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jeudi 30 janvier 2014

François est mort !





Pas de fausse joie, il ne s’agit pas d’Hollande ni du Pape, mais de mon maître François Cavanna. C’est juste triste.

A cause du PS et d' Hollande les fleurs ne sont plus dans mes moyens, tant pis t'en aura pas François Cavanna ma vieille canaille!



mercredi 30 mai 2012

Racist Muslims desecrate a Catholic Church and the faithful throw stones.

On May 26, 2012, while in Carcassonne, Father Roger Barthes began to celebrate Holy Mass, four "young" racist (1) Muslims of North African origin to the behavior of fascists broke into the place of Catholic worship in this case the Church of St. Joseph, before throwing pebbles at the 150 worshipers attending the service.

In France there has ideas that reek of shit
This is only a "news item" trivial cloth for the Marxist cultural Midi Libre reported in its May 27 edition of this extremely serious incident during the early celebration of Mass of Pentecost in the Church of St. Joseph Carcassonne.

Jets "handles stones" - understatement to say stoning - real racist act committed by anti Christian "youth of North African origin" who broke into the church during the celebration. Will there soon be the bishop celebrate a new "Mass of Reconciliation", in the presence of the local imam to thank him? "Reconciliation" of who and what? It is rather a Mass of reparation for the desecration and insult committed right thing.

Again racist hate speech parasites MRAP and SOS Racism and the Left Front candidates pro Islamist and anti-Christian. have borne fruit.

(1) In France thanks to the wonderful laws of socialist and communist Gayssot Fabius' Constitutes a racial discrimination any distinction made on account of the origin, or membership or non membership of a person to an ethnic group, nation , race, or religion. "

Michel Alain Labet de Bornay

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mardi 13 mars 2012

De quoi je me mêle ?


Des députés du parlement de l’état d’Israël sont inquiets de la soit disant et prétendue volonté de « légiférer » contre (sic) le judaïsme en France. En France ? Oui vous avez bien lu en France ! Mais de quoi je me mêle ? Est-ce que des députés Français se rendent en Israël pour voir si tous les préceptes de la religion catholique romaine sont bien respectés en Israël, Paul dans sa première épître aux Thessaloniciens 2,14-15 précise bien que : « Ce sont ces Juifs qui ont fait mourir le Seigneur Jésus et les prophètes, qui nous ont persécutés, qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes ». Verra-t-on des députés Français allez « pleurer misère » et vérifier si les Juifs modernes, en faisant profession de leur judaïsme, s’affirment toujours indirectement comme co-responsables du crime scandaleux du Golgotha, et ne méritent donc pas qu’un chrétien, si du moins il se veut conscient des exigences de sa religion, leur exprime un hommage particulier ou leur accorde une quelconque autorisation ou dérogation aux lois de la république pour pratiquer leur « religion » archaïque, attitude que l’on rencontre malheureusement assez souvent chez les chrétiens modernes, bien qu’elle soit pourtant singulièrement déplacée et profondément injustifiable. Ainsi, les Juifs, incrédules envers la divinité du Christ, constitueront après la chute de Jérusalem un judaïsme talmudique, rabbinique et pharisaïque qui, plus qu’une religion proprement dite, sera en fait une lignée extrêmement hostile au christianisme comportant des thèses qui se traduisent par une extraordinaire violence comme on peut en juger  : « Tous les chrétiens doivent être tués sans en excepter les meilleurs » [Zohar I, 219 b] ; «Le meilleur parmi les Goïm mérite d’être mis à mort» [Abhodah Zarah 26 b Tosephoth] ; « Efface la vie du chrétien et tue-le. C’est agréable à la Majesté Divine comme celui qui offre un don d’encens» [Sepher Or Israël, 177 b].

Les rabbins Israël Eichler (Judaïsme de la Torah), David Azoulay (Shas) et le député Jacob Edery (Kadima) se sont envolés pour l’Europe afin de tenter de défendre ce que ces joyeux drilles atteints d’encéphalite spongiforme religieuse (*1) nomment la liberté de culte dont les Juifs ont pu bénéficier jusqu’à ce jour sur ce continent.
Ils sont officiellement mandatés par la Knesset (*2). L’objectif de ce voyage est de sensibiliser des parlementaires pour chercher à faire annuler le décret (*3) qui menacerait les Juifs (sic) en Europe. Mais non amis, le décret ne menace nullement la communauté juive Française qui compte environ 700.000 membres et ou seuls 10 à 15% consommeraient strictement casher.
Non ; ce sont les rabbins qui craignent pour leurs sous ! Leurs revenus colossaux ! Le prix de la viande dite « casher » est plus élevé car les exigences « religieuses sont très strictes et une grosse partie du prix sert à financer les « autorités » rabbiniques. La taxe rabbinique est de 300 à 400 euros tous les deux mois, selon la superficie du commerce, se rajoute pour la viande une taxe au prorata des kg de viande achetés. Et pour être labellisés Beth Din, les commerçants doivent embaucher un surveillant rituel, à demeure et à plein temps appelé shomer ; Bientôt les shomers au chômage ?


Il faut savoir que le marché de la viande « casher » ne peut pas fonctionner économiquement sans des consommateurs non juifs (Les dindons de la farce !). En effet les règles très strictes de la cacherout font rejeter hors de la filière 2 carcasses sur 3. De plus, du fait de la proscription portant sur la consommation des parties interdites dont le tendon inguinal, c'est-à-dire le nerf sciatique. Cette opération, pratiquée quasi universellement jusqu'au XIXe siècle, étant délicate et peu rentable, la viande possédant un aspect « déplaisant » suite à celle-ci, les autorités rabbiniques européennes, ainsi que le grand rabbin de New York, ont jugé préférable de déclarer les parties arrières des animaux impropres à la consommation, et les bouchers les remettent dans le circuit de distribution des viandes non kascher ce qui constitue une tromperie sur la marchandise. Ces parties, qui s'étendent jusqu’à la huitième côte pour les bovins, et incluent les rumsteck, filet, faux filet, bavette, onglet, entrecôtes et côtes, sont les morceaux de première catégorie, les plus tendres de l'animal. Si ces meilleurs morceaux étaient difficilement revendus aux non juifs à cause de l’étiquetage, les modèle économique de la filière casher s'effondrerait et par là les énormes revenus des rabbins !
Les autorités « religieuses » rabbiniques demandent généralement aux sectateurs de leurs « religion » qu’ils respectent un certain nombre de règles de façon à gagner leur vie. Certaines de ces règles concernent l'alimentation et les aliments autorisés ou non. L’application de ces règles fait partie de la liberté religieuse de chacun, tout comme de donner au denier du culte. Mais il arrive que ces sujets débordent de la sphère privée vers la sphère publique et c’est le cas dans cette affaire et je ne vois personnellement aucune raison de financer quelque « culte » que ce soit !
La délégation doit rencontrer des rabbins et des parlementaires à Paris, des membres du Parlement européen à Bruxelles, ainsi que des représentants du pouvoir néerlandais, dont le bas parlement vient d’interdire un prétendu « abattage rituel ». «Nous n’avons pas le droit de donner aux nations du monde l’impression qu’il est possible et même rentable de s’attaquer à l’abattage juif. Il faut se mobiliser partout dans le monde car si une loi qui porte atteinte aux droits des Juifs est votée dans un pays, elle peut déclencher une avalanche», a déclaré le député Israël Eichler.
Je suis sioniste, défend l’état d’Israël envers et contre tout et tous, mais là, je ne suis plus d’accord pour financer des « cultes » qui ne concernent que la vie privée des gens !
C’est assez de ces « religions » qui interfèrent dans la sphère publique ! Il convient donc d’interdire purement et simplement comme aux Pays Bas l’abattage rituel sur le territoire national Français !

(*1) A l'attention des humains qui souffrent de cette grave maladie !

Connue comme ESR ou "Maladie du Fou de Dieu,de Jéhovah, de Staline ou d'allah" persiste à l'état endémique dans toute les régions du monde traditionnellement monothéistes, soit essentiellement l'Europe, le bassin méditerranéen et les Amériques.

Cette dégénération du cerveau résulte de l'absorption de Farines Religieuses. Ce redoutable substitut d'éducation est souvent donné aux enfants des zones touchées par la maladie, avant qu'ils n'aient pu atteindre le développement complet de leur intellect et les effets sont alors dévastateurs. Qui n'a jamais vu ces images terribles de foules de jeunes au cerveau spongieux acclamant en levant les bras ou brandissant le poing un vieillard impotent qui radote des absurdités sur la sexualité ou sur l'économie mondiale ? Ou ces groupes de mâles au cerveau spongiforme qui s'enferment pour la vie dans un enclos jurant pauvreté, abstinence sexuelle et obéissance à vie ? Ou encore ces gens qui lisent une phrase banale d'un bouquin du genre "Dieu fit X. Dieu vit que cela était bon" avant de commencer à glousser d'émerveillement en levant les yeux au ciel ? Ou même de ces barbares qui au nom d’un « Dieu » ou prétendu tel, égorgent des animaux en les faisant souffrir de façon atroce.




La dégénération du cerveau entraîne une perte sélective de l'esprit critique. Ainsi, le patient se met à croire à tout ce que disent les gens qui portent des uniformes de généraux avec des médailles dessus, des robes, des chapeaux bizarres (ou des turbans, foulard bariolés ou torchons de cuisine noirs dans certains cas). Le sujet devient victime de manipulations mentales: les décorés de l'ordre de Lénine, les enturbannés ou les porteurs de chapeaux bizarres le convainquent facilement de commettre des actions contre son intérêt bien compris: renoncement à une vie sexuelle saine, paiement d'impôts ecclésiastiques ou populaires, "dons" à des pervers sexuels parlant d'une voix mielleuse, torture animale etc.

Diagnostic :

Comment savoir si vous êtes atteint de l'Encéphalopathie Spongiforme Religieuse ? Si vous répondez oui à 1 ou 2 des questions ci-dessous, vous êtes atteint d'une forme bénigne. 3 réponses positives ou plus indiquent un danger grave et la nécessité de soins rapides:

·         Vous avez la conviction qu'une vierge peut rester vierge après avoir eu plusieurs enfants, et que cela est arrivé au moins une fois dans l'histoire.
·         Vous dites "il est écrit que" puis citez une phrase d'un vieux livre écrit en hébreux, en arabe, en latin  ou en grec plus d'une fois par jours
·         Vous êtes convaincu que la mort n'est qu'un "passage" vers Sirius ou vers un quelque autre au-delà
·         Quand un vieillard impotent et complètement gâteux  raconte des âneries sur la sexualité, vous écoutez attentivement, si et seulement si le dit vieillard a un habit blanc ou rouge et porte un chapeau bizarre
·         Vous pensez qu'un amalgame de quelques cellules est pensant et mérite autant de respect qu'un être humain si et seulement si cet amalgame de cellule résulte de la fécondation d'un ovule (humain) par un spermatozoïde (humain également), et que même le congeler est une horreur
·         Vous pensez que quelques part un être tout puissant et créateur de l'univers veille sur vous personnellement, pauvre mammifère parmi des milliards de mammifères habitant une planète insignifiante
·         Quand vous vous regardez dans un miroir le matin, vous ne pensez pas "Voici un Homo Sapiens Sapiens, primate de la famille des grands singes", mais "Voici l'être crée à l'image du Dieu tout puissant, placé par lui au sommet de la création"
·         Quand vous entrez dans un édifice de cultes catholique, vous plongez votre main dans le bassin d'eau à l'entrée, ignorant les dangers posés par les bactéries fécales des gens qui ont fait ce même geste avant vous alors que, eux, ils ne se sont pas tous lavés les mains après avoir été aux toilettes
·         On vous dit "Dieu est un Dieu unique et 3 personnes et une seule" et vous ne brochez pas
·         Vous partez en voyage pour voir un endroit ou une vierge est apparue et a dit des banalités à des enfants ou en plein désert tourner comme un imbécile autour d' une tente ou ce trouve un morceau de météorite.
·         Vous attribuez au Diable des agissements de vos contemporains que vous ne comprenez pas. 
Thérapie :

La thérapie d'une maladie aussi terrible n'est pas chose aisée. Le soussigné recommande les étapes suivantes:

·         Abstention de la consommation de Farines Religieuses :Cassez vos télévisions, pas de bible, ni de Corranneries, plus d'absorption de médias marxiste, plus de lecture de l' Humanité,, pas de visites à des lieux de cultes monothéistes pendant au moins 30 jours
·         Substitution des Farines Religieuses par une nourriture spirituelle plus saine: lecture de livres de philosophes non monothéistes, grasse matinée le vendredi, le samedi et le dimanche matin, Ricard 4 à 5 fois par jour (sec et sans eau) 2 Litres de vin rouge par jour, croire ou ne pas croire il faut choisir, manger saint, choucroute cassoulet, saucisson, lecture de livres d'introduction à des religions non monothéistes, livres sur l'évolution et les autres primates avec lesquels nous partageons la planète
·         Une fois que le cerveau commence à retrouver ses facultés critiques regardez à nouveau les dogmes auxquels vous avez cru: tout seul, en toute discrétion. Ils vous feront rire. Le rire est la meilleure des thérapies.
·         Se regarder dans le miroir et se demander en toute franchise: "Vois-je là l'être crée à l'image du Dieu tout puissant, sommet de la création, ou un primate de la famille des grands singes ?" Si vous voyez toujours pas le grand singe c'est que vous êtes petit ou que vous êtes affecté de narcissisme pathologique, voir un psy.
(*2) La Knesset (Assemblé est le parlement monocaméral de l'État d'Israël. En tant que parlement, la Knesset est la détentrice du pouvoir législatif en Israël.

(*3) Appelé à tort casher, l’abattage rituel juif est  la shehita (hébreu : « occision ») c’est le rite d’abattage par jugulation qui rendrait ainsi les animaux (bétail, gibier et volaille) purs (sic) propres à la consommation alimentaire et anciennement, à être offerts devant Dieu ( ?).
Pour écarter les risques d'abus dans la pratique d'abattages rituels sans étourdissement, qui se feraient pour des raisons purement économiques ou pratiques, le gouvernement Français a estimé nécessaire que ces opérations d'abattage fassent l'objet d'un meilleur encadrement. A cette fin, un décret et un arrêté ont été publiés le 29 décembre 2011 au JO de la République française : l'article R.214-70 du code rural est complété en ce qu’il exige une autorisation préalable à la réalisation d'abattage sans étourdissement dans le but de limiter l'usage de la dérogation à l'obligation d'étourdissement aux seuls abattages rituels.
 L’OABA se félicite de voir enfin le gouvernement prendre acte que l’abattage rituel sans étourdissement est et doit rester une pratique dérogatoire. En conséquence, ce type d’abattage nedoit être mis en œuvre que pour une production identifiée de viandes ou abats, liée à une consommation halal ou casher. Dans ce but de vérification, le décret du 28 décembre 2011 impose aux établissements d’abattage de disposer « d’un système d’enregistrements permettant de vérifier que l’usage de la dérogation correspond à des commandes commerciales qui le nécessitent ».
L'exploitant d'un abattoir qui souhaite déroger à l’obligation d’étourdissement préalable des animaux dans le cadre d’abattages rituels doit désormais déposer une demande préalable d'autorisation auprès du préfet (DD(CS)PP) du département du lieu d'implantation de l'abattoir.
Liste des abattoirs Français
Les abattoirs réalisant déjà de l'abattage rituel sans étourdissement et souhaitant poursuivre leur activité, doivent obtenir cette autorisation avant le 1er juillet 2012, date d'entrée en vigueur du décret.
 Enfin, à la demande de l’OABA, le décret du 28 décembre 2011 a mis fin à une scandaleuse incohérence de notre système répressif. En effet, jusqu’à ce jour, l’abattage rituel en dehors d’un abattoir ne constituait qu’une contravention de 5ème classe (art. R. 215-8 I du code rural) alors que l’abattage « classique » en dehors d’un abattoir constituait un délit (art. L. 237-2 I du code rural). Le motif religieux de l’abattage hors abattoir constituait ainsi une excuse atténuante de responsabilité pénale !
Désormais, tout abattage en dehors d’un abattoir constitue le délit prévu et réprimé de 6 mois d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende par l’article L. 237-2 I du code rural.
Les principes constitutionnels de laïcité et d’égalité des citoyens devant la loi pénale sont donc enfin rétablis !
Pour lire le décret : http://www.oaba.fr/pdf/reglementations/Decret_Arrete_28dec2011.pdf

 En savoir plus sur le Hallal et le Cascher en France

Nous mangeons tous cascher!

Michel Alain Labet de Bornay.
Copyright 2011. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). (Trade Mark).
Secrétariat technique de l’Association de défense des identités Françaises.
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Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter ? Des sous à nous envoyer ? Écrivez à : frenchlibertarian@gmail.com


mercredi 24 juin 2009

L’islam ? Des corranerries !



Ça c’est du blog !



http://ilikeyourstyle.net/2009/06/24/religions-monotheistes/



Extrait : « Un jour, une femme vient trouver Mahomet et lui dit : Maître, je sais bien qu’entre un conseil d’administration, un massacre de chrétiens et un viol de fillettes pré-pubères, vos lourdes responsabilités vous laissent fort peu de temps, mais je souhaiterais obtenir de votre haute bienveillance une entrevue de quelques minutes. Mahomet lui fait : quoi, quoi ? kessta, toi ? dérange-moi pas, allez, dégage. Alors la femme s’en va. »

Un bon lien: http://anticommuniste.blogspot.com/2009/06/decouvrez-les-nouveaux-antisemites.html

mardi 19 mai 2009

Libertarien.

Beaucoup de blogueurs s’interrogent et me posent des questions par email sur ce qu’est le libertarianisme qu’il connaissent très mal. (Aussi mal qu’un communiste ou un socialiste que l’idéologie d’un Marx qui n’ont pas lu) Il existe bien sur plusieurs courants libertariens ainsi, je suis un libertarien, anarchiste illégaliste (1), minimaliste, zététicien (septique) (http://fr.wikipedia.org/wiki/Z%C3%A9t%C3%A9tique ) et kunique ( cynique) comme Diogène ( 2) .
Ceci étant dit pour justifier mon discours (discours qui n’engage que moi et qui n’est qu’une pensée politique personnelle susceptible de critiques ) A la table du libertarianisme, tout anarchiste, demandant la disparition ou la mise en place d’une simple structure minimum des trois ou quatre fonctions régaliennes de l’état, est le bienvenu.
Pour en savoir plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophie_libertarienne
Réponses à certaines questions que l’on m’a posées :

Première question :
Et quel (quelle) est la définition exacte de libertarien ?

Je pourrais vous répondre: « libertarien bon à tout bon à rien », non, voir ici :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophie_libertarienne#De_Liberal_.C3.A0_Libertarian

Article qui amène évidemment une deuxième question, que nous dirons piégeuse en diable par les temps qui cours ( Oh tempora oh mores !), en m’engageant sur la voie des choses qui fâchent et qui sont des sujets que nous diront « sensibles » en ce début de 21ème siècle : "Le 21ème siècle sera religieux ou ne sera pas", avait coutume de dire André Malraux.
Il avait sans doute oublié ou pas pensé que la religion, de tout temps, s’est imposée par la violence. Aucune croyance ne fait exception. On pourrait penser que certaines doctrines venues d’Orient sont bien plus pacifiques que d’autres et pourtant, il n’en n’est rien. Même le bouddhisme qui entraîne de plus en plus d’adeptes sur les voies de la connaissance et de la paix, en son temps, a connu ces débordements assassins. Lhassa, capitale de cette religion, a été pendant bons nombres d’années une ville fermée où sévissaient les pires des répressions, au nom du Bouddha. Encore de nos jours, une religion que l’on pourrait qualifier de sage et pacifique, une religion où l’on vénère les vaches, où l’on fait attention de ne pas écraser la moindre forme de vie, et bien dans cette religion, l’hindouisme, au nom de leur foi, des adeptes fomentent des attentats contre les musulmans.

Cette question donc, est celle-ci : « L'article de Wikipedia ne mentionne pas le positionnement des libertariens face à la religion ou l'immigration, par exemple, qu'en est il ? Y a t'il des textes de doctrine "libertarienne" relatifs à ces problématiques ? »

Ma réponse :
Je répondrai d’abord sur qui sont les Libertariens ?

"Des fous irresponsables" ? Selon certains illuminés (trop de « lumière » obscurci parfois le jugement) d'ultra gauche du Post.fr et d'ailleurs.


L'idée est répandue de l'extrême gauche à l'extrême droite, en réalité par toute la classe politique, et même chez certains libéraux. D'ailleurs j'ai dû réagir et solliciter dans un journal la publication de ma réponse à M. B. qui a écrit sur le sujet "Libertariens".

" Ses quelques lignes démontrent une ignorance crasse des principes libertariens et le problème est que, au contraire des doctrines politiques enseignées à l'école et véhiculées par les medias, les principes libertariens sont inconnus ou caricaturés. Cela va de Denis Clerc d'Alternatives Économiques qui prétend que les Libertariens sont ceux qui désirent vendre les enfants ! Aux journalistes bien-pensants qui avancent l'irresponsabilité de rigolos qui proposent de vendre de la drogue à la sortie des collèges (ouvrez les yeux c'est déjà le cas !!!).

Le lecteur en question n'est pas mieux informé mais il s'épanche plus et affirme d'aussi grosses énormités."

"Les Libertariens, comme les communistes, ne tiennent pas compte de la nature humaine. La réalité, c'est généralement la loi du plus fort, dans la nature comme chez les humains où elle prend des formes plus subtiles, mais plus profondes, plus implacables."

La seconde proposition est juste, mais la première est ridicule.

Au contraire nous Libertariens partons de la nature humaine, car tout phénomène social a son origine dans l'individu. Cet individu n'est pas un robot mais sera sujet aux affres de la nature humaine telles que les décrit le lecteur, la question qui se pose est de savoir si les États adoucissent ou accentuent ces biens vilains penchants.

Des philosophes Libertariens ou proche des Libertariens se sont penchés principalement sur la nature humaine et nul mouvement ne l'aura fait plus que le nôtre. La démarche individualiste constate avec la fable des abeilles de Mandeville que les vices privés font les vertus publiques. Autrement dit chacun ne se consacrant qu'à son intérêt propre permet aux autres de vivre de par la satisfaction de son vice ou de son bonheur individuel. L'égoïsme est d'ailleurs la vertu créatrice de l'excellence selon Ayn Rand, c'est grâce à ces égoïstes que le monde avance. Quant à juger de ce qui est bien ou de ce qui ne l'est pas, les politiciens moins que tout autres en sont capables car ils ont été corrompus par ce pouvoir que donne l'État tant le pouvoir corrompt et le pouvoir absolu corrompt absolument ainsi que le disait Lord Acton.

La suite ici : http://libertariens.chez-alice.fr/mythe.htm

Au sujet des « religions » pour lesquelles j’ai un très profond respect, mais que j’estime devoir être exclusivement du domaine privé et dont Marx disait que c’était l’opium du peuple, il convient au préalable, d’admettre que l’homme n’est pas un être de « raison » (Il peut être doué de « raison ») mais cela reste fondamentalement, un être d’émotion, avec d’énormes problèmes existentialistes (L’adaptation au stress oblige). N’étant pas toujours un être de raison touché par les « lumières », pour être « religieux » il faut et il suffit d’abord de croire en "Dieu" ou aux "Dieux" :

Qui est à mon sens et j’insiste à mon sens et pour de nombreux libertariens :

1) Un placebo pour les hommes en quête de sens et de repères.
2) Un nouveau nom du service téléphonique "Aux abonnés absents".
3) Parfois surnommé l’Arlésienne.
4) Certains « témoins » qui n’ont pas vu l’accident, le nomment : « J’ai au vache ».
5) Certains le dise : »Allah », alors, ah là, la j’ te dis pas ! Que de mots laids que tous ces mots là !

Je dirai : "Quiconque s'agenouille devant Dieu se façonne à se prosterner devant un roi." (Joseph Joubert / 1754-1824 / Carnets, tome 1)

Tous ces hommes et ces femmes, les jobards et les jobastres de s’péhy des droits de l’ôm qui croient en un « Dieu » se nomment « croyants » :

Croyant : synonyme de crédule. Homme ou femme ayant adopté, par paresse intellectuelle ou conformisme, les croyances de son entourage afin d'apaiser ses peurs existentielles. Sauf pour une minorité de cas désespérés, cet état est, heureusement, réversible.

Pour asseoir leur croyance (parasite de la conscience, logé dans le cerveau, qui inhibe le fonctionnement de la raison) les crédules utilisent de vieux bouquins qu’ils ne lisent d’ailleurs pas.

Certains pourraient penser que je défini les croyants, c'est-à-dire une grande partie de la population mondiale comme "des paresseux intellectuels candides et crédules". En gros des imbéciles. Non, pas du tout, crédule n’est pas imbécile, comme oculiste n’est pas proctologue, L’enfant est crédule, comme tout primitif; le sens du vraisemblable n'existe pas en lui; le miracle ne le surprend pas. Et les enfants ne sont pas des imbéciles, tout juste des naïfs ou des ingénus, il y en a qui reste plus longtemps « primitifs et naïfs » que d’autres, certains mêmes à vie. Il n’est pas question évidemment de porter un jugement de valeur sur l’intelligence du croyant (crédule) en raison de ses opinions religieuses, car croire sans évidence, sans démonstration, est un acte d'ignorance, seulement d’ignorance ! Et l’ignorance, ça ce soigne ! Il existe de grands prix Nobel de littérature par exemple qui sont ignorants totalement en physique, ce n’est pas pour ça qu’ils ne sont pas intelligents ! : Le crédule lui, se perd dans un dédale d'inconséquences; l'homme sensé examine, discute, afin d'être d'accord dans ses opinions; et l'homme de bonne foi supporte la contradiction, parce qu'elle seule fait naître l'évidence. Ceux qui ne supportent pas la contradiction sont donc des gens de mauvaise foi CQFD.

Ces fameux crédules (vous remarquerez amis lecteurs, que je n’écrit pas crétins !) utilisent pour asseoir leurs « croyances » de vieux bouquins.

Dont : La Bible : ensemble de livres, recueils de la tradition orale juive, écrits par des auteurs différents entre le 13ème et le 1er siècle avant JC. Pseudos historiques, poétiques (bof, faut aimer cette forme de « poésies ») et guerriers, ces ouvrages sont importants pour les juifs, les chrétiens et les musulmans, car il y est écrit que l'on doit croire en Dieu. Donc, si c'est écrit...

Et sa suite le Coran : livre « saint » et immuable des musulmans. Le coran continue. A quand un coran alternatif ?
Le Coran est aussi le nom d'un petit affluent de la Charente. Il vient de la fontaine de l'Abbaye de Fontdouce, sur les coteaux de Burie, et se jette dans la Charente presque en face de Beillant entre Dompierre et Chaniers. Sa vallée était déjà habitée au Neandertal.

Les musulmans sectateurs d’ Allah (qui est grand), (Oui bon, ça va, on le sait on est pas des bœufs), comme les papistes et autres témoins (faux les témoins, car ils n’ont pas vu l’accident) font des prières :

Prière : supplique, assimilable à un "cirage de pompe", adressée à une divinité dans l'espoir d'obtenir le détournement des lois de l'Univers en sa faveur. Les résultats de la prière confortent toujours le croyant dans sa foi. Exemple avec une prière pour obtenir un succès à un examen. Si je réussis : "Dieu m'a exaucé! Dieu est grand!", dans le cas contraire: "Dieu m'envoie un message pour me dire que je ne suis pas un bon croyant, je vais donc redoubler de ferveur. Dieu est grand!" (Ca va merde, on va le savoir qu’il est grand et sa femme aussi ! Comment ça sa femme ? Ben oui Clémence ! On dit toujours le bon Dieu et sa Grande Clémence Non ?).


Au sujet de l’immigration deuxième partie de la question, pour les libertariens, il n'existe pas de lois particulières à l'immigration. Les étrangers sont libres de s'installer là où ils le souhaitent, à partir du moment où le propriétaire des lieux accepte de les recevoir, si l'endroit en question fait l'objet d'un droit de propriété. (Garanti par les droits de l’homme et la république !) Certes, comme pour n'importe quel autre habitant, un étranger devrait pouvoir bénéficier d'un droit d'usucapion sur un bien resté libre de propriétaire, et dont il deviendrait le légitime propriétaire après quelques années pendant lesquelles il en aurait été le possesseur pacifique. Vu qu'un immigré est, par définition, une personne qui a émigré, refuser le principe de l'immigration revient ipso facto à refuser que quelqu'un puisse quitter son pays, et donc à cautionner l'idée de souveraineté étatique. De même, les immigrés sont libres de travailler là où ils le souhaitent si l'entreprise est prête à les embaucher ou s’ils créent leur emploi ou commerce. En somme, il n'y a pas de différence entre immigrés et autochtones. C'est une simple question d'isonomie, d'égalité devant la loi.( Principe Rousseauiste) (3)

Personnellement au sujet de l’immigration je pense comme Hans Hermann Hoppe qui considèrent avec méfiance l'immigration. Pour Hoppe, l'immigration actuelle découle de l'irresponsabilité des gouvernants démocratiques qui agissent comme de simples détenteurs (et non propriétaires) du territoire qu'ils administrent - à la différence des monarques propriétaires de la terre, plus soucieux, selon lui, de la rentabiliser. Dans cette logique, l'Etat providence fonctionne comme un appel d'air favorisant l'entrée d'immigrants intéressés prioritairement par les diverses allocations octroyées par les services gouvernementaux. Pour pallier ce problème, Hoppe envisage une décentralisation de l'autorité politique, confiée notamment aux villes et municipalités, qui décideraient souverainement qui peut ou non entrer sur leur territoire. Pour remédier à ce qu'il définit comme une "intégration forcée", le philosophe et économiste préconise donc une forme de discrimination coercitive et, partant, un contrôle politique de l'immigration.

Quant à juger de ce qui est bien ou de ce qui ne l'est pas, les politiciens, les censeurs et les journalistes moins que tout autres en sont capables.

En conclusion je dirai comme F. Bastiat en 1849 :
« Mon Dieu ! Comme il est difficile, en politique de prouver que deux et deux font quatre... et quand vous avez prouvé cela, on vous dit: "c'est tellement évident que c'en est ennuyeux". Et puis, on vote comme si vous n'aviez rien prouvé ».

Voyez vous, les religions fondées sur de prétendues révélations « divines », comme le judéo christianisme et l'islam, fondamentalement sur le plan du respect des libertés et je suis profondément attaché aux libertés, notamment celle de critiquer librement touts les religions et donc à ce sujet des libertés ce n’est vraiment pas ça.















































Toute pensée collectiviste, de surcroît celles qui distinguent entre des catégories absolues comme les élus (et les zélus socialistes) et les autres, les bons croyants et les mécréants infidèles, les militants ( idiots utiles) et le peuple ( les gogos), ceux qui suivent les commandements divins( les candides) ou ceux du parti ( les vilains) et ceux qui les ignorent, ( les gentils) versent systématiquement dans l'intolérance lorsque des « zélés » ou des « zélus » sont aux commandes (ce qui arrive inévitablement à un moment ou un autre). Chacune de ces religions et idéologies a bien sûr connu ses heures de gloire où le pluralisme et la raison ont brièvement dominé. Mais on peut se demander si la structure même de l'idéologie religieuse et politique ne mène pas inévitablement, à terme, à l'intolérance et au déni de la liberté individuelle. C’est ce qui arrive aujourd’hui en France avec l’idéologie socialo islamique soutenue par un néo marxisme pervers.

Les « vérités »marxistes, chrétiennes ou musulmanes ne sont en effet pas n'importe quel argument brillant auquel des penseurs mortels et qui peuvent se tromper sont arrivés par un simple exercice de raisonnement: ce sont, si on accepte leur logique (sic), les opinions du présume Créateur lui-même, qu'elles aient été transmises directement ou par l'entremise d'un prophète ou d’un idéologue. À plusieurs reprises dans l'histoire des religions révélées et des idéologies socialistes collectivistes, des autorités convaincues de leur bon droit, ont persécuté ceux qui refusaient de se conformer à leur interprétation des dogmes. Dans la logique des zélés, quelle importance peut bien avoir en effet une pauvre créature détournée du droit chemin, en face de la nécessité de se conformer aux commandements de Dieu et de les imposer à tous?
























Et maintenant j’attends avec impatience que vous, bons lecteurs pleins de tolérance pour les opinions des autres et par des arguments constructifs me démontriez que j’ai tort ! Par exemple la preuve de l’existence de ce que vous nommez Dieu (SVP pas de preuve ontologique, merci d’avance)

Je terminerai par une citation de Boileau-Despréaux. : « En vain contre le Cid un ministre se ligue - Tout Paris a pour Chimène les yeux de Rodrigue - L’académie en corps a beau le censurer, - Le public révolté s'obstine à l'admirer. » Satires (1660-1711)


1) Écrits de Garnier, anarchiste illégaliste ayant fait partie de la fameuse "Bande à Bonnot" au début du XXème siècle.

Pourquoi j’ai cambriolé, Pourquoi j’ai tué. Tout être venant au monde a droit à la vie, cela est indiscutable puisque c’est une loi de la nature. Aussi, je me demande pourquoi sur cette terre, il y a des gens qui entendent avoir tous les droits. Ils prétextent qu’ils ont de l’argent mais si on leur demande où ils ont pris cet argent que répondront-ils ? Moi je réponds ceci : " Je ne reconnais à personne le droit de m’imposer ses volontés sous n’importe quel prétexte que ce soit"
La suite sur : http://www.infokiosques.net/imprimersans2.php3?id_article=358

Vous y lirez ce que ce jeune homme pensait des communistes de l'époque:

"tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela."

C'était bien vu!


2) Diogène, vêtu de haillons est assis au soleil quand Alexandre le Grand se présente devant lui et lui dit : "Demande-moi ce que tu veux ". "Ote-toi de mon soleil !" lui répondit le Cynique.
Pour Sénèque, Diogène " était plus puissant qu'Alexandre, alors maître du monde; car il pouvait refuser beaucoup plus que le roi ne pouvait donner ".
Moi aussi, vieux cynique, ne voit aucune rationalité dans la marche du monde, je ne croit à aucune Providence.
Je ne perd pas mon temps à chercher une explication à l'existence du monde car il me suffit de me rendre compte de l'évidence selon laquelle la condition humaine est bien peu enviable.
Diogène refuse de tenir compte d'un « dieu » qui de toute façon ne serait qu'une illusion de plus; qu'un obstacle de plus à sa liberté.
Diogène se moquait de Platon dont la philosophie pourtant ne dérangeait personne.
Il en a toujours été ainsi des penseurs officiels; en 2000 ans ils n'ont osé renverser les valeurs que lorsque celles-ci étaient devenues obsolètes et inutiles à la nouvelle cohésion sociale.
Un critique à dit un jour sur le web à la suite d’ un de mes articles « Ce qui force le respect, c'est que, Alain de Bornay, comme Diogène vit comme il le pense. Il ne fait pas semblant. En voilà un qui met en accord ses gestes et ses phrases. Un philosophe en acte, pas un discoureur. Encore moins un bel esprit socialiste faisant à chaque instant le contraire de ce qu'il dit. Dans l'histoire des idées, seul Alain de Bornay est aussi subversif que Diogène. Pour le discréditer la société marxiste le fait passer également pour un monstre fasciste ou même nazi, en le traitant de libertarien d’ extrême droit, alors que de l’ ultra gauche à l’ extrême droite, il les fourrent tous dans le même sac de républicains démocrates sociaux. Elle ne pardonne pas à l'auteur de dévoiler le fondement même de toute société humaine : le conditionnement des esprits dès le plus jeune âge, et de révéler la sottise des idées reçues et l'oppression collective. Alain de Bornay met face à face les valeurs et leurs apories, leurs contradictions insurmontables : le christianisme face à l'impossibilité de vivre les Évangiles, de vivre la foi mahométane sans appliquer la Charia et la philosophie des Lumières face aux conflits d'intérêts.
Diogène disait « … Qu'est-ce que la guerre, sinon la science de détruire ? Étrange aveuglement de l'homme, qui enseigne publiquement l'art de tuer, qui récompense celui qui y réussit le mieux et qui punit celui qui, pour une cause particulière, s'est défait de son ennemi ! » Celui qui, comme Alain de Bornay, parce qu’il ne croit plus en la justice de son pays, se venge lui-même des salauds communistes qui l’ont fait censurer sur le web et bien pire, sera fortement, encore plus fortement censuré et condamné. Mais le soldat qui tue des gens qu’il ne connaît pas et qui ne lui ont rien fait, sera décoré. Alain de Bornay dénonce l'hypocrisie de la société marxiste culturelle et tous ces vieux relents d’antisémitisme. A l'instar de Diogène, Alain de Bornay le kunique dit de la Nature : "Que m ‘importe que la « race » de merde des hommes s'éteigne ou s'anéantisse sur terre… Foutre. Elle ri de notre orgueil… Mais elle ne s'en apercevrait seulement pas la salope. L'espèce entière s'anéantirait que l'air en serait plus pur, mais ni l'astre du jour moins brillant, ni la marche de l'univers moins exacte. L'espèce humaine, n'est qu'une espèce au milieu des autres, innombrables qui se sont formées, se forment et sans doute, ont disparu ou disparaissent. Elles s'entre-dévorent. C'est toujours la même matière brassée par une énergie aveugle, qui ne compose qu'avec ce qu'elle décompose, n'anime qu'avec ce qu'elle tue. Pas de fin ! Rien qu'un mécanisme! »


3) Jean-Jacques Rousseau était-il révolutionnaire ? Un libertarien avant l’heure ? On connaît le passage dans l’Émile sur l’approche « de l’état de crise, et du siècle des révolutions » et sur les monarchies à leur déclin. Déjà, les lecteurs des deux Discours ont bien senti jusqu’où entraînerait la contestation de l’ordre social si l’on s’avisait d’en tirer les conséquences.

Telle cette mise en accusation radicale d’un ordre issu de l’injustice et du droit du plus fort, fondé sur l’inégalité des richesses et étayé par une théologie au service d’un pouvoir dont elle attend en retour soutien et bénéfice. Si un tel ordre est inacceptable et s’il est exclu de rentrer dans l’état de nature, quelle autre issue logique qu’un bouleversement – c’est-à-dire une révolution faisant table rase du passé pour instaurer un ordre nouveau ? Mais Rousseau, qui a toutes les apparences d’un séditieux et d’un impie, est rarement logique avec lui-même.

On aurait en effet du mal à découvrir chez lui un appel à la révolte, et surtout à l’insurrection armée. À Genève, en 1737, lorsqu’il voit, pendant les troubles, un père et un fils aller combattre dans des rangs opposés, il jure « de ne tremper jamais dans aucune guerre civile ». N’écrit-il pas, le 27 septembre 1766 : « À mon avis le sang d’un seul homme est d’un plus grand prix que la liberté de tout le genre humain » - une phrase qu’on ne manquera pas de jeter un jour aux Montagnards ? Dès sa réponse au roi Stanislas, en 1751, il a prévenu que quand bien même « quelque grande révolution » venait à renverser l’existant, elle « serait presque aussi à craindre que le mal qu’elle pourrait guérir ».En quelque sort un précurseur de Garnier qui disait : « . Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre (…) » Un anarchiste illégaliste avant l’ heure, un libertarien !

Si la pensée Rousseauiste est naturellement libertarienne, c’est parce qu’elle se fonde, non sur un appel à la révolte ou aux réformes, mais sur un devoir être. Chez Rousseau, la notion de droit naturel ’emporte sur les faits, ou plutôt il exige d’examiner « les faits par le droit », selon la formule du Discours sur l’inégalité.
De là le radicalisme du Contrat social, où il écrit : « Tant qu’un. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre peuple est contraint d’obéir et qu’il obéit, il fait bien ; sitôt qu’il peut secouer le joug et qu’il le secoue, il fait encore mieux ». On notera qu’il ne préconise pas un état « socialiste » !( http://fr.wikipedia.org/wiki/Preuve_sociale)

De la légitimité du droit se déduit ainsi, comme malgré lui, la légitimité de la révolution. Nul compromis possible dans cette pensée. Moins intransigeants, mais plus réalistes, les « philosophes » luttent pour grignoter un à un les « abus », alors que Rousseau n’envisage qu’une société alternative, non pas améliorée, mais radicalement autre. Un libertarien vous dis je !

En ce sens, il fut bien le « fauteur du cataclysme », un « agitateur dangereux », selon Mably, un penseur qui caresse, au dire de David Hume, un « dessein séditieux », qui fait vivre les magistrats « dans la peur mortelle d’être massacrés par la populace » ( Futur prolétariat) Incontestablement, Rousseau parut coupable aux yeux de ses contemporains du crime politique le plus grave : exciter la sédition dans sa patrie.
Les prétendues contradictions de sa pensée libertarienne et de ses prises de position, contribuèrent à la fois à sa renommée et à l’exaspération et de ses amis (Diderot) et de ses adversaires, au premier rang desquels Voltaire, qui finit par le traiter de fou à lier. Comment concilier, en effet, amour de l’égalité et nostalgie régressive, souci de perfectibilité et méfiance du progrès, individualisme et paternalisme, condamnation des hiérarchies sociales et fréquentation des grands de ce monde ?

Ce que des « abrutiles » marxistes nomment aujourd’hui contradictions nombreuses mais fécondes et qui n’ est en fait que l’ expression d’ un libertarianisme en latence, nombreux ceux qui expliquent ainsi l’énorme influence que Rousseau exerça sur son époque et sur la décennie révolutionnaire, ainsi que sur la pensée politique contemporaine.
Elles font mieux comprendre les difficultés inhérentes, et non résolues, des théories nidoreuses de la « démocratie » moderne et du marxisme.
Père spirituel de la Terreur, « terrible auxiliaire de tous les genres de despotisme » (Benjamin Constant), inventeur de la démocratie totalitaire pour les uns, ancêtre du goulag pour les autres, l’auteur du Contrat social, qui se voulait apôtre de la liberté, se rendait-il bien compte qu’il rédigeait un « bréviaire de la tyrannie », un « manuel des séditieux » ?
Exemple : la volonté générale, qui a fait couler beaucoup d’encre. « Quiconque refusera d’obéir à la volonté générale [écrit-il] y sera contraint par tout le corps : ce qui ne signifie autre chose, sinon qu’on le forcera d’être libre ». Mais nous assistons là, au naufrage de la démocratie par l’ interprétation de sa pensée, au surgissement d’une dictature ou un être qui ce prétendra d’exception, le génie supérieur que sera le législateur,l’ homme politique dans toute son horreur marxiste, qui lui, saura rédiger des lois conformes à la volonté générale, puisque sois disant la législation fera des hommes libres et égaux : libres, parce que sans liberté, il n’est pas de dignité ; égaux, parce que sans égalité, il n’est sois disant pas de liberté. Rousseau est bien le père des pires dictatures marxistes.

Mais à vrai dire, devenu référence idéale, son nom sert toutes les tendances.

Tous les révolutionnaires, sans exception ou presque, se réclament de sa pensée. Il y a un Rousseau monarchien ou feuillant, girondin à la mode de Mme Roland, un Rousseau jacobin à la Robespierre, un Rousseau communiste à la Babeuf.
Jean-Jacques, au moins pendant un certain temps, sert aussi la propagande des conservateurs, nourrit le discours réactionnaire qui se complaît à dénoncer le changement radical et met en valeur le « vrai » Rousseau trahi par la Révolution, défenseur de l’ordre et de la monarchie. Ainsi, en 1790, Charles-François Lenormant va jusqu’à rédiger un J.-J. Rousseau aristocrate.
On reste donc perplexe devant la remise en cause actuellement en vogue, issue des travaux de Roger Chartier et de Robert Darnton, selon laquelle l’influence de Rousseau aurait été indûment gonflée et exagérée. Rousseau et ses lecteurs sont à placer au premier rang de toute enquête sur les origines et la nature même de la Révolution. Alors aujourd’hui un Rousseau libertarien ?pourquoi pas !, une sauce de plus dans le grand plat de merde de la philosophie et de l’éthique judéo chrétienne.

Bornay