samedi 30 mars 2019

Merci monsieur Christian Delarue. 4ème Partie

Essai d’ethnologie politique en forme de factum. Chapitre 4

La question qui tue.



C’est en septembre 2009 que sur le magazine en ligne le POST de Chambre.fr, le MRAP à l’époque Natzional pose (pour une fois) une question intéressante : Le MRAP est une association laïque, qui défend les victimes de violences et de discriminations fondées sur la "race", (J’adore la mise entre guillemet) la religion, l'ethnie, conformément à ses statuts et à la loi du 1er juillet 1972, qu'il a contribué à faire voter. Il ne défend aucune religion, pas plus l'islam qu'une autre. L'islamo-marxisme est une invention de ses détracteurs, une construction pseudo intellectuelle qui ne correspond à aucun théoricien ( ?), aucun mouvement. Le MRAP attend que ceux qui parlent d'islamo-marxisme expliquent ce que c'est, et en quoi ce serait musulman et marxiste.                Il est évident qu’à cette question ne manquant pas d'intérêt j’ai rapidement répondu par un article sur le Post de chambre.fr;( Post.fr qui rétribuais des "journalistes" du monde tel Nanou75 pseudo d’une «journaliste» payée par le Prout.fr, émanation du monde, le seul journal Français condamné pour incitation à la haine raciale antisémite, les Post ou articles du Post.Fr étaient «modérés» par une société extérieure (Netino, société de services sur le net spécialisée dans la censure) dont les modérateurs censeurs étaient tous de la main d’œuvre musulmane, si ce n’est Islamiste salafiste sous payée au Maroc (Monarchie Islamique) de tendance ultra gauchiste, le monde et son corollaire le Post.fr ce faisaient les propagandistes d’un Islam salafiste radical ce que l’on nomme désormais l’Islamo Marxisme) cet article garanti non political correctness or cultural marxism est bien sur immédiatement censuré avec tolérance par la juste, «très très juste», pour ne pas dire limite rédaction du Prout.fr, peuplée d’ultra gauchistes et Islamo Marxistes pratiquant l'escroquerie de l'antiracisme avec sa «charte» qui faisait honneur à la république bananière de Rance qui pue et à sa devise de liberté, égalité, va te faire sodomiser par les Grecs !

Bon, vous me direz, mais quel est le rapport avec monsieur Delarue ? Patience ami, camarade, compagnons, frères et sœurs etc. etc. … patience ! Ça va venir !

Allez, bande de moules à gaufres, d’abord il faut que je vous le donne «Emile» le bel article : Attention toutefois une introduction s’imposait car l’article en question avait été censuré avec le fameux humanisme progressiste bien connu sur le média gaucho et islamomarxiste le Post de chambre.fr devenu aujourd’hui le média marxiste culturel par excellence le Huffingtonpost.fr puis le HuffPost un site d'actualité français tout à fait marxiste culturel gauchu lancé le 23 janvier 2012 en remplacement du feu Post.fr. Propriétaire : Oath filiale de Verizon Communications, Groupe Le Monde, Les Nouvelles Éditions indépendantes Directeur de la publication : Louis Dreyfus un homme de gauche. Créé par : Anne Sinclair une «journaliste» gauchiste et milliardaire, une des rares osant afficher des convictions de gauche, nettement marxiste culturelle, elle participa au spot officiel de François Mitterrand lors de la campagne officielle de l'élection présidentielle française de 1981. C’est sur le site  du HuffPost qu’on peut trouver encore des articles de staliniens distingués tel un Yann Brossat, chef de file du PC osant se dire F aux élections européennes, auteur de Airbnb, la ville ubérisée (éditions la ville brûle). Bon on y va pour le bel article de votre serviteur:

Introduction : «Article garanti non politiquement correct et démocratiquement censuré par la rédaction d’ultra gauchistes et Islamo Marxistes de la juste «très juste» pour ne pas dire limite, rédaction du feu Post.fr et sa «charte» démocratique qui fait honneur à la république bananière de Rance qui pue et à sa devise de liberté, égalité, va te faire sodomiser chez les Grecs !

Il faut dire qu’il convient de lire cette charte splendide entre les lignes pour bien comprendre que:
Article 1 : Les islamos marxistes du MRAP Natzional ont raison !
Article 2 : Monsieur Aounit Mouloud a toujours raison !
Article 3 : Même si le Mrap et monsieur Aounit Mouloud ont tort, c’est l’article 1 qui s’applique.
Article 4 : répondre à une question du MRAP posé sur le Post.fr justement argumenté avec des références historiques indiscutables vous vaudra la «suspension» définitive de votre compte sur le Post.fr.

Le Mrap (NatzionaL ?) sur son blog du Post.fr, pose une question et demande des explications, comme c’est une bonne question, je vais y répondre:

La question du MRAP: «Voir
en cliquant là» ou la lire ici : «Le MRAP est une association laïque, qui défend les victimes de violences et de discriminations fondées sur la "race" (qui n’existerait pas ?), la religion, l'ethnie, conformément à ses statuts et à la loi du 1er juillet 1972, qu'il a contribué à faire voter. Il ne défend aucune religion, pas plus l'islam qu'une autre. L'islamo marxisme est une invention de ses détracteurs, une construction pseudo intellectuelle qui ne correspond à aucun théoricien, aucun mouvement. Le MRAP attend que ceux qui parlent d'islamo marxisme expliquent ce que c'est, et en quoi ce serait musulman et marxiste». Ou je me trompe mais c’est une bonne question et comme je parle souvent d’Islamomarxisme je vais y répondre conformément aux désirs du MRAP.

Voici donc la réponse de Labet de Bornay : « In limine, pourquoi je parle du MRAP National, ou (Natzional ?), c’est parce qu’il existe dans ce beau mouvement qui dit lutter contre tous les racismes… quoi que… soyons prudent, si actuellement ce merveilleux mouvement fait un procès à Sihem Habchi présidente de Ni Putes ni Soumises, ce n’est que pour «diffamation» alors qu’elle stigmatise toute une population.
Ce splendide mouvement qui se proclame démocratique et apolitique laïc, c’est bien gardé d’intenter un procès à Mademoiselle Houria Bouteldja, porte-parole du Mouvement des Indigènes de la République, lors de son sale «jeu de mots» raciste antiblanc, un néologisme inventé par Bouteldja : «sous chiens» pour parler des français «de souche».... accentué par le mot «les blancs» pour bien enfoncer le clou du racisme le plus nidoreux.

Ceci étant dit, revenons à nos doux agneaux antiracistes. Il existe au sein de ce somptueux mouvement deux tendances, celle du Mrap National dirigé par son admirable président élu démocratiquement à vie, Monsieur Mouloud Aounit et que l’on peut qualifier d’Islamo Marxiste. Nous pourrions même dire que cette «branche» est marxiste Léniniste, vu la splendide «démocratie» régnante.
Et un groupe dit Avenir du Mrap composé de gens tout autant néo marxistes, mais qui donnent l’impression d’être beaucoup plus attachés à la laïcité, tel le MRAP40. (Nous aurons l’occasion d’en illustrer notre propos).

Examinons en premier lieu pourquoi le MRAP est un mouvement marxiste.

Créé par le communiste Albert Lévy un militant communiste (ce que le MRAP nomme «Progressiste») en 1949, pour fidéliser les sympathisants juifs et les attirer à gauche toute.
Le MRAP que les méchantes langues de riposte laïque nomme (Mouvement pour le Respect et l’Allégeance au Prophète) est membre fondateur d’ATTAC, (Association Tyrannique et Totalitaire Autoritaire et Communiste) est une association marxiste.
Un exemple pari des milliers d’autres, le fonctionnaire des finances monsieur Christian Delarue, Alter mondialiste, Membre du conseil d’administration d’ATTAC France,
responsable antiraciste (MRAP) avoue nettement être marxiste. (Vous voyez ami on y est venu à la lumière sans pareille des peuples classe, l’excellentissime avant-garde des luttes prolétariennes et progressistes pour l’émancipation du prolétariat et du genre humain, le grand et merveilleux antiraciste marxiste monsieur Delarue.)

Extrait : «Je suis engagé au sein du MRAP - Mouvement contre le Racisme et pour l'amitié entre les peuples - depuis 1980 à Brest et je suis devenu président du comité rennais du MRAP depuis 1984/85 quand l'ancien président est parti sur Nantes. (…) Issu du christianisme, je suis devenu marxiste quand la gauche commençait à pencher à droite et abandonnait le marxisme. En juin 1985 j'entre à la Ligue Communiste Révolutionnaire». N.B : Il a été responsable du secteur «Jeune» de la très marxiste CGT. Au MRAP il a remplacé la «camarade» qui était la déléguée membre co-fondatrice d'ATTAC France. Et regardez donc cet excellentissime et feu Monsieur Aounit Mouloud ? Battu (une vingtaine de voix sur 400) lors du vote d'investiture du candidat communiste dans la 3e circonscription législative de Seine-Saint-Denis il prétendait se servir de son image «d'antiraciste» (blague ?) dans le cadre électoral en faisant acte de candidature, au sein du Parti Communiste Français, pour un poste de député dans la circonscription d’Aubervilliers. A part ça le MRAP est apolitique.
Voulez-vous un autre exemple, soit; le cas de Monsieur Jean-Claude Dulieu Président régional du Mrap du Nord et vice président national. Monsieur Dulieu est un élu communiste (Extrême gauche minoritaire) de Valencienne, monsieur Dulieu est certainement lui aussi «apolitique» et laïc ?
Ne vous y trompez pas le Mrap est un mouvement politique communiste. Le MRAP est une organisation politique marxiste : le MRAP, «association mise en orbite par le Parti communiste», selon les termes de Maître William Goldnadel (Radio J le 5 septembre 2003), est une organisation politique puisque son Président et porte-parole ainsi que de nombreux présidents de comité locaux, membres d’Attac ou conseillers municipaux communistes apportent systématiquement leurs soutiens aux candidats communistes lors des élections. Ainsi, pour la présidentielle de 2007, monsieur Aounit a soutenu Mme Marie Georges Buffet. Cette politisation extrême entraîne d’ailleurs de vives contestations au sein même de la sublime association néo marxiste communiste.
En deuxième lieu, le Mrap National est bien une organisation politique Islamo marxiste.
Tout laisse penser que l'Islam est en passe de devenir le marxisme ou nouveau communisme de notre temps. Si Youssouf Fofana avait grandi une génération plus tôt, il serait devenu membre de la bande à Rouillant plutôt que membre d’une bande de djihadistes. La dictature du prolétariat, a cédé la place au salafisme comme la réponse à l'angoisse personnelle transcendante de certains jeunes «Français».
Le MRAP est sur une pente curieuse et inquiétante depuis que son congrès a adopté une motion assimilant l’islamophobie à du racisme antimusulman. Comme si musulman était une «race» !

Toujours ce relativisme des mots comme des situations ! Dans une lettre ouverte, Jean Ferrat, membre du MRAP et vieux militant et compagnon de route du Parti Communiste, (Tiens encore un, décidément!) a exprimé sa désapprobation après le vote de la motion sur l’islamophobie. C’est tout dire. «Pourtant, que la montagne est belle» nous chantait-il, il y a longtemps avant que la bien pensance et le politiquement correct sévissent ! (Gérard Brazon, un vrai fils de Puteaux (lol)) Ici l'article complet.

L’«antiracisme» du Mrap, est maintenant dirigé quasi exclusivement en faveur des immigrés et des musulmans. On n’a jamais vu le Mrap dénoncer par exemple le racisme anti-blanc, ou les persécutions de chrétiens, d’apostats et d’incroyants en terre d’islam. On s’étonnera par exemple de son silence assourdissant suite à la diffusion de la vidéo d’une agression dans le Noctilien, dont le caractère raciste est pourtant explicite. Quant à sa condamnation de l’antisémitisme, elle est le plus souvent absente quand les coupables sont d’origine musulmane. Le prétendu antiracisme du Mrap est donc curieusement discriminatoire.

Depuis 2003, le MRAP se perd régulièrement dans l'impasse de la défense de l'indéfendable : critiquer l'islam serait du racisme. L'organisation use à satiété du terme islamophobie pour désigner comme du racisme la critique de l'islam alors qu'elle doit être pratiquée au même titre que pour n'importe quelle autre secte. Sous le fallacieux prétexte que l'examen libre de l'islam serait une insulte envers les musulmans, le MRAP n'économise pas ses efforts, et ses amitiés fondamentalistes, pour tenter de museler la contestation par l'intimidation et les hauts cris. La suite Ici ;

Il n’ y a pas qu’en France que sévit cet Islamo Marxisme Tan Malakka Militant nationaliste indonésien, musulman et marxiste fut l’une des figures les plus marquantes de ces militants révolutionnaires des Trois Continents qui cherchèrent à décentrer le marxisme et à lier lutte anti-capitaliste, anti-impérialiste et renaissance nationale culturelle.

A l’instar du Tatare Sultan Galiev, de l’Indien Manabendra Nath Roy, du Péruvien José Carlos Mariategui ou du Vietnamien Ho Chi Minh, Tan Malakka s’attacha à adapter le marxisme, idéologie née dans un contexte européen, aux
réalités nationales culturelles d’un pays asiatique et musulman, l’Indonésie, notamment en prenant en compte sa dimension islamique contre un communisme « occidentaliste » qui ne voyait dans l’Islam qu’un résidu de traditions moyenâgeuses. Pour ces révolutionnaires non occidentaux le marxisme était compris «en tant que ferment de la renaissance nationale socialiste».

Le principe de la laïcité a été attaqué par le Mrap, et il est menacé par le laxisme socialo marxistes de ceux qui auraient dû le défendre. Le premier a d’ailleurs été Lionel Jospin.

Mais il y a aussi les élus qui ont ouvert des gymnases ou des piscines non mixtes, et je pense évidemment à Martine Aubry. Ils portent tous une responsabilité très lourde. Dans les hôpitaux, les médecins sont attaqués par des patients qui refusent qu’on touche à leur femme. Dans les institutions publiques, on voit des personnes tenter de se faire embaucher avec un voile. L’espace public est miné. Une femme doit pouvoir se balader sans se cacher. Nous sommes dans un pays qui a ce droit. Dans d’autres Etats, on pourrait être menacé, ou même tué.

Comme je vous le disais le MRAP n'échappe pas à des divisions internes sur la question. Comme le disait Libération du 23 octobre 1989 à propos du débat de société qui venait de s'engager, «les clivages ne recoupent pas les frontières politiques et idéologiques traditionnelles. Ils départagent ceux qui prônent l'interdiction du voile Islamique par crainte du développement de l'intégrisme et les partisans de l'autorisation, eux-mêmes différemment motivés». Le 6 novembre 1989, le comité local de Marseille marquait sa désapprobation avec la position nationale du MRAP (contre le port du voile mais contre les exclusions). Baya Bouhouné-Jurquet rendait publique une résolution adoptée en assemblée générale par le comité de Marseille «opposé à la tolérance de toute représentativité religieuse à l'intérieur des établissements d'enseignement public». Selon elle, «la position adoptée par le secrétariat national dans un communiqué flagorneur soutenant la position prise par Lionel Jospin à propos du voile coranique dans les écoles, constitue une violation de l'orientation de la dernière session du bureau national. Devant cette situation, écrit-elle, je me trouve dans l'obligation d'en appeler, publiquement pour être entendue, à une convocation urgente du conseil national du MRAP». Elle s'étonnait que le MRAP «puisse soutenir une attitude obscurantiste et sexiste vis-à-vis des femmes musulmanes». Tout en rappelant son origine maghrébine, elle affirmait qu'elle avait pu «s'affranchir du port du voile après l'avoir subi pendant quinze ans » et que « toute concession accordée à l'intégrisme ne peut que provoquer un nouvel essor du racisme ».

Je vous invite à allez voir la position du MRAP 40 dans cet article : Burkini : derrière l’anecdote une provocation qui n’aide pas la lutte antiraciste : ICI. : www.mrap-landes.org
. (N.B. La fédération progressiste et humaniste des Landes du mouvement MRAP a aujourd’hui démocratiquement éliminé ( ?), supprimé ( ?), cet article comme beaucoup d’autres sujet à critique, mais il est toujours visible  chez Respublica en cliquant ici)

L’article que vous venez de lire était bien sûr signé de Michel Alain de Bornay qui n’est pas un pseudonyme de coprolithe mrapiste.                                                        Et là, Alléluia, gloire à saint Joseph (Staline bien sur) au plus haut des goulags et à tous les saints du panthéon marxiste, saint Léon (Trotski) sans oublier sainte Lucie (Samuel, née Bernard dite Aubrac) qui boutât le Teuton Social Nationaliste hors du royaume, un miracle est arrivé le jeudi 13 mai 2010. L’illustrissime Monsieur Delarue sainte lumière et céleste espérance sincère et modeste, des peuples classe, poursuivant sans faillir sa longue marche vers des lendemains qui chantent et qui déchantent le plus souvent, celui qui condamnent les sexoséparatismes, avec son habituel langage jailli du trou du c… cœur qui présente toutes les caractéristiques de la projection schizophrène a répondu (Poil au nez) à mon article le jeudi 13 mai 2010 sur le superbe et néanmoins peu connu site Amitié entre les peuples sous le titre aguicheur de : « Le MRAP est-il marxiste ?» et au sous-titre de «Aounit, Dulieu, Delarue : Le MRAP est-il marxiste ? Réponse à un anti-mrap qui n’aime pas les marxistes», (L’article du 25 août 2015 de François Munier qui demandait ma mise au goulag et très inspiré si non plagié de celui de monsieur Delarue).

Vous aurez compris que le fameux «MA LdB antiMRAP qui n’aime pas les marxistes» c’est moi !                               Monsieur Delarue (et je lui présente encore une fois mes remerciements les plus sincères car ça me change très agréablement de monsieur MRAP40) cet excellent citoyen démocrate et néanmoins marxiste qui suppose que je «n’aime pas» les marxistes donnait la référence exacte de l’article de votre serviteur : «Michel Alain Labet de Bornay : Réponse aux Islamos Marxistes du MRAP National». En fait je fais bien plus que de ne pas aimer les marxistes, je les exècre viscéralement comme les nazis (ce sont les mêmes antisémites), je les rejette, les abomine, les déteste, les maudis, les abhorre !

Chez ces politiquement corrects gens là, amis patriotes ; la moindre critique argumentée ou examen sérieux est compris bien sûr comme une attaque haineuse, c’est un procédé dialectique constant consistant, parlant de quelque chose ou de quelqu’un, à l’assimiler de façon polémique a un manque d’amour irrationnel (Il critique, donc il ne m’aime pas !) afin de le discréditer durablement. Comment peut-on ne pas apprécier la magnifique idéologie marxiste aux 150 millions morts ou victimes innocentes ? Comment, nous les patriotes, qualifiés de nazillons d’ultra droite ne saurions pas apprécier l'Holodomor un des plus beaux crimes contre l’humanité commis par des pseudos «humains» se glorifiant d’être marxistes ? Le véritable «Pape» et guide marxiste du parti communiste (Qui a, avouez que ce n’est pas sérieux et comme chacun sait, pour symbole un coupe carotte) de l’ex Union Soviétique, le camarade Iossif Vissarionovtich Staline le disait lui-même : «La mort d'un seul homme, c'est une tragédie, la mort d'un million une statistique».  Comment ne comprend-on pas au 21ème siècle que comme le disait si bien l'agité du bocal le taenia Sartre : «Le marxisme est l’horizon philosophique indépassable de notre temps» ? Quasiment tous les étudiants depuis les années 68 sont passés par là, monsieur  Delarue qui l’avoue sans honte y compris, cette affirmation de la justesse et de l’infaillibilité des thèses marxistes, répétée des milliers de fois leur avait fait l’accepter et l’accepter encore aujourd’hui, non pas simplement comme vraie, mais comme axiomatique, évidente en soi, totalement indiscutable. 

En 2012 l'essayiste Claude Lorne écrira à propos d’un article de l’écrivain  Paul François Paoli: « Au milieu des années 1980, alors que les partis communistes français et italien, naguère si puissants, connaissaient leur crépuscule, l’auteur de ces lignes avait démontré comment, après le rapport Khrouchtchev sur les crimes de Staline et la sauvage intervention de l’Armée rouge en Hongrie, les militants marxistes-léninistes et trotskistes s’étaient recyclés dans le tiers-mondisme (ce qui semble être le cas de monsieur Delarue). Puis, la décolonisation s’étant soldée par de sanglants échecs, des guerres tribales, la ruine économique et l’exode vers l’Europe des populations enfin libérées, les anciens hérauts des Mao, Nkrumah, Sékou Touré, Che Guevara et autres Boumediene se trouvèrent un nouveau cheval de bataille, une nouvelle raison d’être : l’antiracisme, qui, issu du marxisme le plus extrémiste et le plus dogmatique, ne pouvait être que totalitaire, même si, comme le souligne P.-F. Paoli, cet antiracisme se drape dans les oripeaux de l’humanisme, excipe des «principes de la République» et s’appuie sur le messianisme des «valeurs universelles» dont la France serait le dépositaire de droit divin, valeurs d’autant plus commodes qu’elles sont floues – et, d’ailleurs, fort peu universelles, plusieurs grandes nations continuant à les ignorer». Monsieur Lorne dans la suite de son article aura un véritable cri de lucidité en écrivant : «et inutile d’opposer à l’irénisme de cette religion d’Etat qu’est devenu l’antiracisme». Religion d’état ? Nous avons vu que le politiquement correct est devenu une véritable «religion séculière», avec la république socialiste qui s’est mise à marcher, à quand le culte de l'être suprême ? J’ai entendu dire que le glorieux, admirable et quasiment divin monsieur Delarue se serait porté candidat mais il semblerait que l’être suprême comme l’antiracisme n’existât pas puisque Denis Diderot dans ses Pensées philosophiques, dira : «Sur le portrait qu’on me fait de l’Être suprême, sur son penchant à la colère, sur la rigueur de ses vengeances, […], l’âme la plus droite serait tentée de souhaiter qu’il n’existât pas».
Les sectateurs de cette religion, son clergé séculier comme un de ses grands prêtres Christian Delarue suprême et thaumaturgique intelligence marxiste et fantasmagorique bienfaiteur altermondialiste ignoré des aveugles mortels qui sur Bellaciao et Médiapart révéla son être stupéfiant à la reconnaissance éternelle et leurs journalopes d’ultra gauche, valets de presse merdiatocrasseux vont à s’interroger sur comment peut on adhérer aux idées du très grand Français de confession Israélite le colonel Eric Weinberger, ancien déporté à Buchenwald et prisonnier des merveilleux marxistes humanistes, progressistes et antiracistes du Vietminh qui disait: « J’ai eu l’occasion de comparer les méthodes des Nazis et des communistes Viêts. Juifs, Tziganes, Résistants de tous bords, s’ils nous réduisaient en une sous-humanité, les nazis ne cherchaient pas à nous convertir. Par la faim, les privations, les communistes Viêts nous amenaient au même état que les nazis, mais ils exigeaient en plus que nous adhérions à leur système, en reniant toutes nos valeurs, notre foi en la justice, en notre pays».
Les professionnels politiquement corrects et les marxistes avoués tel Christian Delarue qui de par ses fonction aux finances ressemble à un véritable logothète du Drome et ses camarades comme monsieur Munier voulant nous faire croire à un message marxiste de fraternité universelle, qui n’est que la fraternité universelle de gens résolus à subir et à faire subir éternellement un régime pénitentiaire au nom d’un dogme politique obsolète «marxiste», utilisent un sophisme, qu’il est indispensable de dénoncer sans relâche : Puisque eux et, -disent-ils pour nous impressionner-, tous les «démocrates» respecteraient, vénéreraient le politiquement correct et un de ses avatars l’«antiracisme» comme étant une déclinaison de la volonté universelle, le prohiber ce serait stigmatiser leur croyance au grand soir, à la lutte finale et a eux-mêmes. Ce serait par conséquent du racisme et non une lutte d’opinion… CQFD !
Encore heureux qu’émerge une éthique de la liberté de bon aloi et un utilitarisme souvent critiqué avec raison par les libertariens, parce qu’il permet de justifier l'interventionnisme étatique, et ce sur des bases faussement scientifiques. Murray Rothbard dans Economistes & Charlatans, chapitre 6 : Le Mythe de l’efficience) écrira : «L’aveuglement de la pensée économique face aux réalités du monde est systémique ; c’est un pur produit de la philosophie utilitariste qui domine l’économie depuis un siècle et demi. Car ce qui se passe, c’est que l’utilitarisme prétend que les gens auraient en fait des objectifs identiques, que par conséquent les débats politiques seraient purement techniques et pragmatiques, et qu’on pourra y mettre un terme dès qu’on aura découvert et appliqué les procédures convenables pour réaliser ces objectifs communs. C’est ce mythe d’un objectif commun à tous qui permet aux économistes de s’imaginer qu’ils peuvent prescrire des politiques publiques “au nom de la science”, tout en croyant ne porter aucun jugement de valeur». Personnellement j’aurais tendance à penser comme David Friedman que l'efficacité économique a une relation avec le bonheur, et qu’elle constitue un critère qui permet de dégager des règles significatives d'un point de vue utilitariste sans oublier qu’un accroissement du niveau de bien-être global a très probablement des conséquences positives pour chaque individu, même si ça peut être à long terme.
Le site Breiz Atao, les Bretons Bretonnants avait publié le 8 décembre 2014 un article décrivant le «communisme racial» ou la société sans race et sans foi avouée, métissée. On peut y ajouter le communisme sexuel (théorie du genre).Un petit extrait : «Nombreux sont ceux qui, n’étant pas familiers de la lèpre marxiste, ne comprennent pas la psychologie révolutionnaire. La psychologie révolutionnaire a ceci de particulier qu’elle modifie en profondeur la structure mentale d’un individu en le convainquant de ce qu’il doit abolir son bon sens pour se conformer à l’idéologie révolutionnaire. Délié de ses obligations morales et éthiques, un tel individu devient un rouage dans la machine totalitaire du parti ou du régime. La psychologie révolutionnaire est un subjectivisme radical qui transforme n’importe quel individu en psychopathe. Le communisme, ancien comme nouveau, non seulement repose sur une négation de l’individu comme de la société dans ce qui les fonde naturellement, mais par là même le délivre de toute obligation morale afin de les détruire. On gardera à l’esprit que la mentalité révolutionnaire ne sous-entend absolument pas qu’un révolutionnaire devienne systématiquement un auteur de meurtres de masse. Ce développement ne dépend que des conditions objectives  à un moment donné. Le révolutionnaire adoptera en revanche, quel que soit le lieu et l’époque, une volonté d’anéantissement de l’ordre ancien avec les moyens dont il dispose. Son but demeurera invariablement le même : détruire. Qu’il soit garde-rouge de la Chine maoïste en 1970 ou parlementaire socialiste embourgeoisé français».
Source: cliquez ici.
Je me suis permis d’annoter cet article le rédacteur étant sur la piste et touchant du doigt la vérité.
L’Etat Français adopte depuis 35 ans et très progressivement une forme radicale de collectivisme (C’est vrai depuis les années après-guerre le politiquement correct obligatoire a préfiguré l’établissement du marxisme culturel).
La France prédisposée au communisme. Le proto-communisme est historiquement né en France durant la Révolution Française, en 1793. Le jacobinisme a prédisposé mentalement les populations françaises à se faire inoculer le virus idéologique du communisme qu’est l’égalitarisme. Le jacobinisme a rapidement accouché du socialisme et du communisme au XIXème siècle, une forme de société égalitaire fondée sur un homme nouveau, débarrassé de tous les héritages découlant supposément de «l’ordre exploiteur ancien» (encore une fois c’est vrai mais incomplet. Les références à la Révolution française sont fréquentes dans les écrits de Lénine créateur du marxisme culturel. Il s’agit souvent de donner un exemple concret pour éclairer ce qu’il propose en Russie tsariste. Plus généralement, sa cohérence théorique et programmatique dans la préparation de la révolution russe repose sur une grande connaissance de la période 1789 - 1794. Je fais ici une rapide mise au point au sujet du marxisme culturel pour résumer un peu. Mise en pratique des théories mortifères de Lénine et de l'École de Francfort qui modernisa le Marxisme classique en une idéologie de combat social et civilisationnel. Le Marxisme culturel, anciennement «Bolchévisme culturel», actuel «Politiquement correct» est une puissante arme psychologique de guerre, qui va jusqu'à changer la signification des mots, défiant parfois la logique, afin de manipuler la pensée. Une guerre culturelle est en marche, faite à l'intérieur de la société et par ses membres mêmes, visant en priorité la jeunesse dans sa formation intellectuelle. Le résultat en est généralement la révolte, puis la Révolution. Ce virus des intelligences détruit invariablement toute société qu'il contamine. Voir en cliquant ici les treize commandements du marxisme culturel. Pour certains Marxistes Culturels distingués, le MC si il n’est pas une absurde théorie du complot serait un concept aux limites floues, dont l'usage abusif viserait à déconsidérer leur thèse, nous dirons donc plutôt que le marxisme culturel est une idéologie issue de la propagande marxiste, largement diffusée au début dès 1917 essentiellement par Lénine et Willi Münzenberg, puis par l'école de Francfort en Allemagne jusqu’en 1933 avec Georg Lukács, Max Horkheimer, Marcuse, Erich Fromm, Walter Benjamin un des fondateurs du freudo-marxisme ( synonyme de MC Marxisme Culturel), Franz Léopold Neumann,  Ernst Bloch, théorisé partiellement à partir des années 50 aux états unis avec Théodore W. Adorno  et surtout Jurgen Habermas théoricien allemand du MC (Marxisme Culturel qui est dit souvent sciences sociales). Il est avec Axel Honneth l'un des représentants de la deuxième génération de l'École de Francfort, et développe une pensée qui combine le matérialisme historique de Marx avec le pragmatisme américain, la théorie du développement de Piaget et Kohlberg, et la psychanalyse de Freud en deux mots du Marxisme Culturel !
En 1925 Antonio Gramsci un «journaliste» de propagande (Il y en a encore même chez nous comme nous l’a bien expliqué mon ami et auteur du feu site Les Elégances : «Le fascisme rouge collectiviste et marxiste culturel nidoreux montre son vrai visage sur Rue89, nulle recherche de débats d’idées, juste la vieille technique de la reductio ad Hitlerum sur fond de chasse à l’homme et ce en lançant l'anathème ! En vous accusant de racisme, d’eugénisme, de xénophobie, de sexisme, esclavagiste, colonialiste, impérialiste, petit blanc réactionnaire, sioniste, libertarien, identitaire, frontiste, extrémiste de droite, etc., en fait, en vous excluant du genre Humain ces marxistes culturels se discréditent totalement. La «journaliste» marxiste culturelle a une pensée intellectuellement faible et généralement un QI de moule qu’elle compense en disqualifiant par des mots à forts impacts psychologiques tous les contradicteurs un peu trop convaincants. La collectiviste socialiste est sans scrupule, sa bonne conscience l'autorisant à user de la pire mauvaise foi. Il est inutile de voir en celle-ci un être Humain doué de conscience, elle est plus proche psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe éthique» et il y en a d'autres. Antonio Gramsci, fondateur du Parti Communiste Italien pensait lui que l'échec du communisme à faire la révolution socialiste était dû à l'emprise de la culture qu’il dit être «hégémonique» et bourgeoise sur l'idéologie et les organisations des travailleurs. 

Gramsci avait fait le constat suivant : Les révolutionnaires bolchéviques russes étaient non seulement les premiers en octobre 1917 à avoir réussi à prendre le pouvoir, mais c’était aussi les seuls. Les processus marxistes révolutionnaires s’étaient multipliés au cours des années 1910 et 1920, mais partout ils avaient échoué. Gramsci lui-même avait pris part entre 1919 et 1920 aux «conseils de Turin» (le Bienno rosso, les «deux années rouges»), pendant lesquels des ouvriers manipulés par quelques intellocrates marxistes de cette ville occupent leurs usines, et ou des formes embryonnaires d'autogestion se mettent en place. Mais en Italie comme partout ailleurs (Allemagne, Hongrie, plus tard en Espagne...), le mouvement communiste est battu, c’est l’échec encore l’échec, toujours l’échec ! La question que se pose alors Gramsci est : pourquoi ? Pourquoi dans les pays les plus avancés (France, Allemagne, Italie...), ce qui était bêtement prévu par tous les textes marxistes, à savoir la révolution socialiste, n'arrive pas ? Cela même lorsque les organisations ouvrières peuvent se prévaloir de centaines de milliers, voire de millions, de membres, comme en Allemagne, où la social-démocratie obtient aux élections un quart des voix. Le concept critique d'hégémonie culturelle, c'est l’utopique réponse que Gramsci va proposer à ce problème.
Antonio Gramsci ne s’est pas trop  inspiré de Marx et de Lénine mais plutôt de Willy Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous son ami Lénine puis un moment sous Staline (Staline l’a fait assassiner), qui convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel : «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat».
En d'autres termes, les représentations culturelles de la «classe» dirigeante, c'est-à-dire à l’époque l'idéologie dominante, qui avaient déteint plus que Marx n'aurait pu le penser sur les masses de «travailleurs» devaient être remplacées. C’est en fait assez simple, Gramsci nous dit : «Si le peuple ne veut pas changer, changeons le peuple . Dans les sociétés industrielles «avancées», des outils culturels qu’il nomme «hégémoniques» tels que l'école obligatoire, les médias de masse et la culture populaire auraient inculqué une «fausse conscience» aux fameux travailleurs, il convient donc de leur en inculquer d’autres véritablement marxistes. Au lieu de faire en sorte qu'advienne une révolution qui prétendument servirait leurs besoins collectifs, les «travailleurs» des sociétés «avancées» avaient cédés au nationalisme naturel, au consumérisme et à l'ascension sociale naturelle elle aussi, embrassant un individualiste naturel de compétition et de réussite personnelle ou encore se rangeant derrière des chefs religieux ce qui pourrait être aussi en quelque sorte être naturel. 
Gramsci analyse et prépare les bases du MC donc le rôle des médias, de l'art, du théâtre, du cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies pour ne pas dire de races en visant à subvertir les valeurs chrétiennes et les normes culturelles naturelles et traditionnelles de la société occidentale. Nous verrons que cette présentation est succincte et qu’elle occulte (Volontairement ?) la dimension marxiste-léniniste fondamentale (comme le complot dit de la Symphonie en rouge majeur  et les idées soufflées dans l’oreille complaisante de Lénine par Willy Münzenberg  notamment  celle-ci que l’on vient de voir: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue», dimension fondamentale à prendre en compte dans la compréhension du phénomène, touchant toute les relations humaines).    
Poursuivons avec l’article du site Breiz Atao, les Bretons Bretonnants, article décrivant le «communisme racial» ou la société sans race et sans foi, métissée et le communisme sexuel (théorie du genre, partie intégrante du marxisme culturel) qui cette fois traite en sous-titre de : L’école de Francfort et le Néo-communiste.
Après la Seconde Guerre Mondiale, les idéologues juifs marxistes de l’Ecole de Francfort considérèrent le stalinisme comme une forme d’échec du communisme dans son versant sémitique. Pour eux, l’URSS n’était qu’une incarnation du «fascisme». Ils estimèrent qu’avant de mener la révolution politique permettant de contrôler l’état, il fallait d’abord mener la révolution dans la société. Et détruire les mêmes cellules déterminantes que sont sexualité, famille, communauté ethnique, nation, religion. Ce communisme non-économique, entend détruire l’individu à son épicentre selon le principe révolutionnaire de la table rase, condition préalable indispensable à l’adoption de nouvelles valeurs et conceptions. (Le néo-communisme est en fait le Marxisme culturel, anciennement «Bolchévisme culturel», actuel «Politiquement correct» une puissante arme psychologique de guerre, qui va jusqu'à changer la signification des mots, défiant parfois la logique, afin de manipuler la pensée. Monsieur Christian Delarue en est un des experts Français).                                                                                 Ce collectivisme et ce constructivisme politique ont engendré dans les années 60 la formation de différentes strates du néo-communisme (Note : autre nom du marxisme culturel) : le féminisme, l’antiracisme et ses corollaires que sont ethno-masochisme et métissage, l’antipatriotisme, le combat contre la cellule familiale et le Pater Familias, la sexualité libre, etc.                                         Cette destruction par atomisation des structures sociales traditionnelles forment aujourd’hui le corpus idéologique de tous les états occidentaux, subvertis par la génération 68 qui est le vecteur essentiel de ces conceptions marxistes (conceptions marxistes imbéciles et criminelles contre l’humanité devenues aujourd’hui marxistes culturelles conduisant le monde à sa perte).
Le précédent Khmer Rouge (excellent exemple pris par cet auteur mais échec absolu, à l’inverse de la réussite flagrante du marxisme culturel. De plus en plus souvent qualifié de «New World Order» (Nouvel Ordre Mondial désigné par l'acronyme NWO, ou NOM en français), dit aussi «la Caste» (s’applique plus à ses dirigeants) ou «le système» (j’ai entendu l’oligarchie, les témoins de Jéhovah l’appelle «le présent système de chose») ou encore le «politiquement correct», la «bienpensance», dit aussi «état providence» ou système «Big Brother»,  tous courants dits «postmarxistes», une notion allemande de l'avant-guerre qualifiait le marxisme culturel de «bolchévisme culturel», j’allais oublier les appellations d’origine américaines, de «freudo-marxisme», «marxisme Occidental» et «néo-marxisme». De plus le pseudo «philosophe» et «sociologue» français activiste d’ultragauche Jean-Pierre Le Goff parle pour qualifier le marxisme culturel ou le NOM (Nouvel Ordre Mondial) de «gauchisme culturel», arguant très justement que ce «gauchisme culturel» va se répandre dans les médias et toute la société, pénétrer une partie de la droite et se constituer en nouvelle culture hégémonique. CQFD).              Aujourd’hui, nous retrouvons des manifestations actuelles de fanatisme révolutionnaire comme on en trouve dans des régimes communistes pourtant non-inspirés par les judéo-trotskystes de l’Ecole de Francfort (l’auteur là, se trompe légèrement, si effectivement certaines personnes peuvent considérer que l’école de Francfort créatrice de la théorie des systèmes de la société mondiale, développée à l’Institut de recherche sociale ou école fondée par Lénine, Willy Münzenberg et György Löwinger dit Georg Lukács, grand criminel contre l’humanité et ministre de Bela Kun lors de l’immonde République des conseils de Hongrie, serait de façade une théorie critique des systèmes sociaux. La théorie critique des systèmes est en fait chargée de la mise au point de l’idéologie marxiste culturelle et pour ce faire elle a bien sûr une version déconstructiviste mais ce n’est pas l’essentiel, pour en savoir plus cliquez ici.                                                                                    L’école de Francfort a été noyautée par des juifs marxistes (de ce fait, ce ne sont plus de vrais juifs mais des Erev Rav, l’Erev Rav le peuple de boue ou assafsouf («ramassis» d’étrangers). Riche en enseignements sur le érèv rav, le Zohar, somme de la doctrine juive soutient que l’Erev rav se distingue au sein du peuple juif non seulement par son absence de comportements positifs mais encore par une panoplie de comportements négatifs qu’il résume par l’acrostiche neg"a r"a «mauvaise affection». Le Zohar dépeint aussi le érèv rav comme étant la progéniture de Lilith, l'expression des forces du Mal métaphysique, «qui bien que se comportant souvent comme Israël [le peuple juif], leur vraie nature se révèle toujours et ils finissent par retourner à leur racine malveillante (Le marxisme étant une doctrine criminelle contre l’humanité, les juifs la proférant deviennent des Erev Rav. Dans : La grande parade – Essai sur la survie de l’utopie socialiste, Jean-François Revel, éd. Plon, 2000, p. 87 nous dit : «Aucune des justifications avancées depuis 1917 en faveur du communisme réel n’a résisté à l’expérience ; aucun des objectifs qu’il se targuait d’atteindre n’a été atteint : ni la liberté, ni la prospérité, ni l’égalité, ni la paix. Si bien qu’il a disparu, sous le poids de ses propres vices plus que sous les coups de ses adversaires. Et pourtant, il n’a peut-être jamais été aussi farouchement protégé par autant de censeurs aussi dénués de scrupules que depuis son naufrage». Jean-François Revel, page 94 du même ouvrage dira : «l’argument selon lequel le communisme serait démocratique parce qu’il a contribué à la lutte antifasciste n’est pas plus recevable que celui qui consisterait à dire que le nazisme fut démocratique parce qu’il a participé à la lutte contre le stalinisme»).  
Continuons avec le «communisme racial» des bretons. A titre d’exemple, les Khmers Rouges, tenants d’un maoïsme agrarien radical, avaient entrepris de créer une entité totalitaire dénommée “Angkar”, le nom du Parti Communiste du Kampuchéa Démocratique (Cambodge). L’Angkar était devenu la matrice se substituant à tout ce qui avait préexisté : la famille, la religion, les corps de métiers, etc. Dans les camps de concentration communistes cambodgiens, les enfants apprenaient à rejeter l’idée «bourgeoise» de la famille. Celle-ci était présentée comme étant le foyer contre-révolutionnaire par excellence. La haine de ses propres parents était inculquée dès le plus jeune âge. Actuellement, en France et dans de nombreux pays occidentaux, l’idéologie néo-communiste triomphante entend de la même façon abolir la famille (C’est vrai mais le vrai nom de cette idéologie est le marxisme culturel). Cela a bien sûr commencé par la libéralisation du divorce et de l’avortement comme de la contraception. Déliés de tout lien permanent entre eux, les individus ont pu recombiner les relations sexuelles et matrimoniales avec la bénédiction du régime. D’abord et avant tout pour livrer corps et âmes les enfants au régime, la famille ayant implosé et ne pouvant plus opposer la protection imperméable des valeurs traditionnelles. Le Régime ne se réduit pas à strictement parler à «l’état» – qui n’en est qu’un mécanisme – mais s’étend également aux «partis de gouvernement», aux médias et factions de gardes rouges – les  membres d’associations – (comme par exemple les «antiracistes» et autres altermondialistes d’aujourd’hui) ou encore aux grands entreprises qui n’ont rien à envier aux coopératives d’URSS. On y ajoutera les ingénieurs sociaux (sans oublier les merdiatocrasseux gauchistes, journalopes des merdias, sociologues antiracistes, altermondialistes autoproclamés, militants du MRAP et autres gauchiottes) que sont les nombreux «spécialistes» chargés de façonner l’esprit des masses.
On en arrive enfin à l’antiracisme ou comme le dit l’article le : Communisme racial. Aussi radical que le génocide cambodgien, l’entreprise de destruction du corps biologique des peuples blancs subjugués par des régimes néo-communistes (comprendre marxistes culturels). L’exemple cambodgien est ici d’une grande utilité. Le régime communiste du Cambodge a en effet mené, avec l’aide de nombreux membres de la société khmère, une campagne révolutionnaire nécessitant l’élimination de près de 1,5 millions d’individus. Contrairement au génocide rwandais par exemple, cette entreprise de destruction a été menée au sein d’un même peuple pour des motifs idéologiques, politiques et pratiques. Il faut ici bien y réfléchir : à chaque niveau de la société cambodgienne, il a fallu des cadres, des exécutants, des délateurs, des bourreaux, des traîtres, des gardes-rouges fanatisés pour pouvoir faire fonctionner la machine totalitaire, préalable indispensable au génocide. Aujourd’hui en Europe, et singulièrement en France, l’entreprise de destruction des peuples blancs est menée de la même façon depuis l’intérieur même de ses peuples. Ceci pour des motifs idéologiques. Contrairement aux moyens primitifs en usage au Cambodge, le régime procède en se donnant plus de temps, mais avec la même volonté de destruction des opposants à la refondation de la société. La conviction centrale du régime néo-communiste (marxiste culturel) est que la race blanche doit être progressivement éliminée au profit d’autres groupes raciaux jugés idéologiquement compatibles avec le projet précité. Ce projet d’une société nouvelle reposant sur un homme nouveau, nécessairement métissé, est aussi criminel que celui mené au Cambodge. Comme dans le cas cambodgien, nombre d’éléments au sein de la société sont convaincus de la nécessité de mener ce programme, du ministre au simple garçon de café. Par adhésion ou par conformisme. Ceci par le travail permanent du régime, de ses médias, de ses ministères, de ses factions politiques que sont les associations stipendiées en charge de l’agitation (tiens revoilà l’antiracisme alter mondialiste et ses gardes rouges marxistes culturels).                                               La destruction de la religion chrétienne, de l’ordre naturel, de l’identité des populations forment le préalable à la société néo-communiste en cours d’édification (Le marxisme culturel n’est plus en cours d’édification, il a réussi et domine la société occidentale toute entière). La société sans race et sans foi, succédant à la société sans classe, forme le nouveau totalitarisme dans lequel nous évoluons. Il faut en avoir conscience.
Comprendre la psychologie révolutionnaire.
Nombreux sont ceux qui, n’étant pas familiers de la lèpre marxiste, ne comprennent pas la psychologie révolutionnaire. La psychologie révolutionnaire a ceci de particulier qu’elle modifie en profondeur la structure mentale d’un individu en le convainquant de ce qu’il doit abolir son bon sens pour se conformer à l’idéologie révolutionnaire. Délié de ses obligations morales et éthiques, un tel individu devient un rouage dans la machine totalitaire du parti ou du régime. La psychologie révolutionnaire est un subjectivisme radical qui transforme n’importe quel individu en psychopathe. Le communisme, ancien comme nouveau, non seulement repose sur une négation de l’individu comme de la société dans ce qui les fonde naturellement, mais par là même le délivre de toute obligation morale afin de les détruire. On gardera à l’esprit que la mentalité révolutionnaire ne sous-entend absolument pas qu’un révolutionnaire devienne systématiquement un auteur de meurtres de masse. Ce développement ne dépend que des conditions objectives  à un moment donné. Le révolutionnaire socialope marxiste culturel adoptera en revanche, quel que soit le lieu et l’époque, une volonté d’anéantissement de l’ordre ancien avec les moyens dont il dispose. Son but demeurera invariablement le même : détruire. Qu’il soit garde-rouge de la Chine maoïste en 1970, antiraciste alter mondialiste ou militant du MRAP ou même parlementaire socialiste ou de la REM embourgeoisé français).
Fermons la parenthèse et revenons à notre agneau ou admirable (de lapin) monsieur Delarue qui de la haine des Rois et du Rassemblement National anime la Patrie et poursuit donc son remarquable article :
«Les morceaux choisis sont ci-dessous
MA LdB (C’est moi Michel Alain Labet de Bornay, je ne sais pas pourquoi ces «gens» là, n’arrivent pas à écrire mon nom de famille correctement ?) s’en prend à Mouloud AOUNIT, Jean-Claude DULIEU et Christian DELARUE et à la direction du MRAP devenu selon la rhétorique ( ?) habituelle islamo-marxiste. (Je recommande aux lecteurs de faire un léger retour en arrière pour constater que je ne m’en «prend» à personne, je me contente de dire, dans une réponse à une question du MRAP (Posée sur le feu Post.fr ou j’étais contributeur) que monsieur Aounit président du MRAP était un candidat du PC(F) (parti communiste), que ce monsieur ait été islamo marxiste, c’était évidemment de notoriété publique le site jssnews titrera même à une époque: «Mouloud Aounit le lobbyiste ISLAMO MARXISTE enfin viré du MRAP», retrouvez la phrase en cliquant ici comme quoi je n’inventais rien, quand à monsieur Dulieu je me contentais de signaler qu’il était à l’époque président régional du Mrap du Nord et vice-président national. Monsieur Dulieu est un élu communiste (Extrême gauche minoritaire) de Valencienne et conseiller régional PC (F). Ce n’est pas comme là ou «Papy Mougeot» (C’était moi) le fameux multirécidiviste bien aimé du MRAP, mettait vraiment en cause monsieur Dulieu dans l’affaire de la profanation des tombes juives à Lille sud, voir ici. En ce qui concerne monsieur Delarue membre de la direction du MRAP qui se donne lui même pour marxiste et membre de la direction du MRAP qui était de notoriété publique islamo marxiste et ce n’est pas moi qui le disait je me contente de le répéter et alors ? (De plus le socialisme islamique existe bel et bien. Madame Marie-France Garaud, candidate gaulliste aux présidentielles en 1981, lança la formule : le Khomeynintern prend la suite du Komintern (l'Internationale Communiste) pour parler évidemment de l’Islamo marxisme. Et puis quoi, les activistes du MRAP supporters de l'immonde campagne antisémite BDS devraient, depuis qu’ils ont avec leurs amis communistes créés le «tribunal» fantoche dit Tribunal Russel sur la Palestine savoir que le bientôt sanctifié par la religion séculière marxiste «saint», pardon, «Sir» Bertrand Russell et sa fameuse théière (1872-1970), assimilait tout net Bolchevisme et Islamisme, mais demander un peu de culture historique à un garde rouge du MRAP «antiraciste» c’est impossible. Russell déclara sans ambages : «la mentalité de Marx est peu différente de celle de Mahomet»… «Parmi les religions, le bolchevisme doit être comparé à l'islam plutôt qu'au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation. L'islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul but est d'étendre leur domination sur le monde» si ça ce n’est pas de l’Islamo Marxisme qu’est ce que c’est ?)
Et pour bien enfoncer le clou au sujet de l’Islam antisémite dans notre beau pays il convient de rapporter les propos tenus par Georges Bensoussan, historien, rédacteur en chef de la Revue d'histoire de la Shoah et responsable éditorial au Mémorial de la Shoah lors de l’émission sur France Culture en mars 2017 consacrée au «sens de la République». À la 28e minute, Georges Bensoussan, souhaitant étayer son affirmation d'un antisémitisme généralisé des populations de religion musulmanes en France dira : «Aujourd'hui nous sommes en présence d'un autre peuple au sein de la nation française, qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratiques qui nous ont portés. (…). Il n'y aura pas d'intégration tant qu'on ne se sera pas débarrassé de cet antisémitisme atavique qui est tu, comme un secret». Il se trouve qu’un sociologue algérien, Smaïn Laacher, d’un très grand courage, vient de dire dans le film qui passera sur France 3 : «C’est une honte que de maintenir ce tabou, à savoir que dans les familles arabes, en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de la mère». Voilà pour la partie «islamo» de l’antisémitisme aussi marxiste en France.
Suite de l’article de sa grande sérénité Christian Delarue, celui qui verse en nos cœurs sa rouge et immortelle sagesse, celui qui de sa suprême intelligence efface de nos âmes le luxe corrupteur de la basse flatterie plus fatale que les méchants tyrans d’extrême ou d’ultra droite ou les vilains personnages de droite patriotique du Front ou Rassemblement National maudit et l’incomparable sagesse de la gauche Française auquel on doit tant, notamment cet antisémitisme bien de chez nous que tous les nazillons nous envie. Laissons-lui la parole :
A suivre le fiel (?) répandu sur le web, il y aurait des marxistes au MRAP. Disons le tout de suite : c’est certain. Mais cela constitue une richesse d’analyses et un apport d’expériences pour la lutte contre les dominations, les oppressions dont le racisme est l’un des vecteurs. On ne saurait dire sérieusement pour autant que le MRAP est marxiste. On pourrait en dire autant de la CGT (cité ci-dessous par l’auteur) mais plus encore du MRAP. (Richesse d’analyse ? Bof seulement cent cinquante millions de morts qu’elle richesse !)
Les membres du MRAP - bien que le MRAP soit membre co-fondateur d’ATTAC - ne sont même pas tous altermondialistes alors que l’altermondialisme forme un spectre large pluriel d’analyse critique du néolibéralisme. Comme dans le MRAP on y trouve des écologistes non marxistes, des membres du PS non marxistes. Il en est ainsi tant au MRAP qu’à la CGT ou qu’à ATTAC. (Là encore si ces gens-là ne sont pas nettement marxistes j’affirme qu’ils sont tous nettement des marxistes culturels convaincus, des hommes de foi de cette nouvelle religion séculière) L’auteur n’a jamais eu l’occasion de lire des statistiques des votes des adhérents des différents syndicats de salariés. Il y verrait l’étalement des votes même si les membres de SUD et de la CGT votent plus «à gauche de la gauche» que les autres.                                                      Quant au marxisme, si tenté que l’on puisse le mettre valablement au singulier comme s’il y avait qu’une seule façon de le déployer (sic), il n’est nullement un mode de penser imposé ou dominant. Quant à l’islamomarxiste, il s’agit à l’évidence plus d’un mot-valise stigmatisant qu’une catégorie philosophico-politique définissant un courant de pensée (Ben tiens donc «Sir» Bertrand Russell et madame Marie-France Garaud, devaient dire des conneries ?). La compatibilité de l’islam et du marxisme est un monstre épistémologique et un monstre théorique non réalisé à ma connaissance et ce à la différence de la théologie de la libération ou du freudo-marxisme qui eux ont quand même réussi à produire de façon certes très hétérodoxe un agencement relativement cohérent des catégories de pensées à priori incompatibles. (Je sais, je ne suis pas (et heureusement)  un intellectuel critique devenu communiste par lâcheté, seulement un chercheur et un historien libertarien minarchiste et si, camarades, vous cliquez ici vous verrez que l’islamo-marxisme n’est pas une idée en l’air lancée au hasard ni un «mot valise» mais est un terme qui a été utilisé pour décrire le penseur iranien Ali Shariati. Il est également parfois utilisé dans des discussions sur la révolution iranienne de 1979, y compris des partis comme l'Organisation des moudjahiddines du peuple iranien (OMPI). Aussi, en Turquie, il existe un mouvement islamique en relation avec le marxisme: le mouvement Anti-Kapitalist Müslümanlar (Musulmans anticapitalistes) mais pour cela il faudrait posséder une culture politique dont la plupart des marxistes sont totalement dépourvus. Comme le dit avec justesse monsieur Winnykamen un militant du MRAP dans son ouvrage remarquable : «Grandeur et misère de l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ? » à la page 203, cette célèbre phrase : «Le MRAP distille de la haine des Juifs en général». Il est de mon droit le plus élémentaire d’affirmer que le MRAP est, entre autre chose, un mouvement islamomarxiste outre d’être antisémite. Monsieur Delarue un marxiste (C’est lui qui l’affirme courageusement, soulignons le, car ce n’est pas le cas de la plupart des activistes orchidoclastes mrapistofurieux dont la rigueur intellectuelle est à l’image de celle de leurs petits phallus décrépits et de leurs valseuses flasques) qui a fait partie du BE (Bureau Exécutif) du Mrap est évidemment différemment perçu par les autres «antiracistes» notamment par le PIR qui en parlant des membres de ce fameux BE disent : « BE du MRAP et autres antiracistes fossilisés, certains ouvertement islamophobes, ne frémissent pas à l’idée d’être les idiots utiles du néo-conservatisme à la française. (…) En vérité, le grand regret du Mrap, c’est la fin de l’antiracisme paternaliste des années Mitterrand si cher à la gauche institutionnelle. Un antiracisme stérile où l’indigène, infantilisé et éperdu de reconnaissance pour ses protecteurs, savait demeurer à sa place de figurant». Hé oui mon zami et ils ont raison, le prolétariat de substitution élevé dans le ressentiment commence à ouvrir les yeux ! Pour le moins il y a du cochon dans la couscoussière ! A propos du PIR et pendant que nous y sommes, monsieur  MRAP40 n’y vas pas avec le dos de la petite cuillère à tagine et personne ne trouve cela louche. En Mars 2015 il titre : «Indigènes de la République : la dérive "racialiste" (Si si messieurs dames, nous l’avons déjà vu et déjà dit (mais comme ça ; ça sera dit Rose !) le racialisme existe je l'ai rencontré sur Wikipédia qui dit : «Le racialisme est relatif à la conviction qu'à une personne de l'existence de races». Le mot est employé par monsieur Delarue lui-même qui donne ici une réponse "antiraciste" des communautarisme post coloniaux en nous parlant des «groupuscules racialistes et racistes». Monsieur Delarue et monsieur MRAP40 ont une conviction commune : les races existent bel et bien, d’ailleurs, pourquoi si les races n’existaient pas, être «antiraciste» ?  C'est vrai qu'être antiraciste sans "race" ça va être compliqué mais à marxiste courageux rien d’impossible, même l’extermination de 150 000 000 de personnes ! Sauf que bon les races existent bien ! Monsieur Mrap Landes va désormais plus loin en affirmant au sujet du PIR : «Leur dérive raciale (pourquoi pas raciste ? Nom d’un petit bonhomme en mousse !), n’a plus rien à voir avec la lutte contre le racisme, ils ne feront illusion qu’auprès des naïfs ou faux naïfs (Comme le MRAP quoi !) complices. On les savait déjà partisans de la lutte des races (lutte des races ? Vous avez dit des «races» ? Pas la peine de lui répondre comme à un antiraciste. Monsieur MRAP Landes a-t-il lu Ludwig Gumplowicz, le macro sociologue ? Peut être pas, mais sa philosophie est marxiste et Karl Marx  est un macrosociologue qui a en particulier analysé la société dans la perspective du soi-disant «conflit de classe» entre les fameux ouvriers et les non moins fameux propriétaires. Monsieur MRAP Landes un vrai marxiste culturel, partage à 100% les thèses de Bobby Seale, président aux états unis du plus que communautariste Black Panther Party For Self Défense qui disait dans son discours: « Nous ne combattons pas le racisme par le racisme. Nous combattons le racisme par la solidarité. Nous ne combattons pas le capitalisme exploiteur par le capitalisme noir. Nous combattons le capitalisme par le socialisme. Nous ne combattons pas l’impérialisme par un impérialisme plus grand. Nous combattons l’impérialisme par l’internationalisme prolétarien) oui monsieur MRAP Landes nous parle de lutte des races : non-blancs contre blancs. On savait qu’ils essentialisent les blancs dans un statut de néo-colonialistes privilégiés et oppresseurs, toutes «classes sociales» confondues. Le travailleur pauvre qui dort dans sa voiture comme l’actionnaire du CAC40 sont en effet globalisé dans la «race» (oui, c’est bien écrit race !) blanche des privilégiés. On les savait hostiles aux droits des homosexuels (mariage pour tous). Voir l’article de ce site «racialisation» des couples mixtes, du genre sexuel, et homophobie». Evidemment pour les indigènes le communiqué du MRAP ne fait que révéler ce qu’ils disaient savoir déjà : «Un des derniers bastions du vieil antiracisme moral craque de toute part et glisse à son tour vers le national républicanisme. Celui-ci a renoncé depuis longtemps à lutter contre le racisme d’État pour se consacrer à des passions nouvelles : liquider l’héritage du regretté Mouloud Aounit qui avait fait de l’islamophobie son cheval de bataille, et lutter contre le «racisme antiblanc» (une idée sois disant jusque-là cantonnée à l’extrême droite).
Suite et fin de l’article de C. D. :
Je ne compte pas répondre plus à ce discours tant les assertions manquent de contenu probant. Le «salafisme remplaçant le marxisme» (Ce que je n’ai jamais dit, de plus je signale à son excellence moralisatrice l’intellectuel critique, qu’il peut trouver d’un simple clic sur wikipedia.org une définition très succincte certes de l’Islamo marxisme mais suffisante pour ne pas faire douter de son existence) c’est pour les esprits faibles pas pour des intellectuels critiques.
Christian DELARUE
Bienheureux les faibles en esprit car le royaume des cieux soviétiques est à eux. Personnellement je ne me prend pas du tout et heureusement comme un «intellectuel critique» (autre nom des marxistes culturels issus de l’école de Francfort), je n’ai fait que répondre à une question à un moment donné comme le disait avec sa grande clairvoyance notre Charles Maurras bien aimé dans : Avenir intelligence en 1905, page 93 : «Devant la puissante oligarchie qui syndiquera les énergies de l'ordre matériel, un immense prolétariat intellectuel, une classe de mendiants lettrés (...) traînera sur les routes de malheureux lambeaux de ce qu'auront été notre pensée, nos littératures, nos arts», cet excellentissime fonctionnaire marxiste Christian Delarue en a bien pris conscience mais si il pose bien le problème dans les termes de Maurras, son délicat «intellect» de marxisme revendiqué lui apporte de bien mauvaises solutions qui ont déjà fait la preuve de leur perversité et de leur malveillance dans le plupart des dictatures marxistes même si les mots changent (Voir ici l'échec du multiculturalisme). Je me souviens que Raymond Aron a dit dans ses mémoires : «quand on est communiste (marxiste ?), soit on est intelligent mais alors on n'est pas sincère, soit on est sincère mais alors on n'est pas intelligent». Plus sincère que Christian Delarue… tu meurs ! Mort d’accord, mais au Goulag !                                                               Il est vrai qu’aujourd’hui comme le dit avec justesse le PIR, le MRAP dont monsieur Delarue est un des très grands dirigeants se consacre à des passions nouvelles: liquider l’héritage du regretté Mouloud Aounit qui avait fait de «l’islamophobie» son cheval de bataille. En cela le MRAP un mouvement antiraciste qui a perdu la tête était ici Islamo marxiste. Il ne l’est plus autant qu’avant c’est certain.  Maître Gilles William Goldnadel nous l’explique bien ici et conclura : «Le temps de l'addition pour l'extrême gauche islamo-gauchiste est enfin arrivé, non seulement la note est salée mais elle est toute tachée. De rouge». Vous aurez remarqué que monsieur  Goldnadel qui emploie un des synonyme d’islamo-marxiste : la «gauche islamo-gauchiste» ne doit lui non plus être un intellectuel critique, c’est bien de ne pas être tout seul dans la vie.
Je ne reviendrez pas sur l'antisémitisme forcené du MRAP un mouvement qui distille de la haine des juifs (selon monsieur Winnykamen et monsieur Delarue à qui l'on doit d'avoir vendu la mèche avec la faucille et marteau) mais il est intéressant de savoir qu’aujourd’hui parmi les condamnés devant les tribunaux pour incitation à la haine raciale antisémite figure des militants du MRAP comme chez les 7 d'Alençon, les trois islamomarxistes de Perpignan, il reste même sur Internet un article censuré par le Post.fr que j’avais écrit sur le susdit Post de chambre gauchiste devenu aujourd’hui le puant HuffPost.  C'est Alliance, Le premier magazine juif sur Internet qui se fera le relais de mon article censuré par Le Post.fr.
Parmi les islamomarxistes antisémites n'oublions pas Jeanne Rousseau, Bernard Cholet et Sakina Arnaud née Kimoun; ci-après un extrait de l’article : A Sakina Kimoun épouse Arnaud : Lettre du Savoir Juif extrait: «Comme nombre de prétendus bien-pensants, vous êtes une abjecte tartuffe égoïste qui veut se donner des airs de respectabilité. Vous compatissez aux "souffrances" des enfants mais uniquement quand ils sont palestiniens. Votre antisémitisme névrotique héréditaire coule dans vos veines comme le déchet radioactif nazislamiste. Vous appartenez à cette idéologie islamo-gaucho-fasciste où l’antisémitisme doctrinal ne pouvait guère se perpétuer qu’en se débaptisant ; il l’a fait, et ce remplacement du «juif» par le «sioniste» est plus qu’un artifice rhétorique ; ce qui s’y révèle c’est la mutation de la pensée totalitaire. Le propre de votre idéologie est d’invoquer des figures humanistes et culturelles pour promouvoir vos intérêts». La suite : Cliquer Ici . Malheureusement les marxistes culturels antisémites  Yamina, Jeanne et Bernard seront relaxés par la Cour d’appel de Montpellier.
Mais non, la France n'est pas antisémite seuls les gauchistes le sont et condamnés comme tel comme les 12 de Mulhouse qui s’assoient allégrement sur les lois de la république.                                                                     Les gauchistes islamomarxistes font dans cet article un «appel» vers la solidarité financière.                             Seulement voilà, l’article 40 de la loi de 1881 dispose ainsi : «Il est interdit d’ouvrir ou d’annoncer publiquement des souscriptions ayant pour objet d’indemniser des amendes, frais et dommages-intérêts prononcés par des condamnations judiciaires, en matière criminelle et correctionnelle, sous peine de six mois d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende, ou de l’une de ces deux peines seulement».                   Dieudonné avait ainsi été condamné en 2015 par le tribunal correctionnel de Paris à 6 000 euros d’amende pour avoir lancé sur Internet fin 2013 un appel aux dons pour payer de précédentes amendes. Alain Soral a également été condamné pour les mêmes raisons la même année. Alors que fait la justice ?
Des associations musulmanes comme le CRI dont le président musulman fondamentaliste Sidi Abdelaziz Chaambi (PSL) est un ancien militant du MRAP (Chaambi est en effet un «militant» de longue date. Son engagement commence dans les années 70 avec la création du MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) en Ardèche. Puis en 1981 il fonde l’Association de Solidarité avec les Travailleurs Immigrés (ASTI), avec laquelle il participe à l’organisation de la Marche pour l’égalité et contre le racisme de 1983. Il est également le fondateur, entre autres, du Collectif des musulmans de France (CMF) en 1992 et enfin du CRI en 2008) remplace peu à peu sur ce terrain les islamomarxistes antisémites (en 2009 le 30 Janvier la fédération des Landes condamne le soutien du groupe communautaro-religieux (le CRI) de sidi Chaambi aux intégristes du Hamas et le même jour exprimait sa totale solidarité avec sidi Chaambi va comprendre Charles ? Abdelaziz est le créateur avec Yamin Makri de l’Union des Jeunes Musulmans (UJM) organisation musulmane fondamentaliste créée à Lyon en 1987 proche des frères musulmans de Tariq Ramadan et qui fait partie du collectif des musulmans de France.
Mais le MRAP n'est pas une association comme les autres ; de création communiste, c’est un mouvement profondément marxiste devenu politiquement correct (le terme de politiquement correct doit toujours être compris dans mes écrits, comme un synonyme d’arme de guerre idéologique du marxisme culturel). J'appartiens à cette génération dont certains sont convaincus que, pour vraiment comprendre les drames de ce siècle, il faut admettre que le communisme au XXème siècle qui est devenu rapidement du politiquement correct, a eu pour but essentiel la destruction de l'homme et de ses valeurs fondamentales en appliquant une idéologie totalitaire haineuse. Le marxisme, si la plupart des partis communistes sont moribonds, s'est transformé et se maintient à travers de nombreux avatars politiquement corrects tel le MRAP qui distille de la haine des juifs se réclamant de «l’antiracisme» ou de «l’anticapitalisme» usant des méthodes de subversion et de manipulation de l'agit-prop bolchevik devenue après la guerre de 39/45 du marxisme culturel.
Je ne veux pas croire qu’au MRAP tous les dirigeants comme dans toutes les annexes des partis communistes soient des sociopathes mégalomanes avides de pouvoir, du pouvoir absolu, prêts à tout pour arriver à leurs fins ou des grands séducteurs sachant cacher leurs objectifs totalement égocentriques sous de belles intentions ou des fanatiques habiles à raconter aux gens de belles histoires qui les charment, si ce ne sont des «camarades» qui sans aucune hésitation et souvent avec un grand plaisir liquideraient leurs concurrents, leurs ennemis, c'est-à-dire ceux qui pourraient briser leur masque hypocrite.



Essai d’ethnologie politique en forme de bonum factum.
Par Michel Alain Labet de Bornay



2019. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). Trade Mark. Tous droits réservés.
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