vendredi 29 mars 2019

Merci monsieur Delarue. 5ème partie


Essai d’ethnologie politique en forme de factum. Chapitre 5



Depuis une dizaine d’années je me pose des questions sur le politiquement correct que je nomme sans hésitation marxisme culturel comme madame Mélanie Phillips du Daily mail, (Comme quoi il n’y a pas que notre «frère» néo luddite et un peu fêlé Fjotolf Hansen, anciennement connu sous le nom d’Anders Behring Breivik à y faire référence. Selon un article publié sur le site de la chaîne TV2, notre bien aimé frère (pas tant que Delarue quand même) Anders Behring Breivik était membre de l'obédience maçonnique régulière Den Norske Frimurerorden. L'information est issue du bulletin des loges maçonniques norvégiennes datant de 2008) pour d’autres il peut porter le nom de communisme racial et sexuel avatar du marxisme et qui disent : «Ce communisme non-économique, entend détruire l’individu à son épicentre selon le principe révolutionnaire de la table rase, condition préalable indispensable à l’adoption de nouvelles valeurs et conceptions». Comme quoi je ne suis pas un des seuls (n’en déplaise à monsieur Munier) avec le vénérable maître maçon de la loge régulière de «saint Jean Saint-Olaf aux trois colonnes» Fjotolf Hansen, anciennement connu sous le nom d’Anders Behring Breivik
(Breivik n’est pas un homme d’extrême droite, ni n’est un ultranationaliste néonazi ou chrétien comme certains marxistes culturels voudrait le faire croire : voir ici, l'auteur des deux attaques en Norvège (77 morts) c’est très largement inspiré du «livre» de l’écolo anarchiste et terroriste Kaczynski pour écrire son manifeste Déclaration européenne d'indépendance, Theodore John Kaczynski, était cet anarchiste anticapitaliste, militant écologiste, néo-luddite et terroriste américain plus connu sous le nom de «Unabomber». De plus «Je suis antinazi», avait déclaré Breivik lors de son procès en réponse à la question d'un juge, ce qui est étonnant pour un homme que la merdiatocrassie marxiste culturelle qualifie «d’extrême ou d’ultra droite nationaliste néonazi») à qualifier la religion séculière marxiste d’état de cultural marxism ou avec François Medioni pour LibertyVox de marxisme culturel ( Comme quoi, n’en déplaise à cet excellent monsieur Dulieu, je ne suis pas tout seul ! Ici une explication en anglais, monsieur Marcin Krol donne du marxisme culturel une définition intéressante cliquez ici, Traduction : «Méthodologiquement, (le marxisme culturel) c'est la projection de la division de classe marxiste du bourgeois / prolétariat, classe oppressive / classe opprimée, sur n'importe quelle catégorie sociale ou humaine que vous pouvez penser - homme / femme, blanc / noir, vieux / jeune, etc. Dans cette «vue» (je la cite parce que ce n’est pas vraiment une vision du monde, expliqué plus loin), il n’y a fondamentalement aucune cause de mouvement dans le monde, mais l’oppression et la discrimination. Par exemple, un sans-abri peut appartenir à une classe privilégiée (les hommes) accusée de sexisme, mais il est aussi «opprimé» dans la division économique (c'est en fait ce que les marxistes culturels ont déclaré en débat avec moi). Quoi qu'il arrive, c’est le résultat de l'oppression ou de la discrimination de ce genre ou de l'autre. Au fond, le marxisme culturel est une attitude émotionnelle d'agression passive: le marxiste culturel continue de charger un sceptique d'un parti pris supposé de la classe oppressante de toutes sortes, s'attendant à ce que le sceptique se soumette de manière émotionnelle. C’est une manière de chercher la domination en faisant jaillir de bonnes intentions tout en gardant l’autre partie sur la défensive qui doit continuer à expliquer que «non, non, je ne suis pas raciste / sexiste…». Puisque vous pouvez revendiquer l'oppression ou la discrimination n'importe où (assez brumeux et difficile à prouver ou à réfuter), vous pouvez essayer de dominer n'importe qui, n'importe où, pour toute position autre que la soumission à un marxiste culturel. Il utilise la présomption de culpabilité pour garder toute personne qui ne suit pas la ligne du parti stalinien bon marché ostracisée et traquée. Un bon exemple est George Lawlor, étudiant au Royaume-Uni, qui a osé remettre en question l'efficacité du stage de «consentement» anti-viol à son université, en soulignant qu'il est peu probable que les violeurs assistent au cours et avoir un effet sur eux. Il a complètement manqué le point, car bien que les cours soient de toute évidence totalement inefficaces, le point ici est politique: dominer les autres, les soumettre aux supposés leaders de la meute et ne pas empêcher le viol. Bien sûr, les staliniens bon marché (comprendre ici les antiracistes altermondialistes) disent toujours qu’ils ont une «cause» très importante - mais c’est exactement ce que tout aspirant tyran, revendique toujours de toute façon. Clairement, le marxisme culturel est une lutte particulière de certaines cliques pour le pouvoir.

Ici en Allemagne on trouve une assez bonne analyse du phénomène marxiste culturel sous le titre de Was ist Kultureller Marxismus, extrait traduit : «Avec le rôle primordial joué par Antonio Gramsci et l’Erev Rav hongrois Georg Lukacs qui en 1923, avec d'autres «intellectuels» marxistes affiliés au Parti communiste allemand ont fondé l'Institut de recherche sociale en Allemagne à Francfort-sur-le-Main on assiste à la naissance du marxisme culturel. L'institut, connu sous le nom de «Frankfurt School» est inspiré de l'Institut Marx Engels de Moscou. Lorsque les sociaux nationalistes sont arrivés au pouvoir en Allemagne, les membres de l’école de Francfort ont pris la fuite en 1933. La majorité s’est installée aux États-Unis. Les prétendues «études» de l'école de Francfort ont combiné l'analyse marxiste avec la psychanalyse de l’Erev Rav Freud et ont jeté les bases de la soi-disant «théorie de la critique» (vous avez la source ici du fameux terme «d’intellectuel critique» dont s’affuble allègrement notre saronide marxiste Delarue).
La théorie de la critique ou marxisme culturel était essentiellement une critique destructive des éléments fondamentaux de la culture occidentale: christianisme, capitalisme, autorité, famille, culture patriarcale, hiérarchie, moralité, tradition, contrainte sexuelle, loyauté, patriotisme, nationalisme, héritage, ethnocentrisme, coutumes et conservatisme». Marxisme culturel qui domine aujourd'hui les esprits, devenu la religion séculière marxiste et dont un des grands prêtres et ovate est monsieur Delarue majestueusement revêtu de la pourpre cardinalice soviétique, rouge du sang de cent cinquante millions de victimes. Je travaille à apporter des réponses au phénomène et c’est pourquoi je dois encore remercier et rendre des hommages sincères à l’Éminentissime Seigneur Delarue pour les réflexions que ses commentaires m’inspirent. Ces ecclésiastiques véritables évêques, cardinaux ou présidents de mouvements nauséabonds et antisémites, associations, fédérations, partis, hommes et femmes politiques, "humanistes" catholiques, médias, adeptes ou sectateurs de la religion séculière marxiste ont, dés le milieu du 20ème siècle réussi à transformer certaines idéologies politiques en mythologies et à considérer comme des figures «divines» nombre de leaders marxistes a qui on rend un «culte» de la personnalité. Son premier «pape» Karl Marx lui-même, l'antisémite socialiste, Iossif Vissarionovitch Djougachvili dit Staline «le Pharaon rouge» ou le «Le petit père des peuples», Lev Davidovitch Bronstein dit «Trotski», faux nom (celui d'un ancien gardien de la prison d'Odessa) pris en été 1902, pour inscrire sur son faux passeport. C’est bien sûr ce qui fera dire à beaucoup que le marxisme est juif. Mais ce ne sont pas les «juifs» qui sont à l’origine du marxisme culturel mais Lénine lui-même qui après le rejet des révolutions hongroises et allemandes de 1918 est bien obligé de constater que son propre coup d'État ne survit que par la terreur. Il fallait trouver autre chose ! En 1922 il convoque à l'Institut Marx-Engels de Moscou une réunion du Kominterm afin que Georgy Lukács et Willy Münzenberg (deux juifs ashkénazes certes mais des Erev Rav convertis à la religion séculière marxiste donc de ce fait devenus des faux juifs) puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de l'Occident : au marxisme économique par le soulèvement du prolétariat, ils proposaient de substituer le marxisme culturel par la subversion des intellectuels. Le chemin serait long mais la victoire certaine). N’oublions pas aussi l’idole quasiment sanctifiée, le communiste raciste et antisémite dégénérescent Ernesto Guevara dit El Che (traduction littérale : hé mec !). Mao Zedong, un marxiste léniniste «Le grand Timonier », Kim Il-sung le «Président éternel» ou «professeur de l'humanité tout entière», Ceauşescu: le «génie des Carpates», Robert Mugabe : «Talibob» etc. etc.
Il y a, à mon avis trois sortes de personnes politiquement correctes et sectateurs de cette religion séculière, les premières n’en ont pas totalement conscience, c’est le peuple abruti, la masse lobotomisée, la plèbe imbécile, les fidèles allah con, les bigots ou le prolétariat plus ou moins politisé par des doses massives de destruction des neurones de la fameuse Télé avec leurs professeurs de marxisme culturel dit «journalistes», les adhérents aux partis politiques de la République «RN compris», les «Footeux», les accrocs à la télé de merde et à ses feuilletons allah con, ceux qui croient la presse subventionnée (elle l’est en France en totalité), sans oublier bien sur les «ceusses» qui se disent  «humanistes» (Cathos, Parpaillots; sans oublier certains des Témoins qui n’ont pas vu l’accident et qui rendent comme les autres à César ce qui est à César).
Deuxièmement les convertis à la religion séculière marxiste, connue par certains humoristes comme ESR ou Maladie du fou de "dieu", de Jéhovah, de Marx; Staline ou Allah (en savoir plus ici, un article qui devrait plaire aux altermondialiste et autres Mrapistes distingués) et qui persiste à l'état endémique dans toutes les régions du monde traditionnellement monothéistes. Ces gens là n’ont pas encore eux aussi forcément pleinement conscience de leur état, ce sont les petits militants des partis political correctness, les camarades, frères, compagnons, les adhérents d’associations politiques ou humanistes. L’idéologie marxiste devenue culturelle se présente bien aujourd’hui pour eux comme une «voie de salut» dans l’immanence – de la «race» (c’est écrit dans le texte en Anglais ici) ou de la société sans classe ; qu’elle soit polarisée par la lutte entre «le bien» et «le mal» ; qu’elle adopte si volontiers le style messianique ou apocalyptique ; qu’elle mette en place des liturgies glorifiant «le peuple», la «gueuse», «Marianne nouvelle Sainte Vierge» ou «la race», qu’elle instaure le «culte» du chef avec la véritable religion Marxiste (qualifiée dans ce texte de pure hérésie Panthéiste) et des «tables de la Loi», avec ses «10 commandements» là, et ceux-ci les 10 commandements Theo compatibles comme ceux du CCFD (Comité catholique contre la faim et pour le développement Terre Solidaire) etc.
Troisièmement, le marxisme-léninisme devenu politicamente correcto jusque chez les Espingouins est comme le christianisme avec ses dogmes, son culte, ses rites ou l'islam avec sa charia, propagé, maintenu et servi par un vrai clergé, composé de «cardinaux», «d’évêques», «de prêtres» (abbés, aruspices, augures, curaillons, desservants, imams, lévites, mages, pasteurs, sermonnaires, intellectuels critiques et autres vicaires), de clercs et de laïques croyants, d’hommes politiques, de présidents d’associations, d’activistes et de militants actifs à la foi inébranlable en des lendemains qui chantent. Il existe bien sur des divisions au sein de cette église et entre membres de son clergé que je déclare d’une part «catholique», (Dans le sens de gardiens du dogme et d’universalisme, tel les Staliniens du PCF, les néos staliniens du MRAP et les marxistes Léninistes Maoïstes) et d’autre part on trouve un clergé protestant, administrant des sectes diverses et avariées, (Trotskistes ou Juchéens et ses jeunes juchistes (espèce d'adorateurs de l'oignon ou de  pastafarisme, un culte plus connu sous le nom d'Eglise du Monstre en Spaghettis volant), les "écologistes" d'EELV dénoncés eux aussi comme religion séculière ; comme quoi hein ! Ecologistes toujours aussi cons et antisémites et c’est fort heureusement pas moi qui le disait, mais le Jérusalem+ voir ici), ou de la presse (toujours Политическая корректность ce politiquement correct dont les Russes que leurs partisans le sont d'une meilleure intégration sociale mais soutiennent que la pratique du politiquement correct est inadéquate car elle remplace la véritable culture de la société, l'éducation à la tolérance pour les minorités et la solution du problème de la xénophobie en dissimulant et en occultant les individus et les organisations intolérants au lieu de combattre l'intolérance et la xénophobie. De plus, à leur avis, la pratique du politiquement correct contribue à la xénophobie cachée, marginalisée et non résolue (homophobie ou chauvinisme racial national), car imposer le politiquement correct suscite inévitablement une résistance non seulement aux opposants au phénomène lui-même), etc. etc. avec les «fidèles», les convertis à la religion séculière marxiste, comme les militants du MRAP chargés de la diffusion de l’idéologie et de la propagande qui ont comme objectifs le bourrage de crâne des peuples, des masses «populaires», des citoyens, compagnons, camarades, frères etc. etc. pour en faire des croyants mais surtout pour qu’ils ne puisse plus comprendre la réalité du politicamente corretto (les Italiens font eux aussi état du préjugé racial) du «nouveau monde ou du «Nouvel Ordre Mondial», imposture basée sur le pire mensonge de toute l'histoire de l'humanité: sur l'avilissement et le crime, au profit d'une idéologie totalitaire régnante avec ses rois, ses prêtres, ses généraux, ses lieutenants dans un monde politiquement correct à leur unique profit et à celui de leurs larbins la nouvelle bourgeoisie rose, rouge et même aujourd’hui républicaine et même bleu blanc rouge !
La vision anthropocentrique idiote de «l’humain d’abord» qui  considère l’homme comme l'entité centrale la plus significative de l'Univers et qui appréhende la réalité à travers la seule perspective humaine est une vision typiquement politiquement correcte ou marxiste culturelle caractéristique de la religion séculière marxiste qui repose sur une forme, même dévoyée, de «sacré». (L’anthropocentrisme marxiste et communiste s’oppose au libertarien bio centrisme où le rôle central est attribué à la nature, Dieu en étant absent et l'homme n'apparaissant que comme simple figurant, de passage et sans position hiérarchique par rapport aux autres espèces).                      Certains s’entêtent à nommer cette vision «marxisme occidental» (En opposition à l’oriental de l’ex URSS) soit disant théorisé par entre autre, Georges Lukács et Antonio Gramsci, alors que ce fut à l’origine l’œuvre de Lénine et de Willi Münzenberg le maître d’œuvre du Soviéthon et de son adjoint, Otto Katz. A eux seul dès 1917, sous les ordres directs de Lénine ils mirent au point la mise en scène, les énormes mensonges, les méthodes de grand guignol des propagandes totalitaires qui aboutirent en passant par l’école de Francfort au marxisme culturel dominant.
Cette distinction schématique entre marxisme culturel et marxisme occidental été inventée par monsieur Merleau Ponty (pour situer le bonhomme, il convient de rappeler qu’il publiera Humanisme et terreur (1947) où il justifiera sans hurler de rage les ignobles procès communistes de Moscou au nom de la responsabilité «objective» des accusés. Pour ceux qui sont devenus par hasard, forcés ou par choix croyants de l'idéologie politiquement correcte marxiste-léniniste et qui sont tombés dans un mensonge total, ils demeurent englués à vie dans cette imposture, dont ils sont le plus souvent les victimes et les prisonniers d’un système totalitaire qui leur interdit de cracher dans la soupe.
C’est en tentant d'ouvrir les yeux comme je le fais à ces croyants du culte politiquement correct qui "marche" tellement bien qu’on peut lire : «Loin d'une novlangue de Bizounours. Dans le langage courant, le terme de «politiquement correct», fruit d’une importation hasardeuse par les intellectuels critiques (les crétins des Alpes de l’école de Francfort marxiste culturelle) de l’Amérique «multiculturelle» et/ou «puritaine», a donc pris une acception majoritairement négative. Mais est-ce bien légitime? Dans De quoi demain… (Éd. Fayard-Galilée, 2001), un entretien avec la marxiste culturelle et pseudo historienne biographe des escrocs Lacan et Freud, Élisabeth Roudinesco, le marxiste culturel, qui le jour de sa mort dans le New York Times, sous la plume de Jonathan Kandell, était dit : «un théoricien abscons est mort». Le pseudo philosophe Jackie dit Jacques Derrida («penseur» de la French theory sorte de marxisme culturel post soixante-huitard), déplorait notamment cette mésinterprétation des termes. «Il faut laisser cette expression "politically correct" dans sa langue d’origine, soutenait l’ancien directeur de l’école des hautes études en sciences sociales (EHESS). Je regrette que l’on ait importé ce mot d’ordre ou ce slogan américain pour dénoncer tout ce qui ne plaît pas, car c’est bien ce qui se passe, ou pour accuser d’orthodoxie suspecte et rigide, voire de néo conformisme de gauche, tous les discours critiques qui invoquent une norme ou rappellent une prescription éthique ou politique». Il ajoutait: «Au-delà de la caricature, qui est minoritaire, et peu présente, une éthique générale de la vigilance me semble nécessaire à l’égard de tous les signaux, qui ici ou là, dans le langage, la publicité, la vie politique, l’enseignement, l’écriture des textes, etc., peuvent encourager par exemple la violence phallocentrique, ethnocentrique ou raciste». En creux, Jacques Derrida affirmait que, si l’on fait abstraction des quelques abus un peu ridicules qu’a pu produire la correction politique aux États-Unis comme des appels au boycott de certains films au début des années 1990, le «politiquement correct» permet d’interroger constamment le sens –et le bienfondé– du vocabulaire employé pour désigner les minorités ou de leur représentation. On est donc loin de l’idée d’une novlangue bobo-Bisounours qui bâillonnerait «la vérité», comme l'indiquait un tract du syndicat étudiant UNI. «Le politiquement correct, ce sont des principes, et bien sûr, un principe moral: l’idée qu’on peut établir des rapports sociaux plus égalitaires à travers le langage, confirme la philosophe Sandra Laugier, professeure (?) à l’université Panthéon-Sorbonne. C’est mal perçu parce que cela peut ressembler à une moralisation des rapports sociaux, alors que c’est juste une question éthique et politique».          Vous venez de lire une défense «abracadabrantesque» du marxisme culturel par des marxistes culturels particulièrement «abscons».
Aux USA, il a existé une véritable secte d'inspiration communiste et antiraciste. Le Temple du Peuple. (Peoples Temple) une secte fondée par le fameux «révérend» Jim Jones en 1953, à Indianapolis, aux États-Unis. En 1951 et c’est très peu connu, Jones avait été affilié au Communist Party USA. Cette même année, il décide d'étudier le droit et déménage pour ce faire à Indianapolis. En avril 1952, il change d'avis : il veut finalement devenir pasteur. En juin 1952, Jones commence un stage de pasteur étudiant à la Somerset Methodist Church, qui se situe dans un quartier blanc défavorisé d'Indianapolis. En septembre 1997, au cours d'une interview, il affirmera avoir voulu infiltrer l'Église comme meilleur moyen de prouver son marxisme et ben ça alors qui l’eut cru. Quand je vous le dit que le marxisme est une religion ! En 1960, la secte se rallie à la confession protestante de l'Église chrétienne des Disciples du Christ. Elle déménage ensuite en Californie, d'abord à Ukiah puis à San Francisco. Dans chaque ville, Jones recrute des démographies différentes : d'abord des familles majoritairement blanches, puis des étudiants blancs utopistes et ayant reçu une instruction poussée, enfin la plus grande partie de ses fidèles, des habitants Noirs de milieux défavorisés, dont beaucoup d'anciens accros à l'héroïne traités dans le centre de désintoxication régi par le Temple du Peuple. Jones affirme être la réincarnation de Moïse et de Lénine (Oui, les deux mon général, une sorte de petit Jésus soviétique), et insiste souvent sur le fait que les personnes qui ne donnent pas tous leurs biens et toute leur énergie au Temple du Peuple seront réincarnés en une créature inférieure, comme une amibe. Les actions sociales du Temple du Peuple d'inspiration communiste et antiraciste lui valent de nombreux soutiens, parmi lesquels les idiots utiles ou abrutiles distingués Angela Davis, Huey P. Newton et Jane Fonda. En octobre 1973, le conseil d'administration de l'église du peuple décide d'établir une colonie agricole au Guyana et y achète des terres. Le choix du Guyana s'est révélé facile à faire, car il s'agit une ancienne colonie britannique où l'on parle anglais, une partie de la population est noire, comme 80 % des membres de la secte, et le gouvernement est principalement socialiste. Le gouvernement est également noir, un facteur important pour Jones qui prône l'antiracisme. Dès 1973, le «pasteur» marxiste et antiraciste Jones commençait à parler de l'avenir du Temple du Peuple («Temple du Peuple» dont Jones a fait le siège d'une lutte pour l'égalité raciale et la justice sociale qu'il appela «socialisme apostolique») et commence à conditionner ses fidèles en leur parlant de l'importance de s'exiler avant d'être condamnés par une dictature américaine ou envoyés en camp de concentration pour Noirs : «Les Juifs auraient dû s'exiler, mais ils sont restés. Ils se sont dits, «Ça ne peut pas nous arriver, Dieu nous a choisis (…) Nous, les Nègres, savons bien que Dieu ne nous a pas élus».                                                                        James Warren Jones dit Jim Jones dont la communauté établie au Guyana a bien été considérée, à l'origine, comme un projet agricole communiste a été le lieu d'un massacre et finalement désignée comme l'archétype de la secte dangereuse.                                                                                                                         Jim Jones est à l'origine d'une des dérives «religieuses» les plus connues de l'Histoire ayant provoqué un traumatisme à l'échelle mondiale. Sa communauté communiste dite socialiste apostolique (qui le sait ou le dit ?) connut une fin tragique le 18 novembre 1978 à Jonestown où 908 personnes périrent par ingestion de cyanure de potassium ou assassinat.
Je ne me fais malheureusement aucune illusion ; le débriefing d’un marxiste, d’un alter mondialiste ou d’un antiraciste, s'avère particulièrement difficile et dangereux, les victimes défendant leurs oppresseurs dont il célèbre le culte. Voir la réalité, c'est recevoir en pleine gueule, les crimes commis par les sectateurs du marxisme, la totalité des crimes des régimes infernaux marxistes d’hier, d’aujourd’hui et de demain avec ses 150 millions provisoires d’innocentes victimes, se prendre plein la chetron une série extrêmement dense de réductions, confusions, amalgames, occultations et mensonges et affronter le difficile moment de celui qui sort d'une véritable secte comme le Temple du Peuple, seul, ayant rompu tous liens avec sa famille et ses proches, au nom du culte politiquement correct.                 On parle de «syndrome de Stockholm» pour décrire cette étrange complicité entre les otages et leurs gardiens. Dans ce qui nous occupe. Il faudrait plutôt parler de «syndrome de Moscou».
Et puis maintenant que nous avons posé la réalité de la religion séculière marxiste, de ces avatars «antiracistes» et de la liberté de son culte, qu’en est-il de la liberté de son prosélytisme à l’instar des autres libertés, celle de convaincre son prochain qui trouve sa limite dans la liberté de conscience de l’autre. La Cour européenne nous dit que «dans une société démocratique où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté religieuse de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun». Les juges de Strasbourg, ont considéré qu’il fallait distinguer le témoignage chrétien du prosélytisme abusif : «Le premier correspond à la vraie évangélisation qu’un rapport élaboré en 1956 dans le cadre du Conseil œcuménique des églises, qualifie de mission essentielle et de responsabilité de chaque chrétien. Le second en représente la corruption ou la déformation. Il ne s’accorde pas avec le respect dû à la liberté de pensée, de conscience et de religion d’autrui». Et la Cour définissait le prosélytisme abusif dans les termes suivants : «une activité offrant des avantages matériels ou sociaux en vue d’obtenir des rattachements à une église, ou exerçant une pression abusive sur des personnes en situation de faiblesse» en d’autres termes, si tenter de convertir autrui est autorisé, en revanche, cela ne doit pas s’accompagner d’une contrainte physique ou psychologique. Il en est ainsi de l’infraction visée par l’article 31 de la loi de 1905 qui n’est constituée que si les agissements répondent à l’une des qualifications mentionnées par le texte : voies de fait, menaces, abus d’autorité, machinations, artifices coupables ou corruption. C’est pourquoi pour le CTECNA, il faut de toute urgence dissoudre le MRAP.
Mais, car il y a un gros MAIS ! Désapprendre est plus que difficile. Par désapprendre, il faut comprendre oublier un savoir de manière intentionnelle afin de le remplacer, souvent, par un autre savoir, plus actuel et pertinent.
Désapprendre des savoirs c’est plutôt simple. C’est surtout désapprendre des croyances qui se montrent très difficile.
En réalité, il arrive à un certain point où ce que nous prenons pour des savoirs sont en fait des croyances. C’est la pire chose qui soit.
Faire passer des croyances pour des savoirs, voilà le rôle des altermondialistes, des merdiatocrasseux marxistes culturels, des «militants» antiracistes du MRAP se prenant pour des «intellectuels». La croyance n’est pas un savoir. Considérer comme vérité ou vraie une thèse ou hypothèse en étant hermétique aux faits ou à l’absence de faits, les confirmant ou infirmant, voilà la définition d’une croyance.
Sur la forme : Le marxisme, le socialisme, le stalinisme, les Partis communistes nationaux et leurs satellites alter mondialistes ou «antiracistes» du style MRAP fonctionnent comme l’Eglise catholique, à coup de dogme et de bulles que les «idiots utiles» (le mot est de Lénine) comme les journalopes de la presse subventionnée à 100% relayent.
Sur le fond : exemple de Sartre («Sartre décrétait dans la Critique de la raison dialectique la vérité du Capital, il la déclarait à ce point translucide que tout commentaire en affaiblirait l'évidence ou la pureté» - R. Aron, «La lecture pseudo-structuraliste de Marx » (1967), I, dans Marxismes imaginaires) ; sans oublier le fameux : «Il ne faut pas désespérer Billancourt» -  Jean-Paul Sartre (1905-1980), «d’après» Nekrassov, créé au Théâtre Antoine, 1955.
Joseph Schumpeter dans Capitalisme, socialisme et démocratie, (1942) écrira : «Sous un certain aspect important, le marxisme est une religion. A ses fidèles il offre, en premier lieu, un système des fins dernières qui donnent un sens à la vie et qui constituent des étalons de référence absolus pour apprécier les événements et les actions ; de plus, en second lieu, le marxisme fournit pour atteindre ces fins un guide qui implique un plan de salut et la révélation du mal dont doit être délivrée l'humanité ou une section élue de l'humanité. Nous pouvons préciser davantage : le socialisme marxiste appartient au groupe des religions qui promettent le paradis sur la terre».  
Avec ce constat, les croyances sont donc des obstacles naturels aux savoirs.
Les savoirs sont réfutables, temporaires, incomplets et certainement pas absolus. Il faut les prendre et les transmettre comme tels. Ils représentent ce que l’on sait et la plupart du temps on ne sait pas grand-chose !
Les croyances ne sont pas des savoirs. Ils ne peuvent donc être placés sur un même plan.
Si nous ne les remettons pas en question, elles deviennent des croyances par définition. Elles représentent ce que l’on croit. Autrement dit, la foi.
Emmanuel Terray un anthropologue français marxiste maoïste d’ultra gauche un homme à la «foi» sans faille qui se dit «persuadé» d'une renaissance du communisme, «volonté d’une société juste, fraternelle et égalitaire». Terray est quand même réaliste, dans son essai : La métaphore à propos, page 32, il écrit parlant du marxisme: «en un sens à la fois lévistraussien et sorélien : machine à penser et aussi expression des convictions d'un groupe dans un langage mobilisateur. A ses partisans, il propose à la fois une logique, une interprétation globale du monde, une éthique et une praxéologie : exactement ce que chrétiens et musulmans trouvent dans leurs Ecritures et leurs traditions respectives».
Page 46,  Emmanuel Terray enfonce le clou : «Le communisme s'est donc transformé en religion séculière, et cette désignation est bien davantage qu'une métaphore, comme une comparaison rapide entre l'Eglise et le Parti pourra nous en convaincre. Tout d'abord, l'une et l'autre se réclament d'une vérité posée comme absolue : qu'elle tienne ce caractère, dans un cas d'une révélation divine, et, dans l'autre, d'une découverte scientifique (monsieur Terray a fait l’école du rire), est en la circonstance secondaire : ce qui importe, c'est la possession d'un corps de doctrine soustrait à la discussion et à la critique : tel est le levier qui va permettre de soulever le monde. Par ailleurs, cette vérité absolue est confiée comme en dépôt à une minorité de gardiens ; ils exercent sur elle une sorte de monopole ; eux seuls sont autorisés à la répandre, à l'interpréter, le cas échéant à l'amender ou à la modifier. Enfin, la vérité originaire engendre à la fois une théorie -une description et une explication du monde, de la société et de l'histoire-une éthique- une hiérarchie des valeurs - et une morale - un code de comportement ; avec ces trois éléments, elle offre à l'individu tout ce qu'il lui faut pour penser et pour agir, sans qu'il soit jamais obligé de chercher ailleurs, c'est-à-dire à l'extérieur des limites du système».
Les croyances sont très dures à désapprendre, particulièrement le marxisme, le communisme, l’altermondialisme, l’antiracisme etc.
Mais soyez rassurés «amis» communistes, ne désespérez pas comme chez les membres de la secte du Temple solaire vous pouvez aussi comme l’alcoolique et le fumeur retrouver votre libre arbitre.
Vous pouvez désapprendre et ce en comprenant deux choses le sens et la relativité. Désapprendre une croyance surtout allah con peut prendre du temps. Il existe deux manières simples mais pas forcément faciles pour désapprendre plus rapidement. La première consiste à introduire du sens et la seconde, de la relativité.
Le sens
La meilleure manière d’introduire du sens dans ce que l’on fait ou ce qu’on dit, c’est certainement de se poser la question :
Pourquoi ?
Pourquoi je fais ça ?
Pourquoi je pense ça ?
Cela permet de revenir aux sources de notre apprentissage et découvrir s’il est biaisé. En effet, expliciter, avec ces propres mots, ce qui fonde nos évidences est la meilleure manière de savoir si l’on est sous l’emprise de l’effet Dunning Kruger. L’effet Dunning-Kruger est un biais cognitif dont soufre une grande majorité de marxistes comme les antiracistes et autres altermondialistes se prenant pour des intellectuels critiques (suivez mon regard) selon lequel moins on en sait sur un sujet, plus on surestime notre connaissance de ce sujet. En poursuivant le raisonnement, ce que l’on sait au final tient plus des croyances que des savoirs.
Ce biais est également appelé biais de surconfiance. Charles Darwin fut le premier à en avoir l’intuition. Selon lui, l’ignorance engendrait plus fréquemment la confiance en soi que ne le faisait la connaissance. Par exemple je me suis aperçu que plus je sais ou croit savoir, plus je doute.
Il y a des effets subsidiaires à ce biais :
La personne ignorante tend à surestimer ce qu’elle sait, par exemple un antiraciste croit savoir que les races n’existent pas à l’intérieur de l’espèce humaine hors il lui suffirais de consulter dans La grande Encyclopédie Médicale aux Éditions Unide de 1981 (Paris, France) et à l’article Les races humaines, pages 1268 à 1270 ou ce brave homme pourra lire cette phrase : «Du point de vue zoologique, l’espèce humaine appartient à un seul genre ; tous les hommes ont en commun un certain nombre de qualités biologiques et intellectuelles et ils peuvent avoir une descendance avec n’importe quel autre spécimen du genre. À l’intérieur du genre, on peut distinguer un certain nombre de groupes ayant un ou plusieurs caractères distincts. Ces groupes sont les races ou «espèces». 
La personne ignorante ne parvient pas à reconnaître ceux qui savent véritablement, ainsi l’antiraciste va traiter de «raciste» celui qui comme moi affirme : Les races existent ! L’ignorant «antiraciste» ne comprenant pas que ce qui ferait soi-disant le «raciste» c’est son affirmation de différences entre races (qui existent aussi bel et bien, une preuve ici de même que  des gens bien intentionnés qui nient la possibilité de différences biologiques substantielles entre les populations humaines se recroquevillent dans une position indéfendable, qui ne survivra pas à l’assaut de la science. Il n'est d'ailleurs plus possible d'ignorer les différences génétiques entre les races). Mais de toute façon c’est fait et je conseille fortement aux «antiracistes» la lecture de cet article : «Inégalités de QI entre les races humaines» publié le 1 octobre 2016 par monsieur Henry de Lesquen.
Et pendant que l’on y est, si on parlait un moment d’antisémitisme ?
Le 27 Octobre 2015 le Forum de Coordination pour la Lutte Contre l’Antisémitisme, Forum National Israélien qui suit de près les incidents antisémites dans le monde entier et qui coordonne  la lutte contre ce phénomène avec les divers organismes gouvernementaux,  de même qu’avec des organismes et organisations
juives et autres dans le monde. Titrait :
La Cour de cassation confirme que le BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions) est illégale !
Ceci était confirmé par monsieur Pascal Markowicz, Avocat à la Cour, Membre du Comité Directeur du Crif, Président Exécutif du Comité Français de l’Association Internationale des Juristes et Avocats Juifs.
Les membres islamomarxistes du BDS (BDS est une campagne soutenue en Alsace par: association France-Palestine solidarité Haut-Rhin (AFPS 68), association REDA (de la dynamique présence musulmane, il n’y a donc aucun doute sur la collusion entre les musulmans et les marxistes, le terme d’islamomarxistes est donc totalement justifié, n’en déplaise aux marpistofurieux alter mondialistes et autres antiracistes antisémites), justice pour la Palestine (Section Alsace), parti communiste se disant ignominieusement français (PC(F)-68), Les Verts (des marxistes Staliniens) qui étaient poursuivis, les condamnés sont : Leïla ou Laila Assakali, Yahya ou Yahia Assakali, Habiba El Jarroudi épouse Assakali, Assya Ben Lakbir, madame Farida Trichine Sarr ( Cadre EDF) de «Justice» pour la Palestine Alsace, Farida Trichine est une ancienne militante du Parti Socialiste de Mulhouse , madame Djamila Sonzogni, (conseillère Régionale Alsace, conseillère municipale de Mulhouse de la formation d’ultra gauche EELV), Sylviane Mure, Aline Parmentier (Secrétaire départementale du Parti communiste d’Alsace, Madame Parmentier est une «femme politique» marxiste stalinienne, membre du conseil national du PC s’affublant du nom de Français, Mulhousienne de Zillisheim, Aline Parmentier, 56 ans est née le 30 Janvier 1955, cette coiffeuse capillicultrice de formation, qui, dès les élections de 2007 ne c’était déjà plus présentée sous la bannière purement communiste dans la 5e circonscription du Haut-Rhin (Mulhouse) mais sous celle de la gauche antilibérale (Sic). Le collectif mulhousien de la gauche antilibérale est composé du PC-(F), des Alternatifs (Coran continu ou alternatif ?), de militants de la décroissance (comme Anders Breivik ?), syndicaux et associatifs, précisait-elle. Dans le cadre d'une législative, cette configuration était une première chez les communistes, qui faute d’électeurs et ne voulant plus couper les cheveux en quatre, recrutaient très large et aujourd’hui tiennent des discours carrément antisémites pour se gagner un électorat de «jeunes» et de musulmans ! Les nouveaux «prolos» ! Ne doutons pas un seul instant que l’idéologie nauséabonde de cette dame Parmentier, qu’elle nous annonce comme «anti libérale» est en fait celle la plus ignoble du monde, l’idéologie nauséabonde marxiste avec pour corollaire son antisémitisme forcené et son application nidoreuse le communisme. Le 23 juin 2007 dans une  intervention non prononcée (Mais publiée sur le net)  la «camarade» Parmentier déclarait : «Dans la période de résistance à la droite et de reconstruction du Parti, il est nécessaire que les militants (es) soient bien formés (ées) et ancrés dans la vie sur de solides assises idéologiques marxistes». L’inénarrable tovaritch, l’apparatchik Georges Marchais en son temps avait dit que le bilan du communisme était globalement positif. Voyons ce bilan tragique d’un peu plus près : la dictature stalinienne a fait à elle seule plus de  20.000.000 de morts. L’Afrique avec le Zimbabwe, le Cambodge, la Corée du Nord, le Tibet : 120.000.000. Tel est le bilan provisoire, car le communisme continue de tuer. «Le communisme tuait avant que le nazisme tue, il tuait pendant que le nazisme tuait, il continue de tuer pendant que le nazisme ne tue plus» disait Soljenitsyne. Mais pour tous ces morts pas de devoir de mémoire, on n’a même pas prévu des listes d’attente), Dans l’association France-Palestine solidarité Haut-Rhin (AFPS 68),il y avait aussi Mohammad Akbar (Citoyen Afghan et «travailleur» social en France, membre de l’Association REDA, (Association Réflexions, Échanges et Débats en Alsace, dite aussi la «dynamique» présence musulmane) Muhammad est l’ami de l’alsaturc Zeynel Cekici, Web master du site mensonger Alter Info site notoirement Islamo-marxiste, Cekici le mulhousien antisémite musulman révisionniste multi récidiviste de la haine raciste. L’alliance Islamo Marxiste antisémite est encore une fois mise en évidence n’en déplaise aux intellectuels critiques auto proclamés. Il y a aussi  Jean-Michel Baldassi, Maxime Rouleau, Jacques Ballouey d’Europe Écologie les Verts 68 et Henry Eichholzer (Membre de l’éducation Nationale au casier judiciaire chargé, professeur d’histoire (Laquelle ?) Henri Eichholzer est un Mulhousien activiste de l’AFPS (Association France Palestine Solidarité 68), émanation directe du Parti Communiste dit Français. Après plusieurs mois d’enquête le CTECNA a trouvé que Monsieur Eichholzer avait déjà été condamné à 4 ans de prison par un tribunal de district de Tel-Aviv le 14 Mars 1984 pour avoir collaboré avec le FPLP pour préparer un attentat terroriste contre la tour du gouvernement à Tel Aviv, le FPLP est une organisation  placée sur la liste officielle des organisations terroristes antisémites), nous somme au regret de dire qu’aucun média n’en a fait état à ce jour. En première instance ces porteurs de haine marxistes et islamomarxistes avaient été relaxés le tribunal n’étant pas au courant du pedigree de certains de ces activistes qui ont été finalement condamnés en appel à payer 12.000 € d’amende pour incitation à la haine raciale antisémite…
Cette décision est fondée sur la loi française relative à la liberté de la presse, qui interdit  la discrimination, la haine ou la violence envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine, de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion.
Ici un article de votre serviteur repris par Samuel Le Gac le 26 mars 2014 sur Etz Be Tzion : Fille de Sion ils veulent t'exterminer
La belle et bonne justice des doigts de l'homme dans le Centre d'Union Libéral de la cour d’appel de Colmar confirmera, le jeudi 9 Janvier 2014, ma condamnation à un Euro d’amende ! Lire aussi ici. Michel Garroté rédacteur en chef de www.dreuz.info rappellera ici un de mes textes suite à cette odieuse affaire : «La libération de la parole raciste par ces nidoreux militants marxistes culturels, la stigmatisation de l’autre (Le français de confession Israélite injurié, insulté, traité de «colon», «d’assassin d’enfant», «d’étranger», etc..) par des personnes, organisations marxiste, voire même des ONG, conduit immanquablement à l’exécution de tels actes (Insultes antisémites, agressions physiques, mitraillages de lieux de cultes, assassinats d’enfants etc.) par des individus qui trouveront des prétextes et des excuses à leurs pulsions/passages à l’acte raciste antisémite. Je souligne l’exceptionnelle gravité des faits : maintenant, l’injure antisémite et le meurtre d’enfant juifs est avéré. J’appelle tous les Français à réagir et à exiger des pouvoirs publics une autre politique : Lutte efficace contre les organisations racistes tel le Front de gauche (Aujourd’hui les insoumis), le NPA, le PC dit F, le PIR, EELV etc. et condamnation exemplaire des propagateurs de la haine raciste. Et fin des politiques et déclarations qui encouragent l’antisémitisme et le rejet de l’Autre dans une surenchère qui menace les valeurs même de la République». 
La personne ignorante, notamment l’altermondialiste, le militant du MRAP ou l’antiraciste ne parvient pas à évaluer son niveau d’ignorance, je lui conseille de ce fait la lecture de La très dérangeante vérité de James Watson Voir ici.: Réalisme racial et illusion moraliste. (L’illusion moraliste étant très assimilable à du marxisme culturel). Le prix Nobel James Watson est un des plus grands biologistes du 20ème siècle.
Si la personne notamment marxiste est amenée à améliorer, de manière significative, ses connaissances, elle pourra alors reconnaître et accepter ses lacunes antérieures, mais bon, faut pas rêver, le QI d’un marxiste se rapprochant beaucoup plus de celui d’une mouche à merde que de celui d’un physicien nucléaire. Notre bon maître Charles Maurras dira : «Quelques révolutionnaires purement oratoires et mystiques (avec les marxistes culturels et autres militants du MRAP on est servi) peuvent estimer que fable ou vérité c’est toujours bien assez bon pour le «peuple». Nous croyons que le peuple n’a pas des besoins moins exigeants que l’élite (surtout quand elle est auto proclamée et se prend pour des intellos critiques). Il lui faut de la vérité comme du pain. Le mensonge historico-politique vous empoisonne aussi surement que le cyanure de potassium».
Prenons le cas de monsieur Besançon lui aussi un grand intellectuel critique Français, membre de l'Institut, directeur d'études à l'EHESS, à l'Institut d'histoire sociale et à la Nouvelle Initiative Atlantique qui dira : «J’ai quitté le Parti communiste après une véritable intoxication idéologique».                                  Voilà un homme qui a consacré l’essentiel de sa carrière à trouver les clés de l’énigme soviétique et totalitaire marxiste. Ancien communiste repenti, c’est avec clarté et franchise qu’il répond à une question fondamentale : «Quel a été à vos yeux dans votre carrière le moment essentiel ?».
Lorsque Alain Besançon décida, en claquant la porte du Parti Communiste en 1956, de consacrer ses travaux à l'histoire de la Russie, il s'engagea autant dans le procès d'une idéologie criminelle que dans celui d'une génération leurrée par une «intoxication» intellectuelle.
«Il y a un moment où le train s’arrête et où il faut descendre. Si on ne descend pas, on risque d’être bloqué, le train reprenant de la vitesse. C’était de l’intoxication idéologique. Personne ne nous disait que c’était idiot ou très mal. À Sciences-Po où j’étais, le marxisme était enseigné par un communiste, l’Histoire de la Russie par un communiste, la géographie par un communiste».
Démarche atypique pour un historien que d'essayer de comprendre ce qu'il lui est arrivé. Tout en abordant la question rationnellement, Alain Besançon n'en développe pas moins des analyses métaphysiques et théologiques de ces deux énigmes du mal qu'ont été le communisme et le nazisme, en rappelant que tout totalitarisme est d'abord gnostique.
«Le communisme pose des questions métaphysiques auxquelles il faut répondre. Et ceux qui ont bien compris le communisme étaient en général d’anciens communistes, comme Souvarine, ou des gauchistes, comme Orwell, et jamais des gens de droite». Ouf je ne suis pas de «droite» ni de «gauche» non plus, quoique j’ai eu un jour ma carte de la CGT (Il faut dire contraint et forcé dans la marine marchande).
Introduire du sens avec le «Pourquoi ?» est, selon moi, un exercice habile pour faire progresser ses connaissances et réduire ses croyances.
Faisons un test simple :
Pourquoi le communisme n'est pas un système égalitaire, mais totalitaire qui ne pouvait engendrer que des Etats criminels.                                                                         Si vous êtes en mesure de l’expliquer, sans recourir à internet tout de suite, bien sûr, alors vous savez. Sinon, c’est une croyance. Par contre, vous renseigner à ce sujet et le retransmettre le rendra à nouveau  En définitive, donner du sens permet de se réattribuer le savoir.                                                                                              Venons-en maintenant à la relativité.
Dans le dictionnaire de la langue philosophique de Paul Foulquié et Raymond Saint-Jean, ils  décrivent la relativité, entre autre, comme le caractère attribué à la connaissance humaine parce qu’elle est imparfaite, limitée. Par exemple : «l’idéologie marxiste a fait 100 million de morts».                                                                 Comme je l’énonçais précédemment nos savoirs sont tous réfutables. On sait bien que le chiffre de 150 millions d’innocentes victimes du communisme se rapproche pour l’instant bien plus de la vérité. Je dis pour l’instant car selon l’expression de Soljenitsyne «Le communisme tuait avant que le nazisme ne tue, il tuait pendant que le nazisme tuait, et il n’a cessé de tuer alors que le nazisme ne tuait plus».
Soljenitsyne n’avait pas encore connu les dizaines de millions de morts de la démence maoïste qui continue dans les laogais, le génocide cambodgien et toutes et son génocide des blancs et de l’ethnie Ndebele, les massacres du Darfour et du Congo, de l’Extrême-Orient à l’Ethiopie.                             Il existe une manière que l’on vient de voir pour mettre de la relativité dans nos savoirs. Elle consiste à terminer toutes assomptions par l’adverbe de temps «… pour l’instant».                                                                     Faire systématiquement cet exercice, c’est le meilleur moyen de se préparer à désapprendre n’importe quel savoir.                                                                              S’il est vrai aujourd’hui que les marxistes ont fait «pour l’instant» 150 millions de morts sur la terre, il peut ne plus l’être demain et arriver très rapidement aux 200 millions ! Car le communisme continue de tuer tous les jours.                                                                                       Par ailleurs, je trouve que cela nous projette dans des hypothèses alternatives, créatives et originales. Pour reprendre l’exemple précédent : Les races existent !… pour l’instant.                                                                          Le «pour l’instant» nous invite à imaginer d’autres systèmes ou de nouvelles façons de les concevoir.       Tiens prenons encore un exemple. Plusieurs chercheurs contemporains définissent l’homme de Neandertal comme une  «sous-espèce» d’homme moderne et l’appellent  «Homo sapiens neandertalensis». Pour l’instant les découvertes témoignent que les Néandertaliens enterraient leurs morts, façonnaient des instruments de musique, et avaient des affinités culturelles avec l’Homo sapiens qui vivait à la même période. Pour mieux le préciser, les Néandertaliens sont une race «robuste» qui a simplement disparu de nos jours et dont pour l’instant on en ignore la raison.                Mais avec les marxistes il existe un vrai problème comme avec les antiracistes et les alter mondialistes distingués, c’est évidemment qu’ils sont persuadés d’être des «scientifiques» ! Certains complices objectifs des pires crimes contre l’humanité jamais commis sur la planète vont même jusqu’à se qualifier «d’intellectuels critiques».  Pour l'historien Gérard Noiriel, les intellectuels ou prétendus tels adoptent nécessairement une posture critique à l’égard du pouvoir. Il nie la vieille tradition des intellectuels de droite. Ces penseurs sont rangés dans la catégorie des faussaires, des imposteurs, des chiens de garde.                      Karl Popper, dans son livre The Logic of Scientific Discovery, met en évidence le fait que la science ne nous apporte pas «La Vérité», selon lui elle ne peut rien prouver (de façon définitive). Tout ce que la méthode scientifique peut faire c'est de réfuter une proposition ou une théorie, ainsi il est faux de dire que telle et telle chose a été «prouvée scientifiquement». Selon la perspective empiriste il apparaît que le marxisme ne peut être qualifié de scientifique, la raison en est assez simple; c'est que la théorie marxiste n'est pas le produit d’expérimentations empiriques et elle ne peut pas être réfutée par de telles expériences.                         Nonobstant il m'apparaît possible d'apercevoir un courant «scientiste» dans la petite et ridicule pensée marxiste, j'aimerais mettre l'accent sur le fait que ceci n'a rien de particulier au marxisme lui-même. Que l'on se tourne vers les fameuses «Sciences sociales», l'on constate à peu près la même tendance. Pourquoi ne pas dire plutôt les études sociales? Il semble que le prestige de la méthode scientifique en sciences naturelles est tellement monté à la tête de certains marxistes qu'ils sont victimes de l'illusion que seule la Science (avec un grand S) conduit à «la Vérité». Maintenant que l'on sait que la science n'est pas possessive de «la Vérité», pourquoi ne pas considérer sa méthode (observation, théorisation et expérimentation) comme un moyen d'acquérir des connaissances parmi tant d'autres ? Pour ce qui est des prétendues «Sciences sociales», on ne s'est jamais trop préoccupé à suivre la méthode scientifique, pourquoi ne pas laisser tomber pour l’instant chez les marxistes les prétentions à faire de la Science ?


Essai d’ethnologie politique en forme de bonum factum.
Par Michel Alain Labet de Bornay



2019. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). Trade Mark. Tous droits réservés.
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