Avertissement: Cet article comporte plusieurs parties à
suivre, pour voir la suite, cliquer en bas de page sur Articles plus anciens.
La Liste est déjà finie ?
Snif…
Rassurez-vous ici commence une autre LISTE encore
plus belle, la bolchosphère !
De plus j’aimerais avant de nous quitter vous parler un
instant d’une autre péripétie du marxisme culturel qui vient de sortir, l’écriture
dite inclusive.
Le langage épicène, la rédaction épicène, le langage
neutre, l'écriture inclusive ou le langage dit «non sexiste» ou «dégenré»
sont un ensemble de règles idiotes et d’absurdes pratiques qui cherchent à éviter toute «discrimination» supposée (implicite ?)
par le langage ou l'écriture.
Les marxistes culturels, les gauchus, les cocos, les
bolchos, ont pour cela besoin de quatre des règles régissant l’idéologie
marxiste culturelle.
La 4 : Destruction des valeurs de solidarité
telles la famille ou la nation. En grammaire comme dans la vie, le masculin
l’emportant sur le féminin il fallait que cela cesse.
La 5 : Destruction des repères culturels et moraux
fondateurs en sabotant le judéo-christianisme. Même motif, même punition : « Il convenait de faire oublier
d’urgence les versets 21 à 33 du chapitre 5 de la lettre de Paul aux Ephésiens
: «Frères, par respect pour le Christ, soyez soumis les uns aux autres; les
femmes, à leur mari, comme au Seigneur Jésus; car, pour la femme, le mari est
la tête, tout comme, pour l’Église, le Christ est la tête, lui qui est le
Sauveur de son corps. Eh bien! Si l’Église se soumet au Christ, qu’il en soit
toujours de même pour les femmes à l’égard de leur mari».
La 6 : Utilisation dans l’enseignement du sexe et
notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et
créer de nouvelles revendications clivantes dans la société. D’où plus de
genre !
Et enfin la 7 : Affaiblissement de l’éducation par
une baisse progressive du niveau et une
élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les
jeunes.
Tout cela se fait à travers le choix des mots, la
syntaxe, la grammaire ou la typographie. On dit qu'une expression est épicène
si elle s'applique indifféremment à une personne masculine ou féminine. Par
exemple, le terme secrétaire est épicène. Un style épicène tend à éviter une
discrimination, perçue par des abrutis complets comme étant forcée par les
normes imposées de la langue, entre les genres masculin et féminin. Ce style
inclut la féminisation des titres (Par exemple un sapeur-pompier, une sapeuse
pompière. Un officier marinier, une moule marinière, un restaurateur, une
retaurateuse), les dénominations neutres, et une désignation présumée correcte
des personnes psychiatriquement anormales dites transgenres. Quant à l'écriture
inclusive, sa portée est plus large : outre le «genre», elle vise aussi à éviter d'autres discriminations
supposées liées au handicap, à l'âge et à l'origine ethnique (ta sœur ?).
L'usage et la réception publique du langage épicène et
de l'écriture inclusive varient selon les langues et les pays. Au Québec, la
rédaction épicène est recommandée par l'Office québécois de la langue française
(OQLF) depuis 1981, (situation similaire à la Suisse). En France, le langage
inclusif suscite des critiques et une opposition de longue date de l'Académie
française.
Personnellement je n’en ai rien à battre de leur
connerie marxiste culturelle et je m’en tiendrai à la déclaration
de l'académie Française sur l'écriture dite inclusive !
Ci-après un extrait de cette déclaration : « (…) Plus que toute autre institution, l’Académie française est sensible aux
évolutions et aux innovations de la langue, puisqu’elle a pour mission de les
codifier. En cette occasion, c’est moins en gardienne de la norme qu’en garante
de l’avenir qu’elle lance un cri d’alarme : devant cette aberration « inclusive
», la langue française se trouve désormais en péril mortel, ce dont notre
nation est dès aujourd’hui comptable devant les générations futures».
Le ministère de la «culture»
entièrement marxiste culturel ne représente rien au niveau de la langue.
Un exemple : En 2017 le ministère de la Culture (madame
Françoise Nyssen, femme «politique» gauchiste, née belge (une fois), n’a obtenu la nationalité française que dans
les années 1990). C’est une marxiste culturelle pure race, féminisme qui a
donné raison au fameux Conseil Représentatif des Associations Noires (une
association raciste et communautariste de plus). Le mot «nègre» sera désormais banni en littérature et remplacé par «prête-plume».
Dans un communiqué,
publié jeudi 16 novembre, les nègres du Cran se félicitaient d'avoir obtenu
gain de cause. Le 13 novembre 2017, le Cran a reçu une lettre de Loïc Depecker.
Le délégué général à la langue française et aux langues de France indiquait à
Louis-Georges Tin que la madame le ministre de la Culture avait accepté
la proposition du Cran, visant à remplacer l'expression «nègre littéraire» (qui n’a jamais existée, on disait simplement «un nègre»), par «prête-plume», est-il écrit dans le communiqué. Et le petit nègre
vont-ils le remplacer?
Sachez mesdames
et messieurs que pour moi et de très nombreux autres Français que le mot :
«Nègre» est et restera un substantif
masculin (négresse au féminin) à l'origine, synonyme de l'adjectif «noir» (du latin niger : noir). Au même
titre que je regrette l’imbécile bannissement marxiste culturel du terme «tête de nègre» une délicate pâtisserie constituée
de meringue enrobée de chocolat qui a fait la joie des enfants pendant des
années ! De même que le champignon de type bolet (Boletus aereus) appelé
cèpe tête-de-nègre le restera dans mon assiette, tout comme les papillons du
nom de «Grand nègre» : le Moiré sylvicole
(Grand nègre à bandes fauves), la Dryade (Grand nègre des bois), ou encore le
Grand nègre berbère resterons des nègres. Le manque de culture linguistique de
ces gens-là, les marxistes culturels au QI de mouche à merde est abominable,
combien savent par exemple qu’en Haïti, nègre, qui se prononce «nèg» veut dire «homme» tout simplement ?
Comme par exemple : «on nèg Kanada»,
c'est un Canadien quelle que soit sa couleur !
Et puis comme découlant de nègre, va-t-on aussi supprimer le terme «négritude» qui désigne l'ensemble des caractéristiques et valeurs culturelles des peuples noirs, revendiquées comme leur étant propres, ainsi que l'appartenance à ces peuples. Il a été créé vers 1936 par les poètes et hommes politiques français dont Aimé Césaire (1913-2008) et Léopold Sédar Senghor (1906-2001) premier Africain à siéger à l'Académie française, pour se placer du côté du sentiment des personnes de couleur noire et pour s'approprier la meurtrissure infligée par l'histoire.
Et puis comme découlant de nègre, va-t-on aussi supprimer le terme «négritude» qui désigne l'ensemble des caractéristiques et valeurs culturelles des peuples noirs, revendiquées comme leur étant propres, ainsi que l'appartenance à ces peuples. Il a été créé vers 1936 par les poètes et hommes politiques français dont Aimé Césaire (1913-2008) et Léopold Sédar Senghor (1906-2001) premier Africain à siéger à l'Académie française, pour se placer du côté du sentiment des personnes de couleur noire et pour s'approprier la meurtrissure infligée par l'histoire.
Extraits ci-après : Bougnoule, Niakoué, Raton,
Youpin, Crouillat, Gringo, Rasta, Ricain, Polac, Yougo, Chinetoque, Pékin,
Négro, Blanc-blanc, Rouquin, Métèque, Mocco (tiens des Toulonnais), Ordure,
Putain, Rital, Maquereau, Macaque, Chien, Ploume-ploume, Barbot, Bouseux,
Boudin, Patate, Clodo, Fumier, Crétin, Goudou, Homo, Tata, Tapin. C’est l’hymne
à l’amour ! Moi l’ nœud !
Dutronc a oublié le mot Bamboula, un terme culturel
africain. Le terme vient de Ka-mombulon, kam-bumbulu, qui veut dire «tambour», emprunté aux langues «littéraires» sarar et bola, parlées en
Guinée portugaise ; le terme est introduit par Michel Jajolet La Courbe,
de la Compagnie du Sénégal, dans Premier
voyage fait par le sieur La Courbe à la coste d'Afrique en 1685. (...)
Entre 1914 et 1918, par l'intermédiaire de l'argot militaire des tirailleurs
algériens, bamboula en vient à désigner une fête exubérante, notamment dans
l'expression faire la bamboula. Il désigne dans un même temps un tirailleur
sénégalais ce qui n’avait absolument rien de «raciste».
Notre Jacouille a aussi oublié le mot Toubab. Bon cette fois c’est du racisme anti blanc donc ça n’existe pas pour les marxistes culturels. Le mot vient pourtant de loin. Son ancêtre, toubib, emprunté à l'arabe, est relevé au Maroc au cours d'un voyage exploratoire et glosé comme «médecin». Toubab est employé en Afrique de l'Ouest, dans le sens originel de médecin ou alors, avec une nuance extrêmement péjorative et raciste, dans celui d'homme blanc (comme blanchette) Dans les années 1990, quand les racailles ou cailleras s'approprie toubab, en inventant une forme en verlan, batbou, elle ne retient que le sens fortement péjoratif et raciste antiblanc du mot. Et ce n’est que le début ! Que penser de «sapeuse pompière» ?
Mon ami très cher Gilles William Goldnadel revient sur le passage de madame Nell Irvin Painter, écrivain assez vaine et raciste américaine, dans l'émission Quotidien, expliquant que «le blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…» (Sic). Et Gilles de nous dire : «(…) Le premier dévoiement médiatique à décrire se situe en effet le 8 février 2019 dans le cadre de l'émission télévisée à succès «Quotidien» animée, on le sait, par Yann Barthès. Celui-ci recevait madame Nell Irvin Painter, un écrivain noire américaine et auteur d'une «Histoire des Blancs». Dans un français bien châtié, la dame noire fustigea bien les blancs. À partir de sa description de Donald Trump et des nombreuses turpitudes qu'elle lui prête, elle en déduisit expressément qu'on pourrait en conclure que: «le blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…». Mon imagination est impuissante à décrire la réaction médiatique, politique ou intellectuelle si, à partir des actes reprochés à l'acteur noir américain Bill Cosby ou plus récemment encore à l'élu démocrate afro-américain Justin Fairfax, tous deux poursuivis pour viols, une personnalité blanche prêtait les mêmes turpitudes à l'ensemble des noirs (Certainement avec quelque raison puisqu'on apprend sur le beau blog de Thomas Joly que ce qu'il y a de bien avec les pays anglo-saxons, c'est qu'ils autorisent les statistiques ethniques. Et on trouve vraiment des pépites parmi celles-ci. On pourrait en rire, si ce n'était pas aussi tragique. En effet selon le département américain de la Justice, en 2005, 33,6 % des femmes blanches qui ont été violées, l'ont été par un homme noir (les noirs représentent 12% de la population US). A l'inverse aucun homme blanc n'a violé une femme noire. Pire, la totalité des femmes noires violées l'ont été par un homme noir. Dernièrement les 36 000 femmes blanches qui étaient violées l’ont été par un homme noir, aucune femme noire n’a été violée par un homme blanc ! Vous ne vous êtes pas trompé en lisant. Oui vous avez bien lu. Les statistiques officielles sont disponibles ici. Il faut aussi savoir qu’en ce qui concerne la peine de mort qui existe toujours aux états unis, que depuis 1930, 90% des exécutés pour viol sont des noirs (selon les chiffres fournis par le Département de la Justice). Aujourd'hui, 50% des prisonniers des couloirs de la mort sont des membres de minorités ethniques (dont le poids total dans la population américaine n’est que de 20%). En 1997, il y avait 3269 hommes et femmes dans les couloirs de la mort des Etats-Unis ; en 1999, ils étaient 3549, dont plus de la moitié de noirs (ce qui correspond effectivement plus ou moins au taux de criminalité de la communauté noire. Sur les 500 exécutés entre 1977 et 1998, 81.80% furent inculpés du meurtre d'un blanc. Les couloirs de la mort des Etats-Unis ont toujours compris une proportion de noirs sans commune mesure avec leur poids total dans la population : au XIXème siècle, les noirs étaient exécutés pour des délits tels que le vol ou le viol ( la femme blanche représentait la pureté du Sud et donc, les esclaves noirs qui avaient des relations sexuelles avec ces femmes étaient pendus); plus récemment, entre 1930 et 1976, sur les 455 hommes exécutés pour viol, 405 étaient noirs, dont de nombreux mineurs. De nos jours, ce constat se vérifie toujours: les détenus des couloirs de la mort sont en majorité des noirs alors qu’ils ne représentent que 12 à 15% de la population globale des États-Unis Sur 132 personnes exécutées pour meurtres entre 1977 et 1998, 124 concernaient un meurtrier noir et une victime blanche et seulement 8 un meurtrier blanc et une victime noire. Depuis la réintroduction de la peine de mort en 1977, seulement 6 blancs ont été exécutés pour le meurtre d'un blanc et un seul pour le meurtre d'un noir commis par un blanc. Presque 40% des exécutés depuis 1976 sont des noirs!
Dans le même temps en suède on apprend de nouveaux chiffres qui sont un avertissement pour les femmes à l'encontre d'un vote favorable à l'accueil d'encore plus de réfugiés issus des pays musulmans. 92 pour cent de tous les viols graves (viols violents) sont commis par des migrants et des réfugiés. 100 pour cent des attaques de viols (où la victime et l'attaquant n'avaient pas de contact préalable) sont le fait de ce même groupe. En d'autres termes, des milliers de femmes suédoises n'auraient pas été violées et ainsi traumatisées à vie s'il n'y avait pas eu ce flux migratoire en provenance des pays musulmans). Gilles William continue : si une personnalité blanche prêtait les mêmes turpitudes à l'ensemble des noirs… Je gage, qu'à bon droit, sa réputation serait perdue à jamais. Or le plus terrible, le plus consternant, habite dans le fait que les animateurs et le public se pâmaient extatiquement. Pour faire bonne mesure, l'écrivaine (sic) célébrée expliqua ensuite tranquillement à son public acquis que les blancs, aux visages trop pâles pour se protéger du réchauffement climatique, devaient impérativement se croiser sans tarder avec des êtres à la peau plus brune. Et le gentil public (Entièrement lobotomisé par le marxisme culturel et sa règle N°2: Encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques. C’est en partie la puante idéologie multiculturelle)… public … antiraciste forcément antiraciste, s'interdisant ordinairement d'accorder quelque importance à la couleur de peau ou à toute notion de race interdite de cité ou même d'être citée, d'applaudir à tout rompre cette injonction thérapeutique à la disparition d'une vile espèce humaine devenue trop fragile pour nos temps difficiles. En réalité, et à ce degré d'indigence intellectuelle et morale, cette scène tristement ridicule aura au moins le mérite de mettre le doigt très exactement sur le mal névrotique de l'époque présente. Une époque qui à la fois et en même temps traque le moindre soupçon, la moindre imputation d'a priori raciste lorsqu'il s'agit des peuples supposés victimes du racisme blanc et s'autorise les préjugés les plus grossiers et stéréotypés jusqu'à l'appel à la disparition lorsqu'il s'agit de ces gens supposément détenir le monopole du racisme pour l'avoir inventé. La même semaine, un autre exemple montre que cette pathologie névrotique de la dilection pour l'altérité ne concerne pas, loin s'en faut, la télévision populaire mais que le monde intellectuel ou qui se prétend tel est également frappé. C'est ainsi que France Culture considère désormais que le racialisme est une pensée politique dont on devait débattre tranquillement le 7 février, y compris avec cette dame noire d'Amérique qui n'aime pas trop les blancs. Mieux encore: sur son Twitter notre radio culturelle de service public reprenait à son compte la théorie racialiste: «Penser la question Blanche, c'est être capable de se questionner sur une partie de l'identité française. Prendre conscience par exemple qu'être blanc est un privilège, le blanc n'ayant jamais eu à se poser la question de la couleur de sa peau» (Encore heureux). Racialisme obsessionnel, racisme anti blanc stupide sur la radio d'État: un «batbou» qui se fait frapper en banlieue ou des policiers blancs lynchés comme cela est arrivé un 31 décembre à Champigny, des fermiers blancs assassinés en Afrique du Sud ou au Zimbabwe, des privilégiés, vraiment? Et inversement, un noir au Togo, se pose donc tous les jours la question de sa couleur de peau? Bref, pour mesurer cet indigénisme indigent qui s'étend, je recommande la lecture édifiante de l'article publié le 6 décembre 2018 par Matthieu Aron dans l'Obs et intitulé «Menace décoloniale à l'université». Je citerai l'introduction: «Racialisé», «Racialisation» «Islamophobie»… Ce vocabulaire qui s'est installé dans le débat public, est issu d'une mouvance qui gagne du terrain dans les facs. À tel point que les opinions divergentes n'osent plus s'exprimer…». Le pire du pire, ce sont ces sombres idiots à la peau pâle qui tirent un masochiste et raciste plaisir à se haïr la peau. D'évidence, cette menace «décoloniale» a pris confortablement ses quartiers à Radio France (Règle N°10 de la théorie marxiste culturelle : Contrôle et abêtissement des médias pour dévaloriser le jugement personnel et l’esprit critique). Mais le pire, dans ces théâtres de la sottise populaire ou prétentieuse, n'est pas que telle raciste noire anti- blanc ou telle militante islamogauchiste des Indigènes de la République puisse exprimer ses méchancetés (Il est gentil Gilles William non ?). Le pire du pire, ce sont ces sombres idiots à la peau pâle qui tirent un masochiste et raciste plaisir à se haïr la peau.
Notre Jacouille a aussi oublié le mot Toubab. Bon cette fois c’est du racisme anti blanc donc ça n’existe pas pour les marxistes culturels. Le mot vient pourtant de loin. Son ancêtre, toubib, emprunté à l'arabe, est relevé au Maroc au cours d'un voyage exploratoire et glosé comme «médecin». Toubab est employé en Afrique de l'Ouest, dans le sens originel de médecin ou alors, avec une nuance extrêmement péjorative et raciste, dans celui d'homme blanc (comme blanchette) Dans les années 1990, quand les racailles ou cailleras s'approprie toubab, en inventant une forme en verlan, batbou, elle ne retient que le sens fortement péjoratif et raciste antiblanc du mot. Et ce n’est que le début ! Que penser de «sapeuse pompière» ?
Mon ami très cher Gilles William Goldnadel revient sur le passage de madame Nell Irvin Painter, écrivain assez vaine et raciste américaine, dans l'émission Quotidien, expliquant que «le blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…» (Sic). Et Gilles de nous dire : «(…) Le premier dévoiement médiatique à décrire se situe en effet le 8 février 2019 dans le cadre de l'émission télévisée à succès «Quotidien» animée, on le sait, par Yann Barthès. Celui-ci recevait madame Nell Irvin Painter, un écrivain noire américaine et auteur d'une «Histoire des Blancs». Dans un français bien châtié, la dame noire fustigea bien les blancs. À partir de sa description de Donald Trump et des nombreuses turpitudes qu'elle lui prête, elle en déduisit expressément qu'on pourrait en conclure que: «le blanc est stupide, il ment, il est corrompu, il harcèle les femmes…». Mon imagination est impuissante à décrire la réaction médiatique, politique ou intellectuelle si, à partir des actes reprochés à l'acteur noir américain Bill Cosby ou plus récemment encore à l'élu démocrate afro-américain Justin Fairfax, tous deux poursuivis pour viols, une personnalité blanche prêtait les mêmes turpitudes à l'ensemble des noirs (Certainement avec quelque raison puisqu'on apprend sur le beau blog de Thomas Joly que ce qu'il y a de bien avec les pays anglo-saxons, c'est qu'ils autorisent les statistiques ethniques. Et on trouve vraiment des pépites parmi celles-ci. On pourrait en rire, si ce n'était pas aussi tragique. En effet selon le département américain de la Justice, en 2005, 33,6 % des femmes blanches qui ont été violées, l'ont été par un homme noir (les noirs représentent 12% de la population US). A l'inverse aucun homme blanc n'a violé une femme noire. Pire, la totalité des femmes noires violées l'ont été par un homme noir. Dernièrement les 36 000 femmes blanches qui étaient violées l’ont été par un homme noir, aucune femme noire n’a été violée par un homme blanc ! Vous ne vous êtes pas trompé en lisant. Oui vous avez bien lu. Les statistiques officielles sont disponibles ici. Il faut aussi savoir qu’en ce qui concerne la peine de mort qui existe toujours aux états unis, que depuis 1930, 90% des exécutés pour viol sont des noirs (selon les chiffres fournis par le Département de la Justice). Aujourd'hui, 50% des prisonniers des couloirs de la mort sont des membres de minorités ethniques (dont le poids total dans la population américaine n’est que de 20%). En 1997, il y avait 3269 hommes et femmes dans les couloirs de la mort des Etats-Unis ; en 1999, ils étaient 3549, dont plus de la moitié de noirs (ce qui correspond effectivement plus ou moins au taux de criminalité de la communauté noire. Sur les 500 exécutés entre 1977 et 1998, 81.80% furent inculpés du meurtre d'un blanc. Les couloirs de la mort des Etats-Unis ont toujours compris une proportion de noirs sans commune mesure avec leur poids total dans la population : au XIXème siècle, les noirs étaient exécutés pour des délits tels que le vol ou le viol ( la femme blanche représentait la pureté du Sud et donc, les esclaves noirs qui avaient des relations sexuelles avec ces femmes étaient pendus); plus récemment, entre 1930 et 1976, sur les 455 hommes exécutés pour viol, 405 étaient noirs, dont de nombreux mineurs. De nos jours, ce constat se vérifie toujours: les détenus des couloirs de la mort sont en majorité des noirs alors qu’ils ne représentent que 12 à 15% de la population globale des États-Unis Sur 132 personnes exécutées pour meurtres entre 1977 et 1998, 124 concernaient un meurtrier noir et une victime blanche et seulement 8 un meurtrier blanc et une victime noire. Depuis la réintroduction de la peine de mort en 1977, seulement 6 blancs ont été exécutés pour le meurtre d'un blanc et un seul pour le meurtre d'un noir commis par un blanc. Presque 40% des exécutés depuis 1976 sont des noirs!
Dans le même temps en suède on apprend de nouveaux chiffres qui sont un avertissement pour les femmes à l'encontre d'un vote favorable à l'accueil d'encore plus de réfugiés issus des pays musulmans. 92 pour cent de tous les viols graves (viols violents) sont commis par des migrants et des réfugiés. 100 pour cent des attaques de viols (où la victime et l'attaquant n'avaient pas de contact préalable) sont le fait de ce même groupe. En d'autres termes, des milliers de femmes suédoises n'auraient pas été violées et ainsi traumatisées à vie s'il n'y avait pas eu ce flux migratoire en provenance des pays musulmans). Gilles William continue : si une personnalité blanche prêtait les mêmes turpitudes à l'ensemble des noirs… Je gage, qu'à bon droit, sa réputation serait perdue à jamais. Or le plus terrible, le plus consternant, habite dans le fait que les animateurs et le public se pâmaient extatiquement. Pour faire bonne mesure, l'écrivaine (sic) célébrée expliqua ensuite tranquillement à son public acquis que les blancs, aux visages trop pâles pour se protéger du réchauffement climatique, devaient impérativement se croiser sans tarder avec des êtres à la peau plus brune. Et le gentil public (Entièrement lobotomisé par le marxisme culturel et sa règle N°2: Encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques. C’est en partie la puante idéologie multiculturelle)… public … antiraciste forcément antiraciste, s'interdisant ordinairement d'accorder quelque importance à la couleur de peau ou à toute notion de race interdite de cité ou même d'être citée, d'applaudir à tout rompre cette injonction thérapeutique à la disparition d'une vile espèce humaine devenue trop fragile pour nos temps difficiles. En réalité, et à ce degré d'indigence intellectuelle et morale, cette scène tristement ridicule aura au moins le mérite de mettre le doigt très exactement sur le mal névrotique de l'époque présente. Une époque qui à la fois et en même temps traque le moindre soupçon, la moindre imputation d'a priori raciste lorsqu'il s'agit des peuples supposés victimes du racisme blanc et s'autorise les préjugés les plus grossiers et stéréotypés jusqu'à l'appel à la disparition lorsqu'il s'agit de ces gens supposément détenir le monopole du racisme pour l'avoir inventé. La même semaine, un autre exemple montre que cette pathologie névrotique de la dilection pour l'altérité ne concerne pas, loin s'en faut, la télévision populaire mais que le monde intellectuel ou qui se prétend tel est également frappé. C'est ainsi que France Culture considère désormais que le racialisme est une pensée politique dont on devait débattre tranquillement le 7 février, y compris avec cette dame noire d'Amérique qui n'aime pas trop les blancs. Mieux encore: sur son Twitter notre radio culturelle de service public reprenait à son compte la théorie racialiste: «Penser la question Blanche, c'est être capable de se questionner sur une partie de l'identité française. Prendre conscience par exemple qu'être blanc est un privilège, le blanc n'ayant jamais eu à se poser la question de la couleur de sa peau» (Encore heureux). Racialisme obsessionnel, racisme anti blanc stupide sur la radio d'État: un «batbou» qui se fait frapper en banlieue ou des policiers blancs lynchés comme cela est arrivé un 31 décembre à Champigny, des fermiers blancs assassinés en Afrique du Sud ou au Zimbabwe, des privilégiés, vraiment? Et inversement, un noir au Togo, se pose donc tous les jours la question de sa couleur de peau? Bref, pour mesurer cet indigénisme indigent qui s'étend, je recommande la lecture édifiante de l'article publié le 6 décembre 2018 par Matthieu Aron dans l'Obs et intitulé «Menace décoloniale à l'université». Je citerai l'introduction: «Racialisé», «Racialisation» «Islamophobie»… Ce vocabulaire qui s'est installé dans le débat public, est issu d'une mouvance qui gagne du terrain dans les facs. À tel point que les opinions divergentes n'osent plus s'exprimer…». Le pire du pire, ce sont ces sombres idiots à la peau pâle qui tirent un masochiste et raciste plaisir à se haïr la peau. D'évidence, cette menace «décoloniale» a pris confortablement ses quartiers à Radio France (Règle N°10 de la théorie marxiste culturelle : Contrôle et abêtissement des médias pour dévaloriser le jugement personnel et l’esprit critique). Mais le pire, dans ces théâtres de la sottise populaire ou prétentieuse, n'est pas que telle raciste noire anti- blanc ou telle militante islamogauchiste des Indigènes de la République puisse exprimer ses méchancetés (Il est gentil Gilles William non ?). Le pire du pire, ce sont ces sombres idiots à la peau pâle qui tirent un masochiste et raciste plaisir à se haïr la peau.
Le gentil Gilles William les traites de sombres idiots
à la peau pâle, mais non ce sont juste de simples marxistes culturels
négationnistes, des complices de crimes contre l’humanité. Le déni et l'absence
de condamnation des monstrueux crimes contre l’humanité communistes démontre
comment un négationnisme non reconnu s'est banalisé jusqu'à verser, pour certains,
dans l'islamo-gauchisme.
Le négationnisme est un déni de la réalité historique
et des faits avérés. Ce terme désigne en général ceux qui nient l'ampleur de
l'extermination des juifs par les sociaux nationalistes et qui contestent pour
certains des méthodes utilisées à l'époque, notamment l'usage des chambres à
gaz comme en Corée du Nord. C'est pour distinguer ce négationnisme-là que je
parle de négationnisme marxiste culturel de gauche et de droite molle afin de
qualifier ceux qui minimisent l'ampleur des crimes communistes au XXe siècle,
voire qui les justifient au nom d'une prétendue nécessité révolutionnaire,
comme si la pureté de la cause était plus excusable que la pureté de la race
dans le cas du socialisme nationaliste. En réalité, le négationnisme forme un
tout, il n'est ni de droite ni de gauche, car quel que soit l'objet du déni, il
se construit de la même façon ; les méthodes utilisées et les résultats obtenus
sont identiques, puisqu'ils faussent la nécessaire connaissance de l'histoire.
Toutefois, le négationnisme marxiste culturel de gauche et de droite molle,
celui des crimes communistes, ne rencontre pas la même réprobation que le
négationnisme des camps d’extermination sociaux nationalistes des juifs, des
tziganes et autres minorités ethniques ou politiques. L'une des raisons tient à
l'ancienneté de ce négationnisme. Il remonte au début du communisme, quand une
majorité de contemporains n'a pas voulu voir ou savoir les drames et les
monstrueux crimes contre l’humanité qui se déroulaient en Russie bolchevique.
La cécité volontaire de cette époque est le berceau du négationnisme marxiste
culturel de gauche. Cet héritage résiste aujourd'hui encore à l'épreuve de la
réalité, au bilan catastrophique (cent cinquante millions de morts) que l'effondrement
très partiel du communisme a confirmé. Les camps de concentration Chinois (Les
Laogaïs) existent encore tout comme les chambres à gaz homicides en Corée du
Nord avec les génocides ethniques en Afrique du Sud ou au Zimbabwe.
Vous trouverez ci-après une Liste de grands complices
de crimes contre l’humanité ceux qui non jamais apporté la moindre critique aux
camps du Goulag soviétiques, aux Laogaïs Chinois communistes, aux chambres à
gaz de Corée du Nord cliquez
là :
Dans, Les camps de concentration en Corée du
Nord de Serge Desbois on peut lire : «L'existence de chambres à gaz a été révélée
dans le principal camp de concentration nord-coréen. Le camp 22 qui pourrait
accueillir 50 000 personnes, possède des chambres qui serviraient à la fois à
éliminer les prisonniers et à la fois à mener des expérimentations. Un ancien
chef du camp 22 a donné une description d'une chambre. Avec 3,5 mètres de large
pour 3 mètres de long, elle est assez grande pour gazer une famille entière.
Étant donné l'idéologie d’eugénisme du régime marxiste nord-coréen, il est en
effet fréquent que la famille entière d'un prisonnier politique, jusqu'à trois
générations, soit condamnée. Des scientifiques sont chargés de prendre des
notes sur le déroulement des exécutions, car ces dernières serviraient
également d'expérimentation pour développer des armes chimiques». Chambres
à gaz communistes n’ayant rien à envier à celle des nazis qui sont encore en
activité aujourd’hui en 2019, au génocide des blancs en Afrique du Sud, aux
camps de «travail» du Viet Nam, voir
ici.
Allez, zou, on y va ! C’est l’autre LISTE !
Commençons par Le Parti Communiste Français et sa
nébuleuse de la haine rouge.
La nébuleuse communiste de la haine rouge. Le mot
communisme est rattaché pour l'essentiel à la famille politique socialiste,
dont il représente à la fois un concept et une tendance radicale le plus
souvent criminelle : il est compris la plupart du temps dans son sens originel
d'abolition de la propriété privée. L'anticommunisme lui est mentionné en 1848
par Karl Marx dans le Manifeste communiste. Un procès contre des membres de la
Ligue des communistes est organisé après l’échec de la Révolution allemande de
1848. En 1848, dans le contexte du «Printemps
des peuples», le mot «communisme»
est devenu suffisamment familier du public pour que l'essayiste français Alfred
Sudre publie, afin de dénoncer le nauséabond courant d'idées dans son ensemble,
l'ouvrage Histoire du communisme, ou réfutation historique des socialistes :
l'auteur y englobe, sous le vocable «communiste» :
Platon, Sparte, l'anabaptisme, Robert Owen, Saint-Simon, Charles Fourier et
Pierre-Joseph Proudhon, sans faire par ailleurs aucune mention de Karl Marx.
Sudre dénonce le communisme, en tant que société sans propriété privée, comme
une négation de toute liberté humaine, qui ne pourrait aboutir qu'à
l'oppression : pour l'auteur, le communisme représente les plus bas instincts
de l'homme, dont il fait «une bête
sensuelle, gourmande et lubrique, traînant son ventre appesanti par des sales
voluptés». Une bien vilaine bête abjecte qui deviendra vite la plus
criminelle contre l’humanité jamais connue. Avez-vous jamais entendu parler des camps de la Kolyma ? Non n’est-ce
pas ! On l'appelle le pays de la «mort
blanche». La Kolyma abritait les déportés «ennemis du peuple» parmi les pires camps de Staline. Magadan, à
huit fuseaux horaires de Moscou, sur les rives de la mer d'Okhotsk, c’est là où
Staline a bâti la capitale du plus grand système concentrationnaire du XXe
siècle. Un endroit du bout du monde enserré dans les glaces dix mois sur douze
et assommé par des températures de - 50 °C. Celles même en deçà desquelles
«les crachats gèlent en vol».
C'est ici, dans la Kolyma, une région vaste comme quatre
fois la France et baptisée l'Ile, que près de 400 camps de la mort ont vu le
jour. Là où les «zeks», les
prisonniers politiques et quelques détenus de droit commun, ont débarqué par
dizaines de milliers à partir de 1932. Sans oublier quelques milliers de juifs.
Leur administration centrale, une division administrative de la police
politique russe n’a vu le jour qu’en juillet 1934 lors de la réorganisation de
la Guépéou et de son rattachement au NKVD, sous le nom de Goulag, un acronyme
apparu en 1930 et formé d'après le russe Glavnoïé Oupravlénié Laguéreï, qui
signifie «Administration principale des
camps». Les négationnistes marxistes nient farouchement leur existence. La répression du
négationnisme social-nationaliste dit aussi néo-nazi s'inscrit dans une
démarche prétendue antiraciste, laquelle bénéficie d'un arsenal législatif
conséquent. De surcroît, ce négationnisme a revêtu l'allure d'une intense
campagne de propagande. C'est pourquoi, à danger soi-disant raciste grandissant,
sanction pénale adaptée. Il n'en est pas de même de l’abominable négationnisme
communiste. Pour méprisable qu'il soit, il n'entre pas dans un domaine déjà
réglementé (racisme et terrorisme). Sa négation ne prend, quoi qu'on en dise,
pas l'ampleur de la haine antisémite attisée par les faurissoniens. Pour un
Ludo Martens ou une Annie Lacroix-Riz, on vous sort au moins trois négationnistes
de l'autre bord.
Tiens, qui connait feu le beau Ludo ? Venu des
milieux nationalistes d’ultra droite flamands, il participera au mouvement pour
la «flamandisation» de l'université
de Louvain en 1967. À partir de 1968-69, il joue un rôle actif dans le
développement du mouvement criminel contre l’humanité maoïste en Belgique, avec
la création de l'organisation AMADA en 1970. AMADA s'aligne
inconditionnellement sur la ligne politique du Parti communiste chinois et en
assume tous les plus imbéciles et criminels virages. Ludo Martens entreprend
des attaques virulentes contre l'URSS. Très actif au Congo Belge, où il soutient
le mouvement marxiste, il est un proche de Laurent-Désiré Kabila et écrit de
nombreux livres sur la situation de l'Afrique, sur l'ancienne dictature
mobutiste en particulier, mais aussi sur le renouveau nationaliste apporté par
Lumumba, Mulele, Sankara puis Kabila. Il a également écrit nombres d'essais et
d'articles sur la situation du Burkina Faso. Il est aussi l'auteur d'un ouvrage
visant à «remettre en contexte» l'histoire
de l'URSS sous Staline et à réhabiliter le stalinisme le plus criminel. Négationniste
distingué, il remet par exemple en cause le caractère intentionnel de
l'Holodomor (le génocide Ukrainien au 9 millions de morts) et dit que le nombre
réel de victimes est compris entre un et deux millions ce qui n’est déjà pas
mal, arguant que le caractère génocidaire de cette famine et son ampleur
prétendue sont des inventions de la propagande sociale nationaliste ou nazi
récupérée par les Américains.
Quant à madame la gentille camarade Annie Lacroix-Riz qui se prend pour l’honneur du mouvement ouvrier (madame Annie, ancienne élève de l'École normale supérieure de jeunes filles, élève de Pierre Vilar, agrégée d'histoire, docteur ès lettres, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'université Paris VII a vraiment tout d’une «ouvrière») elle se rapproche beaucoup plus des intellectuels se disant «progressistes» c’est-à-dire des marxistes culturels révisionnistes grands complices de monstrueux crimes contre l’humanité. La camarade Annie au nom de papier à cigarette, milite au Pôle de renaissance communiste en France ce qui explique tout ! Pour être de nouveau clair, la camarade vrai bigote du stalinisme collabore ponctuellement au canard stipendié marxiste culturel le Monde diplomatique. Il est rigolo de constater que certains de ses articles sont repris par le Réseau Voltaire, considéré comme un site complotiste d’extrême droite ! Madame la camarade Annie dans une «présentation critique de documents originaux» sur l' «extermination par la faim» en Ukraine en 1933 (Holodomor en ukrainien aux 9 millions de morts), diffusée à ses étudiants en 2004, mise à jour et complétée en 2008, le commissaire politique Stalinien Annie conteste la présentation de cette famine comme résultant d'une intention «génocidaire» du monstrueux pouvoir soviétique, préférant y voir «une sérieuse disette conduisant à un strict renforcement du rationnement», qui «résultait de phénomènes naturels et sociopolitiques». Selon Stéphane Courtois, coordinateur du Livre noir du communisme : « Madame Lacroix-Riz ignore les témoignages de base (…) elle ne tient aucun compte des règles de travail élémentaires de l'historien (…) À aucun moment elle ne s'interroge (…) De surcroît, madame Lacroix-Riz ignore tout autant les nombreux travaux tirés des archives soviétiques synthétisés par Nicolas Werth (…) elle ignore tout autant les nombreux ouvrages en anglais». L'historien René Rémond considère lui qu'Annie Lacroix-Riz «en est restée à la problématique politique de la Guerre froide. Elle continue à évoluer dans une perspective manichéenne, où un camp représente le bien, la liberté, la paix, c’est celui de Moscou ; et l'autre, qui est le contraire, l'empire du Mal». Dans Les Actes de Lecture de mars 2005, la camarade Lacroix-Riz, définit sans rougir de honte que l’histoire comme «une discipline essentielle pour savoir ce qui est, pour former des enfants à évaluer leur propre position sociale, pour réfléchir et être en situation soit de maintenir la société telle qu’elle est, soit éventuellement de la changer parce qu’elle pourrait ne pas paraître satisfaisante». Elle ajoute que «l’histoire constitue une discipline clé dans la tentative des classes dirigeantes pour empêcher les enfants et la population de connaître la situation telle qu’elle est». Et face à ce qu’elle présente comme une volonté de falsification de l’histoire menée par la bourgeoisie, elle se situe dans la catégorie de ces historiens qui pensent que «l’histoire est l’histoire de la lutte des classes», reprenant ainsi la fameuse citation de Friedrich Engels. Celui qui place l’idéologie avant la vérité ne peut se présenter autrement que comme un idéologue. Lacroix-Riz n’est donc pas là dans une posture d’historienne mais de propagandiste marxiste, dont le souci est justement d’orienter ses élèves vers une présentation de l’histoire apte à en faire des révolutionnaires au service de la dictature du prolétariat. Et comme le disait Lénine: «Si le mensonge sert la cause révolutionnaire, alors le mensonge est vérité».
Quant à madame la gentille camarade Annie Lacroix-Riz qui se prend pour l’honneur du mouvement ouvrier (madame Annie, ancienne élève de l'École normale supérieure de jeunes filles, élève de Pierre Vilar, agrégée d'histoire, docteur ès lettres, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'université Paris VII a vraiment tout d’une «ouvrière») elle se rapproche beaucoup plus des intellectuels se disant «progressistes» c’est-à-dire des marxistes culturels révisionnistes grands complices de monstrueux crimes contre l’humanité. La camarade Annie au nom de papier à cigarette, milite au Pôle de renaissance communiste en France ce qui explique tout ! Pour être de nouveau clair, la camarade vrai bigote du stalinisme collabore ponctuellement au canard stipendié marxiste culturel le Monde diplomatique. Il est rigolo de constater que certains de ses articles sont repris par le Réseau Voltaire, considéré comme un site complotiste d’extrême droite ! Madame la camarade Annie dans une «présentation critique de documents originaux» sur l' «extermination par la faim» en Ukraine en 1933 (Holodomor en ukrainien aux 9 millions de morts), diffusée à ses étudiants en 2004, mise à jour et complétée en 2008, le commissaire politique Stalinien Annie conteste la présentation de cette famine comme résultant d'une intention «génocidaire» du monstrueux pouvoir soviétique, préférant y voir «une sérieuse disette conduisant à un strict renforcement du rationnement», qui «résultait de phénomènes naturels et sociopolitiques». Selon Stéphane Courtois, coordinateur du Livre noir du communisme : « Madame Lacroix-Riz ignore les témoignages de base (…) elle ne tient aucun compte des règles de travail élémentaires de l'historien (…) À aucun moment elle ne s'interroge (…) De surcroît, madame Lacroix-Riz ignore tout autant les nombreux travaux tirés des archives soviétiques synthétisés par Nicolas Werth (…) elle ignore tout autant les nombreux ouvrages en anglais». L'historien René Rémond considère lui qu'Annie Lacroix-Riz «en est restée à la problématique politique de la Guerre froide. Elle continue à évoluer dans une perspective manichéenne, où un camp représente le bien, la liberté, la paix, c’est celui de Moscou ; et l'autre, qui est le contraire, l'empire du Mal». Dans Les Actes de Lecture de mars 2005, la camarade Lacroix-Riz, définit sans rougir de honte que l’histoire comme «une discipline essentielle pour savoir ce qui est, pour former des enfants à évaluer leur propre position sociale, pour réfléchir et être en situation soit de maintenir la société telle qu’elle est, soit éventuellement de la changer parce qu’elle pourrait ne pas paraître satisfaisante». Elle ajoute que «l’histoire constitue une discipline clé dans la tentative des classes dirigeantes pour empêcher les enfants et la population de connaître la situation telle qu’elle est». Et face à ce qu’elle présente comme une volonté de falsification de l’histoire menée par la bourgeoisie, elle se situe dans la catégorie de ces historiens qui pensent que «l’histoire est l’histoire de la lutte des classes», reprenant ainsi la fameuse citation de Friedrich Engels. Celui qui place l’idéologie avant la vérité ne peut se présenter autrement que comme un idéologue. Lacroix-Riz n’est donc pas là dans une posture d’historienne mais de propagandiste marxiste, dont le souci est justement d’orienter ses élèves vers une présentation de l’histoire apte à en faire des révolutionnaires au service de la dictature du prolétariat. Et comme le disait Lénine: «Si le mensonge sert la cause révolutionnaire, alors le mensonge est vérité».
De plus si madame le camarade Lacroix-Riz était une
véritable historienne, elle saurait que La lutte
des classes est une théorie libérale et même libertarienne avant d’être
marxiste. Marx lui-même admet s’être inspiré de deux penseurs libéraux, Charles Comte
disciple de Jean
Baptiste Say et Charles Dunoyer de
Segonzac (Poussant la théorie industrialiste de Jean-Baptiste Say au bout de sa
logique, Dunoyer développe une critique radicale de l'État, fondée sur une
analyse saisissante d’une sorte de lutte des classes, selon laquelle une classe
parasitaire - les gouvernants, l'administration et leurs nombreux clients -
s'enrichit totalement aux dépens de la classe productive aux moyens
d'instruments coercitifs tels que l'impôt, le monopole public, la
règlementation, etc. (idée que Marx a agrémentée à sa sauce). A cet égard, on
peut tenir Dunoyer et, évidemment, son ami Comte pour des pionniers de
l'anarcho-capitalisme, mais aussi - comme le notera Henri Lepage - pour des précurseurs de l’école du Choix Public
un siècle et demi avant son apparition ! ) L’idole sacrée de madame
Lacroix-Riz, Karl Marx dans ses réflexions sur les rapports d’exploitation qui
structurent la société c’est largement inspiré de nos deux Français en
pervertissant leurs idées. Cette théorie de la lutte des classes va également
marquer mon bon maître Frédéric Bastiat en alimentant sa pensée politique.
Charles
Comte et Charles Dunoyer sont deux véritables intellectuels libéraux du XIXème
siècle. Ils fondent en 1814 le magazine Le
Censeur sous la Restauration afin de protester contre celle-ci tout en véhiculant
les idées libérales. Comte et Dunoyer analysent les rapports sociaux comme le
résultat d’une lutte entre la classe productive qui compose la sphère marchande
et la classe prédatrice qui compose la sphère gouvernementale. La classe
productive vit des richesses qu’elle produit tandis que l’État et ses agents
vivent au contraire de la spoliation exercée via divers mécanismes comme
l’impôt, les réglementations ainsi que les privilèges de monopole. En finir
avec cette lutte des classes suppose donc de réduire les pouvoirs de la classe
prédatrice. Cette conception des rapports sociaux va durablement marquer
Frédéric Bastiat en nourrissant ses réflexions sur le rôle du gouvernement dans
la société. Cette influence apparaît très clairement dans son pamphlet le plus
connu, la Loi. Bastiat développe ainsi l’idée que la lutte des classes nait
lorsque la loi sort de son juste rôle. Dans les cas où elle se contente de
faire respecter les droits de chacun et de garantir «l’organisation collective du droit individuel de légitime défense»,
personne n’est dans la possibilité de l’instrumentaliser à son profit au
détriment de tous, à tel point que la forme même du gouvernement devient une
question secondaire. Ce n’est que lorsque la loi sort de ses justes bornes que
le législateur devient corruptible. Il s’ensuit alors une lutte acharnée entre
divers intérêts catégoriels, tous soucieux de capturer l’appareil législatif en
vue d’obtenir des privilèges par définition spoliateurs. La lutte des classes
est donc le résultat d’une crise institutionnelle qui survient lorsque le
pouvoir politique échoue à sa mission de garantir les libertés individuelles en
participant lui-même à l’exploitation des uns par les autres. L’État devient
alors selon les propos de Bastiat «la
grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens
de tout le monde».
La réflexion que madame Lacroix Riz produit sur l’histoire est empreinte
de cette volonté de défense idéologique du communisme puisqu’elle déplore
l’ouverture de sa discipline à des historiens non marxistes, particulièrement
dans le champ de l’histoire de la Révolution, ce qui conduirait à déconsidérer
le phénomène révolutionnaire. En effet, pour la marxiste qu’elle est, seul un
autre marxiste peut défendre une révolution, car pour les autres: «la violence révolutionnaire est une
violence fantasmagorique puisque le révolutionnaire s’invente un ennemi auquel
il prête des intentions malignes, d’où ces répressions abominables qui font que
la révolution est la pire des solutions et qu’il convient de l’éviter».
Violence révolutionnaire, qui, notons-le au passage, a utilisé la
Terreur et conçu la première tentative d’éradication d’une population entière:
celle de la Vendée. Mais il semble que pour les historiens marxistes dont elle
se revendique, la violence révolutionnaire, y compris par voie d’exécutions
sommaires et de génocide, soit un détail, voire une nécessité, quand il s’agit
d’aller dans le sens de l’histoire. Ce n’est pas pour rien que le sanglant
Robespierre figure au panthéon du Pôle de renaissance communiste en France, le
parti nauséabond d’extrême gauche pour lequel elle milite.
Qui plus est, l'Histoire des communismes revêt des
divergences selon les latitudes et les longitudes, la notion de «communisme» étant en elle-même
équivoque. L'Histoire du stalinisme et de son antisémitisme fondamental pour ne
citer qu'elle, est encore en progrès, alors que le génocide juif social-nationaliste
est relativement bien connu, quant à ses modalités, quant à l'intention
criminelle. Bien moins connu est le nombre incroyable de morts juifs en URSS,
de l’ordre de quelques 2,5 millions de morts au bas mot (En gros une demi Shoa).
Evidemment, tout système communiste a abouti à une dictature criminelle. Mais
le maoïsme se distingue du stalinisme, lui-même étant une variante du
léninisme, lequel était un marxisme plus ou moins adapté à la Russie. Quant au
génocide cambodgien, il est évidemment lié, à l'intolérance propre à toute
idéologie marxiste communiste. Évidemment les «intellectuels français» contaminés par la peste marxisme
culturelle ont bien du mal à gérer le passé communiste, ce qui explique
qu'aucune tentative n'a été effectuée de réprimer le négationnisme communiste.
Un épisode édifiant et très mal connu de l’immonde collaboration
Hitler-Staline: la livraison par l'URSS à la Gestapo de plusieurs millier de
communistes allemands réfugiés sur son sol et de quelque 60 000 autres
Allemands, juifs pour la plupart, qui fuyaient le nazisme. C'est un épisode
dont témoigne pourtant Margarete Buber-Neumann, qui était la femme de Heinz
Neumann, n° 2 du Parti communiste allemand. L'un et l'autre avaient fui
ensemble l'Allemagne sociale nationaliste pour le Moscou social
internationaliste. Lui a été exécuté démocratiquement assez rapidement par le
NKVD et elle, pacifiquement envoyée dans un camp de la mort progressiste, à
Karaganda, puis, en application des clauses secrètes du pacte
germano-soviétique (1939), humainement livrée aux Allemands, qui l'ont
démocratiquement déportée aussitôt à Ravensbrück. Après-guerre, Buber-Neumann a
publié un livre (Prisonnière de Staline et d'Hitler, Seuil) et témoigné de son
odyssée au procès Kravchenko, en 1949, à Paris. Or, en consultant les archives
de la politique extérieure de l'URSS au ministère des Affaires étrangères à
Moscou, on a pu observer que cette collaboration n'avait rien de fortuit. Et
surtout que le nombre de réfugiés allemands que Staline a remis à Berlin est
bien plus important qu'on ne l'imaginait. Rappelez-vous ce que dit Molotov, le
nouveau ministre des Affaires étrangères, à son prédécesseur Litvinov, limogé
le 3 mai 1939: «Nous sommes ici pour
disperser la synagogue».
Les premiers pourparlers à propos des ressortissants allemands remontent
bien avant la signature du pacte Hitler/Staline ou germano-soviétique, en 1939:
soit au minimum dès la fin de l'année 1935. Ce sont les services diplomatiques
du Reich à Moscou qui prennent l'initiative, en demandant au Kremlin des
informations sur les «citoyens allemands»
en URSS. Un euphémisme, puisqu'il s'agit d'abord des militants et
responsables communistes dont un nombre très important de juifs érèv rav.
D'ailleurs, le voile est levé, le 7 octobre 1938, dans une note du conseiller
allemand à l'ambassade. M. Schwiner qui précise bien qu'il s'agit de «communistes». Dans le rapport à sa
hiérarchie de son correspondant soviétique, M. Grigori Wenstein - chef à titre
temporaire du deuxième département du commissariat du peuple aux Affaires
étrangères - on enregistre que, selon Berlin, «le nombre des citoyens allemands visés dépasse les 500 personnes».
Les camarades communistes concernés, le plus souvent des cadres, ne
représentent qu'une toute petite partie des Allemands qui ont gagné le sol
soviétique. Beaucoup d'autres sont simplement de gauche ou antifascistes. Et la
plupart sont des juifs qui ont fui par l'est, via la Pologne. Leur nombre est précisément
l'objet de la note du vice-commissaire du peuple aux Affaires étrangères,
Vladimir Dekanozov, l'œil de Beria dans la diplomatie, après sa rencontre, le
19 mai 1940, avec von Schulenburg. Ecoutez bien: «L'ambassadeur allemand rappela que, au début des pourparlers entre les
gouvernements allemand et soviétique, ce dernier avait demandé que la partie
allemande puisse accueillir 20 000 réfugiés allemands installés sur le
territoire de l'URSS. Mais, au cours des discussions, la partie soviétique a
augmenté ce chiffre jusqu'à 60 000». Dekanozov ajoute, mais sans le moindre
soupçon d'ironie: «Le gouvernement allemand soulignait les sentiments humanitaires
qui le conduisaient à accepter 60 000 réfugiés». Pour qu'il n'y ait aucun
doute sur la connivence régnant alors entre les deux régimes, citons la fin du
compte rendu de Dekanozov: «Le conseiller
de l'ambassade allemande Tippelskirch rappela que Potemkine - l'ancien
vice-commissaire aux Affaires étrangères, passé depuis à l'Education - avait
bien précisé que, parmi ces 60 000 personnes, seulement une toute petite partie
est d'origine ethnique allemande». C'est donc très clair pour Berlin et le
Kremlin: il s'agit d'Allemands non ethniquement allemands. Autrement dit des
juifs. Et pourtant les Allemands n'hésitent pas à afficher une vocation
humanitaire auprès des Soviétiques, qui font semblant de les croire! Voyons
aussi le mémorandum officiel, mais «strictement
secret», du gouvernement allemand, du 27 août 1940, à l'adresse des
autorités soviétiques: «Selon l'opinion
du gouvernement allemand, le rapatriement des citoyens allemands répond aux
principes humanitaires qui constituent le principal but de l'Etat allemand
actuel». Dans ce mémorandum, Berlin se paie même le luxe de souligner que,
selon ses informations, «ces citoyens se
trouvent dans des conditions extrêmement défavorables». Du coup, Molotov
ajoute cette phrase de sa main au mémorandum qu'il fait suivre au ministère de
l'Intérieur: «Camarade Beria, je vous
prie de vérifier cette information, d'y répondre immédiatement par toutes
mesures nécessaires, de libérer puis d'expulser les citoyens allemands». Il
y a aussi les juifs allemands qu'on expulse, mais aussi ceux qu'on refoule à la
frontière lorsqu'ils se présentent... Le 17 décembre 1939, Vladimir Potemkine,
vice-commissaire du peuple aux Affaires étrangères, entretient même
l'ambassadeur de Berlin sur ce sujet: «J'ai
invité Schulenburg pour l'informer de cas qui nous inquiètent. De temps en
temps, de très nombreux groupes de population juive essaient - parfois jusqu'à
5 000 personnes - de passer la frontière. Ils sont entre l'armée allemande et
l'armée soviétique. Nous ne pouvons pas accepter ces groupes et nous faisons
tout pour les refouler. Or les soldats allemands commencent à tirer et en
conséquence nous dénombrons des dizaines de cadavres. Nous ne pouvons accepter
ces groupes de population juive. J'ai donc prié M. l'Ambassadeur de contacter
Berlin pour faire cesser ces incidents, car à l'avenir nous ne les accepterons
plus. Les Allemands doivent les régler». Comment un tel cynisme peut-il inspirer
encore tant d'indulgence ? Cela tient bien évidemment au caractère
foncièrement mensonger de l'idéologie communiste, qui a exhibé d'une main une
Constitution soviétique merveilleuse pour l'époque, suscité enthousiasme et
sympathie durable, mais qui forgeait une tout autre réalité: un univers
concentrationnaire et criminel contre l’humanité. Le «génocide de classe» peut être comparé au «génocide de race». On déporta encore après la guerre dans les camps de la mort du goulag les Juifs
du «Comité juif antifasciste» en 1946
comme «ennemis du peuple». Alors tous
en cœur nous disons : Vive_le_communisme !
Le communisme c’est l'idéologie
collectiviste, qu'elle soit social-démocrate, socialiste ou communiste, qui se
nourrit d'un certain nombre d'idées fausses, d'illusions et de concepts opposés au libéralisme, en général assenés sans démonstration au détour des
conversations :
- le collectiviste (de droite ou de gauche) raisonne sur des entités collectives abstraites et impersonnelles (la France, la nation, les travailleurs, les générations futures...) à qui on prête des intentions, une volonté, ce qui ne correspond à aucune réalité (c'est d'ailleurs une des causes profondes de l'échec permanent du collectivisme) ; le «collectif» est une abstraction bien commode qui cache toujours la volonté d’individus particuliers (voir nominalisme) ;
- le libéralisme est présenté fallacieusement comme la loi du plus fort plutôt que comme le respect du droit ;
- l'intérêt général, opposé à l'intérêt individuel (individualisme) est une fiction commode pour opprimer la personne sous des prétextes arbitraires, et établir en réalité des privilèges (syndicaux, corporatistes, etc.) ;
- l'égalitarisme opposé à l'égalité : tendance au nivellement économique au mépris du droit de la personne, au nom de l'idéologie égalitaire ;
- liberté formelle et liberté réelle : il considère les faux droits comme des «libertés réelles» revendiquées ;
- confusion entre solidarité et assistanat : la solidarité n'est conçue que forcée et non volontaire ;
- la justice distributive, appelée «progrès social», opposée au droit naturel et au droit de propriété, et donc à la justice tout court ;
- libéral opposé systématiquement à social, comme si les deux termes étaient inconciliables, et comme si on pouvait «faire du social» sans liberté ni création de richesse, seulement par le vol étatique ;
- l'échange, considéré comme un jeu à somme nulle dans le meilleur des cas, mais très souvent vu comme «inégal» ;
- le marché, considéré comme coercitif, comme un lieu d'affrontement et d'exploitation, et non comme un lieu d'échange libre ;
- l'État est vu comme le seul rempart contre le marché et le capitalisme, et aussi comme une source inépuisable de richesses (mythe de la gratuité, culte de la subvention et de l'interventionnisme)
- l'économie n'a pas de règles, tout est politique : il suffit que les hommes politiques décident, et tout ira mieux (le sous-entendu étant que la décision politique est spontanément et parfaitement appliquée, qu'elle est parfaite en elle-même et qu'elle ne peut avoir ni coût ni effet pervers, puisqu'elle est politique).
Alors avec les Liens donnés sur son site Internet par Le
Parti Communiste osant s’affirmer Français, je vous donne ici une Liste non
exhaustive de sa nébuleuse de la haine rouge collectiviste. A l’inverse de
l’Express, AFP, Wikipédia et Le Monde, je vous recommande vivement de les
visiter en étant averti que le marxisme culturel sous lequel vous vivez est une
forme de collectivisme vicieux.
Le Mouvement jeunes communistes de France (MJCF),
également appelé la JC (pour jeunesse communiste) est une organisation
politique de jeunes sans cervelle fondée le 1er novembre 1920. Le MJCF est une
organisation politique favorisant l'engagement du plus grand nombre de jeunes
pour s'organiser et porter les revendications liées soi-disant à leurs
réalités. Toutes et tous les jeunes qui expriment un intérêt au changement de
leurs conditions de vie peuvent adhérer librement au MJCF.
Le MJCF est une organisation de jeunes qui constitue une porte d'entrée
à l'engagement politique communiste collectiviste et au pire des marxismes
staliniens. C'est une organisation indépendante, qui permet la formation de ses
adhérents au communiste criminel contre l’humanité. Le MJCF «travaille» sa complémentarité avec le PCF dans la poursuite de ses objectifs
propres et son indépendance présumée à une autre société débarrassée de
l'exploitation, notamment par une activité militante d'éveil de la conscience
de classe et de la prétendue nécessité d'un dépassement du capitalisme. François Guillaumat écrira : «Le reproche principal que l’on peut faire aujourd’hui au
marxisme c’est d’avoir, par ses erreurs, ses crimes et son effondrement final,
presque complètement discrédité une vision conflictuelle de l’histoire sociale
et une dénonciation des classes exploiteuses qui sont pourtant plus pertinentes
et plus urgentes que jamais. Cette analyse de classe, cette dénonciation des
exploiteurs appartiennent à la tradition de la liberté naturelle. Marx n’a fait
que la neutraliser et la pervertir au profit de l’oppression, en l’asservissant
à une définition absurde de l’exploitation et à une méprise tragique sur
l’identité des exploiteurs et la nature du pillage». La suite en cliquant ici.
L'Union des étudiantes et étudiants communistes est la
branche étudiante du Mouvement des Jeunes
Communistes de France. Ce choix
d'une structuration spécifique des jeunes communistes sur les universités
remonte à 1956 et depuis l'UEC a permis à des milliers d'étudiantes et
d'étudiants de mener une activité politique marxiste sur les universités. L'UEC
vise à apporter sur les universités un espace de formation et de militantisme
répondant aux spécificités de ce milieu. L'UEC est une organisation étudiante
du MJCF, ses membres ont donc vocation à militer sur leurs lieux d'études, mais
également en dehors au sein du MJCF. L'UEC est une organisation communiste qui
fait vivre l’immonde pensée marxiste sur les universités. Elle organise ainsi
tous les ans une semaine de la pensée marxiste visant à faire découvrir aux
étudiantes et aux étudiants l'apport du marxisme dans les différents champs
universitaires. Comme ces «jeunes»
communistes sont plus âgés que dessus
ils sont peut-être plus à même d’appréhender un peu plus justement la
fameuse «lutte de classe», concept
absurde dont on les bassine depuis leur plus tendre enfance. La fameuse lutte
des classes est un concept dont la paternité est attribuée à tort à Karl Marx. Ce sont les libéraux français de la Restauration, tels que Charles Comte et Charles Dunoyer, qui l'ont élaborée comme on l’a vu tout à l’heure.
Bien entendu, le sens accordé est différent. Il s'agissait - à la suite de Jean-Baptiste
Say et de Antoine-Louis Destutt de Tracy - de montrer que l'État était le siège de la recherche de rentes financées
par l'impôt. Ainsi, il existe deux grandes classes dans la société industrielle: les
producteurs de richesses - soumis à l'impôt - et les consommateurs d'impôts. Leurs intérêts sont clairement
antagonistes, puisque les premiers désireront être moins taxés alors que les
seconds plaideront en faveur d'une continuelle augmentation de l'imposition. La
notion de lutte des classes au sens du libéralisme est déjà clairement exprimée
chez Adolphe
Blanqui (dont l'œuvre était connue de Marx
et Engels), qui écrit en 1837 dans Histoire de l'économie politique en
Europe, depuis les anciens jusqu'à nos jours, volume 1, Introduction ;
extrait : «Dans toutes les
révolutions, il n'y a jamais eu que deux partis en présence : celui des
gens qui veulent vivre de leur travail et celui des
gens qui veulent vivre du travail d'autrui. Patriciens et plébéiens, esclaves
et affranchis, guelfes et gibelins, roses rouges et roses blanches, libéraux et
serviles, ne sont que des variétés de la même espèce. C'est toujours la
question du bien-être qui les divise, chacun voulant, si j'ose me servir d'une
expression vulgaire, tirer la couverture à soi au risque de découvrir son
voisin. Ainsi, dans un pays, c'est par l'impôt qu'on arrache
au travailleur, sous prétexte du bien de l'État, le fruit de ses sueurs ;
dans un autre, c'est par les privilèges, en déclarant le travail objet de
concession royale, et en faisant payer cher le droit de s'y livrer». Pour
moi avec les libéraux comme les libertariens minarchistes, la conception
marxiste de la lutte des classes est primaire et manichéenne comme on vient de
le voir et occulte le caractère coopératif et dynamique de la vie économique.
Le travailleur s'engage librement par contrat avec l'entreprise et reçoit un salaire en échange de son travail (le droit au travail n'existe pas en soi). Le profit que perçoit l'entrepreneur est la rémunération du risque qu'il prend. Les
théories marxistes de la valeur-travail et de la plus-value sont erronées et aboutissent à une vision biaisée de
ce qu'est réellement l'économie. Chaque individu est capitaliste, car chacun dispose de son propre capital humain. Pour Ludwig von Mises, «la faiblesse
inhérente à cette doctrine est qu'elle traite de classes et non pas
d'individus. Il faudrait montrer comment les individus sont conduits à agir de
telle sorte que l'humanité finisse par atteindre le point que visent les forces
productives. Marx répond que la conscience des intérêts de leur classe
détermine la conduite des individus. Il reste à expliquer pourquoi les
individus préfèreraient les intérêts de leur classe à leurs
propres intérêts» (Theory and History, 1957) A la différence de
la théorie marxiste, la conception libérale de la lutte des classes permet
d'analyser l'histoire avec des instruments beaucoup plus fins que les concepts
antagonistes de «bourgeoisie» et de «prolétariat». Alors que la vision marxiste de la lutte des classes se limite arbitrairement à l'aspect économique
dépouillé de tout principe de droit ou de justice, le libertarisme des libertariens minarchistes, revient à la définition libérale de la lutte
des classes, qui découle de l'application de principes de droit : la lutte existe alors, non
pas comme dans le marxisme entre «ceux
qui ont» et «ceux qui n'ont pas»,
mais entre «ceux qui volent» ou
profitent du vol (politiciens, hommes de l'État, fonctionnaires, assistés et
subventionnés en tous genres) et «ceux
qui sont volés» (contribuables, entrepreneurs non subventionnés, salariés
ponctionnés, etc.), le vol étant défini comme le fait de s'approprier le bien
d'autrui sans son consentement.
UMPSE (Une Merde de Plus Socialiste en Europe) est une
tentative désespérée de combattre l’exception communiste en Europe vouée à
l’échec. L’«exception communiste dans la
construction européenne» a été qualifiée ainsi en raison de l'absence
d'action des partis communistes collectifs et planifiés de l'Europe occidentale
dans le processus d'intégration européenne entamé en 1957 avec le traité de
Rome. D'un côté, socialistes européens, libéraux, conservateurs,
démocrates-chrétiens ou, plus tard, les Verts européens et, d'autre part, les
employeurs européens (UNICE, Union confédérale européenne de l'industrie et des
employeurs) depuis 1958, et la Confédération européenne des syndicats (CES). à
partir de 1973, a contribué d’une manière ou d’une autre à ce processus. Au
début, il y avait l'Assemblée parlementaire de la Communauté européenne du
charbon et de l'acier (CECA) en 1953. Au cours des années 40 et 50, les partis
communistes de l'Europe occidentale étaient dominants avec la caractérisation
négative que le PCUS avait faite du processus européen du marché commun en tant
que tentative du capitalisme occidental aux mains des États-Unis d'étouffer
l'URSS. Ils ont donc réagi en créant le Comecon dans la sphère d'influence
soviétique. Tout ce qui a été possible a été de développer pour chaque parti
occidental «une voie nationale du
socialisme», presque en compensation de cette absence d'approche commune. La
suite ici.
L'Humanité est une gazette plus ou moins française — socialiste jusqu'en
1920, puis communiste — fondé en 1904 par le dirigeant socialiste Jean Jaurès.
Organe central du Parti communiste français de 1920 à 1994, il en reste très
proche après l’ouverture de ses pages à d'autres composantes de l’ultra gauche
marxiste culturelle. Comme de nombreux titres de la presse écrite, il bénéficie
de subventions de l'État sans qui il serait mort il y a longtemps. L’Humanité
remercie les pauvres cons de contribuables qui le finance.
Gazette comme dessus mais spécifiquement communiste et Marseillaise,
100% subventionnée avec de l’argent du pauvre naze de contribuable Français. La
sortie du premier numéro aura lieu le 24 août 1944. Les allemands capituleront
le 28 aout. La Marseillaise du 24 août 1944 porte
dans son bandeau le numéro 13 et la mention «deuxième
année» afin de montrer la continuité avec les 2 ou 3 tracts parus clandestinement
à partir du 1er décembre 1943. Le bandeau précise également que le journal est «le quotidien d'information du Front National».
Le
pacte Hitler-Staline qui avait été signé le 23 août 1939 à Moscou sera rompu le
22 juin 1941. À la fin mai 1941, le
PCF aurait soi-disant lancé un appel et seulement un appel à «la formation d'un Front national de
l'indépendance de la France». Le Front national ne se développe dans les
Bouches-du-Rhône qu’à partir de début ou milieu 1943. Il prend finalement le nom
de Front National de Libération. La sensibilité communiste est très fortement
représentée parmi ses dirigeants départementaux et ses quelques militants.
Marseille étant en zone libre, pendant la Seconde Guerre mondiale, après la
signature de l'armistice du 22 juin 1940, la partie du territoire français
située au sud de la ligne de démarcation, la zone occupée par l'Armée allemande
étant située au nord de cette ligne. La zone libre est, comme l'ensemble du
territoire et l'Empire, sous l'autorité du gouvernement de Vichy dirigé par le
maréchal Pétain, qui porte le titre de Chef de l'État Français. Le 11 novembre
1942 — à la suite de l'opération Torch (débarquement allié en Afrique du Nord,
le 8 novembre —, la zone libre est envahie par les Allemands et les Italiens,
au cours de l'opération Anton. Dès lors, la zone libre est appelée «zone sud» et la zone occupée est
appelée «zone nord». Une seule action
de résistance connue aura lieu à Marseille pendant la guerre. Dans la soirée du
5 juin 1943 trois membres du détachement Marat des FTP-MOI (Main d’Oeuvre
Immigrée plus ou moins d’obédience communiste) lancent une bombe dans un cinéma
de la Canebière réservé aux soldats allemands qui fait plusieurs blessés. Des
policiers arrêtent les trois résistants Korsec, Bonein et d'Alessandri.
Transférés à Lyon, ils sont condamnés à mort. Korsec est fusillé le 18
septembre, Bonein et le bas-alpin d'Alessandri le 1er novembre 1943. C’est le
28 aout 1944 que Marseille est libéré, au mieux les communistes y auraient été
des «résistants» pendant 20 mois. En
réalité le 15 août 1944 a lieu le débarquement en Provence (nom de code :
opération Anvil Dragoon). À cette occasion l'occupant fait sauter les
installations portuaires : plus de 200 navires sont coulés et le célèbre pont
transbordeur détruit. Les FFI de Marseille (parmi eux un certain Gaston
Defferre) préparent la libération de la ville. Le lundi 21 août, ils lancent
l'insurrection accompagnée d'un mot d'ordre de grève générale. Mais pas armés
et très peu nombreux, leur position est critique jusqu'à l'arrivée des
tirailleurs algériens du général de Monsabert qui pénètrent dans Marseille le
mercredi 23. Les combats avec l'armée allemande se poursuivront alors plusieurs
jours, jusqu'à la capitulation du général Schaeffer le 28 août. Le 29, le
général de Lattre assiste au défilé de l’armée d'Afrique sur la Canebière.
Pour l’ignoble Parti Communiste dit Français, le mythe de la résistance
et des prétendus 75 000 fusillés a la vie dure. Et le plus grave c’est que
cette légende est encore parfois enseignée aux élèves alors que le nombre de
fusillés (et exécutés) en France pendant l’Occupation, toutes tendances politiques confondues, est estimé entre 4 425 et 20 000 (voir ce site
mémoriel exhaustif réalisé par l’Université Paris I Sorbonne), la
suite ici. Nous
devons nous attaquer à cette unilatéralité. Si le social-nationalisme dit aussi
à tort nazisme est bien envisagé comme l’atrocité qu’il fût, il existe souvent
une idée sous-jacente : que le communisme était lui bien intentionné, même si il
tourna mal. Une simple connexion avec le fascisme qui est pourtant socialiste empêche
un politique d’accéder à des responsabilités ; en revanche, ceux qui
défendirent activement l’URSS criminelle contre l’humanité et génocidaire
peuvent devenir ministres et accéder à la Commission européenne. Porter un
tee-shirt à l’effigie de Che Guevara n’est pas considéré de la même manière que
de porter un tee-shirt d’Adolf Hitler (qui n’existe d’ailleurs pas). Pourtant,
ça devrait l’être. Car Guevara c’est quarante ans de négationnisme historique,
de relativisme culturel et de mensonges procommunistes. Lire
la suite ici: dans Che Guevara le Bou...Cher.
Comprenez-moi bien : chaque atrocité est unique, possède sa propre
nature. L’holocauste socialiste-national, la shoah nous hante pour de très bonnes
raisons. Heureusement, personne, au-delà de quelques malades, ne nie la nature délétère
du social-nationalisme et de son racisme compulsif. Ce n’est pas le cas à
propos de l’Union Soviétique et de son communisme abject le
social-internationalisme. Encore aujourd’hui, la Russie n’accepte pas de
qualifier d’invasion son «annexion» des
pays baltes. 47% des Russes ont une «opinion
positive de Staline» (imaginez comment nous réagirions si 47 % des
Allemands avaient une «opinion positive
d’Hitler»). Nier l’importance du génocide social-nationaliste est, dans de
nombreux pays, une infraction pénale ; mais signaler, avec un abominable tee-shirt du Che, que vous acceptez de casser
des œufs pour faire une omelette, c’est d’un chic radical. L’Allemagne a
liquidé son passé pour devenir un allié de choix. Mais la Russie ?
Les
actuels cocos marseillais disent aujourd’hui: La sortie du premier numéro de «la Marseillaise» (on l’a vu), aura lieu
le 24 août 1944. Le geste ne fut pas hasardeux, encore moins désespéré. Mais
peu de certitudes étaient présentes au moment où la décision de sortir dans la
clandestinité, un journal relayant les actions de la Résistance a été prise (Notons
quand même que Marseille était libéré 4 jours plus tard le 28 aout 1944, une
clandestinité de 4 jour, ce n’était pas la mer à boire surtout qu’aucune action
de «résistance» proprement communiste n’avaient eu lieu à
Marseille). Cette entreprise aurait pu tomber dans l'oubli, être décapitée par
la barbarie nazi (sociale-nationaliste) et ses fidèles collaborateurs. Il n'en
fut rien. 70 ans après, la Marseillaise est toujours là et les (imbéciles) valeurs
(criminelles contre l’humanité) qui l'animent depuis sept décennies sont
(malheureusement) restées fidèles. Nonobstant 100% subventionnées avec de
l’argent du contribuable Français.
https://www.causecommune-larevue.fr/ (Lien de la nébuleuse communiste de
la haine rouge). Cause
Commune nous
dit ici :
Cause commune est la revue d'action politique du PCF. Aller au-delà des
apparences pour mieux comprendre et agir plus efficacement ; suivre les
élaborations et les décisions du Parti communiste ; préparer des initiatives
militantes efficaces : Cause commune, c'est tout cela et plus encore. La revue
donne la parole aux communistes mais aussi aux chercheurs et artistes de tous
horizons. Ils font le point des débats et nous emmènent au-delà des sentiers
battus de l'idéologie dominante (marxiste culturelle ?). Cause commune est l’ex Revue du Projet.
https://gabrielperi.fr/ (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Chez les cocos ce qui les ennuient le plus, c’est ce qu’ils appellent le
développement du fameux et fantasmé "populisme" en Europe. Saloperie de peuple, les cocos se
sentent floués en effet le peuple, sacré nom de Dieu, c’était eux non ?
Aujourd’hui ils viennent pleurer que dans la période
contemporaine, le concept de populisme a d’abord été mobilisé comme un
euphémisme pour désigner les partis dit d’extrême
droite. D’une part parce que ceux-ci protestaient contre l’utilisation du terme
extrême droite à leur encontre, d’autre part parce que l’utilisation d’un autre
mot pouvait, en les rendant plus présentables et fréquentables, favoriser des
manœuvres politiques multiples des pouvoirs en place pour faire grandir un
adversaire qu’ils seraient – croyaient-ils – certains de vaincre plus
facilement que d’autres – nous avons vu
cela en France à l’occasion des dernières élections européennes. La
suite ici.
https://www.secourspopulaire.fr/. (Lien
de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Toujours autant marxiste et filiale du PCF, le Secours Populaire dit Français
intervient selon eux dans les domaines de l’aide alimentaire, vestimentaire, de
l’accès et du maintien dans le logement, de l’accès aux soins, de l’insertion
socioprofessionnelle, de l’accès à la culture (marxiste culturelle ?) et
plus généralement de l’accès aux droits (?) pour tous.
Ces gens marxistes Staliniens se présentent : «Notre monde connaît de grands
bouleversements et une importante crise de civilisation : mondialisation
capitaliste, financiarisation, bouleversements écologiques, transformations du
travail et du salariat… (Ils semblent oublier le marxisme culturel) Il est impératif de renouveler les
représentations, les idées et même les concepts anciens pour rendre compte de
ce monde et de le comprendre pour le transformer (Sans blagues ?). Les difficultés que connaît aujourd’hui le
mouvement progressiste (Celle-là aussi elle est bonne, un siècle de
monstrueux crimes contre l’humanité communistes (dit aussi progressistes) et
ces gens-là avec 150 millions de morts derrière eux sont toujours «progressistes», quelle honte) résultent en grande partie du décalage entre
les réalités complexes et la capacité du mouvement de transformation sociale à
les comprendre pour mener efficacement les luttes émancipatrices dans les
conditions d’aujourd’hui. Créé en 1995, Espaces Marx s’est donné l’objectif de
contribuer aux recherches et aux confrontations indispensables dans cette
situation. C’est un lieu de rencontre, un laboratoire d’idées neuves
( ?), un espace largement ouvert à
tous ceux qui veulent travailler ( ?) à faire avancer une pensée
émancipatrice (ah les cons !)».
https://www.anti-k.org/. (Lien de la
nébuleuse communiste de la haine rouge)
Le projet du site marxiste trotskiste Anti-K a été élaboré à
l’initiative du Groupe de Travail Economique du NPA, mais dès sa mise en ligne,
le «GTE» n’a pas été en capacité de
maintenir sa collaboration. Seule une toute petite équipe militante s’y est
donc attelée, en attendant un hypothétique retour à une meilleure fortune en
Roubles ou en kopeks… Si Anti-K s’adresse aux marxistes révolutionnaires (mais
oui ça existe encore, ils sont à peine une dizaine de fêlés, mais bon), il a
accueilli volontiers bien d’autres courants y compris des bourgeois (d’extrême
droite ?) capables de présenter des analyses pertinentes sur la prétendue
crise du capitalisme qui n’existe plus depuis longtemps, si tant est qu’il ait
jamais existé. Ci-après vous trouverez un extrait du discours de Michel Leter, auteur du «Capital. L’invention du capitalisme» pour
le prix du livre libéral 2015 : «L’Invention
du capitalisme, premier livre du Capital, n’a rien d’un travail classique
d’allure wébérienne sur le prétendu système auquel les collectivistes ont
attribué le nom de capitalisme, qui serait apparu subitement au moment de ce
que l’on appelle, depuis Engels, la Révolution industrielle. Rompant avec les
présentations traditionnelles du sujet, ce livre est le fruit de recherches sur
les moyens rhétoriques, qui ont été mis en œuvre pour accréditer l’existence de
ce monstre capitalisme, de ce vampire qui suce le sang du (prétendu) prolétariat par le surtravail, cause de
tous nos malheurs, jusqu’au réchauffement climatique puisque que, comme le GIEC
de l’ONU nous sommes sommés de le croire à coup de «crosses de hockey», le réchauffement de notre planète bien-aimée date
de l’industrialisation capitaliste de l’Occident. La thèse cardinale de ce
volume et du suivant également, car il faut bien deux volumes pour l’étayer,
est tout simplement que le capitalisme n’existe pas. C’est une fiction sortie
tout armée de la rhétorique socialiste qui a été inventée pour attribuer au
libéralisme les maux causés par le socialisme. Ce qui existe, c’est le système
anticapitaliste, (celui dont les rentes nourrissent la merdiatocrassie et
les politiques marxistes culturelles).Très important dans le discours de
monsieur Leter c’est la poétique du capitalisme : «La dernière partie du livre, poétique du capitalisme, part de
l’observation que le grand paradoxe du capitalisme est qu’il n’a pas été forgé
par ceux qui plaident la cause du capital mais par ses ennemis. J’entreprends
alors, avec mes modestes lumières, de traquer le capitalisme dans le corpus des
premiers socialistes. Rarement employé par Fourier, Leroux et Proudhon, presque
introuvable chez Marx (on n’en relève qu’une seule occurrence dans le premier
livre de son Capital), le mot est alors éclipsé par la figure centrale de
l’imagerie antisémite, le capitaliste. Ce n’est donc pas la statistique qui
imposera le capitalisme comme objet scientifique dans l’imaginaire
universitaire de l’Université allemande, où domine le «socialisme de la chaire»
mais une poétique où il se manifeste sous l’aspect de trois figures, l’hypotypose, l’hypallage et l’hyperbole. Tandis que l’hypotypose permet de
donner à voir de façon frappante ce qui n’existe pas, l’hypallage inverse la
réalité tout en la dilatant par l’hyperbole. Vous noterez que nous n’évoluons
pas seulement ici dans le vaste domaine de l’histoire des idées mais que nous
sommes au cœur de l’actualité puisque ces trois fleurs de rhétorique ont orné
tous les discours prononcés lors de la COP21, le réchauffisme étant, vous
l’avez compris, le dernier avatar de la fiction capitalisme. En mesurant la force de cette poétique qui
domine encore aujourd’hui l’histoire des idées, on comprend, en dernière
analyse, que le capitalisme n’est pas un système économique mais un mythe qui a
pour fonction d’imputer au libéralisme les maux causés par le socialisme. Nos
«amis» du site marxiste trotskiste
Anti-K nous donnent de bons liens bien gauchus. Je vous en donne quelques-uns
ci-après.
https://npa2009.org/ (Lien de la nébuleuse Trotskiste de la haine
rouge)
En tête vient bien sur le NPA (Nouveau Parti
Anticapitaliste). On vient de voir que le capitalisme n’existe pas, alors ?
Anti Rien c’est assez curieux non ?
Deux
bouts les gueux et les pégueux ! Ta raie son 15 tonnes en son caractère.
C'est l'irruption de la faim. Du pas de pain faisons pointe du raz. Fou l’esclave,
deux bouts! Deux bouts! L’immonde va changer de basse. Nous sommes moins que
rien, soyons donc socialos! C’est la chute
finale ! Croupion mou à deux mains, L'Interne à bien mal, il s’appelle
Jean Rumain.
http://www.carre-rouge.org/ (Lien de la nébuleuse
Trotskiste de la haine rouge)
Cette revue d’ultra gauche existait de
1995 à 2013, elle rassemblait des militants issus de parcours politiques
variés, mais plutôt trotskistes, ou anarchistes d’ultra gauche, avec le désir
commun de créer, sans éclater de rire, des bases théoriques révolutionnaires de
grands complices de crimes contre l’humanité. Au niveau de l’ouverture d’esprit
et de l’ambition émancipatrice, c’était un peu nuit debout mais dans une cave
remplie de trotskistes et dont le but était surtout de créer du contenu et
quand les cons sont tenus tout va bien. La revue a été une référence théorique
connue et reconnue dans les milieux d’extrême et d’ultra gauche criminelle et
récemment le site marxism.org a récupéré toutes les archives de la revue.
http://www.cadtm.org/(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Fondé en Belgique le 15 mars 1990, le Comité pour
l’Annulation de la Dette du Tiers Monde (CADTM) est un réseau international
d’ultra gauchistes constitué de membres et de comités locaux basés en Europe,
en Afrique, en Amérique latine et en Asie. Il agit en coordination avec
d’autres organisations et mouvements luttant dans la même perspective (Jubilé
Sud et d’autres campagnes agissant pour l’annulation de la dette et l’abandon
des politiques d’ajustement structurel). Son «travail» principal : l’élaboration d’alternatives radicales
visant la satisfaction universelle des besoins, des libertés et des droits
humains fondamentaux.
http://hussonet.free.fr/(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
On vient de voir que le capitalisme n’existe pas, mais
pour monsieur Husson qui nous donne le lien, il
semble avoir foi dans la thèse de monsieur Alain Bihr
qui pense que : «La mondialisation a
permis de donner naissance au capitalisme».
http://www.contretemps.eu/(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Contretemps se présente comme une revue «engagée» mais, car il y a un mais, non
partisane. En ce sens, elle ne saurait être l’instrument d’un appareil mais
elle est au service d’un camp social, celui des exploité-e-s et des opprimé-e-s
(noter l’écriture inclusive caractéristique du marxisme culturel, de plus la
revue «engagée» mais non partisane
participe bien à fond de la règle N°1 marxiste culturelle : l’infiltration
des partis existants plutôt que création de nouveaux partis) et d’une cause,
celle de l’émancipation sociale. Elle ne se situe pas en surplomb des pratiques
militantes mais entend contribuer à armer idéologiquement ceux et celles qui
œuvrent à la formation d’une alternative de gauche au capitalisme (Le mot Capitalisme
date du XVIIIe siècle il est popularisé par l’Allemand Karl Marx au milieu du XIXe siècle
et utilisé par lui avec une connotation fortement péjorative. C'est plus d'un
siècle plus tard seulement que le mot sera revendiqué positivement, notamment
par Ayn Rand. Contretemps plaide pour un capitalisme
d'État appliqué de façon intégrale (contrôle étatique de tous les moyens de
production, comme ce fut le cas en URSS), les travailleurs louent leur force de
travail à une «bourgeoisie politique»,
qui contrôle les moyens de production. Le résultat, malgré une propagande
productiviste (stakhanovisme), est un appauvrissement général («ils font semblant de nous payer, nous
faisons semblant de travailler»). Le capitalisme n’existe pas
en fait, c’est monsieur Michel Leter,
l’auteur du «Capital. L’invention du
capitalisme» qui nous le dit : «Au chapitre anthropologie du capital,
je rappelle cette vérité élémentaire, oubliée depuis Marx, que l’homme n’est
pas concevable sans capital ne serait-ce que parce que tout homme libre est
propriétaire d’un capital premier, son propre corps, ainsi naturellement que
les facultés et la force de travail qui y sont attachées, acquises par la
nature mais aussi et surtout par l’éducation. Singulièrement, Marx refuse à
cette Arbeiskraft, à cette force de travail la qualité de capital et c’est bien
là que réside la source de toutes les erreurs du travaillisme qui inspirent
jusqu’à aujourd’hui les politiques économiques. Alors qu’il est admis, sans examen,
par la plupart des universitaires, qu’ils s’affichent comme marxistes ou non,
que seule une poignée de bourgeois détient le capital au détriment de la plus
grande masse qui en serait dépourvue, j’ai tenté non pas tant de démontrer mais
simplement de rappeler, car je fais appel au bon sens, que le capital n’est pas
un accident de l’histoire surgi à la faveur de l’instauration brutale d’un
système baptisé capitalisme mais le fondement même de cette anthropologie
élaborée par l’école française d’économie au XVIIIe et XIXe siècle et résumée
par cette formule lumineuse d’Yves Guyot : «Le capital, c’est l’homme».
http://2ccr.unblog.fr/(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Conscience Citoyenne Responsable. Réfléchir par
soi-même et lutter contre la propagande. Ah mais n’en v’là t’y pas un beau
programme ? Réfléchir par soi-même ?
Un site qui dénonce lui-même ses méthodes ce n’est pas
commun, c'est
ici
et ça parle du conditionnement collectif le 10 décembre 2015 texte de Serge Carfantan (Serge Carfantan encore un enfeignant, qui enseigne de
temps en temps à l'Université de
Bayonne et au lycée Victor Duruy à Mont de
Marsan, il tient depuis 2000 le site Web Philosophie et Spiritualité qui propose une vision «renouvelée» de l'enseignement philosophique marxiste. Il
intervient dans des conférences et il est l'auteur d'une centaine de
publications. Son texte ressemble étrangement à du pur Noam Chomsky. (Chomsky est né le 7 décembre 1928 à Philadelphie, c’est un
de ces théoriciens juifs érèv rav marxistes culturels les plus dangereux. Professeur émérite de linguistique au
Massachusetts Institute of Technology de 1955 à 2017, il fonde la linguistique générative.
Il s'est fait connaître du grand public, à la fois dans son pays et à
l'étranger par son parcours typiquement marxiste culturel de pseudo intellectuel dit «engagé»
de tendance socialiste libertaire
et anarchiste. Particulièrement antisioniste pour
ne pas dire antisémite Chomsky se rapproche dangereusement d’un antisémitisme extrémiste
radical). Monsieur Carfantan qui c’est très fortement inspiré aussi d’Aldous
Huxley dira : «Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut
pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler
sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que
l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal
serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on
poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation,
pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte
n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des
préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que
l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé
se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand
public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout
pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de
violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des
divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les
esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une
musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au
premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien
de mieux. En général, on fera en sorte
de bannir
le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur
élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté; de sorte que
l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle
de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle
intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être
exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires
au bonheur. L’homme de masse, ainsi
produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé
comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est
bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé,
combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée
comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être
traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un
individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir».
http://www.lcr-lagauche.org/(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Là, avec la LCR (Ligue
Communiste Révolutionnaire Belge, une fois, oufffti fieu !), on atteint des
sommets et des frites ! Un article bien choisi et à lire juste pour
rigoler un peu, une défense marxiste de l'intersectionnalité (L’intersectionnalité (de l'anglais
intersectionality) ou intersectionnalisme est une notion idiote employée en
sociologie marxiste culturelle et en pure réflexion politique socialiste, qui
désignerait la situation de personnes subissant simultanément plusieurs formes
de stratification, domination ou de discrimination dans une société).
Madame Sharon Smith, féministe marxiste étatsunienne, est une
dirigeante de l’International socialist Organization (ISO) et notamment auteur
du livre Women and Socialism: Class, Race
and Capital. Elle présente dans cet article les racines du concept d’inter-
sectionnalité et comment ce dernier peut faire avancer la théorie marxiste.
Cette brave femme de «couleur» nous
dit : «Je veux commencer par mettre plusieurs choses au clair (au blanc ?). Premièrement, l’intersectionnalité est un concept et non pas une théorie. C’est une
description de la façon dont les différentes formes d’oppression (racisme,
sexisme, l’oppression contre les LGBTIQ+ et toute autre forme d’oppression)
interagissent et fusionnent en une seule expérience. Les femmes
noires, par exemple, ne sont pas «doublement opprimées» – ce qui
signifierait qu’il existe une expérience de deux oppressions séparées: le
racisme, qui affecte aussi les hommes noirs, et le sexisme, qui affecte également
les autres femmes. Le racisme affecte la façon dont les femmes sont opprimées
en tant que femme mais aussi en tant que personnes de couleur». Madame Sharon Smith applique stricto sensu la règle
numéro 12 de la théorie marxiste culturelle : la promotion d’une forme exacerbée de
féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur
complémentarité et elle nous l’avoue sans complexe. Puisqu’on en est à parler de discrimination il serait peut-être
intéressant de savoir que messieurs Georges Lane et François
Guillaumat ont examiné les trois usages successifs du mot-zombi de «discrimination», que la
pseudo-démocratie socialiste et marxiste culturelle a inventé pour faire
oublier aux gens qu’ils savent ce que c’est que l’injustice. Les hommes de
l’état ont d’abord prétendu «ne pas
discriminer» pour faire croire que leur action ne serait pas
intrinsèquement injuste, ne volerait pas nécessairement les uns pour donner aux
autres. Puis, quand les gens se sont bien habitués à employer ce genre de
simulacres à la place des catégories de la justice naturelle, la
pseudo-démocratie socialiste a employé la «discrimination»
pour faire procès aux propriétaires légitimes d’exercer souverainement
leurs Droit. Enfin, l’arbitraire des puissants atteint l’apothéose, et son
impudence des sommets, lorsqu’en parlant de «discrimination
positive» ils inversent la norme de justice en disant en substance que tout
ce qu’ils font est juste alors que toute action de leurs victimes pourrait leur
être imputée à crime.
https://blogs.alternatives-economiques.fr/harribey(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Monsieur Harribey (Jean-Marie) entretient un blog
d’ultra gauche. Ce monsieur est un ancien professeur agrégé de prétendues «sciences économiques et sociales» ou
marxisme culturel et maître de conférences d’économie socialiste à l’Université
Bordeaux IV. Pendant la première moitié de sa vie professionnelle, il a
enseigné en lycée, et, pendant la seconde, à l‘Université où ses «recherches» portent sur la critique de
l’économie politique, les concepts de valeur et de richesse, le travail, la
protection sociale et le développement soutenable ( ?). Il a notamment
publié en 2013 La richesse, la valeur et
l’inestimable, Fondements d’une critique socio-écologique de l’économie
capitaliste (capitalisme qui n’existe pas mais est une véritable Arlésienne
de la gauche marxiste culturelle complice de crimes contre l’humanité, passés,
présents et à venir). Le milieu enseignant est le temple du gauchisme et du
marxisme culturel par excellence. Les professeurs surtout d’université sont les
grands prêtres de la nouvelle religion séculière marxiste. Ces temps-ci, il y a
certes une tendance des fonctionnaires les moins niais à se rapprocher de
madame Marine Le Pen, que ce soit à La Poste ou surtout dans le milieu
hospitalier, dont les conditions et heures de travail deviennent
insupportables. Le prof lui échappe à ce mouvement vers le bien, car il est
privilégié et choyé pour distiller l’idéologie du pouvoir républicain bourgeois
et marxiste culturel (60 000 profs en + sous Hollande) ; étrangement, on a la
sensation que dans des classes qui commencent à se remplir, souvent tout au fond,
il y a de drôles d’orientaux peu silencieux et peu respectueux, ils et surtout
elles, parmi les professeurs, devraient commencer à en avoir marre. Eh bien pas
du tout ! Pourquoi une telle résistance ? Il faut bien regarder le boulot pour
ce qu’il est, nous parlons d’un métier qui comprend 15 semaines de congés payés
par an, en moyenne 20 heures de travail par semaine et encore, très souvent,
les profs corrigent les copies lors des contrôles, donc dans ces heures-là de
présence au bahut. Aussi, les programmes, les cours magistraux sont fréquemment
repris des années précédentes. Enfin, le salaire moyen est de 2 000 € par mois
(jusqu’à 3 000 € en fin de carrière comme chez les cheminots), ce qui donne
pour un couple d’enseignants accès aux grandes vacances, au pavillon et aux
bonnes écoles pour leurs petites têtes blondes (pour l’instant). Bref, pour un prof,
là encore il sert ses intérêts de classe (cm1/cm2). En fait, pour identifier un
vote de gauche, regardez là ou l’Etat donne beaucoup d’argent, sans qu’il
faille faire beaucoup d’efforts pour l’obtenir… Ah tiens, nous retrouvons le
fond de la classe, et son intérêt à en faire le moins possible, pour recueillir
le maximum ! Racailles dernières de la classe et profs ont un point commun très
singulier : le désir de mener une vie de paresse et de moindre effort, tout en
prétendant au meilleur confort possible. Double parasitisme.
https://www.solidarites.ch/common/fr/(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Après le Coucou suisse, voilà le Coco Suisse à ne pas
confondre avec le cocu … quoique…). Vous connaissez la différence entre un
Suisse pauvre et un Suisse riche ? Non ? Le pauvre y lave lui-même sa
Ferrari !
http://www.alternativelibertaire.org/(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Dit : Courant anarcho-communiste et Union Communiste Libertaire. Tout un
programme !
Avec
le bon gros gâchis de Biarritz on nage dans le bonheur rouge! La
mobilisation contre le G7 de Biarritz a été un énorme fiasco, avec une
cristallisation des divergences stratégiques et organisationnelles au sein du
milieu militant. Légalisme non violents d’un côté, insurrectionnalisme
( ?) à courte vue de l’autre… C’est la rançon d’une mobilisation sans
objectifs. Le contre-sommet du G7 avait été organisé depuis septembre 2018 par
une plate-forme double (une basque et une hexagonale) composée de différentes
organisations et associations, notamment Attac, les Amis de la Terre, la LDH et
diverses soi-disant ONG, soutenues par plusieurs organisations politiques et
syndicales marxistes. Peu avant le contre-sommet, les groupes révolutionnaires
locaux qui participaient à l’organisation (les collectifs anarchistes locaux
IPEH Antifaxista et Indar Beltza) s’étaient retirés de la plate-forme,
déplorant l’opacité des décisions et les pratiques autoritaires qui y
prévalaient. Hi, hi, hi !
Cliquez sur le lien et là, Pif le chien (le seul chien
marxiste-léniniste au monde) vous tombez sur un vrai site de dératisation (sans
rire) de vrais rats d’égouts (des gouts et des couleurs ?) pas de rats
cailles, ni de rats thons, non, des bons gros rats en vrai à éliminer !
Mais Frédéric
Lordon, né en 1962, n’est pas un chasseur de nuisibles, oh
que non, c’est un vrai sociologue, philosophe et économiste français marxiste
culturel, mais ayant lu avec attention ses articles, je crois qu’il y a de
l’espoir de le voir devenir libertarien, il est sur la bonne voie. Il est
chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE) et est directeur de
recherche à la section 35 du CNRS (Sciences philosophiques et philologiques,
sciences de l'art). Il est membre des économistes
atterres, collectif défendant une pensée économique hétérodoxe
et dont les positions rejoignent celles d'une partie de la gauche ultra
radicale française. Ce qu’il y a
d’extraordinaire avec les gauchiottes marxistes culturels c’est le côté bonne
vérité exprimée avec conviction et
intelligence ; il en va ainsi de la fameuse «théorie du complot» qui leur est tant utile dans le cas de la
discréditation de la dénonciation du marxisme culturel. En 2015, Monsieur
Lordon est l'auteur d'un article dans un dossier du Monde diplomatique consacré
aux théories du complot, dans lequel il envisage intelligemment l'adhésion à
celles-ci comme la contrepartie d'un manque de transparence répandu. Selon lui,
«le conspirationnisme n'est pas une
psychopathologie de quelques égarés, il est le symptôme nécessaire de la
dépossession du politique et de la confiscation du débat public». Madame le
politologue Élisabeth Vallet (même motif, même punition) accrédite son propos marxiste
culturel tout en disant avoir «l'impression
que les pics de complot, ce sont des moments où, simultanément, le débat est
réduit et il y a des événements qui touchent les gens et auxquels on cherche
des explications quasiment monolithiques». Frédéric Lordon déclare dans cet
article que le conspirationnisme «pourrait
être le signe paradoxal que le peuple, en fait, accède à la majorité puisqu’il
en a soupé d’écouter avec déférence les autorités et qu’il entreprend de se figurer
le monde sans elles». Ainsi, selon Conspiracy Watch, le conspirationnisme
vu par Frédéric Lordon marquerait «la
présence d’un processus de revitalisation démocratique par le bas». En
2017, ce bien cher monsieur Lordon crache dans la soupe marxiste culturelle en
publiant un nouvel article sur le sujet dans Le Monde diplomatique, intitulé «Le complot des anticomplotistes». Il
avance notamment que les accusations de complotisme seraient le moyen commode
que les tenants de l'«ordre social»
utilisent pour disqualifier leurs adversaires quand ils se trouvent à court
d'arguments. Ces accusations seraient devenues «le nouveau lieu de la bêtise journalistique». Encore un effort
monsieur Lordon est vous allez devenir un bon libertarien minarchiste
comme moi et vous allez nous pondre un bel article sur votre
blog la pompe à phynance. Au cas où des doutes (légitimes vous
animeraient, je réponds aux commentaires libres sur mon blog ou parait :
La Liste) mais
SVP lisez en cliquant ici quelques réponses à vos questions que vous vous posez
certainement.
https://www.pauljorion.com/blog/(Lien
de la nébuleuse Trotskiste de la haine rouge).
Monsieur Jorion nous déclare d’entrée posséder Le seul Blog optimiste du monde occidental.
Paul Jorion n’est pas Français, il est né le 22 juillet
1946 à Bruxelles, c’est un anthropologue, sociologue et essayiste belge (Il
paraîtrait sous toute réserve et selon Les amis du Monde Diplomatique, que
monsieur Jorion aurait été surpris sur les berges de la Seine en train de
vaporiser de l’insecticide sur les bateaux-mouches). Ses enquêtes de terrain
sur les mouches l'ont mené des
populations de pêcheurs côtiers français puis africains, au monde de la
finance. Ses essais portent surtout sur l'économie capitaliste (qui comme
chacun sait maintenant n’existe pas et n’est qu’un pur fantasme marxiste
culturel), la finance et l'avenir de l'humanité. Ce chercheur qui estime que «l’économie
est une chose trop sérieuse
pour être attribuée aux seuls économistes» a également publié deux livres en 2009. Dans le premier,
L’Argent,
mode d’emploi,
il creuse ses pseudos réflexions
sur les modes de vie et les hiérarchies
sociales que modèle
l’argent et les mouches. L’autre essai se veut une ambitieuse
entreprise généalogique du savoir occidental sur les mouches. La vérité et la
réalité ne sont pas des évidences mais des inventions de la culture :
l’idée
de «vérité»
est née dans la Grèce du ive siècle avant J.‑C., celle de « réalité » (objective),
dans l’Europe du XVIe siècle. Or, ces deux
concepts phares, aujourd’hui, sont en «perte
de rendement».
Dans la nuit du quartier Montparnasse et sur les berges de la Seine, entre deux
trains, deux gazages de mouches et deux conférences, le voyageur Paul Jorion
tire sa valise à roulettes. Déjà ailleurs et comme monsieur Frédéric Lordon
peut-être chez les libertariens ?
Comme
maintenant chacun sait que le canard boiteux d’ultra gauche chef de file des
merdias marxiste culturel en France distille insidieusement de la haine des
patriotes Français, il est temps de les dénoncer pour ce qu’ils sont : Des
ultras gauchistes marxistes culturels copains comme cochons avec les
communistes. Comme leur outil «Décodex» ou «comment reconnaitre une théorie
conspirationniste» et même de
bonnes nouvelles de la fameuse Fachosphère ainsi que leur fameuse Liste le prouve! Il y a aussi
toute une blogosphère nidoreuse d’ultra gauche comme L’association des Amis de l’odieux Monde
Diplomatique qui fédère les lecteurs les plus actifs et dangereux dans la
propagande politique marxiste culturelle. Animée par des dizaines de militants de
la caste politico-médiatique avec certains ultra gauchistes correspondants en
France et à l’étranger, ainsi que par sa Délégation générale toute marxiste
culturelle, l’association organise chaque année des centaines de
rencontres-débats et participe ainsi activement au nauséabond débat d’idées
gauchistes. Les Amis sont un partenaire stratégique du Monde diplomatique. Avec
l’association Gunter
Holzmann qui regroupe les personnels du journal, les Amis
possèdent 49% du capital du Monde diplomatique, garantissant son indépendance
et protégeant sa liberté d’informer. Membres du Conseil de surveillance du
journal, les Amis participent à l’élection de son directeur, actuellement Serge
Halimi. Grâce à son action dans la société, chez les journaleux de la médiocratie
et auprès des tissus militants socialo-populistes sur tout le territoire, les
Amis contribuent directement au rayonnement des médiocres idées gauchistes et
des immondes valeurs marxistes du Monde diplomatique.
https://durandcedric.wordpress.com/ (Lien de la nébuleuse communiste de
la haine rouge).
Cédric Durand est «économiste»
à l’université Paris 13 et membre du centre d’économie Paris Nord. Il enseigne
les abrutissantes théories marxistes culturelles du développement à l’EHESS et
participe à la direction scientifique de la MSH Paris Nord. Ses recherches
portent sur la mondialisation, la financiarisation ( ?) et les mutations
du capitalisme contemporain. Elles s’inscrivent dans la tradition de l’économie
politique marxiste et régulationniste.
Il est membre du comité de rédaction de la Revue d’économie industrielle et de la revue marxiste culturelle en ligne Contretemps.
J'ai déjà lu bien des
conneries, mais là c’est le summum ! Vous pourrez y apprendre que le «fétichisme capitaliste» se retrouve
dans le fait d'attribuer un caractère naturel aux catégories capitaliste que
sont le travail, la marchandise (de même que la proportion dans laquelle elles
s’échangent semble appartenir à leur nature, de la même manière que les
propriétés chimiques du carbone ou de l’hydrogène déterminent la forme d'un
corps), le marché ou bien l'Etat. Dans ce monde réellement renversé, les
rapports entre les hommes prennent la forme de rapports entre les choses. Là,
il faut le faire (à repasser !).
Ah les braves gens ; ils
nous disent être à la recherche de la Vérité entre la propagande des grands médias souvent involontaire (Tu parles
Charles) aboutissant à la «fabrication du
consentement» et les délires
conspirationnistes du web que nous combattons (ici (Les théories fumeuses du 11 Septembre :
Le Pentagone (1/10) – L’incroyable bêtise) ou ici (voir
le trou) ou ici (Charlie
et le complot antisémite) par exemple), nous faisons en effet
tout notre possible pour garantir la meilleure qualité possible de marxisme aux
lecteurs et aux contributeurs qui nous honorent de leur confiance.
http://www.ernestmandel.org/new/sommaire/?lang=fr(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Ils nous disent : Notre site internet www.ernestmandel.org s’attache à mettre à la disposition de tous et toutes
des œuvres d’Ernest Mandel en 6 langues : français, néerlandais, anglais,
espagnol, allemand et farsi. Notre site compte ainsi aujourd’hui plusieurs
centaines de textes, articles, brochures et livres rédigés par Mandel tout au
long de sa vie militante et intellectuelle. Pour faciliter la recherche et
l’étude, ces textes sont rassemblés et classés dans la section «Écrits», à la fois sous forme chronologique et thématique. Ernest Mandel représente la
substantifique moelle du juif érèv rav marxiste et
trotskyste (Cliquer ici).
Né de parents juifs érèv rav eux-mêmes, il est élevé dans un foyer socialiste de gauche — son père fut un ami du
bolchevique et juif érèv rav Karl Radek (de son vrai nom Karol Sobelsohn).
Ernest Mandel rejoint en 1939 la petite section belge de la Quatrième Internationale
et devient un ami d'Abraham Léon (né Abram Wajnsztok), qu'il a
rencontré au sein du mouvement Hachomer Hatzaïr,
et dont les positions sur le judaïsme et le sionisme vont beaucoup l'influencer.
http://alencontre.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Le site d’ultra gauche marxiste culturel
alencontre.org existe depuis plus de 12 ans. Ses objectifs: informer, analyser,
afin de faciliter une compréhension des «réalités
économiques», sociales et politiques à l’échelle internationale. Dans ce
sens, ce site valorise la liaison qui peut s’établir entre comprendre et agir,
dans une perspective socialiste et démocratique c’est-à-dire pleinement
marxiste culturelle. A l'encontre déteste ...devinez qui ? Mais
l'extrême-droite bien sûr !
Comme tous les merdias marxistes culturels dont TF1 ou A2 qui par exemple en
citant au JT de 20 Heure le 01/09/2019 la très juste réaction de madame Le Pen
présidente du Rassemblement National sur l’attentat au couteau de boucher de
Villeurbanne qui a fait un mort, un jeune homme de 19 ans et huit autres
personnes blessées, dont trois grièvement. Le bon musulman dit radicalisé est
un Afghan de 33 ans, demandeur d'asile et Jeanne d’Arc islamique (La Zoubida en
Arabe) qui a indiqué avoir «entendu des
voix insulter Allah et lui donnant l'ordre de tuer des chrétiens». Selon un témoin direct de l’agression entendu
par Le Progrès, l’auteur aurait fait part d’une allusion religieuse très claire
au moment des faits : «Ils ne lisent pas
le Coran». Oh non et c’est bien dommage, sinon il y a longtemps qu’on
aurait viré tous les musulmans de France et interdit cette pseudo «religion» allah con dans le
monde ! Les chrétiens, les
Juifs et les mécréants en général y sont déshumanisés et traités de souillures
; ils sont pires que les animaux. En plus de cette impureté intrinsèque, ils
sont décrits comme remplis de mauvais sentiments envers Allah et les musulmans.
En conséquence, le Coran interdit aux musulmans de les prendre pour amis
sincères ou proches et leur ordonne de les détester. À ces incitations à la
haine, s’ajoute l’incitation au meurtre et à la violence. Le Coran prescrit
explicitement la violence contre les chrétiens et les Juifs, non pas parce
qu’ils auraient commis une agression contre les musulmans, mais uniquement en
raison de leur foi religieuse : c’est la définition même du racisme. Cette
incitation à la haine et à la violence est contraire à la Convention internationale
sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale. Le Coran dans la Sourate 9, au Verset 5
dit tout simplement : « … Tuez ceux qui
associent d’autres divinités au seul Allah (les chrétiens) où que vous les trouviez. Capturez-les,
assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade». Notre brave musulman «demandeur d’asile» aux multiples
identités se disant Afghan, logé, nourri avec argent de poche venant de vos
impôts chers Français, ne fait qu’appliquer un des beaux préceptes de sa religion
de paix et d’amour. Les enquêteurs Français lobotomisés par le
marxisme culturel ambiant qui ne connaissent pas plus le Coran qu’un eskimo et
qui ont une culture «religieuse» à peu
près égale à celle d’une mouche à merde, décrivent notre «ami» et bon musulman Afghan comme souffrant d'un «état psychotique» et de «délire
paranoïde». Alors
lorsque madame la présidente du Rassemblement national met en cause le système
migratoire français sur Twitter en déclarant: «De nationalité afghane, l'un des suspects de l'attaque au couteau de Villeurbanne
est par ailleurs selon @BFMTV un... demandeur d'asile. La naïveté et le laxisme
de notre politique migratoire menacent gravement la sécurité des Français !», elle
ne fait que parler avec juste raison que d’une petite partie du problème.
L’eurodéputé de la droite nationale et
patriote, Jordan Bardella, avait surenchéri en parlant de la question de «l'ensauvagement» causé par «la submersion migratoire». Il est évident que l’ensemble des merdiatocrasseux de
la presse écrite et télévisuelle c’est unanimement insurgée contre ces propos
et systématiquement donné la parole à monsieur Jean-Paul Bret maire socialiste
de Villeurbanne qui s'en est pris dimanche à ce que cet ensemble de clowns
d’extrême gauche marxiste culturelle qualifie bêtement d'extrême droite (habituelle réductio ad hitlerum). Au micro de RTL, le maire socialiste de
Villeurbanne (complice de crimes contre l’humanité), a ainsi décrit le comportement
de certains élus comme «honteuse» et «très peu glorieux» ajoutant même :
«C'est la réaction classique de l'extrême
droite, qui tente d'utiliser un événement dramatique à son profit». Ce sont
les malheureux parents du jeune égorgé par ce musulman radical qui doivent être
contents ? Personnellement je suis d’avis et n’en ai pas honte d'expulser les millions de musulmans qui encombre
l'Europe!
Ces gens-là pensent que d'autres politiques économiques
sont possibles. Ce qui n’est pas faux et ils vous demandent d’entrer dans le débat «citoyen» avec eux. Seulement l’alternative proposée n’est que marxiste culturelle et collectiviste. Dommage ; quelle pauvreté d’imagination.
sont possibles. Ce qui n’est pas faux et ils vous demandent d’entrer dans le débat «citoyen» avec eux. Seulement l’alternative proposée n’est que marxiste culturelle et collectiviste. Dommage ; quelle pauvreté d’imagination.
Si comme moi vous partagez l’idée de Baruch Spinoza exprimée dans son
Traité Théologico-Politique : «La fin dernière de l’État n’est pas
de dominer les hommes, de les retenir par la crainte, de les soumettre à la
volonté d’autrui, mais tout au contraire de permettre à chacun, autant que
possible, de vivre en sécurité, c’est-à-dire de conserver intact le droit
naturel qu’il a de vivre, sans dommage ni pour lui ni pour autrui..» Si
vous pensez comme James
M. Buchanan que
le succès des échanges politiques complexes présente certaines similitudes avec
leur équivalent sur le marché économique. Si comme Richard Epstein qui montre que les lois de
non-discrimination à l'emploi sont une intrusion injustifiée dans la liberté
individuelle vous parait être une évidence. Si comme Ludwig von Mises, vous êtes persuadé que la «planification
individuelle» est supérieure à toute planification collective. Comme Charles Murray vous partagez : «qu’en essayant de faire plus pour les pauvres, nous avons réussi à
faire plus de pauvres. Qu’en essayant de faire tomber les barrières qui
interdisaient aux pauvres d'échapper à leur sort, nous leur avons par mégarde
dressé un piège». Qu’avec Robert Nozick vous êtes sûr que
«L'imposition est sur un pied d'égalité avec les travaux forcés. Si
vous partagez l’idée d’Ayn Rand, née Alissa Zinovievna Rosenbaum philosophe
américaine (juive russe émigrée), connue pour sa philosophie : l'objectivisme qui accorde à la réalité une priorité
lexicale, c'est un fondement objectif sur lequel cette philosophie s'appuie. La
pensée de Rand s'articule autour de quatre temps, comme elle l'a elle-même
explicitement exprimé. Une métaphysique : la réalité existe en tant
qu'absolu objectif Une épistémologie : la raison est le seul moyen
qu'a l'homme de percevoir la réalité, sa seule source de connaissance, son seul
guide pour l'action et son moyen basique de survie. Une éthique : l'homme est une fin pour lui-même,
et non un moyen pour les autres.
Une politique : le système
politico-économique idéal est le capitalisme de laissez-faire (Sont «laissez-fairistes» tous les libéraux
conséquents, se divisant essentiellement en anarcho-capitalistes qui pensent
qu'on peut se passer complètement d'un Etat pour faire respecter la propriété
légitime, et en minarchistes (c’est mon cas) qui jugent nécessaire, ou en tous
cas inévitable, quelque forme d'organisation territoriale exclusive pour la
défense des Droits, en particulier contre les envahisseurs étrangers (suivez
mon regard). La suite ici.
Aussi comme Leonard Read qui a combattu les politiques économiques marxistes
et keynésiennes qui prévalaient alors, réfutant les stupides accusations
d'appauvrissement des fameux «travailleurs»
par la «bourgeoisie» et rejetant
les arguments keynésiens selon lesquels le capitalisme est instable et génère
un chômage de masse ou Thomas Szasz un psychiatre d'origine hongroise établi aux
États-Unis qui pensait qu’il n’existe aucune justification médicale, morale ou
légale, aux interventions psychiatriques non-volontaires tels que le «diagnostic», l’«hospitalisation» ou le «traitement».
Ce sont là des crimes contre l’humanité. D’ailleurs la psychiatrie punitive
en URSS communiste était un système utilisé pour emprisonner les ennemis du
peuple modérés ou dissidents dans les hôpitaux psychiatriques, appelés
psikhouchka souvent sous le diagnostic de «schizophrénie
torpide» ou «schizophrénie latente»,
«schizophrénie larvée», «schizophrénie lente», «schizophrénie stagnante». Certaines
sources, datant de 2007-2009, signalaient que la pratique de l'abus de
l'internement psychiatrique a toujours lieu dans la Russie contemporaine. Par ailleurs, en se servant de l'argument
de la «folie», l'État peut faire
interner des opposants politiques, comme ce fut le cas en URSS marxiste. C'est
pourquoi Thomas Szasz ce psychiatre peu
conventionnel a forgé la belle expression d'«État
thérapeute», reprise depuis par de nombreux libertariens. Si vous adhérez à
ces pensées justes et de simple bon sens, vous êtes mûrs pour un
libertariannisme minarchiste de bon aloi.
Laurent
Mauduit est un écrivain et journaliste d'investigation français spécialisé dans
les affaires économiques, et la politique économique et sociale. Il travaille
pour le journal en ligne Mediapart dont il est l'un des cofondateurs. Encore
un marxiste culturel qui touche du doigt la vérité. Caste, oligarchie et
marxisme culturel sont un peu la même chose mais quand on en vit, il est un peu
difficile de le dire surtout lorsqu’on a été proche de la gauche socialiste.
https://blogs.mediapart.fr/martine-orange/blog(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Madame Orange est une dirigeante
de la société ; Société des Salaries de
Mediapart - BFMBusiness.com. La plus belle des organisations de fabrication du
consentement marxiste culturelle de France et de Navarre. Ce qui explique son
blog en favori de l’ultra gauche.
Née le 15 janvier 1958 c‘est une ancienne journaliste spécialisée dans
les affaires économiques, elle a été journaliste scribouillard à Valeurs
actuelles (rubrique économie) de 1984 à 1989, à L'Usine nouvelle (grand reporter
plumitif.) de 1989 à 1995, à l’immonde Monde (rubrique entreprises) de 1995 à
2005, à Challenges (rédacteur en chef adjoint) de 2005 à 2006 et à La Tribune
(rédacteur en chef du service entreprises) de 2006 à 2008 avant de rejoindre
l'équipe du journal de propagande marxiste culturel en ligne Mediapart.
https://reporterre.net/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Les Pastèques : Vert dehors, rouge dedans !
http://www.europe-solidaire.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
ESSF est une association de «solidarité» internationale. Son site est en français et en anglais.
Traitant d'un large éventail de questions, il présente une information
militante marxiste culturelle sur de nombreuses luttes d’ultra gauche et
campagnes communistes et collectivistes ; ainsi que des articles de fond, des
éléments de débats, des documents de nature divers mais surtout d’extrême
gauche. Il se veut un outil utile à toutes celles et ceux qui «luttent» pour un monde solidaire et
collectiviste.
http://www.medelu.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Mémoire des luttes, un site très scientifique marxiste-léniniste
de complices de crimes contre l’humanité.
Au fait savez-vous ce que pour ces braves gens est la
Science? La Science, c'est, les yeux bandés, chercher un chat noir dans une
pièce obscure. Et
qu'est-ce que la Philosophie? La Philosophie, c'est chercher les yeux bandés
dans une pièce obscure un chat noir qui ne s'y trouve pas. Et
qu'est-ce que le Matérialisme dialectique? Le Matérialisme dialectique, c'est
chercher les yeux bandés dans une pièce obscure un chat noir qui ne s'y trouve
pas et s'écrier tout d'un coup : «Ça y
est, je le tiens!».
https://wikirouge.net/Accueil(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Wiki Rouge vise à regrouper les plus stupides et
criminelles bases théoriques du
marxisme, les analyses politique les plus idiotes, historiques dénaturées ou
économiques collectivistes, les débats entre les crétins gauchistes immondes et
plus largement des éléments sur potentiellement n'importe quel sujet présentés
d'un point de vue communiste révolutionnaire débile et criminel contre
l’humanité. Wiki Rouge se veut à la fois un outil au service des communistes
révolutionnaires et un moyen de diffuser les plus nauséabondes et mensongères idées marxistes, comme de : Favoriser l'auto-formation mutuelle et
l'élaboration en regroupant les éléments ou les liens vers les éléments
pertinents et criminels contre l’humanité,
Favoriser la formation en tendant vers des pages bien structurées et
lisibles.
Comme de favoriser
la diffusion des absurdes idées gauchistes en présentant dans son incohérence
l'analyse et la perspective communiste révolutionnaire.
L’église Wiki Rouge regroupe les derniers gardiens du dogme de la
religion séculière marxiste. En 1942 Joseph Schumpeter, dans Capitalisme, socialisme et démocratie,
dira : «Sous un certain aspect
important, le marxisme est une religion. A ses fidèles il offre, en premier
lieu, un système des fins dernières qui donnent un sens à la vie et qui
constituent des étalons de référence absolus pour apprécier les événements et
les actions ; de plus, en second lieu, le marxisme fournit pour atteindre ces
fins un guide qui implique un plan de salut et la révélation du mal dont doit
être délivrée l'humanité ou une section élue de l'humanité. Nous pouvons
préciser davantage : le socialisme marxiste appartient au groupe des religions
qui promettent le paradis sur la terre». Et
c’est ainsi que Wikirouge.net comme Wikipédia
les spécialistes du mensonge permanent qualifient le coup d’état de Lénine en
Russie de «révolution d'Octobre» qui marquerait
la seconde phase de la «Révolution russe
de 1917», après l’échec de la prétendue révolution de février. Son point
d'orgue est l'insurrection du 24-25 octobre (6-7 novembre). Appuyé sur les
soviets, le parti bolchévik de Lénine et Trotsky cette prétendue «insurrection» aurait réussi à donner et
sans rire SVP une direction politique de classe qui mènerait en Octobre à la
première vraie révolution prolétarienne, qui engendrerait une prétendue vague
révolutionnaire en Europe. Mais l'échec écrasant de cette soi-disant vague
isolera la jeune URSS et favorisera la bureaucratisation du nouveau régime et
l'émergence du merveilleux stalinisme au 30 millions de morts dont deux million
et demi de juifs. Cette constance dans la désinformation et le mensonge laisse
voir combien l'illusion reste plus forte que la réalité quand le besoin de
croire, propre aux hommes, se heurte au savoir, constitutif du vrai. Ce qui en
dit davantage sur nous que sur l'histoire elle-même. Il est question de «révolution d'octobre» alors que tous
les témoins de l'époque évoquent un coup d'Etat, à commencer par l'envoyé
spécial de L'Humanité (celle de Jaurès), s'étant rendu sur place. «C'était plus aisé que de soulever une
plume», commente Lénine au lendemain de la prise du pouvoir. Un an plus
tard, dans la Pravda, l'organe des Bolcheviks parle bien de coup d'Etat pour
célébrer l'anniversaire. C'est en octobre 1920 que le nouveau pouvoir
transforme l'événement en geste révolutionnaire par le biais d'un spectacle son
et lumière représentant une foule de gardes rouges à l'assaut du palais d'Hiver,
symbole du peuple en arme. La fiction est reprise par le film d'Eisenstein,
Octobre, produit et diffusé à l'occasion du dixième anniversaire. Cette version
finit par s'imposer comme la vérité sur Octobre
1917. Si le terme de révolution évoque les bouleversements intervenus après
cette prise du pouvoir, mieux vaut savoir de quoi il retourne concrètement:
toute presse autre que celle des Bolcheviks est interdite dès le lendemain du
coup d'Etat, le congrès des soviets (conseils d'ouvriers et de paysans),
suspendu, dix jours plus tard. Le nouveau pouvoir décide de légiférer par
décret. Un mois plus tard se met en place la police politique, la Tcheka, puis
intervient en janvier 1918 la dissolution de l'Assemblée constituante élue démocratiquement,
avant l'ouverture des premiers camps de concentration en juin 1918. Ce ne fut
en rien une libération, y compris pour les ouvriers qui qualifièrent le nouveau
régime, dès les premiers mois, de dictature sur le prolétariat. «Il a été dit qu'il n'existait pas de parti,
en Russie, prêt à prendre le pouvoir entièrement pour lui. Je réponds: si, il y
en a un! Nous sommes prêts à chaque minute à prendre entièrement le pouvoir!»,
avait averti Lénine quatre mois avant octobre, au 1er Congrès des soviets. Ecrit
en 1902, le Que Faire?, opuscule écrit
par Lénine est l'essence même du totalitarisme, modèle que vont suivre par la
suite tous les régimes communistes. Il n'a jamais été question pour les
Bolcheviks de partager. Il suffit de se reporter au Que Faire?, écrit par le leader bolchevique en 1902. Son programme
est annoncé. Ce texte permet de comprendre la tournure prise par le régime,
avec pour fer de lance la fameuse dictature du parti mise en place au nom du
prolétariat, qui conduit à l'instauration d'un parti-Etat tout puissant. C'est
l'essence même du totalitarisme, modèle que vont suivre par la suite tous les
régimes communistes. Ni les circonstances - la guerre civile avec les Blancs,
postérieure aux premières mesures dictatoriales -, ni les déviations invoquées
plus tard - stalinisme, culte de la personnalité, etc. - ne sont responsables
d'une quelconque trahison du plan d'origine. C'est le programme communiste tel
que Marx et Engels (le Manifeste de 1848) puis Lénine l'ont élaboré qui a été
appliqué, en Russie puis ailleurs, avec parfois des variantes nationales
souvent plus radicales: le maoïsme s'est révélé encore plus mortifère que le
stalinisme, le polpotisme cambodgien plus destructeur encore que le maoïsme. Parler
de «révolution d'octobre» donne une
aura à l'événement, et permet de voir le processus communiste sous un jour
favorable tant tout acte révolutionnaire correspond dans l'imaginaire collectif
à une avancée positive dont le modèle reste 1789. Il n'est pas innocent que la
propagande soviétique ait cherché à assimiler le coup d'Etat à ce moment fort
de l'histoire française, cela l'est encore moins de continuer à le faire. Il en
découle des mécanismes de défense qui cherchent à sauver l'idéal de sa
réalisation, un cas unique au regard de l'histoire de ce XXe siècle
totalitaire. L'immunité recherchée tient au projet même du communisme, annoncé
comme l'ultime étape de l'humanité, l'âge de la félicité pour tous. Cette
espérance repose sur l'une des plus vieilles revendications de l'être humain,
l‘égalité, dont la plupart des religions avaient fait leur credo pour
l'au-delà, avant que le marxisme-léninisme la promette ici et maintenant, ce
qui a assuré son succès. Difficile de faire le deuil de cette aspiration si
bien partagée, d'où les tentatives d'exonérer l'idéologie de sa pratique, donc
de son bilan, pour n‘en garder que l'esprit, toujours chargé d'utopie. «Le communisme, c'est zéro pour toi, zéro
pour moi», a dit un jour le numéro deux du régime khmer rouge devant de
jeunes cambodgiens. C'est probablement la meilleure définition qui existe,
mensonge compris. Les dirigeants communistes, eux, ne se sont jamais contentés
de rien.
http://danielbensaid.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Encore un pur et dur marxiste qui n’est pas
honteux ! Théoricien trotskiste français
Ben
Saïd qui brûle dans les flammes de l’enfer fut un dirigeant historique de la Ligue
communiste révolutionnaire (LCR) et de la Quatrième
Internationale. En dépit de toutes les preuves Bensaïd affirmait qu'Octobre était bien une «révolution», «résultat de l'explosion, sous
l'effet de la guerre, de contradictions accumulées par le régime autocratique
tsariste», et non un coup d'État.
http://www.mirador-multinationales.be/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Décidément ces gauchistes belges sont parfois bien
utiles une fois, par exemple tout savoir sur Fesse
de Bouc.
http://www.ilfauttuertina.net/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
(There Is No Alternative) «Il n’y a pas d’alternative». C’est lors d’une conférence de presse
en 1980, devant les correspondants américains à Londres, que Margaret Thatcher
a prononcé cette phrase. Plus exactement, elle ajoute même un «vraiment» : «there really is no
alternative» – pour bien signifier qu’il n’y a aucune échappatoire au marxisme
culturel ambiant qui s’accommode d’un mondialisme néo-libéral et marxiste
culturel. Cette rhétorique néolibérale a essaimé partout depuis. Elle sous-tend
tous les discours politiques, les interventions des experts convoqués pour
justifier les choix économiques. C’est un discours d’exercice du pouvoir,
rarement un discours de campagne. En ce sens il est souvent un aveu
d’impuissance : c’est la réalité qui accule à «devoir faire des sacrifices», «ce n’est pas de gaieté de cœur» mais
«on n’a pas le choix,». Le TINA distille ainsi la petite musique libérale
et produit progressivement, à force d’être ressassé, un resserrement du champ
du possible. Et le minarchisme
vous y pensez ?
http://droitsfemmescontreextremesdroites.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Encore pour changer un petit tour chez les marxistes
culturels. Laissons-les se présenter : Le collectif unitaire «Droits des femmes contre les extrêmes
droites» s’est créé pour lutter contre les fausses idées et le double
discours soi-disant répandus par les extrêmes droites (Il y en a donc plusieurs).
Il se donne pour objectifs d’informer sur les dangers de leur montée au
( ?...vers le ?) pouvoir, de dénoncer et décrypter la manière dont
les partis dits d’extrême droite et mouvements traditionalistes et
familialistes (elle vient de sortir celle-là) s’adressent aux femmes, notamment
en instrumentalisant au besoin le discours féministe. Enfin nous voulons expliquer
en quoi leurs actions et déclarations sont dangereuses pour les fameux «droits» des femmes. Des féministes venu-e-s (sic) d’associations
gauchistes, de syndicats marxistes, des : plumassiers des médias de la plus
vulgaire plumasserie et de partis de gauche socialistes et communistes. Des
féministes qui en auraient assez de voir resurgir les vieux fantômes du passé
(Lénine, Staline, Mao, Pol Pot, Robert Mugabe ?). De plus nous avons vu
que les patriotes Français sont traités de «familialistes»
(Le familialisme (substantif à prononcer d’un air dégoûté) est une pensée
qui fait de la famille un vecteur de dévolution des droits et de l’autorité politiques
dans la société. Le familialisme s’attacherait donc de façon exagérée à la
famille). Tiens ça me fait penser à l’expression typiquement marxiste
culturelle de «famille monoparentale»
aussi juste que le cyclope à deux yeux). Et ces «féministes» marxistes culturelles pensent ainsi appliquer la règle
N°4 de la théorie marxiste culturelle qui est la destruction des valeurs de
solidarité telles la famille ou la nation, pourtant la famille est
l’institution de base d’une société démocratique et libérale, le Conseil de
l’Europe l’a encore rappelé. Les droits de l’individu et de la famille forment
une base constitutionnelle limitant les prérogatives de l’État. Ces «féministes» là, sont des haineuses, un
peu comme le bolcho Anatoli
Lounatcharski commissaire à l’éducation qui écrivait : «à bas l’amour du prochain. Ce qu’il nous
faut, c’est la haine. Nous devons apprendre à haïr : c’est ainsi que nous
arriverons à conquérir le monde !» Des féministes qui ne croient pas à la
mutation, dédiabolisation de certaines composantes des extrêmes droites (Bou
c’est vilain ça «LES» extrêmes droites
surtout quand ce pluriel me parait bien singulier).
L’actualité mondiale (Comme en Chine ou au Zimbabwe ?), nous le montre à chaque instant : «le ventre est toujours fécond d’où a surgi la bête immonde». Mais le ventre mou de l’ordure marxiste culturelle est de plus en plus là et bien là ! En particulier la règle 12 de la théorie marxiste culturelle qui est : la promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité. Nous ne voulons pas de cette société-là disent-ils.
Afin de pouvoir remporter enfin des élections, l’ex Front et nouveau rassemblement National de madame Le Pen a décidé de raboter les angles, ravaler la façade, modérer le discours. Mais le vieux fond resterait le même : xénophobe, raciste, anti social, familialiste, antiféministe, lesbophobe et homophobe. Sans oublier pédophilophobe, zoophilophobe, et connassophobe !
Marine Le Pen prétend être défenseure ( ?) des droits des femmes pour séduire l’électorat féminin dont elle a un besoin crucial. Mais elle espère gagner des voix uniquement par la magie du verbe (au commencement était le Verbe). Car concrètement le FN ne ferait rien pour défendre les droits des femmes.
Nous féministes qui militons quotidiennement pour acquérir l’égalité femmes/ hommes et qui parlons donc en connaissance de cause estimons qu’il est de notre responsabilité de dévoiler cette mystification. Ce site y contribuera. Paroles, paroles !
L’actualité mondiale (Comme en Chine ou au Zimbabwe ?), nous le montre à chaque instant : «le ventre est toujours fécond d’où a surgi la bête immonde». Mais le ventre mou de l’ordure marxiste culturelle est de plus en plus là et bien là ! En particulier la règle 12 de la théorie marxiste culturelle qui est : la promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité. Nous ne voulons pas de cette société-là disent-ils.
Afin de pouvoir remporter enfin des élections, l’ex Front et nouveau rassemblement National de madame Le Pen a décidé de raboter les angles, ravaler la façade, modérer le discours. Mais le vieux fond resterait le même : xénophobe, raciste, anti social, familialiste, antiféministe, lesbophobe et homophobe. Sans oublier pédophilophobe, zoophilophobe, et connassophobe !
Marine Le Pen prétend être défenseure ( ?) des droits des femmes pour séduire l’électorat féminin dont elle a un besoin crucial. Mais elle espère gagner des voix uniquement par la magie du verbe (au commencement était le Verbe). Car concrètement le FN ne ferait rien pour défendre les droits des femmes.
Nous féministes qui militons quotidiennement pour acquérir l’égalité femmes/ hommes et qui parlons donc en connaissance de cause estimons qu’il est de notre responsabilité de dévoiler cette mystification. Ce site y contribuera. Paroles, paroles !
https://www.editions-retz.com/auteur/anne-marie-chartier.html(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Agrégée de philosophie et docteur en sciences de
l’éducation, Anne-Marie Chartier est enseignant-chercheur et maître de
conférences au Service d'Histoire de l'éducation de l'INRP. Ses recherches ont
d’abord été menées dans le département de didactique de l’INRP (enseignement
des mathématiques à l’école élémentaire) comme professeur associé, de 1974 à
1980, puis au Service d’Histoire de l’Éducation (lecture et de l’écriture dans
l’enseignement primaire) comme chercheur associé (1994-1996), puis comme
enseignant chercheur à partir de 1996. Ses publications récentes concernent
l’histoire de la scolarisation de l’écrit, les méthodes d’enseignement de la
lecture en France et en Europe occidentale, et plus largement, l’histoire de la
formation des maîtres et des pratiques d’enseignement. Quelle merveilleuse
pédagogue marxiste culturelle ! Et puis quels résultats ! Pourtant
c'est une étude inquiétante qui vient d'être publiée par le ministère de
l'Éducation. À partir des tests conduits sur 713 000 participants à la Journée
défense et citoyenneté (JDC) en 2018, le ministère affirme que plus d'un jeune
Français sur dix est «en difficulté de
lecture» et un sur vingt en situation d'illettrisme. Sur ces fameux «jeunes» âgés de 16 à 25 ans, 11,5 % «sont en difficulté de lecture», indique
une note de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la
performance (Depp), qui dépend du ministère de l'Éducation. Ceux qui
rencontrent les difficultés les plus sévères et qui représentent 5,2 % de
l'ensemble «peuvent être considérés en situation d'illettrisme» caractérisé
notamment par «un déficit important de
vocabulaire». Les jeunes du niveau au-dessus (6,3 % de l'ensemble) ont,
quant à eux, «un niveau lexical oral
correct, mais ne parviennent pas à comprendre les textes écrits». On trouve
ensuite, selon les données de l'enquête, 10,9 % de jeunes «aux acquis limités», qui «parviennent
à compenser leurs difficultés pour accéder à un certain niveau de compréhension».
Pour ces profils, la lecture «reste
une activité laborieuse, mais qu'ils savent mettre en œuvre pour en retirer les
fruits». Quelque 77,6 % de jeunes sont enfin des «lecteurs efficaces», selon la Depp. Quel dommage que comme aux
états unis les statistiques ethniques n’existent pas en France
Chris Hedges écrivait le 4 septembre 2016 : «Nous vivons dans deux États-Unis. Une
partie des États-Unis, maintenant minoritaire, qui fonctionne dans un monde
lettré basé sur l’écriture imprimée et qui est en mesure de faire face à la
complexité et possède les outils intellectuels pour différencier l’illusion de
la vérité. L’autre partie des États-Unis, qui est majoritaire, évolue dans un
système basé sur la non-réalité elle-même basée sur la croyance. Elle est
dépendante des images habilement manipulées pour son information. Elle s’est
écartée de la culture basée sur l’écriture imprimée. Elle ne sait pas
différencier les mensonges de la vérité. Elle est informée par des narratifs et
des clichés simplistes et puérils. Elle est assujettie au désarroi par
l’ambiguïté, la nuance et l’autoréflexion. Cette fracture, plus que la race, la
classe ou le sexe, plus que le rural ou l’urbain, le croyant ou l’incroyant, «
Républicain » ou « Démocrate », a divisé le pays en entités radicalement
distinctes, infranchissables et antagoniques». La
suite en cliquant ici.
Savez-vous qu’aux USA et d’après le Monde
diplomatique (Un journal raciste ?) que :
Extrait de l’article : «Dans les
écoles publiques des grandes villes, les élèves blancs ne représentent
qu’environ 15 % du total ; la rotation et l’absentéisme des enseignants y sont
la règle ; le niveau des jeunes y est extrêmement médiocre. Plus de la moitié
des Noirs de dix-sept ans sont considérés comme des «illettrés fonctionnels».
Les Noirs des catégories inférieures évoluent dans le monde clos et homogène
des HLM et des quartiers insalubres. Les hommes sont au chômage ou ne cherchent
même plus un emploi, quand ils ne sont pas absents, ou drogués, ou en prison,
ou encore victimes d’un meurtre».
Encore
des «féministes» avec des utopies
marxistes culturelles plein la chetron !
Les mêmes qu’ici : http://droitsfemmescontreextremesdroites.org/ mais en mieux ! C’est ainsi qu’elles
déclarent : «Si Nous étions
Présidentes, Changeons la vie entière ! Un programme impossible, irréaliste
diront certain-es (?). Juste un programme qui colle à nos besoins, nos vies
d'aujourd'hui, nos vies brisées par le patriarcat, le racisme et le
capitalisme. Nos vies à reconstruire ensemble. Des revendications qui pourront
nous donner du souffle et de la force pour faire advenir un monde libéré des
entraves qui, chaque jour, nous brisent, nous tuent, nous violent, nous
frappent, nous licencient. Un programme pour changer la vie entière, celle de
tous les jours, celle de tous nos jours. Mais elles ne s’arrêtent pas là, oh
non. Elles s’exclament : «Nous avons 20 ans, le plus bel âge. Notre
Collectif National pour les Droits des Femmes a 20 ans. Jeunes mais déjà riches
de combats, de luttes, de réflexions qui ont forgé notre expérience. Nous
sommes nées dans les luttes. Celle de juin 1995 contre la volonté du régime
chiraquien post mitterrandien d'amnistier les commandos anti avortement. Celle
de la manifestation du 25 novembre 1995 où 40 000 personnes venues de toute la
France ont manifesté pour les droits des femmes à l'appel de la Coordination
des Associations pour le Droit à l’Avortement et la Contraception. Celle du
formidable mouvement social de novembre décembre 1995 contre le plan Juppé sur
la Sécurité sociale. Nous travaillons sans cesse pour l'unité des luttes en
faveur des droits des femmes. Nous réunissons en notre sein des associations
féministes, des syndicats et des partis de gauche et d'extrême gauche car les
féministes sont partout. Nous sommes féministes lutte de classes car nous
croyons que, comme le combat féministe, le combat contre le capitalisme est
toujours d'actualité. Nous soutenons les combats des femmes contre la
précarité, des ouvrières en lutte pour leur dignité, des femmes et hommes sans
papiers pour leur régularisation. Nous nous
fixons comme objectif de faire passer dans les faits, dans la pratique,
l’égalité formelle que les femmes ont conquise durant tout le vingtième siècle
et le début du vingt et unième. Car le problème est bien là : nous avons obtenu
l'égalité des droits mais pas l'égalité dans la réalité. Nous intervenons dans
tous les domaines pour faire avancer l'égalité. Nous avons été de toutes les
manifestations en 2016 contre la loi travail comme en 2010 contre la réforme
des retraites de Sarkozy. Nous avons avec d'autres structures mené une campagne
pour l'égalité salariale entre les femmes et les hommes en 2011 et 2012. En
2007 nous avons rédigé une "proposition de loi cadre contre les violences
faites aux femmes" qui, après un long cheminement, a donné lieu au vote de
la loi du 9 juillet 2010. La fameuse, celle qui a instauré l'ordonnance de
protection. Nous avons impulsé, en 2016 toujours, le collectif "Droits des
femmes contre les extrêmes droites" pour lutter contre leur idéologie
raciste, sexiste, nauséabonde et leur démagogie concernant les femmes».
Informations et analyses publiées sous la
responsabilité du Bureau exécutif de la IVe Internationale. Les
liens analysés ici sont évidemment outre très marxistes et pour certains
marxistes culturels, mais surtout de tendance trotskiste.
La Quatrième Internationale
est une organisation communiste (trotskiste) fondée en 1938
en France par Léon Trotsky,
à la suite de l'exclusion violente des oppositions communistes de la IIIe
Internationale, à la répression qui s'est abattue sur les
opposants en URSS
et face au constat qu'il était impossible de militer dans le mouvement
communiste officiel désormais verrouillé par la «bureaucratie» stalinienne.
Les trotskistes sont comme les autres communistes
marxistes des propagateurs de la haine la plus virulente comme un Anatoli
Lounatcharski un bolchévique de la première heure commissaire
à l’éducation qui écrivait : «à
bas l’amour du prochain. Ce qu’il nous faut, c’est la haine. Nous devons
apprendre à haïr !». La Quatrième Internationale a bien retenu la
leçon !
Madame Samary (Catherine de son prénom) a été jusqu'à sa retraite enseignante à l'Université Dauphine à Paris . Elle est membre de
la Quatrième Internationale réunifiée (une internationale
trotskyste) et de son vaste organe de direction international, le Comité international.
Elle a été cofondatrice de ce qui a été pendant de nombreuses années sa plus
grande section, la Ligue communiste révolutionnaire. Madame
Samary a obtenu son doctorat en économie en 1986 à l’Université Paris X: Nanterre.
Elle a ensuite été chargée de recherche à l'Institut du monde soviétique et
d'Europe centrale et orientale (IMSECO). Ses recherches portent sur cinq
thèmes:
1.
questions théoriques et pratiques du socialisme
2.
analyse des expériences socialistes et, en particulier, des implications de
leurs réformes et crises relatives à la Yougoslavie et à d'autres nations
3.
questions concernant la planification, les relations de marché de la
propriété, la démocratie
4.
mondialisation et restauration capitaliste - aspects comparatifs, questions
théoriques
5.
critères d'efficacité et de justice sociale en économie
Elle collabore
régulièrement aux quotidiens Le Monde diplomatique , International Viewpoint et Tout est à nous
C’est
quand même grâce à madame Samary que je me suis un peu plus renseigné sur l’histoire
du «trotskysme». Merci madame. Trotski
jouit en France d’une aura surprenante et totalement usurpée. Les trotskistes
ont réussi à introduire une distinction entre le stalinisme et le communisme.
Un grand nombre de pseudos intellectuels de gauche ont une vision trotskiste de
l’histoire : Staline aurait été un tyran sanguinaire qui a dévoyé la belle
doctrine communiste démocratique, pacifiste, humaniste et progressiste prônée
par Lénine et Trotski.
Rien n’est plus éloigné de la vérité. Trotski a été tout aussi
sanguinaire que Staline et s’il n’a que quelques 6 à 10 millions de morts à son
actif dont au bas mot de un à deux millions de juifs– contre une trentaine de
millions pour Staline – c’est uniquement parce qu’il a disposé de moins de
temps. Trotski, de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein, est né en 1879 d’une
famille juive bourgeoise. Il adhère très jeune aux idées communistes et est
interné sous le Tsar. Il réussit à s’évader et fait plusieurs séjours à Paris et
à Londres. Il soutient alors des thèses relativement démocratiques de prise du
pouvoir, proches de celles des Mencheviks mais devient rapidement un juif Erev Rav qui n’a plus de «juif» que le nom et encore. Il rejoint Lénine en mai 1917 et
participe avec lui au coup d’état dit très abusivement révolution d’octobre. Il
est chargé de former la sanguinaire Armée Rouge (23 février 1918) pour
combattre les Russes Blancs et les troupes étrangères qui les soutiennent
(Français, Anglais, Polonais, Tchèques, Hongrois). Son influence augmente au
sein du trio qu’il forme avec Lénine et Staline et il érige (contre l’avis de
Staline) les principes du bolchévisme :
La
noblesse russe a contrôlé la Russie avec quelques centaines de milliers de
personnes et les bolcheviks doivent faire de même.
L’état bolchévique est un état ouvrier constitué d’ouvriers industriels
et d’ouvriers agricoles. Toutes les autres classes sont abolies et la
bourgeoisie doit être exterminée. Les
bolcheviks contrôleront les ouvriers en interdisant les syndicats et les
associations et en réprimant toute contestation. Les révoltés pourront être
massacrés en toute légitimité car le bolchévisme, c’est le parti des ouvriers.
Les paysans sont une sous-race et ils doivent être transformés en
ouvriers agricoles sous le contrôle bolchevique, La monnaie est supprimée. L’état se charge de
la production et de sa répartition vers chaque ouvrier. La révolution
prolétarienne ne peut se limiter à un pays mais doit se propager par les armes,
comme l’avait fait en son temps l’islam. L’Armée Rouge doit être l’instrument
de la révolution universelle par les armes. Les
méthodes de Trotski sont radicales :
Dans l’Armée Rouge, 30% des officiers blancs sont maintenus à leur
poste. Leurs familles sont prises en otage et massacrées en cas de désertion ou
de défaite.
La famine est organisée afin de soumettre les paysans. De nombreux
paysans russes sont enrôlés comme ouvriers industriels dans les industries
d’armement et dans l’Armée Rouge. La production agricole russe ne suffit plus à
nourrir le pays et les récoltes sont partiellement puis totalement confisquées.
C’est ainsi que l’Ukraine est pillée pour nourrir la Russie ce qui amènera
l’holodomor sciemment organisée par Staline et ses acolytes au 9 millions de
morts dont environ 2 millions de juifs.
Des milliers de popes (prêtres chrétiens orthodoxes) sont passés par les
armes car ils sont jugés non intégrables dans le bolchévisme.
Le travail forcé est érigé comme un «principe
du socialisme». Les alliés
d’hier sont massacrés une fois le succès obtenu. Trotski est devenu le
spécialiste de l’alliance-trahison. Il a utilisé les Mencheviks, les
Anarchistes et les Socialistes Révolutionnaires puis les a fait exécuter.
Trotski a été l’instigateur de la Terreur Rouge qui visait à
l’extermination totale de la bourgeoisie. Les directives de la Tcheka étaient
claires : «Nous ne faisons pas la guerre
contre les personnes en particulier. Nous exterminons la bourgeoisie comme
classe. Les seuls critères à appliquer sont l’origine, l’éducation, l’instruction
et la profession». Trotski a également été la main armée du massacre des
cosaques du Don. La «décosaquisation»
répond largement à la notion de génocide : l’ensemble d’une population
exterminée en tant que telle, les hommes fusillés, les femmes et les enfants
déportés, les villages rasés. Dans l’imagerie d’Epinal qui entoure le
personnage, Trotski est souvent représenté en héros libérateur sur le
marchepied de son fameux train blindé. C’est un train hérissé de canons et de
mitrailleuses qui est utilisé comme moyen de pénétration, de terreur et de
conquête. Le train avance en arrosant tout ce qui bouge sur son passage.
L’Armée Rouge avait à l’origine 20 trains et en a eu jusqu’à 280. Trotski
laissait croire qu’il y en avait beaucoup mois pour donner l’illusion qu’il
était partout. Dans son train blindé, il avait deux cents hommes à son service
et faisait enlever des jeunes filles sur son passage pour assouvir ses besoins
sexuels. Il était toujours habillé comme un dandy et, pendant la guerre,
faisait venir son tailleur de Londres. Evidemment, ce nauséabond aspect du
personnage est moins connu.
De 1918 à 1921, Trotski entra dans une paranoïa de plus en plus radicale
au point d’inquiéter Lénine et surtout Staline. Développant l’idée de la
Révolution Internationale Armée, il passa en 1919 un accord avec l’extrême
droite militariste allemande, tout en continuant à soutenir les Spartakistes.
Il pensait que les Spartakistes prendraient, avec son aide, le pouvoir en
Allemagne et que les militaires voudraient laver l’affront du Traité de
Versailles. Son but ultime était donc la France. Pour cela, il fallait
commencer par balayer la Pologne qui se trouvait sur son chemin. Heureusement,
le général Josef Pilsudski était bien renseigné et avait vu venir l’invasion de
la Pologne. La France (le général Weygand) et l’Angleterre avaient accepté de
lui envoyer des armes en quantité. Trotski rassembla une immense armée en mars
1920. Elle était censée pouvoir se confronter à la France et était composée de
plus de 800 000 soldats russes sur le front polonais (avec une concentration de
5,5 millions de soldats entre Moscou et la frontière polonaise sur un total de
près de 10 millions mobilisables), de 3 000 canons et mitrailleuses, de 250
trains blindés et de quatre divisions allemandes avec 6 000 officiers. En fait
l’Allemagne et la Russie avaient déjà signé des accords secrets pour construire
des usines d’armement et utiliser les camps d’entrainement en Russie, en
violation du Traité de Versailles. De nouvelles lois, de nouvelles
réglementations, des tracts, avaient été préparés par un groupe d’une centaine
de français installés à Petrograd. La soudure Russie-France devait se faire par
les chemins de fer allemands et des bogies au standard européen avaient été
fabriqués. Les Polonais avaient averti le gouvernement français qui n’a
néanmoins pris aucune mesure. Face à Trotski, l’armée polonaise disposait de
700 000 hommes et pour tous, il ne s’agissait que d’un combat pour l’honneur
polonais.
En France l’insurrection armée se préparait à recevoir les sauveurs.
Pendant ce temps, l’antimilitarisme et le pacifisme ambiant servaient de
bouclier et nul ne semblait se préoccuper de cette menace. Quelques-uns
néanmoins avaient compris le danger, tels De Gaulle alors détaché en tant
qu’observateur. La victoire de Trotski et une invasion de la France par les
bolchéviques auraient plongé le pays dans une ère glaciaire dont nul n’a idée
aujourd’hui.
L’armée polonaise s’était fortement implantée sur la Vistule pour
protéger Varsovie. Le général Pilsudski prit ses adversaires par surprise en
menant à la fois une bataille de positionnement et de mouvement qui balaya le
dispositif germano-bolchévique assez dispersé. La bataille a commencé le 6 août
et le 14 août l’Armée Rouge se retirait en désordre poursuivie jusqu’au Niémen
par les troupes polonaises. Le décryptage des communications radio de l’Armée
Rouge a joué un rôle décisif dans la victoire. Il faut cependant remercier
Staline qui, contredisant les ordres de Trotski, a interdit au général
Boudienny, commandant l’armée du sud (Lwow), de faire mouvement sur Varsovie.
Avec la défaite de Varsovie, l’étoile de Trotski dans le trio d’assassins qu’il
formait avec Lénine et Staline a commencé à pâlir.
La bataille de la Vistule est probablement l’une des batailles les plus
spectaculaires et les plus déterminantes de tout le XXème siècle car elle a
permis d’arrêter un fou furieux voulant imposer sa paranoïa à l’Europe entière.
Pourtant le monde libre n’a pas élevé de statue au général Pilsudski. Il est
mort en 1935 en mettant en garde la France et l’Angleterre contre le danger
nazi qu’il aurait voulu combattre par des frappes préventives à l’ouest et à
l’est.
Trotski n’en est pas
resté là. Les guerres une fois terminées, le peuple russe réclamait plus de
liberté. C’est ce que demandèrent les soldats russes rentrés à leur base de
Kronstadt. Trotski refusa toute négociation et fit massacrer les soi-disant
mutins. Ils lui lancèrent : «Ecoute
Trotski ! Tant que tu réussiras à échapper au jugement du peuple, tu pourras
fusiller les innocents par paquets». Mais il est impossible de fusiller la
liberté. Elle finira par se frayer son chemin. La révolte de Kronstadt fut
écrasée en mars 1921. Seuls s’échappèrent ceux qui traversèrent le golfe de
Finlande sur la mer gelée. Leurs familles restées à Petrograd furent toutes
démocratiquement massacrées. Mais la révolte grondait et malgré les menaces de
Trotski, Lénine et Staline réussirent à l’écarter en le destituant de son poste
en 1922. Il fut exclu du parti en 1927 puis expulsé. Staline a alors abandonné
la révolution universelle par les armes au profit d’une révolution
prolétarienne par pays. Trotski séjourna en France, en Angleterre, en Norvège
avant d’être reçu à bras ouverts par le président Mexicain Lazaro Cardosa,
membre du Parti Révolutionnaire International. Trotski a effectué quatre
séjours en France. Les deux premiers en 1902 et 1903 furent brefs. Le troisième
fut nettement plus long et dura de novembre 1914 à octobre 1916. Enfin de
juillet 1933 à juin 1935, son quatrième séjour lui donna l’occasion de nouer de
nombreux liens avec des «intellectuels»
(autre nom du coco) et des syndicalistes, que l’on commencera à appeler
trotskistes. C’est en France que fut fondée la 4ème Internationale, le 3
septembre 1938, destinée à combattre les
idées de Staline. Trotski était alors au Mexique mais il avait suffisamment de
relais en France. Trotski a été blessé mortellement le 20 août 1940 par Ramon
Ramirez (alias Jacques Monard ou Franck Jackson). Le gouvernement mexicain
monta alors une machination pour faire croire que le bras de l’assassin avait
été armé par Staline. En fait, il s’agissait simplement d’un agent de liaison
de Trotski avec les réseaux terroristes actifs en Russie. Il a tué Trotski en
lui disant : «Tu n’es qu’un salaud. Tu as
tout ce que tu mérites». La propagande trotskiste présente son héros à
travers son ouvrage «Ma vie», dans
lequel ce pauvre pacifiste relate qu’il a dû malheureusement défendre ses
idéaux les armes à la main. La réalité, c’est que le bilan des années Trotski
est terrible :Massacre de près d’un demi-million d’ouvriers et de paysans
révoltés entre 1918 et 1922, Ecrasement de la
révolte de Kronstadt, Famine
de 1922 provoquant la mort de neuf millions de personnes,
Liquidation et déportation
des Cosaques du Don en 1920,
Assassinat de centaines de milliers d’otages ou de personnes
emprisonnées dans les camps du Goulag. Trotski
n’a rien à envier à Staline : on peut l’élever au rang de boucher de
l’histoire. Voir
ici sur DreuzInfo l'article qui fait gerber les cocos et qui explique bien des
choses. Et si
on continuait encore un instant avec le grand criminel contre l’humanité
Trotski ? Le mot «trotskyste» (ou
trotskiste, voire trotzkiste) apparaît dans la culture communiste au milieu des
années 1920. Ce mot dénie aux partisans du juif érèv rav Lev Davidovitch
Bronstein (dit Trotsky) le droit d'utiliser l'adjectif «communiste». Le Parti communiste bolchevique d'URSS et le
Komintern séparent «le bon grain de
l'ivraie» en utilisant ce qualificatif. A de nombreuses reprises les
tenants du Komintern vont chercher dans l'œuvre de Lénine, puis de Staline, une
justification de ces propos ; Trotsky et les trotskystes deviennent des «liquidateurs du parti prolétarien», des
«contre-révolutionnaires», etc. Dans
un premier temps, les partisans de Trotsky se veulent les continuateurs de
Lénine et utilisent les termes de bolchevik, bolchevik-léniniste. Mais l'usage,
la pratique et la violence qui vont jusqu'à l'assassinat de Léon Trotsky, font
que le mot est finalement revendiqué par ses partisans. Car une insulte peut
être détournée et prendre un sens positif ; c’est alors que les familles
politiques héritières de Léon Trotsky dénient aux «frères rivaux», le droit d'utiliser le mot «trotskyste» ; ainsi naissent les adjectifs «lambertistes», «pablistes»,
«posadistes», etc. Qui
sait que depuis 1920, la santé de Lénine n’ayant cessé de se détériorer, il est
absent de Moscou pour de plus longues périodes de temps, et le régime est
dirigé par Trotsky numéro deux du pays ? Trotski est responsable de la famine
russe de 1921, aussi connue comme «Povolzhye»,
qui a commencé au début du printemps 1921 et a duré jusqu’à 1923. Elle a
tué environ 6 millions de personnes, affectant principalement les régions de la
Volga et de la rivière Oural (à ne pas confondre avec l’Holodomor de 1932 en
Ukraine et ses 10 millions de morts). La famine a été provoquée par une
combinaison d’effets. Les sécheresses intermittentes de 1921 ont exacerbé les
erreurs dramatiques de la politique économique marxiste centralisée et
collectiviste de Trotsky. Jeff Jacoby dans The Boston Globe du 7 décembre 1995
écrira : «Pour le pur mal meurtrier, il
n’y a jamais eu de force comparable au communisme et à Léon Trotsky… jamais
auparavant ou depuis lors un peuple n’a construit une vaste industrie de la
mort dans le seul but de rassembler et détruire chaque membre d’un autre
peuple. Les bolcheviques, sous les ordres et sous la direction de Trotsky, ont
tué tant d’Européens que le nombre de morts dépasse les 100 millions».
Les attaques du stalinisme. D’abord analysé par Staline comme une
déviation social-démocrate et petite-bourgeoise lors de la lutte de la «troïka» contre Trotsky, le trotskysme
devient en 1927 «antiprolétarien,
antisoviétique et contre-révolutionnaire», et finit par être un «détachement d’avant-garde de la bourgeoisie
contre-révolutionnaire». Après 1935, en URSS, l’attaque et l’insulte dans
le discours communiste gagnent encore en intensité. La théorisation de Staline
(la lutte des classes ne cesse de s’intensifier au fur et à mesure de
l’édification de la société socialiste) légitime d’un point de vue doctrinaire
des insultes dont la violence annonce et banalise la sentence finale. Le
trotskisme est devenu l’ennemi politique emblématique qui justifie la
répression la plus impitoyable. L’insulte fait partie du processus de discrédit
qui légitime ensuite la liquidation physique. Le processus comporte deux
volets. Staline lui donne personnellement sa formulation théorique dans «Pour
une formation bolchevique», le rapport qu’il présente à l’Assemblée
plénière du Comité central du PC(b)R le 3 mars 1937 : «Le trotskisme a cessé d’être un courant politique dans la classe
ouvrière ; de courant politique qu’il était sept ou huit ans plus tôt, le
trotskisme est devenu une bande forcenée et sans principes de saboteurs,
d’agents de diversion et d’assassins agissant sur ordre des services d’espionnage
des Etats étrangers». Dès le début 1937, en
France L’Humanité relaie les analyses soviétiques et titre : «Le procès des trotskistes de la Gestapo.
Pour les dix-sept traîtres la peine de mort est requise…» (19 janvier). Couplés à cette dénomination, on
trouve ensuite une grande diversité de qualificatifs : «provocateurs», «aventuriers», «antiléninistes» et «anticommunistes», «faux
révolutionnaires» et «petits-bourgeois
gauchistes», en particulier lors des événements de Mai 68. L’insulte la
plus infamante est sans doute celle d’«hitléro-trotskyste»,
qui connaît son heure de gloire
des années 30 aux années 50 pour dénoncer la complicité et la proximité de
nature socialiste entre les trotskystes et les ennemis acharnés de l’URSS. En
1978, Gilles Martinet va jusqu’à parler de l’antitrotskysme, dont les
communistes ont été le principal vecteur, comme de «l’antisémitisme du mouvement ouvrier» (Rouge, n°659, 30 mai 1978).
Actuellement, le PCF qui tient son comité central dans une cabine téléphonique
(sa mère), a pratiquement renoncé à insulter les trotskystes (Ils en donnent
même leur lien Internet). Restent aujourd’hui d’actualité les «insultes» à caractère religieux. «Sectaires», «fanatiques», gardiens du temple», «gourous» (Hardy,
Lambert), «Torquemada du trotskisme»
(Arlette Laguiller) ; «Chapelles», « […] dernier cercle de l’enfer où s’agite en monologuant la multitude
confuse des sectateurs livrés à leurs obsessions» (les organisations
trotskystes du début des années 70 selon le maoïste Kostas Mavrakis). C’est avec
monsieur Patrick
Besson qui nous
dit avec beaucoup d’humour: «Staline
avait raison ! Qu’on rigole le plus. «Il est temps
de rendre justice à Joseph Staline, l'un des hommes politiques les plus
diffamés du XXe siècle. Surtout par les intellectuels. Les intellectuels
trotskistes. Grâce à l'historien britannique Robert Service et à son livre
«Trotski» (Perrin, 27 euros), on s'aperçoit qu'au contraire de la gauche et de
l'extrême gauche européennes le maréchal avait tout de suite vu juste sur la
nature réelle et le véritable caractère de l'auteur de «La révolution
d'octobre». Le chouchou d'André Breton, l'idole de Maurice Nadeau, le maître d'Alain
Krivine, le gourou de Michel Field et le modèle d'Edwy Plenel est loin d'être
le saint laïc auquel ces trotskistes ou ex-trotskistes ont tenté de nous faire
croire, y croyant eux-mêmes avec une naïveté non stalinienne. Car Staline, lui,
ne s'y est pas trompé. Avec quatre-vingts ans d'avance. Il a tout de suite noté
les insuffisances psychologiques, morales et politiques du pacifiste fondateur
de l'Armée rouge. Dieu sait le nombre de commentaires désagréables, voire
haineux, que cela lui a valus. On lui aurait pardonné bien des choses mais s'en
prendre au divin Trotski, le Mozart du marxisme, le Debussy de la dictature du
prolétariat, le Fauré de la lutte des classes, c'était un crime majeur contre
la pensée, la révolution, l'humanité. Le bon Léon martyrisé par le mauvais
Joseph, c'est ainsi qu'on nous a raconté l'histoire de ces deux hommes, alors
que c'était celle du mauvais Léon battu - à cause de son étourderie, de son
orgueil, de sa paresse, de sa négligence - par le pire Joseph. Si Staline le
visionnaire n'avait pas agi avec l'efficacité que ses plus féroces ennemis sont
bien obligés de lui reconnaître, quels crimes abominables ce Narcisse, ce
névrosé, ce suicidaire de Trotski, aurait fini par commettre contre le peuple
russe et tous les autres peuples lors de son absurde, irréalisable et
meurtrière révolution permanente ? Le trotskisme, c'était bien. C'était le
communisme sans le goulag, le socialisme sans la Loubianka, la dictature du
prolétariat sans dictature. Ni prolétariat. Une religion fondée par un
écrivain, comme la dianétique. Les héros du trotskisme sont restés des martyrs,
ceux du communisme sont devenus des salauds : le choix de la bonne conscience
était vite fait. Assassiné, Trotski était innocenté de ses assassinats. Du
coup, ses partisans aussi. La joie trotskiste était celle de l'innocence. Les
mains sales de Sartre s'enfuyant devant les mains propres de Besancenot. Que
pouvait-on reprocher aux trotskistes, puisque Trotski n'avait pas eu le temps
de faire mal, je veux dire de mal faire ? Les cocos et les maos ne pouvaient
pas en dire autant. Obligés de faire profil bas quand les trotskistes portaient
beau. Aujourd'hui, les voilà dans le même sac que celui où ont été noyés, avant
eux, ceux qu'ils appelaient uniformément les staliniens. Trotski n'aura
survécu, dans le cœur des honnêtes gens de gauche, que quelques décennies de
plus que Staline. C'était quand même un meilleur écrivain. La preuve : il
vendait beaucoup moins de livres.
Michael Roberts est
l’exemple du marxiste culturel trotskiste odieux complice de crimes contre
l’humanité dit économiste marxiste. L'auteur de La longue dépression: le
marxisme et la crise mondiale du capitalisme (Haymarket 2016) écrit
régulièrement des commentaires et des analyses sur son blog: Michael Roberts Blog. Un Blog puant dans la
langue des maudits Anglois qui annonce: blogging from a marxist economist. Ce
blog nous donne une liste toujours en Anglais de sites marxistes collectivistes
ineptes : Alan
Freeman. Andrew Kliman. Anwar Shaikh. Blog de boitempo Brasil. Christian Fuchs. Critique of crisis
theory. David Harvey. Duncan Foley. Edward Wolff. Flassbeck Economics. Flip Chart Fairy Tales. Fred Moseley. Gerard
Dumenil/Dominic Levy. Jim Kincaid. John Ross. Kapitalism 101. Leap. Marxist economics. Marxist
Sociology. Michel Husson (Déjà
dans notre liste). Progressive
Economists. Real World Economics
Review. Redline. Rolando Astorita. Socialist Economics
Group. Steve
Keen. Tony Norfield. Union of Radical Political Economists.
Monsieur Henri Dumas qui reflète bien mon opinion
écrira: «Karl
Marx et tous les autres qui, aujourd’hui encore, poursuivent le capital pour le
taxer, l’affaiblir, voire le détruire, préparent leur misère… Depuis que les
mathématiciens ont mis l’économie en équation il parait que c’est une science.
Il est possible que ce soit vrai, j’en doute. En revanche, une chose est sûre,
apprendre la théorie économique est difficilement compatible avec les
contraintes de sa pratique. Il y a déjà quelques siècles que les
érudits se penchent sur la théorie. Lire ce qu’ils ont écrit, toutes tendances
confondues, est une occupation à plein temps. Je ne parle même pas de le
comprendre. Or, comment prétendre connaître la théorie économique, en parler,
donner son avis, sans au préalable avoir au moins lu sinon compris
l’intégralité de ce qui en a été dit ? Inversement, pratiquer l’économie est
une activité si prenante qu’elle laisse bien peu de temps pour la lecture, donc
pour l’étude théorique du sujet. D’un naturel optimiste, j’ai cru,
jusqu’à une date récente, pouvoir faire les deux. Imbécile que j’étais. Je
vous rassure, cette idée m’a totalement abandonné. Je m’en trouve libéré. La
vérité, je m’en fous, la science économique et ses théories aussi. Du
coup, sur ce sujet, je ne vois plus d’inconvénient majeur à dire ce que je
pense, qui découle de mon expérience pratique, d’un peu de théorie et surtout,
je l’espère, d’une bonne dose de bon sens.
En premier lieu, je
suis arrivé à la conclusion que l’économie est à la base de tout, que toute
organisation sociale qui ne la privilégie pas est vouée à l’échec (…). En
second lieu, je suis arrivé à la conclusion que le capital est le socle de
tout, particulièrement des progrès de l’humanité. Ma définition du capital est
simple : le capital est le fruit à l’instant “t” de l’accumulation. Toute
accumulation devient un capital, sans préjuger de son intérêt ou de son usage
bénéfique ou maléfique, quelle que soit sa qualification. L’accumulation (ou
capital) est indépendante de celui qui l’accumule, transmissible, variable
constamment en plus ou en moins. Elle peut être matérielle, biens et monnaie,
mais aussi intellectuelle, bibliothèque et savoir. Ou encore spirituelle, politique
ou scientifique, etc… Son existence est indispensable à l’humanité, quel que
soit celui qui la possède. Cette accumulation est la marque de l’homme, lui
seul en est capable, c’est ce qui le différencie de l’animal. C’est sur
l’accumulation du passé que se construisent le présent et sa projection le
futur dont le succès se traduira en augmentation de l’accumulation, l’échec en
diminution.
Une fois d’accord sur la définition, précisons que le capital
(accumulation) est le résultat, il ne peut être en aucun cas confondu avec les
moyens.
Les moyens sont, d’abord la matière première, puis les outils matériels
ou humains, usines ou travailleurs, terre ou paysans, laboratoires ou
chercheurs, religions ou prêtres, États ou hommes de l’État, etc… ce sont eux
qui augmentent ou diminuent le capital en fonction des résultats de leur activité,
mais ils ne sont pas le capital.
Donc, en introduisant l’idée du capital-travail Karl Marx a commis une
erreur monumentale. Le travail et les travailleurs ne sont qu’un moyen, qui
évidemment par son activité va influer sur l’augmentation ou la diminution du
capital, mais pour partie uniquement.
Cela posé, il me parait que l’on peut affirmer que l’augmentation du capital
est bénéfique pour tous, ce doit être le but poursuivi par tous. Sa diminution
est dangereuse, régressive. En donnant du capital une définition erronée, qui
plus est susceptible de nuire à sa pérennité, la pensée de Karl Marx ne pouvait
qu’enfanter des organisations vouées à la dégradation du capital, donc à leur
propre mort. Il n’est pas douteux que la pensée de Karl Marx a introduit dans
nos sociétés une haine irrationnelle du capital économique. Cela tient au fait
que la masse de ceux à qui l’on a fait croire qu’ils sont ce capital, alors
qu’ils ne le sont pas, imaginent qu’en les privilégiant on assurerait la
pérennité du capital. Ils se voient donc en concurrence avec le véritable
capital (l’accumulation) et pensent en le réduisant servir dans le même temps
leur intérêt et celui de la collectivité. Erreur fatale. C’est
l’exact contraire qui se passe. En affaiblissant le capital ils affaiblissent
la société à laquelle ils appartiennent, qui aura donc plus de peine à mettre
en œuvre les moyens d’accumulation dont ils font partie, et à augmenter le
capital global dont ils profitent». CQFD
Bien on en a terminé avec les marxistes culturels
trotskistes. Revenons aux sites d’autres cocos tout aussi abrutis.
Michel Alain Labet de Bornay
Copyright 2019. Agence de Presse AIS (Trade Mark).
Reproduction autorisée avec la mention: ©http://michelalainlabetdebornay.blogspot.fr/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire