Comme d’habitude les merdias allah botte du
politiquement correct viennent nous dire qu’à Alençon, pour échapper à son
arrestation, un «automobiliste», fonce
sur les policiers, cet «homme»
d’une vingtaine d’années
était venu le 9 juillet 2020 provoquer les policiers devant le commissariat
d’Alençon.
Il est environ 21 h 45 et un «automobiliste» arrive en faisant un dérapage devant la grille de
l’hôtel de police, place Bonet. Il fait ensuite vrombir son moteur pendant
plusieurs minutes. Un véhicule de police sort à ce moment-là. Le conducteur les
provoque, «leur fait un doigt d’honneur»,
précise le procureur François Coudert (qui n’ignore pas le nom du délinquant) et
prend la fuite par la rue Sainte-Thérèse, les forces de l’ordre à ses trousses.
Au niveau du croisement entre la rue Jullien et celle
de Bretagne, un barrage est monté pour stopper la voiture folle.
D’un côté des véhicules, de l’autre des officiers de
police. Le «conducteur» fonce sur
eux. Les officiers de police ont juste le temps de s’écarter pour ne pas être
percutés.
La voiture continue ensuite sa course. L’homme prend la
direction de Sées. Le concours de la gendarmerie est demandé et un nouveau
barrage est installé à la sortie de la ville. Là encore, le «fuyard» refuse de s’arrêter et fonce
dans un véhicule de gendarmerie qui stoppe sa course, à une cinquantaine de
mètres de la gendarmerie de Sées. L’ «homme»,
âgé de 25 ans, est interpellé et placé en garde à vue au commissariat de police
d’Alençon pour «tentative de meurtre sur
personne dépositaire de l’autorité publique».
Vendredi 10 juillet, 24 heures après les faits, une
reconstitution a eu lieu aux abords de la rue Jullien et de la rue de Bretagne.
En présence du substitut du procureur d’Alençon, du mis en cause et des forces
de police, il s’agissait de définir si le conducteur avait délibérément choisi
de foncer sur les policiers.
«Cette reconstitution a permis d’établir que le
véhicule poursuivi avait accéléré peu avant le barrage et fait un écart
délibéré vers un policier qui a dû se jeter sur le capot d’une voiture de
police placée en barrage, pour ne pas être heurté», détaille François Coudert. Pendant sa garde à vue, le mis en cause a
indiqué, «en faisant oui de la tête, qu’il reconnaissait avoir voulu tuer le
fonctionnaire de police».
Face à ces éléments, le parquet d’Alençon s’est donc dessaisi de l’affaire au profit du pôle
criminel du parquet de Caen. Ce samedi, l’homme devrait être présenté
devant la Chambre criminelle de Caen qui décidera du chef de mis en examen à
son encontre.
A
savoir : Tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité
publique, violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité
publique, refus d’obtempérer aggravé par la mise en danger délibérée d’autrui,
conduite en état d’ivresse et refus de se soumettre aux vérifications tendant à
établir son alcoolémie ainsi qu’à celles destinées à établir une consommation
de plantes ou substances classées comme stupéfiants.
Le «mis en cause»
(certains merdias disent le «chauffard», «le
suspect»), était bien connu des services de justice. «Le 16 juin 2020, il avait été
condamné à 2 mois de prison avec sursis pour violence avec arme»,
ajoute le procureur de la République d’Alençon.
Forcément, l’histoire fait écho à ce qui s’est passé dans le
Lot-et-Garonne, samedi 4 juillet. Ce soir-là, Mélanie Lemée, gendarme de 25 ans
originaire de l’Orne, a trouvé la mort lors d’un contrôle, après avoir été percutée
par un drogué nommé Yassine E. une racaille multirécidiviste qui a avait refusé
de s’astreindre à un contrôle.
Récapitulons : Nous avons donc, un sinistre
individu très défavorablement connu des services de police qui le 16 juin 2020,
avait été condamné à 2 mois de prison avec sursis pour violence avec arme, si
je vous dit que je soupçonne fortement que comme d’habitude vu qu’on ne nous
donne pas le nom de la vermine, il s’agit à 99 % d’une de ces fameuses et
merveilleuses «chances pour la France»
qui font la fortune des carrossiers et des croque-morts, au prénom bien d’chez
nous du style Mohamed, Saïd, Mustapha, Yassine, Mokhtar et autres Mamadou etc..
Les paris sont engagés !
Michel Alain Labet de Bornay
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