jeudi 11 décembre 2014

Les races existent !


La preuve : Les sortis du Zoo : « Je n'ai aucune peine j'te nique ta race! » !



En 1996 quelques « chercheurs » ont signé un appel,(La pioche, la faucille et le marteau) lancé par Albert Jacquard un (alter) mondialiste ( C'est-à-dire un marxiste culturel internationaliste), ou idiot utile à la demande du MRAP ( Le fameux mouvement, qui aujourd’hui distille de la haine des juifs) mouvement lui aussi marxiste culturel, alter mondialiste membre fondateur de l’organisation stalinienne ATTAC, qui affirmait avec les modestes connaissances d’il y a bientôt 20 ans que « le concept de race ne peut être défini qu’au sein d’espèces dont divers groupes ont été isolés les uns des autres suffisamment longtemps pour que leurs patrimoines génétiques se différencient. Il se trouve que, dans l’espèce humaine, cette différenciation est si peu marquée que le concept de races humaines est non opérationnel. » Ce texte abscons avait notamment été signé par Jean-Pierre Changeux, Claude Cohen-Tannoudji, professeurs au Collège de France, Marc Augé (École des hautes études en sciences ( ?) sociales), Axel Kahn (INSERM), etc. Au-delà de la posture politiquement correcte (donc favorable au plan de carrière des signataires), et relayée par les médias habituels, qu’en est-il en réalité ?
La réalité, c’est que du XVIIIe siècle jusqu’à la moitié du XXe, tous les anthropologues, biologistes, et chercheurs en « sciences » sociales acceptaient le fait que l’espèce humaine contient un certain nombre de races biologiquement distinctes. Soit tous les scientifiques de cette époque – où notre civilisation a fait tellement de progrès – étaient des imbéciles, soit depuis la moitié du XXe cette question est devenue tellement politisée que dire la vérité est devenue professionnellement suicidaire. Après l’Art d’État, l’histoire d’état, on a la Science d’État.

Cette « science » qui n’en est pas une, joue sur le registre émotionnel ! L’humanisme ! Qui n’a pas envie d’être un humaniste ? Pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus : « Faire appel à l’émotionnel est une technique classique politiquement correcte ou marxiste culturelle ». De plus : «  l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements… »

Le racisme était le sujet idéal pour rallier l’ensemble de la population à l’idée que le gouvernement ou des parties de la population étaient victimes d’un acharnement des « xénophobes » ou des « racistes ».

 
De nombreuses personnes me posent souvent la question par courriel: « Mais qu’est ce donc que le marxisme culturel dont vous nous rebattez les oreilles ? » (J’avais déjà répondu Ici mais c’était assez court), Une définition succincte est donnée par wikipédia: « Le marxisme culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par l'école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident. Il s'agit d'un moyen culturel et non révolutionnaire pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu. »

La définition d’une race, c’est un groupe qu’on peut reconnaître comme étant différent d’un autre groupe. En termes un peu plus scientifiques, c’est un ensemble de population qui se reproduit et qui a des fréquences de gènes différentes d’un autre groupe, conduisant à des différences observables. Quand 75% des individus peuvent être classés sans équivoque par des critères objectifs comme appartenant à un groupe ou un autre, ces groupes sont des races.

Or c’est visiblement le cas dans l’espèce humaine.
Nicholas Wade  auteur et journaliste scientifique de renom. Né en Angleterre, il fait ses études à Eton et au King Collège de Cambridge. Correspondant et rédacteur en chef adjoint de la revue Nature, il a également publié dans la revue Science et dans le New York Times


Races parmi l'espèce humaine
Il a publié en mai 2014 : Un héritage gênant : gènes, race et histoire de l’humanité  (A Troublesome Inheritance: Genes, Race and Human History)
 
[Extraits d'interview]
Vous êtes opposé à l’idée que la race est une construction sociale. Pourquoi ?

« Je pense que le sujet des races a été tellement polluée par des idées pernicieuses que la plupart des gens l’ont tout simplement abandonné, y compris les généticiens. Les généticiens se sont rangés aux positions des sciences sociales selon lesquelles la race n’est pas un concept biologique. Mais je trouve cela incompréhensible.
Les généticiens commencent d’ailleurs à changer d’avis, car il y a de bonnes raisons de lier race et génétique. Et cela vient de la médecine. Il semble bien que chaque race, chaque groupe ethnique a des dispositions génétiques différentes pour les maladies. De sorte qu’il est nécessaire d’adapter les médicaments en fonction de chaque groupe ethnique (…).
Il devient très clair qu’il y a des différences génétiques entre les races, et en particulier dans les gènes sélectionnés. La plupart de ces variations génétiques sont neutres, et ne modifient pas le phénotype [ensemble des caractères observables d'un individu], et l’évolution l’ignore. Et on en a conclu qu’il y avait peu de différences entre les races.

Mais ces enquêtes ont porté sur la variation commune, qui est quasiment et par définition une variation neutre. En revanche, si vous regardez les gènes qui diffèrent, les gènes sélectionnés, qui ne sont qu’une petite partie de l’ensemble, alors vous trouvez un certain nombre de différences intéressantes entre les races.

 
Monsieur MRAP40 lis Sud Ouest

Les généticiens utilisent d’ailleurs depuis longtemps des mots « codés ». Ils ont laissé tomber le mot «race» vers 1980, mais à la place, ils utilisent des mots comme « population » ou « structure de population» .Maintenant qu’ils sont en mesure de définir la race en termes génétiques, ils ont tendance à utiliser d’autres mots comme  « groupes continentaux » ou « continent d’origine ».
Je préfère utiliser le mot race. C’est le mot que tout le monde comprend ».

Source http://www.americanscientist.org/bookshelf/pub/nicholas-wade

NDLR : Il existe quantité d’articles en anglais sur ce livre. Les positions défendues par l’auteur vont bien plus loin que celles que nous rapportons ici. L’auteur établit par exemple un lien clair entre la génétique et le comportement social. Voir ici par exemple.

3 commentaires:

  1. Petits extraits sympathiques du « Rap » raciste homophobe du 1er album de Kaaris, Back to the future
    Je n'ai aucune peine, j'te nique ta race, J'encule Brandon et Dylan, Si ces pédés crament au napalm j'veux la palme
    Les singes viennent de sortir du zoo, Armés comme à l'époque du Clos
    Ton cadavre derrière quelques plots, Le sang est plus épais que l'eau
    Ta mère la sale pute, il est trop tard pour chahed

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  2. La vérité la plus inopportune de James Watson : la réalité de l’existence des races et les erreurs moralistes
    Lorsqu’un des plus grands biologistes du XXe siècle, le Prix Nobel James Watson, nota que les peuples descendant des Africains présentaient un QI moyen inférieur à celui des Européens ou des Asiatiques de l’Est, il a été condamné par les mass-médias et les éléments de l’élite scientifique l’ont forcé à se retirer de son poste de président du laboratoire de Cold Spring Harbor (9, 34).
    Un traitement indigne du point de vue scientifique
    Le traitement infligé à Watson était particulièrement indigne étant donné que, du point de vue des faits scientifiques, plus d’un siècle et demi de preuves corroboraient sa déclaration. De plus, de nouvelles données et des analyses confirmant cette vue apparaissent régulièrement dans des journaux spécialisés dans les disciplines scientifiques concernées. La preuve du contraire est extrêmement faible. La plupart de ceux qui s’opposent à l’hypothèse génétique adoptent une position de simple moralisation et, pire, créent une atmosphère menaçante et coercitive incompatible avec la liberté de l’enseignement, la recherche libre et les libertés civiques d’une société vraiment démocratique. Un énorme fossé sépare les gardiens imposant la morale politiquement correcte et les vrais experts des sciences comportementales. Le cas de Watson n’est pas unique. Il n’est pas le dernier d’une longue lignée d’universitaires qui ont été mis au pilori et ont été diffamés (le décompte détaillé est donné par Hunt. Les autres sont le Prix Nobel William Shockley, Hans Eysenck, Linda Gottfredson, Richard Lynn, Richard Herrnstein, Charles Murray, Christopher Brand, Glayde Whitney, Helmuth Nyborg et Tatu Vanhanen. Les auteurs présents ont aussi supporté leur part d’attaques.

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  3. Les races existent ! (2)

    Les races n'existent pas.

    Nous sommes tous d'accord là-dessus. C'est tellement vrai que l'ADN est semblable pour tous.(…) Les Américains ont cette chance que la loi ne leur impose pas encore de dire que « les races n'existent pas » ou les oblige par ailleurs à prétendre que telle autre chose a existé.(…)

    L'histoire commence à Bâton Rouge, en Louisiane, en 2002. Le FBI, la police municipale et divers autres corps de police enquêtent sur trois meurtres imputés à un tueur en série. Les enquêteurs du FBI se fondant sur un unique témoignage se lance à la recherche d'un Blanc au volant d'un pick-up blanc.
    Plus de 1000 européens sont priés de se soumettre à des test ADN. Sans résultat.
    Le meurtrier frappe à nouveau.

    Le biologiste moléculaire Tony Frudakis propose ses services. Au mois de mars 2003, dans l'impasse, la police accepte finalement son aide. Il déclare pouvoir déterminer la race (race qui n'existe pas en France rappelons-le mais faisons un instant comme si) d'un individu grâce à son ADN.

    Incrédules, les policiers lui font passer un test. Vingt échantillons lui sont envoyés. Il détermine avec exactitude la race des 20 personnes.
    Quelques semaines plus tard, il appelle la police : le meurtrier ne peut en aucun cas être blanc : c'est un Africain ou un Caribéen.
    Le FBI cherche alors parmi d'éventuels suspects noirs. Les soupçons se portent particulièrement sur Derrick Todd Lee, 34 ans, condamné pour viol et agressions violentes. La police l'interpelle et procède à des tests ADN. C'est lui le meurtrier.

    Le scientifique avait encore une fois vu juste et correctement déterminé la race qui n’existe pas à partir d'un échantillon ADN. (…)


    Le procédé mis au point par Frudakis révèle des vérités contraires à l'idéologie dominante.

    « Une fois que nous commençons à parler de prévision de l'origine raciale à partir des gênes, il n'y a qu'un pas pour parler des actions des gens selon leur ADN - pourquoi ils ont commis des viols ou volé une voiture ou obtiennent des notes plus élevées dans les tests de QI » explique ouvertement Troy Duster, Ancien président de l'American Sociological Association qui semble beaucoup craindre que tels faits puissent être révélés. Il est à noter que ce n'est pas forcément la même personne qui vole une voiture et qui obtient de bons résultats aux tests de QI.

    Le procureur, noir, Tony Clayton reconnaît la grande utilité de ces tests :

    « Sans Frudakis, nous serions encore être à la recherche de l'homme blanc dans le pick-up blanc. ».

    Mais pourtant l'homme qui redoute lui aussi les conséquences de cette découverte affirme : «Si je pouvais appuyer sur un bouton et de faire disparaître cette technologie, je le ferais. ».

    Qu'il se rassure : d'autres (des marxistes culturels) s'en chargent. Tant pis pour les victimes et pour la vérité...


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