juif érev rav qui
se définissait lui-même et sans rigoler comme un «juif arabe» militait avec les étudiants communistes de
l’université d’Alger puis dans le quartier de Bab El Oued, où il s’installait
comme médecin pneumologue au début des années 1950. Après 1955, il met sa
résidence secondaire à disposition du Parti Communiste illégal et terroriste,
qui y abrite son imprimerie clandestine et y fait transiter une grande partie
des armes volées par l’aspirant Henri Maillot en avril 1956. En juin 1957, il
est arrêté par les forces de l’ordre les parachutistes, il est mis en garde à
vue et interrogé plusieurs jours à El Biar, puis détenu 18 mois en prison avant
d’être interné au camp de Lodi jusqu’en juin 1959, date de son expulsion vers
la métropole. Georges Hadjadj va faire l’objet d’un certain ostracisme de la
part d’une partie de ses ex-camarades du PCA : certains lui reprocheront avec
juste raison d’avoir «donné» le nom et
l’adresse de son camarade de réseau Maurice Audin.
Et c’est ainsi que le 11 juin 1957, les militaires
chargés de leur mission de police viennent chercher Maurice Audin vers 23
heures. Une demi-douzaine d'hommes du 1er régiment des chasseurs parachutistes
(RCP) dont le capitaine Devis et le lieutenant Philippe Erulin grimpent les
trois étages de l'immeuble HLM de la rue Flaubert, dans le quartier du
Champ-de-Manœuvre, et tambourinent à la porte. Josette, la femme d’Audin, elle
aussi professeur de mathématiques et membre active du réseau bombe, ouvre la
porte. Les trois enfants, Michèle, 3 ans, Louis, 1 an et demi, et Pierre, 1
mois, dorment.
«Je me souviens d'une invasion dans l'appartement, tout s'est passé très
vite, raconte-t-elle. J'ai été enfermée dans une pièce et n'en suis sortie que
pour dire au revoir à mon mari. Quand, plus tard, j'ai demandé des
renseignements au bureau des militaires, on m'a répondu d'un ton patelin : «Il
y a des interrogatoires un peu musclés, mais ne vous en faites pas».
Interrogatoires un peu musclés ! Certes, et même
violents mais à Alger le mois de juin est l'un des plus sanglants. Une bombe
parmi beaucoup d’autres posée par le réseau «bombe»
des communistes dont Josette et Maurice Audin vient de faucher la jeunesse
d’Alger, qui swinguait avec le groupe de jazz Lucky Starway au Casino de la
Corniche. 8 morts, 92 blessés.
Le chef d'orchestre est tué sur le coup, un danseur a
les jambes sectionnées. Les obsèques des victimes, le 11 juin, tournent à
l'émeute. Le couvre-feu est instauré en catastrophe à 21 heures. Deux heures
plus tard, les parachutistes frappaient à la porte de Maurice Audin.
Georges Hadjadj la balance d’Audin est un témoin, des
dernières heures du traître Audin. Egalement terroriste rouge et membre du
Parti communiste, il a été arrêté peu de temps avant lui, et immédiatement
emmené à El-Biar. Les interrogatoires durent trois jours. Le troisième soir,
sans recours à quelque «torture» que
ce soit un des officiers parachutistes menace d'aller chercher sa femme et de
la torturer sous ses yeux. Il craque et avoue qu'il a soigné, au domicile de
Maurice Audin, un des dirigeants du Parti l’envoyé spécial de l’IC un des
activistes di Komintern formé à Moscou à l’action révolutionnaire et
terroriste, le soi-disant «ouvrier
métallurgiste» Paul Caballero. Quelques heures plus tard, le jeune
mathématicien est ficelé sur une planche, au deuxième étage, dans une pièce
disposant d'un évier et d'un robinet. Georges Hadjadj doit répéter devant lui
son accusation.
«Audin était attaché en slip, et étaient fixées d'une part à son oreille et
d'autre part à sa main des petites pinces reliées à la magnéto par des fils», déclarera Hadjadj la balance en
1960 au Comité Audin, créé, entre autres, par l'historistrion marxiste Pierre
Vidal-Naquet. Les deux traîtres passeront ensuite une journée entière dans la
même pièce, le 19 juin. «Il portait
encore les séquelles des sévices, notamment des escarres noires où avaient été
accrochées les électrodes, déclara Hadjadj. Mais il avait quand même bon moral.
Il m'a dit qu'il avait résisté, qu'il n'avait pas parlé. Je n'imagine pas une
seconde qu'il ait pu s'enfuir».
A mon humble avis, Audin est mort d’une crise
cardiaque n’ayant pas résisté à la «Gégène».
Gégène est l'abréviation de (groupe électro)gène avec redoublement, pour
faire jeu de mot avec Gégène, forme populaire du prénom Eugène. La gégène fut utilisée dès les années
1930 par la Sûreté Générale Indochinoise entre autres chargée de la répression
des mouvements communistes vietnamiens. Elle fut ensuite utilisée durant la
bataille d'Alger, sur les traîtres membres terroristes communiste du PCA et du Front de libération
nationale (FLN), pour leur soutirer des informations, tels que les emplacements
de bombes à retardement. Le
générateur se présente comme une dynamo électrique manuelle, le principe était
de placer les électrodes (+/-) à différents endroits du corps, afin que le
courant électrique – un courant continu de basse tension – traverse celui-ci.
La plupart du temps une électrode était placée sur une oreille et l'autre sur
les parties génitales, ce qui permettait, selon l'intensité et la durée
d'utilisation, de dépasser le seuil de douleur d'électrisation propre à chaque
individu, dans le but d'obtenir des renseignements. Cette technique a été décrite
dans un manuel d’interrogatoire français intitulé Le manuel de l’officier de renseignement, écrit par le colonel
Bigeard.
Le corps d’Audin ne pouvait pas être rendu à sa
famille puisqu’une
souricière avait été installée dans l'appartement de la famille Audin, ou Henri
Alleg, ancien directeur du journal Alger républicain et un des chefs du réseau,
est arrêté le lendemain. Cette «souricière» restât en place, les forces
de l’ordre tentant d’arrêter d’autres terroristes du réseau «bombe» ce qui explique que les forces
de l’ordre firent disparaître le corps d’Audin.
Cette disparition aura bien sûr des effets
considérables : c'est le début de «l'affaire
Audin».
Emmanuel Macron qui ne sait pas ce qu’est que l’armée
Française n’ayant même pas effectué de service militaire il reconnait en 2018 «au nom de la République française, que
Maurice Audin (oubliant sa qualification de complice communiste des
terroristes du réseau Bombe) a été
torturé puis exécuté ou torturé à mort (ce qui n’est pas tout à fait la
même chose) par des militaires (disposant
à l’époque des pleins pouvoirs qui l’avaient arrêté à son domicile).
Comment cette déclaration est-elle reçue en France et
en Algérie ?
Alger a réagi via le ministre, Tayeb Zitouni. Il a
qualifié le geste d’Emmanuel Macron de «pas
positif louable», rapporte le site de Radio Algérie. Il a ajouté que cette
annonce «est une preuve qu’il y aura
davantage de reconnaissances», signe qu’il y a encore des attentes côté
algérien.
Pour l’historiocrate marxiste culturel, de 1968 à 1984,
membre du groupe trotskiste d’Ultra Gauche Alliance
des jeunes pour le socialisme, l'organisation de jeunesse de l'Organisation
communiste internationaliste (AJS-OCI), dernier cercle de l’enfer où s’agite en
monologuant la multitude confuse des sectateurs livrés à leurs obsessions d’antiprolétariens,
d’antisoviétiques et de contre-révolutionnaires spécialiste auto-proclamé de la
prétendue «guerre» d’Algérie,
Benjamin Stora, qui avait accompagné Emmanuel Macron lors de sa visite à Alger
en décembre 2017, il s’agit d’une «décision
historique». Elle va plus loin que
les prises de position des précédents chefs d’Etat, et marque un seuil sur
lequel il sera bien difficile de revenir», estime-t-il dans une tribune
publiée sur le site du Monde.
Chez les politiques français, le geste du président a été
immédiatement salué à gauche, et au premier chef par le parti communiste qui
plaide depuis des décennies aux côtés de la famille. Pierre Laurent y voit «une victoire historique de la vérité et de
la justice», se réjouissant que tombe «un
mensonge d’État qui durait depuis 61 ans».
Comme souvent les journalopes merdiatocrasseux et
marxistes culturels oublient volontairement de nous dire que le dénommé Audin
était un traître à la France, complice d’un réseau de criminels terroristes
rouges poseurs de bombes, assassins de femmes et d’enfants.
Sur le plan historique il serait peut-être bon de
rappeler que le texte qui fut adopté à l'Assemblée nationale à Paris, le 12
mars 1956, par 455 voix, y compris celles des 146 députés du Parti Communiste
s’affublant du nom de Français, contre 76, disait : «Le gouvernement disposera en Algérie des pouvoirs les plus étendus
pour prendre toutes les mesures exceptionnelles commandées par les
circonstances, en vue du rétablissement de l'ordre, de la protection des
personnes et des biens et de la sauvegarde du territoire».
Le gouvernement du socialiste Guy Mollet et ses alliés
communistes avaient ainsi sollicité et obtenu des «pouvoirs spéciaux» afin de disposer dans les départements Français
d’Algérie des moyens d'intervention qui lui sembleraient bons, sans même en
référer à l'Assemblée nationale, sorte de lutte finale et de grand soir.
Dès le début du mois de février, après un voyage à
Alger au cours duquel il fut accueilli par des manifestations d'hostilité de la
part de la population, Guy Mollet nomma comme nouveau gouverneur d'Algérie un
socialiste, Robert Lacoste, qui réclama aussitôt des renforts militaires, qu'il
obtint sans tarder. Le 28 février, tandis que Guy Mollet justifiait à la radio
l'envoi de nouvelles troupes en Algérie, L'Humanité titrait: «Guy Mollet aux Algériens: guerre à outrance
si vous ne déposez pas les armes» et réclamait qu'il entame des
négociations et qu'il réalise la paix. Cette prise de position n'allait rendre
que plus scandaleux le vote des pouvoirs spéciaux de ses députés, quelques
jours plus tard.
Le 12 mars, le PC-(F) malgré
sa haine éternelle contre la France votait la confiance au
gouvernement Guy Mollet et lui accordait les pouvoirs spéciaux qu'il réclamait.
Lors de son discours à l'Assemblée nationale, Jacques Duclos, au nom du groupe
communiste, justifia ce vote en expliquant: «Les
pouvoirs spéciaux sont demandés, nous dit-on, pour aboutir rapidement à la paix
et pour contraindre, si besoin est, les grands possédants d'Algérie à renoncer
à leurs privilèges». Duclos précisait d'ailleurs que «d'autres déclarations différentes ont été faites aussi, et elles sont
relatives à des mesures militaires que nous ne saurions approuver», preuve
qu'il ne pouvait ignorer ce que cachaient ces «pouvoirs spéciaux».
En fait, la façade légale, la direction du PC-(F)
s'engageait à ne pas gêner le gouvernement et à faire accepter sa politique par
la population et par les travailleurs du pays. Il espérait que le soutien de
ses députés au gouvernement Guy Mollet lui vaudrait, en retour, de réintégrer
le jeu politique traditionnel, d'autant que le Parti, dans son souci
d'apparaître responsable aux yeux de la bourgeoisie française, parlait de «paix en Algérie», mais se gardait bien
de revendiquer le droit du peuple algérien à l'indépendance, tout en aidant de
toutes ses forces le FLN en fabriquant et posant les bombes terroristes
meurtrières qui ensanglantaient Alger.
Depuis 1947, avec la Guerre froide, le PC-(F) avait été
déclaré infréquentable par tous les autres partis. Après la mort de Staline, en
1953, sa direction avait espéré un changement d'attitude à son égard et n'avait
pas ménagé ses offres de services. En vain. En 1954, Pierre Mendès-France avait
même refusé d'inclure dans le total des voix pour son investiture celles des
députés communistes. Au début de cette année 1956, l'espoir de mettre fin à cet
ostracisme passait loin devant tout ce qui concernait le sort des habitants des
territoires Français d’Algérie. Le 17 mars 1956,
Guy Mollet signait avec son ministre de la Défense, Bourgès-Maunoury, celui de
la Justice, François Mitterrand, et Robert Lacoste (gouverneur général de
l'Algérie) un décret relatif à l'application de la justice militaire en
Algérie. Ce décret donnait les pleins pouvoirs à l'armée, qui utilisa les
interrogatoires musclés et ce qu’il faut
bien appeler torture (somme toute très modérée) contre les arabes musulmans
terroristes (déjà) et les communistes terroristes assassins de civils, de
femmes et d’enfants et contre tous ceux qu'elle soupçonnait d'aider le FLN ou
les fanatiques terroristes musulmans ou communistes. De 200000 hommes début
1956, les troupes présentes en Algérie passèrent à 450000 hommes en juillet,
afin d'assurer le «quadrillage» de la
population que Robert Lacoste réclamait depuis son arrivée en Algérie.
Au commencement de 1957, les tensions sont
particulièrement vives à Alger entre les différentes communautés. Dès lors, le
7 janvier, une ordonnance de Robert Lacoste confie au général Massu les pleins
pouvoirs sur le Grand Alger. La 10ème division parachutiste, division élitiste
qui compte en son sein de nombreux hommes nés en Algérie, anciens combattants
d'Indochine, reçoit alors la mission de «pacifier»
la ville.
Dans la plupart des ouvrages traitant de la fameuse «bataille d’Alger» la part belle est
faite au FLN et particulièrement à un homme Yacef Saadi dont on peut dire qu’il
est une sorte de communiste nationaliste soit un Islamomarxiste dont les
altermondialistes et marxistes antiracistes d’aujourd’hui nient l’existence.
Yacef Saâdi commence sa vie professionnelle comme apprenti boulanger dans la
Casbah. En 1945, il rejoint le Parti du Peuple Algérien (PPA, fondé le 11 mars
1937 par Messali Hadj en France, après l'interdiction de l'Étoile
nord-africaine (ENA) fondé en 1926 par Hadj Ali Abd el-Kader membre du comité
directeur du Parti Communiste (SFIC). Quand le Komintern (la direction
Internationale du Parti Communiste en
France la SFIC) demande que l'action du parti dit plus tard Français se
développe parmi les «travailleurs»
nord-africains, Hadj Ali Abd el-Kader fonde alors l'Étoile nord-africaine dans
ce but), Yacef Saâdi est donc militant communiste du PPA parti marxiste et
nationaliste interdit par les autorités auquel succéda sans rire SVP le
Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD) qui possède déjà
une petite aile paramilitaire,
l'Organisation spéciale (OS) ou de 1947 à 1949, Yacef Saâdi sert comme apprenti
terroriste marxiste.
Entre l’automne 1956 et l’été 1957 les communistes
d’Alger créent les filières de conception, de réalisation, de stockage et de
distribution de bombes (réseau bombes) et organise les séries d’attentats à la
bombe dans Alger. Ces attentats dans les lieux publics (bars et restaurants,
hôtels, avenues et boulevards, transports en commun, stades, dancings) font des
centaines de victimes civiles, y compris des femmes des vieillards et des enfants
et sont souvent le fait de poseurs de bombes fournis par l’Islamomarxiste ou Messaliste Yacef Saadi qui avait plus ou moins rejoint
le FLN ou pour le moins que le FLN laissait faire.
Les chefs du réseau «bombe»
d’Alger : En premier Caballero et Moine agents du Komintern formés à
Moscou venant de métropole suivit des militants dit «journalistes» d’Alger Républicain : Henri Alleg et André Ruiz (Né
le 12 avril 1911 à Colomb-Béchar, Ruiz est mort à Alger d’un cancer à la fin
des années 1960 ; contrôleur des PTT à Alger, secrétaire général de la CGT en
Algérie en 1949, membre du Conseil général de la Fédération Syndicale Mondiale
prosoviétique formé à Moscou à l’école Internationale Lénine, membre du Bureau
politique du PCA ; à la transformation de la CGT en UGSA en juin 1954, partage
le secrétariat général avec Lakhdar Kaïdi auquel il laisse le premier rôle;
emprisonné pendant la rébellion; à l’indépendance opte pour la nationalité
algérienne), avec les Audin, Timsit, Maillot, Laban, le professeur Mandouze, le
docteur Chaulet et son épouse, le papetier Gallice, le couple Gauteron, Evelyne
Lavalette, la famille à Oran, du docteur Jean-Marie Larribère, tous marxistes
et complices sinon même poseurs de
bombes pour le compte du FLN. Parmi ceux-ci se distingue Danièle Minne la
poseuse de bombe de l’Otomatic, rendez-vous des étudiants qui fera cinq morts
civils et 32 blessés horriblement mutilés. A quand la «reconnaissance» et l’hommage rendu à ses morts innocents par «l’état Français» ou un président
marxiste culturel ?
Celle qui se fera appeler Djamila Amrane-Minne, née
Danièle Minne aurait bien comme Audin mérité 12 balles dans sa peau de traître
à sa patrie, est née le 13 août 1939 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) et morte
le 11 février 2017 à Alger. Cette immondesque terroriste rouge est dite «intellectuelle» !
Fille et belle-fille d'ignobles activistes communistes terroristes
et traîtres condamnés à mort, elle est une militante communiste «rallié» comme ses parents au Messalisme
souvent dit à tort au Front de Libération Nationale utilisant des messalistes,
une porteuse de valise et une terroriste criminelle poseuse de bombe à Alger.
Elle bénéficiera de l'amnistie générale de 1962. Installée en Algérie, après
l'indépendance, elle devient le premier professeur en «histoire de nationalité» algérienne. Mariée durant la rébellion à
Khellil Amrane, tué peu avant le cessez-le-feu, elle épouse en secondes noces
le frère de Khellil Amrane, Rabah Amrane. Elle porte en prénom un sobriquet
arabo musulman, Djamila. Durant les années 1990, fuyant l’Algérie ou les
communistes ne sont plus en odeur de sainteté, elle enseigne l'Histoire de la
décolonisation en France qu’elle a trahie, à l'Université Toulouse II-Le Mirail
; elle était membre du Groupe de recherche sur l'histoire immédiate et payée
avec l’argent des Français qu’elle haïssait.
Dans la famille Minne, une famille de traîtres et
terroristes communistes on trouve la mère de Danielle, Jacqueline Netter
juive érev rav morte le 18 janvier 2015 à Alger, et mère de Danielle qui s’était
mariée avec Pierre Minne, enseignant et militant
communiste
comme elle. Leur fille, Danièle Minne, naît en 1939. En 1942, en raison de ses origines juives, elle est internée par les Sociaux Nationalistes du Parti des Travailleurs
Allemands. Heureusement avec l'aide de son mari, de militants communistes et
d'un prêtre catholique, elle réussit à fuir vers la zone libre qui existait heureusement grâce au Maréchal Pétain. Jacqueline et son
époux ainsi que leur fille partent s'installer au Sénégal, d'où ils sont rapidement expulsés pour activités communistes. En 1948, les Minne partent enseigner le merveilleux marxisme léninisme criminel
en Algérie. Ils s'installent dans la région de Tlemcen puis à Chetouane et à Négrier
d'abord, puis à Aïn Fezza où Jacqueline est institutrice.
Divorcée, Jacqueline Netter se remarie en 1950, avec Abdelkader Guerroudj, militant du Parti communiste algérien et directeur de l'école où elle enseigne.
Engagés dans l’insurrection de novembre 1954, ses
parents sont visés, en mai 1955, pour leurs
activités nidoreuses de communistes par un avis d'expulsion du préfet d’Oran
mais peuvent s’installer à Alger en janvier 1956, après avoir passé quelques
mois en France en formation d’activistes marxistes
On a tendance aujourd’hui à faire croire au sujet de
l’Algérie à une insurrection «populaire»
ou dans les Djebels des arabes musulmans à 94 % analphabètes se seraient levés
comme un seul homme pour faire une «révolution
nationale», seulement c’est faux, ce sont les communistes
internationalistes qui ont auprès d’hommes formés au communisme le plus total
et aux idées extrémistes marxistes de type soviétiques et bolchéviques
staliniennes qui ont déclenchés les hostilité et la rébellion après presque 40
ans de préparation.
L’URSS est souvent présentée comme ayant eu un rôle
directeur par l’intermédiaire de la SFIC puis du (PC-F) et distribué les tâches
– mais quelles tâches ? La seule qui soit assez clairement définie incombe à la
Tchécoslovaquie : fournir des armes et une formation à la guérilla. Le rôle de
la RDA est d’accueillir des traîtres dit «réfugiés
politiques» et des étudiants et de les former/formater pour le futur État
algérien. La distribution des «taches»
se fera par l’intermédiaire d’agents Français du Komintern et membre de l’IC
formés à Moscou. Tel des Alleg, Moine ou Caballero officiellement membres du
PCA illégal.
L’exemple des «fils
de la Toussaint»,
les neuf chefs historiques du déclenchement des événements
d’Algérie est ici symptomatique.
Nous allons voir cas par cas que les neuf hommes à l’origine de la rébellion en Algérie
étaient tous des marxistes. Mais avant cela voyons l’origine de ce marxisme
animant les futurs créateurs du FLN.
Tout commence avec Messali Hadj fils du Hadj Ahmed Messali et de Ftéma Sari Ali Hadj-Edinne. Son
grand-père maternel était cadi et membre de la confrérie des Derkaoua. Le père
de Messali était cordonnier. La famille respectait la tradition, le culte des
saints, les fêtes et la pratique de la religion musulmane. À sept ans, Messali
est inscrit dans une école primaire française. Son père refuse l'école
coranique. Messali a des capacités d'observation et de mémorisation
importantes. En 1917, il effectue son service militaire en métropole à
Bordeaux.
Il se rend à Paris après la Première Guerre mondiale, ou
il fréquente le Parti Communiste (PC-SFIC qui ne deviendra F qu’en 1943) et
notamment
Abdelkader Hadj Ali, né en 1883 au douar Sidi Saada
près de Relizane ancien lieutenant de l'armée française. Abdelkader c’était
rendu en métropole à l'âge de 18 ans. Militant du Parti Communiste connu alors
sous le nom de Section Française de l’Internationale Communiste (SFIC) dès sa création,
en décembre 1920, il est le premier Français musulman d’origine maghrébine
porteur de l'idée anti-coloniale. Il milite à la commission de la SFIC dont il
devient dirigeant aux côtés du vietnamien Hô Chi Minh. Abdelkader Hadj Ali
cumulait deux fonctions, membre du comité central de la Section Française de
l’Internationale Communiste (SFIC) et président de l'Étoile nord-africaine lors
de la création de celle-ci en 1926. Hadj Ali Abd el-Kader est membre du comité
directeur de la SFIC qui deviendra souvent à l’usage des illettrés indigènes dans
les années 1930 le Parti Communiste s’affublant du nom de Français (PC-(F))
quand le Komintern dirigé
par le Parti communiste de l'Union soviétique, exige que l'action du parti se développe parmi les travailleurs
nord-africains. Hadj Ali Abd el-Kader fonde alors sur ordre de Moscou l'Étoile
Nord-Africaine dans ce but. Cette organisation marxiste, selon la volonté de
Hadj Ali Abd el-Kader, est fondamentalement «laïque»
et compte bêtement se battre en complète collaboration avec la fameuse
arlésienne la célèbre «classe ouvrière»
française. Elle recrute la majeure partie de ses militants dans l'émigration
ouvrière algérienne, militants qui sont placés sous surveillance par le Service
des affaires indigènes nord-africaines de la Préfecture de police de Paris. Les
buts avoués de cette association notoirement marxiste-Léniniste sont «la défense des intérêts sociaux, matériels
et moraux» des travailleurs de cette région. En 1927, elle accueille
Messali Hadj. Ce jeune Tlemcenien a des points de vue qui divergent de ceux de
Hadj Ali Abdelkader moins préoccupé par la laïcité et faisant état de points de
vue nationalistes, il veut engager le mouvement sur le terrain politique en se
faisant porte-parole d'une revendication d'indépendance de l'Afrique du Nord
(Maroc, Algérie et Tunisie au sein d'un ensemble national que serait
l'Algérie). Il est membre et permanent du parti communiste et il est adhérent
et militant de la CGTU. Le parti comprenait seulement de 3 à 4000 membres en
1924.
Il est maintenant évident même pour les plus imbéciles
des marxistes culturels ou socialistes que les événements d’Algérie ont été
téléguidés depuis Moscou et le PCUS chef de l’IC. Notons que le Parti
communiste de l'Union soviétique (PCUS) était le seul parti politique autorisé
dans l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) entre 1925 et 1990,
c’était ce que ces gens-là appelaient la Démocratie.
Notre jeune Français Messali Hadj se marie avec une
métropolitaine, Émilie Busquant ; il aura deux enfants : Ali (1930-2008) et
Djanina (1938-).
Dès 1926, il est élu président et fait partie des
membres fondateurs de l’association marxiste-léniniste l'Étoile nord-africaine
(ENA), il dénonce l'arbitraire dont serait victime le «peuple algérien» et pose le problème de l'indépendance nationale. En 1927, avec Hadj
Ali Abdelkader et quelques autres Français indigènes, Messali Hadj dressera la
base d'un programme, bien que plus étendu et n’y allant pas avec le dos de la
cuillère à couscous, se résumant à :
L'indépendance totale des trois pays d'Afrique du Nord
«Algérie, Tunisie et Maroc» ;
L'unité du Maghreb ;
La terre aux fellahs ;
Création d'une assemblée constituante au suffrage
universel ;
La remise en toute priorité à l’État des banques, des
mines, des chemins de fer, des ports et de tous les services publics que
détenait la France.
Malgré les tracasseries de l'administration française,
emprisonné à maintes reprises et déporté, il continue à militer après la dissolution
de l'ENA par le Front Populaire en janvier 1937. Il participe alors à la
fondation du Parti du Peuple Algérien (PPA) le 11 mars 1937. Il est élu président
du parti à sa fondation. Le PPA n’a rien à voir avec le PCA. Le Parti Communiste Algérien (PCA) émerge dans
les départements Français d’Algérie dès la scission du congrès de Tour en 1920 comme une extension de la
toute nouvelle SFIC qui deviendra plus tard le fameux Parti communiste dit français. Ses noyaux
(cellules) sont principalement composés d'ouvriers expatriés, européens dont de
nombreux Français gauchistes extrémistes
«indésirables» en métropole,
après que leurs parents eurent été envoyés au bagne à la suite de leurs actions
terroristes et criminelles de la commune
de Paris
et de mouvements de gauchistes ultérieurs le PCA ne contera que très peu
d’indigènes arabes et musulmans dans ses rangs.
C'est lors de la parade du 14 juillet 1937 organisée
par le Parti communiste algérien (PCA) au nom du Front populaire français, que
le drapeau algérien, confectionné par Mme Messali, est déployé pour la première
fois dans les rues d'Alger. Sous l'influence de Chekib Arslan il s'éloigne
alors du Parti Communiste (la SFIC), hostile à l’époque l'idée d'indépendance.
Encore une fois pour les crétins congénitaux au QI de
protozoaires socialistes, communistes, marxistes trotskistes,
altermondialistes, antiracistes et autres abrutiles et j’en oublie, je vais
démontrer grâce à Chekib Arslan que si l’insurrection dans les départements d’Algérie
à bien été au départ une idée totalement marxiste elle est devenue en quelques
années Islamo marxiste.
Monsieur Christian Delarue est un des très rares
altermondialistes, antiracistes et marxistes avoués qui a essayé en 2005
d’apporter une pseudo critique à mon travail.
Ce travail faisait suite à une question pour une fois
intéressante posée sur Internet par le MRAP, Cliquez ici pour voir la question : «Le MRAP attend que ceux qui parlent
d'islamo marxisme expliquent ce que c'est, et en quoi ce serait musulman et
marxiste».
Pour mes fidèles lecteurs vous conviendrez que je ne pouvais pas laisser
cette question fondamentale sans y apporter une réponse nette. C’est à lire et c’est en Français, le délicat mouvement marxiste le
MRAP disait :
«L'islamo marxisme est une invention de ses
détracteurs, une construction pseudo intellectuelle qui ne correspond à aucun
théoricien, aucun mouvement. Le MRAP attend que ceux qui parlent d'islamo
marxisme expliquent ce que c'est, et en quoi ce serait musulman et marxiste».
Sur le merveilleux blog dit Chris Mondial (bigre,
pourquoi pas galactique ?) son altesse royale, incomparable fonctionnaire
des finances, monsieur Christian Delarue, un Alter mondialiste très distingué,
Membre émérite du conseil d’administration de l’association ATTAC France, génial
responsable antiraciste du MRAP (le MRAP, le joyeux mouvement d’ultra gauche
marxiste qui en France distille de la haine des juifs) monsieur Delarue, avoue
nettement être marxiste.
Aujourd’hui on
découvre dans son entier la forme colossale du dur aveu, on reconnaît aussi
l’esprit d’humanité et de dialogue de l’homme marxiste avec sa grandeur et sa
simplicité des grandes âmes. Son éminence C. Delarue est profondément moral. Illustrissime
intellectuel critique il peint sur ses blogs le vice capitaliste crapuleux d’une
main rude et vertueuse, mais ce marxiste d’anthologie n’est pas content, il
répond à mon article : «A suivre le
fiel répandu sur le web, il y aurait des marxistes au MRAP. Disons le tout de suite : c’est certain.
Mais cela constitue une richesse d'analyses et un apport d'expériences pour la
lutte contre les dominations, les oppressions dont le racisme est l’un des
vecteurs (là c’est une opinion, il est assez évident aujourd’hui que le
marxisme est une idéologie à l’origine d’un des plus monstrueux crime contre
l’humanité reconnu pas l’Union Européenne l’Holodomor qui a fait plus de neuf millions de victime et au total sur la planète 150
millions de morts innocents. Quelle magnifique richesse d'analyse et apport
d'expériences que le marxisme). On ne
saurait dire sérieusement pour autant que le MRAP est marxiste (Oh ben non alors peut-être un tantinet communiste). (…) Quant à l'islamomarxisme, il s'agit à
l'évidence plus d'un mot-valise stigmatisant qu'une catégorie
philosophico-politique définissant un courant de pensée. La compatibilité de
l'islam et du marxisme est un monstre épistémologique et un monstre théorique
non réalisé à ma connaissance (les «connaissances»
du marxiste sont généralement extrêmement faibles. Les marxistes
s’affirmant «intellectuels critiques»
sont les grands prêtres fondamentalistes de cette religion séculière le
marxisme).
Nous pouvons
aisément comparer le fondamentalisme marxiste au fondamentalisme chrétien,
position religieuse dans les deux cas qui soutient le plus souvent une interprétation
stricte et littéraliste de textes sacrés (Dans le cas du marxiste les textes de
Marx ont force de loi). Le terme «fondamentalisme»
en lui-même signifie, en général, une adhésion rigide aux principes fondamentaux
d’un domaine quelconque. Ainsi, le fondamentalisme se manifeste par un
engagement envers des doctrines radicales et peu nuancées, généralement religieuses,
mais aussi séculières ou même antireligieuses. Le fondamentalisme cherche à
justifier une conception du monde répondant à un besoin de sécurité intellectuelle
et existentielle, ou à faire prévaloir un pouvoir politique, communautaire ou
religieux.
Seulement voilà, l’intellectuel critique n’a pas lu le livre d'Arthur de Gobineau : Essais sur l'inégalité des races humaines. Pas plus qu’il n’a exercé son droit d’Intellectuel critique lorsque j’ai
écrit : les races existent sur un blog que ce monsieur a déjà «critiqué» et ou les commentaires sont
libres. S’il n’a pas lu de Bornay
ni de Gobineau ce doit être parce qu’il a une dent contre les aristos ! Apparemment
non, parce qu’il ne semble pas avoir lu Marx non plus, ce qui est curieux pour
un marxiste distingué.
Par exemple l’antisémite Marx, dans sa lettre à Friedrich Engels du 24 mars 1861, y
décrit «la créature la plus hideuse que
j’ai vue de ma vie, au répugnant faciès juif» (garstigen jüdischen
Physiognomie). Dans une autre lettre à Friedrich Engels du 30 juillet 1862, sur
Ferdinand Lassalle (1825-1864), ami politique de Marx, il écrit bien «Nègre» (Nigger) et non «Negro» («Noir»). «Le juif adipeux de Breslau… Il est clair, à
la forme de sa tête et à l’implant de ses cheveux, qu’il descend des nègres qui
se joignirent à Moïse pour son voyage en Égypte ; à moins que peut-être, sa
mère ou sa grand-mère n’aient forniqué avec un nègre». (Curieusement Marx
avait une connaissance suffisante de l’exode (Exode 12:37-38) pour qualifier
l’érev rav, l’Assafsouf ou peuple de boue de «nègres»). Ailleurs, Marx traite Lassalle de juif nègre, youpin,
sale juif et juif de merde. Marx continuera gentiment (in Herr Vogt, Alfred Costes
Éd., Paris, 1927-1928) : «Le grand art du
nez de Levy consiste en effet à renifler la pourriture… Le nez de Levy sert au
Daily Telegraph de trompe, d’antenne, de phare et de télégraphe. On peut dire
sans exagérer que Levy écrit son journal avec son nez» (Joseph Moses Levy
est le directeur libéral du quotidien Daily Telegraph).
Une petite dernière, pour la route ? Elle est de Friedrich Engels (C’est
au grand capitaliste Allemand devenu Marxiste
Engels que l’on doit en partie les idées idiotes du féminisme moderne partie
intégrante du marxisme culturel. Il considère par exemple le concept de mariage
monogame comme résultant de
la domination de l'homme sur la femme. Plus tard les marxistes-léninistes racistes
et antisémites parleront du féminisme comme d’une «diversion» car dans cette analyse,
toutes les «classes sociales» sont
composées de femmes et d'hommes et les premières ne constituent pas une caste
ou une classe particulière caractérisée par une réelle solidarité d'intérêts.
De ce fait, l'invocation d'un conflit d'intérêts entre sexes ou la lutte pour
l'émancipation d'un sexe à l'égard de l'autre serait un «artifice» ayant pour conséquence, voire pour but de «masquer les vrais rapports de domination et
les vraies lignes de fracture sociale». Par chance il existe le masculinisme avec les incels, en français «célibataires involontaires», les MGTOW pour «homme qui prend son propre chemin», et
les MRA the Men’s rights activists pour
«Activiste pour les droits des hommes».
Le site du journal Times of India évoquait déjà en 2015 la mobilisation
de militants à l’occasion de la Journée internationale de l’homme le 19
novembre. L’occasion pour ceux-ci de manifester pour leurs droits: «Il y a cent ans, les femmes ont commencé à
ressentir le besoin de s’affirmer elles-mêmes et d’affirmer leurs besoins.
Aujourd’hui, les hommes ressentent la même pression et éprouvent le besoin de
parler des problèmes qu’ils rencontrent tous les jours en raison du sexe auquel
ils appartiennent. Les activistes pensent qu’au cours des dernières décennies
le courant s’est retourné contre les hommes, faisant d’eux l’objet de beaucoup
de discriminations sociales»). La blague bien raciste
est sur Paul
Lafargue, gendre de Karl Marx, fondateur, avec Jules Guesde, du Parti ouvrier
français et de L’Humanité. De son propre gendre, Marx dit qu’il «possède la tare que l’on trouve en général
dans la tribu des nègres : une totale absence de honte» (Lafargue n’est pas
noir, mais créole des Antilles). Voici maintenant l’humour d’Engels (Par ses
écrits, son militantisme communiste, son travail de publication de textes
importants de Marx, Friedrich Engels reste pour beaucoup une référence du
marxisme) qu’il faut avoir lu quand on se qualifie d’intellectuel critique
marxiste ! Laura Marx est la seconde fille de Karl. En 1887, son mari Paul
Lafargue est candidat (socialiste) aux élections municipales du Ve arrondissement
de Paris. Le 26 avril 1887, Engels félicite ainsi Laura (pour lui, c’est drôle)
: «Comme nègre, Lafargue est proche du
règne animal, donc le Ve arrondissement est parfait pour lui, avec le zoo du
jardin des Plantes» Verbatim : “Paul,
the candidate of the Jardin des Plantes – and the animals… Being in his quality as a nigger a degree nearer to the animal kingdom than
us, he is undoubtedly the most appropriate representative of that district.” (Marx-Engels Werke, MEW, vol. 36, 1967, Institut du marxisme-léninisme,
Parti socialiste unifié d’Allemagne SED, DDR).
Mais attention l’antiraciste surtout lorsqu’il est
intellectuel critique et fonctionnaire des impôts s’en bat les choses de la vie
des théoriciens du marxisme. Pour lui l'antiracisme inclut essentiellement les
opinions, actions, mouvements et les politiques adoptées ou développées pour
s'opposer au racisme. Bien
évidemment pour ces gens-là les excellentissimes intellectuels critiques
marxistes il est un racisme qui n’existe pas, c’est le racisme anti-blancs. De
par sa nature, l'antiracisme avance la vision que le racisme dans une société
est à la fois pernicieux et socialement pénalisant et que des changements dans
le sens politique marxiste-léniniste, économiques collectiviste et évidemment
sociaux sont nécessaires pour l'éradiquer. (Gilles-William
Goldnadel dans le journal Le Figaro dira : «Le racisme antiblanc
est le trou le plus noir de l'information comme de la réflexion. Si vous aimez
la tranquillité, évitez donc de le nommer. Ou utilisez si possible une
circonlocution. Essayez plutôt «détestation anti-occidentale». Il
existe en Afrique un pays dont les intellectuels critiques distingués détestent
parler, c’est le Zimbabwe. Pourtant c’est un peu le pays de leurs rêves, un
pays aussi sympathique que la chaleureuse Corée du Nord ou existent encore des
chambres à gaz homicides marxistes ! Un endroit ou l’économie
collectiviste en échec bien sûr, a ruiné le pays. Un pays ou n’existe aucun
service social avec plus de 4000% d’inflation par an (économie socialiste
oblige). L’intellectuel et professeur marxiste-léniniste Robert Mugabe président
du Zimbabwe
qui collectionne sept diplômes académiques, dira dans un discours prononcé aux
funérailles d'un ministre en mars 2003 : «Je suis toujours l’Hitler de l'époque. Cet Hitler n'a qu'un seul objectif:
justice pour son peuple, souveraineté pour son peuple, reconnaissance de
l'indépendance de son peuple et de son droit à ses ressources. Si c'est Hitler,
alors laissez-moi être dix fois plus hitlérien. Dix fois, c'est ce que nous
défendons». Ah, ces intellectuels critiques marxistes sont
vraiment plein d’humour comme leur idole raciste et antisémite Karl Marx !
Camarade Bob avait pourtant bien commencé sa «révolution» socialiste marxiste. Trois ans après l'indépendance,
Robert Mugabe déploie sa 5e brigade humaniste,
formée par des instructeurs nord-coréens progressistes et pacifistes, dans la
province du Matabeleland. Ces forces spéciales et escadrons de la mort torturent
(avec modération) des paysans, incendient des villages, multiplient les exécutions
publiques. Bilan: au moins 30 000 tués, c’est le génocide des n’débélés. Et alors on dit quoi ? On dit vive la dictature marxiste du
prolétariat et de «Comrade Bob» !
Et ce n’est pas fini le 20/08/2017, le président marxiste du Zimbabwe
Robert Mugabe refait parler de lui pour une sortie ultra-raciste. Selon le
média News Day, Robert Mugabe a déclaré le 14 août dernier que toutes les
personnes accusées d’avoir tué des fermiers blancs depuis le lancement de la
réforme socialiste du pays et de la confiscation des terres aux Blancs, tous
ceux-là devaient obtenir l’immunité et ne pas être poursuivis en justice. Il
est sympa le Bob non ? Pour ceux qui ne
l’ont pas déjà vue, je vous conseille cette vidéo sur le génocide blanc en Afrique du Sud.
Pour ceux qui croiraient que le problème est uniquement l’islam alors qu’il
n’est qu’une des nombreuses manifestations de la haine antiblanc qu’une grande
partie du monde nous voue ouvertement). Bon
finissons-en avec notre «ami» marxiste et ses argumentations
oiseuses : … «Je ne compte pas
répondre plus à ce discours tant les assertions manquent de contenu probant. Le
"salafisme remplaçant le marxisme" c’est pour les esprits faibles pas
pour des intellectuels critiques. Christian
Delarue». Bon
alors puisque nous sommes en plein dans le sujet du «mot valise» avec ses fameux «porteurs»
des susdites, nous avons avec Messali Hadj le prototype de l’Islamo marxiste et le
MRAP un mouvement marxiste : «attend
que ceux qui parlent d'islamo marxisme expliquent ce que c'est, et en quoi ce
serait musulman et marxiste».
Et
bien alors allons-y mon zami !
Nous
venons de voir que Messali Hadj sous
l'influence de Chekib Arslan s'éloigne du Parti Communiste (la SFIC) hostile à
l’époque l'idée d'indépendance mais pas seulement. Messali Hadj avait
compris que les indigènes d’Algérie sont et resterons toujours et d’abord des
musulmans.
Chakib Arslan (1869–1946) un émir druze originaire du
Liban était à l’époque un écrivain influent. Ce célèbre nationaliste
arabo-islamique est à l'origine du journal «La
Nation Arabe» qui influença beaucoup de chefs nationalistes arabes, en
particulier les indépendantistes maghrébins comme Messali Hadj, leader de l'étoile
nord-africaine
qui le fréquenta assidument lors de son exil à Genève. Arslan contribua à
éloigner Messali Hadj du parti communiste, et à le dresser contre le projet
Blum-Viollette.
Il rapprocha alors l'étoile nord-africaine des Oulémas musulmans réformistes. Ce qui faisait bien
alors une alliance Islamo marxiste. Bien que Chakib Arslan n’ai pas été
communiste il a préconisé au moins jusqu’en 1930 une alliance entre les
nationalistes arabes musulmans et les Partis Communistes. A sa fondation en
1933 l’Etoile Nord-Africaine adoptera un programme politique centré sur : «Une indépendance totale de l’Algérie arabo-islamique
et une structuration en partie sur le model marxiste». Si ça ce n’est pas
de l’islamomarxisme qu’est-ce que c’est ?
Il n’y a pas qu’en France que sévissait cet Islamo Marxisme, Tan Malaka, militant
nationaliste indonésien, musulman et marxiste fut l’une des figures les plus
marquantes de ces militants révolutionnaires des Trois Continents qui
cherchèrent à décentrer le marxisme et à lier lutte anticapitaliste,
anti-impérialiste et renaissance nationale culturelle.
A l’instar du Tatare Mirsaid Sultan Galiev avec le «communisme national musulman» que l’on peut aisément qualifier d’Islamomarxisme qui devient de ce fait une catégorie philosophico-politique définissant un courant de pensée, n’en déplaise aux alter mondialistes et autres trou du cul marxistes culturels alter mondialistes ou Mrapistofurieux pour qui la compatibilité de l'islam et du marxisme est un monstre épistémologique et un monstre théorique qui n’aurait jamais été réalisé à leur toute petite connaissance de physalie qui ignorent alors même qu’ils sont marxistes la création, effective en juin 1918, d’un Parti communiste des musulmans de Russie à même de préserver l’autonomie du mouvement révolutionnaire musulman que compromettrait son incorporation à des organisations marxistes dominées par les Russes, fussent-ils soviétiques. A l’instar aussi de l’Indien Manabendra Nath Roy, du Péruvien José Carlos Mariategui et son communisme Inca ou du Vietnamien Ho Chi Minh, Tan Malakka s’attacha à adapter le marxisme, abominable idéologie née dans un contexte européen, aux réalités nationales et culturelles d’un pays asiatique et musulman, l’Indonésie, notamment en prenant en compte sa dimension islamique contre un communisme «occidentaliste» qui ne voyait avec juste raison dans l’Islam qu’un résidu de traditions moyenâgeuses allah con. Pour ces révolutionnaires non occidentaux le marxisme était compris «en tant que ferment de la renaissance nationale socialiste». Nationale socialiste ? Bizarre, vous avez dit bizarre ?
A l’instar du Tatare Mirsaid Sultan Galiev avec le «communisme national musulman» que l’on peut aisément qualifier d’Islamomarxisme qui devient de ce fait une catégorie philosophico-politique définissant un courant de pensée, n’en déplaise aux alter mondialistes et autres trou du cul marxistes culturels alter mondialistes ou Mrapistofurieux pour qui la compatibilité de l'islam et du marxisme est un monstre épistémologique et un monstre théorique qui n’aurait jamais été réalisé à leur toute petite connaissance de physalie qui ignorent alors même qu’ils sont marxistes la création, effective en juin 1918, d’un Parti communiste des musulmans de Russie à même de préserver l’autonomie du mouvement révolutionnaire musulman que compromettrait son incorporation à des organisations marxistes dominées par les Russes, fussent-ils soviétiques. A l’instar aussi de l’Indien Manabendra Nath Roy, du Péruvien José Carlos Mariategui et son communisme Inca ou du Vietnamien Ho Chi Minh, Tan Malakka s’attacha à adapter le marxisme, abominable idéologie née dans un contexte européen, aux réalités nationales et culturelles d’un pays asiatique et musulman, l’Indonésie, notamment en prenant en compte sa dimension islamique contre un communisme «occidentaliste» qui ne voyait avec juste raison dans l’Islam qu’un résidu de traditions moyenâgeuses allah con. Pour ces révolutionnaires non occidentaux le marxisme était compris «en tant que ferment de la renaissance nationale socialiste». Nationale socialiste ? Bizarre, vous avez dit bizarre ?
Quoi
qu’il en soit, j’espère que les génies des Alpages et thaumaturgiques muscadins intellectuels
critiques antiracistes auront une bonne fois pour toute compris preuve à
l’appui que l'islamo marxisme n’est en aucune façon une invention
d’historistrions de type marxistes culturels ou une construction pseudo
intellectuelle qui ne correspondrait à aucun théoricien, ni aucun mouvement.
Vous venez de lire le prologue de l’affaire Audin. Audin était un
traître à la France et un terroriste rouge complice de crime contre l’humanité
comme tout bon communiste. Vous voulez en savoir plus sur les
événements dans les départements Français d'Algérie cliquez ici pour lire au Chapitre
2 : L’insurrection. Vous en saurez un peu plus sur Messali Hadj et
l’Etoile Nord-Africaine qui se séparera de la SFIC ou parti Communiste
Internationaliste (futur PCF en 1945) ce en 1928 et sur les criminels attentats
terroristes qui ont été préparés par neuf islamomarxistes dit les «fils de la Toussaint» commis le 1er
novembre 1954 prélude à l’indépendance en 1962.
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