vendredi 29 mars 2019

Merci monsieur Christian Delarue. 6ème Partie



Essai d’ethnologie politique en forme de bonum factum. Chapitre 6

Lyssenkisme, antiracisme, des escroqueries intellectuelles ?


Les sciences sociales et en particulier le marxisme sont des escroqueries intellectuelles. Mais attention un marxiste est dans la plupart des cas sincère, sa sainteté C. Delarue est profondément sincère et là est bien le drame mais la sincérité n’est pas la vérité. L’intention la plus droite et la plus ferme volonté ne peuvent pas faire que ce qui est ne soit pas.
Avec le Lyssenkisme on atteindra des sommets dans l’escroquerie «scientifique» du marxisme.
Peu de gens connaissent le nom de Trofim Denissovitch Lyssenko, né le 29 septembre 1898 à Karlivka (aujourd'hui en Ukraine) et mort le 20 novembre 1976 à Kiev, un technicien agricole soviétique. Il est à l'origine d'une théorie génétique pseudo-scientifique, la «génétique mitchourinienne», qu'il promeut pendant la période stalinienne en Union soviétique marxiste où elle accède en 1948 au rang de théorie officielle exclusive opposée à une «science bourgeoise», qui était bien sûr fausse par essence. En pleine guerre froide, les travaux de Gregor Mendel, de Morgan et des autres généticiens sur la théorie chromosomique de l'hérédité sont interdits d'enseignement dans les Républiques Socialiste Soviétiques, les laboratoires de génétique fermés et les chercheurs — ceux qui ont survécu aux purges d'avant-guerre — limogés et expédiés dans les camps du goulag ou ils mourront tous en quelques mois. Ses pseudos «travaux» dans le domaine de l'agriculture lui valurent le titre de héros de l'Union soviétique et lui permirent de dominer la recherche biologique en URSS, jusqu'à son discrédit total dans les années 1960. Depuis, le terme Lyssenkisme désigne gentiment et par extension une science corrompue par l'idéologie où les faits sont dissimulés ou interprétés de manière scientifiquement erronée. En fait le Lyssenkisme comme le marxisme et l’antiracisme est une vaste escroquerie ! Souvent les scientifiques entrent dans l’histoire quand ils font faire, grâce à leurs découvertes, un bond en avant à leur discipline. L’escroc marxiste (pléonasme) Lyssenko est entré dans l’histoire en faisant faire un bond en arrière de plusieurs dizaines d’années à son domaine d’étude. Lyssenko était en charge de la recherche en biologie/agronomie en Union soviétique à la tête de l’Académie Lénine des Sciences agronomiques entre 1948 et 1952. Se réclamant de l’héritage de Mitchourine, il acquiert rapidement une certaine notoriété en se présentant comme l’inventeur d’une technique découverte quelques années plus tôt aux Etats-Unis : la vernalisation. Il obtient rapidement le soutien de la Pravda (La «vérité» était le journal et l’organe officiel du Parti Communiste de l’Union soviétique, elle n’avait pas de concurrence, c’était ça la vrai «démocratie» marxiste).
Entre 1930 et 1940 un combat s’engage entre les tenants de la biologie conventionnelle (évolutionniste, mendélienne, et partisane de la sélection naturelle) tel Nikolaï Ivanovitch Vavilov (qui était en 1930 président de l’Académie Lénine des Sciences agronomiques ainsi que de l’Institut de Recherche Scientifique de l’URSS pour la culture des plantes) et les partisans de Lyssenko. En 1937, alors que Vavilov s’apprête à organiser à Moscou le congrès international de génétique et que Staline prononce un discours sur les «défaillances à l’intérieur du parti et les mesures à prendre pour liquider les trotskistes et les traîtres», Lyssenko, secondé par le «philosophe marxiste» Isaak Izrailevich Prezent (Juif Erev Rav (tourbe nombreuse ou assafsouf (ramassis)) groupe d’étrangers convertis se joignant aux Hébreux lors de lExode hors d’Égypte. La tradition juive en fait des convertis insincères, responsables des fautes d’Israël dans le désert et des comportements indignes se manifestant aujourd’hui comme hier avec le marxisme parmi les Juifs). Prezent l’Erev Rav est évidemment marxiste et escroc communiste (pléonasme),  Prezent se dit lui «Philosophe» : après avoir expliqué en 1930 l’incompatibilité «philosophique» du lamarckisme avec le marxisme et le matérialisme dialectique, il devient par la suite un important soutien de Lyssenko et participe au développement de la théorie des deux pseudos «sciences». Isaak Izrailevich Prezent a rencontré Lyssenko pour la première fois au Congrès des généticiens et des éleveurs en 1929, mais ce n'est qu'en 1934 qu'ils ont commencé à coopérer étroitement dans le laboratoire de Lyssenko à Odessa. À cette époque, Lyssenko suivait déjà la version du lamarckisme de Mitchourine, mais il n’associait pas encore son travail dans le domaine de la génétique à des positions politiques et marxistes idiotes. Il est peu connu que c’est Prezent qui après 1934, a commencé à introduire Lyssenko à la l’imbécile théorie marxiste et à la politique des partis communistes, ce qui a conduit à un ton de plus en plus politique des déclarations de Lyssenko, dénonçant la génétique mendélienne. L'influence d’Isaak Izrailevich Prezent sur Lyssenko ne s'est pas limitée aux aspects philosophiques et politiques du travail de ces derniers. Malgré le manque d'éducation formelle en biologie d’Isaak Izrailevich Prezent, il était l'une des principales sources d'information de Lyssenko sur le darwinisme. Lyssenko a finalement produit une synthèse pseudo-scientifique de la biologie évolutionniste de Mitchourine, de la «philosophie scientifique» de Prezent et de la théorie politique stalinienne connue sous le nom de Lysenkoisme ou Lyssenkisme notoire escroquerie marxiste culturelle. Les enseignements de Lyssenko étaient basés sur son concept de «coopération naturelle», par opposition à l’idée de Darwin de la sélection naturelle qu'il rejetait. Selon Lyssenko, non seulement les caractéristiques acquises des organismes étaient héréditaires, mais il était même possible que des organismes d’une même espèce se transforment en une autre espèce en acquérant des caractéristiques appropriées au cours de leur vie. Les marxistes partisans du Lyssenkisme ont préconisé l’utilisation de ces «découvertes» dans l’agriculture pour accroître les rendements et soi-disant atténuer les conséquences de la famine soviétique de 1932-1933 l'Holodomor qui avec plus de huit millions de victimes est désormais reconnu comme génocide (L'Ukraine a officiellement retenu une fourchette de 7 à 10 millions de morts, estimation reprise par l'ONU).
Lyssenko se lance dans une campagne visant à présenter les généticiens classiques comme «des saboteurs, des incapables ou des ennemis du prolétariat […] rampant à genoux devant les derniers propos réactionnaires de savants étrangers».
Nikolaï Ivanovitch Vavilov faisait partie de ces «ennemis du peuple», éminent botaniste et généticien russe puis soviétique, fondateur et directeur de l'Institut pansoviétique de culture des plantes qui porte désormais son nom. Vavilov fut membre du Soviet suprême, président de la Société géographique d'URSS (1931-1940) et a été récompensé par le prix Lénine en 1926. Adversaire de Lyssenko lors du débat sur la génétique, il est arrêté le 6 août 1940 et condamné à mort le 9 juillet 1941 par le Collège militaire de la Cour suprême de l'URSS pour «participation à une organisation antisoviétique, sabotage et espionnage». Le 23 juin 1942, ce verdict est commué à 20 ans de prison par une décision du Présidium du Soviet suprême. L’Académie des sciences refusa toutefois de retirer le titre d’académicien à N. Vavilov. Il décède le 26 janvier 1943 à la prison de Saratov dans  les camps du Goulag de dystrophie, conséquence de la sous-alimentation.
Entre 1940 et 1948, malgré de persistantes oppositions de la communauté scientifique, Lyssenko et ses partisans marxistes membres du Parti Communiste prennent peu à peu le contrôle de la biologie soviétique (Lyssenko devient président de l’Académie Lénine des Sciences agronomiques). En 1948, Lyssenko est encore mis en cause par d’importants scientifiques et par Iouri Jdanov (fils d’Andreï Jdanov, 3ème secrétaire du parti communiste, soutien important du criminel contre l’humanité Staline et auteur de la doctrine portant son nom). Après s’être assuré du soutien de Staline, Lyssenko organise une discussion publique entre lui et l’ensemble de ses opposants à l’occasion de la session d’août de l’Académie de Lénine des sciences agricoles. A ce congrès, après les avoir laissé s’exprimer, Lyssenko revendique le soutien de Staline et du comité central. Ce soutien public mit un terme au débat et d’importantes purges parmi les scientifiques non Lyssenkistes suivirent cet événement (ceux-ci connaitrons également les joies d’un stage Nature et Découverte de la Sibérie dans les camps du Goulag d’où aucun ne revinrent).
La période 1948-1950 correspond à l’apogée du Lyssenkisme : à cette époque, l’idiote idéologie tente de se répandre à l’étranger, en particulier en France où elle connaîtra un petit succès auprès des marxistes abrutiles (idiots utiles puissance 10). La promotion du Lyssenkisme en France est de relativement courte durée. Elle commence en 1948 suite à la prise de position publique du grand criminel contre l’humanité Staline pour Lyssenko et donne lieu à la publication d’un article dans les Lettres françaises.
Ah, Les Lettres Françaises ! Publication littéraire puante créée en France, en septembre 1942, pendant l'Occupation, par Jacques Decour et Jean Paulhan. C'est l'une des nombreuses publications clandestine du mouvement de résistance communiste de la SFIC dit Front National. Après la Libération, à partir de 1953 jusqu'en 1972, Les Lettres françaises, dirigées par le camarade marxiste Louis Aragon, bénéficient du soutien financier du PC s’affublant ignominieusement d’un F. En 1949, une polémique, puis un procès retentissant opposent le «journal» au dissident soviétique Victor Kravtchenko. Après la parution de son livre J'ai choisi la liberté, parlant des camps de prisonniers soviétiques du Goulag et de leur exploitation, Les Lettres françaises l'accusent de désinformation et d'être un agent des États-Unis à partir de faux documents écrits par le journaliste André Ullmann qui travaillait pour les services de renseignement soviétiques; la vérité sur l'origine de ceux-ci ne sera connue qu'à la fin des années 1970.
Kravtchenko porte plainte en diffamation contre le journal qui est défendu par l'Erev Rav et avocat Joë Nordmann un des rares marxistes à avoir fait son mea-culpa (Dans ses souvenirs, il écrit : «Tout bien pesé, la croyance qui est à l'origine de mon aveuglement me paraît comparable à la foi religieuse. La sacralisation de l'idéal à travers un homme divinisé, remonte à des temps fort anciens (...) Le souvenir de mon comportement à la mort de Staline me fait penser à un agenouillement, à une prosternation» (Merci monsieur Nordmann de confirmer le fond de ma pensée, le marxisme est bien une religion séculière, nous en reparlerons). Dans les années 1970, il fait une première «autocritique» et reconnaît ses «erreurs» sur l'Union soviétique. En 1996, il explique avoir nié la réalité du stalinisme en raison du contexte de la Seconde Guerre mondiale et de l'après-guerre : «Pour moi, le Parti et l'Union soviétique étaient dans la continuité de la résistance puis de la coexistence pacifique. Souvenez-vous qu'à cette époque les intellectuels français (ceux que je nomme «intellocrates») étaient dans leur grande majorité très proches des communistes. Je suis entré au Parti et dans la lutte pendant la guerre par antifascisme. Mon engagement n'avait rien à voir avec l'Union soviétique» (Tout cela serait bien sûr à discuter).Il est aussi un des très rares marxistes à avoir reconnu la qualité de religion séculière au marxisme. Dans ses souvenirs, il écrit : «Tout bien pesé, la croyance qui est à l'origine de mon aveuglement me paraît comparable à la foi religieuse. La sacralisation de l'idéal à travers un homme divinisé, remonte à des temps fort anciens (...) Le souvenir de mon comportement à la mort de Staline me fait penser à un agenouillement, à une prosternation». Saint Joseph priez pour nous ? (La canonisation de Joseph Staline le «petit père des peuples» a été d’actualité en 2008 quand dans la petite église orthodoxe de Strelna, dans la banlieue de Saint-Pétersbourg, a été accueilli une œuvre d’art d’un goût très discutable : une icône représentant Staline à côté de sainte Matrona de Moscou. C’est le doyen de l’église, le prêtre Evstafi, qui l’avait accrochée à l’intérieur. Nonobstant les autorités ecclésiastiques n’ont pas tardé à réagir et ont fait retirer le camarade criminel contre l’humanité des murs de l’édifice).                                                                                                                                                            Le procès Kravtchenko, surnommé le «procès du siècle», a lieu en 1949 et regroupe une centaine de témoins. Bien différent des grands procès consécutifs à la guerre, ce procès parisien eut lieu à la fois dans une enceinte civile et hors du pays, l’URSS, où avaient eu lieu les crimes évoqués. Éventuelle préfiguration de la compétence universelle ou simple controverse typique de la guerre froide, le statut à accorder à ce procès apparaît ainsi complexe et discutable. Il s’agissait, du point de vue de sa qualification juridique, d’un procès en diffamation: ce ne sont pas les abominables crimes du régime soviétique en eux-mêmes qui ont été jugés par la Cour. Par ailleurs, les accusés n’étaient pas les criminels contre l’humanité et les bourreaux soviétiques, mais des complices objectifs de ces crimes, des «journalistes» français de l’hebdomadaire littéraire communiste Les Lettres françaises, André Wurmser (Né le 27 avril 1899 à Paris, mort le 6 avril 1984 à Paris, Wurmser le juif érèv rav était un écrivain et journaliste marxiste ; membre du Parti communiste ; secrétaire du Comité de vigilance des «intellectuels» antifascistes (1934-1939) ; rédacteur en chef de Russie d’aujourd’hui (1937-1939) ; membre du Comité directeur des Amis de l’Union soviétique ; éditorialiste à l’Humanité (1954-1984) qui écrira souvent sous le pseudonyme de Casimir Lecomte) et avec Claude Morgan – directeurs de la publication – ainsi qu’un journaliste américain, Sim Thomas, «correspondant américain» inventé de toutes pièces pour la signature du premier article par les communistes justement accusés de diffamation à l’encontre de Kravtchenko, l’auteur du «témoignage bidon» attribués au faux Sim Thomas était André Ulmann (Exemple typique du juif Erev Rav , faussaire et agent marxiste culturel du KGB, Ulmann ancien déporté reprend son métier de pseudo journaliste  après la Libération de la France. Il devient le rédacteur en chef du journal Les Étoiles, puis de l'hebdomadaire La Tribune des Nations. Selon les archives du KGB apportées par le transfuge Vassili Nikititch Mitrokhine, ce journal (nom de code : École pour le KGB), envoyé aux ministères et aux principaux décideurs ainsi qu'à de nombreuses ambassades, a bénéficié largement de 3 500 000 francs français versés en 24 ans par l'Union Soviétique à André Ulmann. Il est aujourd'hui possible d'affirmer, avec certitude, ce que les apparatchiks du Parti communiste français, Georges Marchais en tête, se sont toujours efforcés de nier : dès sa création, en 1920, jusqu'à la désintégration de l'URSS, en 1991, le PC-(F) a été très abondamment financé par son grand frère soviétique. Des centaines de documents, découverts dans les archives d'État à Moscou, le prouvent. Les hommes du Komintern qui apportaient clandestinement bijoux et devises aux révolutionnaires occidentaux, agents de Staline ou du KGB, milliardaires rouges, sans oublier les fonctionnaires moscovites de la période du déclin, qui continuaient à distribuer des millions de dollars aux partis frères dans la plus stricte application des consignes de Lénine : «Ne lésinez pas sur l'argent... Nous vous en donnerons encore et encore sans compter». En 1946, selon son dossier au KGB, il a secrètement adhéré au Parti communiste français. La même année, selon Thierry Wolton, il avait été recruté par le NKVD sous le nom de code de Durant. André Ulmann écrit en 1947 le fameux faux (un de plus) un article signé Sim Thomas, censé être un journaliste américain, affirmant que le livre J'ai choisi la liberté du transfuge soviétique Victor Kravtchenko était un faux et son auteur un ivrogne. Publié par Les Lettres françaises, journal plus que proche du Parti communiste, osant les salopards se dire français, ce texte sert de motif à un procès en diffamation qui sera perdu mais largement médiatisé à l'époque. Ce n'est qu'à la publication en 1979 des mémoires de Claude Morgan, directeur du journal, que sera révélée la véritable identité de l'auteur de l'article. Les archives Mitrokhine affirment en outre qu'André Ulmann était également un agent des services de la république populaire de Pologne, en 1948, sous le nom de code de Yuli (Il n’y a pas de petits bénéfices). Celui qui se présentait comme un humaniste de gauche est qualifié d'intellectuel progressiste par Thierry Wolton qui ne connaissait pas la fallacieuse dénomination «d’intellectuel critique» ou marxiste culturel.
L'Union soviétique présente les anciens collègues de Kravtchenko et son ancienne femme pour le dénoncer. Les défenseurs de Kravtchenko amènent à la barre des survivants de camps de prisonniers soviétiques. Parmi eux Margarete Buber Neumann, la veuve du leader communiste allemand Heinz Neumann. En lien avec les protocoles secret du pacte germano-soviétique dit aussi Hitler/Staline, alors qu'elle purge une peine de camp au Goulag depuis deux ans, elle est gentiment et très démocratiquement remise par les très humanistes et progressistes autorités démocratiques marxistes soviétiques à la Gestapo qui l'interne au camp de concentration de Ravensbrück, en Allemagne. Le procès est remporté par Kravtchenko en avril 1949 et il reçoit une somme symbolique pour la diffamation.
Voyez comment cette histoire de madame Margarete Buber Neumann, nous prouve encore une fois que socialisme et fascisme forme bien une seule et même famille ; les faits sont là. Le fondateur du fascisme, Mussolini, fut d'abord un dirigeant du parti socialiste italien. En France, les chefs des seuls partis authentiquement fascistes, Valois, Doriot, Déat, furent, le premier un théoricien d'extrême gauche, le second un des principaux responsables du parti communiste et le troisième un député socialiste, successeur présumé de Léon Blum à la tête de la S.F.I.O. En Angleterre, Oswald Mosley fonda un parti fasciste britannique après avoir été ministre dans un gouvernement travailliste. En Allemagne, de nombreux communistes furent séduits par les propositions socialistes du parti socialnationaliste des travailleurs allemands d'Adolf Hitler qui disait et affirmait franchement que «tout le Nationalsozialismus (en Français le social-nationalisme)» était fondé sur Marx il dira : «[Ma tâche est de] «convertir le volk (peuple) allemand au socialisme sans simplement tuer les vieux individualistes». Socialistes et communistes sont très mal placés pour donner des leçons de morale politique à la droite ou aux Libertariens, quand ils traitent leurs adversaires de «fascistes» : le fascisme est une variante nationaliste du socialisme orthodoxe ; il partage avec lui le culte de l'État et la croyance dans les vertus de l'économie administrée. Les deux grandes familles totalitaires du XXe siècle, fascisme et communisme, sont issues d'un même tronc : le socialisme.
Revenons à nos moutons. Entre 1948 et 1950 le PC dit F tentera bêtement de populariser le Lyssenkisme et la théorie des deux sciences ce qui lui aliénera le soutien de véritables biologistes connus tel que Jacques Monod, Jean Rostand et Marcel Prenant (qui tentera tout de même un moment de défendre le Lyssenkisme ou tout du moins d’aboutir à une synthèse entre le Lyssenkisme et la génétique classique, avant d’abandonner suite à sa rencontre avec Lyssenko lui-même et d’être exclu du PC(F)). Le principal défenseur du Lyssenkisme en France est finalement le camarade Louis Aragon l’immonde complice de crimes contre l’humanité avec ses odes monstrueuses. En 1950 la prise de position du grand criminel contre l’humanité Staline contre la théorie des sciences met un terme à la communication du PC(F) sur ce sujet. Mais il faudra néanmoins attendre huit ans de plus pour qu’une première dénonciation de la fraude Lyssenkiste apparaisse en France (par Jean Rostand) et une dizaine d’années de plus pour que ces dénonciations se multiplient à travers le monde.
Il faut attendre la chute de l’immonde crapule criminelle Staline et l’accession au pouvoir de Nikita Kroutchev (en 1953) pour que Lyssenko soit une première fois mis en cause et qu’il perde à cette occasion son poste de président de l’Académie des Sciences agricoles. Même si la présidence de Kroutchev se caractérise par le retour d’un certain pluralisme dans la recherche en biologie, Lyssenko garde de nombreux appuis au comité central et reste très influent.
Ce n’est qu’en 1965, quelques semaines avant la chute de Kroutchev, que Lyssenko perd réellement son pouvoir et son poste de directeur de l’Institut de génétique de l’Académie des sciences.
On peut chercher une certaine filiation intellectuelle de  Trofim Lyssenko chez Nikolaï Iakovlevitch Marr (1864-1934), historien et linguiste soviétique qui développa une absurde notion de classe en linguistique : Pour Marr il existait une incompatibilité entre la/les langue(s) pratiquées par les prolétaires et celle pratiquées par les classes bourgeoises. Marr en déduisait bêtement, conformément au marxisme originel (La révolution sera mondiale ou ne sera pas) et à sa déclinaison sous Lénine, qu’il sera nécessaire après le triomphe mondiale du communisme de mettre en place une langue mondiale unique. Lyssenko va contribuer, avec Staline, à la promotion d’Olga Borisovna Lepeshinskaya (à ne pas confondre avec son homonyme ballerine elle aussi protégée de Staline) qui va régner avec lui sur la biologie soviétique. Olga travaille sur la biologie cellulaire et affirmera avoir observé sans rire l’apparition d’organismes vivants par génération spontanée. Pour prouver ses dires elle diffusera à l’envers des films montrant la mort et la décomposition de cellules. C’est exactement cela le Marxisme, c’est le monde à l’envers ! Olga Borisovna Lepechinskaïa née Protopopova le 18 août 1871 (30 août 1871 dans le calendrier grégorien) à Perm (gouvernement de Perm) et morte le 2 octobre 1963 à Moscou (Union soviétique), était une simple ambulancière dite «biologiste» soviétique car révolutionnaire de la première heure, elle était une protégée personnelle de Lénine, puis de Staline, Trofim Lyssenko et Alexander Oparin. Elle a rejeté la génétique et défendait le principe de la génération spontanée de la vie depuis la matière inanimée. Son mari, le camarade Panteleimon Lepechinsky, n'en pensait pas beaucoup de bien. «Ne l’écoutez pas. Elle ignore totalement la science et tout ce qu’elle a dit est plein de déchets, avait-il déclaré à un visiteur».
C’est décidemment une spécialité marxiste et communiste que les faux diplômes, les fausses identités et les gros mensonges permanents soi-disant «scientifiques». Il en va ainsi d’Elena Ceausescu, née Lenuța Petrescu le 7 janvier 1916 à Petrești (Roumanie) et justement exécutée le 25 décembre 1989, à Târgoviște (Roumanie) qui était une nauséabonde communiste criminelle roumaine. Lenuța Petrescu naît dans le județ de Dâmbovița dans une famille d'origine rurale qui s'installe dans le département d'Ilfov, en Valachie, et finit par tenir un bar dans la banlieue de Bucarest où Lenuța termine une scolarité très médiocre en quatrième (son carnet scolaire ayant été publié à la chute du régime confirma l'écart entre ses capacités réelles et celles que le régime communiste lui reconnaissait). Lenuța rejoint le Parti communiste roumain en 1937, à l'âge de 21 ans, et y rencontre deux ans plus tard Nicolae Ceaușescu, son futur époux. Ils se marient le 23 décembre 1947, journée durant laquelle elle falsifie son certificat de naissance (changeant l'année «1916» en «1919» prenant dès son mariage les bonnes habitudes de falsification marxistes) afin de se rajeunir de trois ans, Nicolae Ceaușescu étant en réalité de deux ans son cadet. C'est à ce moment aussi qu'elle fait changer officiellement son prénom (Lenuța voulant dire «petite Hélène», trop diminutif), en Elena. Deux ans après la prise du pouvoir par les communistes, en mars 1945, la Roumanie devient officiellement la République Populaire Roumaine en décembre 1947 : Elena Ceaușescu travaille alors comme secrétaire au ministère des Affaires étrangères, ce qui fait d'elle une figure de la nomenklatura qui ne manquera de rien et ne sera jamais menacée, même aux moments les plus rigoureux de la criminelle dictature communiste. À partir de 1948 elle est affectée au prestigieux département international du Comité central du PC, où elle reste une personnalité de second rang jusqu'à la nomination de son mari au poste de secrétaire général du parti, en 1965. À partir de juillet 1971, lui sont confiés des postes de haut niveau de responsabilité au sein du Parti communiste roumain.
Après avoir soi-disant obtenu pendant les années 1950 un diplôme d’ingénierie chimique à l’Université Politehnica (Bucarest) (en réalité  dans les années 1950 et avec son frère, elle travaille comme assistante de laboratoire d'analyses avant de devenir ouvrière dans une usine textile), elle devient directrice générale de l’Institut de recherches chimiques roumain et devient également membre de l’Académie des sciences. Son niveau d’instruction très limité ne l’empêche pas d’accaparer de nombreux prix scientifiques internationaux en chimie, notamment en matière de polymères, durant la période où son mari est à la tête du pays : il fallait à tout prix que l’ex-assistante de laboratoire devenue l’épouse du no 1 roumain apparaisse comme le fruit d’une réussite sociale exemplaire et aucun scientifique n’était assez téméraire pour refuser d’écrire les articles qu’elle signait. Certains tel Ion Ursu s’en firent une spécialité, ce qui leur valut une fulgurante carrière et de nombreux avantages réservés aux apparatchiks. Mais cela se savait tant dans la population que dans la communauté scientifique du pays, qui est très fermement invitée par la Securitate (police politique du régime) à taire ses railleries, certains scientifiques ayant été emprisonnés et exécutés pacifiquement et démocratiquement. Elena Ceaușescu devient ainsi docteur-ingénieur en chimie, bien que sa thèse ait été tout d’abord refusée par le professeur Cristofor I. Simionescu, qui fut le malheureux, pour cette outrecuidance, limogé et son nom retiré des encyclopédies. Un scientifique de moindre renom, le professeur Coriolan Drăgulescu, valida les travaux de la camarade Ceaușescu et se vit ainsi propulsé sur le podium scientifique du pays, voyant son nom entrer dans l’encyclopédie et intégrant lui aussi l’Académie des sciences. Cela permet à la «première dame» et néanmoins camarade roumaine de recevoir des diplômes honorifiques de prestigieuses universités étrangères, elles-mêmes sous la pression de leurs propres gouvernements (notamment celles d’Athènes, Buenos Aires, Lima, Manille, Mexico, Nice, New York, Quito et Téhéran) qui soignaient leurs bonnes relations avec le Bloc de l'Est. L’encyclopédie roumaine de l’époque consacre plus d’une demi-page à la seule énumération de ses titres et récompenses, qui lui furent retirés à titre posthume après la chute du pestilentiel régime criminel marxiste et sa très juste exécution.
Chez nous aussi avec Le dessein intelligent (intelligent design en anglais) il ne nous manque rien dans le mensonge pseudo-scientifique. Le dessein intelligent est une théorie pseudo-scientifique qui prétend que «certaines observations de l'Univers et du monde du vivant sont mieux expliquées par une cause «intelligente» que par des processus non dirigés tels que la sélection naturelle». Cette thèse a été développée par le Discovery Institute, un cercle de réflexion conservateur chrétien américain. Le dessein intelligent est présenté comme une théorie scientifique par ses promoteurs mais, dans le monde scientifique, il est considéré comme relevant de la pseudoscience, par des arguments aussi bien internes à la biologie (les promoteurs du dessein intelligent apparaissant aux biologistes comme ne tenant pas compte de nombreuses observations) qu'épistémologiques (en particulier le critère de réfutabilité de Karl Popper). Historiquement l’Intelligent Design résulte de la volonté de groupes religieux chrétiens américains d’imposer l’enseignement du créationnisme à l’école et de l’impossibilité constitutionnelle d’introduire un enseignement religieux dans les programmes scolaires. L’intelligent design fut une tentative de contourner la constitution en présentant le créationnisme sous un jour non pas religieux mais scientifique. Ici aussi la science est instrumentalisée et la pseudoscience vient légitimer à posteriori des idées non scientifiques en l’occurrence religieuses. Nous avons vu auparavant que le marxisme est une religion séculière. Aux différents exemples cités, on pourrait ajouter les financements d’instituts de recherche sur le tabagisme par l’industrie du tabac…De nos jours Lyssenko représente l’archétype de la fausse science à tel point que pro-OGM et anti OGM de même que partisans du réchauffement climatique et climato-sceptiques s’accusent mutuellement et fréquemment de Lyssenkisme.
Le ventre de la bête Lyssenkiste n’est sans doute plus très fécond comme le marxisme (quoique), mais ce n’est pas une raison pour ne pas revenir sur cette affaire et tenter d’en tirer pour aujourd’hui les enseignements nécessaires.
Bien sûr, il ne s’agit pas de s’affranchir de tous ce que nous savons. Le faire, c’est faire de la science-fiction.
Il faut garder certains fondamentaux au préalable. Ils sont essentiels à l’imagination pour engendrer potentiellement de nouveaux savoirs. Ici, ce peut être, par exemple, les lois de la gravitation. Albert Einstein est sorti de l’Ether, considéré comme élémentaire par les scientifiques de l’époque, pour entrer dans la théorie de la Relativité justement par cette voie. La gravité de Newton était basée sur un temps universel. Elle était donc incompatible avec la relativité restreinte, il fallait changer ça. C’est ce qu’il fit avec un certain panache. Einstein nous rappelle l’importance de l’imagination. Elle est pour lui davantage importante que la connaissance.
En conclusion, désapprendre, ce n’est pas compliqué. Du moins, pas comme on l’entend. Une fois distingué nos savoirs de nos croyances, ce sont surtout ces dernières qu’il faut désapprendre plus que décroire.
Il doit surement exister des manières multiples de désapprendre. Commencer par mettre du sens et de la relativité, c’est un bon début. Ceci dit, le désapprentissage doit se maitriser. Alvin Toffer, dans le Choc du Futur, nous interpellait en nous révélant les analphabètes du XXIe siècle. Ils ne seront pas ceux qui ne savent ni lire ni écrire. Ce seront ceux qui ne savent pas apprendre, désapprendre et réapprendre tel des militants «antiracistes».
Fermons encore une fois la parenthèse et revenons à nos moutons.
En l’occurrence encore pour un court instant à ce bien cher monsieur Delarue le petit père (Vidéo recommandée) des peuples classe un colonialiste (encore une fois ce n’est pas de moi, vous aurez remarqué que pour moi, l’empêcheur de marxiser en rond, tous ces «mrapistes» (pas de moi non plus, vous me voyez déclarer : «Le Mrapiste des Landes se dit homme de gôache, comme son inspirateur historique Gérard Kerforn. Il est tellement de gauche que, membre du Parti communiste ou compagnon de route, il a soutenu, historiquement, toutes les dictatures staliniennes qui, en URSS, en Chine, au Cambodge ou ailleurs, se sont traduites, en 70 ans, par cent cinquante millions de morts, des famines épouvantables, une régression sociale et matérielle épouvantable pour les travailleurs, l’extermination de toute opposition, les goulags et les hôpitaux psychiatriques pour les opposants, et la fin de la pluralité des idées. La chute du Mur de Berlin, en 1989, a mis fin à la dictature du parti unique sur le prolétariat, qu’ils appelaient dictature du prolétariat. Bien évidemment, le Parti communiste français, soutien fidèle de tous les crimes staliniens, contre les ouvriers de l’Allemagne de l’Est en 1953, contre les révolutionnaires hongrois en 1956, contre le printemps de Prague en 1968, contre Solidarnosc en 1981, a sur les mains le sang de toutes ces victimes du communisme. Ses compagnons de route, dont le Mrap antisémite, sont les complices de ces crimes de masse, où la liberté, si chère à nos valeurs occidentales, a été étouffée par le totalitarisme communiste». Non n’est-ce pas ? Vous savez bien que je n’aurais pas oublié le petit mrapiste colonialiste Rennais). Tous sont devenus depuis le 3 Mai 2010 de grandioses «mrapistofurieux» (celui là, c’est de moi !) pour qualifier les antiracistes politiquement corrects). Monsieur Delarue qui serait «allah» fois marxiste (C’est lui qui le dit) et «antiraciste» ? Drôle d’idée ! Marx qui avait lu Charles Darwin, lui, (à l’inverse de m’sieur Delarue) disait ; « Le livre de Darwin est important, et il me sert de fondement pour la lutte des classes dans l’histoire». Darwin qui disait : «Partout dans le monde les races les plus civilisées auront éliminé les races inférieures». Ainsi, le marxisme (et monseigneur Delarue s’affiche comme marxiste, dont il est un des ministres du culte), qui est à l'origine des pires massacres et persécutions de toute l’histoire de l’humanité en s'appuyant sur Darwin, se révèle bien pour ceux qui auraient encore un doute, une idéologie raciste. CQFD.
Tiens ; à propos de racisme…….
Le 18 Août 2015 sur le site du MRAP des Landes un article curieux est publié par monsieur Mrap40 le joyeux mrapiste, article ou bien évidemment je me suis reconnu comme celui, qui aux dires du sensationnel citoyen au pseudonyme très courageux de Mrap40, entretiendrait aujourd’hui plusieurs blogs et là, je laisse à ce monsieur la responsabilité de ses propos : «racistes et haineux» et pour être bien sur que l’on sache de qui il est ici question, le très politiquement correct et camarade MRAP40 le distingué saronide landais rappelle celui intitulé ( Avec une faute volontaire…. Manquerai plus qu’on aille y voir !) : MichjelAlainLabetdeBornay. Il paraîtrait même que j’inonderais le Net de ma prose prétendument raciste et diffamatoire et que, de plus, je continuerais à bien sur déverser en toute impunité ses flots de haine raciste sur le Net. Mais à par ça tout va très bien et puis de toute façon comme disait l’ami Georges,  le temps ne fait rien à l'affaire !
Aujourd’hui des suppressions d’une partie de cet article ont été réalisées par l’excellentissime pontifex maximus monsieur Mrap40 (des copies d’écran ont bien sûr été faites) notamment au tout début ou cette phrase a aujourd’hui disparue : «A l’attention des lecteurs qui auraient été redirigés sur cette page à partir du blog d’un certain François Munier, voir en bas de cette page (1)»
Dans la note dite (1) elle aussi disparue en bas de page, je suis encore une fois traité de «raciste multirécidiviste et de cyber-raciste»…. Bof, en tous cas ça vaut mieux que d'attraper la scarlatine ou d’avoir la queue coupée comme Blumenstein le disait à Lévy.
Quant à cet excellent monsieur François Munier, il est lui aussi pris à partie par monsieur MRAP40 remarquable prescripteur de la norme sociale marxiste culturelle dans la note disparue dans les limbes du Web : «Nous n’aurions jamais pensé prendre l’initiative de la moindre critique sur un autre comité du MRAP, mais dans la mesure où le président du MRAP Nancy, nous prend régulièrement pour cible, nous invitons à découvrir le site de son comité, ni action pour les sans-papiers, ni interventions scolaires, ni présence dans la rue, ou sur les marchés, seulement des informations générales, ou des actions menées par d’autres organisations. L’antiracisme du haut de l’observatoire virtuel se réduit à un effet baudruche qui ne trompera personne. Munier, Labet... (Tiens c’est moi avec m’sieur Munier sur le même pied, beuuurk à vomir) l’engagement associatif ne nous amène pas que des amis, c’est la loi du genre ».
Quel rapport avec monsieur Delarue allez-vous me dire ? Patience, cela va venir ma sœur Anne ! D'ailleurs je vais en parler à sa mère....!
Monsieur François Munier qui le 25 août 2015 disait en parlant de moi : «ce blogueur publie dans un français approximatif (?) de violentes diatribes accusant notamment tous ceux qui ne pensent pas comme lui d'être des antisémites. Il suffit pour lui de ne pas approuver la politique israélienne. Comme il réitère ses accusations contre le MRAP régulièrement, il n'y a pas prescription et des plaintes sont toujours possibles» (Comme dirait l’autre : «Venez me chercher !» et puis à propos d’antisémitisme, il est maintenant bien connu que ceux qui chasse les enfants juifs de nos belles écoles publiques se nomment des «arabo-musulmans» ce que je ne suis pas et que le MRAP qui distille de la haine des juifs et par là même ses militants et autres membres du conseil d'administration national du MRAP de 2008 à 2011 sont de par le fait des antisémites et ça c’est pas moi qui l’ai écrit : «Le MRAP distille de la haine des Juifs en général !» Citation de monsieur Maurice Winnykamen dans Grandeur et misère de l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ? Page 203, publié en 2007 aux Editions Tribord). Cette splendide citation ou l’antisémitisme est bien dit être «généré en Général» c’est à dire par tout le MRAP, militants compris et ce n’est pas là du français approximatif, m’a été révélée par un article de monsieur Delarue (encore mille merci camarade et grand pontife de la religion marxiste culturelle) sur le site stalinien d’ultra gauche Bellaciao. Il serait peut-être intéressant de savoir qui était cet excellent Maurice Winnykamen est évidemment membre du Parti Communiste se disant Français. Le camarade et futur apparatchik Maurice Winnykamen intègre en 1971, les «entreprises» du Parti communiste dit français : La SOGIR, la SIMAG, des entreprises informatiques créatrices des syndicats intercommunaux pour l’informatique. En 1973, il est chargé de créer une entreprise de bureautique (le terme n’existe pas et au «parti» il le crée lors du premier «congrès de la bureautique» à Grenoble). Ce sera la CEMAB. Cette entreprise deviendra très rapidement l’une des plus importantes sur le marché, avec l’introduction en France du traitement de texte, du copieur à papier ordinaire et de la télécopie. Sa clientèle est en grande partie composée de Mairies vivant de l’argent de vos impôts et de Comités d’entreprises communistes. Ces «sociétés capitalistes» apporterons une «aide» quant au choix des matériels pour répondre aux besoins et à la maintenance. En 1975, tout en conservant la direction de la CEMAB, il devient le directeur de marketing du groupe GIFCO qui fédère une dizaine d’«entreprises» du Parti communiste : Socopap, Socopap équipement, Soparéco, AGPP, CEMAB, concernant les biens d’équipements et fournitures notamment à Villejuif et d’autres concernant le bâtiment à Paris. En 1978, il quitte le Parti communiste français et, bien entendu, ses responsabilités, car ses dirigeants, Marchais en tête mais les autres suivront la même voie et l’on voit où cela les a mené le Parti, crieront à tue-tête que ces entreprises n’existent pas. Il eut été tellement plus juste, plus motivant, plus sain de montrer ce qu’elles avaient apporté: aux anciens élu communistes, du travail et des sous volés dans la poche du contribuable; au parti, les gras «moyens» de sa politique, le pognon de Moscou devenant rare; aux peuples dit «en lutte pour leur liberté», y compris l’Espagne de Franco et le Viêt-Nam, une aide constructive c’est-à-dire encore une fois du pognon piqué aux contribuables Français pour aider à faire plus des 100 millions de victimes connues à l’époque (quels aveux, décidément quand Maurice balance c’est du lourd. Maurice qui a quitté le Parti communiste dit français s’emploie alors à gérer une association de réinsertion d’enfants handicapés ou mal dans leur peau, voire ressortissant du ministère de la justice, par le sport.
Vous en voulez encore ? Bon alors un petit dernier pour la route ! Jean-Claude Willem inénarrable ancien maire communiste de Seclin relaxé en mars 2003 de poursuites pour discrimination envers une nation alors qu’il avait demandé aux services de restauration Seclinois de boycotter les produits israéliens, le camarade marxiste-léniniste Jean-Claude Willem avait été condamné en appel (interjeté par le Garde des Sceaux) à verser une amende de 1000 euros. Son pourvoi en cassation rejeté, l’ancien maire humaniste de Seclin avait décidé, au nom de la liberté d’expression (si chère aux collectivistes), de saisir la Cour européenne des droits de l’homme contre l’État français. Cette dernière l’a débouté. Le maire communiste de Seclin a donc bien été condamné pour incitation à la haine raciale antisémite. Allez une petite prime : Voir ici les communistes racistes antisémites de Perpignan.
Monsieur François Munier qui le 25 août 2015 disait en parlant de moi : «Comme il réitère ses accusations contre le MRAP régulièrement, il n'y a pas prescription et des plaintes sont toujours possibles». Mais bien sûr... et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu... sans compter que fluctuat nec mergitur et alea jacta est, ce qui veux dire comme chacun sait : Allez jacter à l’Est !
Et là surprise ! Le 26 août à la suite de son article monsieur François Munier présumé (Par monsieur MRAP40, attention faut suivre…) président du comité Nancéen d’un MRAP tout autant présumé «fantomatique» ( Comme le fameux MRAP de la ville du tricot… Pau), vient encore une fois casser la baraque à ce bon monsieur MRAP40 par un petit commentaire honnête : «Précision complémentaire : dans cette affaire, il n'y a pas eu condamnation pour "incitation à la haine raciale", mais pour des attaques violentes (injure et/ou diffamation ?), contre trois personnes» (Là, monsieur Munier, bien que ne partageant pas vos idées (quoique, va savoir, tout le monde ne peut toutefois pas devenir un Raymond Aron, un Albert Camus ou une Jeanne Hersch), je doit reconnaître votre honnêteté et vous présente mes plus sincères remerciements). Bien sur je reconnais avoir traité le dirigeant et 2 ou 3 «militants» du MRAP des Landes de : « gonadoclastes payés par le contribuable Français faisant partie de cette race de parasites vivant de subventions publiques dilapidant l’argent des citoyens pour subventionner des entreprises staliniennes de déstabilisation de nos valeurs pour les remplacer par la dictature d’un sous prolétariat immigré» ! Voilà toutes les «injures et diffamations» proférées. Le tribunal stalinien de Mont de Marsan aurait du tenir compte de l’exceptio veritatis ! Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que d’aucuns s’en prennent au Mrap des landes.
Ah; nom d’un petit bonhomme, comme au lieu de les avoir traité de «casse-couilles» j’aurais aimé, si je l’avais su avant, d’enculés de leur «race», il y a bien chez nous des humanoïdes qui niquent ma "race" alors ? En effet, en juin 2005 le tribunal correctionnel de Paris a estimé que l'insulte  «Enculé de ta race» n'était pas raciste, dans un jugement qui considérait que cette injure «extrêmement grossière» ne stigmatisait pas l'origine de l'autre.
La 17e chambre du tribunal correctionnel tout à fait politiquement correcte avait à statuer sur la plainte du président de l'association des commerçants du marché aux Puces de Paris (18e arrondissement) David Chekroun, pour injure à caractère racial après avoir été traité d'enculé de ta race par un autre commerçant, Omar Hatem.
Dans ce jugement rendu le 23 juin, le tribunal a d'abord relevé que cette insulte «est assez largement répandue dans certains milieux, notamment chez beaucoup de jeunes gens, quels que soient leur «origine» ou leur «sentiment d'appartenance». Ils n’allaient pas fréquenter les quartiers populaires les «juges» !
Sa portée sémantique ne peut être appréciée sans se pencher sur ses conditions de formation et d'usage, faisait remarquer le tribunal qui se livrait ensuite à une véritable leçon d'analyse lexicale.
Comme vous pouvez le constater une fois de plus les adorateurs de Mahomerde avaient déjà il y a dix ans tous les droits, les dhimmis, les sous chiens, les juifs et les blancs celui de fermer leurs gueules.
Imaginez simplement que ce soit l'insulté Chekroun qui ait dit cela à Hatem, le MRAP, la LDH et consorts auraient hurlé au racisme !
Ici ce n'est qu'une simple question de syntaxe et d'usage de la langue.
«Exprimant généralement un violent dépit mêlé d’une incoercible colère, elle est indifféremment utilisée sous forme d'interjection -la présence d'un tiers n'est pas indispensable- ou d'insulte particulièrement blessante, l'origine du tiers victime n'étant alors nullement déterminante», selon le jugement.
En effet, «comme d'autres insultes de la même veine, désormais devenues courantes -sinon communes- telles que «ta race, fils de ta race ou putain de ta race», l'expression poursuivie ne stigmatise par l'origine particulière ou identitaire réelle ou supposée de l'autre en le renvoyant à la «race» imaginaire de tous ceux que le locuteur entend, à cet instant, distinguer de lui», a estimé le très politiquement correct tribunal.
«En renvoyant son interlocuteur à une «race» -mot à très forte charge émotionnelle et unanimement proscrit- non autrement qualifiée, ni précisée, le propos se veut performatif, faisant naître sur l'instant la «race» métaphorique et indistincte des gêneurs et des fâcheux à maudire», a souligné le tribunal qui a remarqué d'ailleurs que «le spectacle de la rue ou sa transcription cinématographique ou littéraire» démontrait que cette insulte pouvait être utilisée entre deux personnes de même origine (de même «race» ?).
Pour le tribunal, «ni la légitimité, ni la nécessaire vigueur de la répression du racisme et de l'antisémitisme ne sauraient s'accommoder de tenir pour raciste ou antisémite une injure publique qui ne l'est ni intrinsèquement, ni au regard des circonstances dans lesquelles elle a été proférée».
De ce fait, Omar Hatem a été relaxé.
J’aurais bien voulu moi aussi exiger du MRAP, de la LDH et autres officines agissant dans le même sens, qu'ils établissent, comme il existe des règles de savoir-vivre admises par tous, mais pas toujours appliquées, des règles de l'anti-racisme afin que nous sachions, nous les susceptibles de, à leurs dires, «racisme», à quoi nous en tenir.
En effet lorsqu'un étourdit ou un peau de couille inconscient vous rentre dans le vôtre avec son véhicule, vous l'apostrophez ainsi : «espèce de sale con où as-tu appris à conduire». A n'en pas douter le terme «sale con» est une insulte et en fonction de la couleur des cheveux et des yeux du fautif, elle peut devenir insulte raciste avec l'adjonction du «où as-tu appris à conduire», laissant ainsi entendre que peut-être le permis du fautif est faux ou horresco referens, qu’il l’a passé à l’étranger ! Et pourtant cette sortie est une saine réaction pour l'équilibre psychologique de celui qui a subi l'accident. Nul n'ignore l'effet du psychologique sur l'état physique. Aucun médecin dûment patenté par l'académie de médecine de chez nous ne vous dira le contraire, le bon moral est excellent thérapeute complémentaire au médicament. Cette insulte est donc nécessaire, car ayant subi un choc psychologique et en l'absence de tout psy au moment du drame, nous ne pouvons bénéficier d'un suivi psy pour évacuer de manière médicale le traumatisme subi. Or donc l'insulte ou le dénigrement malveillant bien que thérapeutique devra être codifié en raciste et non raciste selon le cas, car le malade lui ne sera pas en état de réfléchir avant de la lancer. Ainsi une règle ou même sept pour faire bon poids appris par coeur comblera la lacune.
Mais bon, mea culpa, mea maxima culpa, ce n’est pas pour moi aussi la première et la dernière fois que la secte MRAP organisation politiquement correcte synonyme d’arme de guerre idéologique du marxisme culturel me fait effectivement condamner pour diffamation (attention hein, diffamation et seulement diffamation, comme le souligne cet excellent et très honnête monsieur Munier : Je précise bien ici que malgré les élucubrations abracadabrantesques de tout un tas de peigne-cul et autres acharnés liberticides «antiracistes», je n’ai jamais été condamné pour incitation à la haine raciale !) sur la toile et il est vrai qu’en 2005 (Déjà 10 ans) je fus condamné à 4500 Euros d’amende pour avoir dénoncé dans des termes un peu vifs des «militants» du MRAP sur le Forum sioniste Zone Libre (Forum aujourd’hui fermé). J’y dénonçait l’antisémitisme forcené de ces nauséabonds activistes communistes et marxistes culturels qui appelaient sur leur sites et blogs à faire de «Grands Barbecues de drapeaux Israéliens» et publiant des photos de leurs manifestations de haine avec une foule d’individus de religion musulmane revêtu de l’immonde et ridicule «parure» antisémite, le keffieh porté par les arabes des territoires disputés, brandissant des photos de l'hideux lieu de prosternation djihadiste sis sur le temple de Jérusalem (C’est ce que ces admirables et glorieux bélîtres  «antiracistes» politiquement  corrects  appelaient : «diffuser des messages «racistes» particulièrement odieux, principalement à l'encontre des populations arabes ou musulmanes». Allant les fourbes et les menteurs, jusqu'à ajouter «gitanes»). Condamné aussi en 2010 (déjà 5 ans) pour diffamation et uniquement pour diffamation par voie électronique envers 5 autres militants du MRAP sur des blogs aujourd’hui fermés et dont je n’étais pas l’auteur. Je signale en passant qu’aucune condamnation n’a jamais été prononcée au sujet de mes blogs actuellement visibles en ligne bien que des «plaintes» aient été déposées (poil au nez) et déclarées sans suites.
J’oubliais avoir été condamné à Mulhouse à un Euro de dommage intérêts à donner à madame Aline Parmentier Aline Parmentier secrétaire départementale du Gay Parti Communiste dit Français, merveilleuse militante de Mulhouse à Gauche condamnée la veille pour incitation à la haine raciale antisémite et ce pour avoir dit plusieurs fois que cette brave femme était une «propagatrice de la haine» !
Le grand Louis Ferdinand Destouches ne connaissait pas le MRAP et ses thuriféraires marxistes, altermondialistes, militants d’ATTAC etc. sinon il leur aurait dit : «A nous donc les balivernes ! A notre renfort tous les supposés cataclysmes ! Les ennemis rocambolesques ! Il faut occuper les tréteaux ! Qu’on ne renverse pas la cabane ! Les coalitions farouches ! Les complots charognissimes ! Les procès apocalyptiques ! Faut retrouver du Démon ! Le même à toute extrémité ! Le bouc de tous les malheurs ! Noyer le poisson à vrai dire !»
Dans un commentaire posté le 26/08/2015  par le sublime antiraciste François Munier (m’sieur Munier qui n’est pas ma tasse de thé est aussi quelqu’un de plus ou moins cultivé qui a parfois de bonnes idées) c’est aussi un «pote» à ce cher et honorable Delarue sur Médiapart le site d’ultra gauche marxiste culturel Francarabien celui-ci reconnaît nettement et sans discussion possible qu’aucun tribunal ne m’a jamais condamné pour «incitation à la haine raciale», ce qui n’est pas le cas de nombreux militants du MRAP (qui ne l’oublions pas est un «mouvement» qui distille de la haine des juifs dit souvent Mouvement pour le Remplacement Accéléré du Peuple, dit aussi Mouvement Raciste Antisémite et Populaire ou comme du temps de Mouloud Aounit le Mouvement pour le Respect et l’Allégeance au Prophète) dont ceux d'Alençon. Le commentaire de monsieur Munier qui doit rester dans les annales : «Précision complémentaire : dans cette affaire, il n'y a pas eu (Jamais au grand jamais, mon cousinage avec Théodore Schaaf né le 21 septembre 1869 à Hürth et assassiné par les nazis le 17 Novembre 1943 dans le camp de concentration de Dachau me l’interdit) condamnation pour «incitation à la haine raciale», mais pour des attaques violentes (injure et/ou diffamation ?), contre trois personnes». Attaques violentes ? Certainement pas, mais «injures» et «diffamation» par voie électronique oui ! La qualification de mes propos de «racistes» et par là même me traiter de «raciste» et même de multirécidiviste de la «haine» «raciste» si ce n’est de délinquant devant être «incarcéré» (dans un article datant de 2005 sur un site sois disant interdit en France et qui n’est pas plus ma tasse de thé on peut lire : « La solution des mrapistes (comme quoi je n’ai rien inventé) : toujours plus de flics !!! Le rêve stalinien : la liberté sous les matraques !! (…) Les mrapistes font penser à ces enfants qui entrent en fureur, font pipi par terre et se roulent dedans), les mrapistes donc, puisque mrapistes il y a depuis 2005 et qui me reprochent d’entretenir plusieurs blogs «racistes et haineux» doivent savoir que cela peut ce qualifier judiciairement mais bon, je le reconnais, je ne paye pas mes dettes et ça les mets en rage les cocos (Celle-là aussi c’est recommandé !) de la nébuleuse de la haine rouge. Pourtant moi qui lutte depuis plus de 15 ans sur internet, contre l’antisémitisme notamment ici, considéré par de nombreux sites juifs comme un original anti boycott  me voir conspué et violemment menacé par le MRAP, objet d‘une campagne de dénigrement systématique haineuse de la part d’une organisation communiste qui distille de la haine des juifs (un comble !) sans oublier certains dirigeants kapos de comité ou section de l’internationale communiste, cellule fantomatique de Pau, de Nice, de Nancy,de Mont de Marsan, Pétaouchnock, Triffoully-les-Oies, Pitchipoï ou Tataouine les Bains, s’interrogent en éructant : « faut-il restaurer la prison pour dettes, pour les seuls auteurs d'actes racistes ? » (Actes racistes=Lutte contre l’antisémitisme politiquement correct,  le communisme génocidaire et le marxisme antisémite et criminel contre l’humanité) Ah, comme on les imagine bien les mrapistofurieux, leurs naseaux de mrapistes frémissants de haine antisémite, la lippe baveuse de méchanceté crasse, téléphoner à tous leurs complices racketteurs et annoncer la couleur : cette fois, on le tient le Labet de Bornay! On voit bien leurs avocats fantasmer sur des amendes et dommages et intérêts exorbitants. On devine les petits chefaillons qui ne signe plus leurs articles que de pseudos ; piteux bachi-bouzouks à la couardise proverbiale de vieux militants communistes staliniens criminels et de glorieux fot-en-cul, annoncer à leurs munificents camarades qu’ils vont déposer plainte, et les inviter à passer à la caisse en se portant partie civile (Même seulement 30% c’est encore beaucoup d’argent détourné de la poche du contribuable). Peut-être même ces perspectives ont-elles provoqué quelques orgasmes secrets et autres érections spectaculaires chez quelques bougres d'ectoplasmes de moule à gaufres animateurs de la secte… Il est évident que comme dirait l’autre, l’engagement dans la lutte contre l’antisémitisme gauchiste et le marxisme criminel ne m’amène pas que des amis, c’est la loi du genre.
Mais poursuivons encore un instant avec nos deux protagonistes du MRAP car l’histoire est assez croquignolesque et aux augustes dires de ce bon monsieur Munier un affaire assez lamentable divise encore une fois le Mrap, le procès contre madame Saadia Ben Fakha, porte parole du Comité BDS France34 et monsieur Husein Abuzaid, cinéaste (?), auteur réalisateur, originaire de Amman en Jordanie (lui aussi porte-parole du comité BDS France34 (à deux la sainte parole antisémite et raciste de gauche porte mieux), président de l’APLR - Association des palestiniens du Languedoc-Roussillon qui a pour but les activités (politiquement correctes ?) culturelles de la Palestine vers le public Français, affiliée à l’APF - Association des palestiniens en France), procès qui aura lieu le 12 novembre 2015 à Montpellier. (En avril 2016 nos deux islamomarxistes Saadia Ben Fakha et Husein Abu-Zaid membres éminents de BDS de l’Hérault, ont droit à une ferme condamnation pour propos antisémites, incitation à la haine raciale, et négation de crimes contre l’humanité. Quelle joie, quel bonheur et dire que ces arabes sont des gauchistes ! Avec cette « affaire » nous avons là, encore une fois un exemple magistral des divisions politiquement correctes qui agite le Mouvement qui distille de la haine des juifs depuis la disparition de monsieur Aounit. En 2012 le 6 septembre, j’écrivais que la "guerre" de succession était ouverte,(confirmé par le pseudo "Vieux singe" qui serait aux dires de monsieur Delarue le pseudonyme de monsieur Munier ( faut suivre !) qui remarquait bien que la réacosphère suivait ces péripéties avec une joie sadique, comme aujourd’hui d’ailleurs !                                       Voir toutes ses bandes d’ échappés des petites maisons sombrant dans l'antinazisme primaire et un communisme destructeur se taper sur la chetron me met littéralement en joie) cette véritable «guerre» interne au politiquement correct ou règne la rectitude politique et le syndrome du garde champêtre (Expression créée par l'écrivain Robert Beauvais et ainsi expliquée dans son livre L'hexagonal tel qu'on le parle (1970) : «On sait que le garde champêtre et les autres assermentés en uniforme ayant à choisir entre "nonobstant" et "malgré", ou "subséquemment" et "ensuite" iront d'instinct vers le plus redondant, cela en vertu de la fascination que les mots exercent, depuis toujours, sur les âmes simples», cette guerre continue encore aujourd’hui, 2 ou trois personnages voulant toujours devenir « Calife à la place du Calife» ! Extrait de l’article du 6 septembre 2012 : « En fait comme dans la plupart des mouvements marxistes, deux tendances s’affrontent, le courant Stalinien classique à la botte du Parti Communiste (n’oublions pas que le MRAP est à l’origine une organisation «de base» du PC(F) et la tendance Trotskiste de l’ex LCR aujourd’hui NPA ou Front de gauche. Les deux «commissaires politiques» sont pour le MRAP Stalinien, monsieur Kerforn, aimable Président de la Fédération du MRAP des Landes et pour la tendance «Trotskiste» monsieur Delarue (Fonctionnaire de l’administration fiscale ex membre de la LCR) Fondateur de MRAP Pluriel. Nous verrons plus loin que chacun de ces délicats  personnages prennent pour accéder au pouvoir le prétexte de «l’islamophobie» en s’en accusant mutuellement.
Ce «prétexte» d’islamophobie est l’arbre qui cache la forêt antisémite, car les militants du MRAP, quel que soit la tendance, restent des marxistes fondamentalement liés à la résurgence de l’antisémitisme Cliquez ici pour voir le cas du MRAP des landes. Cliquez ici pour voir la position nettement antisémite de monsieur Delarue.
Le drame dans tout cela c’est que ces généreux individus marxistes se mêlent de liberté d'expression sur des critères qui leur sont personnels et très souvent de très mauvaise foi, camouflent leur antisémitisme communiste viscéral sous le paravent de l'antisionisme. Ces censeurs du politiquement correct marxiste culturel ne sont que des ayatollahs d’une vertu qui se pose comme un terrorisme intellectuel anti français».
Bon je vous la donne la chanson cubaine Chupi-Chupi Cliquez ici.                                                                                 Voyons donc l’affaire Saadia Ben Fakha et Husein Abu-Zaid par quelques extraits la déclaration du «comité» antisémite dit BDS 34 du 19 Mars 2015  (voir ici sur la page de Farah AZ une militante Algérienne raciste et antisémite à l’origine des publications odieuses sur Internet) : Jusqu’au mercredi 18 mars après-midi nous ignorions – officiellement - que c’était la LDH Montpellier qui avait porté plainte contre Saadia. D’autant qu’au départ nous étions deux personnes visées par Sophie Mazas, la présidente de la LDH Montpellier:
Saadia Ben Fakha, porte-parole du comité BDSFrance34 et Husein Abuzaid, également porte parole du même comité et président de l’association des Palestiniens du Languedoc-Roussillon.
Le 6 août vers 20h nous avons été successivement contactés au téléphone par un ami commun, suite à un appel téléphonique de la présidente de la LDH Montpellier, qui l’a informé de la présence sur notre page FB à l’endroit d’une photo d’un texte totalement inadmissible.
Nous avions effectivement partagé la photo
(pour la voir cliquez ici) (…) nous avons cliqué sur la photo et découvert le texte qui lui était attaché : «Les nazis et les sionistes sont deux revers de la même médaille, ce que fait le sionisme l’a déjà fait le Nazisme au millimètre près ; c’est la même école» «Ce que faisait Hitler aux juifs était fait exprès pour que le monde sympathise avec eux et leur donne tous les droits, jusqu’aujourd’hui ils nous sortent cette histoire d’Hitler (Shoa) ils ont tout eu à cause d’Hitler» «Ce que faisait Hitler aux juifs était voulu et prémédité pour un but bien précis, une tactique propre aux juifs comme le grand mensonge du 11 septembre et bien d’autres…Ils ont sacrifiés quelques juifs pour avoir tout ce qu’ils ont aujourd’hui, Hitler a participé à la colonisation de la Palestine, il faisait partie du plan» «La relation d’Hitler avec la famille Rothschild cette famille juive et satanique qui possède toutes les terres de la Palestine et qui est l’une des plus puissante famille au monde».
Nous avons immédiatement effacé de notre mur la photo et le texte qui lui était attaché (…) nous ne comprenons pas aujourd’hui l’acharnement à vouloir (nous) faire juger et condamner … Bon d’accord, ce n’est pas moi c'est ma main !  

                     
Selon le MRAP des Landes, nos deux présumés antisémites ont partagé sur leur page Facebook en août 2014 une image ici, avec un texte qui lui était attaché dont le contenu était à l’évidence comme on vient de la voir antisémite, image et texte mis en ligne par un pseudo arabe sur une page raciste et antisémite situé en algérie Farah AZ dont la page s’orne de drapeaux Palestiniens comme à Londres ou les néonazis défilent avec les mêmes. Remarquez qu’il ne manque rien au MRAP des Landes qui défile comme les néo nazis Anglais drapeau Palestinien en tête.
Très nettement on lisait sur cette image un texte antisémite effroyable: «Ils racontent qu’Hitler avait exterminé 6 millions de juifs ; c’est pour cette raison qu’ils ont demandé de trouver un pays pour les pauvres juifs…» Image raciste et antisémite diffusée par Farah AZ. La suite est dans la même veine comme vu plus haut. 



Essai d’ethnologie politique en forme de bonum factum.
Par Michel Alain Labet de Bornay



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