Essai d’ethnologie politique en forme de
factum. Chapitre 5
Depuis
une dizaine d’années je me pose des questions sur le politiquement
correct que je nomme sans hésitation marxisme
culturel comme madame Mélanie
Phillips du Daily mail,
(Comme quoi il n’y a pas que notre «frère» néo luddite et un peu fêlé
Fjotolf Hansen, anciennement connu sous le nom d’Anders Behring Breivik
à y faire référence. Selon un article publié sur le site de la chaîne TV2, notre
bien aimé frère (pas tant que Delarue quand même) Anders Behring Breivik était
membre de l'obédience maçonnique régulière Den Norske Frimurerorden.
L'information est issue du bulletin des loges maçonniques norvégiennes datant
de 2008) pour d’autres il peut porter le nom de communisme racial
et sexuel avatar du marxisme et qui disent : «Ce communisme non-économique, entend détruire l’individu à son
épicentre selon le principe révolutionnaire de la table rase, condition
préalable indispensable à l’adoption de nouvelles valeurs et conceptions». Comme
quoi je ne suis pas un des seuls (n’en déplaise à monsieur Munier)
avec le vénérable maître maçon de la loge régulière de «saint Jean Saint-Olaf aux trois colonnes» Fjotolf Hansen,
anciennement connu sous le nom d’Anders
Behring Breivik
(Breivik
n’est pas un homme d’extrême droite, ni n’est un ultranationaliste néonazi ou
chrétien comme certains marxistes culturels voudrait le faire croire : voir
ici, l'auteur des deux attaques en Norvège (77 morts) c’est très largement
inspiré du «livre» de l’écolo
anarchiste et terroriste Kaczynski pour écrire son manifeste Déclaration européenne d'indépendance,
Theodore John Kaczynski, était cet anarchiste anticapitaliste, militant écologiste, néo-luddite
et terroriste américain plus connu sous le nom de «Unabomber». De plus «Je suis
antinazi», avait déclaré Breivik
lors de son procès en réponse à la question d'un juge, ce qui est étonnant pour
un homme que la merdiatocrassie marxiste culturelle qualifie «d’extrême ou d’ultra droite nationaliste
néonazi») à qualifier la religion séculière marxiste d’état de cultural marxism ou avec François Medioni pour LibertyVox de marxisme culturel (
Comme quoi, n’en déplaise à cet excellent monsieur Dulieu, je ne suis pas tout
seul !
Ici une explication en anglais, monsieur Marcin Krol donne du
marxisme culturel une définition intéressante cliquez ici, Traduction : «Méthodologiquement, (le marxisme
culturel) c'est la projection de la
division de classe marxiste du bourgeois / prolétariat, classe oppressive /
classe opprimée, sur n'importe quelle catégorie sociale ou humaine que vous
pouvez penser - homme / femme, blanc / noir, vieux / jeune, etc. Dans cette «vue» (je la cite parce que
ce n’est pas vraiment une vision du monde, expliqué plus loin), il n’y a fondamentalement aucune cause de
mouvement dans le monde, mais l’oppression et la discrimination. Par exemple,
un sans-abri peut appartenir à une classe privilégiée (les hommes) accusée de sexisme, mais il est aussi
«opprimé» dans la division économique (c'est en fait ce que les marxistes
culturels ont déclaré en débat avec moi). Quoi
qu'il arrive, c’est le résultat de l'oppression ou de la discrimination de ce
genre ou de l'autre. Au fond, le
marxisme culturel est une attitude émotionnelle d'agression passive: le
marxiste culturel continue de charger un sceptique d'un parti pris supposé de
la classe oppressante de toutes sortes, s'attendant à ce que le sceptique se
soumette de manière émotionnelle. C’est une manière de chercher la domination
en faisant jaillir de bonnes intentions tout en gardant l’autre partie sur la
défensive qui doit continuer à expliquer que «non, non, je ne suis pas raciste
/ sexiste…». Puisque vous pouvez
revendiquer l'oppression ou la discrimination n'importe où (assez brumeux
et difficile à prouver ou à réfuter), vous
pouvez essayer de dominer n'importe qui, n'importe où, pour toute position
autre que la soumission à un marxiste culturel. Il utilise la présomption de
culpabilité pour garder toute personne qui ne suit pas la ligne du parti
stalinien bon marché ostracisée et traquée. Un bon exemple est George Lawlor, étudiant au Royaume-Uni, qui a osé
remettre en question l'efficacité du stage de «consentement» anti-viol à son
université, en soulignant qu'il est peu probable que les violeurs assistent au
cours et avoir un effet sur eux. Il a
complètement manqué le point, car bien que les cours soient de toute évidence
totalement inefficaces, le point ici est politique: dominer les autres, les
soumettre aux supposés leaders de la meute et ne pas empêcher le viol. Bien sûr, les staliniens bon marché (comprendre
ici les antiracistes altermondialistes) disent
toujours qu’ils ont une «cause» très importante - mais c’est exactement ce que
tout aspirant tyran, revendique toujours de toute façon. Clairement, le marxisme culturel est une
lutte particulière de certaines cliques pour le pouvoir.
Ici en Allemagne on
trouve une assez bonne analyse du phénomène marxiste culturel sous le titre de Was ist Kultureller Marxismus, extrait
traduit : «Avec le rôle primordial
joué par Antonio Gramsci et l’Erev Rav hongrois Georg Lukacs qui en 1923, avec
d'autres «intellectuels» marxistes affiliés au Parti communiste allemand ont
fondé l'Institut de recherche sociale en Allemagne à Francfort-sur-le-Main on
assiste à la naissance du marxisme culturel. L'institut, connu sous le nom de
«Frankfurt School» est inspiré de l'Institut Marx Engels de Moscou. Lorsque les
sociaux nationalistes sont arrivés au pouvoir en Allemagne, les membres de
l’école de Francfort ont pris la fuite en 1933. La majorité s’est installée aux
États-Unis. Les prétendues «études» de l'école de Francfort ont combiné
l'analyse marxiste avec la psychanalyse de l’Erev Rav Freud et ont jeté les bases de la
soi-disant «théorie de la critique» (vous avez la source ici du fameux
terme «d’intellectuel critique»
dont s’affuble allègrement notre saronide marxiste Delarue).
La théorie de la critique ou marxisme culturel était
essentiellement une critique destructive des éléments fondamentaux de la
culture occidentale: christianisme, capitalisme, autorité, famille, culture
patriarcale, hiérarchie, moralité, tradition, contrainte sexuelle, loyauté,
patriotisme, nationalisme, héritage, ethnocentrisme, coutumes et conservatisme». Marxisme
culturel qui domine aujourd'hui les esprits, devenu
la religion séculière marxiste et dont un des grands prêtres et ovate est monsieur Delarue
majestueusement revêtu de la pourpre cardinalice soviétique, rouge du sang de
cent cinquante millions de victimes. Je travaille à apporter des réponses au
phénomène et c’est pourquoi je dois encore remercier et rendre des hommages
sincères à l’Éminentissime Seigneur Delarue pour les réflexions que ses
commentaires m’inspirent. Ces ecclésiastiques véritables évêques,
cardinaux ou présidents de mouvements nauséabonds
et antisémites, associations, fédérations, partis, hommes et femmes
politiques, "humanistes"
catholiques, médias, adeptes ou sectateurs
de la religion séculière marxiste ont, dés le milieu du 20ème siècle
réussi à transformer certaines idéologies politiques en mythologies et à
considérer comme des figures «divines» nombre de leaders
marxistes a qui on rend un «culte» de la personnalité. Son premier «pape»
Karl Marx lui-même, l'antisémite
socialiste, Iossif Vissarionovitch Djougachvili dit Staline «le Pharaon
rouge» ou le «Le petit père des peuples», Lev Davidovitch
Bronstein dit «Trotski»,
faux nom (celui d'un ancien gardien de la prison d'Odessa) pris en été 1902,
pour inscrire sur son faux passeport. C’est bien sûr ce qui fera dire à
beaucoup que le marxisme est juif. Mais ce ne sont pas les «juifs» qui sont à l’origine du marxisme culturel mais Lénine
lui-même qui après le rejet des révolutions hongroises et allemandes de 1918
est bien obligé de constater que son propre coup d'État ne survit que par la
terreur. Il fallait trouver autre chose ! En 1922 il convoque à l'Institut
Marx-Engels de Moscou une réunion du Kominterm afin que Georgy Lukács et Willy
Münzenberg (deux juifs ashkénazes certes mais des Erev Rav convertis à la
religion séculière marxiste donc de ce fait devenus des faux juifs) puissent
exposer officiellement leur stratégie de conquête de l'Occident : au marxisme
économique par le soulèvement du prolétariat, ils proposaient de substituer le
marxisme culturel par la subversion des intellectuels. Le chemin serait long
mais la victoire certaine). N’oublions pas aussi l’idole quasiment sanctifiée,
le communiste raciste et antisémite
dégénérescent Ernesto
Guevara dit El Che (traduction littérale : hé mec !). Mao Zedong, un marxiste
léniniste «Le grand
Timonier », Kim
Il-sung le «Président éternel» ou «professeur de l'humanité tout
entière», Ceauşescu: le «génie des Carpates», Robert
Mugabe : «Talibob» etc. etc.
Il y a, à mon avis trois sortes de personnes politiquement correctes
et sectateurs de cette religion séculière, les premières n’en ont pas
totalement conscience, c’est le peuple abruti, la masse lobotomisée, la plèbe
imbécile, les fidèles allah con, les bigots ou le prolétariat plus ou moins
politisé par des doses massives de destruction des neurones de la fameuse Télé
avec leurs professeurs de marxisme culturel dit «journalistes», les adhérents aux partis politiques de la
République «RN compris», les «Footeux», les accrocs à la télé de
merde et à ses feuilletons allah con, ceux qui croient la presse subventionnée
(elle l’est en France en totalité), sans oublier bien sur les «ceusses» qui se disent «humanistes» (Cathos, Parpaillots; sans oublier certains des Témoins qui n’ont pas
vu l’accident et qui rendent comme les autres à César ce qui est à César).
Deuxièmement
les convertis à la religion séculière marxiste, connue par certains humoristes
comme ESR ou Maladie du fou de "dieu", de Jéhovah, de
Marx; Staline ou Allah (en savoir plus
ici, un article qui devrait plaire aux altermondialiste et autres Mrapistes
distingués) et qui persiste à l'état endémique dans toutes les régions du monde
traditionnellement monothéistes. Ces gens là n’ont pas encore eux aussi
forcément pleinement conscience de leur état, ce sont les petits militants des
partis political
correctness, les camarades,
frères, compagnons, les adhérents d’associations politiques ou humanistes.
L’idéologie marxiste devenue culturelle se présente bien aujourd’hui pour eux
comme une «voie de salut» dans l’immanence – de la «race» (c’est
écrit dans le texte en Anglais ici) ou de la
société sans classe ; qu’elle soit polarisée par la lutte entre «le
bien» et «le mal» ; qu’elle adopte si volontiers le style
messianique ou apocalyptique ; qu’elle mette en place des liturgies
glorifiant «le peuple», la «gueuse», «Marianne
nouvelle Sainte Vierge» ou «la race», qu’elle instaure
le «culte»
du chef avec la véritable religion
Marxiste (qualifiée dans ce texte de pure hérésie Panthéiste) et des «tables de la
Loi», avec ses «10 commandements»
là, et ceux-ci les 10
commandements Theo compatibles comme ceux du CCFD
(Comité catholique contre la faim et pour le développement Terre Solidaire) etc.
Troisièmement, le marxisme-léninisme devenu politicamente correcto
jusque chez les Espingouins est comme le christianisme avec ses dogmes, son
culte, ses rites ou l'islam avec sa charia, propagé, maintenu et servi par
un vrai clergé, composé de «cardinaux»,
«d’évêques», «de prêtres» (abbés,
aruspices, augures, curaillons, desservants, imams, lévites, mages, pasteurs, sermonnaires,
intellectuels critiques et autres vicaires), de clercs et de laïques
croyants, d’hommes politiques, de présidents d’associations, d’activistes et de
militants actifs à la foi inébranlable en des lendemains qui chantent. Il
existe bien sur des divisions au sein de cette église et entre membres de son
clergé que je déclare d’une part «catholique», (Dans le sens de gardiens
du dogme et d’universalisme, tel les Staliniens du PCF, les néos staliniens du MRAP
et les marxistes Léninistes Maoïstes) et d’autre part on trouve un clergé
protestant, administrant des sectes diverses et avariées, (Trotskistes
ou Juchéens et ses jeunes juchistes (espèce d'adorateurs de l'oignon
ou de pastafarisme, un culte plus connu sous le nom
d'Eglise du Monstre en Spaghettis volant), les "écologistes" d'EELV
dénoncés eux aussi comme religion séculière ; comme quoi hein !
Ecologistes toujours aussi cons et antisémites
et c’est fort heureusement pas moi qui le disait, mais le Jérusalem+ voir ici), ou de la
presse (toujours Политическая корректность
ce politiquement correct dont les Russes que leurs partisans le sont d'une
meilleure intégration sociale mais soutiennent que la pratique du politiquement
correct est inadéquate car elle remplace la véritable culture de la société,
l'éducation à la tolérance pour les minorités et la solution du problème de la
xénophobie en dissimulant et en occultant les individus et les organisations
intolérants au lieu de combattre l'intolérance et la xénophobie. De plus, à
leur avis, la pratique du politiquement correct contribue à la xénophobie
cachée, marginalisée et non résolue (homophobie ou chauvinisme racial
national), car imposer le politiquement correct suscite inévitablement une
résistance non seulement aux opposants au phénomène lui-même), etc. etc. avec
les «fidèles», les convertis à la religion séculière marxiste,
comme les militants du MRAP chargés de la diffusion de l’idéologie et de la
propagande qui ont comme objectifs le bourrage de crâne des peuples, des
masses «populaires», des citoyens, compagnons, camarades, frères
etc. etc. pour en faire des croyants mais surtout pour qu’ils ne puisse plus
comprendre la réalité du politicamente
corretto (les Italiens font eux aussi état du préjugé racial) du «nouveau monde ou du «Nouvel
Ordre Mondial», imposture
basée sur le pire mensonge de toute l'histoire de l'humanité: sur
l'avilissement et le crime, au profit d'une idéologie totalitaire régnante avec
ses rois, ses prêtres, ses généraux, ses lieutenants dans un monde politiquement correct à leur unique profit et à
celui de leurs larbins la nouvelle bourgeoisie rose, rouge et même aujourd’hui
républicaine et même bleu blanc rouge !La vision anthropocentrique idiote de «l’humain d’abord» qui considère l’homme comme l'entité centrale la plus significative de l'Univers et qui appréhende la réalité à travers la seule perspective humaine est une vision typiquement politiquement correcte ou marxiste culturelle caractéristique de la religion séculière marxiste qui repose sur une forme, même dévoyée, de «sacré». (L’anthropocentrisme marxiste et communiste s’oppose au libertarien bio centrisme où le rôle central est attribué à la nature, Dieu en étant absent et l'homme n'apparaissant que comme simple figurant, de passage et sans position hiérarchique par rapport aux autres espèces). Certains s’entêtent à nommer cette vision «marxisme occidental» (En opposition à l’oriental de l’ex URSS) soit disant théorisé par entre autre, Georges Lukács et Antonio Gramsci, alors que ce fut à l’origine l’œuvre de Lénine et de Willi Münzenberg le maître d’œuvre du Soviéthon et de son adjoint, Otto Katz. A eux seul dès 1917, sous les ordres directs de Lénine ils mirent au point la mise en scène, les énormes mensonges, les méthodes de grand guignol des propagandes totalitaires qui aboutirent en passant par l’école de Francfort au marxisme culturel dominant.
Cette distinction schématique entre marxisme culturel et marxisme occidental été inventée par monsieur Merleau Ponty (pour situer le bonhomme, il convient de rappeler qu’il publiera Humanisme et terreur (1947) où il justifiera sans hurler de rage les ignobles procès communistes de Moscou au nom de la responsabilité «objective» des accusés. Pour ceux qui sont devenus par hasard, forcés ou par choix croyants de l'idéologie politiquement correcte marxiste-léniniste et qui sont tombés dans un mensonge total, ils demeurent englués à vie dans cette imposture, dont ils sont le plus souvent les victimes et les prisonniers d’un système totalitaire qui leur interdit de cracher dans la soupe.
C’est en tentant d'ouvrir les yeux comme je le fais à ces croyants du culte politiquement correct qui "marche" tellement bien qu’on peut lire : «Loin d'une novlangue de Bizounours. Dans le langage courant, le terme de «politiquement correct», fruit d’une importation hasardeuse par les intellectuels critiques (les crétins des Alpes de l’école de Francfort marxiste culturelle) de l’Amérique «multiculturelle» et/ou «puritaine», a donc pris une acception majoritairement négative. Mais est-ce bien légitime? Dans De quoi demain… (Éd. Fayard-Galilée, 2001), un entretien avec la marxiste culturelle et pseudo historienne biographe des escrocs Lacan et Freud, Élisabeth Roudinesco, le marxiste culturel, qui le jour de sa mort dans le New York Times, sous la plume de Jonathan Kandell, était dit : «un théoricien abscons est mort». Le pseudo philosophe Jackie dit Jacques Derrida («penseur» de la French theory sorte de marxisme culturel post soixante-huitard), déplorait notamment cette mésinterprétation des termes. «Il faut laisser cette expression "politically correct" dans sa langue d’origine, soutenait l’ancien directeur de l’école des hautes études en sciences sociales (EHESS). Je regrette que l’on ait importé ce mot d’ordre ou ce slogan américain pour dénoncer tout ce qui ne plaît pas, car c’est bien ce qui se passe, ou pour accuser d’orthodoxie suspecte et rigide, voire de néo conformisme de gauche, tous les discours critiques qui invoquent une norme ou rappellent une prescription éthique ou politique». Il ajoutait: «Au-delà de la caricature, qui est minoritaire, et peu présente, une éthique générale de la vigilance me semble nécessaire à l’égard de tous les signaux, qui ici ou là, dans le langage, la publicité, la vie politique, l’enseignement, l’écriture des textes, etc., peuvent encourager par exemple la violence phallocentrique, ethnocentrique ou raciste». En creux, Jacques Derrida affirmait que, si l’on fait abstraction des quelques abus un peu ridicules qu’a pu produire la correction politique aux États-Unis comme des appels au boycott de certains films au début des années 1990, le «politiquement correct» permet d’interroger constamment le sens –et le bienfondé– du vocabulaire employé pour désigner les minorités ou de leur représentation. On est donc loin de l’idée d’une novlangue bobo-Bisounours qui bâillonnerait «la vérité», comme l'indiquait un tract du syndicat étudiant UNI. «Le politiquement correct, ce sont des principes, et bien sûr, un principe moral: l’idée qu’on peut établir des rapports sociaux plus égalitaires à travers le langage, confirme la philosophe Sandra Laugier, professeure (?) à l’université Panthéon-Sorbonne. C’est mal perçu parce que cela peut ressembler à une moralisation des rapports sociaux, alors que c’est juste une question éthique et politique». Vous venez de lire une défense «abracadabrantesque» du marxisme culturel par des marxistes culturels particulièrement «abscons».
Aux USA, il a existé une véritable secte d'inspiration communiste et antiraciste. Le Temple du Peuple. (Peoples Temple) une secte fondée par le fameux «révérend» Jim Jones en 1953, à Indianapolis, aux États-Unis. En 1951 et c’est très peu connu, Jones avait été affilié au Communist Party USA. Cette même année, il décide d'étudier le droit et déménage pour ce faire à Indianapolis. En avril 1952, il change d'avis : il veut finalement devenir pasteur. En juin 1952, Jones commence un stage de pasteur étudiant à la Somerset Methodist Church, qui se situe dans un quartier blanc défavorisé d'Indianapolis. En septembre 1997, au cours d'une interview, il affirmera avoir voulu infiltrer l'Église comme meilleur moyen de prouver son marxisme et ben ça alors qui l’eut cru. Quand je vous le dit que le marxisme est une religion ! En 1960, la secte se rallie à la confession protestante de l'Église chrétienne des Disciples du Christ. Elle déménage ensuite en Californie, d'abord à Ukiah puis à San Francisco. Dans chaque ville, Jones recrute des démographies différentes : d'abord des familles majoritairement blanches, puis des étudiants blancs utopistes et ayant reçu une instruction poussée, enfin la plus grande partie de ses fidèles, des habitants Noirs de milieux défavorisés, dont beaucoup d'anciens accros à l'héroïne traités dans le centre de désintoxication régi par le Temple du Peuple. Jones affirme être la réincarnation de Moïse et de Lénine (Oui, les deux mon général, une sorte de petit Jésus soviétique), et insiste souvent sur le fait que les personnes qui ne donnent pas tous leurs biens et toute leur énergie au Temple du Peuple seront réincarnés en une créature inférieure, comme une amibe. Les actions sociales du Temple du Peuple d'inspiration communiste et antiraciste lui valent de nombreux soutiens, parmi lesquels les idiots utiles ou abrutiles distingués Angela Davis, Huey P. Newton et Jane Fonda. En octobre 1973, le conseil d'administration de l'église du peuple décide d'établir une colonie agricole au Guyana et y achète des terres. Le choix du Guyana s'est révélé facile à faire, car il s'agit une ancienne colonie britannique où l'on parle anglais, une partie de la population est noire, comme 80 % des membres de la secte, et le gouvernement est principalement socialiste. Le gouvernement est également noir, un facteur important pour Jones qui prône l'antiracisme. Dès 1973, le «pasteur» marxiste et antiraciste Jones commençait à parler de l'avenir du Temple du Peuple («Temple du Peuple» dont Jones a fait le siège d'une lutte pour l'égalité raciale et la justice sociale qu'il appela «socialisme apostolique») et commence à conditionner ses fidèles en leur parlant de l'importance de s'exiler avant d'être condamnés par une dictature américaine ou envoyés en camp de concentration pour Noirs : «Les Juifs auraient dû s'exiler, mais ils sont restés. Ils se sont dits, «Ça ne peut pas nous arriver, Dieu nous a choisis (…) Nous, les Nègres, savons bien que Dieu ne nous a pas élus». James Warren Jones dit Jim Jones dont la communauté établie au Guyana a bien été considérée, à l'origine, comme un projet agricole communiste a été le lieu d'un massacre et finalement désignée comme l'archétype de la secte dangereuse. Jim Jones est à l'origine d'une des dérives «religieuses» les plus connues de l'Histoire ayant provoqué un traumatisme à l'échelle mondiale. Sa communauté communiste dite socialiste apostolique (qui le sait ou le dit ?) connut une fin tragique le 18 novembre 1978 à Jonestown où 908 personnes périrent par ingestion de cyanure de potassium ou assassinat.
Je ne me fais malheureusement aucune illusion ; le débriefing d’un marxiste, d’un alter mondialiste ou d’un antiraciste, s'avère particulièrement difficile et dangereux, les victimes défendant leurs oppresseurs dont il célèbre le culte. Voir la réalité, c'est recevoir en pleine gueule, les crimes commis par les sectateurs du marxisme, la totalité des crimes des régimes infernaux marxistes d’hier, d’aujourd’hui et de demain avec ses 150 millions provisoires d’innocentes victimes, se prendre plein la chetron une série extrêmement dense de réductions, confusions, amalgames, occultations et mensonges et affronter le difficile moment de celui qui sort d'une véritable secte comme le Temple du Peuple, seul, ayant rompu tous liens avec sa famille et ses proches, au nom du culte politiquement correct. On parle de «syndrome de Stockholm» pour décrire cette étrange complicité entre les otages et leurs gardiens. Dans ce qui nous occupe. Il faudrait plutôt parler de «syndrome de Moscou».
Et puis maintenant que nous avons posé la réalité de la religion séculière marxiste, de ces avatars «antiracistes» et de la liberté de son culte, qu’en est-il de la liberté de son prosélytisme à l’instar des autres libertés, celle de convaincre son prochain qui trouve sa limite dans la liberté de conscience de l’autre. La Cour européenne nous dit que «dans une société démocratique où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté religieuse de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun». Les juges de Strasbourg, ont considéré qu’il fallait distinguer le témoignage chrétien du prosélytisme abusif : «Le premier correspond à la vraie évangélisation qu’un rapport élaboré en 1956 dans le cadre du Conseil œcuménique des églises, qualifie de mission essentielle et de responsabilité de chaque chrétien. Le second en représente la corruption ou la déformation. Il ne s’accorde pas avec le respect dû à la liberté de pensée, de conscience et de religion d’autrui». Et la Cour définissait le prosélytisme abusif dans les termes suivants : «une activité offrant des avantages matériels ou sociaux en vue d’obtenir des rattachements à une église, ou exerçant une pression abusive sur des personnes en situation de faiblesse» en d’autres termes, si tenter de convertir autrui est autorisé, en revanche, cela ne doit pas s’accompagner d’une contrainte physique ou psychologique. Il en est ainsi de l’infraction visée par l’article 31 de la loi de 1905 qui n’est constituée que si les agissements répondent à l’une des qualifications mentionnées par le texte : voies de fait, menaces, abus d’autorité, machinations, artifices coupables ou corruption. C’est pourquoi pour le CTECNA, il faut de toute urgence dissoudre le MRAP.
Mais, car il y a un gros MAIS ! Désapprendre est plus que difficile. Par désapprendre, il faut comprendre oublier un savoir de manière intentionnelle afin de le remplacer, souvent, par un autre savoir, plus actuel et pertinent.
Désapprendre des savoirs c’est
plutôt simple. C’est surtout désapprendre des croyances qui se montrent très
difficile.
En réalité, il arrive à
un certain point où ce que nous prenons pour des savoirs sont en fait des
croyances. C’est la pire chose qui soit.
Faire passer des croyances pour des
savoirs, voilà le rôle des altermondialistes, des merdiatocrasseux marxistes
culturels, des «militants»
antiracistes du MRAP se prenant pour des «intellectuels».
La croyance n’est pas un savoir.
Considérer comme vérité ou vraie une thèse ou hypothèse en étant hermétique aux
faits ou à l’absence de faits, les confirmant ou infirmant, voilà la définition
d’une croyance.
Sur la forme : Le marxisme, le
socialisme, le stalinisme, les Partis communistes nationaux et leurs satellites
alter mondialistes ou «antiracistes» du
style MRAP fonctionnent comme l’Eglise catholique, à coup de dogme et de bulles
que les «idiots utiles» (le mot est
de Lénine) comme les journalopes de la presse subventionnée à 100% relayent.
Sur le fond : exemple de Sartre («Sartre décrétait dans la Critique de la
raison dialectique la vérité du Capital, il la déclarait à ce point translucide
que tout commentaire en affaiblirait l'évidence ou la pureté» - R. Aron, «La lecture pseudo-structuraliste de Marx »
(1967), I, dans Marxismes imaginaires) ; sans oublier le fameux : «Il ne faut pas désespérer Billancourt» - Jean-Paul Sartre (1905-1980), «d’après» Nekrassov, créé au Théâtre Antoine, 1955.
Joseph Schumpeter dans Capitalisme,
socialisme et démocratie, (1942) écrira : «Sous un certain aspect important, le marxisme est une religion. A ses
fidèles il offre, en premier lieu, un système des fins dernières qui donnent un
sens à la vie et qui constituent des étalons de référence absolus pour
apprécier les événements et les actions ; de plus, en second lieu, le marxisme
fournit pour atteindre ces fins un guide qui implique un plan de salut et la
révélation du mal dont doit être délivrée l'humanité ou une section élue de
l'humanité. Nous pouvons préciser davantage : le socialisme marxiste appartient
au groupe des religions qui promettent le paradis sur la terre».
Avec ce constat, les
croyances sont donc des obstacles naturels aux savoirs.
Les savoirs sont
réfutables, temporaires, incomplets et certainement pas absolus. Il faut les prendre et les
transmettre comme tels. Ils
représentent ce que l’on sait et la plupart du temps on ne sait pas
grand-chose !
Les
croyances ne sont pas des savoirs. Ils ne peuvent donc être placés sur un même plan.
Si nous ne
les remettons pas en question, elles deviennent des croyances par définition. Elles représentent ce que l’on croit.
Autrement dit, la foi.
Emmanuel Terray un anthropologue
français marxiste maoïste d’ultra gauche un homme à la «foi» sans faille qui se dit «persuadé»
d'une renaissance du communisme, «volonté
d’une société juste, fraternelle et égalitaire». Terray est quand même
réaliste, dans son essai : La
métaphore à propos, page 32, il écrit parlant du marxisme: «en un sens à la fois lévistraussien et sorélien
: machine à penser et aussi expression des convictions d'un groupe dans un
langage mobilisateur. A ses partisans, il propose à la fois une logique, une
interprétation globale du monde, une éthique et une praxéologie : exactement ce
que chrétiens et musulmans trouvent dans leurs Ecritures et leurs traditions
respectives».
Page 46, Emmanuel Terray enfonce le clou : «Le communisme s'est donc transformé en
religion séculière, et cette désignation est bien davantage qu'une métaphore,
comme une comparaison rapide entre l'Eglise et le Parti pourra nous en
convaincre. Tout d'abord, l'une et l'autre se réclament d'une vérité posée
comme absolue : qu'elle tienne ce caractère, dans un cas d'une révélation
divine, et, dans l'autre, d'une découverte scientifique (monsieur Terray a
fait l’école du rire), est en la
circonstance secondaire : ce qui importe, c'est la possession d'un corps de
doctrine soustrait à la discussion et à la critique : tel est le levier qui va
permettre de soulever le monde. Par ailleurs, cette vérité absolue est confiée
comme en dépôt à une minorité de gardiens ; ils exercent sur elle une sorte de
monopole ; eux seuls sont autorisés à la répandre, à l'interpréter, le cas
échéant à l'amender ou à la modifier. Enfin, la vérité originaire engendre à la
fois une théorie -une description et une explication du monde, de la société et
de l'histoire-une éthique- une hiérarchie des valeurs - et une morale - un code
de comportement ; avec ces trois éléments, elle offre à l'individu tout ce
qu'il lui faut pour penser et pour agir, sans qu'il soit jamais obligé de chercher ailleurs, c'est-à-dire à
l'extérieur des limites du système».
Les croyances sont très dures à
désapprendre, particulièrement le marxisme, le communisme, l’altermondialisme,
l’antiracisme etc.
Mais soyez rassurés «amis» communistes,
ne désespérez pas comme chez les membres de la secte du Temple solaire vous
pouvez aussi comme l’alcoolique et le fumeur retrouver votre libre arbitre.
Vous pouvez désapprendre et ce en comprenant deux choses le sens et la
relativité. Désapprendre une croyance surtout allah con peut prendre du temps. Il
existe deux manières simples mais pas forcément faciles pour désapprendre plus
rapidement. La première consiste à introduire du sens et la seconde, de
la relativité.
Le
sens
La meilleure manière d’introduire du sens dans ce que l’on fait ou ce qu’on dit, c’est certainement de se poser la question :
La meilleure manière d’introduire du sens dans ce que l’on fait ou ce qu’on dit, c’est certainement de se poser la question :
Pourquoi ?
Pourquoi je fais ça ?
Pourquoi je pense ça ?
Cela permet de revenir aux sources de notre apprentissage
et découvrir s’il est biaisé. En effet, expliciter, avec ces propres mots, ce
qui fonde nos évidences est la meilleure manière de savoir si l’on est sous l’emprise
de l’effet Dunning
Kruger. L’effet Dunning-Kruger est un biais cognitif dont soufre une grande
majorité de marxistes comme les antiracistes et autres altermondialistes se
prenant pour des intellectuels critiques (suivez mon regard) selon lequel moins
on en sait sur un sujet, plus on surestime notre connaissance de ce sujet. En
poursuivant le raisonnement, ce que l’on sait au final tient plus des croyances
que des savoirs.
Ce biais est également appelé biais
de surconfiance. Charles Darwin fut le premier à en avoir l’intuition.
Selon lui, l’ignorance engendrait plus
fréquemment la confiance en soi que ne le faisait la connaissance. Par
exemple je me suis aperçu que plus je sais ou croit savoir, plus je doute.
Il y a des effets subsidiaires à ce
biais :
La personne ignorante tend à
surestimer ce qu’elle sait, par exemple un antiraciste croit savoir que les
races n’existent pas à l’intérieur de l’espèce humaine hors il lui suffirais de
consulter dans La grande Encyclopédie
Médicale aux
Éditions
Unide de 1981 (Paris, France) et à l’article Les races humaines, pages 1268 à 1270 ou ce brave homme pourra lire
cette phrase : «Du point de vue
zoologique, l’espèce humaine appartient à un seul genre ; tous les hommes ont
en commun un certain nombre de qualités biologiques et intellectuelles et ils
peuvent avoir une descendance avec n’importe quel autre spécimen du genre. À
l’intérieur du genre, on peut distinguer un certain nombre de groupes ayant un
ou plusieurs caractères distincts. Ces groupes sont les races ou
«espèces».
La personne ignorante ne parvient
pas à reconnaître ceux qui savent véritablement, ainsi l’antiraciste va traiter
de «raciste» celui qui comme moi
affirme : Les
races existent ! L’ignorant «antiraciste»
ne comprenant pas que ce qui ferait soi-disant le «raciste» c’est son affirmation de différences entre races (qui
existent aussi bel et bien, une
preuve ici de même que des gens bien intentionnés qui nient
la possibilité de différences biologiques substantielles entre les populations
humaines se recroquevillent dans une position indéfendable, qui ne survivra pas
à l’assaut de la science. Il
n'est d'ailleurs plus possible d'ignorer les différences génétiques entre les
races). Mais de toute façon c’est fait et je conseille fortement aux «antiracistes» la
lecture de cet article : «Inégalités
de QI entre les races humaines» publié le 1 octobre 2016 par monsieur Henry
de Lesquen.
Et pendant que l’on y est, si on
parlait un moment d’antisémitisme ?
Le
27 Octobre 2015 le Forum de Coordination pour la Lutte Contre
l’Antisémitisme, Forum National Israélien qui suit de près les incidents
antisémites dans le monde entier et qui coordonne la lutte contre ce
phénomène avec les divers organismes gouvernementaux, de même qu’avec des
organismes et organisations
juives et autres dans le monde. Titrait : La Cour de cassation confirme que le BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions) est illégale !
juives et autres dans le monde. Titrait : La Cour de cassation confirme que le BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions) est illégale !
Ceci était confirmé
par monsieur Pascal Markowicz, Avocat à la Cour, Membre du Comité Directeur du
Crif, Président Exécutif du Comité Français de l’Association Internationale des
Juristes et Avocats Juifs.
Les
membres islamomarxistes du BDS (BDS est une campagne soutenue en Alsace par:
association France-Palestine solidarité Haut-Rhin (AFPS 68), association REDA
(de la dynamique présence musulmane, il n’y a donc aucun doute sur la collusion
entre les musulmans et les marxistes, le terme d’islamomarxistes est donc
totalement justifié, n’en déplaise aux marpistofurieux alter mondialistes et
autres antiracistes antisémites), justice pour la Palestine (Section Alsace),
parti communiste se disant ignominieusement français (PC(F)-68), Les Verts (des
marxistes Staliniens) qui étaient poursuivis, les condamnés sont : Leïla
ou Laila Assakali, Yahya ou Yahia Assakali, Habiba El Jarroudi épouse Assakali,
Assya Ben Lakbir, madame Farida Trichine Sarr ( Cadre EDF) de «Justice» pour la Palestine Alsace,
Farida Trichine est une ancienne militante du Parti Socialiste de Mulhouse ,
madame Djamila Sonzogni, (conseillère Régionale Alsace, conseillère municipale
de Mulhouse de la formation d’ultra gauche EELV), Sylviane Mure, Aline
Parmentier (Secrétaire départementale du Parti communiste d’Alsace, Madame
Parmentier est une «femme politique» marxiste
stalinienne, membre du conseil
national du PC s’affublant du nom de Français, Mulhousienne de Zillisheim,
Aline Parmentier, 56 ans est née le 30 Janvier 1955, cette coiffeuse capillicultrice
de formation, qui, dès les élections de 2007 ne c’était déjà plus présentée
sous la bannière purement communiste dans la 5e circonscription du Haut-Rhin
(Mulhouse) mais sous celle de la gauche antilibérale (Sic). Le collectif mulhousien de la gauche
antilibérale est composé du PC-(F), des Alternatifs (Coran continu ou
alternatif ?), de militants de la décroissance (comme Anders
Breivik ?), syndicaux et associatifs, précisait-elle. Dans le cadre d'une
législative, cette configuration était une première chez les communistes, qui
faute d’électeurs et ne voulant plus couper les cheveux en quatre, recrutaient
très large et aujourd’hui tiennent des discours carrément antisémites pour se
gagner un électorat de «jeunes» et de
musulmans ! Les nouveaux «prolos» !
Ne doutons pas un seul instant que l’idéologie nauséabonde de cette dame
Parmentier, qu’elle nous annonce comme «anti
libérale» est en fait celle la plus ignoble du monde, l’idéologie
nauséabonde marxiste avec pour corollaire son antisémitisme forcené et son
application nidoreuse le communisme. Le 23 juin 2007 dans une intervention non prononcée (Mais publiée sur
le net) la «camarade» Parmentier déclarait : «Dans la période de résistance à la droite et de reconstruction du
Parti, il est nécessaire que les militants (es) soient bien formés (ées) et
ancrés dans la vie sur de solides assises idéologiques marxistes».
L’inénarrable tovaritch, l’apparatchik Georges Marchais en son temps avait dit
que le bilan du communisme était globalement positif. Voyons ce bilan tragique
d’un peu plus près : la dictature stalinienne a fait à elle seule plus de 20.000.000 de morts. L’Afrique avec le
Zimbabwe, le Cambodge, la Corée du Nord, le Tibet : 120.000.000. Tel est le
bilan provisoire, car le communisme continue de tuer. «Le communisme tuait avant que le nazisme tue, il tuait pendant que le
nazisme tuait, il continue de tuer pendant que le nazisme ne tue plus»
disait Soljenitsyne. Mais pour tous ces morts pas de devoir de mémoire, on n’a même
pas prévu des listes d’attente), Dans l’association France-Palestine solidarité
Haut-Rhin (AFPS 68),il y avait aussi Mohammad Akbar (Citoyen Afghan et «travailleur» social en France, membre
de l’Association REDA, (Association Réflexions, Échanges et Débats en Alsace,
dite aussi la «dynamique» présence
musulmane) Muhammad est l’ami de l’alsaturc Zeynel Cekici, Web master du
site mensonger Alter Info site notoirement Islamo-marxiste, Cekici le
mulhousien antisémite musulman révisionniste multi récidiviste de la haine
raciste. L’alliance Islamo Marxiste antisémite est encore une fois mise en
évidence n’en déplaise aux intellectuels critiques auto proclamés. Il y a aussi
Jean-Michel Baldassi, Maxime Rouleau,
Jacques Ballouey d’Europe Écologie les Verts 68 et Henry Eichholzer (Membre de
l’éducation Nationale au casier judiciaire chargé, professeur d’histoire
(Laquelle ?) Henri Eichholzer est un Mulhousien activiste de l’AFPS (Association
France Palestine Solidarité 68), émanation directe du Parti Communiste dit
Français. Après plusieurs mois d’enquête le CTECNA a trouvé que Monsieur
Eichholzer avait déjà été condamné à 4 ans de prison par un tribunal de
district de Tel-Aviv le 14 Mars 1984 pour avoir collaboré avec le FPLP pour
préparer un attentat terroriste contre la tour du gouvernement à Tel Aviv, le
FPLP est une organisation placée sur la
liste officielle des organisations terroristes antisémites), nous somme au
regret de dire qu’aucun média n’en a fait état à ce jour. En première instance
ces porteurs de haine marxistes et islamomarxistes avaient été relaxés le
tribunal n’étant pas au courant du pedigree de certains de ces activistes qui
ont été finalement condamnés en appel à payer 12.000 € d’amende pour incitation
à la haine raciale antisémite…
Cette
décision est fondée sur la loi française relative à la liberté de la presse,
qui interdit la discrimination, la haine
ou la violence envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur
origine, de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une
nation, une race ou une religion.
Ici
un article de votre serviteur repris par Samuel Le Gac le 26 mars 2014 sur Etz
Be Tzion : Fille de Sion
ils veulent t'exterminer
La
belle et bonne justice des doigts de l'homme dans le Centre d'Union Libéral
de la cour d’appel de Colmar confirmera, le jeudi 9 Janvier 2014, ma
condamnation à un Euro d’amende ! Lire
aussi ici. Michel Garroté rédacteur en chef de www.dreuz.info rappellera ici un
de mes textes suite à cette odieuse affaire : «La libération de la parole raciste par ces nidoreux militants
marxistes culturels, la stigmatisation de l’autre (Le français de confession
Israélite injurié, insulté, traité de «colon», «d’assassin d’enfant», «d’étranger»,
etc..) par des personnes, organisations marxiste, voire même des ONG, conduit
immanquablement à l’exécution de tels actes (Insultes antisémites, agressions
physiques, mitraillages de lieux de cultes, assassinats d’enfants etc.) par des
individus qui trouveront des prétextes et des excuses à leurs pulsions/passages
à l’acte raciste antisémite. Je souligne l’exceptionnelle gravité des faits :
maintenant, l’injure antisémite et le meurtre d’enfant juifs est avéré.
J’appelle tous les Français à réagir et à exiger des pouvoirs publics une autre
politique : Lutte efficace contre les organisations racistes tel le Front de
gauche (Aujourd’hui les insoumis), le NPA, le PC dit F, le PIR, EELV etc. et
condamnation exemplaire des propagateurs de la haine raciste. Et fin des
politiques et déclarations qui encouragent l’antisémitisme et le rejet de
l’Autre dans une surenchère qui menace les valeurs même de la
République».
La personne ignorante, notamment
l’altermondialiste, le militant du MRAP ou l’antiraciste ne parvient pas à
évaluer son niveau d’ignorance, je lui conseille de ce fait la lecture de La très dérangeante vérité de James Watson Voir ici.:
Réalisme racial et illusion moraliste.
(L’illusion moraliste étant très assimilable à du marxisme culturel). Le prix
Nobel James Watson
est un des plus
grands biologistes du 20ème siècle.
Si la personne notamment marxiste est
amenée à améliorer, de manière significative, ses connaissances, elle pourra
alors reconnaître et accepter ses lacunes antérieures, mais bon, faut pas
rêver, le QI d’un marxiste se rapprochant beaucoup plus de celui d’une mouche à
merde que de celui d’un physicien nucléaire. Notre bon maître Charles
Maurras dira : «Quelques révolutionnaires
purement oratoires et mystiques (avec les marxistes culturels et autres
militants du MRAP on est servi) peuvent
estimer que fable ou vérité c’est toujours bien assez bon pour le «peuple». Nous croyons que le peuple n’a pas des besoins moins exigeants que
l’élite (surtout quand elle est auto proclamée et se prend pour des
intellos critiques). Il lui faut de la
vérité comme du pain. Le mensonge historico-politique vous empoisonne aussi
surement que le cyanure de potassium».
Prenons le cas de monsieur Besançon lui
aussi un grand intellectuel critique Français, membre de l'Institut, directeur
d'études à l'EHESS, à l'Institut d'histoire sociale et à la Nouvelle Initiative
Atlantique qui dira : «J’ai quitté le Parti communiste après une véritable
intoxication idéologique». Voilà un homme
qui a consacré l’essentiel de sa carrière à trouver les clés de l’énigme
soviétique et totalitaire marxiste. Ancien communiste repenti, c’est avec
clarté et franchise qu’il répond à une question fondamentale : «Quel a été à vos yeux dans
votre carrière le moment essentiel ?».
Lorsque Alain Besançon décida, en claquant la porte du Parti Communiste en 1956, de consacrer ses travaux à l'histoire de la Russie, il s'engagea autant dans le procès d'une idéologie criminelle que dans celui d'une génération leurrée par une «intoxication» intellectuelle.
«Il y a un moment où le train s’arrête et où il faut descendre. Si on ne descend pas, on risque d’être bloqué, le train reprenant de la vitesse. C’était de l’intoxication idéologique. Personne ne nous disait que c’était idiot ou très mal. À Sciences-Po où j’étais, le marxisme était enseigné par un communiste, l’Histoire de la Russie par un communiste, la géographie par un communiste».
Démarche atypique pour un historien que d'essayer de comprendre ce qu'il lui est arrivé. Tout en abordant la question rationnellement, Alain Besançon n'en développe pas moins des analyses métaphysiques et théologiques de ces deux énigmes du mal qu'ont été le communisme et le nazisme, en rappelant que tout totalitarisme est d'abord gnostique.
«Le communisme pose des questions métaphysiques auxquelles il faut répondre. Et ceux qui ont bien compris le communisme étaient en général d’anciens communistes, comme Souvarine, ou des gauchistes, comme Orwell, et jamais des gens de droite». Ouf je ne suis pas de «droite» ni de «gauche» non plus, quoique j’ai eu un jour ma carte de la CGT (Il faut dire contraint et forcé dans la marine marchande). Introduire du sens avec le «Pourquoi ?» est, selon moi, un exercice habile pour faire progresser ses connaissances et réduire ses croyances.
Lorsque Alain Besançon décida, en claquant la porte du Parti Communiste en 1956, de consacrer ses travaux à l'histoire de la Russie, il s'engagea autant dans le procès d'une idéologie criminelle que dans celui d'une génération leurrée par une «intoxication» intellectuelle.
«Il y a un moment où le train s’arrête et où il faut descendre. Si on ne descend pas, on risque d’être bloqué, le train reprenant de la vitesse. C’était de l’intoxication idéologique. Personne ne nous disait que c’était idiot ou très mal. À Sciences-Po où j’étais, le marxisme était enseigné par un communiste, l’Histoire de la Russie par un communiste, la géographie par un communiste».
Démarche atypique pour un historien que d'essayer de comprendre ce qu'il lui est arrivé. Tout en abordant la question rationnellement, Alain Besançon n'en développe pas moins des analyses métaphysiques et théologiques de ces deux énigmes du mal qu'ont été le communisme et le nazisme, en rappelant que tout totalitarisme est d'abord gnostique.
«Le communisme pose des questions métaphysiques auxquelles il faut répondre. Et ceux qui ont bien compris le communisme étaient en général d’anciens communistes, comme Souvarine, ou des gauchistes, comme Orwell, et jamais des gens de droite». Ouf je ne suis pas de «droite» ni de «gauche» non plus, quoique j’ai eu un jour ma carte de la CGT (Il faut dire contraint et forcé dans la marine marchande). Introduire du sens avec le «Pourquoi ?» est, selon moi, un exercice habile pour faire progresser ses connaissances et réduire ses croyances.
Faisons un test simple :
Pourquoi le communisme n'est pas un
système égalitaire, mais totalitaire qui ne pouvait engendrer que des Etats
criminels. Si
vous êtes en mesure de l’expliquer, sans
recourir à internet
tout de suite, bien sûr, alors vous savez. Sinon, c’est une
croyance. Par contre, vous renseigner à ce sujet et le retransmettre le rendra
à nouveau En définitive, donner du sens
permet de se réattribuer le savoir. Venons-en
maintenant à la relativité.
Dans le dictionnaire de la langue philosophique de Paul Foulquié et Raymond Saint-Jean, ils décrivent la relativité, entre autre, comme le caractère attribué à la connaissance humaine parce qu’elle est imparfaite, limitée. Par exemple : «l’idéologie marxiste a fait 100 million de morts». Comme je l’énonçais précédemment nos savoirs sont tous réfutables. On sait bien que le chiffre de 150 millions d’innocentes victimes du communisme se rapproche pour l’instant bien plus de la vérité. Je dis pour l’instant car selon l’expression de Soljenitsyne «Le communisme tuait avant que le nazisme ne tue, il tuait pendant que le nazisme tuait, et il n’a cessé de tuer alors que le nazisme ne tuait plus». Soljenitsyne n’avait pas encore connu les dizaines de millions de morts de la démence maoïste qui continue dans les laogais, le génocide cambodgien et toutes et son génocide des blancs et de l’ethnie Ndebele, les massacres du Darfour et du Congo, de l’Extrême-Orient à l’Ethiopie. Il existe une manière que l’on vient de voir pour mettre de la relativité dans nos savoirs. Elle consiste à terminer toutes assomptions par l’adverbe de temps «… pour l’instant». Faire systématiquement cet exercice, c’est le meilleur moyen de se préparer à désapprendre n’importe quel savoir. S’il est vrai aujourd’hui que les marxistes ont fait «pour l’instant» 150 millions de morts sur la terre, il peut ne plus l’être demain et arriver très rapidement aux 200 millions ! Car le communisme continue de tuer tous les jours. Par ailleurs, je trouve que cela nous projette dans des hypothèses alternatives, créatives et originales. Pour reprendre l’exemple précédent : Les races existent !… pour l’instant. Le «pour l’instant» nous invite à imaginer d’autres systèmes ou de nouvelles façons de les concevoir. Tiens prenons encore un exemple. Plusieurs chercheurs contemporains définissent l’homme de Neandertal comme une «sous-espèce» d’homme moderne et l’appellent «Homo sapiens neandertalensis». Pour l’instant les découvertes témoignent que les Néandertaliens enterraient leurs morts, façonnaient des instruments de musique, et avaient des affinités culturelles avec l’Homo sapiens qui vivait à la même période. Pour mieux le préciser, les Néandertaliens sont une race «robuste» qui a simplement disparu de nos jours et dont pour l’instant on en ignore la raison. Mais avec les marxistes il existe un vrai problème comme avec les antiracistes et les alter mondialistes distingués, c’est évidemment qu’ils sont persuadés d’être des «scientifiques» ! Certains complices objectifs des pires crimes contre l’humanité jamais commis sur la planète vont même jusqu’à se qualifier «d’intellectuels critiques». Pour l'historien Gérard Noiriel, les intellectuels ou prétendus tels adoptent nécessairement une posture critique à l’égard du pouvoir. Il nie la vieille tradition des intellectuels de droite. Ces penseurs sont rangés dans la catégorie des faussaires, des imposteurs, des chiens de garde. Karl Popper, dans son livre The Logic of Scientific Discovery, met en évidence le fait que la science ne nous apporte pas «La Vérité», selon lui elle ne peut rien prouver (de façon définitive). Tout ce que la méthode scientifique peut faire c'est de réfuter une proposition ou une théorie, ainsi il est faux de dire que telle et telle chose a été «prouvée scientifiquement». Selon la perspective empiriste il apparaît que le marxisme ne peut être qualifié de scientifique, la raison en est assez simple; c'est que la théorie marxiste n'est pas le produit d’expérimentations empiriques et elle ne peut pas être réfutée par de telles expériences. Nonobstant il m'apparaît possible d'apercevoir un courant «scientiste» dans la petite et ridicule pensée marxiste, j'aimerais mettre l'accent sur le fait que ceci n'a rien de particulier au marxisme lui-même. Que l'on se tourne vers les fameuses «Sciences sociales», l'on constate à peu près la même tendance. Pourquoi ne pas dire plutôt les études sociales? Il semble que le prestige de la méthode scientifique en sciences naturelles est tellement monté à la tête de certains marxistes qu'ils sont victimes de l'illusion que seule la Science (avec un grand S) conduit à «la Vérité». Maintenant que l'on sait que la science n'est pas possessive de «la Vérité», pourquoi ne pas considérer sa méthode (observation, théorisation et expérimentation) comme un moyen d'acquérir des connaissances parmi tant d'autres ? Pour ce qui est des prétendues «Sciences sociales», on ne s'est jamais trop préoccupé à suivre la méthode scientifique, pourquoi ne pas laisser tomber pour l’instant chez les marxistes les prétentions à faire de la Science ?
Dans le dictionnaire de la langue philosophique de Paul Foulquié et Raymond Saint-Jean, ils décrivent la relativité, entre autre, comme le caractère attribué à la connaissance humaine parce qu’elle est imparfaite, limitée. Par exemple : «l’idéologie marxiste a fait 100 million de morts». Comme je l’énonçais précédemment nos savoirs sont tous réfutables. On sait bien que le chiffre de 150 millions d’innocentes victimes du communisme se rapproche pour l’instant bien plus de la vérité. Je dis pour l’instant car selon l’expression de Soljenitsyne «Le communisme tuait avant que le nazisme ne tue, il tuait pendant que le nazisme tuait, et il n’a cessé de tuer alors que le nazisme ne tuait plus». Soljenitsyne n’avait pas encore connu les dizaines de millions de morts de la démence maoïste qui continue dans les laogais, le génocide cambodgien et toutes et son génocide des blancs et de l’ethnie Ndebele, les massacres du Darfour et du Congo, de l’Extrême-Orient à l’Ethiopie. Il existe une manière que l’on vient de voir pour mettre de la relativité dans nos savoirs. Elle consiste à terminer toutes assomptions par l’adverbe de temps «… pour l’instant». Faire systématiquement cet exercice, c’est le meilleur moyen de se préparer à désapprendre n’importe quel savoir. S’il est vrai aujourd’hui que les marxistes ont fait «pour l’instant» 150 millions de morts sur la terre, il peut ne plus l’être demain et arriver très rapidement aux 200 millions ! Car le communisme continue de tuer tous les jours. Par ailleurs, je trouve que cela nous projette dans des hypothèses alternatives, créatives et originales. Pour reprendre l’exemple précédent : Les races existent !… pour l’instant. Le «pour l’instant» nous invite à imaginer d’autres systèmes ou de nouvelles façons de les concevoir. Tiens prenons encore un exemple. Plusieurs chercheurs contemporains définissent l’homme de Neandertal comme une «sous-espèce» d’homme moderne et l’appellent «Homo sapiens neandertalensis». Pour l’instant les découvertes témoignent que les Néandertaliens enterraient leurs morts, façonnaient des instruments de musique, et avaient des affinités culturelles avec l’Homo sapiens qui vivait à la même période. Pour mieux le préciser, les Néandertaliens sont une race «robuste» qui a simplement disparu de nos jours et dont pour l’instant on en ignore la raison. Mais avec les marxistes il existe un vrai problème comme avec les antiracistes et les alter mondialistes distingués, c’est évidemment qu’ils sont persuadés d’être des «scientifiques» ! Certains complices objectifs des pires crimes contre l’humanité jamais commis sur la planète vont même jusqu’à se qualifier «d’intellectuels critiques». Pour l'historien Gérard Noiriel, les intellectuels ou prétendus tels adoptent nécessairement une posture critique à l’égard du pouvoir. Il nie la vieille tradition des intellectuels de droite. Ces penseurs sont rangés dans la catégorie des faussaires, des imposteurs, des chiens de garde. Karl Popper, dans son livre The Logic of Scientific Discovery, met en évidence le fait que la science ne nous apporte pas «La Vérité», selon lui elle ne peut rien prouver (de façon définitive). Tout ce que la méthode scientifique peut faire c'est de réfuter une proposition ou une théorie, ainsi il est faux de dire que telle et telle chose a été «prouvée scientifiquement». Selon la perspective empiriste il apparaît que le marxisme ne peut être qualifié de scientifique, la raison en est assez simple; c'est que la théorie marxiste n'est pas le produit d’expérimentations empiriques et elle ne peut pas être réfutée par de telles expériences. Nonobstant il m'apparaît possible d'apercevoir un courant «scientiste» dans la petite et ridicule pensée marxiste, j'aimerais mettre l'accent sur le fait que ceci n'a rien de particulier au marxisme lui-même. Que l'on se tourne vers les fameuses «Sciences sociales», l'on constate à peu près la même tendance. Pourquoi ne pas dire plutôt les études sociales? Il semble que le prestige de la méthode scientifique en sciences naturelles est tellement monté à la tête de certains marxistes qu'ils sont victimes de l'illusion que seule la Science (avec un grand S) conduit à «la Vérité». Maintenant que l'on sait que la science n'est pas possessive de «la Vérité», pourquoi ne pas considérer sa méthode (observation, théorisation et expérimentation) comme un moyen d'acquérir des connaissances parmi tant d'autres ? Pour ce qui est des prétendues «Sciences sociales», on ne s'est jamais trop préoccupé à suivre la méthode scientifique, pourquoi ne pas laisser tomber pour l’instant chez les marxistes les prétentions à faire de la Science ?
Essai
d’ethnologie politique en forme de bonum factum.
Par Michel Alain Labet de Bornay
2019. Agence de Presse AIS (Accréditation
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