mardi 17 décembre 2019

La Liste Partie 7



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La Liste est déjà finie ?
Snif…
Rassurez-vous ici commence une autre LISTE encore plus belle, la bolchosphère !

De plus j’aimerais avant de nous quitter vous parler un instant d’une autre péripétie du marxisme culturel qui vient de sortir, l’écriture dite inclusive.
Le langage épicène, la rédaction épicène, le langage neutre, l'écriture inclusive ou le langage dit «non sexiste» ou «dégenré» sont un ensemble de règles idiotes et d’absurdes  pratiques qui cherchent à éviter toute «discrimination» supposée (implicite ?) par le langage ou l'écriture.
Les marxistes culturels, les gauchus, les cocos, les bolchos, ont pour cela besoin de quatre des règles régissant l’idéologie marxiste culturelle.
La 4 : Destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation. En grammaire comme dans la vie, le masculin l’emportant sur le féminin il fallait que cela cesse.
La 5 : Destruction des repères culturels et moraux fondateurs en sabotant le judéo-christianisme. Même motif, même punition : « Il convenait de faire oublier d’urgence les versets 21 à 33 du chapitre 5 de la lettre de Paul aux Ephésiens : «Frères, par respect pour le Christ, soyez soumis les uns aux autres; les femmes, à leur mari, comme au Seigneur Jésus; car, pour la femme, le mari est la tête, tout comme, pour l’Église, le Christ est la tête, lui qui est le Sauveur de son corps. Eh bien! Si l’Église se soumet au Christ, qu’il en soit toujours de même pour les femmes à l’égard de leur mari».
La 6 : Utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société. D’où plus de genre !
Et enfin la 7 : Affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du  niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes.
Tout cela se fait à travers le choix des mots, la syntaxe, la grammaire ou la typographie. On dit qu'une expression est épicène si elle s'applique indifféremment à une personne masculine ou féminine. Par exemple, le terme secrétaire est épicène. Un style épicène tend à éviter une discrimination, perçue par des abrutis complets comme étant forcée par les normes imposées de la langue, entre les genres masculin et féminin. Ce style inclut la féminisation des titres (Par exemple un sapeur-pompier, une sapeuse pompière. Un officier marinier, une moule marinière, un restaurateur, une retaurateuse), les dénominations neutres, et une désignation présumée correcte des personnes psychiatriquement anormales dites transgenres. Quant à l'écriture inclusive, sa portée est plus large : outre le «genre», elle vise aussi à éviter d'autres discriminations supposées liées au handicap, à l'âge et à l'origine ethnique (ta sœur ?).
L'usage et la réception publique du langage épicène et de l'écriture inclusive varient selon les langues et les pays. Au Québec, la rédaction épicène est recommandée par l'Office québécois de la langue française (OQLF) depuis 1981, (situation similaire à la Suisse). En France, le langage inclusif suscite des critiques et une opposition de longue date de l'Académie française.
Personnellement je n’en ai rien à battre de leur connerie marxiste culturelle et je m’en tiendrai à la déclaration de l'académie Française sur l'écriture dite inclusive ! Ci-après un extrait de cette déclaration : « (…) Plus que toute autre institution, l’Académie française est sensible aux évolutions et aux innovations de la langue, puisqu’elle a pour mission de les codifier. En cette occasion, c’est moins en gardienne de la norme qu’en garante de l’avenir qu’elle lance un cri d’alarme : devant cette aberration « inclusive », la langue française se trouve désormais en péril mortel, ce dont notre nation est dès aujourd’hui comptable devant les générations futures».
Le ministère de la «culture» entièrement marxiste culturel ne représente rien au niveau de la langue.
Un exemple : En 2017 le ministère de la Culture (madame Françoise Nyssen, femme «politique» gauchiste, née belge (une fois), n’a obtenu la nationalité française que dans les années 1990). C’est une marxiste culturelle pure race, féminisme qui a donné raison au fameux Conseil Représentatif des Associations Noires (une association raciste et communautariste de plus). Le mot «nègre» sera désormais banni en littérature et remplacé par «prête-plume».                                                                                 Dans un communiqué, publié jeudi 16 novembre, les nègres du Cran se félicitaient d'avoir obtenu gain de cause. Le 13 novembre 2017, le Cran a reçu une lettre de Loïc Depecker. Le délégué général à la langue française et aux langues de France indiquait à Louis-Georges Tin que la madame le ministre de la Culture avait accepté la proposition du Cran, visant à remplacer l'expression «nègre littéraire» (qui n’a jamais existée, on disait simplement «un nègre»), par «prête-plume», est-il écrit dans le communiqué. Et le petit nègre vont-ils le remplacer?  
Sachez mesdames et messieurs que pour moi et de très nombreux autres Français que le mot : «Nègre» est et restera un substantif masculin (négresse au féminin) à l'origine, synonyme de l'adjectif «noir» (du latin niger : noir). Au même titre que je regrette l’imbécile bannissement marxiste culturel du terme «tête de nègre» une délicate pâtisserie constituée de meringue enrobée de chocolat qui a fait la joie des enfants pendant des années ! De même que le champignon de type bolet (Boletus aereus) appelé cèpe tête-de-nègre le restera dans mon assiette, tout comme les papillons du nom de «Grand nègre» : le Moiré sylvicole (Grand nègre à bandes fauves), la Dryade (Grand nègre des bois), ou encore le Grand nègre berbère resterons des nègres. Le manque de culture linguistique de ces gens-là, les marxistes culturels au QI de mouche à merde est abominable, combien savent par exemple qu’en Haïti, nègre, qui se prononce «nèg» veut dire «homme» tout simplement ? Comme par exemple : «on nèg Kanada», c'est un Canadien quelle que soit sa couleur !  
                                                                                                    Et puis comme découlant de nègre, va-t-on aussi supprimer le terme «négritude» qui désigne l'ensemble des caractéristiques et valeurs culturelles des peuples noirs, revendiquées comme leur étant propres, ainsi que l'appartenance à ces peuples. Il a été créé vers 1936 par les poètes et hommes politiques français dont Aimé Césaire (1913-2008) et Léopold Sédar Senghor (1906-2001) premier Africain à siéger à l'Académie française, pour se placer du côté du sentiment des personnes de couleur noire et pour s'approprier la meurtrissure infligée par l'histoire.
Extraits ci-après : Bougnoule, Niakoué, Raton, Youpin, Crouillat, Gringo, Rasta, Ricain, Polac, Yougo, Chinetoque, Pékin, Négro, Blanc-blanc, Rouquin, Métèque, Mocco (tiens des Toulonnais), Ordure, Putain, Rital, Maquereau, Macaque, Chien, Ploume-ploume, Barbot, Bouseux, Boudin, Patate, Clodo, Fumier, Crétin, Goudou, Homo, Tata, Tapin. C’est l’hymne à l’amour ! Moi l’ nœud !
Dutronc a oublié le mot Bamboula, un terme culturel africain. Le terme vient de Ka-mombulon, kam-bumbulu, qui veut dire «tambour», emprunté aux langues «littéraires» sarar et bola, parlées en Guinée portugaise ; le terme est introduit par Michel Jajolet La Courbe, de la Compagnie du Sénégal, dans Premier voyage fait par le sieur La Courbe à la coste d'Afrique en 1685. (...) Entre 1914 et 1918, par l'intermédiaire de l'argot militaire des tirailleurs algériens, bamboula en vient à désigner une fête exubérante, notamment dans l'expression faire la bamboula. Il désigne dans un même temps un tirailleur sénégalais ce qui n’avait absolument rien de «raciste».
Notre Jacouille a aussi oublié le mot Toubab. Bon cette fois c’est du racisme anti blanc donc ça n’existe pas pour les marxistes culturels. Le mot vient pourtant de loin. Son ancêtre, toubib, emprunté à l'arabe, est relevé au Maroc au cours d'un voyage exploratoire et glosé comme «médecin». Toubab est employé en Afrique de l'Ouest, dans le sens originel de médecin ou alors, avec une nuance extrêmement péjorative et raciste, dans celui d'homme blanc (comme blanchette) Dans les années 1990, quand les racailles ou cailleras s'approprie toubab, en inventant une forme en verlan, batbou, elle ne retient que le sens fortement péjoratif et raciste antiblanc du mot. Et ce n’est que le début !  Que penser de «sapeuse pompière» ? 
Mon ami très cher Gilles William Goldnadel revient sur le passage de madame Nell Irvin Painter, écrivain assez vaine et raciste américaine, dans l'émission Quotidien, expliquant que «le blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…» (Sic). Et Gilles de nous dire : «(…) Le premier dévoiement médiatique à décrire se situe en effet le 8 février 2019 dans le cadre de l'émission télévisée à succès «Quotidien» animée, on le sait, par Yann Barthès. Celui-ci recevait madame Nell Irvin Painter, un écrivain noire américaine et auteur d'une «Histoire des Blancs». Dans un français bien châtié, la dame noire fustigea bien les blancs. À partir de sa description de Donald Trump et des nombreuses turpitudes qu'elle lui prête, elle en déduisit expressément qu'on pourrait en conclure que: «le blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…». Mon imagination est impuissante à décrire la réaction médiatique, politique ou intellectuelle si, à partir des actes reprochés à l'acteur noir américain Bill Cosby ou plus récemment encore à l'élu démocrate afro-américain Justin Fairfax, tous deux poursuivis pour viols, une personnalité blanche prêtait les mêmes turpitudes à l'ensemble des noirs (Certainement avec quelque raison puisqu'on apprend sur le beau blog de Thomas Joly que ce qu'il y a de bien avec les pays anglo-saxons, c'est qu'ils autorisent les statistiques ethniques. Et on trouve vraiment des pépites parmi celles-ci. On pourrait en rire, si ce n'était pas aussi tragique. En effet selon le département américain de la Justice, en 2005, 33,6 % des femmes blanches qui ont été violées, l'ont été par un homme noir (les noirs représentent 12% de la population US). A l'inverse aucun homme blanc n'a violé une femme noire. Pire, la totalité des femmes noires violées l'ont été par un homme noir. Dernièrement les 36 000 femmes blanches qui étaient violées l’ont été par un homme noir, aucune femme noire n’a été violée par un homme blanc ! Vous ne vous êtes pas trompé en lisant. Oui vous avez bien lu. Les statistiques officielles sont disponibles ici. Il faut aussi savoir qu’en ce qui concerne la peine de mort qui existe toujours aux états unis, que depuis 1930, 90% des exécutés pour viol sont des noirs (selon les chiffres fournis par le Département de la Justice). Aujourd'hui,  50% des prisonniers des couloirs de la mort sont des membres de minorités ethniques (dont le poids total dans la population américaine n’est que de 20%). En 1997, il y  avait 3269 hommes et femmes dans les couloirs de la mort des Etats-Unis ;  en 1999,  ils étaient 3549, dont plus de la moitié de noirs (ce qui correspond effectivement plus ou moins au taux de criminalité de la communauté noire. Sur les 500 exécutés entre 1977 et 1998, 81.80% furent inculpés du meurtre d'un blanc. Les couloirs de la mort des Etats-Unis ont toujours compris une proportion de noirs sans commune mesure avec leur poids total dans la population :  au XIXème siècle,  les noirs étaient exécutés pour des délits tels que le vol ou le viol ( la femme blanche représentait la pureté du Sud et donc, les esclaves noirs qui avaient des relations sexuelles avec ces femmes étaient pendus); plus récemment, entre 1930 et 1976,  sur les 455 hommes exécutés pour viol, 405 étaient noirs, dont de nombreux mineurs. De nos jours, ce constat se vérifie toujours: les détenus des couloirs de la mort sont en majorité des noirs alors qu’ils ne représentent que 12 à  15% de la population globale des États-Unis Sur 132 personnes exécutées pour meurtres entre 1977 et 1998, 124 concernaient un meurtrier noir et une victime blanche et seulement 8 un meurtrier blanc et une victime noire. Depuis la réintroduction de la peine de mort en 1977,  seulement 6  blancs ont été exécutés pour le meurtre d'un blanc et un seul pour le meurtre d'un noir commis par un blanc. Presque 40% des exécutés depuis 1976 sont des noirs!  
                                                                                                Dans le même temps en suède on apprend de nouveaux chiffres qui sont un avertissement pour les femmes à l'encontre d'un vote favorable à l'accueil d'encore plus de réfugiés issus des pays musulmans. 92 pour cent de tous les viols graves (viols violents) sont commis par des migrants et des réfugiés. 100 pour cent des attaques de viols (où la victime et l'attaquant n'avaient pas de contact préalable) sont le fait de ce même groupe. En d'autres termes, des milliers de femmes suédoises n'auraient pas été violées et ainsi traumatisées à vie s'il n'y avait pas eu ce flux migratoire en provenance des pays musulmans). Gilles William continue : si une personnalité blanche prêtait les mêmes turpitudes à l'ensemble des noirs… Je gage, qu'à bon droit, sa réputation serait perdue à jamais. Or le plus terrible, le plus consternant, habite dans le fait que les animateurs et le public se pâmaient extatiquement. Pour faire bonne mesure, l'écrivaine (sic) célébrée expliqua ensuite tranquillement à son public acquis que les blancs, aux visages trop pâles pour se protéger du réchauffement climatique, devaient impérativement se croiser sans tarder avec des êtres à la peau plus brune. Et le gentil public (Entièrement lobotomisé par le marxisme culturel et sa règle N°2: Encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques. C’est en partie la puante idéologie multiculturelle)…  publicantiraciste forcément antiraciste, s'interdisant ordinairement d'accorder quelque importance à la couleur de peau ou à toute notion de race interdite de cité ou même d'être citée, d'applaudir à tout rompre cette injonction thérapeutique à la disparition d'une vile espèce humaine devenue trop fragile pour nos temps difficiles. En réalité, et à ce degré d'indigence intellectuelle et morale, cette scène tristement ridicule aura au moins le mérite de mettre le doigt très exactement sur le mal névrotique de l'époque présente. Une époque qui à la fois et en même temps traque le moindre soupçon, la moindre imputation d'a priori raciste lorsqu'il s'agit des peuples supposés victimes du racisme blanc et s'autorise les préjugés les plus grossiers et stéréotypés jusqu'à l'appel à la disparition lorsqu'il s'agit de ces gens supposément détenir le monopole du racisme pour l'avoir inventé. La même semaine, un autre exemple montre que cette pathologie névrotique de la dilection pour l'altérité ne concerne pas, loin s'en faut, la télévision populaire mais que le monde intellectuel ou qui se prétend tel est également frappé. C'est ainsi que France Culture considère désormais que le racialisme est une pensée politique dont on devait débattre tranquillement le 7 février, y compris avec cette dame noire d'Amérique qui n'aime pas trop les blancs. Mieux encore: sur son Twitter notre radio culturelle de service public reprenait à son compte la théorie racialiste: «Penser la question Blanche, c'est être capable de se questionner sur une partie de l'identité française. Prendre conscience par exemple qu'être blanc est un privilège, le blanc n'ayant jamais eu à se poser la question de la couleur de sa peau» (Encore heureux). Racialisme obsessionnel, racisme anti blanc stupide sur la radio d'État: un «batbou» qui se fait frapper en banlieue ou des policiers blancs lynchés comme cela est arrivé un 31 décembre à Champigny, des fermiers blancs assassinés en Afrique du Sud ou au Zimbabwe, des privilégiés, vraiment? Et inversement, un noir au Togo, se pose donc tous les jours la question de sa couleur de peau? Bref, pour mesurer cet indigénisme indigent qui s'étend, je recommande la lecture édifiante de l'article publié le 6 décembre 2018 par Matthieu Aron dans l'Obs et intitulé «Menace décoloniale à l'université». Je citerai l'introduction: «Racialisé», «Racialisation» «Islamophobie»… Ce vocabulaire qui s'est installé dans le débat public, est issu d'une mouvance qui gagne du terrain dans les facs. À tel point que les opinions divergentes n'osent plus s'exprimer…». Le pire du pire, ce sont ces sombres idiots à la peau pâle qui tirent un masochiste et raciste plaisir à se haïr la peau. D'évidence, cette menace «décoloniale» a pris confortablement ses quartiers à Radio France (Règle N°10 de la théorie marxiste culturelle : Contrôle et abêtissement des médias pour dévaloriser le jugement personnel et l’esprit critique). Mais le pire, dans ces théâtres de la sottise populaire ou prétentieuse, n'est pas que telle raciste noire anti- blanc ou telle militante islamogauchiste des Indigènes de la République puisse exprimer ses méchancetés (Il est gentil Gilles William non ?). Le pire du pire, ce sont ces sombres idiots à la peau pâle qui tirent un masochiste et raciste plaisir à se haïr la peau.
Le gentil Gilles William les traites de sombres idiots à la peau pâle, mais non ce sont juste de simples marxistes culturels négationnistes, des complices de crimes contre l’humanité. Le déni et l'absence de condamnation des monstrueux crimes contre l’humanité communistes démontre comment un négationnisme non reconnu s'est banalisé jusqu'à verser, pour certains, dans l'islamo-gauchisme.
Le négationnisme est un déni de la réalité historique et des faits avérés. Ce terme désigne en général ceux qui nient l'ampleur de l'extermination des juifs par les sociaux nationalistes et qui contestent pour certains des méthodes utilisées à l'époque, notamment l'usage des chambres à gaz comme en Corée du Nord. C'est pour distinguer ce négationnisme-là que je parle de négationnisme marxiste culturel de gauche et de droite molle afin de qualifier ceux qui minimisent l'ampleur des crimes communistes au XXe siècle, voire qui les justifient au nom d'une prétendue nécessité révolutionnaire, comme si la pureté de la cause était plus excusable que la pureté de la race dans le cas du socialisme nationaliste. En réalité, le négationnisme forme un tout, il n'est ni de droite ni de gauche, car quel que soit l'objet du déni, il se construit de la même façon ; les méthodes utilisées et les résultats obtenus sont identiques, puisqu'ils faussent la nécessaire connaissance de l'histoire. Toutefois, le négationnisme marxiste culturel de gauche et de droite molle, celui des crimes communistes, ne rencontre pas la même réprobation que le négationnisme des camps d’extermination sociaux nationalistes des juifs, des tziganes et autres minorités ethniques ou politiques. L'une des raisons tient à l'ancienneté de ce négationnisme. Il remonte au début du communisme, quand une majorité de contemporains n'a pas voulu voir ou savoir les drames et les monstrueux crimes contre l’humanité qui se déroulaient en Russie bolchevique. La cécité volontaire de cette époque est le berceau du négationnisme marxiste culturel de gauche. Cet héritage résiste aujourd'hui encore à l'épreuve de la réalité, au bilan catastrophique (cent cinquante millions de morts) que l'effondrement très partiel du communisme a confirmé. Les camps de concentration Chinois (Les Laogaïs) existent encore tout comme les chambres à gaz homicides en Corée du Nord avec les génocides ethniques en Afrique du Sud ou au Zimbabwe.
Vous trouverez ci-après une Liste de grands complices de crimes contre l’humanité ceux qui non jamais apporté la moindre critique aux camps du Goulag soviétiques, aux Laogaïs Chinois communistes, aux chambres à gaz de Corée du Nord cliquez là : Dans, Les camps de concentration en Corée du Nord de Serge Desbois on peut lire : «L'existence de chambres à gaz a été révélée dans le principal camp de concentration nord-coréen. Le camp 22 qui pourrait accueillir 50 000 personnes, possède des chambres qui serviraient à la fois à éliminer les prisonniers et à la fois à mener des expérimentations. Un ancien chef du camp 22 a donné une description d'une chambre. Avec 3,5 mètres de large pour 3 mètres de long, elle est assez grande pour gazer une famille entière. Étant donné l'idéologie d’eugénisme du régime marxiste nord-coréen, il est en effet fréquent que la famille entière d'un prisonnier politique, jusqu'à trois générations, soit condamnée. Des scientifiques sont chargés de prendre des notes sur le déroulement des exécutions, car ces dernières serviraient également d'expérimentation pour développer des armes chimiques». Chambres à gaz communistes n’ayant rien à envier à celle des nazis qui sont encore en activité aujourd’hui en 2019, au génocide des blancs en Afrique du Sud, aux camps de «travail» du Viet Nam, voir ici.

Allez, zou, on y va ! C’est l’autre LISTE !

Commençons par Le Parti Communiste Français et sa nébuleuse de la haine rouge.
La nébuleuse communiste de la haine rouge. Le mot communisme est rattaché pour l'essentiel à la famille politique socialiste, dont il représente à la fois un concept et une tendance radicale le plus souvent criminelle : il est compris la plupart du temps dans son sens originel d'abolition de la propriété privée. L'anticommunisme lui est mentionné en 1848 par Karl Marx dans le Manifeste communiste. Un procès contre des membres de la Ligue des communistes est organisé après l’échec de la Révolution allemande de 1848. En 1848, dans le contexte du «Printemps des peuples», le mot «communisme» est devenu suffisamment familier du public pour que l'essayiste français Alfred Sudre publie, afin de dénoncer le nauséabond courant d'idées dans son ensemble, l'ouvrage Histoire du communisme, ou réfutation historique des socialistes : l'auteur y englobe, sous le vocable «communiste» : Platon, Sparte, l'anabaptisme, Robert Owen, Saint-Simon, Charles Fourier et Pierre-Joseph Proudhon, sans faire par ailleurs aucune mention de Karl Marx. Sudre dénonce le communisme, en tant que société sans propriété privée, comme une négation de toute liberté humaine, qui ne pourrait aboutir qu'à l'oppression : pour l'auteur, le communisme représente les plus bas instincts de l'homme, dont il fait «une bête sensuelle, gourmande et lubrique, traînant son ventre appesanti par des sales voluptés». Une bien vilaine bête abjecte qui deviendra vite la plus criminelle contre l’humanité jamais connue. Avez-vous jamais entendu parler des camps de la Kolyma ? Non n’est-ce pas ! On l'appelle le pays de la «mort blanche». La Kolyma abritait les déportés «ennemis du peuple» parmi les pires camps de Staline. Magadan, à huit fuseaux horaires de Moscou, sur les rives de la mer d'Okhotsk, c’est là où Staline a bâti la capitale du plus grand système concentrationnaire du XXe siècle. Un endroit du bout du monde enserré dans les glaces dix mois sur douze et assommé par des températures de - 50 °C. Celles même en deçà desquelles «les crachats gèlent en vol».
 
C'est ici, dans la Kolyma, une région vaste comme quatre fois la France et baptisée l'Ile, que près de 400 camps de la mort ont vu le jour. Là où les «zeks», les prisonniers politiques et quelques détenus de droit commun, ont débarqué par dizaines de milliers à partir de 1932. Sans oublier quelques milliers de juifs. Leur administration centrale, une division administrative de la police politique russe n’a vu le jour qu’en juillet 1934 lors de la réorganisation de la Guépéou et de son rattachement au NKVD, sous le nom de Goulag, un acronyme apparu en 1930 et formé d'après le russe Glavnoïé Oupravlénié Laguéreï, qui signifie «Administration principale des camps». Les négationnistes marxistes nient farouchement leur existence. La répression du négationnisme social-nationaliste dit aussi néo-nazi s'inscrit dans une démarche prétendue antiraciste, laquelle bénéficie d'un arsenal législatif conséquent. De surcroît, ce négationnisme a revêtu l'allure d'une intense campagne de propagande. C'est pourquoi, à danger soi-disant raciste grandissant, sanction pénale adaptée. Il n'en est pas de même de l’abominable négationnisme communiste. Pour méprisable qu'il soit, il n'entre pas dans un domaine déjà réglementé (racisme et terrorisme). Sa négation ne prend, quoi qu'on en dise, pas l'ampleur de la haine antisémite attisée par les faurissoniens. Pour un Ludo Martens ou une Annie Lacroix-Riz, on vous sort au moins trois négationnistes de l'autre bord.
Tiens, qui connait feu le beau Ludo ? Venu des milieux nationalistes d’ultra droite flamands, il participera au mouvement pour la «flamandisation» de l'université de Louvain en 1967. À partir de 1968-69, il joue un rôle actif dans le développement du mouvement criminel contre l’humanité maoïste en Belgique, avec la création de l'organisation AMADA en 1970. AMADA s'aligne inconditionnellement sur la ligne politique du Parti communiste chinois et en assume tous les plus imbéciles et criminels virages. Ludo Martens entreprend des attaques virulentes contre l'URSS. Très actif au Congo Belge, où il soutient le mouvement marxiste, il est un proche de Laurent-Désiré Kabila et écrit de nombreux livres sur la situation de l'Afrique, sur l'ancienne dictature mobutiste en particulier, mais aussi sur le renouveau nationaliste apporté par Lumumba, Mulele, Sankara puis Kabila. Il a également écrit nombres d'essais et d'articles sur la situation du Burkina Faso. Il est aussi l'auteur d'un ouvrage visant à «remettre en contexte» l'histoire de l'URSS sous Staline et à réhabiliter le stalinisme le plus criminel. Négationniste distingué, il remet par exemple en cause le caractère intentionnel de l'Holodomor (le génocide Ukrainien au 9 millions de morts) et dit que le nombre réel de victimes est compris entre un et deux millions ce qui n’est déjà pas mal, arguant que le caractère génocidaire de cette famine et son ampleur prétendue sont des inventions de la propagande sociale nationaliste ou nazi récupérée par les Américains. 
Quant à madame la gentille camarade Annie Lacroix-Riz qui se prend pour l’honneur du mouvement ouvrier (madame Annie, ancienne élève de l'École normale supérieure de jeunes filles, élève de Pierre Vilar, agrégée d'histoire, docteur ès lettres, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'université Paris VII a vraiment tout d’une «ouvrière»)  elle se rapproche beaucoup plus des intellectuels se disant «progressistes» c’est-à-dire des marxistes culturels révisionnistes grands complices de monstrueux crimes contre l’humanité. La camarade Annie au nom de papier à cigarette, milite au Pôle de renaissance communiste en France ce qui explique tout ! Pour être de nouveau clair, la camarade vrai bigote du stalinisme collabore ponctuellement au canard stipendié marxiste culturel le Monde diplomatique. Il est rigolo de constater que certains de ses articles sont repris par le Réseau Voltaire, considéré comme un site complotiste d’extrême droite ! Madame la camarade Annie dans une «présentation critique de documents originaux» sur l' «extermination par la faim» en Ukraine en 1933 (Holodomor en ukrainien aux 9 millions de morts), diffusée à ses étudiants en 2004, mise à jour et complétée en 2008, le commissaire politique Stalinien Annie conteste la présentation de cette famine comme résultant d'une intention «génocidaire» du monstrueux pouvoir soviétique, préférant y voir «une sérieuse disette conduisant à un strict renforcement du rationnement», qui «résultait de phénomènes naturels et sociopolitiques». Selon Stéphane Courtois, coordinateur du Livre noir du communisme : « Madame Lacroix-Riz ignore les témoignages de base (…) elle ne tient aucun compte des règles de travail élémentaires de l'historien (…) À aucun moment elle ne s'interroge (…) De surcroît, madame Lacroix-Riz ignore tout autant les nombreux travaux tirés des archives soviétiques synthétisés par Nicolas Werth (…) elle ignore tout autant les nombreux ouvrages en anglais». L'historien René Rémond considère lui qu'Annie Lacroix-Riz «en est restée à la problématique politique de la Guerre froide. Elle continue à évoluer dans une perspective manichéenne, où un camp représente le bien, la liberté, la paix, c’est celui de Moscou ; et l'autre, qui est le contraire, l'empire du Mal».     Dans Les Actes de Lecture de mars 2005, la camarade Lacroix-Riz, définit sans rougir de honte que l’histoire comme «une discipline essentielle pour savoir ce qui est, pour former des enfants à évaluer leur propre position sociale, pour réfléchir et être en situation soit de maintenir la société telle qu’elle est, soit éventuellement de la changer parce qu’elle pourrait ne pas paraître satisfaisante». Elle ajoute que «l’histoire constitue une discipline clé dans la tentative des classes dirigeantes pour empêcher les enfants et la population de connaître la situation telle qu’elle est». Et face à ce qu’elle présente comme une volonté de falsification de l’histoire menée par la bourgeoisie, elle se situe dans la catégorie de ces historiens qui pensent que «l’histoire est l’histoire de la lutte des classes», reprenant ainsi la fameuse citation de Friedrich Engels. Celui qui place l’idéologie avant la vérité ne peut se présenter autrement que comme un idéologue. Lacroix-Riz n’est donc pas là dans une posture d’historienne mais de propagandiste marxiste, dont le souci est justement d’orienter ses élèves vers une présentation de l’histoire apte à en faire des révolutionnaires au service de la dictature du prolétariat. Et comme le disait Lénine: «Si le mensonge sert la cause révolutionnaire, alors le mensonge est vérité».
De plus si madame le camarade Lacroix-Riz était une véritable historienne, elle saurait que La lutte des classes est une théorie libérale et même libertarienne avant d’être marxiste. Marx lui-même admet s’être inspiré de deux penseurs libéraux, Charles Comte disciple de Jean Baptiste Say et Charles Dunoyer de Segonzac (Poussant la théorie industrialiste de Jean-Baptiste Say au bout de sa logique, Dunoyer développe une critique radicale de l'État, fondée sur une analyse saisissante d’une sorte de lutte des classes, selon laquelle une classe parasitaire - les gouvernants, l'administration et leurs nombreux clients - s'enrichit totalement aux dépens de la classe productive aux moyens d'instruments coercitifs tels que l'impôt, le monopole public, la règlementation, etc. (idée que Marx a agrémentée à sa sauce). A cet égard, on peut tenir Dunoyer et, évidemment, son ami Comte pour des pionniers de l'anarcho-capitalisme, mais aussi - comme le notera  Henri Lepage - pour des précurseurs de l’école du Choix Public un siècle et demi avant son apparition ! ) L’idole sacrée de madame Lacroix-Riz, Karl Marx dans ses réflexions sur les rapports d’exploitation qui structurent la société c’est largement inspiré de nos deux Français en pervertissant leurs idées. Cette théorie de la lutte des classes va également marquer mon bon maître Frédéric Bastiat en alimentant sa pensée politique. Charles Comte et Charles Dunoyer sont deux véritables intellectuels libéraux du XIXème siècle. Ils fondent en 1814 le magazine Le Censeur sous la Restauration afin de protester contre celle-ci tout en véhiculant les idées libérales. Comte et Dunoyer analysent les rapports sociaux comme le résultat d’une lutte entre la classe productive qui compose la sphère marchande et la classe prédatrice qui compose la sphère gouvernementale. La classe productive vit des richesses qu’elle produit tandis que l’État et ses agents vivent au contraire de la spoliation exercée via divers mécanismes comme l’impôt, les réglementations ainsi que les privilèges de monopole. En finir avec cette lutte des classes suppose donc de réduire les pouvoirs de la classe prédatrice. Cette conception des rapports sociaux va durablement marquer Frédéric Bastiat en nourrissant ses réflexions sur le rôle du gouvernement dans la société. Cette influence apparaît très clairement dans son pamphlet le plus connu, la Loi. Bastiat développe ainsi l’idée que la lutte des classes nait lorsque la loi sort de son juste rôle. Dans les cas où elle se contente de faire respecter les droits de chacun et de garantir «l’organisation collective du droit individuel de légitime défense», personne n’est dans la possibilité de l’instrumentaliser à son profit au détriment de tous, à tel point que la forme même du gouvernement devient une question secondaire. Ce n’est que lorsque la loi sort de ses justes bornes que le législateur devient corruptible. Il s’ensuit alors une lutte acharnée entre divers intérêts catégoriels, tous soucieux de capturer l’appareil législatif en vue d’obtenir des privilèges par définition spoliateurs. La lutte des classes est donc le résultat d’une crise institutionnelle qui survient lorsque le pouvoir politique échoue à sa mission de garantir les libertés individuelles en participant lui-même à l’exploitation des uns par les autres. L’État devient alors selon les propos de Bastiat «la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde».                                                                                                La réflexion que madame Lacroix Riz produit sur l’histoire est empreinte de cette volonté de défense idéologique du communisme puisqu’elle déplore l’ouverture de sa discipline à des historiens non marxistes, particulièrement dans le champ de l’histoire de la Révolution, ce qui conduirait à déconsidérer le phénomène révolutionnaire. En effet, pour la marxiste qu’elle est, seul un autre marxiste peut défendre une révolution, car pour les autres: «la violence révolutionnaire est une violence fantasmagorique puisque le révolutionnaire s’invente un ennemi auquel il prête des intentions malignes, d’où ces répressions abominables qui font que la révolution est la pire des solutions et qu’il convient de l’éviter».                                                                   Violence révolutionnaire, qui, notons-le au passage, a utilisé la Terreur et conçu la première tentative d’éradication d’une population entière: celle de la Vendée. Mais il semble que pour les historiens marxistes dont elle se revendique, la violence révolutionnaire, y compris par voie d’exécutions sommaires et de génocide, soit un détail, voire une nécessité, quand il s’agit d’aller dans le sens de l’histoire. Ce n’est pas pour rien que le sanglant Robespierre figure au panthéon du Pôle de renaissance communiste en France, le parti nauséabond d’extrême gauche pour lequel elle milite.
Qui plus est, l'Histoire des communismes revêt des divergences selon les latitudes et les longitudes, la notion de «communisme» étant en elle-même équivoque. L'Histoire du stalinisme et de son antisémitisme fondamental pour ne citer qu'elle, est encore en progrès, alors que le génocide juif social-nationaliste est relativement bien connu, quant à ses modalités, quant à l'intention criminelle. Bien moins connu est le nombre incroyable de morts juifs en URSS, de l’ordre de quelques 2,5 millions de morts au bas mot (En gros une demi Shoa). Evidemment, tout système communiste a abouti à une dictature criminelle. Mais le maoïsme se distingue du stalinisme, lui-même étant une variante du léninisme, lequel était un marxisme plus ou moins adapté à la Russie. Quant au génocide cambodgien, il est évidemment lié, à l'intolérance propre à toute idéologie marxiste communiste. Évidemment les «intellectuels français» contaminés par la peste marxisme culturelle ont bien du mal à gérer le passé communiste, ce qui explique qu'aucune tentative n'a été effectuée de réprimer le négationnisme communiste.                                                                           Un épisode édifiant et très mal connu de l’immonde collaboration Hitler-Staline: la livraison par l'URSS à la Gestapo de plusieurs millier de communistes allemands réfugiés sur son sol et de quelque 60 000 autres Allemands, juifs pour la plupart, qui fuyaient le nazisme. C'est un épisode dont témoigne pourtant Margarete Buber-Neumann, qui était la femme de Heinz Neumann, n° 2 du Parti communiste allemand. L'un et l'autre avaient fui ensemble l'Allemagne sociale nationaliste pour le Moscou social internationaliste. Lui a été exécuté démocratiquement assez rapidement par le NKVD et elle, pacifiquement envoyée dans un camp de la mort progressiste, à Karaganda, puis, en application des clauses secrètes du pacte germano-soviétique (1939), humainement livrée aux Allemands, qui l'ont démocratiquement déportée aussitôt à Ravensbrück. Après-guerre, Buber-Neumann a publié un livre (Prisonnière de Staline et d'Hitler, Seuil) et témoigné de son odyssée au procès Kravchenko, en 1949, à Paris. Or, en consultant les archives de la politique extérieure de l'URSS au ministère des Affaires étrangères à Moscou, on a pu observer que cette collaboration n'avait rien de fortuit. Et surtout que le nombre de réfugiés allemands que Staline a remis à Berlin est bien plus important qu'on ne l'imaginait. Rappelez-vous ce que dit Molotov, le nouveau ministre des Affaires étrangères, à son prédécesseur Litvinov, limogé le 3 mai 1939: «Nous sommes ici pour disperser la synagogue».                                                                             Les premiers pourparlers à propos des ressortissants allemands remontent bien avant la signature du pacte Hitler/Staline ou germano-soviétique, en 1939: soit au minimum dès la fin de l'année 1935. Ce sont les services diplomatiques du Reich à Moscou qui prennent l'initiative, en demandant au Kremlin des informations sur les «citoyens allemands» en URSS. Un euphémisme, puisqu'il s'agit d'abord des militants et responsables communistes dont un nombre très important de juifs érèv rav. D'ailleurs, le voile est levé, le 7 octobre 1938, dans une note du conseiller allemand à l'ambassade. M. Schwiner qui précise bien qu'il s'agit de «communistes». Dans le rapport à sa hiérarchie de son correspondant soviétique, M. Grigori Wenstein - chef à titre temporaire du deuxième département du commissariat du peuple aux Affaires étrangères - on enregistre que, selon Berlin, «le nombre des citoyens allemands visés dépasse les 500 personnes». Les camarades communistes concernés, le plus souvent des cadres, ne représentent qu'une toute petite partie des Allemands qui ont gagné le sol soviétique. Beaucoup d'autres sont simplement de gauche ou antifascistes. Et la plupart sont des juifs qui ont fui par l'est, via la Pologne. Leur nombre est précisément l'objet de la note du vice-commissaire du peuple aux Affaires étrangères, Vladimir Dekanozov, l'œil de Beria dans la diplomatie, après sa rencontre, le 19 mai 1940, avec von Schulenburg. Ecoutez bien: «L'ambassadeur allemand rappela que, au début des pourparlers entre les gouvernements allemand et soviétique, ce dernier avait demandé que la partie allemande puisse accueillir 20 000 réfugiés allemands installés sur le territoire de l'URSS. Mais, au cours des discussions, la partie soviétique a augmenté ce chiffre jusqu'à 60 000». Dekanozov ajoute, mais sans le moindre soupçon d'ironie: «Le gouvernement allemand soulignait les sentiments humanitaires qui le conduisaient à accepter 60 000 réfugiés». Pour qu'il n'y ait aucun doute sur la connivence régnant alors entre les deux régimes, citons la fin du compte rendu de Dekanozov: «Le conseiller de l'ambassade allemande Tippelskirch rappela que Potemkine - l'ancien vice-commissaire aux Affaires étrangères, passé depuis à l'Education - avait bien précisé que, parmi ces 60 000 personnes, seulement une toute petite partie est d'origine ethnique allemande». C'est donc très clair pour Berlin et le Kremlin: il s'agit d'Allemands non ethniquement allemands. Autrement dit des juifs. Et pourtant les Allemands n'hésitent pas à afficher une vocation humanitaire auprès des Soviétiques, qui font semblant de les croire! Voyons aussi le mémorandum officiel, mais «strictement secret», du gouvernement allemand, du 27 août 1940, à l'adresse des autorités soviétiques: «Selon l'opinion du gouvernement allemand, le rapatriement des citoyens allemands répond aux principes humanitaires qui constituent le principal but de l'Etat allemand actuel». Dans ce mémorandum, Berlin se paie même le luxe de souligner que, selon ses informations, «ces citoyens se trouvent dans des conditions extrêmement défavorables». Du coup, Molotov ajoute cette phrase de sa main au mémorandum qu'il fait suivre au ministère de l'Intérieur: «Camarade Beria, je vous prie de vérifier cette information, d'y répondre immédiatement par toutes mesures nécessaires, de libérer puis d'expulser les citoyens allemands». Il y a aussi les juifs allemands qu'on expulse, mais aussi ceux qu'on refoule à la frontière lorsqu'ils se présentent... Le 17 décembre 1939, Vladimir Potemkine, vice-commissaire du peuple aux Affaires étrangères, entretient même l'ambassadeur de Berlin sur ce sujet: «J'ai invité Schulenburg pour l'informer de cas qui nous inquiètent. De temps en temps, de très nombreux groupes de population juive essaient - parfois jusqu'à 5 000 personnes - de passer la frontière. Ils sont entre l'armée allemande et l'armée soviétique. Nous ne pouvons pas accepter ces groupes et nous faisons tout pour les refouler. Or les soldats allemands commencent à tirer et en conséquence nous dénombrons des dizaines de cadavres. Nous ne pouvons accepter ces groupes de population juive. J'ai donc prié M. l'Ambassadeur de contacter Berlin pour faire cesser ces incidents, car à l'avenir nous ne les accepterons plus. Les Allemands doivent les régler». Comment un tel cynisme peut-il inspirer encore tant d'indulgence ? Cela tient bien évidemment au caractère foncièrement mensonger de l'idéologie communiste, qui a exhibé d'une main une Constitution soviétique merveilleuse pour l'époque, suscité enthousiasme et sympathie durable, mais qui forgeait une tout autre réalité: un univers concentrationnaire et criminel contre l’humanité. Le «génocide de classe» peut être comparé au «génocide de race». On déporta encore après la guerre  dans les camps de la mort du goulag les Juifs du «Comité juif antifasciste» en 1946 comme «ennemis du peuple». Alors tous en cœur nous disons : Vive_le_communisme !
Le communisme c’est l'idéologie collectiviste, qu'elle soit social-démocrate, socialiste ou communiste, qui se nourrit d'un certain nombre d'idées fausses, d'illusions et de concepts opposés au libéralisme, en général assenés sans démonstration au détour des conversations :
  • le collectiviste (de droite ou de gauche) raisonne sur des entités collectives abstraites et impersonnelles (la France, la nation, les travailleurs, les générations futures...) à qui on prête des intentions, une volonté, ce qui ne correspond à aucune réalité (c'est d'ailleurs une des causes profondes de l'échec permanent du collectivisme) ; le «collectif» est une abstraction bien commode qui cache toujours la volonté d’individus particuliers (voir nominalisme) ;
  • le libéralisme est présenté fallacieusement comme la loi du plus fort plutôt que comme le respect du droit ;
  • l'intérêt général, opposé à l'intérêt individuel (individualisme) est une fiction commode pour opprimer la personne sous des prétextes arbitraires, et établir en réalité des privilèges (syndicaux, corporatistes, etc.) ;
  • l'égalitarisme opposé à l'égalité : tendance au nivellement économique au mépris du droit de la personne, au nom de l'idéologie égalitaire ;
  • liberté formelle et liberté réelle : il considère les faux droits comme des «libertés réelles» revendiquées ;
  • confusion entre solidarité et assistanat : la solidarité n'est conçue que forcée et non volontaire ;
  • la justice distributive, appelée «progrès social», opposée au droit naturel et au droit de propriété, et donc à la justice tout court ;
  • libéral opposé systématiquement à social, comme si les deux termes étaient inconciliables, et comme si on pouvait «faire du social» sans liberté ni création de richesse, seulement par le vol étatique ;
  • l'échange, considéré comme un jeu à somme nulle dans le meilleur des cas, mais très souvent vu comme «inégal» ;
  • le marché, considéré comme coercitif, comme un lieu d'affrontement et d'exploitation, et non comme un lieu d'échange libre ;
  • l'État est vu comme le seul rempart contre le marché et le capitalisme, et aussi comme une source inépuisable de richesses (mythe de la gratuité, culte de la subvention et de l'interventionnisme)
  • l'économie n'a pas de règles, tout est politique : il suffit que les hommes politiques décident, et tout ira mieux (le sous-entendu étant que la décision politique est spontanément et parfaitement appliquée, qu'elle est parfaite en elle-même et qu'elle ne peut avoir ni coût ni effet pervers, puisqu'elle est politique).

Alors avec les Liens donnés sur son site Internet par Le Parti Communiste osant s’affirmer Français, je vous donne ici une Liste non exhaustive de sa nébuleuse de la haine rouge collectiviste. A l’inverse de l’Express, AFP, Wikipédia et Le Monde, je vous recommande vivement de les visiter en étant averti que le marxisme culturel sous lequel vous vivez est une forme de collectivisme vicieux.

https://www.jeunes-communistes.fr/ (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le Mouvement jeunes communistes de France (MJCF), également appelé la JC (pour jeunesse communiste) est une organisation politique de jeunes sans cervelle fondée le 1er novembre 1920. Le MJCF est une organisation politique favorisant l'engagement du plus grand nombre de jeunes pour s'organiser et porter les revendications liées soi-disant à leurs réalités. Toutes et tous les jeunes qui expriment un intérêt au changement de leurs conditions de vie peuvent adhérer librement au MJCF.                                                                                 Le MJCF est une organisation de jeunes qui constitue une porte d'entrée à l'engagement politique communiste collectiviste et au pire des marxismes staliniens. C'est une organisation indépendante, qui permet la formation de ses adhérents au communiste criminel contre l’humanité. Le MJCF «travaille» sa complémentarité avec le PCF dans la poursuite de ses objectifs propres et son indépendance présumée à une autre société débarrassée de l'exploitation, notamment par une activité militante d'éveil de la conscience de classe et de la prétendue nécessité d'un dépassement du capitalisme. François Guillaumat écrira : «Le reproche principal que l’on peut faire aujourd’hui au marxisme c’est d’avoir, par ses erreurs, ses crimes et son effondrement final, presque complètement discrédité une vision conflictuelle de l’histoire sociale et une dénonciation des classes exploiteuses qui sont pourtant plus pertinentes et plus urgentes que jamais. Cette analyse de classe, cette dénonciation des exploiteurs appartiennent à la tradition de la liberté naturelle. Marx n’a fait que la neutraliser et la pervertir au profit de l’oppression, en l’asservissant à une définition absurde de l’exploitation et à une méprise tragique sur l’identité des exploiteurs et la nature du pillage». La suite en cliquant ici.
https://www.etudiants-communistes.fr/  (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
L'Union des étudiantes et étudiants communistes est la branche étudiante du Mouvement des Jeunes Communistes de France. Ce choix d'une structuration spécifique des jeunes communistes sur les universités remonte à 1956 et depuis l'UEC a permis à des milliers d'étudiantes et d'étudiants de mener une activité politique marxiste sur les universités. L'UEC vise à apporter sur les universités un espace de formation et de militantisme répondant aux spécificités de ce milieu. L'UEC est une organisation étudiante du MJCF, ses membres ont donc vocation à militer sur leurs lieux d'études, mais également en dehors au sein du MJCF. L'UEC est une organisation communiste qui fait vivre l’immonde pensée marxiste sur les universités. Elle organise ainsi tous les ans une semaine de la pensée marxiste visant à faire découvrir aux étudiantes et aux étudiants l'apport du marxisme dans les différents champs universitaires. Comme ces «jeunes» communistes sont plus âgés que dessus  ils sont peut-être plus à même d’appréhender un peu plus justement la fameuse «lutte de classe», concept absurde dont on les bassine depuis leur plus tendre enfance. La fameuse lutte des classes est un concept dont la paternité est attribuée à tort à Karl Marx. Ce sont les libéraux français de la Restauration, tels que Charles Comte et Charles Dunoyer, qui l'ont élaborée comme on l’a vu tout à l’heure. Bien entendu, le sens accordé est différent. Il s'agissait - à la suite de Jean-Baptiste Say et de Antoine-Louis Destutt de Tracy - de montrer que l'État était le siège de la recherche de rentes financées par l'impôt. Ainsi, il existe deux grandes classes dans la société industrielle: les producteurs de richesses - soumis à l'impôt - et les consommateurs d'impôts. Leurs intérêts sont clairement antagonistes, puisque les premiers désireront être moins taxés alors que les seconds plaideront en faveur d'une continuelle augmentation de l'imposition. La notion de lutte des classes au sens du libéralisme est déjà clairement exprimée chez Adolphe Blanqui (dont l'œuvre était connue de Marx et Engels), qui écrit en 1837 dans Histoire de l'économie politique en Europe, depuis les anciens jusqu'à nos jours, volume 1, Introduction ; extrait : «Dans toutes les révolutions, il n'y a jamais eu que deux partis en présence : celui des gens qui veulent vivre de leur travail et celui des gens qui veulent vivre du travail d'autrui. Patriciens et plébéiens, esclaves et affranchis, guelfes et gibelins, roses rouges et roses blanches, libéraux et serviles, ne sont que des variétés de la même espèce. C'est toujours la question du bien-être qui les divise, chacun voulant, si j'ose me servir d'une expression vulgaire, tirer la couverture à soi au risque de découvrir son voisin. Ainsi, dans un pays, c'est par l'impôt qu'on arrache au travailleur, sous prétexte du bien de l'État, le fruit de ses sueurs ; dans un autre, c'est par les privilèges, en déclarant le travail objet de concession royale, et en faisant payer cher le droit de s'y livrer».                                                          Pour moi avec les libéraux comme les libertariens minarchistes, la conception marxiste de la lutte des classes est primaire et manichéenne comme on vient de le voir et occulte le caractère coopératif et dynamique de la vie économique. Le travailleur s'engage librement par contrat avec l'entreprise et reçoit un salaire en échange de son travail (le droit au travail n'existe pas en soi). Le profit que perçoit l'entrepreneur est la rémunération du risque qu'il prend. Les théories marxistes de la valeur-travail et de la plus-value sont erronées et aboutissent à une vision biaisée de ce qu'est réellement l'économie. Chaque individu est capitaliste, car chacun dispose de son propre capital humain.                                          Pour Ludwig von Mises, «la faiblesse inhérente à cette doctrine est qu'elle traite de classes et non pas d'individus. Il faudrait montrer comment les individus sont conduits à agir de telle sorte que l'humanité finisse par atteindre le point que visent les forces productives. Marx répond que la conscience des intérêts de leur classe détermine la conduite des individus. Il reste à expliquer pourquoi les individus préfèreraient les intérêts de leur classe à leurs propres intérêts» (Theory and History, 1957) A la différence de la théorie marxiste, la conception libérale de la lutte des classes permet d'analyser l'histoire avec des instruments beaucoup plus fins que les concepts antagonistes de «bourgeoisie» et de «prolétariat». Alors que la vision marxiste de la lutte des classes se limite arbitrairement à l'aspect économique dépouillé de tout principe de droit ou de justice, le libertarisme des libertariens minarchistes,  revient à la définition libérale de la lutte des classes, qui découle de l'application de principes de droit : la lutte existe alors, non pas comme dans le marxisme entre «ceux qui ont» et «ceux qui n'ont pas», mais entre «ceux qui volent» ou profitent du vol (politiciens, hommes de l'État, fonctionnaires, assistés et subventionnés en tous genres) et «ceux qui sont volés» (contribuables, entrepreneurs non subventionnés, salariés ponctionnés, etc.), le vol étant défini comme le fait de s'approprier le bien d'autrui sans son consentement.

https://www.european-left.org/   (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
UMPSE (Une Merde de Plus Socialiste en Europe) est une tentative désespérée de combattre l’exception communiste en Europe vouée à l’échec. L’«exception communiste dans la construction européenne» a été qualifiée ainsi en raison de l'absence d'action des partis communistes collectifs et planifiés de l'Europe occidentale dans le processus d'intégration européenne entamé en 1957 avec le traité de Rome. D'un côté, socialistes européens, libéraux, conservateurs, démocrates-chrétiens ou, plus tard, les Verts européens et, d'autre part, les employeurs européens (UNICE, Union confédérale européenne de l'industrie et des employeurs) depuis 1958, et la Confédération européenne des syndicats (CES). à partir de 1973, a contribué d’une manière ou d’une autre à ce processus. Au début, il y avait l'Assemblée parlementaire de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) en 1953. Au cours des années 40 et 50, les partis communistes de l'Europe occidentale étaient dominants avec la caractérisation négative que le PCUS avait faite du processus européen du marché commun en tant que tentative du capitalisme occidental aux mains des États-Unis d'étouffer l'URSS. Ils ont donc réagi en créant le Comecon dans la sphère d'influence soviétique. Tout ce qui a été possible a été de développer pour chaque parti occidental «une voie nationale du socialisme», presque en compensation de cette absence d'approche commune. La suite ici.
https://www.humanite.fr/  (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
L'Humanité est une gazette plus ou moins française — socialiste jusqu'en 1920, puis communiste — fondé en 1904 par le dirigeant socialiste Jean Jaurès. Organe central du Parti communiste français de 1920 à 1994, il en reste très proche après l’ouverture de ses pages à d'autres composantes de l’ultra gauche marxiste culturelle. Comme de nombreux titres de la presse écrite, il bénéficie de subventions de l'État sans qui il serait mort il y a longtemps. L’Humanité remercie les pauvres cons de contribuables qui le finance.
http://www.lamarseillaise.fr/ (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge)
Gazette comme dessus mais spécifiquement communiste et Marseillaise, 100% subventionnée avec de l’argent du pauvre naze de contribuable Français. La sortie du premier numéro aura lieu le 24 août 1944. Les allemands capituleront le 28 aout. La Marseillaise du 24 août 1944 porte dans son bandeau le numéro 13 et la mention «deuxième année» afin de montrer la continuité avec les 2 ou 3 tracts parus clandestinement à partir du 1er décembre 1943. Le bandeau précise également que le journal est «le quotidien d'information du Front National». Le pacte Hitler-Staline qui avait été signé le 23 août 1939 à Moscou sera rompu le 22 juin 1941. À la fin mai 1941, le PCF aurait soi-disant lancé un appel et seulement un appel à «la formation d'un Front national de l'indépendance de la France». Le Front national ne se développe dans les Bouches-du-Rhône qu’à partir de début ou milieu 1943. Il prend finalement le nom de Front National de Libération. La sensibilité communiste est très fortement représentée parmi ses dirigeants départementaux et ses quelques militants. Marseille étant en zone libre, pendant la Seconde Guerre mondiale, après la signature de l'armistice du 22 juin 1940, la partie du territoire français située au sud de la ligne de démarcation, la zone occupée par l'Armée allemande étant située au nord de cette ligne. La zone libre est, comme l'ensemble du territoire et l'Empire, sous l'autorité du gouvernement de Vichy dirigé par le maréchal Pétain, qui porte le titre de Chef de l'État Français. Le 11 novembre 1942 — à la suite de l'opération Torch (débarquement allié en Afrique du Nord, le 8 novembre —, la zone libre est envahie par les Allemands et les Italiens, au cours de l'opération Anton. Dès lors, la zone libre est appelée «zone sud» et la zone occupée est appelée «zone nord». Une seule action de résistance connue aura lieu à Marseille pendant la guerre. Dans la soirée du 5 juin 1943 trois membres du détachement Marat des FTP-MOI (Main d’Oeuvre Immigrée plus ou moins d’obédience communiste) lancent une bombe dans un cinéma de la Canebière réservé aux soldats allemands qui fait plusieurs blessés. Des policiers arrêtent les trois résistants Korsec, Bonein et d'Alessandri. Transférés à Lyon, ils sont condamnés à mort. Korsec est fusillé le 18 septembre, Bonein et le bas-alpin d'Alessandri le 1er novembre 1943. C’est le 28 aout 1944 que Marseille est libéré, au mieux les communistes y auraient été des «résistants» pendant 20 mois. En réalité le 15 août 1944 a lieu le débarquement en Provence (nom de code : opération Anvil Dragoon). À cette occasion l'occupant fait sauter les installations portuaires : plus de 200 navires sont coulés et le célèbre pont transbordeur détruit. Les FFI de Marseille (parmi eux un certain Gaston Defferre) préparent la libération de la ville. Le lundi 21 août, ils lancent l'insurrection accompagnée d'un mot d'ordre de grève générale. Mais pas armés et très peu nombreux, leur position est critique jusqu'à l'arrivée des tirailleurs algériens du général de Monsabert qui pénètrent dans Marseille le mercredi 23. Les combats avec l'armée allemande se poursuivront alors plusieurs jours, jusqu'à la capitulation du général Schaeffer le 28 août. Le 29, le général de Lattre assiste au défilé de l’armée d'Afrique sur la Canebière.                                                                                       Pour l’ignoble Parti Communiste dit Français, le mythe de la résistance et des prétendus 75 000 fusillés a la vie dure. Et le plus grave c’est que cette légende est encore parfois enseignée aux élèves alors que le nombre de fusillés (et exécutés) en France pendant l’Occupation, toutes tendances politiques confondues, est estimé entre 4 425 et 20 000 (voir ce site mémoriel exhaustif réalisé par l’Université Paris I Sorbonne), la suite ici.                                                                                            Nous devons nous attaquer à cette unilatéralité. Si le social-nationalisme dit aussi à tort nazisme est bien envisagé comme l’atrocité qu’il fût, il existe souvent une idée sous-jacente : que le communisme était lui bien intentionné, même si il tourna mal. Une simple connexion avec le fascisme qui est pourtant socialiste empêche un politique d’accéder à des responsabilités ; en revanche, ceux qui défendirent activement l’URSS criminelle contre l’humanité et génocidaire peuvent devenir ministres et accéder à la Commission européenne. Porter un tee-shirt à l’effigie de Che Guevara n’est pas considéré de la même manière que de porter un tee-shirt d’Adolf Hitler (qui n’existe d’ailleurs pas). Pourtant, ça devrait l’être. Car Guevara c’est quarante ans de négationnisme historique, de relativisme culturel et de mensonges procommunistes. Lire la suite ici: dans Che Guevara le Bou...Cher.                                                                   Comprenez-moi bien : chaque atrocité est unique, possède sa propre nature. L’holocauste socialiste-national, la shoah nous hante pour de très bonnes raisons. Heureusement, personne, au-delà de quelques malades, ne nie la nature délétère du social-nationalisme et de son racisme compulsif. Ce n’est pas le cas à propos de l’Union Soviétique et de son communisme abject le social-internationalisme. Encore aujourd’hui, la Russie n’accepte pas de qualifier d’invasion son «annexion» des pays baltes. 47% des Russes ont une «opinion positive de Staline» (imaginez comment nous réagirions si 47 % des Allemands avaient une «opinion positive d’Hitler»). Nier l’importance du génocide social-nationaliste est, dans de nombreux pays, une infraction pénale ; mais signaler, avec un abominable  tee-shirt du Che, que vous acceptez de casser des œufs pour faire une omelette, c’est d’un chic radical. L’Allemagne a liquidé son passé pour devenir un allié de choix. Mais la Russie ?                                                                                        Les actuels cocos marseillais disent aujourd’hui: La  sortie du premier numéro de «la Marseillaise» (on l’a vu), aura lieu le 24 août 1944. Le geste ne fut pas hasardeux, encore moins désespéré. Mais peu de certitudes étaient présentes au moment où la décision de sortir dans la clandestinité, un journal relayant les actions de la Résistance a été prise (Notons quand même que Marseille était libéré 4 jours plus tard le 28 aout 1944, une clandestinité de 4 jour, ce n’était pas la mer à boire surtout qu’aucune action de «résistance»  proprement communiste n’avaient eu lieu à Marseille). Cette entreprise aurait pu tomber dans l'oubli, être décapitée par la barbarie nazi (sociale-nationaliste) et ses fidèles collaborateurs. Il n'en fut rien. 70 ans après, la Marseillaise est toujours là et les (imbéciles) valeurs (criminelles contre l’humanité) qui l'animent depuis sept décennies sont (malheureusement) restées fidèles. Nonobstant 100% subventionnées avec de l’argent du  contribuable Français.
https://www.causecommune-larevue.fr/ (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).                                                             Cause Commune nous dit ici : Cause commune est la revue d'action politique du PCF. Aller au-delà des apparences pour mieux comprendre et agir plus efficacement ; suivre les élaborations et les décisions du Parti communiste ; préparer des initiatives militantes efficaces : Cause commune, c'est tout cela et plus encore. La revue donne la parole aux communistes mais aussi aux chercheurs et artistes de tous horizons. Ils font le point des débats et nous emmènent au-delà des sentiers battus de l'idéologie dominante (marxiste culturelle ?).  Cause commune est l’ex Revue du Projet.
https://gabrielperi.fr/ (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).                                                                                   Chez les cocos ce qui les ennuient le plus, c’est ce qu’ils appellent le développement du fameux et fantasmé "populisme" en Europe. Saloperie de peuple, les cocos se sentent floués en effet le peuple, sacré nom de Dieu, c’était eux non ? Aujourd’hui  ils viennent pleurer que dans la période contemporaine, le concept de populisme a d’abord été mobilisé comme un euphémisme  pour désigner les partis dit d’extrême droite. D’une part parce que ceux-ci protestaient contre l’utilisation du terme extrême droite à leur encontre, d’autre part parce que l’utilisation d’un autre mot pouvait, en les rendant plus présentables et fréquentables, favoriser des manœuvres politiques multiples des pouvoirs en place pour faire grandir un adversaire qu’ils seraient – croyaient-ils – certains de vaincre plus facilement que d’autres – nous avons  vu cela en France à l’occasion des dernières élections européennes. La suite ici.
https://www.secourspopulaire.fr/. (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).                                                        Toujours autant marxiste et filiale du PCF, le Secours Populaire dit Français intervient selon eux dans les domaines de l’aide alimentaire, vestimentaire, de l’accès et du maintien dans le logement, de l’accès aux soins, de l’insertion socioprofessionnelle, de l’accès à la culture (marxiste culturelle ?) et plus généralement de l’accès aux droits (?) pour tous.
http://www.espaces-marx.net/ . (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Ces gens marxistes Staliniens se présentent : «Notre monde connaît de grands bouleversements et une importante crise de civilisation : mondialisation capitaliste, financiarisation, bouleversements écologiques, transformations du travail et du salariat… (Ils semblent oublier le marxisme culturel) Il est impératif de renouveler les représentations, les idées et même les concepts anciens pour rendre compte de ce monde et de le comprendre pour le transformer (Sans blagues ?). Les difficultés que connaît aujourd’hui le mouvement progressiste (Celle-là aussi elle est bonne, un siècle de monstrueux crimes contre l’humanité communistes (dit aussi progressistes) et ces gens-là avec 150 millions de morts derrière eux sont toujours «progressistes», quelle honte) résultent en grande partie du décalage entre les réalités complexes et la capacité du mouvement de transformation sociale à les comprendre pour mener efficacement les luttes émancipatrices dans les conditions d’aujourd’hui. Créé en 1995, Espaces Marx s’est donné l’objectif de contribuer aux recherches et aux confrontations indispensables dans cette situation. C’est un lieu de rencontre, un laboratoire d’idées neuves ( ?), un espace largement ouvert à tous ceux qui veulent travailler ( ?) à faire avancer une pensée émancipatrice (ah les cons !)».
https://www.anti-k.org/. (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge)                                                                                              Le projet du site marxiste trotskiste Anti-K a été élaboré à l’initiative du Groupe de Travail Economique du NPA, mais dès sa mise en ligne, le «GTE» n’a pas été en capacité de maintenir sa collaboration. Seule une toute petite équipe militante s’y est donc attelée, en attendant un hypothétique retour à une meilleure fortune en Roubles ou en kopeks… Si Anti-K s’adresse aux marxistes révolutionnaires (mais oui ça existe encore, ils sont à peine une dizaine de fêlés, mais bon), il a accueilli volontiers bien d’autres courants y compris des bourgeois (d’extrême droite ?) capables de présenter des analyses pertinentes sur la prétendue crise du capitalisme qui n’existe plus depuis longtemps, si tant est qu’il ait jamais existé. Ci-après vous trouverez un extrait du  discours de Michel Leter, auteur du «Capital. L’invention du capitalisme» pour le prix du livre libéral 2015 : «L’Invention du capitalisme, premier livre du Capital, n’a rien d’un travail classique d’allure wébérienne sur le prétendu système auquel les collectivistes ont attribué le nom de capitalisme, qui serait apparu subitement au moment de ce que l’on appelle, depuis Engels, la Révolution industrielle. Rompant avec les présentations traditionnelles du sujet, ce livre est le fruit de recherches sur les moyens rhétoriques, qui ont été mis en œuvre pour accréditer l’existence de ce monstre capitalisme, de ce vampire qui suce le sang du (prétendu) prolétariat par le surtravail, cause de tous nos malheurs, jusqu’au réchauffement climatique puisque que, comme le GIEC de l’ONU nous sommes sommés de le croire à coup de «crosses de hockey», le réchauffement de notre planète bien-aimée date de l’industrialisation capitaliste de l’Occident. La thèse cardinale de ce volume et du suivant également, car il faut bien deux volumes pour l’étayer, est tout simplement que le capitalisme n’existe pas. C’est une fiction sortie tout armée de la rhétorique socialiste qui a été inventée pour attribuer au libéralisme les maux causés par le socialisme. Ce qui existe, c’est le système anticapitaliste, (celui dont les rentes nourrissent la merdiatocrassie et les politiques marxistes culturelles).Très important dans le discours de monsieur Leter c’est la poétique du capitalisme : «La dernière partie du livre, poétique du capitalisme, part de l’observation que le grand paradoxe du capitalisme est qu’il n’a pas été forgé par ceux qui plaident la cause du capital mais par ses ennemis. J’entreprends alors, avec mes modestes lumières, de traquer le capitalisme dans le corpus des premiers socialistes. Rarement employé par Fourier, Leroux et Proudhon, presque introuvable chez Marx (on n’en relève qu’une seule occurrence dans le premier livre de son Capital), le mot est alors éclipsé par la figure centrale de l’imagerie antisémite, le capitaliste. Ce n’est donc pas la statistique qui imposera le capitalisme comme objet scientifique dans l’imaginaire universitaire de l’Université allemande, où domine le «socialisme de la chaire» mais une poétique où il se manifeste sous l’aspect de trois figures, l’hypotypose, l’hypallage et l’hyperbole. Tandis que l’hypotypose permet de donner à voir de façon frappante ce qui n’existe pas, l’hypallage inverse la réalité tout en la dilatant par l’hyperbole. Vous noterez que nous n’évoluons pas seulement ici dans le vaste domaine de l’histoire des idées mais que nous sommes au cœur de l’actualité puisque ces trois fleurs de rhétorique ont orné tous les discours prononcés lors de la COP21, le réchauffisme étant, vous l’avez compris, le dernier avatar de la fiction capitalisme. En mesurant la force de cette poétique qui domine encore aujourd’hui l’histoire des idées, on comprend, en dernière analyse, que le capitalisme n’est pas un système économique mais un mythe qui a pour fonction d’imputer au libéralisme les maux causés par le socialisme. Nos «amis» du site marxiste trotskiste Anti-K nous donnent de bons liens bien gauchus. Je vous en donne quelques-uns ci-après.
https://npa2009.org/  (Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge)
En tête vient bien sur le NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste). On vient de voir que le capitalisme n’existe pas, alors ? Anti Rien c’est assez curieux non ?
http://forummarxiste.forum-actif.net/ (Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge)
Deux bouts les gueux et les pégueux ! Ta raie son 15 tonnes en son caractère. C'est l'irruption de la faim. Du pas de pain faisons pointe du raz. Fou l’esclave, deux bouts! Deux bouts! L’immonde va changer de basse. Nous sommes moins que rien, soyons donc socialos!  C’est la chute finale ! Croupion mou à deux mains, L'Interne à bien mal, il s’appelle Jean Rumain.
http://www.carre-rouge.org/ (Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge)                                                                             Cette revue d’ultra gauche existait de 1995 à 2013, elle rassemblait des militants issus de parcours politiques variés, mais plutôt trotskistes, ou anarchistes d’ultra gauche, avec le désir commun de créer, sans éclater de rire, des bases théoriques révolutionnaires de grands complices de crimes contre l’humanité. Au niveau de l’ouverture d’esprit et de l’ambition émancipatrice, c’était un peu nuit debout mais dans une cave remplie de trotskistes et dont le but était surtout de créer du contenu et quand les cons sont tenus tout va bien. La revue a été une référence théorique connue et reconnue dans les milieux d’extrême et d’ultra gauche criminelle et récemment le site marxism.org a récupéré toutes les archives de la revue.
http://www.cadtm.org/(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Fondé en Belgique le 15 mars 1990, le Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde (CADTM) est un réseau international d’ultra gauchistes constitué de membres et de comités locaux basés en Europe, en Afrique, en Amérique latine et en Asie. Il agit en coordination avec d’autres organisations et mouvements luttant dans la même perspective (Jubilé Sud et d’autres campagnes agissant pour l’annulation de la dette et l’abandon des politiques d’ajustement structurel). Son «travail» principal : l’élaboration d’alternatives radicales visant la satisfaction universelle des besoins, des libertés et des droits humains fondamentaux.
http://hussonet.free.fr/(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
On vient de voir que le capitalisme n’existe pas, mais pour monsieur Husson qui nous donne le lien, il semble avoir foi dans la thèse de monsieur Alain Bihr qui pense que : «La mondialisation a permis de donner naissance au capitalisme».
http://www.contretemps.eu/(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Contretemps se présente comme une revue «engagée» mais, car il y a un mais, non partisane. En ce sens, elle ne saurait être l’instrument d’un appareil mais elle est au service d’un camp social, celui des exploité-e-s et des opprimé-e-s (noter l’écriture inclusive caractéristique du marxisme culturel, de plus la revue «engagée» mais non partisane participe bien à fond de la règle N°1 marxiste culturelle : l’infiltration des partis existants plutôt que création de nouveaux partis) et d’une cause, celle de l’émancipation sociale. Elle ne se situe pas en surplomb des pratiques militantes mais entend contribuer à armer idéologiquement ceux et celles qui œuvrent à la formation d’une alternative de gauche au capitalisme (Le mot Capitalisme date du XVIIIe siècle il est popularisé par l’Allemand Karl Marx au milieu du XIXe siècle et utilisé par lui avec une connotation fortement péjorative. C'est plus d'un siècle plus tard seulement que le mot sera revendiqué positivement, notamment par Ayn Rand. Contretemps plaide pour un capitalisme d'État appliqué de façon intégrale (contrôle étatique de tous les moyens de production, comme ce fut le cas en URSS), les travailleurs louent leur force de travail à une «bourgeoisie politique», qui contrôle les moyens de production. Le résultat, malgré une propagande productiviste (stakhanovisme), est un appauvrissement général («ils font semblant de nous payer, nous faisons semblant de travailler»). Le capitalisme n’existe pas en fait, c’est monsieur Michel Leter, l’auteur du «Capital. L’invention du capitalisme» qui nous le dit : «Au chapitre anthropologie du capital, je rappelle cette vérité élémentaire, oubliée depuis Marx, que l’homme n’est pas concevable sans capital ne serait-ce que parce que tout homme libre est propriétaire d’un capital premier, son propre corps, ainsi naturellement que les facultés et la force de travail qui y sont attachées, acquises par la nature mais aussi et surtout par l’éducation. Singulièrement, Marx refuse à cette Arbeiskraft, à cette force de travail la qualité de capital et c’est bien là que réside la source de toutes les erreurs du travaillisme qui inspirent jusqu’à aujourd’hui les politiques économiques. Alors qu’il est admis, sans examen, par la plupart des universitaires, qu’ils s’affichent comme marxistes ou non, que seule une poignée de bourgeois détient le capital au détriment de la plus grande masse qui en serait dépourvue, j’ai tenté non pas tant de démontrer mais simplement de rappeler, car je fais appel au bon sens, que le capital n’est pas un accident de l’histoire surgi à la faveur de l’instauration brutale d’un système baptisé capitalisme mais le fondement même de cette anthropologie élaborée par l’école française d’économie au XVIIIe et XIXe siècle et résumée par cette formule lumineuse d’Yves Guyot : «Le capital, c’est l’homme».
http://2ccr.unblog.fr/(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Conscience Citoyenne Responsable. Réfléchir par soi-même et lutter contre la propagande. Ah mais n’en v’là t’y pas un beau programme ? Réfléchir par soi-même ?
Un site qui dénonce lui-même ses méthodes ce n’est pas commun, c'est ici et ça parle du conditionnement collectif le 10 décembre 2015  texte de Serge Carfantan (Serge Carfantan encore un enfeignant, qui enseigne de temps en temps à l'Université de Bayonne et au lycée Victor Duruy à Mont de Marsan, il tient depuis 2000 le site Web Philosophie et Spiritualité qui propose une vision «renouvelée» de l'enseignement philosophique marxiste. Il intervient dans des conférences et il est l'auteur d'une centaine de publications. Son texte ressemble étrangement à du pur Noam Chomsky. (Chomsky estle 7 décembre 1928 à Philadelphie, c’est un de ces théoriciens juifs érèv rav marxistes culturels les plus dangereux. Professeur émérite de linguistique au Massachusetts Institute of Technology de 1955 à 2017, il fonde la linguistique générative. Il s'est fait connaître du grand public, à la fois dans son pays et à l'étranger par son parcours typiquement marxiste culturel de pseudo intellectuel dit «engagé» de tendance socialiste libertaire et anarchiste. Particulièrement antisioniste pour ne pas dire antisémite Chomsky se rapproche dangereusement d’un antisémitisme extrémiste radical). Monsieur Carfantan qui c’est très fortement inspiré aussi d’Aldous Huxley dira : «Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir».
http://www.lcr-lagauche.org/(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Là, avec la LCR (Ligue Communiste Révolutionnaire Belge, une fois, oufffti fieu !), on atteint des sommets et des frites ! Un article bien choisi et à lire juste pour rigoler un peu, une défense marxiste de l'intersectionnalité (L’intersectionnalité (de l'anglais intersectionality) ou intersectionnalisme est une notion idiote employée en sociologie marxiste culturelle et en pure réflexion politique socialiste, qui désignerait la situation de personnes subissant simultanément plusieurs formes de stratification, domination ou de discrimination dans une société). Madame Sharon Smith, féministe marxiste étatsunienne, est une dirigeante de l’International socialist Organization (ISO) et notamment auteur du livre Women and Socialism: Class, Race and Capital. Elle présente dans cet article les racines du concept d’inter- sectionnalité et comment ce dernier peut faire avancer la théorie marxiste. Cette brave femme de «couleur» nous dit : «Je veux commencer par mettre plusieurs choses au clair (au blanc ?). Premièrement, lintersectionnalité est un concept et non pas une théorie. Cest une description de la façon dont les différentes formes d’oppression (racisme, sexisme, l’oppression contre les LGBTIQ+ et toute autre forme d’oppression) interagissent et fusionnent en une seule expérience. Les femmes noires, par exemple, ne sont pas «doublement opprimées» ce qui signifierait qu’il existe une expérience de deux oppressions séparées: le racisme, qui affecte aussi les hommes noirs, et le sexisme, qui affecte également les autres femmes. Le racisme affecte la façon dont les femmes sont opprimées en tant que femme mais aussi en tant que personnes de couleur». Madame Sharon Smith applique stricto sensu la règle numéro 12 de la théorie marxiste culturelle : la promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité et elle nous l’avoue sans complexe.                                                                                                                Puisqu’on en est à parler de discrimination il serait peut-être intéressant de savoir que messieurs Georges Lane et François Guillaumat ont examiné les trois usages successifs du mot-zombi de «discrimination», que la pseudo-démocratie socialiste et marxiste culturelle a inventé pour faire oublier aux gens qu’ils savent ce que c’est que l’injustice. Les hommes de l’état ont d’abord prétendu «ne pas discriminer» pour faire croire que leur action ne serait pas intrinsèquement injuste, ne volerait pas nécessairement les uns pour donner aux autres. Puis, quand les gens se sont bien habitués à employer ce genre de simulacres à la place des catégories de la justice naturelle, la pseudo-démocratie socialiste a employé la «discrimination» pour faire procès aux propriétaires légitimes d’exercer souverainement leurs Droit. Enfin, l’arbitraire des puissants atteint l’apothéose, et son impudence des sommets, lorsqu’en parlant de «discrimination positive» ils inversent la norme de justice en disant en substance que tout ce qu’ils font est juste alors que toute action de leurs victimes pourrait leur être imputée à crime.
https://blogs.alternatives-economiques.fr/harribey(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Monsieur Harribey (Jean-Marie) entretient un blog d’ultra gauche. Ce monsieur est un ancien professeur agrégé de prétendues «sciences économiques et sociales» ou marxisme culturel et maître de conférences d’économie socialiste à l’Université Bordeaux IV. Pendant la première moitié de sa vie professionnelle, il a enseigné en lycée, et, pendant la seconde, à l‘Université où ses «recherches» portent sur la critique de l’économie politique, les concepts de valeur et de richesse, le travail, la protection sociale et le développement soutenable ( ?). Il a notamment publié en 2013 La richesse, la valeur et l’inestimable, Fondements d’une critique socio-écologique de l’économie capitaliste (capitalisme qui n’existe pas mais est une véritable Arlésienne de la gauche marxiste culturelle complice de crimes contre l’humanité, passés, présents et à venir). Le milieu enseignant est le temple du gauchisme et du marxisme culturel par excellence. Les professeurs surtout d’université sont les grands prêtres de la nouvelle religion séculière marxiste. Ces temps-ci, il y a certes une tendance des fonctionnaires les moins niais à se rapprocher de madame Marine Le Pen, que ce soit à La Poste ou surtout dans le milieu hospitalier, dont les conditions et heures de travail deviennent insupportables. Le prof lui échappe à ce mouvement vers le bien, car il est privilégié et choyé pour distiller l’idéologie du pouvoir républicain bourgeois et marxiste culturel (60 000 profs en + sous Hollande) ; étrangement, on a la sensation que dans des classes qui commencent à se remplir, souvent tout au fond, il y a de drôles d’orientaux peu silencieux et peu respectueux, ils et surtout elles, parmi les professeurs, devraient commencer à en avoir marre. Eh bien pas du tout ! Pourquoi une telle résistance ? Il faut bien regarder le boulot pour ce qu’il est, nous parlons d’un métier qui comprend 15 semaines de congés payés par an, en moyenne 20 heures de travail par semaine et encore, très souvent, les profs corrigent les copies lors des contrôles, donc dans ces heures-là de présence au bahut. Aussi, les programmes, les cours magistraux sont fréquemment repris des années précédentes. Enfin, le salaire moyen est de 2 000 € par mois (jusqu’à 3 000 € en fin de carrière comme chez les cheminots), ce qui donne pour un couple d’enseignants accès aux grandes vacances, au pavillon et aux bonnes écoles pour leurs petites têtes blondes (pour l’instant). Bref, pour un prof, là encore il sert ses intérêts de classe (cm1/cm2). En fait, pour identifier un vote de gauche, regardez là ou l’Etat donne beaucoup d’argent, sans qu’il faille faire beaucoup d’efforts pour l’obtenir… Ah tiens, nous retrouvons le fond de la classe, et son intérêt à en faire le moins possible, pour recueillir le maximum ! Racailles dernières de la classe et profs ont un point commun très singulier : le désir de mener une vie de paresse et de moindre effort, tout en prétendant au meilleur confort possible. Double parasitisme.
https://www.solidarites.ch/common/fr/(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Après le Coucou suisse, voilà le Coco Suisse à ne pas confondre avec le cocu … quoique…). Vous connaissez la différence entre un Suisse pauvre et un Suisse riche ? Non ? Le pauvre y lave lui-même sa Ferrari !
http://www.alternativelibertaire.org/(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Dit : Courant anarcho-communiste et  Union Communiste Libertaire. Tout un programme !                                                         Avec le bon gros gâchis de Biarritz on nage dans le bonheur rouge! La mobilisation contre le G7 de Biarritz a été un énorme fiasco, avec une cristallisation des divergences stratégiques et organisationnelles au sein du milieu militant. Légalisme non violents d’un côté, insurrectionnalisme ( ?) à courte vue de l’autre… C’est la rançon d’une mobilisation sans objectifs. Le contre-sommet du G7 avait été organisé depuis septembre 2018 par une plate-forme double (une basque et une hexagonale) composée de différentes organisations et associations, notamment Attac, les Amis de la Terre, la LDH et diverses soi-disant ONG, soutenues par plusieurs organisations politiques et syndicales marxistes. Peu avant le contre-sommet, les groupes révolutionnaires locaux qui participaient à l’organisation (les collectifs anarchistes locaux IPEH Antifaxista et Indar Beltza) s’étaient retirés de la plate-forme, déplorant l’opacité des décisions et les pratiques autoritaires qui y prévalaient. Hi, hi, hi !
Cliquez sur le lien et là, Pif le chien (le seul chien marxiste-léniniste au monde) vous tombez sur un vrai site de dératisation (sans rire) de vrais rats d’égouts (des gouts et des couleurs ?) pas de rats cailles, ni de rats thons, non, des bons gros rats en vrai à éliminer ! Mais Frédéric Lordon, né en 1962, n’est pas un chasseur de nuisibles, oh que non, c’est un vrai sociologue, philosophe et économiste français marxiste culturel, mais ayant lu avec attention ses articles, je crois qu’il y a de l’espoir de le voir devenir libertarien, il est sur la bonne voie. Il est chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE) et est directeur de recherche à la section 35 du CNRS (Sciences philosophiques et philologiques, sciences de l'art). Il est membre des économistes atterres, collectif défendant une pensée économique hétérodoxe et dont les positions rejoignent celles d'une partie de la gauche ultra radicale française.  Ce qu’il y a d’extraordinaire avec les gauchiottes marxistes culturels c’est le côté bonne vérité exprimée avec conviction  et intelligence ; il en va ainsi de la fameuse «théorie du complot» qui leur est tant utile dans le cas de la discréditation de la dénonciation du marxisme culturel. En 2015, Monsieur Lordon est l'auteur d'un article dans un dossier du Monde diplomatique consacré aux théories du complot, dans lequel il envisage intelligemment l'adhésion à celles-ci comme la contrepartie d'un manque de transparence répandu. Selon lui, «le conspirationnisme n'est pas une psychopathologie de quelques égarés, il est le symptôme nécessaire de la dépossession du politique et de la confiscation du débat public». Madame le politologue Élisabeth Vallet (même motif, même punition) accrédite son propos marxiste culturel tout en disant avoir «l'impression que les pics de complot, ce sont des moments où, simultanément, le débat est réduit et il y a des événements qui touchent les gens et auxquels on cherche des explications quasiment monolithiques». Frédéric Lordon déclare dans cet article que le conspirationnisme «pourrait être le signe paradoxal que le peuple, en fait, accède à la majorité puisqu’il en a soupé d’écouter avec déférence les autorités et qu’il entreprend de se figurer le monde sans elles». Ainsi, selon Conspiracy Watch, le conspirationnisme vu par Frédéric Lordon marquerait «la présence d’un processus de revitalisation démocratique par le bas». En 2017, ce bien cher monsieur Lordon crache dans la soupe marxiste culturelle en publiant un nouvel article sur le sujet dans Le Monde diplomatique, intitulé «Le complot des anticomplotistes». Il avance notamment que les accusations de complotisme seraient le moyen commode que les tenants de l'«ordre social» utilisent pour disqualifier leurs adversaires quand ils se trouvent à court d'arguments. Ces accusations seraient devenues «le nouveau lieu de la bêtise journalistique». Encore un effort monsieur Lordon est vous allez devenir un bon libertarien minarchiste comme moi et vous allez nous pondre un bel article sur votre blog la pompe à phynance. Au cas où des doutes (légitimes vous animeraient, je réponds aux commentaires libres sur mon blog ou parait : La Liste) mais SVP lisez en cliquant ici quelques réponses à vos questions que vous vous posez certainement.
https://www.pauljorion.com/blog/(Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Monsieur Jorion nous déclare d’entrée posséder Le seul Blog optimiste du monde occidental.
Paul Jorion n’est pas Français, il est né le 22 juillet 1946 à Bruxelles, c’est un anthropologue, sociologue et essayiste belge (Il paraîtrait sous toute réserve et selon Les amis du Monde Diplomatique, que monsieur Jorion aurait été surpris sur les berges de la Seine en train de vaporiser de l’insecticide sur les bateaux-mouches). Ses enquêtes de terrain sur les mouches  l'ont mené des populations de pêcheurs côtiers français puis africains, au monde de la finance. Ses essais portent surtout sur l'économie capitaliste (qui comme chacun sait maintenant n’existe pas et n’est qu’un pur fantasme marxiste culturel), la finance et l'avenir de l'humanité.  Ce chercheur qui estime que «l’économie est une chose trop sérieuse pour être attribuée aux seuls économistes» a également publié deux livres en 2009. Dans le premier, LArgent, mode demploi, il creuse ses pseudos réflexions sur les modes de vie et les hiérarchies sociales que modèle largent et les mouches. Lautre essai se veut une ambitieuse entreprise généalogique du savoir occidental sur les mouches. La vérité et la réalité ne sont pas des évidences mais des inventions de la culture: lidée de «vérité» est née dans la Grèce du ive siècle avant J.C., celle de «réalité» (objective), dans lEurope du XVIe siècle. Or, ces deux concepts phares, aujourd’hui, sont en «perte de rendement». Dans la nuit du quartier Montparnasse et sur les berges de la Seine, entre deux trains, deux gazages de mouches et deux conférences, le voyageur Paul Jorion tire sa valise à roulettes. Déjà ailleurs et comme monsieur Frédéric Lordon peut-être chez les libertariens ?
https://blog.mondediplo.net/ (Retour au Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Comme maintenant chacun sait que le canard boiteux d’ultra gauche chef de file des merdias marxiste culturel en France distille insidieusement de la haine des patriotes Français, il est temps de les dénoncer pour ce qu’ils sont : Des ultras gauchistes marxistes culturels copains comme cochons avec les communistes. Comme leur outil «Décodex» ou «comment reconnaitre une théorie conspirationniste» et même de bonnes nouvelles de la fameuse Fachosphère ainsi que leur fameuse Liste le prouve! Il y a aussi toute une blogosphère nidoreuse d’ultra gauche comme L’association des Amis de l’odieux Monde Diplomatique qui fédère les lecteurs les plus actifs et dangereux dans la propagande politique marxiste culturelle. Animée par des dizaines de militants de la caste politico-médiatique avec certains ultra gauchistes correspondants en France et à l’étranger, ainsi que par sa Délégation générale toute marxiste culturelle, l’association organise chaque année des centaines de rencontres-débats et participe ainsi activement au nauséabond débat d’idées gauchistes. Les Amis sont un partenaire stratégique du Monde diplomatique. Avec l’association Gunter Holzmann qui regroupe les personnels du journal, les Amis possèdent 49% du capital du Monde diplomatique, garantissant son indépendance et protégeant sa liberté d’informer. Membres du Conseil de surveillance du journal, les Amis participent à l’élection de son directeur, actuellement Serge Halimi. Grâce à son action dans la société, chez les journaleux de la médiocratie et auprès des tissus militants socialo-populistes sur tout le territoire, les Amis contribuent directement au rayonnement des médiocres idées gauchistes et des immondes valeurs marxistes du Monde diplomatique.
https://durandcedric.wordpress.com/ (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Cédric Durand est «économiste» à l’université Paris 13 et membre du centre d’économie Paris Nord. Il enseigne les abrutissantes théories marxistes culturelles du développement à l’EHESS et participe à la direction scientifique de la MSH Paris Nord. Ses recherches portent sur la mondialisation, la financiarisation ( ?) et les mutations du capitalisme contemporain. Elles s’inscrivent dans la tradition de l’économie politique marxiste et régulationniste.  Il est membre du comité de rédaction de la  Revue d’économie industrielle  et de la revue marxiste culturelle en ligne Contretemps.
http://www.palim-psao.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
J'ai déjà lu bien des conneries, mais là c’est le summum ! Vous pourrez y apprendre que le «fétichisme capitaliste» se retrouve dans le fait d'attribuer un caractère naturel aux catégories capitaliste que sont le travail, la marchandise (de même que la proportion dans laquelle elles s’échangent semble appartenir à leur nature, de la même manière que les propriétés chimiques du carbone ou de l’hydrogène déterminent la forme d'un corps), le marché ou bien l'Etat. Dans ce monde réellement renversé, les rapports entre les hommes prennent la forme de rapports entre les choses. Là, il faut le faire (à repasser !).
https://www.les-crises.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Ah les braves gens ; ils nous disent être à la recherche de la Vérité entre la propagande des grands médias souvent involontaire (Tu parles Charles) aboutissant à la «fabrication du consentement» et les délires conspirationnistes du web que nous combattons (ici (Les théories fumeuses du 11 Septembre : Le Pentagone (1/10) – L’incroyable bêtise) ou ici (voir le trou) ou ici (Charlie et le complot antisémite) par exemple), nous faisons en effet tout notre possible pour garantir la meilleure qualité possible de marxisme aux lecteurs et aux contributeurs qui nous honorent de leur confiance.
http://www.ernestmandel.org/new/sommaire/?lang=fr(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Ils nous disent : Notre site internet www.ernestmandel.org s’attache à mettre à la disposition de tous et toutes des œuvres d’Ernest Mandel en 6 langues : français, néerlandais, anglais, espagnol, allemand et farsi. Notre site compte ainsi aujourd’hui plusieurs centaines de textes, articles, brochures et livres rédigés par Mandel tout au long de sa vie militante et intellectuelle. Pour faciliter la recherche et l’étude, ces textes sont rassemblés et classés dans la section «Écrits», à la fois sous forme chronologique et thématique. Ernest Mandel représente la substantifique moelle du juif érèv rav marxiste et trotskyste (Cliquer ici). Né de parents juifs érèv rav eux-mêmes, il est élevé dans un foyer socialiste de gauche — son père fut un ami du bolchevique et juif érèv rav Karl Radek (de son vrai nom Karol Sobelsohn). Ernest Mandel rejoint en 1939 la petite section belge de la Quatrième Internationale et devient un ami d'Abraham Léon (né Abram Wajnsztok), qu'il a rencontré au sein du mouvement Hachomer Hatzaïr, et dont les positions sur le judaïsme et le sionisme vont beaucoup l'influencer.
http://alencontre.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le site d’ultra gauche marxiste culturel alencontre.org existe depuis plus de 12 ans. Ses objectifs: informer, analyser, afin de faciliter une compréhension des «réalités économiques», sociales et politiques à l’échelle internationale. Dans ce sens, ce site valorise la liaison qui peut s’établir entre comprendre et agir, dans une perspective socialiste et démocratique c’est-à-dire pleinement marxiste culturelle. A l'encontre déteste ...devinez qui ? Mais l'extrême-droite bien sûr ! Comme tous les merdias marxistes culturels dont TF1 ou A2 qui par exemple en citant au JT de 20 Heure le 01/09/2019 la très juste réaction de madame Le Pen présidente du Rassemblement National sur l’attentat au couteau de boucher de Villeurbanne qui a fait un mort, un jeune homme de 19 ans et huit autres personnes blessées, dont trois grièvement. Le bon musulman dit radicalisé est un Afghan de 33 ans, demandeur d'asile et Jeanne d’Arc islamique (La Zoubida en Arabe) qui a indiqué avoir «entendu des voix insulter Allah et lui donnant l'ordre de tuer des chrétiens». Selon un témoin direct de l’agression entendu par Le Progrès, l’auteur aurait fait part d’une allusion religieuse très claire au moment des faits : «Ils ne lisent pas le Coran». Oh non et c’est bien dommage, sinon il y a longtemps qu’on aurait viré tous les musulmans de France et interdit cette pseudo «religion» allah con dans le monde ! Les chrétiens, les Juifs et les mécréants en général y sont déshumanisés et traités de souillures ; ils sont pires que les animaux. En plus de cette impureté intrinsèque, ils sont décrits comme remplis de mauvais sentiments envers Allah et les musulmans. En conséquence, le Coran interdit aux musulmans de les prendre pour amis sincères ou proches et leur ordonne de les détester. À ces incitations à la haine, s’ajoute l’incitation au meurtre et à la violence. Le Coran prescrit explicitement la violence contre les chrétiens et les Juifs, non pas parce qu’ils auraient commis une agression contre les musulmans, mais uniquement en raison de leur foi religieuse : c’est la définition même du racisme. Cette incitation à la haine et à la violence est contraire à la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale. Le Coran dans la Sourate 9, au Verset 5 dit tout simplement : « … Tuez ceux qui associent d’autres divinités au seul Allah (les chrétiens) où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade». Notre brave musulman «demandeur d’asile» aux multiples identités se disant Afghan, logé, nourri avec argent de poche venant de vos impôts chers Français, ne fait qu’appliquer un des beaux préceptes de sa religion de paix et d’amour.  Les enquêteurs Français lobotomisés par le marxisme culturel ambiant qui ne connaissent pas plus le Coran qu’un eskimo et qui ont une culture «religieuse» à peu près égale à celle d’une mouche à merde, décrivent notre «ami» et bon musulman Afghan comme  souffrant d'un «état psychotique» et de «délire paranoïde».                                                                                           Alors lorsque madame la présidente du Rassemblement national met en cause le système migratoire français sur Twitter en déclarant: «De nationalité afghane, l'un des suspects de l'attaque au couteau de Villeurbanne est par ailleurs selon @BFMTV un... demandeur d'asile. La naïveté et le laxisme de notre politique migratoire menacent gravement la sécurité des Français !», elle ne fait que parler avec juste raison que d’une petite partie du problème. L’eurodéputé de la droite nationale et patriote, Jordan Bardella, avait surenchéri en parlant de la question de «l'ensauvagement» causé par «la submersion migratoire». Il est évident que l’ensemble des merdiatocrasseux de la presse écrite et télévisuelle c’est unanimement insurgée contre ces propos et systématiquement donné la parole à monsieur Jean-Paul Bret maire socialiste de Villeurbanne qui s'en est pris dimanche à ce que cet ensemble de clowns d’extrême gauche marxiste culturelle qualifie bêtement d'extrême droite (habituelle réductio ad hitlerum). Au micro de RTL, le maire socialiste de Villeurbanne (complice de crimes contre l’humanité), a ainsi décrit le comportement de certains élus comme «honteuse» et «très peu glorieux» ajoutant même : «C'est la réaction classique de l'extrême droite, qui tente d'utiliser un événement dramatique à son profit». Ce sont les malheureux parents du jeune égorgé par ce musulman radical qui doivent être contents ? Personnellement je suis d’avis et n’en ai pas honte d'expulser les millions de musulmans qui encombre l'Europe!
http://www.atterres.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Ces gens-là pensent que d'autres politiques économiques
sont possibles. Ce qui n’est pas faux et ils vous demandent d’entrer dans le débat «citoyen» avec eux. Seulement l’alternative proposée n’est que marxiste culturelle et collectiviste. Dommage ; quelle pauvreté d’imagination.
Si comme moi vous partagez l’idée de Baruch Spinoza exprimée dans  son Traité Théologico-Politique : «La fin dernière de l’État n’est pas de dominer les hommes, de les retenir par la crainte, de les soumettre à la volonté d’autrui, mais tout au contraire de permettre à chacun, autant que possible, de vivre en sécurité, c’est-à-dire de conserver intact le droit naturel qu’il a de vivre, sans dommage ni pour lui ni pour autrui..»                                                                                                                                Si vous pensez comme James M. Buchanan  que le succès des échanges politiques complexes présente certaines similitudes avec leur équivalent sur le marché économique. Si comme Richard Epstein qui montre que les lois de non-discrimination à l'emploi sont une intrusion injustifiée dans la liberté individuelle vous parait être une évidence. Si comme Ludwig von Mises, vous êtes persuadé  que la «planification individuelle» est supérieure à toute planification collective. Comme Charles Murray vous partagez : «qu’en essayant de faire plus pour les pauvres, nous avons réussi à faire plus de pauvres. Qu’en essayant de faire tomber les barrières qui interdisaient aux pauvres d'échapper à leur sort, nous leur avons par mégarde dressé un piège». Qu’avec Robert Nozick vous êtes sûr que «L'imposition est sur un pied d'égalité avec les travaux forcés. Si vous partagez l’idée d’Ayn Rand, née Alissa Zinovievna Rosenbaum philosophe américaine (juive russe émigrée), connue pour sa philosophie : l'objectivisme qui accorde à la réalité une priorité lexicale, c'est un fondement objectif sur lequel cette philosophie s'appuie. La pensée de Rand s'articule autour de quatre temps, comme elle l'a elle-même explicitement exprimé.                                                                        Une métaphysique : la réalité existe en tant qu'absolu objectif       Une épistémologie : la raison est le seul moyen qu'a l'homme de percevoir la réalité, sa seule source de connaissance, son seul guide pour l'action et son moyen basique de survie.       Une éthique : l'homme est une fin pour lui-même, et non un moyen pour les autres.                                                                            Une politique : le système politico-économique idéal est le capitalisme de laissez-faire (Sont «laissez-fairistes» tous les libéraux conséquents, se divisant essentiellement en anarcho-capitalistes qui pensent qu'on peut se passer complètement d'un Etat pour faire respecter la propriété légitime, et en minarchistes (c’est mon cas) qui jugent nécessaire, ou en tous cas inévitable, quelque forme d'organisation territoriale exclusive pour la défense des Droits, en particulier contre les envahisseurs étrangers (suivez mon regard). La suite ici.                                                                       Aussi comme Leonard Read qui a combattu les politiques économiques marxistes et keynésiennes qui prévalaient alors, réfutant les stupides accusations d'appauvrissement des fameux «travailleurs» par la «bourgeoisie» et rejetant les arguments keynésiens selon lesquels le capitalisme est instable et génère un chômage de masse ou Thomas Szasz un psychiatre d'origine hongroise établi aux États-Unis qui pensait qu’il n’existe aucune justification médicale, morale ou légale, aux interventions psychiatriques non-volontaires tels que le «diagnostic», l’«hospitalisation» ou le «traitement». Ce sont là des crimes contre l’humanité. D’ailleurs la psychiatrie punitive en URSS communiste était un système utilisé pour emprisonner les ennemis du peuple modérés ou dissidents dans les hôpitaux psychiatriques, appelés psikhouchka souvent sous le diagnostic de «schizophrénie torpide» ou «schizophrénie latente», «schizophrénie larvée», «schizophrénie lente», «schizophrénie stagnante». Certaines sources, datant de 2007-2009, signalaient que la pratique de l'abus de l'internement psychiatrique a toujours lieu dans la Russie contemporaine.     Par ailleurs, en se servant de l'argument de la «folie», l'État peut faire interner des opposants politiques, comme ce fut le cas en URSS marxiste. C'est pourquoi  Thomas Szasz ce psychiatre peu conventionnel a forgé la belle expression d'«État thérapeute», reprise depuis par de nombreux libertariens. Si vous adhérez à ces pensées justes et de simple bon sens, vous êtes mûrs pour un libertariannisme minarchiste de bon aloi.
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mauduit/blog(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Laurent Mauduit est un écrivain et journaliste d'investigation français spécialisé dans les affaires économiques, et la politique économique et sociale. Il travaille pour le journal en ligne Mediapart dont il est l'un des cofondateurs.                                             Encore un marxiste culturel qui touche du doigt la vérité. Caste, oligarchie et marxisme culturel sont un peu la même chose mais quand on en vit, il est un peu difficile de le dire surtout lorsqu’on a été proche de la gauche socialiste.
https://blogs.mediapart.fr/martine-orange/blog(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Madame Orange est une dirigeante de la société ; Société des Salaries de Mediapart - BFMBusiness.com. La plus belle des organisations de fabrication du consentement marxiste culturelle de France et de Navarre. Ce qui explique son blog en favori de l’ultra gauche.                                                                         Née le 15 janvier 1958 c‘est une ancienne journaliste spécialisée dans les affaires économiques, elle a été journaliste scribouillard à Valeurs actuelles (rubrique économie) de 1984 à 1989, à L'Usine nouvelle (grand reporter plumitif.) de 1989 à 1995, à l’immonde Monde (rubrique entreprises) de 1995 à 2005, à Challenges (rédacteur en chef adjoint) de 2005 à 2006 et à La Tribune (rédacteur en chef du service entreprises) de 2006 à 2008 avant de rejoindre l'équipe du journal de propagande marxiste culturel en ligne Mediapart.
https://reporterre.net/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Les Pastèques : Vert dehors, rouge dedans !

http://www.europe-solidaire.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
ESSF est une association de «solidarité» internationale. Son site est en français et en anglais. Traitant d'un large éventail de questions, il présente une information militante marxiste culturelle sur de nombreuses luttes d’ultra gauche et campagnes communistes et collectivistes ; ainsi que des articles de fond, des éléments de débats, des documents de nature divers mais surtout d’extrême gauche. Il se veut un outil utile à toutes celles et ceux qui «luttent» pour un monde solidaire et collectiviste.  
http://www.medelu.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Mémoire des luttes, un site très scientifique marxiste-léniniste de complices de crimes contre l’humanité.
Au fait savez-vous ce que pour ces braves gens est la Science? La Science, c'est, les yeux bandés, chercher un chat noir dans une pièce obscure.                                                                                      Et qu'est-ce que la Philosophie? La Philosophie, c'est chercher les yeux bandés dans une pièce obscure un chat noir qui ne s'y trouve pas.                                                                                         Et qu'est-ce que le Matérialisme dialectique? Le Matérialisme dialectique, c'est chercher les yeux bandés dans une pièce obscure un chat noir qui ne s'y trouve pas et s'écrier tout d'un coup : «Ça y est, je le tiens!».
https://wikirouge.net/Accueil(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Wiki Rouge vise à regrouper les plus stupides et criminelles  bases théoriques du marxisme, les analyses politique les plus idiotes, historiques dénaturées ou économiques collectivistes, les débats entre les crétins gauchistes immondes et plus largement des éléments sur potentiellement n'importe quel sujet présentés d'un point de vue communiste révolutionnaire débile et criminel contre l’humanité. Wiki Rouge se veut à la fois un outil au service des communistes révolutionnaires et un moyen de diffuser les plus nauséabondes et mensongères  idées marxistes, comme de :                                               Favoriser l'auto-formation mutuelle et l'élaboration en regroupant les éléments ou les liens vers les éléments pertinents et criminels contre l’humanité,                                                                                           Favoriser la formation en tendant vers des pages bien structurées et lisibles.                                                           Comme de favoriser la diffusion des absurdes idées gauchistes en présentant dans son incohérence l'analyse et la perspective communiste révolutionnaire.                                                                             L’église Wiki Rouge regroupe les derniers gardiens du dogme de la religion séculière marxiste. En 1942 Joseph Schumpeter, dans Capitalisme, socialisme et démocratie, dira : «Sous un certain aspect important, le marxisme est une religion. A ses fidèles il offre, en premier lieu, un système des fins dernières qui donnent un sens à la vie et qui constituent des étalons de référence absolus pour apprécier les événements et les actions ; de plus, en second lieu, le marxisme fournit pour atteindre ces fins un guide qui implique un plan de salut et la révélation du mal dont doit être délivrée l'humanité ou une section élue de l'humanité. Nous pouvons préciser davantage : le socialisme marxiste appartient au groupe des religions qui promettent le paradis sur la terre».                                                                                Et c’est ainsi que  Wikirouge.net comme  Wikipédia les spécialistes du mensonge permanent qualifient le coup d’état de Lénine en Russie de «révolution d'Octobre» qui marquerait la seconde phase de la «Révolution russe de 1917», après l’échec de la prétendue révolution de février. Son point d'orgue est l'insurrection du 24-25 octobre (6-7 novembre). Appuyé sur les soviets, le parti bolchévik de Lénine et Trotsky cette prétendue «insurrection» aurait réussi à donner et sans rire SVP une direction politique de classe qui mènerait en Octobre à la première vraie révolution prolétarienne, qui engendrerait une prétendue vague révolutionnaire en Europe. Mais l'échec écrasant de cette soi-disant vague isolera la jeune URSS et favorisera la bureaucratisation du nouveau régime et l'émergence du merveilleux stalinisme au 30 millions de morts dont deux million et demi de juifs. Cette constance dans la désinformation et le mensonge laisse voir combien l'illusion reste plus forte que la réalité quand le besoin de croire, propre aux hommes, se heurte au savoir, constitutif du vrai. Ce qui en dit davantage sur nous que sur l'histoire elle-même. Il est question de «révolution d'octobre» alors que tous les témoins de l'époque évoquent un coup d'Etat, à commencer par l'envoyé spécial de L'Humanité (celle de Jaurès), s'étant rendu sur place. «C'était plus aisé que de soulever une plume», commente Lénine au lendemain de la prise du pouvoir. Un an plus tard, dans la Pravda, l'organe des Bolcheviks parle bien de coup d'Etat pour célébrer l'anniversaire. C'est en octobre 1920 que le nouveau pouvoir transforme l'événement en geste révolutionnaire par le biais d'un spectacle son et lumière représentant une foule de gardes rouges à l'assaut du palais d'Hiver, symbole du peuple en arme. La fiction est reprise par le film d'Eisenstein, Octobre, produit et diffusé à l'occasion du dixième anniversaire. Cette version finit par s'imposer comme la vérité sur Octobre 1917. Si le terme de révolution évoque les bouleversements intervenus après cette prise du pouvoir, mieux vaut savoir de quoi il retourne concrètement: toute presse autre que celle des Bolcheviks est interdite dès le lendemain du coup d'Etat, le congrès des soviets (conseils d'ouvriers et de paysans), suspendu, dix jours plus tard. Le nouveau pouvoir décide de légiférer par décret. Un mois plus tard se met en place la police politique, la Tcheka, puis intervient en janvier 1918 la dissolution de l'Assemblée constituante élue démocratiquement, avant l'ouverture des premiers camps de concentration en juin 1918. Ce ne fut en rien une libération, y compris pour les ouvriers qui qualifièrent le nouveau régime, dès les premiers mois, de dictature sur le prolétariat.                                                                                                     «Il a été dit qu'il n'existait pas de parti, en Russie, prêt à prendre le pouvoir entièrement pour lui. Je réponds: si, il y en a un! Nous sommes prêts à chaque minute à prendre entièrement le pouvoir!», avait averti Lénine quatre mois avant octobre, au 1er Congrès des soviets. Ecrit en 1902, le Que Faire?, opuscule écrit par Lénine est l'essence même du totalitarisme, modèle que vont suivre par la suite tous les régimes communistes. Il n'a jamais été question pour les Bolcheviks de partager. Il suffit de se reporter au Que Faire?, écrit par le leader bolchevique en 1902. Son programme est annoncé. Ce texte permet de comprendre la tournure prise par le régime, avec pour fer de lance la fameuse dictature du parti mise en place au nom du prolétariat, qui conduit à l'instauration d'un parti-Etat tout puissant. C'est l'essence même du totalitarisme, modèle que vont suivre par la suite tous les régimes communistes. Ni les circonstances - la guerre civile avec les Blancs, postérieure aux premières mesures dictatoriales -, ni les déviations invoquées plus tard - stalinisme, culte de la personnalité, etc. - ne sont responsables d'une quelconque trahison du plan d'origine. C'est le programme communiste tel que Marx et Engels (le Manifeste de 1848) puis Lénine l'ont élaboré qui a été appliqué, en Russie puis ailleurs, avec parfois des variantes nationales souvent plus radicales: le maoïsme s'est révélé encore plus mortifère que le stalinisme, le polpotisme cambodgien plus destructeur encore que le maoïsme. Parler de «révolution d'octobre» donne une aura à l'événement, et permet de voir le processus communiste sous un jour favorable tant tout acte révolutionnaire correspond dans l'imaginaire collectif à une avancée positive dont le modèle reste 1789. Il n'est pas innocent que la propagande soviétique ait cherché à assimiler le coup d'Etat à ce moment fort de l'histoire française, cela l'est encore moins de continuer à le faire. Il en découle des mécanismes de défense qui cherchent à sauver l'idéal de sa réalisation, un cas unique au regard de l'histoire de ce XXe siècle totalitaire. L'immunité recherchée tient au projet même du communisme, annoncé comme l'ultime étape de l'humanité, l'âge de la félicité pour tous. Cette espérance repose sur l'une des plus vieilles revendications de l'être humain, l‘égalité, dont la plupart des religions avaient fait leur credo pour l'au-delà, avant que le marxisme-léninisme la promette ici et maintenant, ce qui a assuré son succès. Difficile de faire le deuil de cette aspiration si bien partagée, d'où les tentatives d'exonérer l'idéologie de sa pratique, donc de son bilan, pour n‘en garder que l'esprit, toujours chargé d'utopie. «Le communisme, c'est zéro pour toi, zéro pour moi», a dit un jour le numéro deux du régime khmer rouge devant de jeunes cambodgiens. C'est probablement la meilleure définition qui existe, mensonge compris. Les dirigeants communistes, eux, ne se sont jamais contentés de rien.
http://danielbensaid.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Encore un pur et dur marxiste qui n’est pas honteux ! Théoricien trotskiste français Ben Saïd qui brûle dans les flammes de l’enfer fut un dirigeant historique de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) et de la Quatrième Internationale. En dépit de toutes les preuves  Bensaïd affirmait qu'Octobre était bien une «révolution», «résultat de l'explosion, sous l'effet de la guerre, de contradictions accumulées par le régime autocratique tsariste», et non un coup d'État.
http://www.mirador-multinationales.be/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Décidément ces gauchistes belges sont parfois bien utiles une fois, par exemple tout savoir sur Fesse de Bouc.
http://www.ilfauttuertina.net/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
(There Is No Alternative) «Il n’y a pas d’alternative». C’est lors d’une conférence de presse en 1980, devant les correspondants américains à Londres, que Margaret Thatcher a prononcé cette phrase. Plus exactement, elle ajoute même un «vraiment» : «there really is no alternative» – pour bien signifier qu’il n’y a aucune échappatoire au marxisme culturel ambiant qui s’accommode d’un mondialisme néo-libéral et marxiste culturel. Cette rhétorique néolibérale a essaimé partout depuis. Elle sous-tend tous les discours politiques, les interventions des experts convoqués pour justifier les choix économiques. C’est un discours d’exercice du pouvoir, rarement un discours de campagne. En ce sens il est souvent un aveu d’impuissance : c’est la réalité qui accule à «devoir faire des sacrifices», «ce n’est pas de gaieté de cœur» mais «on n’a pas le choix,». Le TINA distille ainsi la petite musique libérale et produit progressivement, à force d’être ressassé, un resserrement du champ du possible. Et le minarchisme vous y pensez ?
http://droitsfemmescontreextremesdroites.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Encore pour changer un petit tour chez les marxistes culturels. Laissons-les se présenter : Le collectif unitaire «Droits des femmes contre les extrêmes droites» s’est créé pour lutter contre les fausses idées et le double discours soi-disant répandus par les extrêmes droites (Il y en a donc plusieurs). Il se donne pour objectifs d’informer sur les dangers de leur montée au ( ?...vers le ?) pouvoir, de dénoncer et décrypter la manière dont les partis dits d’extrême droite et mouvements traditionalistes et familialistes (elle vient de sortir celle-là) s’adressent aux femmes, notamment en instrumentalisant au besoin le discours féministe. Enfin nous voulons expliquer en quoi leurs actions et déclarations sont dangereuses pour les fameux «droits» des femmes.                                                                                                            Des féministes venu-e-s (sic) d’associations gauchistes, de syndicats marxistes, des : plumassiers des médias de la plus vulgaire plumasserie et de partis de gauche socialistes et communistes. Des féministes qui en auraient assez de voir resurgir les vieux fantômes du passé (Lénine, Staline, Mao, Pol Pot, Robert Mugabe ?). De plus nous avons vu que les patriotes Français sont traités de «familialistes» (Le familialisme (substantif à prononcer d’un air dégoûté) est une pensée qui fait de la famille un vecteur de dévolution des droits et de l’autorité politiques dans la société. Le familialisme s’attacherait donc de façon exagérée à la famille). Tiens ça me fait penser à l’expression typiquement marxiste culturelle de «famille monoparentale» aussi juste que le cyclope à deux yeux). Et ces «féministes» marxistes culturelles pensent ainsi appliquer la règle N°4 de la théorie marxiste culturelle qui est la destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation, pourtant la famille est l’institution de base d’une société démocratique et libérale, le Conseil de l’Europe l’a encore rappelé. Les droits de l’individu et de la famille forment une base constitutionnelle limitant les prérogatives de l’État. Ces «féministes» là, sont des haineuses, un peu comme le bolcho Anatoli Lounatcharski commissaire à l’éducation qui écrivait : «à bas l’amour du prochain. Ce qu’il nous faut, c’est la haine. Nous devons apprendre à haïr : c’est ainsi que nous arriverons à conquérir le monde !»                                                                                                                    Des féministes qui ne croient pas à la mutation, dédiabolisation de certaines composantes des extrêmes droites (Bou c’est vilain ça «LES» extrêmes droites surtout quand ce pluriel me parait bien singulier).
L’actualité mondiale (Comme en Chine ou au Zimbabwe ?), nous le montre à chaque instant : «le ventre est toujours fécond d’où a surgi la bête immonde». Mais le ventre mou de l’ordure marxiste culturelle est de plus en plus là et bien là ! En particulier la règle 12 de la  théorie marxiste culturelle qui est : la promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité.                                   Nous ne voulons pas de cette société-là disent-ils.
Afin de pouvoir remporter enfin des élections, l’ex Front et nouveau rassemblement National de madame Le Pen a décidé de raboter les angles, ravaler la façade, modérer le discours. Mais le vieux fond resterait le même : xénophobe, raciste, anti social, familialiste, antiféministe, lesbophobe et homophobe. Sans oublier pédophilophobe, zoophilophobe, et connassophobe !
Marine Le Pen prétend être défenseure ( ?) des droits des femmes pour séduire l’électorat féminin dont elle a un besoin crucial. Mais elle espère gagner des voix uniquement par la magie du verbe (au commencement était le Verbe). Car concrètement le FN ne ferait rien pour défendre les droits des femmes.
Nous féministes qui militons quotidiennement pour acquérir l’égalité femmes/ hommes et qui parlons donc en connaissance de cause estimons qu’il est de notre responsabilité de dévoiler cette mystification. Ce site y contribuera. Paroles, paroles !
https://www.editions-retz.com/auteur/anne-marie-chartier.html(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Agrégée de philosophie et docteur en sciences de l’éducation, Anne-Marie Chartier est enseignant-chercheur et maître de conférences au Service d'Histoire de l'éducation de l'INRP. Ses recherches ont d’abord été menées dans le département de didactique de l’INRP (enseignement des mathématiques à l’école élémentaire) comme professeur associé, de 1974 à 1980, puis au Service d’Histoire de l’Éducation (lecture et de l’écriture dans l’enseignement primaire) comme chercheur associé (1994-1996), puis comme enseignant chercheur à partir de 1996. Ses publications récentes concernent l’histoire de la scolarisation de l’écrit, les méthodes d’enseignement de la lecture en France et en Europe occidentale, et plus largement, l’histoire de la formation des maîtres et des pratiques d’enseignement. Quelle merveilleuse pédagogue marxiste culturelle ! Et puis quels résultats !                                                                 Pourtant c'est une étude inquiétante qui vient d'être publiée par le ministère de l'Éducation. À partir des tests conduits sur 713 000 participants à la Journée défense et citoyenneté (JDC) en 2018, le ministère affirme que plus d'un jeune Français sur dix est «en difficulté de lecture» et un sur vingt en situation d'illettrisme. Sur ces fameux «jeunes» âgés de 16 à 25 ans, 11,5 % «sont en difficulté de lecture», indique une note de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), qui dépend du ministère de l'Éducation. Ceux qui rencontrent les difficultés les plus sévères et qui représentent 5,2 % de l'ensemble «peuvent être considérés en situation d'illettrisme» caractérisé notamment par «un déficit important de vocabulaire». Les jeunes du niveau au-dessus (6,3 % de l'ensemble) ont, quant à eux, «un niveau lexical oral correct, mais ne parviennent pas à comprendre les textes écrits». On trouve ensuite, selon les données de l'enquête, 10,9 % de jeunes «aux acquis limités», qui «parviennent à compenser leurs difficultés pour accéder à un certain niveau de compréhension». Pour ces profils, la lecture «reste une activité laborieuse, mais qu'ils savent mettre en œuvre pour en retirer les fruits». Quelque 77,6 % de jeunes sont enfin des «lecteurs efficaces», selon la Depp. Quel dommage que comme aux états unis les statistiques ethniques n’existent pas en France
Chris Hedges écrivait le 4 septembre 2016 : «Nous vivons dans deux États-Unis. Une partie des États-Unis, maintenant minoritaire, qui fonctionne dans un monde lettré basé sur l’écriture imprimée et qui est en mesure de faire face à la complexité et possède les outils intellectuels pour différencier l’illusion de la vérité. L’autre partie des États-Unis, qui est majoritaire, évolue dans un système basé sur la non-réalité elle-même basée sur la croyance. Elle est dépendante des images habilement manipulées pour son information. Elle s’est écartée de la culture basée sur l’écriture imprimée. Elle ne sait pas différencier les mensonges de la vérité. Elle est informée par des narratifs et des clichés simplistes et puérils. Elle est assujettie au désarroi par l’ambiguïté, la nuance et l’autoréflexion. Cette fracture, plus que la race, la classe ou le sexe, plus que le rural ou l’urbain, le croyant ou l’incroyant, « Républicain » ou « Démocrate », a divisé le pays en entités radicalement distinctes, infranchissables et antagoniques». La suite en cliquant ici.                                                                          Savez-vous qu’aux USA et d’après le Monde diplomatique (Un journal raciste ?) que : Extrait de l’article : «Dans les écoles publiques des grandes villes, les élèves blancs ne représentent qu’environ 15 % du total ; la rotation et l’absentéisme des enseignants y sont la règle ; le niveau des jeunes y est extrêmement médiocre. Plus de la moitié des Noirs de dix-sept ans sont considérés comme des «illettrés fonctionnels». Les Noirs des catégories inférieures évoluent dans le monde clos et homogène des HLM et des quartiers insalubres. Les hommes sont au chômage ou ne cherchent même plus un emploi, quand ils ne sont pas absents, ou drogués, ou en prison, ou encore victimes d’un meurtre».
http://nouspresidentes.org/#revendications(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Encore des «féministes» avec des utopies marxistes culturelles plein la chetron ! Les mêmes qu’ici : http://droitsfemmescontreextremesdroites.org/ mais en mieux ! C’est ainsi qu’elles déclarent : «Si Nous étions Présidentes, Changeons la vie entière ! Un programme impossible, irréaliste diront certain-es (?). Juste un programme qui colle à nos besoins, nos vies d'aujourd'hui, nos vies brisées par le patriarcat, le racisme et le capitalisme. Nos vies à reconstruire ensemble. Des revendications qui pourront nous donner du souffle et de la force pour faire advenir un monde libéré des entraves qui, chaque jour, nous brisent, nous tuent, nous violent, nous frappent, nous licencient. Un programme pour changer la vie entière, celle de tous les jours, celle de tous nos jours. Mais elles ne s’arrêtent pas là, oh non. Elles s’exclament : «Nous avons 20 ans, le plus bel âge. Notre Collectif National pour les Droits des Femmes a 20 ans. Jeunes mais déjà riches de combats, de luttes, de réflexions qui ont forgé notre expérience. Nous sommes nées dans les luttes. Celle de juin 1995 contre la volonté du régime chiraquien post mitterrandien d'amnistier les commandos anti avortement. Celle de la manifestation du 25 novembre 1995 où 40 000 personnes venues de toute la France ont manifesté pour les droits des femmes à l'appel de la Coordination des Associations pour le Droit à l’Avortement et la Contraception. Celle du formidable mouvement social de novembre décembre 1995 contre le plan Juppé sur la Sécurité sociale. Nous travaillons sans cesse pour l'unité des luttes en faveur des droits des femmes. Nous réunissons en notre sein des associations féministes, des syndicats et des partis de gauche et d'extrême gauche car les féministes sont partout. Nous sommes féministes lutte de classes car nous croyons que, comme le combat féministe, le combat contre le capitalisme est toujours d'actualité. Nous soutenons les combats des femmes contre la précarité, des ouvrières en lutte pour leur dignité, des femmes et hommes sans papiers pour leur régularisation. Nous nous fixons comme objectif de faire passer dans les faits, dans la pratique, l’égalité formelle que les femmes ont conquise durant tout le vingtième siècle et le début du vingt et unième. Car le problème est bien là : nous avons obtenu l'égalité des droits mais pas l'égalité dans la réalité. Nous intervenons dans tous les domaines pour faire avancer l'égalité. Nous avons été de toutes les manifestations en 2016 contre la loi travail comme en 2010 contre la réforme des retraites de Sarkozy. Nous avons avec d'autres structures mené une campagne pour l'égalité salariale entre les femmes et les hommes en 2011 et 2012. En 2007 nous avons rédigé une "proposition de loi cadre contre les violences faites aux femmes" qui, après un long cheminement, a donné lieu au vote de la loi du 9 juillet 2010. La fameuse, celle qui a instauré l'ordonnance de protection. Nous avons impulsé, en 2016 toujours, le collectif "Droits des femmes contre les extrêmes droites" pour lutter contre leur idéologie raciste, sexiste, nauséabonde et leur démagogie concernant les femmes».
http://www.inprecor.fr/home(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Informations et analyses publiées sous la responsabilité du Bureau exécutif de la IVe Internationale. Les liens analysés ici sont évidemment outre très marxistes et pour certains marxistes culturels, mais surtout de tendance trotskiste.
La Quatrième Internationale est une organisation communiste (trotskiste) fondée en 1938 en France par Léon Trotsky, à la suite de l'exclusion violente des oppositions communistes de la IIIe Internationale, à la répression qui s'est abattue sur les opposants en URSS et face au constat qu'il était impossible de militer dans le mouvement communiste officiel désormais verrouillé par la «bureaucratie» stalinienne.
Les trotskistes sont comme les autres communistes marxistes des propagateurs de la haine la plus virulente comme un Anatoli Lounatcharski un bolchévique de la première heure commissaire à l’éducation qui écrivait : «à bas l’amour du prochain. Ce qu’il nous faut, c’est la haine. Nous devons apprendre à haïr !». La Quatrième Internationale a bien retenu la leçon !
http://csamary.free.fr/csamary/Accueil.html(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Madame Samary (Catherine de son prénom) a été jusqu'à sa retraite enseignante à l'Université Dauphine à Paris . Elle est membre de la Quatrième Internationale réunifiée (une internationale trotskyste) et de son vaste organe de direction international, le Comité international. Elle a été cofondatrice de ce qui a été pendant de nombreuses années sa plus grande section, la Ligue communiste révolutionnaire.                                                         Madame Samary a obtenu son doctorat en économie en 1986 à l’Université Paris X: Nanterre. Elle a ensuite été chargée de recherche à l'Institut du monde soviétique et d'Europe centrale et orientale (IMSECO). Ses recherches portent sur cinq thèmes:
1.  questions théoriques et pratiques du socialisme
2.  analyse des expériences socialistes et, en particulier, des implications de leurs réformes et crises relatives à la Yougoslavie et à d'autres nations
3.  questions concernant la planification, les relations de marché de la propriété, la démocratie
4.  mondialisation et restauration capitaliste - aspects comparatifs, questions théoriques  
5.  critères d'efficacité et de justice sociale en économie                                  
Elle collabore régulièrement aux quotidiens Le Monde diplomatique , International Viewpoint et Tout est à nous
C’est quand même grâce à madame Samary que je me suis un peu plus renseigné sur l’histoire du «trotskysme». Merci madame.                                                                                      Trotski jouit en France d’une aura surprenante et totalement usurpée. Les trotskistes ont réussi à introduire une distinction entre le stalinisme et le communisme. Un grand nombre de pseudos intellectuels de gauche ont une vision trotskiste de l’histoire : Staline aurait été un tyran sanguinaire qui a dévoyé la belle doctrine communiste démocratique, pacifiste, humaniste et progressiste prônée par Lénine et Trotski.                                                                              Rien n’est plus éloigné de la vérité. Trotski a été tout aussi sanguinaire que Staline et s’il n’a que quelques 6 à 10 millions de morts à son actif dont au bas mot de un à deux millions de juifs– contre une trentaine de millions pour Staline – c’est uniquement parce qu’il a disposé de moins de temps. Trotski, de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein, est né en 1879 d’une famille juive bourgeoise. Il adhère très jeune aux idées communistes et est interné sous le Tsar. Il réussit à s’évader et fait plusieurs séjours à Paris et à Londres. Il soutient alors des thèses relativement démocratiques de prise du pouvoir, proches de celles des Mencheviks mais devient rapidement un juif Erev Rav qui n’a plus de «juif» que le nom et encore. Il rejoint Lénine en mai 1917 et participe avec lui au coup d’état dit très abusivement révolution d’octobre. Il est chargé de former la sanguinaire Armée Rouge (23 février 1918) pour combattre les Russes Blancs et les troupes étrangères qui les soutiennent (Français, Anglais, Polonais, Tchèques, Hongrois). Son influence augmente au sein du trio qu’il forme avec Lénine et Staline et il érige (contre l’avis de Staline) les principes du bolchévisme :                                                                                 La noblesse russe a contrôlé la Russie avec quelques centaines de milliers de personnes et les bolcheviks doivent faire de même.                                                                                          L’état bolchévique est un état ouvrier constitué d’ouvriers industriels et d’ouvriers agricoles. Toutes les autres classes sont abolies et la bourgeoisie doit être exterminée.                                          Les bolcheviks contrôleront les ouvriers en interdisant les syndicats et les associations et en réprimant toute contestation. Les révoltés pourront être massacrés en toute légitimité car le bolchévisme, c’est le parti des ouvriers.                                                   Les paysans sont une sous-race et ils doivent être transformés en ouvriers agricoles sous le contrôle bolchevique,                                La monnaie est supprimée. L’état se charge de la production et de sa répartition vers chaque ouvrier.                                                     La révolution prolétarienne ne peut se limiter à un pays mais doit se propager par les armes, comme l’avait fait en son temps l’islam. L’Armée Rouge doit être l’instrument de la révolution universelle par les armes.                                                                              Les méthodes de Trotski sont radicales :                                                  Dans l’Armée Rouge, 30% des officiers blancs sont maintenus à leur poste. Leurs familles sont prises en otage et massacrées en cas de désertion ou de défaite.                                                                   La famine est organisée afin de soumettre les paysans. De nombreux paysans russes sont enrôlés comme ouvriers industriels dans les industries d’armement et dans l’Armée Rouge. La production agricole russe ne suffit plus à nourrir le pays et les récoltes sont partiellement puis totalement confisquées. C’est ainsi que l’Ukraine est pillée pour nourrir la Russie ce qui amènera l’holodomor sciemment organisée par Staline et ses acolytes au 9 millions de morts dont environ 2 millions de juifs.                                                                     Des milliers de popes (prêtres chrétiens orthodoxes) sont passés par les armes car ils sont jugés non intégrables dans le bolchévisme.                                                                                             Le travail forcé est érigé comme un «principe du socialisme».           Les alliés d’hier sont massacrés une fois le succès obtenu. Trotski est devenu le spécialiste de l’alliance-trahison. Il a utilisé les Mencheviks, les Anarchistes et les Socialistes Révolutionnaires puis les a fait exécuter.                                                  Trotski a été l’instigateur de la Terreur Rouge qui visait à l’extermination totale de la bourgeoisie. Les directives de la Tcheka étaient claires : «Nous ne faisons pas la guerre contre les personnes en particulier. Nous exterminons la bourgeoisie comme classe. Les seuls critères à appliquer sont l’origine, l’éducation, l’instruction et la profession». Trotski a également été la main armée du massacre des cosaques du Don. La «décosaquisation» répond largement à la notion de génocide : l’ensemble d’une population exterminée en tant que telle, les hommes fusillés, les femmes et les enfants déportés, les villages rasés. Dans l’imagerie d’Epinal qui entoure le personnage, Trotski est souvent représenté en héros libérateur sur le marchepied de son fameux train blindé. C’est un train hérissé de canons et de mitrailleuses qui est utilisé comme moyen de pénétration, de terreur et de conquête. Le train avance en arrosant tout ce qui bouge sur son passage. L’Armée Rouge avait à l’origine 20 trains et en a eu jusqu’à 280. Trotski laissait croire qu’il y en avait beaucoup mois pour donner l’illusion qu’il était partout. Dans son train blindé, il avait deux cents hommes à son service et faisait enlever des jeunes filles sur son passage pour assouvir ses besoins sexuels. Il était toujours habillé comme un dandy et, pendant la guerre, faisait venir son tailleur de Londres. Evidemment, ce nauséabond aspect du personnage est moins connu.                                                      De 1918 à 1921, Trotski entra dans une paranoïa de plus en plus radicale au point d’inquiéter Lénine et surtout Staline. Développant l’idée de la Révolution Internationale Armée, il passa en 1919 un accord avec l’extrême droite militariste allemande, tout en continuant à soutenir les Spartakistes. Il pensait que les Spartakistes prendraient, avec son aide, le pouvoir en Allemagne et que les militaires voudraient laver l’affront du Traité de Versailles. Son but ultime était donc la France. Pour cela, il fallait commencer par balayer la Pologne qui se trouvait sur son chemin. Heureusement, le général Josef Pilsudski était bien renseigné et avait vu venir l’invasion de la Pologne. La France (le général Weygand) et l’Angleterre avaient accepté de lui envoyer des armes en quantité. Trotski rassembla une immense armée en mars 1920. Elle était censée pouvoir se confronter à la France et était composée de plus de 800 000 soldats russes sur le front polonais (avec une concentration de 5,5 millions de soldats entre Moscou et la frontière polonaise sur un total de près de 10 millions mobilisables), de 3 000 canons et mitrailleuses, de 250 trains blindés et de quatre divisions allemandes avec 6 000 officiers. En fait l’Allemagne et la Russie avaient déjà signé des accords secrets pour construire des usines d’armement et utiliser les camps d’entrainement en Russie, en violation du Traité de Versailles. De nouvelles lois, de nouvelles réglementations, des tracts, avaient été préparés par un groupe d’une centaine de français installés à Petrograd. La soudure Russie-France devait se faire par les chemins de fer allemands et des bogies au standard européen avaient été fabriqués. Les Polonais avaient averti le gouvernement français qui n’a néanmoins pris aucune mesure. Face à Trotski, l’armée polonaise disposait de 700 000 hommes et pour tous, il ne s’agissait que d’un combat pour l’honneur polonais.                                                                                   En France l’insurrection armée se préparait à recevoir les sauveurs. Pendant ce temps, l’antimilitarisme et le pacifisme ambiant servaient de bouclier et nul ne semblait se préoccuper de cette menace. Quelques-uns néanmoins avaient compris le danger, tels De Gaulle alors détaché en tant qu’observateur. La victoire de Trotski et une invasion de la France par les bolchéviques auraient plongé le pays dans une ère glaciaire dont nul n’a idée aujourd’hui.                                                             L’armée polonaise s’était fortement implantée sur la Vistule pour protéger Varsovie. Le général Pilsudski prit ses adversaires par surprise en menant à la fois une bataille de positionnement et de mouvement qui balaya le dispositif germano-bolchévique assez dispersé. La bataille a commencé le 6 août et le 14 août l’Armée Rouge se retirait en désordre poursuivie jusqu’au Niémen par les troupes polonaises. Le décryptage des communications radio de l’Armée Rouge a joué un rôle décisif dans la victoire. Il faut cependant remercier Staline qui, contredisant les ordres de Trotski, a interdit au général Boudienny, commandant l’armée du sud (Lwow), de faire mouvement sur Varsovie. Avec la défaite de Varsovie, l’étoile de Trotski dans le trio d’assassins qu’il formait avec Lénine et Staline a commencé à pâlir.                                                        La bataille de la Vistule est probablement l’une des batailles les plus spectaculaires et les plus déterminantes de tout le XXème siècle car elle a permis d’arrêter un fou furieux voulant imposer sa paranoïa à l’Europe entière. Pourtant le monde libre n’a pas élevé de statue au général Pilsudski. Il est mort en 1935 en mettant en garde la France et l’Angleterre contre le danger nazi qu’il aurait voulu combattre par des frappes préventives à l’ouest et à l’est.                                                                       Trotski n’en est pas resté là. Les guerres une fois terminées, le peuple russe réclamait plus de liberté. C’est ce que demandèrent les soldats russes rentrés à leur base de Kronstadt. Trotski refusa toute négociation et fit massacrer les soi-disant mutins. Ils lui lancèrent : «Ecoute Trotski ! Tant que tu réussiras à échapper au jugement du peuple, tu pourras fusiller les innocents par paquets». Mais il est impossible de fusiller la liberté. Elle finira par se frayer son chemin. La révolte de Kronstadt fut écrasée en mars 1921. Seuls s’échappèrent ceux qui traversèrent le golfe de Finlande sur la mer gelée. Leurs familles restées à Petrograd furent toutes démocratiquement massacrées. Mais la révolte grondait et malgré les menaces de Trotski, Lénine et Staline réussirent à l’écarter en le destituant de son poste en 1922. Il fut exclu du parti en 1927 puis expulsé. Staline a alors abandonné la révolution universelle par les armes au profit d’une révolution prolétarienne par pays. Trotski séjourna en France, en Angleterre, en Norvège avant d’être reçu à bras ouverts par le président Mexicain Lazaro Cardosa, membre du Parti Révolutionnaire International. Trotski a effectué quatre séjours en France. Les deux premiers en 1902 et 1903 furent brefs. Le troisième fut nettement plus long et dura de novembre 1914 à octobre 1916. Enfin de juillet 1933 à juin 1935, son quatrième séjour lui donna l’occasion de nouer de nombreux liens avec des «intellectuels» (autre nom du coco) et des syndicalistes, que l’on commencera à appeler trotskistes. C’est en France que fut fondée la 4ème Internationale, le 3 septembre 1938,  destinée à combattre les idées de Staline. Trotski était alors au Mexique mais il avait suffisamment de relais en France. Trotski a été blessé mortellement le 20 août 1940 par Ramon Ramirez (alias Jacques Monard ou Franck Jackson). Le gouvernement mexicain monta alors une machination pour faire croire que le bras de l’assassin avait été armé par Staline. En fait, il s’agissait simplement d’un agent de liaison de Trotski avec les réseaux terroristes actifs en Russie. Il a tué Trotski en lui disant : «Tu n’es qu’un salaud. Tu as tout ce que tu mérites». La propagande trotskiste présente son héros à travers son ouvrage «Ma vie», dans lequel ce pauvre pacifiste relate qu’il a dû malheureusement défendre ses idéaux les armes à la main. La réalité, c’est que le bilan des années Trotski est terrible :Massacre de près d’un demi-million d’ouvriers et de paysans révoltés entre 1918 et 1922,                                                       Ecrasement de la révolte de Kronstadt,                                              Famine de 1922 provoquant la mort de neuf millions de personnes,                                                                                    Liquidation et déportation des Cosaques du Don en 1920,               Assassinat de centaines de milliers d’otages ou de personnes emprisonnées dans les camps du Goulag.                                             Trotski n’a rien à envier à Staline : on peut l’élever au rang de boucher de l’histoire. Voir ici sur DreuzInfo l'article qui fait gerber les cocos et qui explique bien des choses. Et si on continuait encore un instant avec le grand criminel contre l’humanité Trotski ? Le mot «trotskyste» (ou trotskiste, voire trotzkiste) apparaît dans la culture communiste au milieu des années 1920. Ce mot dénie aux partisans du juif érèv rav Lev Davidovitch Bronstein (dit Trotsky) le droit d'utiliser l'adjectif «communiste». Le Parti communiste bolchevique d'URSS et le Komintern séparent «le bon grain de l'ivraie» en utilisant ce qualificatif. A de nombreuses reprises les tenants du Komintern vont chercher dans l'œuvre de Lénine, puis de Staline, une justification de ces propos ; Trotsky et les trotskystes deviennent des «liquidateurs du parti prolétarien», des «contre-révolutionnaires», etc. Dans un premier temps, les partisans de Trotsky se veulent les continuateurs de Lénine et utilisent les termes de bolchevik, bolchevik-léniniste. Mais l'usage, la pratique et la violence qui vont jusqu'à l'assassinat de Léon Trotsky, font que le mot est finalement revendiqué par ses partisans. Car une insulte peut être détournée et prendre un sens positif ; c’est alors que les familles politiques héritières de Léon Trotsky dénient aux «frères rivaux», le droit d'utiliser le mot «trotskyste» ; ainsi naissent les adjectifs «lambertistes», «pablistes», «posadistes», etc.                                                          Qui sait que depuis 1920, la santé de Lénine n’ayant cessé de se détériorer, il est absent de Moscou pour de plus longues périodes de temps, et le régime est dirigé par Trotsky numéro deux du pays ? Trotski est responsable de la famine russe de 1921, aussi connue comme «Povolzhye», qui a commencé au début du printemps 1921 et a duré jusqu’à 1923. Elle a tué environ 6 millions de personnes, affectant principalement les régions de la Volga et de la rivière Oural (à ne pas confondre avec l’Holodomor de 1932 en Ukraine et ses 10 millions de morts). La famine a été provoquée par une combinaison d’effets. Les sécheresses intermittentes de 1921 ont exacerbé les erreurs dramatiques de la politique économique marxiste centralisée et collectiviste de Trotsky. Jeff Jacoby dans The Boston Globe du 7 décembre 1995 écrira : «Pour le pur mal meurtrier, il n’y a jamais eu de force comparable au communisme et à Léon Trotsky… jamais auparavant ou depuis lors un peuple n’a construit une vaste industrie de la mort dans le seul but de rassembler et détruire chaque membre d’un autre peuple. Les bolcheviques, sous les ordres et sous la direction de Trotsky, ont tué tant d’Européens que le nombre de morts dépasse les 100 millions».                                                                Les attaques du stalinisme. D’abord analysé par Staline comme une déviation social-démocrate et petite-bourgeoise lors de la lutte de la «troïka» contre Trotsky, le trotskysme devient en 1927 «antiprolétarien, antisoviétique et contre-révolutionnaire», et finit par être un «détachement d’avant-garde de la bourgeoisie contre-révolutionnaire». Après 1935, en URSS, l’attaque et l’insulte dans le discours communiste gagnent encore en intensité. La théorisation de Staline (la lutte des classes ne cesse de s’intensifier au fur et à mesure de l’édification de la société socialiste) légitime d’un point de vue doctrinaire des insultes dont la violence annonce et banalise la sentence finale. Le trotskisme est devenu l’ennemi politique emblématique qui justifie la répression la plus impitoyable. L’insulte fait partie du processus de discrédit qui légitime ensuite la liquidation physique. Le processus comporte deux volets. Staline lui donne personnellement sa formulation théorique dans  «Pour une formation bolchevique», le rapport qu’il présente à l’Assemblée plénière du Comité central du PC(b)R le 3 mars 1937 : «Le trotskisme a cessé d’être un courant politique dans la classe ouvrière ; de courant politique qu’il était sept ou huit ans plus tôt, le trotskisme est devenu une bande forcenée et sans principes de saboteurs, d’agents de diversion et d’assassins agissant sur ordre des services d’espionnage des Etats étrangers».                                                           Dès le début 1937, en France L’Humanité relaie les analyses soviétiques et titre : «Le procès des trotskistes de la Gestapo. Pour les dix-sept traîtres la peine de mort est requise…»  (19 janvier). Couplés à cette dénomination, on trouve ensuite une grande diversité de qualificatifs : «provocateurs», «aventuriers», «antiléninistes» et «anticommunistes», «faux révolutionnaires» et «petits-bourgeois gauchistes», en particulier lors des événements de Mai 68. L’insulte la plus infamante est sans doute celle d’«hitléro-trotskyste», qui connaît son heure de gloire des années 30 aux années 50 pour dénoncer la complicité et la proximité de nature socialiste entre les trotskystes et les ennemis acharnés de l’URSS. En 1978, Gilles Martinet va jusqu’à parler de l’antitrotskysme, dont les communistes ont été le principal vecteur, comme de «l’antisémitisme du mouvement ouvrier» (Rouge, n°659, 30 mai 1978). Actuellement, le PCF qui tient son comité central dans une cabine téléphonique (sa mère), a pratiquement renoncé à insulter les trotskystes (Ils en donnent même leur lien Internet). Restent aujourd’hui d’actualité les «insultes» à caractère religieux. «Sectaires», «fanatiques», gardiens du temple», «gourous» (Hardy, Lambert), «Torquemada du trotskisme» (Arlette Laguiller) ;  «Chapelles», « […] dernier cercle de l’enfer où s’agite en monologuant la multitude confuse des sectateurs livrés à leurs obsessions» (les organisations trotskystes du début des années 70 selon le maoïste Kostas Mavrakis). C’est avec monsieur Patrick Besson qui nous dit avec beaucoup d’humour: «Staline avait raison !  Qu’on rigole le plus. «Il est temps de rendre justice à Joseph Staline, l'un des hommes politiques les plus diffamés du XXe siècle. Surtout par les intellectuels. Les intellectuels trotskistes. Grâce à l'historien britannique Robert Service et à son livre «Trotski» (Perrin, 27 euros), on s'aperçoit qu'au contraire de la gauche et de l'extrême gauche européennes le maréchal avait tout de suite vu juste sur la nature réelle et le véritable caractère de l'auteur de «La révolution d'octobre». Le chouchou d'André Breton, l'idole de Maurice Nadeau, le maître d'Alain Krivine, le gourou de Michel Field et le modèle d'Edwy Plenel est loin d'être le saint laïc auquel ces trotskistes ou ex-trotskistes ont tenté de nous faire croire, y croyant eux-mêmes avec une naïveté non stalinienne. Car Staline, lui, ne s'y est pas trompé. Avec quatre-vingts ans d'avance. Il a tout de suite noté les insuffisances psychologiques, morales et politiques du pacifiste fondateur de l'Armée rouge. Dieu sait le nombre de commentaires désagréables, voire haineux, que cela lui a valus. On lui aurait pardonné bien des choses mais s'en prendre au divin Trotski, le Mozart du marxisme, le Debussy de la dictature du prolétariat, le Fauré de la lutte des classes, c'était un crime majeur contre la pensée, la révolution, l'humanité. Le bon Léon martyrisé par le mauvais Joseph, c'est ainsi qu'on nous a raconté l'histoire de ces deux hommes, alors que c'était celle du mauvais Léon battu - à cause de son étourderie, de son orgueil, de sa paresse, de sa négligence - par le pire Joseph. Si Staline le visionnaire n'avait pas agi avec l'efficacité que ses plus féroces ennemis sont bien obligés de lui reconnaître, quels crimes abominables ce Narcisse, ce névrosé, ce suicidaire de Trotski, aurait fini par commettre contre le peuple russe et tous les autres peuples lors de son absurde, irréalisable et meurtrière révolution permanente ? Le trotskisme, c'était bien. C'était le communisme sans le goulag, le socialisme sans la Loubianka, la dictature du prolétariat sans dictature. Ni prolétariat. Une religion fondée par un écrivain, comme la dianétique. Les héros du trotskisme sont restés des martyrs, ceux du communisme sont devenus des salauds : le choix de la bonne conscience était vite fait. Assassiné, Trotski était innocenté de ses assassinats. Du coup, ses partisans aussi. La joie trotskiste était celle de l'innocence. Les mains sales de Sartre s'enfuyant devant les mains propres de Besancenot. Que pouvait-on reprocher aux trotskistes, puisque Trotski n'avait pas eu le temps de faire mal, je veux dire de mal faire ? Les cocos et les maos ne pouvaient pas en dire autant. Obligés de faire profil bas quand les trotskistes portaient beau. Aujourd'hui, les voilà dans le même sac que celui où ont été noyés, avant eux, ceux qu'ils appelaient uniformément les staliniens. Trotski n'aura survécu, dans le cœur des honnêtes gens de gauche, que quelques décennies de plus que Staline. C'était quand même un meilleur écrivain. La preuve : il vendait beaucoup moins de livres.
https://thenextrecession.wordpress.com/2017/09/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Michael Roberts est l’exemple du marxiste culturel trotskiste odieux complice de crimes contre l’humanité dit économiste marxiste. L'auteur de La longue dépression: le marxisme et la crise mondiale du capitalisme (Haymarket 2016) écrit régulièrement des commentaires et des analyses sur son blog: Michael Roberts Blog. Un Blog puant dans la langue des maudits Anglois qui annonce: blogging from a marxist economist. Ce blog nous donne une liste toujours en Anglais de sites marxistes collectivistes ineptes : Alan Freeman. Andrew Kliman. Anwar Shaikh. Blog de boitempo Brasil. Christian Fuchs. Critique of crisis theory. David Harvey. Duncan Foley. Edward Wolff. Flassbeck Economics. Flip Chart Fairy Tales. Fred Moseley. Gerard Dumenil/Dominic Levy. Jim Kincaid. John Ross. Kapitalism 101. Leap. Marxist economics. Marxist Sociology. Michel Husson (Déjà dans notre liste). Progressive Economists. Real World Economics Review. Redline. Rolando Astorita. Socialist Economics Group. Steve Keen. Tony Norfield. Union of Radical Political Economists.                                                            Monsieur Henri Dumas qui reflète bien mon opinion écrira: «Karl Marx et tous les autres qui, aujourd’hui encore, poursuivent le capital pour le taxer, l’affaiblir, voire le détruire, préparent leur misère… Depuis que les mathématiciens ont mis l’économie en équation il parait que c’est une science. Il est possible que ce soit vrai, j’en doute. En revanche, une chose est sûre, apprendre la théorie économique est difficilement compatible avec les contraintes de sa pratique. Il y a déjà quelques siècles que les érudits se penchent sur la théorie. Lire ce qu’ils ont écrit, toutes tendances confondues, est une occupation à plein temps. Je ne parle même pas de le comprendre. Or, comment prétendre connaître la théorie économique, en parler, donner son avis, sans au préalable avoir au moins lu sinon compris l’intégralité de ce qui en a été dit ? Inversement, pratiquer l’économie est une activité si prenante qu’elle laisse bien peu de temps pour la lecture, donc pour l’étude théorique du sujet. D’un naturel optimiste, j’ai cru, jusqu’à une date récente, pouvoir faire les deux. Imbécile que j’étais. Je vous rassure, cette idée m’a totalement abandonné. Je m’en trouve libéré. La vérité, je m’en fous, la science économique et ses théories aussi. Du coup, sur ce sujet, je ne vois plus d’inconvénient majeur à dire ce que je pense, qui découle de mon expérience pratique, d’un peu de théorie et surtout, je l’espère, d’une bonne dose de bon sens.                                                                                                     En premier lieu, je suis arrivé à la conclusion que l’économie est à la base de tout, que toute organisation sociale qui ne la privilégie pas est vouée à l’échec (…). En second lieu, je suis arrivé à la conclusion que le capital est le socle de tout, particulièrement des progrès de l’humanité. Ma définition du capital est simple : le capital est le fruit à l’instant “t” de l’accumulation. Toute accumulation devient un capital, sans préjuger de son intérêt ou de son usage bénéfique ou maléfique, quelle que soit sa qualification. L’accumulation (ou capital) est indépendante de celui qui l’accumule, transmissible, variable constamment en plus ou en moins. Elle peut être matérielle, biens et monnaie, mais aussi intellectuelle, bibliothèque et savoir. Ou encore spirituelle, politique ou scientifique, etc… Son existence est indispensable à l’humanité, quel que soit celui qui la possède. Cette accumulation est la marque de l’homme, lui seul en est capable, c’est ce qui le différencie de l’animal. C’est sur l’accumulation du passé que se construisent le présent et sa projection le futur dont le succès se traduira en augmentation de l’accumulation, l’échec en diminution.                                                                                                   Une fois d’accord sur la définition, précisons que le capital (accumulation) est le résultat, il ne peut être en aucun cas confondu avec les moyens.                                                                           Les moyens sont, d’abord la matière première, puis les outils matériels ou humains, usines ou travailleurs, terre ou paysans, laboratoires ou chercheurs, religions ou prêtres, États ou hommes de l’État, etc… ce sont eux qui augmentent ou diminuent le capital en fonction des résultats de leur activité, mais ils ne sont pas le capital.                                                                  Donc, en introduisant l’idée du capital-travail Karl Marx a commis une erreur monumentale. Le travail et les travailleurs ne sont qu’un moyen, qui évidemment par son activité va influer sur l’augmentation ou la diminution du capital, mais pour partie uniquement.                                                                               Cela posé, il me parait que l’on peut affirmer que l’augmentation du capital est bénéfique pour tous, ce doit être le but poursuivi par tous. Sa diminution est dangereuse, régressive. En donnant du capital une définition erronée, qui plus est susceptible de nuire à sa pérennité, la pensée de Karl Marx ne pouvait qu’enfanter des organisations vouées à la dégradation du capital, donc à leur propre mort. Il n’est pas douteux que la pensée de Karl Marx a introduit dans nos sociétés une haine irrationnelle du capital économique. Cela tient au fait que la masse de ceux à qui l’on a fait croire qu’ils sont ce capital, alors qu’ils ne le sont pas, imaginent qu’en les privilégiant on assurerait la pérennité du capital. Ils se voient donc en concurrence avec le véritable capital (l’accumulation) et pensent en le réduisant servir dans le même temps leur intérêt et celui de la collectivité. Erreur fatale.                                               C’est l’exact contraire qui se passe. En affaiblissant le capital ils affaiblissent la société à laquelle ils appartiennent, qui aura donc plus de peine à mettre en œuvre les moyens d’accumulation dont ils font partie, et à augmenter le capital global dont ils profitent». CQFD
Bien on en a terminé avec les marxistes culturels trotskistes. Revenons aux sites d’autres cocos tout aussi abrutis.


Michel Alain Labet de Bornay





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