samedi 8 juin 2019

Le féminisme et les tueuses en série.




Je n'en suis pas à mon coup d'essai en effet je vous ai déjà beaucoup parlé sur ce blog du marxisme culturel source principale des maux dont souffre notre société. 
Comme Pat Buchanan je vois dans l’École de Francfort (sans oublier Lénine et Willy Munsenberg) la source du marxisme culturel et la source de quasiment tous « les problèmes, dont notamment le déclin et l’islamisation de l’Occident ». Cliquez ici
 
Un des problèmes majeurs est le féminisme, n’en déplaise à certaines……  Dans un de mes précédents articles : Cliquez ici. J’avais commencé d’en justifier. Extrait : « De plus en plus d'experts qui ont étudié le féminisme en détail reconnaissent maintenant que le féminisme existe depuis plus de 100 ans et fait partie du fameux «progressisme» ou communisme de placard  que l’on appelle maintenant marxisme culturel. Ce marxisme culturel vise avant tout la destruction de la famille, le remplacement du père par l'état, rendre un maximum de femmes dépendantes de l'état, mettre un maximum de femmes sur le marché du travail, endoctriner les enfants dans les garderies et les écoles de l'état (Note : Voir la loi du genre et autres absurdités, enseignement du sexe et de la pornographie, de l'homosexualité et de la transsexualité aux enfants. (György Lukács, né György Bernât Löwinger, deviendra monsieur le baron Georg Bernhard Lukacs von Szegedin. En 1917, notre «baron» juif érev rav adhère au marxisme et entre par la suite au Parti communiste de Hongrie. Il participe très activement à la République des conseils de Hongrie de 1919 (dirigée par Béla Kun, dont il est commissaire à l'Instruction et le premier pornographe de l’histoire marxiste). Avec Tibor Szamuely, Lukács devint l'idéologue et l'exécuteur de «la terreur rouge») soit une transgression par apport à la morale traditionnelle, un bonbon pour attirer les gogos et une autre source de clivages (homos et hétéros) etc...) » L’intérêt principal pour nos marxistes culturels de gauche comme de droite de ce «féminisme» est la substitution de la famille patriarcale par la famille monoparentale, voire homoparentale, afin d'éliminer l'influence néfaste du mâle blanc sans oublier la destruction de l’éducation et la création d’une novlangue pour crétiniser et ôter les repères.

Nonobstant l’hérésie marxiste culturelle qui anime depuis une septantaine d’années nos politiciens et politiciennes ripoublicains et caines, l’académie française, fidèle à la mission que lui assignent ses statuts depuis 1635, a tenu à rappeler les règles qui s’imposent dans notre langue pour la formation et l’emploi des termes et des noms féminisés de métiers, fonctions, grades ou titres.

En France c’est dans l’ajustice de s’pays des doigts de l’homme dans le centre d’Union Libéral que la dictature du prolétariat marxiste culturel s’exerce avec beaucoup de force. Mais si « la » juge a des assesseurs ils n’ont pas encore d’équivalent féminin. Peut-être un moyen d’asseoir son autorité ? Et si la fonction de procureur/e attire de plus en plus de femmes, celle d’huissier ne semble pas les séduire. Pas de féminin à huissier.
L’expert a aussi son équivalent féminin mais dire d’une femme qu’elle est experte peut prêter à confusion surtout pour les travailleuses de Cogolin ou de Saint Claude !…
Du côté des justiciables, il n’est par contre pas question de féminiser les mots : assassin, escroc, aigrefin, filou… Une femme ne saurait être accusée de ces petits défauts. C’est tout juste si, de temps en temps, les tribunaux sont amenés à juger une voleuse ou, très rarement, un « escroc en jupons » !
Que dire de madame le député socialiste Sylvie Andrieux ; qu’elle est une criminelle en col blanc ou plus simplement une voleuse ? Notons qu’elle n’est plus ni au parti socialiste ni à l’assemblée Nationale.


Depuis peu certains hommes exercent la profession de sage-femme ! Il est curieux que ceux-ci ne revendiquent pas de s’appeler sages hommes !

Ah et puis il y a les « féminisations » tombées en désuétude, comme par exemple doctoresse pour docteur …. Celle-là elle est pour Anne Marie ! Ça c’était en 2014, aujourd’hui il paraîtrait qu’il n’existerait pas de femmes tueuses en série ! Du moins c’était ce qu’il ressortait d’une conversation ou je disais que l’homme était une des plus monstrueuses saloperies peuplant la planète terre. D’où on me rétorqua que oui pour les hommes mais pas pour les femmes qu’il n’existerait pas de femmes tueuses en série.

Et bien j’ai été voir et là j’ai vu ! 

Ce sont les américaines qui dominent avec 21 tueuses en série américaines‎ suivies des 5 Tueuses en série françaises‎ (youpi vive la France pour la médaille d’argent), puis il y a 3 allemandes, 3 italiennes et 3 britanniques, 2 belges, 2 hongroiseset 2 mexicaines les canadiennes, danoises, égyptiennes, espagnoles, indiennes, japonaises‎, russes‎, suédoises arrivant en dernière position avec une seule tueuse en série.
Vous avez en cliquant ici une liste de tueurs en série tout sexes confondus. Les tueurs en série ne doivent pas être confondus avec les tueurs de masse (ou là, les hommes se distinguent particulièrement et ou on ne trouve qu'une femme, Olga Hepnarova, ni avec les tueurs à la chaîne à ne pas confondre avec les tueurs des tueries en milieu scolaire ou on trouve aussi une femme, Brenda Ann Spencer : une adolescente de 16 ans qui tua le concierge et le directeur de son école et blessa 6 élèves. Peu avant son arrestation, elle déclara «je n’aime pas les lundis. Cela a animé ma journée», ce qui a inspiré la chanson I Don't Like Mondays des Boomtown Rats.
      
Michel Alain Labet de Bornay





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2 commentaires:

  1. Note sur Madame Andrieux qui est une socialiste (comme Adolph Hitler) et une marxiste culturelle notoire !
    Selon la justice, madame Andrieux a détourné plus de 740 000 euros via le financement d' «associations» fictives » entre 2005 et 2009. Le but recherché par l'ex vice-présidente de la Région était soi-disant de conforter son assise politique dans la 7e circonscription, celle des quartiers Nord de Marseille au très fort potentiel musulman. Aujourd'hui en 2019 l'ex-députée PS du Conseil Régional Sylvie Andrieux, condamnée le 22 mai 2013 à un an de prison ferme et cinq ans d'inéligibilité, est rejugée devant la Cour d'Appel d'Aix-en-Provence.
    Franc-maçonne, comme Anders Behring Breivik elle fut membre pendant vingt ans de l'ordre maçonnique mixte Le Droit humain jusqu'en 2018 qu'elle a quitté en application de la règle interne de l'obédience qui veut que l'on démissionne lorsqu'on fait l'objet d'une procédure judiciaire.Le 8 décembre 2016, madame Sylvie Andrieux démissionne de son mandat de député.
    Sa peine de un an d'emprisonnement ferme a été aménagée ab initio (lors du prononcé même de la condamnation) par la Cour d'appel. Cette dernière a ainsi accordé à la condamnée le bénéfice d'un placement sous surveillance électronique (PSE), plus connu sous le nom de « bracelet électronique ». Conformément à l'article 723-15 du Code de procédure pénale, l'ancienne élue doit désormais être convoquée par le juge de l'application des peines (JAP), afin que soit mise en œuvre la phase concrète du PSE octroyé par la Cour d'appel.
    Toutefois l’affaire de la voleuse socialiste (pléonasme) Sylvie Andrieux ne s’arrête pas là il reste encore l'affaire administrative de sa villa construite illégalement (tu m’étonne !)), qui pose une problématique singulière pour le dispositif de surveillance électronique. En l'espèce, l'ancienne élue possède un ancien cabanon qui en réalité est devenue une villa de bord de mer à Marseille. La Villa Mari Jo de l'ancienne élue est une habitation illégale, car elle empiète sur le domaine public maritime (DPM). La condamnée qui est administrativement « sans titre, ni droit » de propriété devrait donc être surveillée électroniquement dans une habitation illégale, censée être détruite. Des articles de presse publiés les 6 et 7 décembre 2016, en font état.

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